L'examen

- Par l'auteur HDS CDuvert -
Récit érotique écrit par CDuvert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
  • • 43 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de CDuvert ont reçu un total de 91 208 visites.
Récit libertin : L'examen Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2025 dans la catégorie A dormir debout
Cette histoire de sexe a été affichée 925 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
L'examen
L'air était chargé d'une odeur de métal rouillé et de poussière accumulée, un mélange âcre qui piquait les narines d'Émilie tandis qu'elle explorait les entrailles de cette usine high-tech abandonnée. C'était une de ces soirées d'urbex qu'elle adorait, le frisson de l'interdit, le cœur battant au rythme de ses pas prudents sur le sol craquelé.

Vêtue d'un jean slim moulant ses cuisses fermes et d'un débardeur noir qui soulignait la courbe de ses seins, elle avait les cheveux châtains attachés en queue de cheval, son corps athlétique luisant légèrement de sueur sous la chaleur étouffante de l'été. À vingt-cinq ans, Émilie était une aventurière solitaire, fascinée par les ruines industrielles, mais ce jour-là, samedi 19 juillet 2025, elle n'imaginait pas que son exploration tournerait au cauchemar érotique.

Tout avait commencé par un piège dissimulé sous une pile de câbles emmêlés: Ses pieds avaient heurté un levier dissimulé ; un grondement sourd avait retenti, et une porte blindée, camouflée dans le mur de béton, s'était ouverte avec un sifflement hydraulique. Intriguée, Émilie s'était faufilée à l'intérieur, ses yeux s'écarquillant devant la pièce secrète : des machines aux formes étranges, des objets luisants comme sortis d'une technologie extraterrestre, avec des écrans éteints et des tubes transparents remplis d'un fluide luminescent. L'air y était plus frais, imprégné d'une odeur chimique, presque ozonée, qui lui donnait la chair de poule.

Avant qu'elle puisse rebrousser chemin, la porte s'était refermée dans un claquement métallique définitif. Paniquée, Émilie avait tambouriné dessus, criant pour qu'on l'aide, mais seul l'écho de sa voix lui répondait. Puis, venue de nulle part, peut-être d'un haut-parleur invisible, une voix synthétique, masculine et autoritaire, avait brisé le silence.

"Si vous voulez sortir d'ici, il va falloir être très obéissante."

Émilie sursauta, son cœur cognant dans sa poitrine. "Qui est là ? Laissez-moi sortir ! C'est pas drôle !"

La voix reprit, impassible, avec un ton qui glaçait le sang : "Obéissance totale, ou les conséquences seront... électrisantes. Regardez le sol."

Un bourdonnement électrique se fit entendre, et une faible secousse fit vibrer le plancher sous ses pieds, comme un avertissement. Émilie sentit un picotement remonter le long de ses jambes, pas assez fort pour blesser, mais suffisant pour la terroriser. "D'accord, d'accord ! Qu'est-ce que vous voulez ?"

"Commencez par vous déshabiller. Lentement. Chaque étape sera dictée. Si vous hésitez, la prochaine secousse sera plus... persuasive."

Émilie déglutit, les joues en feu. L'idée de se dénuder dans cet endroit froid et inconnu la faisait frissonner, mais la menace était réelle. Elle jeta un regard autour d'elle : les machines semblaient inertes, mais elle sentait une présence, comme si des yeux invisibles l'observaient. L'ambiance était oppressante, avec le ronronnement distant de ventilateurs et l'odeur persistante de métal chauffé.

"Retirez vos chaussures d'abord", ordonna la voix.

Les mains tremblantes, Émilie s'accroupit pour dénouer ses baskets usées. Elle les ôta une à une, révélant ses pieds nus sur le sol froid, ses ongles vernis de rouge contrastant avec la pâleur de sa peau. Une brise artificielle effleura ses orteils, la faisant sursauter. Déjà, une étrange excitation mêlée à la peur montait en elle, son pouls s'accélérant.

"Debout. Enlevez votre débardeur. Lentement, en le faisant passer par-dessus votre tête."

Émilie hésita une seconde, et une petite décharge électrique crépita au sol, la faisant bondir. "OK, OK !" Elle saisit le bas de son débardeur, le remonta progressivement, révélant son ventre plat et musclé, marqué d'une fine ligne de duvet châtain descendant vers son nombril. Le tissu glissa sur ses seins, libérant sa poitrine ferme, aux mamelons roses qui se dressèrent instantanément au contact de l'air frais. Elle n'avait pas de soutien-gorge – elle aimait la sensation de liberté lors de ses explorations. Ses seins, ronds et pleins, se balancèrent légèrement alors qu'elle jetait le vêtement au sol. Une chaleur inattendue envahit son bas-ventre, mélange de honte et d'un frisson interdit.

"Très bien. Touchez-les. Pincez vos tétons pour me prouver votre soumission."

"Quoi ? Non, c'est..." Une nouvelle secousse, plus insistante, la fit gémir. Résignée, Émilie porta ses mains à ses seins, les enveloppant de ses paumes. Ses doigts effleurèrent les aréoles, puis pincèrent doucement les tétons durcis. Une sensation électrique – pas celle de la machine, mais une vague de plaisir – la traversa, faisant durcir ses mamelons encore plus. Elle les roula entre ses doigts, tirant légèrement, et un petit soupir lui échappa malgré elle. L'odeur de sa propre sueur, musquée et intime, se mêlait à celle de la pièce, amplifiant l'atmosphère chargée.

