L’épistolière : Le Modèle, épisode 8 – Intermèdes.

- Par l'auteur HDS Dyonisia -
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Auteur femme.
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Récit libertin : L’épistolière : Le Modèle,  épisode 8 – Intermèdes. Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2025 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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L’épistolière : Le Modèle, épisode 8 – Intermèdes.
[Avertissement :
Modèle vivant, modèle nu de surcroît, voilà une proposition inattendue lorsqu’elle vous surprend à bien plus de quarante ans. J’en tiens le journal au fil de l’expérience et j’en ai dès le début informé mes plus proches amies. Mais après tout, pourquoi réserver à elles seules mes sentiments et mes émotions quand je peux les partager avec des lectrices désireuses de connaître le déroulement de cette aventure ? Rien n’empêche, bien sûr, des lecteurs de s’y intéresser aussi.
Pour la clarté de lecture, les lettres initiées par « Ma chérie » sont de moi, celles commençant par « Ma Chantal » sont de ma ou mes correspondante(s). Voici donc le septième volet de l’échange de lettres que je retranscris fidèlement, et dont la première publication a paru fin avril.]

§§§

(Bref résumé des courriers précédents : en mars dernier, ma fille et Aurore, sa professeure de dessin, me convainquirent de poser nue lors des cours hebdomadaires dispensés par l’artiste. Je l’ai fait depuis régulièrement devant les élèves féminines d’Aurore, à l'exception de rares séances où Manon m’a remplacée, et parfois en compagnie de celle-ci et de sa chérie. Il y eut même des cours avec spectatrices choisies. Après Pâques, l'artiste, son modèle et leurs proches se connaissaient assez intimement pour s’autoriser quelques sessions très privées, voire offrir de les ouvrir à des élèves averties. Les ponts du mois de mai fournirent ainsi l’occasion d’un cours particulier où les modèles exhibées en toute impudeur étaient trois fois plus nombreuses que les élèves. Malheureusement, des obligations professionnelles me contraignirent ensuite à suspendre ma collaboration.)

§§§

Ma Chérie,
J’ai obtempéré au souhait exprimé en conclusion de ta lettre [voir chapitre précédent] : j’ai ouvert mon cul et mon con, mais en ton absence et celle de Sandra, ce sont Manon et Cynthia, fort à propos de passage, qui vous ont suppléées.

J’espère que tu n’auras pas d’objection à cette délégation de langues ? J’aurais dû t’en avertir avant mais j'ai eu beaucoup de travail cette semaine pour le bouclage de différents rapports. D'ailleurs, ce n'est pas terminé parce que j'ai une réunion ce samedi après-midi. Impossible d'y échapper car c'est au sujet du séminaire que nous devons animer Andréa et moi, le mois prochain. Cette fois, c'est Andréa qui devra faire l'aller-retour dans le week-end, et du coup Manon me remplacera à nouveau comme modèle vivant. Mais elle ne sera peut-être pas toute seule : Isabelle, la jeune femme avec qui nous avons discuté après la séance, et qui est venue chez Aurore dimanche dernier a été très tentée par notre exemple...

Si ça se passe, je te le dirai. Pour l’instant j’attends la venue d’Andréa. Nous avons encore une réunion demain pour préparer ce fameux séminaire (de travail, hélas !).

D’ici là, je t'embrasse, ma Chérie, je suis excitée. J’aimerais avoir bien branlé ta craquette pour la lécher partout et profond, et m'endormir avec ton goût dans mes rêves.

§§§

Bonsoir ma Chantal.
Figure-toi que j’ai rêvé de toi ; tes caresses épistolaires ont fonctionné, lol !

