la chambre d'hôtes naturiste - chapitre 1 l'arrivée

Récit érotique écrit par Stark31 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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la chambre d'hôtes naturiste - chapitre 1 l'arrivée
Le portail s’ouvre, odeur de pin et de pierre chaude. En bas, Myriam et Luc nous accueillent comme si on rentrait à la maison: cuisine ouverte, fruits mûrs, café qui refroidit lentement. “Vos chambres sont à l’étage, sur le même palier. Le balcon fait le tour.” Leurs yeux sourient; le cadre est net: respect, consentement, discrétion.
On monte. Quatre portes pour quatre chambres: la nôtre, et celles des trois autres couples. Un balcon filant relie tout, voilages de lin aux portes-fenêtres. Il suffit d’une brise pour que l’intérieur se laisse deviner. J’aime déjà cet étage comme on aime une scène avant le lever de rideau.
Dans la chambre, j’ouvre la baie vitrée. L’air s’invite, frais et souple, et glisse aussitôt sur ma peau nue comme une main curieuse. J’enlève mes sandales : la tiédeur du parquet s’infiltre par la voûte plantaire et remonte dans mes mollets, comme un frisson qui s’installe.
Le tee-shirt glisse le long de mes bras, y déclenchant de minuscules crépitements électriques. Quand il quitte mes épaules, ma peau s’agrandit, s’étire vers la lumière. Sous le tissu, il n’y a jamais rien — aucun tissu qui emprisonne, aucune barrière. Ma poitrine respire, libre, offerte à l’air qui s’installe.
La jupe tombe à mes pieds, lente et docile. Les marques sur mes hanches s’évanouissent, puis rosissent quand le sang revient y danser. Là où, en ville, tout reste enfermé, ici, chaque pore s’ouvre, boit l’instant. Ma nuque chauffe, mon sternum s’ouvre, et plus bas, tout bas, une onde sourde s’installe, charnelle et continue.
Mes tétons se dressent sans hésiter, deux boussoles insolentes, fières. La brise les cueille, les frôle d’un trait glacé : pointe aiguë, presque douloureuse, délicieuse. Une vibration naît entre mes cuisses, discrète d’abord, puis plus dense, un fourmillement qui pulse dans le bas-ventre et se propage comme une rumeur dans tout mon corps.
Je reste un instant immobile, face à la baie grande ouverte. L’air chaud et l’air frais s’entrechoquent sur ma peau, dessinant des zones, des chemins.
J’inspire profondément. L’odeur mêlée de la végétation et du sel vient m’envahir, presque me nourrir.
Mon corps répond sans attendre. Le bas de mon ventre se tend, vibrant comme une corde prête à se rompre. Les fourmillements de mon sexe s’étendent, descendent, remontent, comme si chaque souffle de vent possédait un langage secret que seul mon corps comprend.
Ma poitrine, libre, gonfle, mes tétons s’endurcissent encore, hypersensibles, comme s’ils pouvaient capter la lumière et la transformer en plaisir.
Je fais un pas vers le balcon. Sous mes pieds nus, le parquet cède la place à la pierre tiède. Je me penche un peu, laissant l’air s’engouffrer entre mes cuisses nues. Ma peau frissonne d’un seul coup, un frisson long et serré qui me coupe la respiration.
En bas, le jardin s’étend, calme, baigné de lumière. Pourtant, il y a… une présence. Une silhouette. Appuyée nonchalamment contre la rambarde de bois, un verre à la main. Les yeux levés. Vers moi.
Mon cœur cogne, mais je ne bouge pas.
Je sens sa façon de me regarder.
Je sens ce qu’il voit.
Et je sais, à cet instant précis, qu’il ne détournera pas les yeux…
Il ne bouge pas. Ses yeux restent fixés sur moi, ancrés comme deux mains invisibles qui m’explorent. Je sens ce regard me traverser, s’arrêter, repartir… Il longe mes épaules, glisse le long de mes bras nus, caresse la courbe de ma taille, remonte vers mes seins nus où il s’attarde.
Chaque fois qu’il les effleure de ses yeux, mes tétons se contractent un peu plus, comme pour se tendre vers lui, l’appeler. Une chaleur moite s’installe dans mon bas-ventre, lourde, insistante, et une pulsation naît entre mes cuisses, sourde et impérieuse.