"Continuez. Plus fort. Montrez-moi votre excitation."

Elle obéit, pinçant plus fermement, sentant une chaleur humide s'insinuer entre ses cuisses. Ses seins étaient sensibles, chaque torsion envoyant des ondes de plaisir vers son clitoris, qui commençait à palpiter sous son jean. "C'est... humiliant", murmura-t-elle, mais sa voix trahissait une pointe d'excitation.

"Maintenant, le pantalon. Déboutonnez-le et baissez-le jusqu'aux chevilles."

Émilie défit le bouton, le zip descendant avec un bruit sec. Elle fit glisser le jean sur ses hanches larges, révélant une culotte en dentelle noire, simple mais moulante, qui épousait les contours de son pubis. Le tissu était déjà légèrement humide, trahissant son excitation croissante. Elle se tortilla pour faire passer le pantalon sur ses fesses rondes et fermes, puis le laissa tomber à ses chevilles, exposant ses jambes lisses et toniques. L'air frais caressa sa peau, accentuant la sensation de vulnérabilité.

"Enlevez-le complètement. Puis, tournez-vous et penchez-vous en avant. Écartez les jambes."

Le cœur battant, elle obéit, se penchant, les mains sur les genoux, offrant une vue sur ses fesses rebondies, séparées par la fine bande de dentelle. Elle écarta les jambes, sentant l'air effleurer son intimité à travers le tissu. Une odeur plus intime, celle de son excitation, flottait maintenant, musquée et sucrée.

"Tirez la culotte sur le côté. Montrez-moi votre chatte."

Émilie rougit violemment, mais la menace planait. D'une main tremblante, elle écarta le tissu, exposant ses lèvres intimes, roses et gonflées, déjà luisantes d'humidité. Son clitoris pointait, sensible, et elle sentit une goutte perler le long de sa fente. "S'il vous plaît... laissez-moi partir."

"Pas encore. Touchez-vous. Caressez votre clitoris lentement."

Ses doigts glissèrent sur son mont de Vénus, effleurant les poils courts et bouclés, puis atteignirent le petit bouton durci. Elle le massa en cercles lents, une vague de plaisir la submergeant. Ses lèvres s'entrouvrirent, son souffle s'accélérant. Chaque rotation envoyait des spasmes dans son ventre, son vagin se contractant involontairement, réclamant plus. Elle gémit doucement, les sensations intenses : la chaleur montante, la moiteur qui s'intensifiait, l'odeur de son excitation emplissant l'air.

"Plus profond. Enfoncez un doigt dedans."

Obéissante, elle insinua un doigt dans son vagin humide, sentant les parois chaudes et veloutées l'enserrer. Sans attendre d’invitation, elle le fit aller et venir, lentement d'abord, puis plus vite, son pouce frottant son clitoris. Des bruits humides résonnaient dans la pièce silencieuse, amplifiant son humiliation et son excitation. Ses seins pendaient, se balançant au rythme de ses mouvements, et elle sentait l'orgasme approcher, mais la voix l'interrompit.

"Arrêtez. Retirez complètement la culotte. Vous êtes prête pour la suite."

Émilie obéit, se redressant, nue et tremblante, son corps luisant de sueur, ses mamelons érigés, son sexe gonflé et luisant. La pièce semblait plus vivante, avec un bourdonnement subtil.

"Regardez le fauteuil au centre. Asseyez-vous dessus. Écartez les jambes sur les accoudoirs."

Le fauteuil était une structure métallique étrange, avec des sangles et des protubérances qui n'avaient rien d'innocent. Émilie s'approcha, hésitante, et s'assit, sentant le siège froid contre ses fesses nues. Elle écarta les jambes, posant ses cuisses sur les accoudoirs rembourrés, exposant pleinement son intimité. Immédiatement, des sangles automatiques se refermèrent autour de ses poignets et chevilles, la ligotant en position ouverte, comme une offrande. Un frisson de peur masochiste la traversa – l'exhibition forcée, le bondage, tout cela attisait un feu sadique en elle.

"Bienvenue sur la machine. Elle va vous amener au plaisir... ou à la punition. Détendez-vous."

Un vrombissement se fit entendre, et le fauteuil s'anima. D'abord, des vibrations douces secouèrent le siège, stimulant ses fesses et son anus. Émilie haleta, sentant les ondes remonter vers son vagin. Puis, une protubérance lisse, comme un phallus mécanique, émergea du siège, se positionnant contre sa vulve. Lubrifiée par un fluide chaud qui s'écoula d'un réservoir invisible, elle s'insinua lentement en elle.

"Oh mon Dieu... c'est... ah !" gémit-elle alors que le dildo mécanique pénétrait son vagin, centimètre par centimètre. Il était épais, veiné artificiellement, et vibrait doucement, étirant ses parois intimes. Elle sentit chaque relief, chaque pulsation, comme s'il était vivant. Le mouvement était progressif : il s'enfonçait profondément, touchant son point G, puis se retirait presque entièrement, la laissant vide et pantelante, avant de replonger. Ses sensations étaient intenses – une plénitude brûlante, des spasmes de plaisir irradiant de son ventre à ses seins, son clitoris gonflé réclamant attention.

Simultanément, deux petits appendices sortirent des accoudoirs : l'un se fixa sur son clitoris, le suçant et le vibrant avec une précision diabolique, comme une bouche invisible pratiquant un cunnilingus expert. L'autre, plus fin, s'insinua vers son anus, le lubrifiant d'un jet chaud avant de pénétrer doucement, doublant la stimulation. Émilie cria de surprise et de plaisir, son corps arqué contre les sangles. La pénétration anale était nouvelle pour elle, une sensation de plénitude interdite, douloureuse au début mais vite transformée en extase masochiste par les vibrations.

