LA BACHELORETTE

Récit érotique écrit par Miss_Sexcret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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LA BACHELORETTE
Je n’ai pas encore trouvé la personne qui me passera la bague au doigt.
Mais si un jour ça devait arriver… si je devais vraiment dire adieu à ma vie de célibataire…
Alors j’aimerais que ma dernière nuit de femme libre se passe exactement comme ça.
Sale. Joyeuse. Explosive. Entourée de celles que j’aime.
Et offerte à trois bites énormes, sous les applaudissements de ma grand-mère (paix à elle).
La Bachelorette
Je m'appelle Clara. J’ai vingt-huit ans, je me marie dans deux jours, et jusqu’à hier soir, j’étais plutôt sage.
Pas coincée, non. Mais raisonnable.
Le genre de fille qui met des culottes en coton blanc sous ses tailleurs. Qui coche toutes les cases. Une bonne élève, une fiancée sérieuse, une future épouse modèle.
Avec mon petit serre-tête rose “Bride to be” et mon voile ridicule offert par mes collègues, j’étais prête pour une soirée sympa, sans excès, entre filles. Un enterrement de vie de jeune fille classique, organisé par ma sœur Teri dans la grande maison de notre grand-mère.
Mamie, 80 ans, veuve depuis longtemps, et toujours un peu trop franche.
“Faites pas les mijaurées, les filles. À mon âge, je regrette surtout les bites que j’ai pas sucées.”
J’avais ri, un peu gênée. Mais je ne savais pas encore que cette nuit-là…
je ne ferais aucun regret.
Je n’aurais jamais cru que mon enterrement de vie de jeune fille se passerait… comme ça.
Tout avait commencé gentiment. Ma sœur Teri avait proposé qu’on le fasse chez Mamie — sa grande maison était parfaite : un salon spacieux, un jardin à l’arrière, et surtout… elle n’avait rien contre un peu d’animation. Mamie, 80 ans bien tassés, toujours maquillée comme une actrice de théâtre, nous regardait d’un œil pétillant. “Vous avez intérêt à vous amuser, les filles. Et pas de bougies dans le salon, j’ai mis mes rideaux neufs.”
Nous étions neuf.
Teri, deux de mes collègues, trois amies d’enfance, deux femmes un peu plus âgées… et Mamie dans son fauteuil, déjà deux coupes de champagne dans le nez.
Ambiance détendue, bande-son années 2000, bougies et bonbons en forme de bites pour faire rire. Moi, j’avais mis une robe légère, un peu trop courte peut-être, mais c’était ma soirée. Je me sentais belle, excitée, nerveuse.
Et puis à 22 h, la sonnette a retenti.
J’ai levé les yeux vers Teri, méfiante.
Elle m’a lancé un clin d’œil.
Et c’est là qu’ils sont entrés.
Trois hommes.
Trois bêtes.
Le premier, grand métis aux yeux verts, portait une combinaison de pompier rouge, ouverte sur un torse luisant et musclé. Le deuxième, plus fin mais sec, noir avec un regard intense, était en costume noir, chemise blanche déboutonnée et cravate lâche. Le dernier, immense, torse large, brun rasé de près, portait un uniforme de flic moulant avec une matraque à la ceinture.
“Bonsoir, mesdames…” dit le flic avec un sourire de prédateur.
Il n’y a pas eu un bruit.
Puis Mamie a éclaté de rire.
“Oh mon Dieu… mais c’est Noël avant l’heure !”
La musique s’est lancée. Un beat grave, langoureux, chargé.
Le pompier a commencé. Il dansait lentement, ondulant des hanches, passant ses mains sur son torse, arrachant peu à peu la combinaison. Quand il a lancé son t-shirt dans la pièce, Mireille — une des invitées de quarante ans — l’a rattrapé et l’a porté à son nez en gloussant.
Puis ce fut au tour du trader. Il a enlevé sa veste, défait sa cravate, déboutonné sa chemise jusqu’à dévoiler des abdos ciselés. Il a attrapé une bouteille de chantilly que Teri avait posée sur la table et a dessiné une ligne blanche le long de son torse… avant de tendre la bombe à l’une de mes collègues.
“Tu veux goûter ?” a-t-il soufflé.
Elle a hésité deux secondes… puis s’est penchée pour lécher sa peau sucrée.
Applaudissements. Cris. Rires.
Le flic, lui, a joué les dominateurs. Il s’est posté devant ma sœur et l’a fait se lever. Il a posé ses mains sur ses hanches et lui a ordonné de tourner. Quand elle l’a fait, il a tiré doucement sur la fermeture de sa robe, découvrant une lingerie rouge qui a arraché un hurlement à la pièce.
Moi, je n’en menais pas large. Assise sur le bord du canapé, robe fluide, cuisses serrées, cœur battant à cent à l’heure.
Je suis restée assise là, les jambes serrées, la robe remontée juste au-dessus du genou, les joues en feu. Mon cœur cognait contre mes côtes. J’avais chaud. Très chaud.