Mon sexe réagit avant même que je le décide. Il s’humidifie, s’ouvre, prêt, comme si ce simple regard avait trouvé la clé. C’est animal, instinctif, inévitable.
Je bascule légèrement le bassin, laissant la brise glisser entre les levres de mon sexe et ouvrir une magnifique vue à mon nouveau voisin. Ma nudité est totale, offerte, et je sais qu’il voit tout.
Lui, immobile, me dévore des yeux. Grand, épaules larges, la chemise entrouverte laisse deviner un torse ferme, hâlé par le soleil. Ses avant-bras musclés trahissent un corps habitué à l’effort, mais c’est sa mâchoire, légèrement serrée, et la lenteur calculée de sa respiration qui me disent le plus : il me veut, là, maintenant.
Je m’attarde encore, le temps de savourer ce pouvoir qui brûle dans l’air. Mes mains glissent distraitement le long de mes hanches, descendent vers mes cuisses, comme si je me lissais… mais c’est à lui que je pense. Et je sais qu’il le sait.
Puis, lentement, je me retourne. Dans la chambre, la lumière plus douce m’enveloppe à nouveau. Mon mari est là, nu, allongé sur le lit. Il m’attend, ses yeux brillants, comme s’il avait vu toute la scène à travers moi.
Je ferme la baie vitrée, mais l’air de dehors reste accroché à ma peau. Je vais vers lui, chaque pas chargé du parfum de ce regard étranger… et de la promesse qu’il a laissée.
— On garde quoi, comme règles ? dit-il.
— Consentement. Vérité. Discrétion. Et si quelqu’un arrive, on devient du bois.
— Café long si je viens, café court si tu me ramènes l’histoire.
— Café court, aujourd’hui.
Pierre est là, nu, étendu sur le lit, ses yeux déjà brillants d’un mélange d’adoration et de désir brut. Il sait. Il n’a pas besoin de questions, il sent ce que j’ai fait dehors… et ce que ça m’a fait.
Je m’avance vers lui, lente, volontaire, chaque pas comme un ordre silencieux. Je grimpe sur le lit, m’agenouille de part et d’autre de son visage.
— Pas un geste avec tes mains. Pas un.
Ma voix est basse, coupante, mais pleine de promesses.
Il hoche la tête, soumis, les bras sagement le long du corps.
Je baisse lentement mon bassin vers lui. L’odeur chaude et humide de mon excitation l’enveloppe déjà. Il ferme les yeux une seconde, comme pour se perdre dedans, puis les rouvre, prêt à obéir.
Je le laisse attendre. Ses lèvres sont à un souffle de moi, mais je reste immobile, savourant ce pouvoir qui gonfle en moi. Je sais qu’il est fou d’excitation, que l’idée même d’autres hommes sur ma peau le rend dingue. Et je sais qu’il imagine déjà l’homme du balcon à sa place.
— Maintenant.
Il obéit aussitôt, sa langue s’aventure, timide au début, puis plus ferme. Une vague chaude me parcourt de l’intérieur. Je ferme les yeux, mais ce n’est pas Pierre que je vois : c’est le regard de l’autre, là dehors, me dévorant.
Je pose mes mains sur la tête de mon mari et l’oblige à maintenir le rythme que je veux. Pas de caresses, pas de pénétration, juste cette langue qui me boit.
Je bouge doucement, imposant ma cadence. Le plaisir monte, concentré, précis. Chaque coup de langue résonne dans mon bas-ventre déjà gorgé de désir.
Mon souffle s’accélère. Dans ma tête, c’est comme si je chevauchais deux hommes à la fois : celui qui obéit sous moi, et celui qui m’imagine à lui, nue, offerte, au bord de la chute.
Je souris. Pierre gémit contre moi, prisonnier de mon odeur, de mon goût, de mon pouvoir. Et moi, je savoure tout.
Je reste au-dessus de lui, genoux ancrés dans le matelas, les cuisses légèrement ouvertes, offrant mon sexe à sa langue comme une reine reçoit un hommage. Son souffle chaud se mélange à la moiteur déjà présente entre mes lèvres.
Le premier contact est un choc. La pointe de sa langue frôle mon clitoris avec une précision presque cruelle, et mon corps entier répond, une décharge qui part du bas-ventre et grimpe dans ma poitrine. Mes tétons se contractent à s’en faire mal, dressés comme deux éclats de verre. Je sens chaque nerf de mon corps se tendre, comme si j’étais traversée par un courant continu.
