Séance photo privée – Chapitre 3 : La dernière frontière

- Par l'auteur HDS Stark31 -
Récit érotique écrit par Stark31 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Séance photo privée – Chapitre 3 : La dernière frontière Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Séance photo privée – Chapitre 3 : La dernière frontière
Séance photo privée
Chapitre 3

Trois jours. Trois longs jours à se repasser dans la tête l’image de Julien, calme comme une statue malgré cette érection monstrueuse qu’elle avait entrevue sous son jean. Trois jours à se dire qu’il ne craquerait pas… pas tant qu’elle ne prendrait pas les devants.
Alors, ce samedi, elle n’avait pas hésité : elle avait choisi un ensemble en tulle rouge translucide, volontairement indécent.Le soutien-gorge était si fin que ses tétons, déjà durs sous l’excitation, pointaient fièrement comme deux invitations.
Le string, une simple ficelle ornée d’un triangle de dentelle presque inexistant, épousait parfaitement les contours de son sexe lisse, totalement nu, et laissait deviner la moindre luisance de sa mouille.

Elle se regarda une dernière fois dans le miroir avant de partir et se dit à voix basse :
— Aujourd’hui, il ne restera pas de marbre.

L’arrivée
Julien lui ouvrit comme à son habitude, détendu en apparence, mais ses yeux trahirent une seconde de stupeur avant qu’il ne reprenne son air professionnel.
— Tu es… prête pour une séance différente, on dirait, dit-il, sa voix légèrement plus grave.— Exactement ce que tu m’avais proposé… répondit-elle avec un sourire innocent.
Elle enleva son manteau dans l’entrée avec une lenteur presque étudiée, et fit glisser sa robe au sol...La lumière du studio se posa sur elle, caressant la transparence rouge qui révélait tout : ses seins tendus, ses tétons presque douloureux de désir, et la ligne humide déjà visible au niveau de son sexe.

Julien inspira discrètement.
— On va commencer… comme d’habitude. Tu es libre de bouger comme tu le sens. L’idée, c’est que tu restes toi.
Lana sourit intérieurement. Parfait… il vient de me donner exactement ce que je voulais : la liberté.Elle s’installa sur le canapé bas, s’allongeant paresseusement sur le plaid en fausse fourrure. Julien resta à distance, son appareil levé.
— Fais comme si tu étais seule… détends-toi…— Très bien, murmura-t-elle avec un faux air docile.
Alors elle joua. Elle fit semblant de s’étirer, arquant le dos pour que ses seins se soulèvent, les tétons tirant presque le tulle au point de blanchir le tissu.Elle fit mine de changer de position, se mettant à genoux un instant pour replacer un coussin, ce qui inclina son bassin vers lui. Son string, tendu à l’extrême, brillait sous la lumière à cause de l’humidité qui s’y accumulait.

Julien se racla discrètement la gorge mais ne dit rien, son appareil cliquetant plus vite que d’habitude.
Puis, d’un geste qui semblait innocent, Lana se tourna sur le côté, s’allongeant presque sur le ventre.
En repliant légèrement une jambe, elle offrit involontairement une vue directe sur son fessier parfait, le tulle rouge écarté par la tension de son mouvement.
Une fraction de seconde, on distinguait même son anus, lisse et parfaitement net, à peine couvert par la ficelle du string.
Elle resta ainsi plusieurs secondes, comme si de rien n’était, feignant de jouer avec une mèche de ses cheveux.
— Regarde bien, Julien… je sais que tu regardes. pensa-t-elle en retenant un sourire.

Julien se rapprocha légèrement pour ajuster l’angle de son appareil. Sa voix resta neutre, mais un peu plus rauque.
— Très bien… reste comme ça… c’est parfait.

Lana, satisfaite, se retourna doucement pour s’allonger sur le dos, les jambes repliées. La dentelle rouge collait maintenant littéralement à son sexe trempé, dessinant chaque relief intime sous la lumière.Elle jeta un coup d’œil rapide à Julien… et sourit.Son pantalon en toile beige était tendu à l’extrême, déformé par une érection massive. Et, cerise sur le gâteau, une auréole sombre apparaissait déjà au niveau de sa braguette. Du liquide séminal. Il ne s’en rendait même pas compte.Elle se mordit la lèvre, électrisée par cette vision.

Voilà… tu craques déjà, même si tu ne veux pas l’admettre.Elle se redressa légèrement, ses cheveux en désordre, et murmura :
— Alors, Julien… toujours aussi professionnel ?
Il leva les yeux, imperturbable en apparence, son regard planté dans le sien.
— Toujours, répondit-il calmement, sans même baisser les yeux sur son pantalon.
Cette réponse la déstabilisa. Comment pouvait-il rester aussi sûr de lui alors que son corps parlait à sa place ? Elle sentit la frustration la traverser, mélange étrange d’agacement et de désir brûlant."Tu tiendras peut-être encore aujourd’hui… mais pas la prochaine fois." pensa-t-elle, en reprenant une pose "sage", les cuisses pourtant toujours entrouvertes, juste pour le plaisir de le torturer.Julien avait toujours son appareil en main, mais ses mains tremblaient légèrement.