Ils étaient nus, maintenant. Les trois. Trois bites de cinéma, bandées comme jamais. La plus longue, celle du pompier, semblait battre au rythme de la musique, noire et luisante. Le trader avait une queue légèrement courbée vers le haut, épaisse et lisse, tandis que celle du flic, plus droite, vibrait déjà entre ses cuisses massives.
Et puis j’ai vu Sophie se lever.
Sophie, ma collègue de boulot. Trente ans, brune, élégante, calme… toujours un peu distante au bureau. Mais là, elle s’est agenouillée devant Malik — le pompier — et sans un mot, a attrapé sa queue de ses deux mains. Doucement. Respectueusement. Presque religieusement.
Elle a d’abord léché le bout. Un aller-retour lent de la langue, juste sur le gland gonflé, comme pour en capter le goût. Puis elle a ouvert grand la bouche, et l’a avalée d’un coup, profond, presque jusqu’à la base.
Un bruit humide a retenti.
Toutes les femmes autour ont poussé un cri.
Moi, je n’ai rien dit. Je regardais. Fascinée.
Elle suçait comme une pro. Elle bougeait lentement, puis plus vite. Sa main caressait la hampe, l’autre les couilles pleines. Malik gémissait, les mains posées sur ses cheveux, la tête basculée en arrière.
La bouche de Sophie glissait, avalait, engloutissait. On entendait la salive, les petits claquements de lèvres, le souffle haché du mec. Parfois elle recrachait un peu de bave et s’en servait pour mieux le masturber entre deux gorgées. C’était obscène. Et magnifique.
“Putain… elle suce comme une actrice X…” a soufflé Mireille, la quarantaine, les jambes déjà grandes ouvertes, doigts dans la culotte.
Sophie a fini par retirer sa bouche, lentement, avec un fil de salive suspendu entre ses lèvres et le gland tendu. Puis elle a regardé autour d’elle, bouche entrouverte, visage brûlant, et a murmuré :
“Il est encore plus bon que je l’imaginais…”
Je ne pouvais plus respirer. Mon ventre s’était noué. Mon entrejambe était trempé.
Je ne sais pas qui a monté le volume de la musique. Ou peut-être que c’est mon souffle qui s’est fait plus sourd. Mais tout s’est resserré autour de moi. Les rires, les cris, le rythme moite. La moiteur entre mes cuisses. L’envie que je n’osais même pas formuler.
Et c’est là que Sonia s’est levée.
Sonia, une amie de ma sœur, une brune plantureuse de quarante-quatre ans, pulpeuse, provocante, robe moulante fendue jusqu’à la hanche. Elle s’est approchée de Travis, le flic, et sans prévenir, a glissé ses mains dans son dos.
“Tu veux voir ce que c’est que de vrais seins, mon grand ?”
Elle a tiré sur le décolleté de sa robe d’un geste ferme. Ses seins ont jailli, lourds, magnifiques, pleins, avec de larges aréoles sombres et des tétons déjà durs. La pièce entière a explosé de cris et d’applaudissements.
Travis a écarquillé les yeux, puis s’est jeté sur elle.
Il a attrapé ses seins à pleines mains, les a serrés, malaxés, baisés avec la langue, les lèvres, les dents. Sonia gémissait déjà. Elle l’a repoussé d’une main, puis s’est laissée tomber à genoux, tirant son string vers le bas.
Sa queue a jailli, énorme, pulsante, brillante de désir.
“Utilise-les…” a-t-elle soufflé.
Travis a compris.
Il s’est agenouillé à son tour, a glissé sa queue entre ses seins, et s’est mis à baiser sa poitrine comme une chatte. Il tenait ses seins ensemble, les écrasait autour de sa bite, poussait ses hanches d’avant en arrière. La hampe luisante glissait entre les deux globes de chair, ressortait par le haut, frôlant parfois le menton de Sonia. Elle ouvrait la bouche. Elle le léchait quand elle pouvait. Parfois elle l’avalait d’un coup, puis le laissait ressortir pour qu’il continue sa va-et-vient entre ses seins trempés de salive.
“Putain…” ai-je soufflé sans m’en rendre compte.
Ma culotte était trempée. Mes doigts serraient le tissu de ma robe sur mes cuisses. Je sentais mes tétons raides, douloureux sous la soie fine.
Travis accéléra.
Sonia gémissait.
Il déversa un peu de chantilly sur ses seins, puis en étala sur son gland. Elle le suça avec rage, puis le laissa glisser entre ses seins encore et encore, sa salive, la crème, son plaisir, tout se mélangeait.
Autour d’eux, les femmes applaudissaient, se touchaient, s’embrassaient.
Et moi, au milieu de tout ça, je brûlais.
Je savais que ça allait être mon tour.
Et je n’avais jamais eu aussi envie de me faire baiser de ma vie.