Je baisse un instant les yeux vers lui… et je le vois. Son sexe est dressé, dur à se fendre, palpitant contre son ventre. Il pulse à chaque mouvement de ma hanche, prisonnier d’un désir qu’il n’a pas le droit d’assouvir. L’idée que cette érection soit née uniquement de mon goût, de ma chaleur, et de la vision de ma nudité offerte, m’électrise.
— Plus fort… plus vite… mais ne change rien à ta langue, ordonné-je, ma voix à peine plus qu’un souffle.
Il obéit, avide, mais toujours privé de ses mains. Toute sa concentration, toute son énergie se résume à me goûter, à me faire vibrer.
La chaleur en moi s’intensifie. Les fourmillements deviennent une pulsation, une onde qui s’élargit à chaque coup de langue. Mon bassin commence à bouger par instinct, pressant davantage contre sa bouche. Chaque fois qu’il appuie un peu plus, mon ventre se creuse, mes cuisses tremblent.
Je garde les yeux ouverts, fixés sur la baie vitrée derrière lui. Dans mon esprit, l’homme du balcon est toujours là. Je l’imagine me regarder dans cette position, voir mon corps onduler, ma poitrine libre se soulever, ma peau luisante de désir. Cette pensée est de l’huile jetée sur le feu.
Mon souffle devient court, haché. Mes mains se crispent dans ses cheveux, le guidant, imposant ma cadence. Les muscles de mon ventre se contractent par vagues, prêts à rompre. Le plaisir se concentre en un point brûlant, insoutenable, et tout mon corps s’arc-boute.
La vague me prend d’un coup, puissante, irréversible. Mon corps se tend, puis se brise en secousses violentes. Un gémissement m’échappe, long, rauque, incontrôlable. Mes cuisses se referment légèrement autour de son visage tandis que chaque tremblement prolonge l’explosion.
En reprenant mon souffle, je baisse à nouveau les yeux. Son sexe est toujours là, fièrement dressé, plus gonflé encore qu’avant, humide à sa pointe. Un sourire lent, presque cruel, s’installe sur mes lèvres. Il ne jouira pas. Pas maintenant.
Je me redresse, le souffle court, la peau frémissante, consciente d’avoir tout pris… et de ne rien lui avoir donné en retour.
On monte. Quatre portes pour quatre chambres: la nôtre, et celles des trois autres couples. Un balcon filant relie tout, voilages de lin aux portes-fenêtres. Il suffit d’une brise pour que l’intérieur se laisse deviner. J’aime déjà cet étage comme on aime une scène avant le lever de rideau.
Dans la chambre, j’ouvre la baie vitrée. L’air s’invite, frais et souple, et glisse aussitôt sur ma peau nue comme une main curieuse. J’enlève mes sandales : la tiédeur du parquet s’infiltre par la voûte plantaire et remonte dans mes mollets, comme un frisson qui s’installe.
Le tee-shirt glisse le long de mes bras, y déclenchant de minuscules crépitements électriques. Quand il quitte mes épaules, ma peau s’agrandit, s’étire vers la lumière. Sous le tissu, il n’y a jamais rien — aucun tissu qui emprisonne, aucune barrière. Ma poitrine respire, libre, offerte à l’air qui s’installe.
La jupe tombe à mes pieds, lente et docile. Les marques sur mes hanches s’évanouissent, puis rosissent quand le sang revient y danser. Là où, en ville, tout reste enfermé, ici, chaque pore s’ouvre, boit l’instant. Ma nuque chauffe, mon sternum s’ouvre, et plus bas, tout bas, une onde sourde s’installe, charnelle et continue.
Mes tétons se dressent sans hésiter, deux boussoles insolentes, fières. La brise les cueille, les frôle d’un trait glacé : pointe aiguë, presque douloureuse, délicieuse. Une vibration naît entre mes cuisses, discrète d’abord, puis plus dense, un fourmillement qui pulse dans le bas-ventre et se propage comme une rumeur dans tout mon corps.
Je reste un instant immobile, face à la baie grande ouverte. L’air chaud et l’air frais s’entrechoquent sur ma peau, dessinant des zones, des chemins.
