Le séjour d'Andréa - 1ère partie

- Par l'auteur HDS Dyonisia -
Récit érotique écrit par Dyonisia [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Le séjour d'Andréa - 1ère partie Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2025 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Le séjour d'Andréa - 1ère partie
[Avertissement de l’auteure : le travail m’a rattrapée et j’ai pris du retard dans la transcription de mes lettres sur mon expérience de modèle nu. Celle-ci est plus ancienne, mais après l’avoir retrouvée et relue, il m’a semblé qu’elle pouvait intéresser quelques autres coquines et coquins, et faire patienter celles et ceux qui languiraient des dessins sur le motif vivant.]


« Marraine Chantal à sa douce et tendre filleule chérie »


Andréa est arrivée plus tôt que prévu, à ma grande joie. Le 5 Août au soir a été une grande fête. Je ne lui ai pas laissé le temps de prendre une douche, je l’ai déshabillée dès qu’elle est sortie de sa voiture (enfin, pas dans la rue, ça n’aurait pas été correct vis-à-vis des voisines, quoique…). De toute façon, j’étais déjà à poil à cause de la chaleur.

Je l’ai serrée dans mes bras, embrassée, caressée de partout, et nous nous sommes embrassées à pleine bouche, en fouillant bien nos salives avec nos langues. J’ai négligé ses seins, pourtant déjà bien gonflés par son excitation de me retrouver. J’ai plongé sur sa chatte, j’avais besoin, moi, de retrouver son odeur. Et de l’odeur, j’en ai eu ! Avec la transpiration du voyage, le pipi en route mal essuyé, la mouille par anticipation à l’idée de me revoir, et la nouvelle cyprine de nos premières papouilles, sa moule débordait d’une marée à la senteur de crevette mal propre.

J’ai tout léché et tout bu. J’ai nettoyé toute sa vulve, sucé ses petites lèvres, extirpé son gros bouton en l’aspirant comme un bébé au téton de sa mère, rentré ma langue aussi loin que j’ai pu dans son con, entré mon doigt dans son cul (tant pis pour l’hygiène), et l’ai branlée jusqu’à ce qu’elle coule dans ma bouche en criant, les mains crispées dans mes cheveux. J’ai joui de l’avoir fait jouir.

Après, nous avons pris la douche ensemble, ou plus exactement on s’est pissé dessus. Je me suis assise dans le bac, elle au-dessus de moi, jambes écartées, pendant que j’ouvrais sa fente pour voir jaillir et recevoir tout son jet. Ensuite, elle m’a rendu la pareille, avant qu’enfin nous ouvrions le robinet pour nous rincer. Nous nous sommes savonnées mutuellement, avec nos mains. C’est plus sensuel. Nous avons bien passé le savon et les doigts partout, sous les aisselles, sous les seins, sur les genoux, les mollets, les chevilles et les pieds, entre les orteils, dans la raie, dans le petit trou, dans les aines et dans la chatte. Nous nous sommes branlées le clito au savon et nous avons encore joui deux ou trois fois.

Puis, nous sommes sorties dans le jardin, toujours à poil, pour profiter du coucher de soleil en prenant un apéritif bien mérité !

Je passe sur la nuit d’amour, émaillée de tendres et goûteux 69 et d’un ciseau endiablé au réveil. J’aime particulièrement ces caresses de chatte à chatte, surtout avec le bourgeon d’Andréa qui se glisse entre mes lèvres et écrase mon clito dans nos mouvements de bassin. Gros pipis au matin, histoire de donner une saveur forte au thé du petit-déjeuner… (Non, je plaisante, nous ne faisons pas notre thé au pipi. Mais « compagnes de lit, compagnes de pipi », hi, hi, hi !)

Andréa aurait voulu passer la journée à la plage, mais le Mistral soufflait toujours. Il y aurait eu moins de monde, certainement, sinon quelques habituées de longues date, mais le sable soulevé par le vent c’est désagréable, et la mer est froide quand l’eau de surface est repoussée au large. À la place, je lui ai proposé de profiter du jardin et du tuyau d’arrosage (tu as déjà mis un tuyau d’arrosage dans ta craquette ? ça fait des sensations folles.) pendant que nous organiserions une tournée des hammams de la région d’après la liste que j’avais relevée.

Il y a notamment un nouveau hammam, d’après ce j’avais vu, sur la presqu'île près de chez moi. Je pensais plutôt que c'était un sauna mais il est ouvert le dimanche (un autre aussi, mais trop loin). Nous avons décidé de le tester le lendemain. Il s’appelle Vénus Institut, tout un programme !
Et si le vent continuait lundi, nous irions en explorer un autre un peu plus éloigné : Freja Spa, hammam femme, dit l’annonce, plus original, non ?