Je n’avais pas bougé. Pas encore.
Mais je n’étais plus qu’une flaque chaude, fondue sur le canapé. Les jambes tremblaient, le souffle court. Chaque scène devant moi me consumait un peu plus. Et là, elles sont passées à l’attaque.
Lucie et Caro, deux copines de Teri, à peine trente ans, mais avec des yeux de chattes affamées. Elles tournaient autour de Damon, le trader, comme deux prédatrices coordonnées. Il venait à peine de terminer son show qu’elles l’avaient encerclé.
Caro, rousse incendiaire, avait glissé sa main entre les cuisses du strip-teaseur et le tenait fermement par la base de la queue.
Lucie, plus brune, plus discrète d’apparence, s’était agenouillée d’un coup, et sans prévenir, avait avalé la moitié du sexe tendu entre ses lèvres maquillées.
“Putain…” a soufflé Damon en basculant la tête en arrière.
Elles lui faisaient ça à deux.
Tandis que Lucie suçait profondément, Caro léchait les couilles, puis échangeait : c’était un ballet, parfaitement rodé. L’une suçait la hampe, l’autre léchait le gland, ou glissait sa langue sur la peau tendue. Les gorges se relayaient, les salives se mêlaient.
Et tout en se concentrant sur la queue énorme entre elles, elles se touchaient.
Caro avait glissé sa main sous la jupe courte de Lucie, et je pouvais deviner ses doigts pénétrant son sexe sous la culotte. Lucie gémit, la bouche pleine de queue, un son grave, rauque, vibrant.
Lucie, en retour, lui caressait les fesses, puis glissa un doigt sous la dentelle de Caro. Leurs hanches ondulaient, leurs bouches bavaient, et la queue de Damon disparaissait de plus en plus vite dans l’une, puis dans l’autre.
Elles gémissaient en suçant. Elles se masturbaient en même temps. Leurs regards étaient perdus, salis, ivres de bite et de plaisir. Damon les tenait par les cheveux, gérait le rythme, grognait à chaque aller-retour de leurs langues sur ses veines gonflées.
“Vous êtes… mes putes… de luxe…” murmura-t-il.
Caro releva les yeux, bouche ouverte, les lèvres brillantes.
“On adore les queues bien dressées…”
Puis elle se pencha et baisa Lucie à pleine bouche, la langue déjà poisseuse de foutre et de chantilly.
Elles s’embrassèrent goulûment, se frottant l’entrejambe, puis reprirent leur œuvre de succion partagée, plus déchaînées encore.
Autour, ça devenait flou.
Teri embrassait Mireille sur le canapé.
Mamie se faisait lécher les seins par Travis, assise comme une impératrice perverse.
Et moi…
… j’étais en train de me lever.
Je ne sais pas ce qui m’a fait bouger.
Peut-être le regard de Mamie — pétillant, complice, lubrique.
Peut-être Teri, ma sœur, qui me caressait doucement le dos en murmurant : “C’est ta nuit, ma chérie.”
Ou peut-être les trois queues dressées qui m’attendaient. Battantes. Pulsantes. Offertes.
Mais je me suis levée.
Dans mon petit serre-tête en plastique rose, avec écrit “BRIDE” en lettres pailletées, et ce foutu voile ridicule qui me retombait sur les épaules, je suis entrée dans le cercle.
Les filles se sont mises à hurler, à frapper dans leurs mains, à m’encourager comme une rockstar qui monte sur scène.
“ALLEZ LA MARIÉE !”
“Montre-nous c’que t’as dans le ventre !”
“Bouffe-les tous les trois !”
Et Mamie, depuis son fauteuil :
“Fais-toi du bien, ma puce. Y’a pas de honte à aimer la queue…”
J’étais rouge. Tremblante. Excitée comme jamais.
Ils se sont approchés.
Trois bites énormes.
Travis, le flic, à ma gauche, son sexe droit comme une matraque, épais, veiné, presque menaçant.
Damon, le trader, face à moi, queue brillante encore trempée de salive, légèrement courbée vers moi, comme pour m’appeler.
Et Malik, le pompier, à droite, bite noire et monumentale, plus longue que tout ce que j’avais jamais vu.
Je me suis agenouillée.
Doucement. Comme une offrande.
Et là… tout a explosé.
Je n’ai pas choisi. J’ai ouvert la bouche, et la première queue qui s’y est glissée, c’est celle de Damon.
Elle emplissait tout.
Ma bouche, ma gorge, mon souffle.
Elle m’a fait pleurer les yeux. Et j’ai adoré ça.
Pendant que je suçais, Travis me tenait par les cheveux, caressait mes seins à travers ma robe, les tirait, les pressait.
Malik, lui, s’était agenouillé derrière moi, avait remonté ma robe jusqu’à ma taille, écarté ma culotte déjà trempée, et commençait à me lécher la chatte à grands coups de langue chaude.
Je gémissais sur la queue.