J’inspire profondément. L’odeur mêlée de la végétation et du sel vient m’envahir, presque me nourrir.
Mon corps répond sans attendre. Le bas de mon ventre se tend, vibrant comme une corde prête à se rompre. Les fourmillements de mon sexe s’étendent, descendent, remontent, comme si chaque souffle de vent possédait un langage secret que seul mon corps comprend.
Ma poitrine, libre, gonfle, mes tétons s’endurcissent encore, hypersensibles, comme s’ils pouvaient capter la lumière et la transformer en plaisir.
Je fais un pas vers le balcon. Sous mes pieds nus, le parquet cède la place à la pierre tiède. Je me penche un peu, laissant l’air s’engouffrer entre mes cuisses nues. Ma peau frissonne d’un seul coup, un frisson long et serré qui me coupe la respiration.
En bas, le jardin s’étend, calme, baigné de lumière. Pourtant, il y a… une présence. Une silhouette. Appuyée nonchalamment contre la rambarde de bois, un verre à la main. Les yeux levés. Vers moi.
Mon cœur cogne, mais je ne bouge pas.
Je sens sa façon de me regarder.
Je sens ce qu’il voit.
Et je sais, à cet instant précis, qu’il ne détournera pas les yeux…
Il ne bouge pas. Ses yeux restent fixés sur moi, ancrés comme deux mains invisibles qui m’explorent. Je sens ce regard me traverser, s’arrêter, repartir… Il longe mes épaules, glisse le long de mes bras nus, caresse la courbe de ma taille, remonte vers mes seins nus où il s’attarde.
Chaque fois qu’il les effleure de ses yeux, mes tétons se contractent un peu plus, comme pour se tendre vers lui, l’appeler. Une chaleur moite s’installe dans mon bas-ventre, lourde, insistante, et une pulsation naît entre mes cuisses, sourde et impérieuse.
Mon sexe réagit avant même que je le décide. Il s’humidifie, s’ouvre, prêt, comme si ce simple regard avait trouvé la clé. C’est animal, instinctif, inévitable.
Je bascule légèrement le bassin, laissant la brise glisser entre les levres de mon sexe et ouvrir une magnifique vue à mon nouveau voisin. Ma nudité est totale, offerte, et je sais qu’il voit tout.
Lui, immobile, me dévore des yeux. Grand, épaules larges, la chemise entrouverte laisse deviner un torse ferme, hâlé par le soleil. Ses avant-bras musclés trahissent un corps habitué à l’effort, mais c’est sa mâchoire, légèrement serrée, et la lenteur calculée de sa respiration qui me disent le plus : il me veut, là, maintenant.
Je m’attarde encore, le temps de savourer ce pouvoir qui brûle dans l’air. Mes mains glissent distraitement le long de mes hanches, descendent vers mes cuisses, comme si je me lissais… mais c’est à lui que je pense. Et je sais qu’il le sait.
Puis, lentement, je me retourne. Dans la chambre, la lumière plus douce m’enveloppe à nouveau. Mon mari est là, nu, allongé sur le lit. Il m’attend, ses yeux brillants, comme s’il avait vu toute la scène à travers moi.
Je ferme la baie vitrée, mais l’air de dehors reste accroché à ma peau. Je vais vers lui, chaque pas chargé du parfum de ce regard étranger… et de la promesse qu’il a laissée.
— On garde quoi, comme règles ? dit-il.
— Consentement. Vérité. Discrétion. Et si quelqu’un arrive, on devient du bois.
— Café long si je viens, café court si tu me ramènes l’histoire.
— Café court, aujourd’hui.
Pierre est là, nu, étendu sur le lit, ses yeux déjà brillants d’un mélange d’adoration et de désir brut. Il sait. Il n’a pas besoin de questions, il sent ce que j’ai fait dehors… et ce que ça m’a fait.
Je m’avance vers lui, lente, volontaire, chaque pas comme un ordre silencieux. Je grimpe sur le lit, m’agenouille de part et d’autre de son visage.
— Pas un geste avec tes mains. Pas un.
Ma voix est basse, coupante, mais pleine de promesses.
Il hoche la tête, soumis, les bras sagement le long du corps.
Je baisse lentement mon bassin vers lui. L’odeur chaude et humide de mon excitation l’enveloppe déjà. Il ferme les yeux une seconde, comme pour se perdre dedans, puis les rouvre, prêt à obéir.