Nous avons été déçues par ce fameux Vénus local : comme je le craignais, c’est juste un sauna et spa. Il est bien situé, on voit la mer et la côte, mais le public est du genre bobo, pudique en plus : serviettes dans le sauna et maillot dans le spa… De belles gamines par contre, on faisait tache avec nos culs et nos lolos. Pas une qui soit sympa, cependant, ou un peu « nature ». Bref, c’est neuf, chichiteux et pas donné. À rayer de la liste ! On s’est consolées en rentrant, comme tu l’imagines.

Au moins, le sauna nous avait fait une peau encore plus douce qu’à l’ordinaire. On s’est bouffé les seins et les fesses avec délices. J’ai titillé le trou à pipi d’Andréa, elle m’a donné une fessée, nous avons fait un concours de tire tétons avec quatre pinces à linge et deux chaînettes. Andréa a gagné. J’ai eu ma revanche au jeu de tire lèvres. C’est aussi douloureux, un peu plus même, mais très excitant. À tel point, que nous avons ajouté une séance de tire clitos, tire capuches pour être honnête parce que ma fève est trop petite pour que la pince tienne. Une soirée tranquille, en somme, avant d’aller dormir en soixante neuf pour calmer nos chattes enflammées.

Le lundi, le vent continuait à souffler, donc direction le Freja Spa, et les espoirs de Walhalla... Freja est la déesse de l’amour, comme Vénus, mais dans la mythologie germanique. Elle est représentée en général comme une grande rousse, aux formes affirmées. Un peu le genre de Andréa. J’espérais de ce fait autre chose que le premier faux hammam. On s’est dit qu’on verrait bien.

Ça a failli mal commencer : on s'est mise en retard à cause des embouteillages pour traverser la ville. Andréa a téléphoné pendant que je conduisais pour en avertir Freja qui nous a gentiment décalées d'une heure. Heureusement parce qu'en plus l’endroit n’est pas facile à trouver quand tu viens pour la première fois.

La patronne (plutôt qu’une simple gérante, je crois) nous a accueillies à la réception. Une femme dans la cinquantaine, blond vénitien, avenante, en kimono et visiblement nue dessous. L’ambiance était clean, le décor sobrement léché, et le premier contact sympathique. Elle nous a précisé que la nudité était de rigueur. Un bon point d’entrée !

Le hammam, un vrai, est exclusivement féminin, un autre bon point ! Il y possibilité de se faire masser mais ce n’est pas le cœur de métier de l’établissement. Il y a malgré tout 3 petits boxes destinés aux massages. Ils sont séparés par de simples rideaux, que l'on peut replier "si des amies veulent se parler" a ajouté la dame en souriant.

La fréquentation était bon chic bon genre. Pas des jeunettes, plutôt femmes mûres. Côté âge, nous étions dans les clous. Côté silhouette, pas du tout ! Nous n'avons pas eu de remarque, mais les regards... Tant pis ! Nous avons quand même demandé un massage, rideaux ouverts bien sûr.

On s'est regardée masser l'une après l'autre. Il n’y avait qu’une seule masseuse, une jeune femme, blonde apparemment (pas de racines brunes et pubis lisse, donc...), jolie, appliquée, mais probablement pas diplômée. Elle était nue, sous une courte légère blouse qui en s’entrouvrant m’a laissé voir son mont de Vénus. Elle nous a dispensé à chacune un massage très sensuel mais sans un geste sexuel malgré la brillance de nos lèvres qu’elle n’a pu manquer de remarquer.

L’atmosphère était identique pour le hammam. Les filles étaient nues, sans pudibonderie, à l'aise avec le regard sur soi ou sur une autre, mais aucun geste de caresses entre elles. Ou alors, c'est parce que nous n'avons pas l'accent allemand. Certaines l'avaient. Évidemment, nous ne nous sommes pas laissées aller à nous tripoter la chatte ni même à nous embrasser. Ce n’était pourtant pas l’envie qui nous manquait pour l’un et l’autre.

En conclusion, j’ai eu impression que c'est une sorte de club informel. On y accepte volontiers les clientes de passage mais on préfère rester entre soi. Nous sommes sorties de là, massées, détendues des muscles, mais excitées comme des puces de la mounine ! Andréa s'est branlée pendant le retour. Moi je n’ai pas pu, je conduisais. J’ai juste eu droit à un doigt pour me faire patienter. On s'est rattrapées en arrivant chez moi.

Le jour suivant, nous avions prévu la plage s’il y avait confirmation d'absence de vent. Sinon, nous essaierions d'avoir un rendez-vous chez Sonia Parfum (cabine duo, hammam privé, dixit la pub), un établissement qui s'affiche "de mère en fille"... une allégation intrigante ! De toute façon, j’avais pris une réservation pour le mercredi au Ama Center, un institut en pleine nature, avec hammam privatif et tout et tout, selon l’annonce.

