la salle de sport

- Par l'auteur HDS Stark31 -
Récit érotique écrit par Stark31 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : la salle de sport Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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la salle de sport
LA SALLE DE SPORT
C’est le dernier cours du soir. La salle se vide peu à peu, les lumières tamisées se reflètent dans les miroirs immenses. Mes muscles sont encore tendus de l’effort, ma peau moite, perlée de sueur. J’adore cette sensation, comme si tout mon corps vibrait encore d’énergie.
Depuis une heure, j’ai senti son regard sur moi. Un grand brun, solide, les veines gonflées sur les avant-bras, torse étincelant de sueur. Chaque fois que je me penchais, que je tendais les bras, je le surprenais à m’observer, sans détour. Et moi, j’en jouais. Mon legging blanc collé à ma peau comme une seconde chair, mon top glissant sur mes seins sans rien pour les retenir… J’étais sa distraction autant qu’il était la mienne.
Quand le cours s’achève, je regarde ma montre : Pierre m’attend pour sortir en ville. Je n’ai pas le temps de traîner, mais je dois me rafraîchir. Je file vers les vestiaires des femmes… bondés. Les douches claquent, des rires fusent, tout est pris. Attendre ? Impossible.
Alors je fais demi-tour, discrète, le cœur battant. Mon pas me conduit vers le vestiaire des hommes. J’entre, la porte se referme dans un claquement métallique. L’air y est plus lourd, saturé d’odeurs de sueur, de savon et de virilité brute.
Je me déshabille rapidement, mon legging glisse le long de mes cuisses luisantes, mon top tombe au sol. Nue, ma peau frissonne dans cette atmosphère étrangère. L’eau des douches résonne encore sur le carrelage, mais le couloir est désert.
Je choisis un jet, ouvre l’eau. La chaleur coule sur mes épaules, ruisselle entre mes seins tendus, glisse sur mon ventre et s’attarde entre mes cuisses encore contractées de l’effort. Je ferme les yeux, un soupir m’échappe.
C’est alors que je sens un mouvement derrière moi. Je rouvre les yeux, le cœur soudain affolé. Dans le miroir embué du vestiaire, son reflet apparaît. Le grand brun. Il est là, torse nu, une serviette sur l’épaule, son regard planté dans le mien.
Je reste immobile, l’eau caressant ma peau nue, consciente d’être découverte, nue dans ce vestiaire interdit. Mon ventre se serre, mon sexe se met à pulser, comme s’il attendait déjà la suite.
L’eau ruisselle encore sur mon visage quand sa voix grave fend le silence.
— Qu’est-ce que tu fais là ?
Je sursaute. Mon cœur cogne dans ma poitrine. Mes joues s’enflamment aussitôt.
— Je… les douches des femmes étaient pleines, alors… je n’avais pas le temps d’attendre, balbutié-je, la voix basse.
Il me fixe, ses yeux glissent sur mon corps luisant. Je détourne le regard, confuse, mais mes mains continuent leur geste. Le savon mousse entre mes doigts, je le fais glisser sur mes épaules, mes seins, mon ventre. Mes gestes sont lents, presque sensuels malgré moi.
Je sens ses yeux suivre chaque mouvement. Je passe mes mains sur ma poitrine, mes tétons gonflés sous l’eau chaude, et un soupir m’échappe. Le désir et la honte se mélangent, me font trembler.
C’est alors que mon regard glisse, malgré moi. Vers lui. Vers ce qui gonfle sous sa serviette à demi nouée. Le tissu ne cache déjà plus rien. Son sexe se dresse, long, épais, comme animé de sa propre vie. Plus je regarde, plus il prend de l’ampleur, se durcissant sous mes yeux incrédules.
Un frisson violent me parcourt. Ma bouche s’entrouvre. Mon ventre se contracte, mon sexe pulse de chaleur. Je sais. Je le sens : face à une telle évidence, je ne pourrai rien refuser.
Lui ne dit rien. Son sourire est à peine perceptible, mais son regard brûle. Mes mains continuent de me savonner, descendant plus bas, entre mes cuisses que j’écarte sous le jet brûlant. J’ai honte, mais déjà je suis perdue.
l s’avance, son ombre se découpe dans la vapeur. Sa voix grave roule comme un ordre :
— Tu sais que tu n’as rien à faire ici… Soit je préviens la direction, soit… je m’occupe de toi.
Mon ventre se serre. Mon esprit s’affole. Si la salle apprend que je me suis faufilée dans les vestiaires des hommes, ma réputation est fichue. Ici, tout le monde me connaît. Pierre aussi serait compromis. Je baisse les yeux, la gorge sèche.
— Je… je ne veux pas de problème, soufflé-je, presque inaudible.
Il sourit à peine, avance encore d’un pas. Son regard dur se pose sur mes fesses ruisselantes.
— Alors, tu choisis la punition ?