Et il me semble qu’Andréa était là aussi ! Je ne l’ai pas vue (ou je ne me souviens pas de cette partie-là), mais je savais qu’elle n’était pas loin. C’est drôle, je crois qu’elle apparaît au moins un peu dans tous les rêves où tu es présente. J’en oublie la majorité, malheureusement. Là, je m’en suis un peu souvenue parce que tu m’en a parlé dans ta lettre. Donc, elle sera là demain. Ou peut-être dès ce soir ? Ça sera l’occasion de revoir Jeanne en plus !

Je t’embrasse ma Chantal, j'espère que tu récupères de ta semaine, même si tu as encore du travail demain. Au moins ça sera avec Andréa, lol !
Dis-moi comment ça se sera passé. Et si tu as pu te reposer un peu avec Andréa avant qu’elle reparte.

§§§

Un plaisir de lire ta lettre, ma Chérie. Et un plaisir partagé avec Andréa !

Oui, la réunion était ce samedi. Nous avons mis au point le programme et le calendrier du séminaire. Nous sommes rentrées tard, mais Jeanne avait préparé la soupe, non, le repas : des grosses crevettes, lol ! Nous n'avons pas jugé utile de nous laver la mounine avant, après non plus, d'ailleurs. Jeanne s'habitue à ces senteurs iodées, elle y contribue pas mal aussi, lol.

Je t'écrirai plus longuement demain, mais pour t'aider à retrouver tes rêves avec Andréa et moi (tu peux y ajouter Jeanne aussi), je te fais une petite description de la façon dont je me prépare à aller au lit. Je me suis mise nue, évidemment, quand j'ai vu ta lettre (heu, Jeanne me dit que je n'ai pas eu beaucoup d'efforts à faire, lol !). Je l'ai lue assise de côté sur ma chaise et je te réponds dans la même position. J'ai le dos contre Jeanne qui me masse les lolos, et les genoux écartés, avec entre les cuisses la tête d'Andréa accroupie qui s'occupe de ma mounine. Je mouille, et ça sent toujours la crevette… Dommage qu'il soit tard, j'aimerais jouir devant toi.

Tu peux nous présenter tes seins, ta craquette et ton troufignon, ma Chérie : tu as les baisers de nous trois !

§§§

Bonsoir ma Chantal
Cette fois je n’ai pas rêvé de toi hier soir, mais d’un rapport que j’ai à faire, lol !

Je te lis après la douche de ce soir (qui a suivi l’apéro qu’un stagiaire nous a proposé pour fêter la fin de son séjour). J’ai gardé la main sur la craquette en te lisant. Il ne fait pas si chaud la nuit, et après la douche, j’avais la craquette froide ! Mettre la main et te lire m’ont aidé à la réchauffer… avec un peu de liquide chaud aussi, si tu vois ce que je veux dire.

C’est drôle, j’ai repensé à la réaction des deux dames dont tu m’as raconté les désirs et les hésitations après le cours particulier chez Aurore. Leur attitude me rappelle celle d’une certaine Chantal chez une certaine Colette… J’ai relu le début de cette histoire récemment, mais je ne sais plus quand. Peut-être que je l’ai rêvé !

Demain, comme aujourd’hui, je vais continuer mon rapport. Alors je risque de bientôt m’endormir. Si tu es réveillée, viens m’embrasser aussi.

§§§

Mais oui ma Chérie, le temps de me mettre toute nue et je viens t'embrasser !

Où tu les veux, mes bisous ? Sur ta craquette, pour la réchauffer ? Ou ma bouche sur la tienne pour commencer, puis mes lèvres sur tes tétins et ma langue dans ta craquette pour finir ? Ou bien tes jambes en l'air pour que je suce tes orteils en trifouillant ton troufignon et ta craquette avec mes mains ? Dis-moi ce que tu préfères, ma Chérie, et je le ferai. À moins que tu veuilles que je me masturbe au-dessus de toi pour que le songe de ma mounine écarquillée et goutteuse et de mes doigts qui frottent ma fève et mon trou à pipi remplace le rêve du rapport cette nuit ?