En effet, mardi plage ! Gros gougnottage au réveil et petit déjeuner dans un bar sur la route. La télé était allumée. Nous avons vu quelques minutes d’un match de foot entre africaines ou sud américaines. D’après les images, il semble que beaucoup de joueuses n'ont visiblement pas de culotte sous le short : il rentre nettement entre les fesses. C’était amusant.

Donc pas de "hammam de mère en fille", on s’est dit qu’on irait plus tard, mais une journée de plage à poil, super malgré le monde. Plus que d'habitude en saison, je pense. Il parait que le naturisme est à la mode. Beaucoup de marques pâles trahissant d'anciens textiles, en effet. On a quand même bien profité du soleil et de l'eau, de la vue aussi : de jolies nymphes aux tétons pointus et jeunes gays bien membrés (le côté "homo" est le plus tranquille). Nos exhibitions n'ont pas intéressé ces derniers, mais quelques jeunes biches nous ont bien observées... Que c'est agréable d'ouvrir ses cuisses bien large quand une gamine de vingt ans te zieute !!

Nous avons eu droit à des sourires de remerciement, mais il n’est malheureusement plus possible de se faire une branlette, même discrète. C’est l'horreur, hélas : ils ont mis un panneau tous les cinquante mètres rappelant que "plage familiale... comportement correct... et gnagnagna...". Finis les temps heureux !

On s'est doigté dans l'eau. On a pied très loin et quand tu es dans la mer jusqu'aux épaules, tu peux faire ce que tu veux dessous, lol ! Et l'eau de mer avec des doigts dans la moule, c'est super ! Bon, on a dû rincer en rentrant... Du coup, nous avions les épaules bien rouges, surtout Andréa, la pauvre ! Je l'avais bien tartinée, pourtant. Nous avons espéré qu'il y aurait des soins de corps proposés au susdit Ama Center, mais en attendant je me suis concentrée sur sa vulve afin de ne pas aggraver l’état de ses seins et de ses fesses.

Pendant qu’on se mignotait délicatement le troufignon, je me suis soudain souvenu avoir lu que l’urine calmait les piqûres d’orties. Peut-être que ça marchait aussi avec les coups de soleil ? On a essayé. Je lui ai pissé sur la poitrine et sur le dos. Ça n’a pas fait grand-chose, ça n’a pas calmé ses rougeurs, en tout cas. Pour me faire pardonner, j’ai ouvert la bouche entre ses cuisses et j’ai avalé son pipi. Il n’y a pas beaucoup de monde avec qui je ferais ça…

Nous avons été sages, cette nuit là, parce que nous devions partir de bonne heure le lendemain. Il y avait une bonne heure de trajet et nous avions prévu de nous ressourcer en forêt (une vraie forêt, ce qui est rare dans la région) le matin, avant d’aller découvrir le Ama Center qui est situé à proximité de là, « en pleine nature » comme ils disent.

C’est cette fameuse après-midi, que nous avons rencontré deux charmantes Néerlandaises, avec qui nous avons, entre autres, pris une bière et conversé dans un sabir multilingue !

Mais d’abord, longue promenade sous les hêtres (ça changeait du soleil de la plage, quoique l’eau avait été aussi fraîche que l’air de la forêt) et pique nique ensuite avant de descendre au Ama Center où nous avions rendez-vous à 15 h.

Je te décris le contexte : une construction neuve au milieu d’un bois de pins et de chênes, un parking sous les arbres, un péristyle à l’entrée, un salon d’accueil, passage dans un vestiaire et commodités, et suite de vastes salles aux grandes baies vitrées ouvertes sur la nature. Le tout meublé et décoré sobrement mais avec classe.

Première impression agréable donc, mais une inquiétude : c’est un homme qui nous a reçues. En fait, c’est un couple qui a ouvert cet établissement il y a quelques années. La région est relativement touristique, assez proche d’une grande ville et résidentielle. Le lieu choisi est situé entre une forêt réputée, un site de pèlerinage séculaire, une petite ville et une basilique anciennes, un grand golf récent, et enfin des hôtels et des campings de luxe. Il y avait donc, nous a expliqué le propriétaire, une fréquentation potentielle continue, aussi bien de touristes pendant la saison que de résidents permanents le reste de l’année. Ça, c’est la justification officielle.

La femme est venue ensuite nous donner des éclaircissements sur les prestations annoncées sur la pub. Très chic, la nana : petite quarantaine, brune typée, yeux noirs, longs cheveux, grande et svelte, en pantalon blanc flottant et courte tunique idem. Ce n’est qu’ensuite que tu t’aperçois qu’elle est à poil dessous, par transparence, lol !