Je ferme les yeux, une chaleur étrange me monte aux joues. Mes mains tremblent, mais je hoche la tête.
— Oui…
En un geste ferme, il me retourne face à la paroi froide. L’eau continue de ruisseler sur ma peau nue. Je prends appui de mes paumes contre le carrelage humide, mes reins se creusent, mes fesses offertes malgré la honte qui me mord.
Je le sens derrière moi, tout près. Sa main large se pose sur ma hanche, l’autre effleure mes fesses, les caresse un instant comme pour les jauger. Mon souffle s’accélère, mes cuisses se serrent mais mon bassin se cambre, trahissant mon désir.
Puis la première claque tombe. Un bruit sec résonne dans la cabine. La chaleur me brûle la peau, mais un frisson violent me traverse, jusque dans mon ventre. Mon sexe se contracte déjà, humide, gonflé.
Une deuxième claque, plus forte. Je gémis, incapable de retenir ce son. Le contraste est saisissant : la douleur vive sur mes fesses, la caresse de l’eau chaude sur mon clitoris qui palpite. Je sens mes cuisses s’ouvrir, mes reins se cambrer davantage, comme si mon corps réclamait plus encore.
Il souffle dans mon oreille :
— Voilà… obéis.
Chaque nouvelle claque est un mélange de feu et de plaisir. Je me mords la lèvre, mon front contre le carrelage, mon corps offert à cette punition qui me consume et m’excite au-delà de tout.
Ses claques s’enchaînent, brûlantes, et pourtant je ne veux pas qu’il s’arrête. Ma peau vibre, chaque coup se diffuse en ondes chaudes qui descendent jusque dans mon ventre. Mon sexe se contracte à chaque impact, mes cuisses tremblent, mes reins se cambrent encore plus.
Puis sa main change. Elle ne frappe plus, elle caresse. Elle suit la courbe de mes fesses rougies, s’attarde dans le creux, glisse doucement entre mes cuisses ouvertes. Je retiens mon souffle. Ses doigts effleurent mon intimité gonflée, déjà trempée, offerte.
Un soupir m’échappe, mes jambes se dérobent presque. La caresse devient plus précise, ses doigts s’attardent sur mon clitoris durci, le pressent, le pincent légèrement. Mon dos se creuse encore, mes ongles s’enfoncent dans le carrelage glacé.
— Tu es prête, murmure-t-il.
Je hoche la tête, incapable de parler. Mon corps crie oui, mon ventre est en feu, mon sexe palpite d’attente.
Je le sens se coller à moi, son sexe gonflé qui glisse contre mes fesses, cherche son chemin. La chaleur de sa verge contre ma peau nue me fait frissonner. Puis, d’un mouvement ferme mais lent, il s’insère en moi.
Un gémissement rauque m’échappe, ma bouche s’ouvre sur un cri muet. La pression est intense, mon sexe s’écarte, l’accueille, l’engloutit centimètre par centimètre. Mes parois se contractent aussitôt autour de lui, l’aspirent, savourent sa présence.
Je ferme les yeux. La sensation est totale : mon ventre serré, mes reins cambrés, mes seins écrasés contre la paroi froide, mes tétons en feu sous le ruissellement de l’eau chaude. Chaque fibre de mon corps se tend sous l’impact de cette intrusion profonde.
Quand il s’enfonce complètement, je me sens comblée, pleine, vibrante. Mon clitoris bat à chaque pulsation de son sexe en moi. Je sais déjà que je vais jouir.
Il se retire à moitié, puis revient d’un coup de reins puissant. Mon corps se plaque plus fort contre le carrelage humide, mes seins s’écrasent, mes tétons brûlent. Chaque va-et-vient fait claquer mes fesses rougies contre son bassin, un bruit mêlé à celui de l’eau qui ruisselle.
Ses mains agrippent mes hanches, me tiennent captive. Son rythme s’accélère, précis, profond. Mon sexe l’avale et le retient, se gorge de cette invasion à chaque poussée. Je le sens glisser en moi, frotter mes parois sensibles, déclencher des vagues qui se propagent jusque dans mon ventre.
Je gémis, haletante, incapable de retenir ma voix. Mes cuisses se contractent, mon clitoris frotte contre mon propre pubis à chaque coup de reins. La chaleur monte, une lave brûlante s’accumule dans le bas de mon ventre.
— Plus fort… encore…
Il obéit. Sa respiration devient rauque, ses coups de bassin plus secs. Mon corps répond, tremble, mes jambes faiblissent, mais je tiens bon. Je sens le spasme venir, irrépressible, monter en moi comme une vague.
Puis ça explose. Mon sexe se contracte violemment autour de lui, le serre, le pulse. Je crie, ma voix résonne contre le carrelage, mes reins se cambrent au maximum, mes jambes tremblent de plaisir. Mon clitoris brûle, chaque nerf de mon corps s’embrase.