Les filles autour de moi m’encourageaient, certaines se touchaient, d’autres se masturbaient, deux étaient en train de se faire doigter sur le tapis.
Mamie avait une main dans son décolleté, l’autre entre ses cuisses.
Et moi… je changeais de queue.
Damon sortait de ma bouche, remplacé par Malik. Puis Travis.
Je les suçais à tour de rôle. J’en avais une dans la bouche, une contre ma joue, une autre entre mes seins, que l’un d’eux pressait contre sa queue pour me baiser la poitrine.
Ils me faisaient tourner, comme une poupée à leur merci.
J’ai senti Travis se glisser derrière moi, sa queue énorme frottant ma chatte trempée.
Il n’a pas demandé.
Il a enfoncé tout son sexe en moi d’un coup de reins violent.
Je me suis cambrée, hurlée sur la bite que je suçais. Mes jambes ont tremblé.
Puis ce fut Damon, dans ma bouche.
Puis Malik, qui s’est couché sous moi pour que je m’empale sur lui, sa queue me remplissant entièrement pendant que Travis me baisait la bouche.
Puis inversion. Puis double pénétration.
Je n’étais plus une mariée. J’étais un réceptacle.
Leurs queues entraient, sortaient. Ma bouche. Ma chatte. Mon cul. Mes seins. Tout servait.
Et je jouissais. Encore. Encore. Encore.
Une main, je ne sais pas de qui, est venue frotter mon clito pendant que deux queues me remplissaient.
J’ai explosé.
J’ai crié.
Et j’en ai redemandé.
Je ne sais plus combien de fois j’ai joui.
Combien de queues j’ai eues dans la bouche.
Combien de doigts, de mains, de langues m’ont caressée, encouragée, tenue, pincée.
Tout ce que je sais, c’est que j’étais à genoux au centre du salon, seins nus, robe roulée à la taille, culotte disparue, cuisses écartées, la bouche grande ouverte, prête à recevoir.
Et ils étaient là.
Les trois dieux.
Malik, Travis, Damon.
Leurs torses luisants de sueur.
Leurs bites dures, brillantes, veineuses, palpitantes.
Ils se masturbaient devant moi, chacun tenant sa queue comme une arme vivante, la pointe dirigée vers mon visage, mon cou, ma poitrine.
Autour, c’était la folie.
Les filles hurlaient.
Mamie criait “Vas-y ma chérie, régale-toi !”
Teri tapait des mains et chantait “La mariée est une cochonne !”
Certaines se touchaient en me regardant, d’autres s’embrassaient à pleine bouche, les jambes en l’air, se caressant en rythme.
Et puis… ils ont joui.
Malik le premier.
Un jet énorme a jailli, frappant ma joue, mon front, glissant dans mes cheveux, suspendu à mon serre-tête rose “Bride”.
Puis Travis.
Il visait ma poitrine. Deux jets chauds, épais, m’ont éclaboussée sur les seins, puis dans le creux de ma gorge. Le sperme coulait entre mes seins, poisseux, brûlant.
Damon, enfin, m’a arrosée la bouche.
J’ai tendu la langue, reçu son foutre en plein visage, quelques gouttes dans l’œil, sur les lèvres, et un dernier jet puissant directement dans ma bouche ouverte.
Je l’ai avalé. Lentement. Salement.
Puis j’ai ri.
Le visage dégoulinant. Les seins couverts. Les cheveux souillés.
Le voile blanc collé à mon cou par la cyprine.
Un tonnerre d’applaudissements a éclaté.
Teri m’a tendu une serviette — que j’ai repoussée en riant.
Je voulais rester marquée.
Je voulais qu’il reste des traces.
De cette nuit.
Mamie s’est approchée et m’a embrassé sur la joue, sans aucune gêne.
“Tu vois, mon trésor… le mariage, c’est bien.
Mais y’a rien de plus beau qu’une vraie nuit de chienne.”
Damon dit : « Bon, les filles… c'est fini. C'était un plaisir d'être là ce soir. » Puis il me regarda et dit : « Je suis sûr que… c'était un vrai plaisir. »
Pendant que je me nettoyais avec un torchon de la cuisine, Damon s'habilla, puis lui, Malik et Travis préparèrent leurs affaires et quittèrent la fête.
Une fois les garçons partis, toutes les filles se retrouvèrent dans le salon, toujours en train de rire et de ricaner de la folie à laquelle elles venaient de participer.
Mamie attira leur attention et dit : « Écoutez, les filles… ce qui s'est passé ce soir reste dans cette pièce. Le futur mari n'a pas besoin d'être au courant. »
Teri intervint : « Ouais, mon mari non plus. Silence absolu… d'accord ? » Elles acquiescèrent toutes solennellement, puis commencèrent à bavarder et à ricaner à propos des trois bites incroyables qu'elles avaient vues en action ce soir-là.