"Obéissez au plaisir. Laissez-vous aller", murmura la voix, presque caressante maintenant.

La machine accéléra progressivement : le phallus vaginal pompait plus vite, heurtant son col avec force, tandis que l'appendice anal la fouillait en rythme opposé, créant une double pénétration rythmée. Le suceur sur son clitoris alternait aspirations et vibrations, envoyant des éclairs de jouissance à travers son corps. Émilie se tordait, ses seins se soulevant au rythme de ses halètements, ses tétons durcis tentant de se frotter au vide. Des odeurs intimes emplissaient la pièce – son excitation musquée, le lubrifiant chimique sucré, sa sueur salée. Ses sensations étaient un tourbillon : la brûlure exquise de l'étirement anal, la plénitude vaginale qui la faisait contracter autour du dildo, les succions sur son clitoris qui la faisaient trembler. La tension montait, progressive, inexorable, comme une vague sadique la poussant vers l'abîme.

"Plus... oh putain, c'est trop... je vais jouir !" hurla-t-elle, les sangles la maintenant en place, amplifiant son sentiment d'abandon masochiste.

L'orgasme la frappa comme une décharge – pas électrique, mais purement charnelle. Son vagin se contracta violemment autour du phallus, des jets de cyprine jaillissant tandis que son anus pulsait autour de l'intrus. Des spasmes la secouèrent de la tête aux pieds, ses orteils se recroquevillant, un cri s'échappant de sa gorge. La machine ne s'arrêta pas immédiatement, prolongeant l'extase en ralentissant graduellement, la laissant pantelante, couverte de sueur, son corps encore traversé de répliques.

Enfin, les appendices se rétractèrent, les sangles se relâchèrent. Émilie s'effondra, épuisée, mais une porte s'ouvrit soudain sur le mur opposé, révélant une nouvelle pièce encore plus étrange : des murs couverts de miroirs, des chaînes pendantes, des objets aux formes phalliques et tentaculaires, une odeur d'encens et de cuir. La voix reprit : "Bien joué. Mais ce n'est que le début. Entrez... et soumettez-vous à la prochaine épreuve."



Émilie franchit le seuil de la seconde pièce, encore essoufflée et les jambes tremblantes de l'orgasme dévastateur qui l'avait secouée sur le fauteuil mécanique. L'air ici était différent, plus lourd, imprégné d'une odeur d'encens musqué et de cuir chauffé, avec une touche métallique qui rappelait les machines de la pièce précédente.

Les murs étaient tapissés de miroirs déformants, renvoyant son reflet nu et luisant de sueur dans toutes les directions : ses seins fermes encore rougis par l'excitation, ses cuisses marquées de traces humides, son sexe gonflé et sensible. Des chaînes pendaient du plafond, oscillant doucement comme des promesses de contraintes futures, et des objets aux formes suggestives – phalliques, tentaculaires – étaient disposés sur des socles illuminés par une lumière tamisée, rougeoyante.

Au centre de la pièce trônait une silhouette qui la fit sursauter : un androïde, étonnamment humanoïde, sculpté dans un métal et un plastique couleur chair si réalistes qu'on aurait pu le confondre avec un homme vivant. Il était nu, immobile, son corps musclé et athlétique figé dans une pose neutre, mais son sexe – un phallus dressé, veiné et rigide, d'une taille imposante – pointait vers le haut, comme prêt à l'action. Ses yeux, des orbes bleus luminescents, étaient fixés sur elle, sans expression, mais avec une intensité artificielle qui la fit frissonner.

La voix synthétique résonna à nouveau, venue des haut-parleurs invisibles, autoritaire et presque moqueuse. "Maintenant, montrez-moi comment vous savez donner du plaisir. Vous serez jugée sur l'intensité de la jouissance que vous serez capable de procurer à mon droïde. Si vous échouez, les secousses électriques reviendront... plus intenses. Approchez-vous."

Émilie déglutit, son cœur cognant dans sa poitrine. Nue et vulnérable, elle s'avança lentement vers l'androïde, sentant le sol froid sous ses pieds nus. L'idée de caresser cette machine, de la faire "jouir" comme un être vivant, était à la fois terrifiante et étrangement excitante. Son corps, encore sensible après l'orgasme précédent, réagissait déjà : une chaleur familière montait dans son bas-ventre, ses mamelons se durcissant à nouveau au contact de l'air chargé.

Elle s'arrêta à quelques centimètres de l'androïde, détaillant son apparence : la peau synthétique était chaude au toucher, souple comme de la chair humaine, avec des veines subtiles et des muscles modelés qui semblaient palpiter sous une énergie interne. Son sexe érigé, d'un rose réaliste, mesurait bien vingt centimètres, épais et courbé légèrement vers le haut, avec un gland luisant comme s'il était déjà lubrifié.

"Commencez par le toucher. Explorez-le avec vos mains", ordonna la voix.

Émilie leva une main tremblante, effleurant d'abord le torse de l'androïde. La surface était tiède, vibrante d'une énergie subtile, comme si un courant électrique circulait en dessous. Elle fit glisser ses paumes sur les pectoraux fermes, sentant une texture subtilement granuleuse, imitant parfaitement la peau humaine. Ses doigts descendirent vers les abdominaux saillants, traçant les contours, et elle perçut un léger bourdonnement, comme si la machine réagissait à son contact.