Donc, les prestations proposées étaient : massages phytos, massages bien être, soins du corps, etc. ; hammams, saunas, spas (homme, femme, mixte) communs et privatifs ; location possible jusqu’à 8 personnes d’une salle équipée, et réception d’EVJF (enterrement de vie de jeune fille) limitée à 10 participantes. Le spectre est large, comme tu vois ! Et on comprend pourquoi les réservations se font sur la base de 2 heures pour 2 personnes.

J’avais réservé un hammam privé. Pour 2 personnes, ça nous allait très bien, et si l’ambiance était sympa nous pourrions nous mêler à la « foule ». Ben justement, il n’y avait pas foule ! La faute au vent de la semaine dernière dont l’accalmie avait incité la clientèle à revoir la mer. Mais les quelques femmes qui étaient venues étaient nues. Des touristes pour la plupart.

Pas de toilette par des matrones, mais douche obligatoire quand même. Douche commune, bien sûr, non mixte cependant, dont la propriétaire ne se prive pas de vérifier l’exécution. Je lui ai demandé du coup, puisqu’elle semblait ne pas être occupée ailleurs, en quoi consistait le massage « bien être ». Ben, ça me donnait une contenance plutôt que de nous voir observées d’un œil critique sur nos formes pendant qu’on se savonnait la chatte. Le massage bien être est un massage « total » garantissant une complète décontraction du corps. Ok, pas besoin d’un dessin ! Précision supplémentaire, ajoutée dans un sourire, qu’il peut être fait pour une personne ou deux, comme les autres prestations. Tentant, non ?

Nous avons cédé à la tentation, si c’était possible d’en bénéficier sans l’avoir réservé. Sur le moment, elle a hésité : vu la faible fréquentation elle avait donné congé à l’employée qui s’en occupait d’habitude. Si nous insistions (je suppose qu’elle y a vu aussi un surcroît de recette), elle pouvait laisser son mari à l’accueil et le faire elle-même. Nous avons insisté (et payé, vive la carte bleue !).

Selon son conseil, il fallait le massage avant le hammam. Banco ! Un retard d’une heure ne nous gênait pas. Ah, ma chérie, elle a des doigts de fée, cette grande brune ! Et des tétons… longs, bruns presque noirs, sur des seins en pointe à me faire honte de mes loches !

J’ai assisté au massage de Andréa. Bénédicte (elle a eu la gentillesse de nous dire son prénom, que j’aurais plutôt vu sur une blonde, mais bon) nous a demandé si nous préférions qu’elle passe une blouse. Évidemment non ! Chatte lisse pour Bénédicte, si tu veux savoir, et fesses rondes. Joli spectacle à contempler pendant qu’elle entreprenait Andréa, et le massage total est vraiment complet, vulve et anus compris. Un quart d’heure environ pour parfaire le bien être. Deux orgasmes pour Andréa, un discret à la palpation combinée de ses seins et de ses lèvres, l’autre sans retenue à la manipulation simultanée de son gros bouton et de sa rosette.

Tu penses bien que j’ai pris sa place le cœur battant. J’ai bien essayé de laisser traîner ma main sur le côté de la table pendant que Bénédicte me massait les lolos, mais pas touche ! Elle ne m’a pas rabrouée mais s’est écartée hors de la portée de mes doigts. Pourtant, ses tétons étaient tendus et le parfum de son corps quand elle se penchait sur moi ne laissait aucun doute. Elle a une odeur très excitante d’ailleurs, subtilement poivrée. Bon, je suis donc restée passive, il parait que ça fait partie de la thérapie…

J’ai eu droit aux deux branlettes, moi aussi, et à mes deux orgasmes, comme Andréa ! Ma fève a dû décevoir Bénédicte, ou bien elle a pensé que j’étais moins sensible du clitoris que ma copine, parce qu’elle me l’a branlé en me mettant un doigt dans le con et un doigt dans le cul. Je n’ai pas dis non quand ils se sont rapprochés !

Le mari a passé la tête pendant que je reprenais haleine. Il avait sans doute attendu la fin pour déranger Bénédicte. J’ai apprécié l’attention de celle-ci qui a saisi une serviette pour me couvrir. Je lui ai fait signe des yeux que c’était inutile et que Andréa non plus ne s’était pas couverte. Bref, la raison de l’intrusion était que deux clientes venaient de se présenter et qu’elles souhaitaient un hammam privé après un massage « simple ». Le problème était que nous allions l’occuper et qu’il faudrait que les nouvelles arrivées attendent que nous l’ayons libéré.

Nous y sommes allées pendant qu’ils discutaient là-dessus. Nous avons croisé les clientes en question, que j’ai prises pour des Allemandes. Deux nanas blondes d’une trentaine d’années, à poil bien sûr, avec un fort accent, poitrines opulentes et fesses à l’avenant, surtout une. Je ne sais pas pourquoi, elles m’ont fait penser à un certain couple de la Forêt Noire…

Le hammam privé est vaste, normal puisqu’il est prévu pour 8 ou 10 personnes. Je dirais que c’est plus un sauna qu’un hammam, mais on s’en fichait. Il y a des banquettes pour s’allonger, des serviettes si on le souhaite, un hublot sur la porte qui permet de regarder à l’extérieur, et de petites ouvertures rectangulaires en haut de 3 des murs pour l’aération. (À la réflexion, je me demande si certaines ne sont pas des fausses aérations mais des sortes de judas.)