Mais si un jour ça devait arriver… si je devais vraiment dire adieu à ma vie de célibataire…
Alors j’aimerais que ma dernière nuit de femme libre se passe exactement comme ça.
Sale. Joyeuse. Explosive. Entourée de celles que j’aime.
Et offerte à trois bites énormes, sous les applaudissements de ma grand-mère (paix à elle).
La Bachelorette
Je m'appelle Clara. J’ai vingt-huit ans, je me marie dans deux jours, et jusqu’à hier soir, j’étais plutôt sage.
Pas coincée, non. Mais raisonnable.
Le genre de fille qui met des culottes en coton blanc sous ses tailleurs. Qui coche toutes les cases. Une bonne élève, une fiancée sérieuse, une future épouse modèle.
Avec mon petit serre-tête rose “Bride to be” et mon voile ridicule offert par mes collègues, j’étais prête pour une soirée sympa, sans excès, entre filles. Un enterrement de vie de jeune fille classique, organisé par ma sœur Teri dans la grande maison de notre grand-mère.
Mamie, 80 ans, veuve depuis longtemps, et toujours un peu trop franche.
“Faites pas les mijaurées, les filles. À mon âge, je regrette surtout les bites que j’ai pas sucées.”
J’avais ri, un peu gênée. Mais je ne savais pas encore que cette nuit-là…
je ne ferais aucun regret.
Je n’aurais jamais cru que mon enterrement de vie de jeune fille se passerait… comme ça.
Tout avait commencé gentiment. Ma sœur Teri avait proposé qu’on le fasse chez Mamie — sa grande maison était parfaite : un salon spacieux, un jardin à l’arrière, et surtout… elle n’avait rien contre un peu d’animation. Mamie, 80 ans bien tassés, toujours maquillée comme une actrice de théâtre, nous regardait d’un œil pétillant. “Vous avez intérêt à vous amuser, les filles. Et pas de bougies dans le salon, j’ai mis mes rideaux neufs.”
Nous étions neuf.
Teri, deux de mes collègues, trois amies d’enfance, deux femmes un peu plus âgées… et Mamie dans son fauteuil, déjà deux coupes de champagne dans le nez.
Ambiance détendue, bande-son années 2000, bougies et bonbons en forme de bites pour faire rire. Moi, j’avais mis une robe légère, un peu trop courte peut-être, mais c’était ma soirée. Je me sentais belle, excitée, nerveuse.
Et puis à 22 h, la sonnette a retenti.
J’ai levé les yeux vers Teri, méfiante.
Elle m’a lancé un clin d’œil.
Et c’est là qu’ils sont entrés.
Trois hommes.
Trois bêtes.
Le premier, grand métis aux yeux verts, portait une combinaison de pompier rouge, ouverte sur un torse luisant et musclé. Le deuxième, plus fin mais sec, noir avec un regard intense, était en costume noir, chemise blanche déboutonnée et cravate lâche. Le dernier, immense, torse large, brun rasé de près, portait un uniforme de flic moulant avec une matraque à la ceinture.
“Bonsoir, mesdames…” dit le flic avec un sourire de prédateur.
Il n’y a pas eu un bruit.
Puis Mamie a éclaté de rire.
“Oh mon Dieu… mais c’est Noël avant l’heure !”
La musique s’est lancée. Un beat grave, langoureux, chargé.
Le pompier a commencé. Il dansait lentement, ondulant des hanches, passant ses mains sur son torse, arrachant peu à peu la combinaison. Quand il a lancé son t-shirt dans la pièce, Mireille — une des invitées de quarante ans — l’a rattrapé et l’a porté à son nez en gloussant.
Puis ce fut au tour du trader. Il a enlevé sa veste, défait sa cravate, déboutonné sa chemise jusqu’à dévoiler des abdos ciselés. Il a attrapé une bouteille de chantilly que Teri avait posée sur la table et a dessiné une ligne blanche le long de son torse… avant de tendre la bombe à l’une de mes collègues.
“Tu veux goûter ?” a-t-il soufflé.
Elle a hésité deux secondes… puis s’est penchée pour lécher sa peau sucrée.
Applaudissements. Cris. Rires.
Le flic, lui, a joué les dominateurs. Il s’est posté devant ma sœur et l’a fait se lever. Il a posé ses mains sur ses hanches et lui a ordonné de tourner. Quand elle l’a fait, il a tiré doucement sur la fermeture de sa robe, découvrant une lingerie rouge qui a arraché un hurlement à la pièce.
Moi, je n’en menais pas large. Assise sur le bord du canapé, robe fluide, cuisses serrées, cœur battant à cent à l’heure.
Je suis restée assise là, les jambes serrées, la robe remontée juste au-dessus du genou, les joues en feu. Mon cœur cognait contre mes côtes. J’avais chaud. Très chaud.
Ils étaient nus, maintenant. Les trois. Trois bites de cinéma, bandées comme jamais. La plus longue, celle du pompier, semblait battre au rythme de la musique, noire et luisante. Le trader avait une queue légèrement courbée vers le haut, épaisse et lisse, tandis que celle du flic, plus droite, vibrait déjà entre ses cuisses massives.