Une vague de curiosité mêlée à l'excitation l'envahit ; ses propres sensations revenaient en force, une humidité familière s'insinuant entre ses cuisses. Elle se rapprocha, pressant son corps nu contre celui de l'androïde, ses seins s'écrasant contre son torse dur, ses tétons frottant contre la surface chaude. Cela envoya des picotements de plaisir à travers elle, ravivant les braises de son excitation précédente.

"Plus bas. Prenez son sexe en main. Montrez votre habileté."

Obéissante, craignant la punition, Émilie descendit une main vers le phallus dressé. Elle l'empoigna doucement, surprise par sa chaleur et sa rigidité – il pulsait légèrement, comme un vrai membre, avec des veines qui semblaient gonfler sous ses doigts. Elle le caressa de haut en bas, lentement d'abord, sentant la texture veinée glisser sous sa paume. Le gland était doux, presque velouté, et une goutte de fluide synthétique perla à son extrémité, lubrifiant son mouvement.

Émilie accéléra le rythme, serrant plus fort, alternant entre des va-et-vient fermes et des torsions légères au sommet. L'androïde émit un faible ronronnement, ses yeux s'illuminant davantage, et elle sentit son propre corps répondre : son clitoris palpitait, réclamant attention, tandis qu'une moiteur chaude inondait son vagin. Elle se frotta discrètement contre la cuisse de l'androïde, cherchant à apaiser sa tension croissante.

"Utilisez votre bouche. Sucez-le comme si votre vie en dépendait."

Émilie s'agenouilla, le sol dur mordant ses genoux, mais l'adrénaline masquait la douleur. Elle approcha ses lèvres du gland, inhalant une odeur artificielle, mélange de musc synthétique et de métal chauffé. D'abord, elle lécha timidement, sa langue traçant des cercles autour du sommet, goûtant le fluide salé qui s'écoulait. C'était étrangement addictif, et elle ouvrit la bouche pour l'engloutir, ses lèvres s'étirant autour de l'épaisseur. Elle aspira doucement, faisant aller et venir sa tête, sa langue dansant sur les veines, explorant chaque relief.

L'androïde vibra plus fort, un gémissement électronique s'échappant de sa poitrine, et Émilie accéléra, suçant avec plus d'ardeur, alternant aspirations profondes et léchages rapides. Ses propres sensations s'intensifiaient : à genoux, nue, en train d’offrir une fellation à cette machine, elle se sentait humiliée et excitée, son vagin se contractant involontairement, des gouttes coulant le long de ses cuisses.

Elle glissa une main entre ses jambes, caressant son clitoris gonflé en rythme avec ses mouvements buccaux, des vagues de plaisir la traversant, faisant durcir ses mamelons et accélérer son souffle.

"Plus intense. Faites-le jouir. Montrez votre dévouement."

Motivée par la voix et son propre désir, Émilie se leva, pressant son corps contre l'androïde. Elle guida son phallus vers son entrée, se frottant d'abord contre lui, enduisant le gland de son humidité abondante. Puis, avec un gémissement, elle s'empala dessus, sentant l'épaisseur l'étirer délicieusement, remplissant son vagin encore sensible de l'orgasme précédent. Les parois intimes se refermèrent autour du membre artificiel, chaque mouvement envoyant des spasmes de plaisir irradiant de son point G à son clitoris.

Elle chevaucha l'androïde avec ferveur, ses hanches ondulant, ses seins rebondissant au rythme de ses va-et-vient. Ses mains agrippèrent les épaules métalliques, ses ongles s'enfonçant dans la peau synthétique, tandis qu'elle alternait entre des mouvements lents et profonds – sentant le phallus heurter son col, provoquant des éclairs de jouissance – et des rotations rapides, frottant son clitoris contre la base.

L'androïde réagit, ses hanches se mettant à bouger mécaniquement, pilonnant en elle avec une force précise, amplifiant les sensations : une plénitude brûlante, des contractions vaginales qui la faisaient haleter, une chaleur montant inexorablement vers un nouvel orgasme.

Les miroirs renvoyaient la scène dans tous les angles – son corps luisant de sueur, ses fesses se contractant à chaque descente, ses expressions de plaisir tordues – augmentant son excitation voyeuriste. Elle accéléra, criant maintenant, pinçant ses propres tétons pour intensifier le tout, sentant l'orgasme approcher comme une tempête.

L'androïde vibra violemment, un fluide chaud jaillit en elle en jets puissants, simulant une éjaculation intense qui déclencha son propre climax. Émilie jouit à nouveau, son vagin pulsant autour du phallus, des spasmes la secouant des pieds à la tête, un cri de détresse s'échappant de sa gorge tandis que des fluides mélangés coulaient le long de ses cuisses. Elle s'effondra contre l'androïde, pantelante, le corps traversé de répliques.

La voix reprit, satisfaite : "Test réussi. Vous avez su procurer une jouissance intense. Continuez."

Une nouvelle porte s'ouvrit sur le mur opposé, révélant une pièce encore plus énigmatique, avec des ombres dansantes. Émilie, épuisée mais intriguée, se releva, prête à affronter la suite.

Encore haletante et couverte d'une fine pellicule de sueur mêlée aux fluides de son dernier orgasme, elle franchit le seuil de la troisième pièce, les jambes flageolantes et le corps marqué par les épreuves précédentes. L'ambiance ici était radicalement différente : plus feutrée, presque intime, avec des murs capitonnés d'un velours rouge sombre qui absorbait les sons, créant un silence oppressant rompu seulement par le bourdonnement discret de ventilateurs invisibles.