Je ne sais pas ce que sont ces rapports que tu dois faire mais je suppose que c'est compliqué et fastidieux. Tu as bien sûr tout mon soutien moral et mes pensées affectueuses pour finir ce pensum, mais je vais essayer de te distraire de tes soucis en discutant d’autre chose : quand tu parles de la réaction des deux dames, c'est de celle d'Isabelle et Françoise ?

Tu sais, si tu réfléchis bien, tu t'apercevras qu'un fond d'homosexualité sommeille dans toute femme. Nous nous embrassons volontiers, nous nous touchons, nous nous enlaçons, nous nous montrons nos dessous - parfois nous nous les prêtons, parfois même quand ils sont portés - et nous adorons nous faire des confidences "à ne pas répéter surtout" (lol). Bref, nous pratiquons tout un tas de gestes de familiarité et d'intimité que la bienséance couvre du manteau de l'amitié affectueuse et sensuelle, et surtout pas sexuelle ! Mais si nous cherchons bien, cette sexualité est sous-jacente dans nos comportements. Les plus acculturées et les plus honnêtes envers elles-mêmes (il faut les deux), d’entre nous les femmes, le reconnaissent et l'acceptent. Celles qui dépassent les limites posées par le contexte moraliste (pas forcément élaboré par ce patriarcat qu'on assaisonne à toutes les sauces) ne s'interdisent pas une relation homosexuelle passagère dans leur vie d'hétéro. D'autres n'osent pas, ou peut-être pas tout de suite, lol.

Donc, il n'y a rien qui m'ait étonnée dans l'aveu de Françoise et Isabelle d'avoir été excitées par notre scène érotique et par les dessins qu'elles en avaient faits, tout en refusant (moitié sincèrement, moitié pour la forme) d'être caressées et de jouir par les mains d'une autre femme. C'est comme pour tout ce qui est nouveau, il faut l'apprivoiser, lol ! Et si elles continuent à prendre des cours privés chez Aurore, peut-être auront-elles moins de scrupules à la longue...

Allez, ma Chérie, je te laisse dormir, je me suis encore laissée entraîner par le plaisir de te parler, pardonne-moi : je te fais toutes les caresses que je t'ai décrites au début en pénitence.

§§§

Bonsoir ma Chantal

Je viens t’embrasser pas encore lavée ce soir, lol ! Et, oui, j’aimerais que tu me présentes ta mounine en frottant ton trou à pipi. Mais cela dit, tu as sans doute raison : peut-être que si Isabelle et Françoise poursuivent les cours particuliers, elles finiront par sauter le pas. Rien que les cours de dessins y contribueront sûrement.

Tu as raison aussi pour le rapport : c’est long et fastidieux, et en plus je dois faire plein de manipulations, lol !

[Suit une longue description d’un travail sans intérêt ici.]

Je t’embrasse ma Chantal. Dis-moi comment se sont passées ta journée et ta semaine.

§§§

Coucou ma Chérie,
J'adore que tu viennes m'embrasser toute odorante, ça fait immédiatement mouiller ma mounine.

Je travaille d'arrache-pied cette semaine, ma puce chérie : j'avais un gros dossier à analyser et à commenter, Beaucoup de temps passé en recherches et référencements de textes règlementaires !

J'espère que Isabelle et Françoise se laisseront tenter, l'une entraînera l'autre si les observations et les dessins les émeuvent. Tu me donnes l'idée de prendre des paris avec les filles et Aurore : qui entraînera qui, ou, ni l'une ni l'autre ? On ferait son choix et la gagnante aurait le droit d'imposer ce qu'elle voudrait aux perdantes. Malheureusement, je ne pourrai encore pas aller montrer mon cul ce week-end, snif ! Je risque fort d'être contrainte à une réunion pour expliquer en détail les raisons de mon avis défavorable. Alors, par précaution, j'ai averti Aurore de ma défection. Je me rattraperai après l'Ascension, lol ! Je passerai tous les jours à poser pour elle, si elle veut.