Et puis j’ai vu Sophie se lever.
Sophie, ma collègue de boulot. Trente ans, brune, élégante, calme… toujours un peu distante au bureau. Mais là, elle s’est agenouillée devant Malik — le pompier — et sans un mot, a attrapé sa queue de ses deux mains. Doucement. Respectueusement. Presque religieusement.
Elle a d’abord léché le bout. Un aller-retour lent de la langue, juste sur le gland gonflé, comme pour en capter le goût. Puis elle a ouvert grand la bouche, et l’a avalée d’un coup, profond, presque jusqu’à la base.
Un bruit humide a retenti.
Toutes les femmes autour ont poussé un cri.
Moi, je n’ai rien dit. Je regardais. Fascinée.
Elle suçait comme une pro. Elle bougeait lentement, puis plus vite. Sa main caressait la hampe, l’autre les couilles pleines. Malik gémissait, les mains posées sur ses cheveux, la tête basculée en arrière.
La bouche de Sophie glissait, avalait, engloutissait. On entendait la salive, les petits claquements de lèvres, le souffle haché du mec. Parfois elle recrachait un peu de bave et s’en servait pour mieux le masturber entre deux gorgées. C’était obscène. Et magnifique.
“Putain… elle suce comme une actrice X…” a soufflé Mireille, la quarantaine, les jambes déjà grandes ouvertes, doigts dans la culotte.
Sophie a fini par retirer sa bouche, lentement, avec un fil de salive suspendu entre ses lèvres et le gland tendu. Puis elle a regardé autour d’elle, bouche entrouverte, visage brûlant, et a murmuré :
“Il est encore plus bon que je l’imaginais…”
Je ne pouvais plus respirer. Mon ventre s’était noué. Mon entrejambe était trempé.
Je ne sais pas qui a monté le volume de la musique. Ou peut-être que c’est mon souffle qui s’est fait plus sourd. Mais tout s’est resserré autour de moi. Les rires, les cris, le rythme moite. La moiteur entre mes cuisses. L’envie que je n’osais même pas formuler.
Et c’est là que Sonia s’est levée.
Sonia, une amie de ma sœur, une brune plantureuse de quarante-quatre ans, pulpeuse, provocante, robe moulante fendue jusqu’à la hanche. Elle s’est approchée de Travis, le flic, et sans prévenir, a glissé ses mains dans son dos.
“Tu veux voir ce que c’est que de vrais seins, mon grand ?”
Elle a tiré sur le décolleté de sa robe d’un geste ferme. Ses seins ont jailli, lourds, magnifiques, pleins, avec de larges aréoles sombres et des tétons déjà durs. La pièce entière a explosé de cris et d’applaudissements.
Travis a écarquillé les yeux, puis s’est jeté sur elle.
Il a attrapé ses seins à pleines mains, les a serrés, malaxés, baisés avec la langue, les lèvres, les dents. Sonia gémissait déjà. Elle l’a repoussé d’une main, puis s’est laissée tomber à genoux, tirant son string vers le bas.
Sa queue a jailli, énorme, pulsante, brillante de désir.
“Utilise-les…” a-t-elle soufflé.
Travis a compris.
Il s’est agenouillé à son tour, a glissé sa queue entre ses seins, et s’est mis à baiser sa poitrine comme une chatte. Il tenait ses seins ensemble, les écrasait autour de sa bite, poussait ses hanches d’avant en arrière. La hampe luisante glissait entre les deux globes de chair, ressortait par le haut, frôlant parfois le menton de Sonia. Elle ouvrait la bouche. Elle le léchait quand elle pouvait. Parfois elle l’avalait d’un coup, puis le laissait ressortir pour qu’il continue sa va-et-vient entre ses seins trempés de salive.
“Putain…” ai-je soufflé sans m’en rendre compte.
Ma culotte était trempée. Mes doigts serraient le tissu de ma robe sur mes cuisses. Je sentais mes tétons raides, douloureux sous la soie fine.
Travis accéléra.
Sonia gémissait.
Il déversa un peu de chantilly sur ses seins, puis en étala sur son gland. Elle le suça avec rage, puis le laissa glisser entre ses seins encore et encore, sa salive, la crème, son plaisir, tout se mélangeait.
Autour d’eux, les femmes applaudissaient, se touchaient, s’embrassaient.
Et moi, au milieu de tout ça, je brûlais.
Je savais que ça allait être mon tour.
Et je n’avais jamais eu aussi envie de me faire baiser de ma vie.
Je n’avais pas bougé. Pas encore.
Mais je n’étais plus qu’une flaque chaude, fondue sur le canapé. Les jambes tremblaient, le souffle court. Chaque scène devant moi me consumait un peu plus. Et là, elles sont passées à l’attaque.