Nous avons d’abord échangé nos impressions sur le massage « bien être », impressions positives, tu t’en doutes, et inspiratrices. Chaleur ou pas, sueur ou pas, banquette étroite ou non, nous avons succombé au plaisir d’un 69 prolongé. Nos moules étaient restées juteuses des derniers orgasmes, un bon nettoyage était nécessaire. Après, repos...

Disons que notre dialogue et notre toilette de chattes ont dû prendre une demie heure, trois quarts d’heure. En passant devant le hublot, j’ai vu les « Allemandes » qui patientaient. Elles en avaient encore pour une bonne heure avant de nous succéder, c’étaient un peu de notre faute. Andréa a été d’accord avec moi : nous avions eu notre content d’exhibition et de branlettes, nous pouvions nous abstenir de jouir pendant quelque temps, et puis, avec des « Allemandes » il n’y aurait sans doute pas de pudibonderie superflue.

Nous avons passé un peignoir et nous sommes sorties, moi pour aller demander si nous pouvions inviter ces clientes à partager la suite de notre temps réservé, Andréa, qui parle mieux anglais que moi, pour le leur proposer. Pas d’opposition de la Direction (du moment qu’ils encaissent deux fois…) et remerciements empressés de l’autre côté.

En revenant, j’ai osé un « Bitte sehr » en les invitant à entrer et j’ai eu deux « Danku » en réponse. Renseignements pris, elles étaient Flamandes, citoyennes des Pays Bas en vacances dans un camping du coin. Conversation limitée, en conséquence, elles parlaient un peu le français, l’anglais excellemment (nous, pas !), comprenaient l’allemand avec réticence (de toute manière, je n’en ai que de vagues restes de peu…), et nous n’avions aucune notion de leur langue. Mais en l’occurrence, les gestes et les attitudes comptaient plus que les mots.

Elles ont jeté leurs serviettes avant que nous ayons raccroché nos peignoirs et se sont adossées sur une banquette en se tenant la main. Je me suis assise contre Andréa et je l’ai embrassée. Les choses étant claires de part et d’autre, nous avons échangé nos prénoms. Hanna et Hilda se ressemblaient tant que je les aurais crues sœurs ou cousines, elles sont en couple depuis quelques années. Blondes toutes les deux, mêmes yeux bleus, même peau claire, mêmes seins lourds aux tétons roses, pulpeuses l’une et l’autre, un cul plus gros pour Hilda, des pointes plus épaisses pour Hanna, touffes claires taillées et lèvres lisses selon la mode du jour.

On s’est observées quelques instants, cuisses entrouvertes sans excès. Je me suis massée un sein. Hilda a caressé la poitrine de Hanna. Andréa a écarté un genou et dévoilé son bouton. Il est bien visible. Hanna et Hilda l’ont regardé franchement. J’ai exposé ma chatte, elles m’ont imitée. Andréa s’est exhibée à son tour, un doigt sur son clito. Hilda s’est caressé les lèvres. J’ai fait une bise sur un sein de Andréa. Hanna a passé l’index dans sa fente. J’ai léché le téton et Andréa a frotté son capuchon. Elles ont avancé leurs fesses sur la banquette et ont passé un genou sur leur cuisse, deux belles vulves bien exposées. Nous étions sérieuses toutes les quatre jusqu’alors, nous avons souri ensemble.

Nous nous sommes masturbées les unes en face des autres, chacune montrant sa technique. Ce n’était qu’une exhibition sans attouchement, mais c’était d’autant plus excitant que nous ne connaissions pas deux heures avant. Nous avons joui à notre propre rythme. Hilda est partie la première, Andréa m’a précédée de peu et Hanna a conclu. Nous nous sommes reposées, sans nous refermer, sans essuyer nos chattes, et sans honte. Puis nous avons recommencé mais en nous branlant mutuellement, couple par couple. Il y a quelque chose de tendre et d’obscène à la fois, à montrer à une inconnue, à deux en plus, les gestes qui donnent du plaisir à ton amante.

Hilda et Hanna ont fini en 69. Nous étions prêtes à faire pareil quand Bénédicte a toqué à la porte et est entrée dans la foulée pour nous avertir que notre vacation était terminée. Hilda et Hanna nous ont fait comprendre ensuite qu’elle avait sans doute épié par le hublot avant de frapper, mais pour l’heure, sans se donner d’autre peine que d’enlever leurs têtes de leurs ventres, elles lui ont demandé, en anglais, si elles pouvaient à leur tour nous inviter. Si j’ai bien compris, elles lui ont dit souhaiter continuer la conversation avec nous pendant la fin de leur propre séance. Elles doivent être de bonnes clientes parce que la Bénédicte a accepté.