Bon, maintenant, pour te récompenser d'avoir si bien appliqué ce que tu avais appris, et pour mon plaisir aussi, lol, tu vas remplacer Manon quand elle espionnait mes masturbations. Mais pour ça, il faut que tu fasses comme elle maintenant : que tu te mettes nue. Et si tu me lis en fraude au travail, ce n'est pas une excuse : tu vas crocher dans ta culotte, sous la jupe ou dans le pantalon, et tu vas la tirer sur un côté pour dégager ta craquette. Ok ?

Je me suis rhabillée pour avoir l'excitation de me déshabiller devant toi. A moins que tu veuilles me mettre à poil toi-même ? (On fait les deux avec Manon, parfois c'est moi qui la déshabille, parfois c'est elle qui me met nue, ou parfois c'est mutuellement.) J'ai remis un soutif et un slip récupérés dans le linge sale, des bas, sales aussi, un pull léger, bleu ciel, une jupe plissée, bleu marine, et des talons hauts, pour jouer à la pute.

Allez, je suis debout devant l'écran et je vais me déshabiller moi-même puisque je suis seule (Jeanne m'a laissée travailler tranquille). Je marche de long en large, écrivant chaque fois que passe devant le clavier, et je me déhanche en tortillant les fesses pour t'aguicher. J'enlève le pull, ça ébouriffe mes cheveux. Je le renifle... hum, il sent l'aigre sous les bras... Tu veux vérifier ? Je te le tends.

Je suis en soutien gorge, il n'est pas très propre, on voit des auréoles de sueur séchées sur les côtés. Hum... J'ai aussi la taille qui déborde à la ceinture de la jupe... J'ai un peu honte de me montrer ainsi, je ne suis pas à mon avantage... Tant pis ! Je dégrafe le soutif, je devrais me tourner, être pudique pour le retirer. Non ! Je le quitte brusquement face à toi, mes lolos s'affaissent (hélas !). Tu les regardes, mes tétons durcissent. Je m'approche, tu saisis mes bouts de seins, tu les pinces, tu les étires, tu les serres, tu les tords, je râle et je te souris, je geins et je mouille. Tu les relâches, je me recule, mains sur les hanches, j'attends ton ordre.

Tu hoches la tête, je défais la ceinture de ma jupe, le haut s'entrouvre, je suis quand même obligée de me tortiller pour qu'elle descende, elle m'est un peu juste. Le mouvement entraîne un peu le slip, mes poils dépassent, tu ris. Je dégage mes chevilles de la jupe en essayant de ne pas être trop ridicule. Tu me fais signe, tu veux que je te donne ce que je viens d'enlever. Je t'apporte le pull, le soutien gorge et la jupe, tête basse, inquiète.

Tu renifles tout, tu fronces les sourcils, tu me fixes sévèrement :
- Tu te laisses aller, Chantal ! Ce n'est pas propre tout ça ! Ta culotte aussi est sale ?

Je secoue la tête, mais tu ne me crois pas :
- Enlève-la !!

Je fais glisser ma culotte, mais tu sais ce que c'est : le gousset est collé à mes lèvres. Je ne le voudrais pas, mais la culotte se retourne. Tu ricanes :
- C’est de te foutre à poil devant moi qui te fait mouiller, vilaine vicieuse ?"

Je dis non, j'ai honte, je sais bien que je mens, et je mouille encore plus, je le ressens dans ma chatte. Je continue à baisser ma culotte, tu me tournes autour pendant que je me baisse pour la dégager des chevilles. Je sais que tu regardes mon cul, j'ai peur et j'ai envie que tu le touches... Mais non, tu te contentes de me réclamer le slip. Tu le humes, tu le goûtes, j'ai même l'impression que tu suces un peu le gousset, en tout cas tu le lèches. C'est comme si tu en faisais la dégustation critique avant de rendre ton verdict.