L'odeur était un mélange capiteux d'encens vanillé et d'une note chimique, comme un parfum artificiel conçu pour exciter les sens. Au centre de la pièc trônait un grand lit circulaire aux draps de satin noir, entouré d'écrans géants incurvés qui formaient un dôme immersif.

Des accessoires étaient disposés sur une table basse : des lingeries affriolantes, des sextoys luisants – un vibromasseur courbé, des pinces à tétons reliées par une chaîne, un collier de cuir avec une laisse, et même un fouet souple aux lanières de soie. Des miroirs au plafond renvoyaient son reflet nu, vulnérable, ses seins encore rougis, son sexe gonflé et luisant, ses cuisses tremblantes.

La voix synthétique reprit, toujours aussi autoritaire, avec une pointe d'amusement sadique qui fit frissonner Émilie. "La prochaine épreuve va être un peu différente : cette fois, vous allez être confrontée, par écran interposé, à un véritable humain, qui croit avoir payé pour une séance de webcam porno.

À vous de l'amener à se masturber jusqu'à l'orgasme en lui parlant et en jouant de votre tenue ou de vos accessoires. Vous avez cinq minutes pour vous préparer, puis les écrans et les micros s'activeront. Si vous échouez, les secousses électriques reviendront... et elles seront impitoyables. Montrez-moi votre talent de séductrice soumise."

Émilie sentit un mélange de panique et d'excitation perverse l'envahir – l'idée d'être observée, jugée, de devoir performer pour un inconnu réel, tout en sachant que la voix la surveillait, attisait un feu masochiste en elle. Son cœur battait la chamade, et une chaleur familière remonta dans son bas-ventre, humidifiant à nouveau son intimité. Elle avait cinq minutes : elle s'approcha de la table, inspectant les accessoires avec des mains tremblantes.

Pour exciter cet homme, elle devait jouer sur le visuel, le teasing, comme dans ces sessions de webcam où les performeuses alternent suggestion et révélation pour faire monter le désir. Elle choisit une lingerie provocante : un ensemble en dentelle rouge transparente, un soutien-gorge push-up qui mettait en valeur ses seins ronds et fermes, une culotte fendue qui laissait entrevoir son sexe sans tout révéler, et des bas résille attachés à un porte-jarretelles.

Elle enfila le tout lentement, sentant le tissu effleurer sa peau sensible, exacerbant ses sensations – les bonnets du soutien-gorge frottaient contre ses tétons encore durcis, et la culotte ouverte caressait ses lèvres intimes à chaque mouvement.

Pour ajouter une touche de bondage et d'exhibition, elle attrapa le collier de cuir, le boucla autour de son cou, la laisse pendant comme un symbole de soumission, et fixa les pinces à tétons, qui se refermèrent ses mamelons avec une douleur exquise, envoyant des décharges de plaisir vers son clitoris. Elle prit aussi le vibromasseur, le fouet souple, et s'installa sur le lit, s'agenouillant face aux écrans, les jambes légèrement écartées pour mettre en avant sa culotte fendue.

L'ambiance s'alourdit : l'odeur vanillée se fit plus intense, et un faible ronronnement indiqua que les écrans s'allumaient. Les cinq minutes étaient écoulées. Les micros crépitèrent, et l'image d'un homme apparut sur l'écran principal – un type d'une trentaine d'années, torse nu, assis dans une chambre banale, le pantalon baissé, son sexe déjà à demi dressé dans sa main. Il croyait payer pour un show privé, ignorant tout de la situation.

"Salut, beauté, murmura-t-il d'une voix rauque, excité. T'es prête à me faire bander comme un fou ?"

Émilie, dont le cœur cognait, adopta un ton suave et soumis, comme dans ces jeux de rôle érotiques où l'on excite par la parole et le visuel. "Oh oui, mon maître anonyme, roucoula-t-elle, en tirant légèrement sur sa laisse pour accentuer son rôle de soumise. Je suis ta petite salope en webcam, attachée et prête à tout pour te faire jouir. Laisse-moi te raconter une histoire brûlante sur moi, pendant que je joue avec mes accessoires... Imagine-moi, il y a quelques heures, piégée dans cette usine abandonnée, forcée à me déshabiller sous la menace."

Elle commença son récit, sa voix basse et haletante, tout en se caressant lentement les seins à travers la dentelle, forçant sur les pinces pour amplifier la douleur-plaisir qui la faisait gémir. "J'étais seule, explorant, quand une voix m'a ordonné de retirer mes vêtements, un par un. D'abord mes chaussures, exposant mes pieds nus sur le sol froid... Puis mon débardeur, libérant mes seins lourds, mes tétons durcis à l'air frais. Regarde comme ils sont durs maintenant, pour toi." Elle baissa un bonnet du soutien-gorge, révélant un sein, et tira sur la pince, un petit cri échappant de ses lèvres tandis que son autre main descendait vers sa culotte fendue, effleurant ses lèvres humides. L'homme sur l'écran grogna, sa main commençant à caresser son sexe plus fermement, les yeux rivés sur elle.