Lucie et Caro, deux copines de Teri, à peine trente ans, mais avec des yeux de chattes affamées. Elles tournaient autour de Damon, le trader, comme deux prédatrices coordonnées. Il venait à peine de terminer son show qu’elles l’avaient encerclé.
Caro, rousse incendiaire, avait glissé sa main entre les cuisses du strip-teaseur et le tenait fermement par la base de la queue.
Lucie, plus brune, plus discrète d’apparence, s’était agenouillée d’un coup, et sans prévenir, avait avalé la moitié du sexe tendu entre ses lèvres maquillées.
“Putain…” a soufflé Damon en basculant la tête en arrière.
Elles lui faisaient ça à deux.
Tandis que Lucie suçait profondément, Caro léchait les couilles, puis échangeait : c’était un ballet, parfaitement rodé. L’une suçait la hampe, l’autre léchait le gland, ou glissait sa langue sur la peau tendue. Les gorges se relayaient, les salives se mêlaient.
Et tout en se concentrant sur la queue énorme entre elles, elles se touchaient.
Caro avait glissé sa main sous la jupe courte de Lucie, et je pouvais deviner ses doigts pénétrant son sexe sous la culotte. Lucie gémit, la bouche pleine de queue, un son grave, rauque, vibrant.
Lucie, en retour, lui caressait les fesses, puis glissa un doigt sous la dentelle de Caro. Leurs hanches ondulaient, leurs bouches bavaient, et la queue de Damon disparaissait de plus en plus vite dans l’une, puis dans l’autre.
Elles gémissaient en suçant. Elles se masturbaient en même temps. Leurs regards étaient perdus, salis, ivres de bite et de plaisir. Damon les tenait par les cheveux, gérait le rythme, grognait à chaque aller-retour de leurs langues sur ses veines gonflées.
“Vous êtes… mes putes… de luxe…” murmura-t-il.
Caro releva les yeux, bouche ouverte, les lèvres brillantes.
“On adore les queues bien dressées…”
Puis elle se pencha et baisa Lucie à pleine bouche, la langue déjà poisseuse de foutre et de chantilly.
Elles s’embrassèrent goulûment, se frottant l’entrejambe, puis reprirent leur œuvre de succion partagée, plus déchaînées encore.
Autour, ça devenait flou.
Teri embrassait Mireille sur le canapé.
Mamie se faisait lécher les seins par Travis, assise comme une impératrice perverse.
Et moi…
… j’étais en train de me lever.
Je ne sais pas ce qui m’a fait bouger.
Peut-être le regard de Mamie — pétillant, complice, lubrique.
Peut-être Teri, ma sœur, qui me caressait doucement le dos en murmurant : “C’est ta nuit, ma chérie.”
Ou peut-être les trois queues dressées qui m’attendaient. Battantes. Pulsantes. Offertes.
Mais je me suis levée.
Dans mon petit serre-tête en plastique rose, avec écrit “BRIDE” en lettres pailletées, et ce foutu voile ridicule qui me retombait sur les épaules, je suis entrée dans le cercle.
Les filles se sont mises à hurler, à frapper dans leurs mains, à m’encourager comme une rockstar qui monte sur scène.
“ALLEZ LA MARIÉE !”
“Montre-nous c’que t’as dans le ventre !”
“Bouffe-les tous les trois !”
Et Mamie, depuis son fauteuil :
“Fais-toi du bien, ma puce. Y’a pas de honte à aimer la queue…”
J’étais rouge. Tremblante. Excitée comme jamais.
Ils se sont approchés.
Trois bites énormes.
Travis, le flic, à ma gauche, son sexe droit comme une matraque, épais, veiné, presque menaçant.
Damon, le trader, face à moi, queue brillante encore trempée de salive, légèrement courbée vers moi, comme pour m’appeler.
Et Malik, le pompier, à droite, bite noire et monumentale, plus longue que tout ce que j’avais jamais vu.
Je me suis agenouillée.
Doucement. Comme une offrande.
Et là… tout a explosé.
Je n’ai pas choisi. J’ai ouvert la bouche, et la première queue qui s’y est glissée, c’est celle de Damon.
Elle emplissait tout.
Ma bouche, ma gorge, mon souffle.
Elle m’a fait pleurer les yeux. Et j’ai adoré ça.
Pendant que je suçais, Travis me tenait par les cheveux, caressait mes seins à travers ma robe, les tirait, les pressait.
Malik, lui, s’était agenouillé derrière moi, avait remonté ma robe jusqu’à ma taille, écarté ma culotte déjà trempée, et commençait à me lécher la chatte à grands coups de langue chaude.
Je gémissais sur la queue.
Les filles autour de moi m’encourageaient, certaines se touchaient, d’autres se masturbaient, deux étaient en train de se faire doigter sur le tapis.
Mamie avait une main dans son décolleté, l’autre entre ses cuisses.
Et moi… je changeais de queue.
Damon sortait de ma bouche, remplacé par Malik. Puis Travis.