Je suis nue, en bas et talons hauts, je t'écoute :
- Oui, oui, il y a de la crevette, de l'acidité de vieux pipi, un peu de cyprine fraîche, mais dans l'ensemble ça sent vraiment la vieille marée ! Tu es une grosse cochonne, vilaine vicieuse chérie !

Je ne sais pas pourquoi, mais tes paroles goguenardes me rassurent :
- Merci, ma puce.

Je te regarde, tu sais que je vais t'obéir. Tu parles, tu parles sèchement, mais tes yeux sourient :
- Assieds-toi sur le lit, vilaine vicieuse. Relève les genoux ! Écarte les cuisses ! Montre-moi ta mounine de cochonne ! Ouvre-la avec tes doigts, vilaine vicieuse.

Eh oui, je t'obéis ! Je fais ce que tu exiges, je m'empresse de te satisfaire. Renversée sur le dos, les genoux repliés, ouvrant mon compas autant que je peux, les doigts crochés dans mes lèvres pour écarquiller ma mounine, en bas et talons, je dois vraiment ressembler à une pute. Je pense que je pourrais poser comme ça, et tu vois palpiter ma vulve et une goutte gluante couler sur mon périnée... Mon dieu ! Je t'expose aussi mon trou du cul dans cette position !

Tu t'approches, tu avances ta tête entre mes cuisses, tu renifles mon con, comme une petite chienne, je m'attendrais à ce que tu lapes. Non, tu restes comme ça et tu lèves le regard :
- Tu sens fort, vilaine vicieuse chérie ! Tu sens plus fort que moi, même quand je fais pipi dans ma culotte. Ça m'est arrivé aujourd'hui... Tu veux sentir ?

Tu n'attends pas ma réponse, tu passes les mains sous ta robe (oui, avec un pantalon ça n'irait pas), je ne vois pas ta culotte descendre mais tu l'as tout à coup dans la main, tu me la mets sous le nez. Je la respire profondément... hum... je reconnais comme mon odeur en plus fine, moins capiteuse, mais si excitante !
- Oh ma puce chérie, tu sens si bon !

Et tu me fais goûter aussi, tu poses le gousset sur ma bouche, je le lèche :
- Oui, tu as presque les mêmes saveurs de moule que moi, ma puce chérie !

Tu me dis merci, mais c'est juste pour me faire sourire, tu en profites pour me fourrer ta culotte sale de pipi dans la bouche, je ne résiste pas, je la mâchouille. Tu ris :
- Je t'aime, vilaine vicieuse chérie.

Et tu ajoutes brusquement :
- Branle-toi !

Tu t'agenouilles contre le lit, tu as la figure juste à hauteur de ma mounine. Je t'obéis, je frotte mes lèvres, je frémis, je palpite du con ; je presse mon capuchon entre mes pouces, je fais sortir ma fève, je la tiens exhibée d'une main, l'autre je la fourre dans l'entrée de mon vagin, je prends ma mouille, j'en couvre ma fève, je l'astique, je crie, je suis heureuse ; je frotte plus fort, je ne crie plus, je gémis de plaisir ; je quitte mon clito, je descends un peu mes doigts, j'ouvre la fente, je sais que tu vas voir mon trou à pipi, j'ai envie que tu le titilles ; je ne veux pas le demander, ça romprait le charme, je le titille moi-même avec un ongle, une goutte de pipi en sort, pipi ou une autre sorte de mouille ; mais j'ai besoin de plus, je pince ma fève, je mets les doigts dans mon con, je fouille, j'entre et sors de plus en plus vite ; des gouttelettes giclent, je mouille de plus en plus et je sens que je vais partir, tu dois recevoir des gouttes sur tes joues, tu ouvres la bouche peut-être, pour les cueillir avec ta langue ; l'idée que tu me vois la moule ouverte, que tu la sentes, que tu la goûtes m'excite comme une cochonne de vilaine vicieuse qui pense à la craquette de sa puce chérie.