Poursuivant son histoire, Émilie accéléra la tension érotique, comme dans ces techniques de narration coquine où l'on décrit des scénarios progressifs pour exciter l'auditeur. "La voix m'a forcée à me toucher, à pincer mes tétons jusqu'à ce que je mouille comme une chienne. Puis, j'ai dû enlever mon pantalon, exposer ma culotte trempée... Imagine mes fesses rondes, cambrées, pendant que je me penchais pour la faire glisser. Et là, attachée sur un fauteuil-machine, un phallus mécanique m'a pénétrée, vibrant en moi, étirant mon vagin chaud et serré, tandis qu'un suceur aspirait mon clitoris gonflé." Elle attrapa le vibromasseur, l'alluma à faible intensité, et le pressa contre sa culotte, le bourdonnement résonnant dans la pièce, mêlé à l'odeur musquée de son excitation qui emplissait l'air. Ses hanches ondulèrent, poussant l'engin contre ses lèvres intimes, une moiteur visible suintant à travers le tissu. "Vois comme je suis humide pour toi... Je vais l'enfoncer, comme ce dildo m'a baisée, allant et venant, heurtant mon point G jusqu'à ce que je crie."

L'homme haletait maintenant, sa main pompant son sexe raide, pré-sperme luisant au bout. Émilie, sentait son propre désir monter : une chaleur brûlante irradiant de son ventre, son anus se contractant involontairement. Elle ajouta du sado-maso pour pimenter : elle prit le fouet souple et se frappa légèrement les cuisses, les lanières claquant contre sa peau, laissant des marques rouges qui la firent gémir d’une douleur exquise.

"Dans la pièce suivante, un androïde m'a forcée à le sucer, son sexe dur comme l'acier dans ma bouche, puis je l'ai chevauché, sentant sa bite épaisse m'empaler, pilonnant mon vagin pendant que je me caressais le clitoris, jouissant violemment autour de lui." Elle écarta la culotte fendue, insérant lentement le vibromasseur en elle, un bruit humide accompagnant la pénétration, ses parois vaginales l'enserrant comme une étreinte veloutée. Elle l'activa plus fort, le faisant aller et venir, son autre main frottant son clitoris en cercles rapides, des spasmes la traversant, ses seins se soulevant au rythme de ses halètements.

"Regarde-moi jouir pour toi, en te racontant ça... Imagine ton sperme giclant sur moi pendant que je me pénètre, attachée et soumise." L'homme accéléra, gémissant bruyamment, son corps se tendant. Émilie, au bord de l'orgasme elle-même, tira sur sa laisse, simulant un étranglement léger qui intensifia ses sensations – une vague de plaisir masochiste la submergeant, son vagin pulsant autour du vibro.

Enfin, l'homme jouit, des jets puissants giclant de son sexe, maculant son ventre, tandis qu'Émilie, emportée par le spectacle, atteignait son propre orgasme : un cri, son corps arqué, des contractions violentes secouant son intimité, une cyprine abondante coulant le long de ses cuisses.

La voix reprit, satisfaite : "Épreuve réussie. Vous l'avez fait jouir en beauté." Une nouvelle porte s'ouvrit, invitant Émilie, épuisée mais en feu, à plonger plus loin dans cet abîme de plaisir forcé.

Émilie franchit de seuil avec une hésitation mêlée à l'adrénaline résiduelle de ses épreuves précédentes, son corps encore marqué par les vagues de plaisir et d'humiliation qui l'avaient conduite jusqu'ici.

La pièce qui s'ouvrait devant elle était le sanctuaire du complexe, un vaste dôme aux parois incurvées et lisses, illuminé par une lueur bleutée pulsante qui projetait des ombres alongées sur des consoles high-tech ronronnantes. L'air était saturé d'une odeur électrique, un mélange d'ozone crépitant et de sueur humaine persistante, avec une note sous-jacente de musc primal, comme si des corps en transe s'étaient déjà livrés à des rituels charnels intenses dans cet espace confiné.

Au cœur de la salle, un mur géant d'écrans formait une mosaïque hypnotique, diffusant des images en temps réel, et devant lui, assis dans un fauteuil ergonomique aux contours métalliques, un homme lui tournait le dos. Elle n'apercevait que le sommet de son crâne rasé, luisant sous les reflets des moniteurs, et ses épaules larges, enveloppées dans une chemise sombre tendue sur une musculature imposante.

Mais ce qui la saisit immédiatement, c'était son propre reflet multiplié à l'infini sur tous ces écrans : de face, capturant son visage empourpré, ses lèvres gonflées par les baisers forcés antérieurs ; de dos, exposant les courbes fermes de ses fesses à peine dissimulées par la culotte fendue en dentelle rouge ; de profil, soulignant la cambrure provocante de ses seins compressés dans le soutien-gorge push-up ; en gros plan, zoomant sur ses tétons rougis et pincés par les clamps reliés par une fine chaîne, chaque respiration les faisant tinter doucement ; en plan américain, montrant son corps entier dans cette lingerie affriolante, le collier de cuir serré autour de son cou avec la laisse pendante comme un symbole de soumission absolue ; en plan éloigné, la rendant minuscule et vulnérable dans cet antre technologique, ses bas résille tendus sur ses cuisses encore striées de marques rouges des coups de fouet auto-infligés.

Chaque pas qu'elle faisait se répercutait instantanément sur les écrans, un écho visuel impitoyable qui amplifiait son sentiment d'exhibition totale, comme si des milliers d'yeux invisibles la dévoraient.