Après son départ, nous avons repris notre conversation. C'est-à-dire qu’elles nous ont demandé, fait comprendre pour être précise, de nous laisser examiner. Oui, être examinée, c’est l’impression que j’ai eu, Andréa aussi. Je ne sais pas si c’était parce que nous étions plus vieilles qu’elles, ou si nous avons mal interprété ce qu’elles voulaient dire, mais nous nous sommes retrouvées allongées chacune sur une banquette, les cuisses ouvertes, dans cette atmosphère chaude et humide, aussi trempées de sueur que de mouille, avec ces deux nanas décomplexées qui étudiaient et comparaient nos vulves.

Je t’avoue que c’était très excitant. Le pire, c’est qu’elles ne nous ont pas touchées. C’est nous qui nous sommes montrées. Andréa a commencé et j’ai suivi. Tu imagines la scène, nos doigts qui déplient nos lèvres, qui font sortir notre clito, qui ouvrent notre fente bien large. On sait qu’on montre l’intérieur de son intimité et on mouille davantage. Je n’avais qu’une envie, que Hanna me doigte, ou Frida, ou toutes les deux ! J’étais dans un état second, j’ai replié mes cuisses pour leur montrer mon cul. Andréa m’a imitée. Je me disais qu’elles pouvaient nous prendre pour de vieilles salopes françaises, mais c’était plus fort que moi.

Eh bien, elles nous ont remerciées et complimentées : j’ai saisi « nice », et « danku », entre autres. Et puis elles sont allées s’asseoir côte à côte, talons sur la banquette et les genoux écartés, en nous désignant leur chatte de la main. Une réciprocité, en quelque sorte, refuser eut été incorrect !

Elles ont des vulves bien charnues, les Néerlandaises. Même en tenant compte de leur excitation, celles-là nous présentaient des lèvres épaisses, glabres et roses. De jolies coulées de mouille en suintaient, crémeuse et opaque chez Hanna, fluide et translucide chez Hilda. (Il y a autant de diversité de cyprines, je crois, que de formes pour nos chattes !) Des poils soyeux pour les touffes dont l’épilation remontait au-dessus du clito et en dégageait les capuchons. Pas de gros bourgeons en vue à la croisée de leurs cuisses, mais deux boutons à mi chemin entre mon haricot et la grosse cerise de Andréa. Une petite particularité à signaler pour celui de Hilda dont le bout du gland fait penser à une petite bite.

Tu vois que nous les avons observés de près. Ce sont elles qui nous y ont incitées en nous faisant signe d’utiliser nos doigts. De vraies exhibitionnistes comme on en rêve !

Les parfums étaient différents, mais ténus dans cet environnement. De toute façon, nous n’avions pas besoin de l’odeur pour nous exciter, nous l’étions déjà suffisamment. Et puis, nous avions la main dessus à leur demande, c’eut été dommage et désobligeant de ne pas la doigter, leur chatte, non ? Andréa s’est occupé de Hilda, moi de Hanna. Une gentille branlette, bien baveuse, sans aller jusqu’à l’orgasme. Nous le leur aurions offert volontiers, en échangeant nos patientes, par exemple. Elles ont préféré nous rendre la politesse, nous debout, elles assises. Pas nécessaire de jouir pour gémir, nos petits cris ont pris le relais des leurs. Si Bénédicte et les quelques clientes sont passées à proximité, elles ont dû être édifiées.

Tout ça s’est terminé en petits rires aussi, quand nous nous sommes rendu compte que nous ne pouvions pas faire de différence entre nos saveurs tellement nous les avions mêlées, au point que nos doigts avaient le même goût quand nous les sucions. Lol !

Il restait encore un peu de temps que nous avons passé dans le jacuzzi, après une bonne douche, chaude (il aurait mieux valu une froide), qui nous a malgré tout un peu calmées. Vaste, le dit jacuzzi, prévu pour dix et il n’y avait seulement que deux occupantes. Une touriste et une femme du coin, m’a-t-il semblé, qui nous ont regardées bizarrement en nous faisant place avant de nous ignorer et de continuer à papoter entre elles.

Très curieusement, ou peut-être pas d’ailleurs, nous n’avions plus rien à dire. Je ne voulais pas discuter avec Andréa si Hilda et Hanna ne comprenaient pas de quoi nous parlions. Elles aussi étaient silencieuses, sans doute pour la même raison. Bref, un vrai moment de gêne alors que nous venions de nous ébattre comme des cochonnes, que j’ai eu l’idée de dissiper en leur demandant dans un horrible anglais (je me connais !) si elles savaient si l’établissement possédait un bar. Comme c’était le cas, je leur ai proposé de leur offrir l’apéritif avant de nous séparer. Elles ont volontiers accepté ce qui nous a toutes détendues.