Je les suçais à tour de rôle. J’en avais une dans la bouche, une contre ma joue, une autre entre mes seins, que l’un d’eux pressait contre sa queue pour me baiser la poitrine.
Ils me faisaient tourner, comme une poupée à leur merci.
J’ai senti Travis se glisser derrière moi, sa queue énorme frottant ma chatte trempée.
Il n’a pas demandé.
Il a enfoncé tout son sexe en moi d’un coup de reins violent.
Je me suis cambrée, hurlée sur la bite que je suçais. Mes jambes ont tremblé.
Puis ce fut Damon, dans ma bouche.
Puis Malik, qui s’est couché sous moi pour que je m’empale sur lui, sa queue me remplissant entièrement pendant que Travis me baisait la bouche.
Puis inversion. Puis double pénétration.
Je n’étais plus une mariée. J’étais un réceptacle.
Leurs queues entraient, sortaient. Ma bouche. Ma chatte. Mon cul. Mes seins. Tout servait.
Et je jouissais. Encore. Encore. Encore.
Une main, je ne sais pas de qui, est venue frotter mon clito pendant que deux queues me remplissaient.
J’ai explosé.
J’ai crié.
Et j’en ai redemandé.
Je ne sais plus combien de fois j’ai joui.
Combien de queues j’ai eues dans la bouche.
Combien de doigts, de mains, de langues m’ont caressée, encouragée, tenue, pincée.
Tout ce que je sais, c’est que j’étais à genoux au centre du salon, seins nus, robe roulée à la taille, culotte disparue, cuisses écartées, la bouche grande ouverte, prête à recevoir.
Et ils étaient là.
Les trois dieux.
Malik, Travis, Damon.
Leurs torses luisants de sueur.
Leurs bites dures, brillantes, veineuses, palpitantes.
Ils se masturbaient devant moi, chacun tenant sa queue comme une arme vivante, la pointe dirigée vers mon visage, mon cou, ma poitrine.
Autour, c’était la folie.
Les filles hurlaient.
Mamie criait “Vas-y ma chérie, régale-toi !”
Teri tapait des mains et chantait “La mariée est une cochonne !”
Certaines se touchaient en me regardant, d’autres s’embrassaient à pleine bouche, les jambes en l’air, se caressant en rythme.
Et puis… ils ont joui.
Malik le premier.
Un jet énorme a jailli, frappant ma joue, mon front, glissant dans mes cheveux, suspendu à mon serre-tête rose “Bride”.
Puis Travis.
Il visait ma poitrine. Deux jets chauds, épais, m’ont éclaboussée sur les seins, puis dans le creux de ma gorge. Le sperme coulait entre mes seins, poisseux, brûlant.
Damon, enfin, m’a arrosée la bouche.
J’ai tendu la langue, reçu son foutre en plein visage, quelques gouttes dans l’œil, sur les lèvres, et un dernier jet puissant directement dans ma bouche ouverte.
Je l’ai avalé. Lentement. Salement.
Puis j’ai ri.
Le visage dégoulinant. Les seins couverts. Les cheveux souillés.
Le voile blanc collé à mon cou par la cyprine.
Un tonnerre d’applaudissements a éclaté.
Teri m’a tendu une serviette — que j’ai repoussée en riant.
Je voulais rester marquée.
Je voulais qu’il reste des traces.
De cette nuit.
Mamie s’est approchée et m’a embrassé sur la joue, sans aucune gêne.
“Tu vois, mon trésor… le mariage, c’est bien.
Mais y’a rien de plus beau qu’une vraie nuit de chienne.”
Damon dit : « Bon, les filles… c'est fini. C'était un plaisir d'être là ce soir. » Puis il me regarda et dit : « Je suis sûr que… c'était un vrai plaisir. »
Pendant que je me nettoyais avec un torchon de la cuisine, Damon s'habilla, puis lui, Malik et Travis préparèrent leurs affaires et quittèrent la fête.
Une fois les garçons partis, toutes les filles se retrouvèrent dans le salon, toujours en train de rire et de ricaner de la folie à laquelle elles venaient de participer.
Mamie attira leur attention et dit : « Écoutez, les filles… ce qui s'est passé ce soir reste dans cette pièce. Le futur mari n'a pas besoin d'être au courant. »
Teri intervint : « Ouais, mon mari non plus. Silence absolu… d'accord ? » Elles acquiescèrent toutes solennellement, puis commencèrent à bavarder et à ricaner à propos des trois bites incroyables qu'elles avaient vues en action ce soir-là.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Comme toujours une histoire très originale, incroyable et terriblement pornographique.
Des femmes totalement libres et dévergondées, avec une mention spéciale à Mamie !..
Et promis, je ne dirai rien au futur mari...
Des femmes totalement libres et dévergondées, avec une mention spéciale à Mamie !..
Et promis, je ne dirai rien au futur mari...
Très excitant !! J'adore