"Te voici au bout du chemin, Émilie", murmura l'homme d'une voix profonde, vibrante, sans se retourner. Ce n'était plus la tonalité synthétique et froide des voix précédentes, mais quelque chose de plus organique, de plus élémentaire, avec un accent étrange, presque anachronique, qui fit courir un frisson le long de son échine. "Regarde-toi sur ces écrans... Ton corps offert, luisant de sueur et d'excitation. Chaque épreuve t'a préparée pour ça. Approche. Lentement. Laisse les caméras capturer ta soumission."

Émilie déglutit, son cœur cognant dans sa poitrine comme un tambour de guerre. Elle portait toujours la tenue de la session webcam, cette armure de dentelle rouge transparente qui moulait ses formes avec une précision cruelle : le soutien-gorge qui rehaussait ses seins ronds et fermes, les faisant pointer avec insolence ; la culotte fendue qui laissait entrevoir les lèvres gonflées de son sexe, déjà humides d'une excitation résiduelle ; les bas résille qui gainaient ses jambes toniques, accentuant chaque mouvement ondulant.

L'odeur de sa propre excitation persistait, musquée et salée, se mêlant à celle électrique de la pièce, et elle sentait les pinces à tétons tirer sur sa chair sensible à chaque inspiration, envoyant des décharges de douleur-plaisir qui irradiaient jusqu'à son clitoris palpitant.

Elle s'avança, ses pieds nus claquant doucement sur le sol froid et métallique, consciente que les caméras traquaient le moindre détail : le balancement de ses hanches, la façon dont la laisse du collier dansait contre sa peau, la moiteur qui perlait déjà entre ses cuisses, trahissant son corps malgré la peur qui lui nouait le ventre.

L'homme ne bougea pas, mais un faible bourdonnement emplit l'air, peut-être le son de son souffle accéléré, ou celui des machines qui s'éveillaient en réponse à sa présence.

"À genoux, derrière moi", ordonna-t-il d'un ton impérieux, teinté d'une faim contenue qui fit frémir Émilie. "Commence par mes épaules. Touche-moi. Et dis-moi ce que tu ressens en te voyant ainsi exposée sur tous ces écrans, comme une chienne en chaleur offerte au monde."

Émilie obéit, s'agenouillant derrière le fauteuil, ses genoux heurtant le métal glacé avec un petit choc qui la fit grimacer. Ses mains tremblantes se posèrent sur les épaules de l'homme, sentant la chaleur irradiant à travers le tissu de sa chemise, les muscles durs et tendus comme des câbles sous tension. Elle massa lentement, ses doigts pétrissant la chair avec une pression croissante, descendant le long de son dos large, effleurant les contours de ses omoplates.

Sur les écrans, un gros plan captura l'instant : ses seins se pressant contre le dossier du fauteuil, les clamps scintillant sous la lumière bleue, ses tétons durcissant davantage à mesure que la douleur se muait en plaisir lancinant. "Je... je me sens complètement nue, vulnérable, murmura-t-elle d'une voix haletante, les mots sortant comme un aveu forcé. Tous ces angles montrent ma chatte qui mouille à travers la dentelle, mes tétons qui pulsent sous les pinces... C'est humiliant, mais ça m'excite tellement, comme si j'étais faite pour être regardée, baisée devant un public invisible."

L'homme émit un grognement approbateur, et Émilie sentit son propre corps réagir : une chaleur humide s'intensifia entre ses jambes, son vagin se contractant involontairement, réclamant plus.

"Plus bas. Défais ma ceinture. Libère ce qui t'attend." Sa voix était maintenant rauque, chargée d'une urgence qui accéléra le pouls d'Émilie. Elle glissa ses mains autour de sa taille, débouclant la ceinture avec des doigts fébriles, le cuir crissant dans le silence. Le zip descendit dans un bruit sec et métallique, et elle extirpa son sexe, déjà rigide et veiné, chaud et palpitant dans sa paume.

Il était imposant, épais, avec un gland luisant de pré-sperme, et elle le caressa lentement de haut en bas, sentant les veines saillantes pulser sous ses doigts, la texture veloutée contrastant avec la dureté sous-jacente. Sur les écrans, un plan serré montra sa main l'empoignant, le masturbant avec une précision croissante, torsadant légèrement au sommet où une goutte perlait, lubrifiant le mouvement.

L'odeur masculine envahit ses narines, un musc puissant et salé qui se mêla à celui de son excitation, formant un cocktail enivrant. "Ton sexe est si dur, si chaud... Il palpite dans ma main, comme s'il me suppliait de le prendre plus profond", gémit-elle, accélérant le rythme, alternant entre des va-et-vient fermes et des caresses légères sur les testicules lourds, sentant son propre clitoris gonfler sous la culotte fendue.

L'homme pivota enfin le fauteuil, se révélant à elle sans pour autant lever complètement la tête, son visage restant masqué par l'ombre des écrans. Son torse était athlétique, la chemise ouverte sur une peau mate et musclée, couverte d'une fine pellicule de sueur, et son sexe dressé fièrement devant elle, veiné et courbé vers le haut.

"Suce-le. Montre aux caméras comment une bonne soumise sait y faire. Et tire sur ta laisse pendant que tu le fais." Émilie, à genoux, attrapa la laisse de son collier d'une main, tirant dessus pour s'étrangler légèrement, amplifiant la sensation de soumission masochiste qui fit jaillir une vague de plaisir douloureux dans son ventre.

Elle approcha ses lèvres du gland, inhalant l'odeur intime, avant de le lécher timidement d'abord, sa langue traçant des cercles autour du sommet, goûtant le fluide salé qui s'écoulait. Puis, elle l'engloutit profondément, ses lèvres s'étirant autour de l'épaisseur, aspirant avec ferveur tandis que sa tête allait et venait en rythme croissant.