Les baies du coin Sud de la salle principale donnent sur une sorte de préau, abrité par l’avancée de l’étage. Une partie est orientée au Sud-est, l’autre au Sud-ouest. C’est futé : l’hiver, la première est parfaitement exposée ; l’été, matin ou après-midi, tu as toujours le choix entre le soleil ou l’ombre. Une demi douzaine de transats, trois ou quatre chaises et autant de tables y sont à disposition, éventuellement pour prendre un verre. Nous y avons dégusté, devine quoi, une bière belge d’Abbaye, mais Flamande eut égard à nos invitées. (C’était la moindre des choses.)

La nudité n’est ni obligatoire, ni déconseillée. Bénédicte nous avait fourni des peignoirs (avec supplément, si, si !) surtout pour préserver le tissu des sièges. Les deux côtés n’ont d’autre vis-à-vis que les bosquets au-delà de l’espace gazonné qui entoure le bâtiment. Il est probable, depuis le temps, que des voyeurs aient trouvé dans ces taillis un lieu d’observation commode. C’est suffisamment loin pour ne pas s’en préoccuper, et si quelques ados boutonneux des environs se paluchent en épiant les clientes (ou les clients, mais je crois ceux-ci rares) cela ne peut leur faire que du bien !

Le jacuzzi avait été bien agréable, en particulier grâce à la bonne disposition des sorties de bulles, et si nous n’y avions pas fait montre de grande pudeur la trempette avait au moins mis un peu à distance nos ébats du hammam. La conversation, au sens propre, a pu reprendre normalement. Le sabir multilingue dont nous usions n’était sans doute pas compréhensible de tiers, mais il l’était assez pour nous et nous permettre même des sous entendus coquins. En résumé, nous nous sommes entendues à merveille et avons mieux fait connaissance.

Donc, toutes les quatre à poil, et à l’ombre, sur les transats de ce préau, nous avons fait les présentations (il était temps !) autour des bières. Hanna et Hilda travaillent dans l’édition. Elles visitent une région d’Europe chaque année et c’était la première fois qu’elles venaient en Provence. L’établissement leur avait été conseillé par une copine Allemande et leur avait plu. Du coup, elles avaient décidé de rester une dizaine de jours à proximité.

Elles étaient bien équipées pour les vacances, nos charmantes Néerlandaises : camping car pour les voyages et petite moto pour les déplacements locaux (des motardes, j’ai pensé à une certaine rencontre de nos amies Maud et Paula…). Elles nous ont proposé de venir voir leur « running home » et comme leur camp de base était situé de l’autre côté du chef lieu de canton, nous avons décidé de dîner dans cette ville en y allant.

Incroyablement, leurs poitrines nous avaient échappées. L’excitation du massage « bien être » sans doute. Nues sur le transat, elles étaient superbes. Plus fermes que les nôtres :( et aussi grosses que celle d’Andréa : bouts roses, tétons épais et aréoles étroites sur Hanna, longs et larges sur Hilda. Pas résisté au plaisir de nous les soupeser mutuellement. J’adore caresser ou être caressée là, voire me caresser, j’en mouille.

Sommes restées à papoter et nous câliner une heure environ et parties les dernières. Nous les avons suivies (pas très prudentes, les motardes : juste les casques) et fait étape pour une salade copieuse, arrosée de… Rosé, of course. (Pas mon trip, le rosé après la bière ; une amie Allemande, bilingue, dans tous les sens du terme, disait : vin sur bière, cimetière.) Mais bon, le « Rosé de Provence » était incontournable !

Après café, pour nous, et marc, pour elles, nous sommes arrivées un petit quart d’heure plus tard à leur camping. À peine vu l’extérieur, mais deux couchettes et assez de place pour quatre dans leur camping car. Elles n’ont pas traîné, les nanas, sitôt entrées, sitôt à poil. Pas possible de faire autrement que suivre, hein ? Un peu perverses aussi : elles nous ont demandé le 69 que nous n’avions pas fait dans le hammam. On s’est exécutées gentiment. Elles nous ont regardées en se masturbant. Sympa !

Ensuite, soirée de gougnottages dessus-dessous alternés de dévore tétons en changeant de partenaires. Léchages de cul, aussi, et doigtages profonds, bref, une partie carrée orgiaque. Les mouilles avaient repris leur goût originel : plus sucrée chez Hanna, plus acide chez Hilda. J’ai donné mon cul pour un petit intermède fessée, Hilda m’a imitée, elle aime ça elle aussi. Andréa a fait une démonstration de touche trou à pipi. Très impressionnées, les copines !