Dans la même seconde, je le sens se raidir. Ses mains me broient les hanches, son sexe gonfle encore, puis une chaleur intense m’inonde. Son plaisir se déverse en moi, profond, puissant. Ses gémissements rejoignent les miens, son corps se tend contre mon dos.
Nous restons collés, tremblants, haletants, liés par cet orgasme partagé. L’eau chaude continue de couler sur nos peaux, mélangeant sueur, eau et plaisir.
Je ferme les yeux. Mes cuisses vibrent encore, ma poitrine se soulève en cadence. Et je savoure, le souffle court, cette jouissance brute et sauvage qui m’a traversée de part en part.
Il reste quelques secondes en moi, haletant, ses mains serrées sur mes hanches. Je sens encore ses battements, profonds, dans la chaleur de mon ventre. Puis peu à peu, son sexe se détend, perd de sa raideur. Mon intimité le retient encore, comme pour refuser la séparation, mais il finit par glisser hors de moi.
Un frisson me traverse aussitôt. Le vide est brutal, presque douloureux. Mon sexe palpite encore, contracté par l’orgasme, et déjà je sens la chaleur épaisse de sa semence couler lentement. Elle glisse en filet chaud entre mes lèvres gonflées, descend le long de mes cuisses tremblantes.
Je ferme les yeux. Chaque goutte qui s’échappe me donne la sensation étrange d’être encore possédée par lui. Mes fesses rougies picotent, mon clitoris vibre toujours, hypersensible, comme si mon corps refusait que le plaisir s’achève.
L’eau de la douche se mêle à cette coulée intime. Elle dilue, mais je sens parfaitement la différence : l’une froide, claire, l’autre épaisse, brûlante, chargée de l’empreinte de son corps. Je me cambre encore, volontairement, comme pour prolonger ce ruissellement, savourer chaque trace de ce qu’il m’a donné.
Mes jambes peinent à me porter. Ma poitrine se soulève encore, mes tétons douloureusement tendus. Je reste un instant immobile, offerte à l’eau et à ce mélange qui me parcourt, dans une sorte de vertige languissant.
Et puis seulement, j’ose tourner la tête vers lui, les joues rougies, le souffle encore court. Je sais que je viens de vivre quelque chose d’interdit, de sauvage, mais dans mon ventre et entre mes cuisses, tout me hurle que je ne l’oublierai jamais.
Je me retourne lentement, encore appuyée contre le carrelage. Son torse luit d’eau et de sueur mêlées. Ses yeux brûlants accrochent les miens.
— Tu… tu ne devrais pas être là, souffle-t-il, la voix encore rauque.
Un sourire timide étire mes lèvres. Mes cuisses luisent encore de son empreinte.
— Je sais… mais tu n’as pas l’air de t’en plaindre.
Il rit doucement, presque gêné. Sa main se lève, caresse une mèche mouillée sur ma joue. Le contact est bref mais tendre, comme un aveu silencieux.
— Tu es… incroyable, murmure-t-il.
Je baisse les yeux, mes joues rosies, incapable de cacher mon trouble. Je ramasse ma serviette, l’enroule autour de mes hanches tremblantes. Mes doigts tremblent encore quand je passe ma petite robe par-dessus mon corps humide. Le tissu colle à ma peau, révélant plus qu’il ne cache.
Lui m’observe, immobile, comme s’il voulait graver chaque geste, chaque détail. Je sens encore son regard me suivre quand j’ajuste ma robe, mes seins dressés contre le tissu léger, mes jambes luisantes.
Avant de franchir la porte, je croise à nouveau son regard. Je chuchote presque, un sourire à la commissure des lèvres :
— On ne dira rien…
Puis je pars, le cœur battant, la démarche encore vacillante, le parfum de son plaisir et de mon trouble toujours imprimé sur ma peau.
Quand je retrouve Pierre sur le parking, il est déjà installé dans la voiture, moteur allumé. Son regard accroche aussitôt le mien, intrigué.
— Tu en as mis, du temps…
Je sens mes joues s’empourprer, mes cuisses encore moites sous ma robe collée. Je m’installe à ses côtés, referme doucement la portière. Mon souffle est court, mon cœur cogne encore.
Je pose ma main sur sa cuisse, un sourire malicieux au coin des lèvres.
— Je t’expliquerai… allons-y.
Il arque un sourcil, mi-curieux, mi-soupçonneux, mais ne dit rien. Ses doigts tapotent doucement le volant. Je sais qu’il devine. Qu’il attend le moment où, seule avec lui, je lui livrerai chaque détail.
Je me cale contre le siège, mes jambes encore tremblantes. Le moteur gronde. Et dans ce silence complice, je garde pour moi les images brûlantes de la douche, jusqu’à ce que le moment vienne de les lui offrir, goutte par goutte, comme une confession érotique.

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