Des bruits humides – succions, gargouillis – résonnèrent dans la pièce, mêlés à ses gémissements étouffés par la laisse qui serrait son cou, envoyant des décharges d'asphyxie érotique qui faisaient pulser son vagin. Sur les écrans, des angles multiples capturaient la scène : son visage déformé par l'effort, sa gorge se contractant autour de lui, ses seins rebondissant au rythme, les pinces tirant sur ses tétons avec chaque mouvement.

L'homme grogna, ses mains agrippant les accoudoirs, et Émilie accéléra, alternant aspirations profondes qui l'amenaient jusqu'à la base, sentant les poils pubiens chatouiller son nez, et léchages rapides sur les veines saillantes, sa salive coulant le long du membre.

"Relève-toi. Enlève cette culotte ridicule. Chevauche-moi, et laisse les pinces te torturer pendant que tu me baises." Émilie se redressa, les jambes tremblantes, faisant glisser la culotte fendue le long de ses cuisses, exposant pleinement son sexe gonflé, les lèvres roses et luisantes d'humidité, son clitoris pointant comme un bouton durci.

Elle enjamba l'homme, guidant son phallus vers son entrée, et s'empala lentement, un gémissement primitif s'échappant de ses lèvres alors que l'épaisseur l'étirait délicieusement, remplissant son vagin velouté centimètre par centimètre. Les sensations étaient intenses : chaque veine frottant contre ses parois internes, heurtant son point G avec une précision qui envoyait des spasmes irradiant jusqu'à son anus, tandis qu'elle ondulait des hanches, frottant son clitoris contre la base poilue.

Elle tira sur la chaîne des pinces, mordant ses tétons dans une douleur exquise qui se muait en plaisir masochiste, ses seins se balançant lourdement au rythme de ses va-et-vient. Sur les écrans, des gros plans montraient l'union intime : ses lèvres intimes s'ouvrant et se refermant autour de lui, des fluides coulant abondamment le long de ses cuisses, l'odeur musquée de leur excitation emplissant l'air comme un parfum capiteux.

Elle accéléra, pilonnant avec force, sentant son vagin se contracter autour du membre, des bruits humides – clapotis, claques de peau contre peau – ponctuant chaque descente, tandis que l'homme attrapait la laisse pour tirer dessus, l'étranglant plus fort, amplifiant les sensations d'abandon sadique.

"Plus vite, salope. Fais-moi jouir en te voyant souffrir pour moi", grogna-t-il, ses hanches se soulevant pour la pénétrer plus profondément, heurtant son col avec une force qui la faisait crier.

Émilie, au bord de l'extase, glissa une main vers son anus, insinuant un doigt lubrifié par ses propres fluides, doublant la stimulation : la plénitude vaginale combinée à la pénétration anale auto-infligée, des spasmes la traversèrent comme des éclairs.

L'orgasme la frappa en premier, violent et inexorable – son vagin pulsant autour de lui, des jets de cyprine jaillissant, son anus se contractant autour de son doigt, un cri primal emplissant la pièce tandis que son corps se cambrait, les pinces tirant sur ses tétons comme des décharges électriques. L'homme suivit, se raidissant et éjaculant en elle, des jets chauds et abondants la remplirent, prolongeant ses spasmes dans une extase partagée.

L'homme releva enfin la tête, révélant un visage aux traits anguleux, des yeux d'un bleu luminescent inhabituel, comme illuminés par une technologie interne. "Tu as passé tous les tests, Émilie, il est temps que tu saches. Je ne suis pas de ton époque. Je viens d'un avenir très lointain, un monde où les femmes ont presque disparu à cause d'une catastrophe génétique, et où les rares survivantes sont traitées comme des reines, vénérées et protégées pour perpétuer l'espèce."

Il sourit, un éclat étrange dans le regard. "Ce complexe est un portail temporel créé pour recruter des jeunes filles comme toi : fertiles, résilientes, prêtes à embrasser le plaisir comme un devoir sacré. Si tu repars avec moi, tu seras une reine parmi les reines : entourée de serviteurs dévoués, ton corps adoré dans des rituels érotiques sans fin, dont tu seras la seule maîtresse. Refuse, et tu restes piégée dans ton époque... Mais accepte, et l'extase que tu as connue n’aura été qu'un avant-goût."

Émilie, pantelante et encore traversée de répliques orgasmiques, le fixa, l'horreur se muant en une fascination perverse. L'idée d'être une déesse fertile dans un futur dystopique, baisée et vénérée pour sauver l'humanité, alluma une flamme interdite en elle. "Je... j'accepte", murmura-t-elle, scellant son destin dans un tourbillon de plaisir intemporel.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : L'examen
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par CDuvert

L'examen - Récit érotique publié le 10-08-2025
Les lumières d'Etheria - Récit érotique publié le 08-08-2025
Le train de 19H32 (suite) - Récit érotique publié le 06-08-2025
Sans filtre - Récit érotique publié le 03-08-2025
Guerrières - La Lionne d’Or - Récit érotique publié le 01-08-2025
Fantômes du passé - Récit érotique publié le 31-07-2025
A trois c'est mieux - Récit érotique publié le 21-07-2025
Par delà les siècles - Récit érotique publié le 19-07-2025
Guerrières : La malédiction de la lune rouge - Récit érotique publié le 18-07-2025
Confession d'un amant lamentable - Récit érotique publié le 15-07-2025