Voilà, une belle soirée, bien excitante et bien fatigante. On aurait pu dormir avec elles, on l’a regretté en rentrant. Heureusement que non : j’avais complètement oublié que Manon devait venir me voir pendant ses RTT du 15 Août. Elle se serait inquiétée de ne pas me trouver à la maison. Quoique, là, elle et Sandrine nous ont trouvées endormies, nues, enlacées et poisseuses. Il a fallu leur raconter un peu pourquoi nous étions encore au lit à midi !

Les filles se sont installées dans la chambre de Manon pendant que nous prenions une douche bien nécessaire et j’ai sorti en vitesse quatre bricoles du congélateur. Déjeuner à poil, sans façons, puis sieste farniente dans le jardin après avoir pris rendez-vous au quatrième hammam de la liste pour le lendemain. Pendant que Manon faisait visiter la chapelle des ex-voto à Sandrine, Andréa a milité pour que les filles viennent avec nous.

Le samedi, plage naturiste pour Andréa et les filles, ménage pour moi… (Ce n’était pas si mal, au fond, car il y avait foule au bord de l’eau, et plus de familles que de nymphes, paraît-t-il) Et en fin d’après-midi, découverte de Sonia Parfum où j’avais pris la prestation complète : massage et hammam privé. Dernier rendez-vous, dernières clientes, les « de mère en fille » ne nous ont pas pressées.

Andréa était arrivée à ses fins : nous avions emmené Manon et Sandrine. Tu me diras, vu la pub, c’était pertinent ! Et c’est vrai : la fille a pris la suite de sa mère, esthéticienne et masseuses diplômées l’une et l’autre. La fille a dans les 35 ans, c’est la patronne. La mère lui donne la main à l’occasion. Belle femme à plus de 60 ans. J’aurais cru voir ma Colette (ou une Brigitte M.). Elles ont pris Sandrine pour la fille de Andréa !

Sonia Parfum est dans une zone commerciale créée depuis 30 ou 40 ans, et tout va par deux dans la boîte : cabines duo, en 3 exemplaires qui justifient le « hammam privatif » (en fait, plutôt sauna, comme souvent), deux vrais saunas à plusieurs (H & F), et cabines de massage double. Problème : une seule cabine duo était disponible, donc obligées de se séparer, deux au hammam-sauna, deux au massage, et inversion ensuite. Je pensais les filles ensemble et les moins jeunes de leur côté. Manon a voulu tirer à pile ou face. Devine quoi ? Andréa et Sandrine ont fait duo, donc…

Ah oui, j’oubliais : la vitrine sur la rue est opaque, décorée avec les pubs classiques ; l’entrée donne sur un hall avec sonnette et portier ; tu t’annonces et on t’ouvre. Étonnant mais logique : l’accueil n’est pas séparé du vestiaire, question gain de place pour les équipements rentables, je suppose. Tu te présentes, tu te déshabilles, et tu te rends à poil, avec ta serviette ou non, là où tu dois aller. Précision : un jour par semaine réservé aux hommes. (Alors pourquoi y a-t-il encore des saunas H et F ? Mystère !)

Sandrine et Andréa avaient voulu bénéficier en premier du sauna. Manon et moi nous sommes étendues sur les lits de la cabine de massage pour nous confier aux mains expertes de ces dames.
Figure-toi que je fermais les yeux pendant que la fille de Sonia Parfum me massait en profondeur, pour mieux apprécier le massage, bien sûr, mais aussi par discrétion puisque la mère massait Manon à côté de moi. Eh bien, Manon, elle, avait les yeux bien ouverts pour surveiller la montée de mon orgasme en pleine lumière. Au point de retarder le sien pour mieux m'observer ! Du coup, je l'ai vu jouir à mon tour.

Oui, je sais, ce n'est pas la première fois. Mais l'autre jour, nous nous étions masturbées côte à côte dans l'obscurité, ça n'était pas tout à fait pareil. Moins bouleversant, si tu vois ce que je veux dire. D'ailleurs, en rentrant, nous étions toutes les quatre assez émoustillées pour nous retrouver toutes sur mon lit, et là, nous avons failli dépasser les limites. Nous étions si entremêlées ce soir là, que j'ai été à deux doigts de gougnotter ma fille en me croyant embrasser le ventre de sa copine...

Bref, ça nous a décidées, Andréa et moi, d'accepter l'invitation d'une de ses amies de passer le 15 Août dans sa maison de campagne, libre pendant son voyage. Un bol d'air plus frais pour nous remettre des chaleurs de la semaine. Ça arrangeait Manon, en plus, car elle avait prévu de réunir quelques unes de ses amies d’enfance et préférait avoir, comme on dit, les mains libres.

(À suivre)

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Texte coquin : Le séjour d'Andréa - 1ère partie
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