C'est trop fort, je ne peux m'arrêter, je me doigte, je me branle, je hulule, je me crispe, je jouis ! Je jouis au ras de ton nez, ma puce chérie, au ras de ta bouche, au ras de tes yeux, et je t'offre ma jouissance, je tremble, je frissonne, je mouille, je coule, je continue à me branler pour toi, je t'offre ma jouissance jusqu'au bout de l'orgasme et au-delà.

Je retombe sur le lit, je prends mes seins, je les presse dans mes mains, je fais rouler mes tétons, ils sont toujours plus sensibles après l'orgasme. Je soupire... Ah, si tu voulais me boire et me lécher, ma puce, je jouirais encore et encore...

Bon, ben, ça y est, ma puce chérie ! Je me suis fait jouir en t'écrivant. J'ai les touches du clavier toutes maculées, lol ! Peut-être que quand tu tripoteras un autre gel, tu penseras à la consistance de ma mouille, ou de la tienne.

Et si tu t'es branlée et a joui en me lisant, ma puce, fais comme moi : suce tes doigts !

§§§

Ma Chantal,

« En fraude au travail », tu me connais bien ma Chantal ! Je fais souvent ce genre de chose. Je te lis, dos au mur, même si quelqu’un est dans la pièce. La craquette qui coule dans ma culotte, personne ne peut le savoir. Enfin, sauf si on peut le sentir… Et tu sais aussi que j’adore sentir l’air frais sur la craquette. Surtout lorsque ma Chantal me raconte des choses pour l’humidifier.

Alors, comment veux-tu que je te réponde, après une telle lettre dévergondée ?! Mais je sais que tu n'en es pas inquiète, autant donc te faire partager mes occupations du moment, lol !

Hildegarde, Anja et Alexa m'occupent beaucoup. Hildegarde et Anja sont parties à fond dans leurs plans de boutique d’arts graphiques spécialisés et j'en apprends tous les jours. Hildegarde, je connais un peu, lol : elle a une capacité d'enthousiasme totalement incroyable et ce qui est le plus incroyable c'est qu'elle s'y tient. Souvent les gens comme ça abandonnent aussi vite qu'ils ont commencé, eh bien pas elle ! Jusqu'au bout, avec un petit coté pitbull.

Par contre je découvre Anja, enfin je veux dire que j'apprends à la connaître plus. Cette femme est beaucoup plus intéressante que je ne l'avais imaginé et sous ses airs de discrétion presque bourgeoise elle cache ce qu'on appelait un tempérament de feu, lol ! Elle a fait une école de photo à München, elle est donc en plein dedans, et dans la conversation j’ai compris qu’Alexa avait aussi une formation d'art. Ça sent le complot ! On a même eu droit à quelques exemples des œuvres d'Anja : à mouiller la culotte ! (Ce qui n'est pas difficile en ce qui me concerne, lol.) Elle nous a montré une petite collection de nymphettes nues et exposées… à faire mouiller une réunion de nones ! Avec Sandra on se pose la question d'une collusion entre Alexa et elle pour monter cette "entreprise".

Pour ne pas être en reste, Hildegarde nous a montré quelques clichés de sa petite chérie, lol, c'est à dire tu sais qui. Je dis « lol » mais c'est tout juste, car franchement côté artistique c'est pas le top, mais côté voyeurisme c'est plutôt bien ! Je ne me souvenais pas de ces photos et je suis sûre que je ne les avais jamais vues. Sandra était toute excitée de me voir toute nue et jeune, et totalement exposée. Donc tu vois, une impression un peu bizarre. En rigolant, Sandra me fit remarquer que mes lèvres étaient luisantes et c’est Hildegarde, toute contente, qui a ajouté « oui, elle mouillait déjà facilement ». Anja et Alexa riaient et je les ai soupçonnées d'avoir déjà vu ces clichés. En fouillant dans ma mémoire, je crois avoir retrouvé des souvenirs et la quasi certitude de gros câlins d'ado avec Hildegarde après les photos. Je ne cherche pas à me dédouaner mais simplement j'ai un peu enfoui ces souvenirs. Rassure-toi, je n’ai pas l'impression d'être traumatisée, lol. J’en parlerai au psy.