Je le laisse attendre. Ses lèvres sont à un souffle de moi, mais je reste immobile, savourant ce pouvoir qui gonfle en moi. Je sais qu’il est fou d’excitation, que l’idée même d’autres hommes sur ma peau le rend dingue. Et je sais qu’il imagine déjà l’homme du balcon à sa place.
— Maintenant.
Il obéit aussitôt, sa langue s’aventure, timide au début, puis plus ferme. Une vague chaude me parcourt de l’intérieur. Je ferme les yeux, mais ce n’est pas Pierre que je vois : c’est le regard de l’autre, là dehors, me dévorant.
Je pose mes mains sur la tête de mon mari et l’oblige à maintenir le rythme que je veux. Pas de caresses, pas de pénétration, juste cette langue qui me boit.
Je bouge doucement, imposant ma cadence. Le plaisir monte, concentré, précis. Chaque coup de langue résonne dans mon bas-ventre déjà gorgé de désir.
Mon souffle s’accélère. Dans ma tête, c’est comme si je chevauchais deux hommes à la fois : celui qui obéit sous moi, et celui qui m’imagine à lui, nue, offerte, au bord de la chute.
Je souris. Pierre gémit contre moi, prisonnier de mon odeur, de mon goût, de mon pouvoir. Et moi, je savoure tout.
Je reste au-dessus de lui, genoux ancrés dans le matelas, les cuisses légèrement ouvertes, offrant mon sexe à sa langue comme une reine reçoit un hommage. Son souffle chaud se mélange à la moiteur déjà présente entre mes lèvres.
Le premier contact est un choc. La pointe de sa langue frôle mon clitoris avec une précision presque cruelle, et mon corps entier répond, une décharge qui part du bas-ventre et grimpe dans ma poitrine. Mes tétons se contractent à s’en faire mal, dressés comme deux éclats de verre. Je sens chaque nerf de mon corps se tendre, comme si j’étais traversée par un courant continu.
Je baisse un instant les yeux vers lui… et je le vois. Son sexe est dressé, dur à se fendre, palpitant contre son ventre. Il pulse à chaque mouvement de ma hanche, prisonnier d’un désir qu’il n’a pas le droit d’assouvir. L’idée que cette érection soit née uniquement de mon goût, de ma chaleur, et de la vision de ma nudité offerte, m’électrise.
— Plus fort… plus vite… mais ne change rien à ta langue, ordonné-je, ma voix à peine plus qu’un souffle.
Il obéit, avide, mais toujours privé de ses mains. Toute sa concentration, toute son énergie se résume à me goûter, à me faire vibrer.
La chaleur en moi s’intensifie. Les fourmillements deviennent une pulsation, une onde qui s’élargit à chaque coup de langue. Mon bassin commence à bouger par instinct, pressant davantage contre sa bouche. Chaque fois qu’il appuie un peu plus, mon ventre se creuse, mes cuisses tremblent.
Je garde les yeux ouverts, fixés sur la baie vitrée derrière lui. Dans mon esprit, l’homme du balcon est toujours là. Je l’imagine me regarder dans cette position, voir mon corps onduler, ma poitrine libre se soulever, ma peau luisante de désir. Cette pensée est de l’huile jetée sur le feu.
Mon souffle devient court, haché. Mes mains se crispent dans ses cheveux, le guidant, imposant ma cadence. Les muscles de mon ventre se contractent par vagues, prêts à rompre. Le plaisir se concentre en un point brûlant, insoutenable, et tout mon corps s’arc-boute.
La vague me prend d’un coup, puissante, irréversible. Mon corps se tend, puis se brise en secousses violentes. Un gémissement m’échappe, long, rauque, incontrôlable. Mes cuisses se referment légèrement autour de son visage tandis que chaque tremblement prolonge l’explosion.
En reprenant mon souffle, je baisse à nouveau les yeux. Son sexe est toujours là, fièrement dressé, plus gonflé encore qu’avant, humide à sa pointe. Un sourire lent, presque cruel, s’installe sur mes lèvres. Il ne jouira pas. Pas maintenant.
Je me redresse, le souffle court, la peau frémissante, consciente d’avoir tout pris… et de ne rien lui avoir donné en retour.
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