Donc comme tu vois les "affaires" avancent. Je trouve d'ailleurs que c'est très bien, Anja et Hildegarde vont bien ensemble.

Pour ce que tu me disais l’autre jour, des fois on se fait une petite soirée porno avec les filles d'Australie. On s'amuse à reproduire leurs ébats. Sandra adore, lol, parce que question gros culs et cellulite elles sont pas mal. Je trouve d'ailleurs que c'est ça qui est très excitant : ce sont des filles normales, pas des mannequins genre sylphides, lol.

J'hésitais à te le dire, mais dimanche soir on a fait découvrir nos copines australiennes à Hildegarde et à Anja. Je pense qu’il n’a pas fallu plus de quinze minutes pour que nous soyons toutes les quatre à poil. Rapidement ce qui se passait sur l'écran était beaucoup moins intéressant que ce qui se passait sur le canapé, lol ! J'ai offert un face-sitting à Anja qui louchait sur mes grosses fesses. Pendant ce temps-là, Sandra me torturait les seins en expliquant à Hildegarde que j'adorais ça ! Du coup, elles s'y sont mises à deux, Sandra me pressait les seins pendant que Hildegarde frappait les bouts d'abord doucement puis un peu plus fort. J'ai joui en criant et Anja a été un peu inondée d'un mélange de cyprine et de quelques gouttes de pipi lâchées au moment de l'orgasme. Hildegarde a embrassé Anja pour recueillir les restes de mes secrétions intimes, lol.

Nous sommes restées nues, Hildegarde a joué avec les pastèques de Sandra. Anja a remis les photos sur le tapis Sandra est très excitée à l'idée et pense que un duo avec sa sœur serait super. Il est vrai que voir Héléna et Sandra jouer avec leurs seins me procure toujours une excitation intense, lol. Mais tu sais que je suis une cochonne.

La soirée avançant, les effluves de sexes féminins étaient plus que présents, lol. Anja a voulu aller se doucher avant de partir. Hildegarde m’a fait signe de venir et Sandra a pu "contempler" une scène étrange : Anja allongée dans la douche sous Hildegarde et moi face à face en train de l'arroser de pipi. (Il faudra aussi que je parle de ça à mon psy, lol... J'en ai des choses à dire.) Je pissais en frottant clitounet et évidemment la réaction fut rapide avec des spasmes de plaisir. Nous sommes sorties de la douche et Sandra qui se frottait la chatte en nous regardant a pris notre place pour déverser elle aussi sur Anja un flot de liquide jaune et odorant.

J'avais les jambes un peu molles et je n'étais pas la seule. Les deux autres sont reparties après une bonne douche pour retirer l'odeur, disons un peu forte. Sandra et moi on ne s’est pas lavées, lol, et au lit nous avons profité de nos parfums dans un soixante-neuf sympa. Je mis un doigt puis deux dans le cul de Sandra qui s'agitait de plus en plus. Elle se crispa et fut agitée de tremblements ce qui chez elle témoigne d'un plaisir intense. Je continuais à fourrager dans son anus de plus en plus fort et, vite, elle cria en cherchant à se dégager, mais je maintenais les doigts au fond de son cul. Je l'ai libérée lentement et j'avoue avoir longuement senti mes doigts....

Je suis certaine que tu es toute mouillée et que ton haricot est devenu une fève, comme tu dis, aussi dure que mon clitounet, hein, ma vicieuse cochonne ? Je te lèche !

(À suivre)

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