— Continue… bouge comme tu le sens, Lana. Tu es parfaite comme ça, dit-il d’une voix grave.
Elle sourit intérieurement. Parfait ? Attends un peu…Lana se redressa, assise sur le canapé, et passa lentement les mains sur son ventre, remontant jusqu’à ses seins. Ses tétons, déjà durs, tiraient le tulle rouge de son soutien-gorge, blanchissant presque le tissu.

— Julien… je crois que ce tissu gâche un peu la photo, tu ne trouves pas ? murmura-t-elle, faussement ingénue.
Julien avala sa salive, mais resta silencieux. Elle eut un petit sourire et décrocha lentement la bretelle de son épaule, puis l’autre, faisant glisser le soutien-gorge sur ses bras. Elle le laissa tomber à côté d’elle, sans se presser.Ses seins apparurent enfin, magnifiques, les tétons tendus comme deux petites pointes impatientes. Elle se pencha légèrement en avant, comme si elle voulait replacer un coussin, faisant volontairement balancer sa poitrine sous ses yeux.Julien cliqua frénétiquement, mais son souffle s’était fait plus court.Puis elle se mit à genoux sur le canapé, caressant ses hanches.

— Et si je l’enlevais aussi, celui-là ? dit-elle en attrapant son string.— Fais comme tu le sens, répondit-il, sa voix plus rauque qu’il ne l’aurait voulu.
Elle attrapa les ficelles rouges et les fit descendre très lentement le long de ses cuisses. À mesure que la dentelle glissait, elle dévoilait son sexe parfaitement épilé, luisant d’excitation. Une goutte de mouille roula le long de l’intérieur de sa cuisse et tomba sur le plaid.Elle jeta le string derrière elle d’un geste désinvolte et s’allongea sur le dos, les jambes repliées. Son sexe ouvert brillait sous la lumière, et ses lèvres gonflées pulsaient presque visiblement.

— Continue… oui… c’est magnifique, souffla Julien, plus pour lui-même que pour elle.
Lana se tourna ensuite à quatre pattes, lentement, ses cheveux tombant devant son visage. Elle cambra volontairement le dos, poussant ses fesses en arrière.Cette fois, il n’y avait plus aucun tissu pour cacher quoi que ce soit : son sexe humide s’ouvrait légèrement à chaque respiration, et une fine traînée brillante descendait maintenant sur sa cuisse.Elle bougea encore un peu, repliant une jambe pour accentuer la cambrure. Son petit anus lisse se dévoila complètement, offert, presque insolent.

Julien n’avait pas bougé de derrière son appareil, mais son regard s’était assombri, et ses mains tremblaient légèrement à chaque nouveau cliché.Lana, nue désormais, continuait de "poser", mais chaque mouvement était calculé pour le pousser à bout.Elle s’allongea sur le dos, les jambes repliées, laissant son sexe parfaitement épilé et gonflé d’excitation s’ouvrir légèrement sous la lumière. À chaque respiration, une fine traînée de mouille luisait le long de sa cuisse.Puis elle se mit à quatre pattes, son dos exagérément cambré. Ses lèvres intimes, humides, s’écartaient légèrement sous l’effet de la tension de sa position, et une perle brillante descendit lentement vers sa cuisse. Son petit anus lisse, parfaitement visible, complétait le tableau.Julien s’approcha enfin, posant son appareil à côté de lui. Sa voix resta posée, grave, presque trop professionnelle.

— Bouge un peu ta jambe gauche… oui, comme ça. Il faut que ta hanche soit mieux orientée vers la lumière.
Il posa une main sur sa taille, l’autre sur sa cuisse pour l’aider à se placer. Ses doigts effleurèrent l’intérieur de sa cuisse nue… et s’y attardèrent une seconde de trop.Quand il voulut la bouger davantage, sa paume glissa plus haut, frôlant son sexe. Une chaleur humide lui couvrit instantanément la main. Julien se figea. Il la regarda, surpris, ses doigts déjà brillants de sa mouille.Lana, rouge de désir, haleta légèrement et murmura :
— Je… désolée… je ne peux pas m’en empêcher…

Puis, d’un geste lent, presque hésitant, elle attrapa sa main tremblante et la guida vers son intimité.
— Regarde… c’est à cause de toi… souffla-t-elle, sa voix tremblante de plaisir.
Elle posa sa main directement sur son sexe ouvert, l’écrasant doucement contre ses lèvres humides qui pulsaient d’excitation.Julien inspira brusquement, son regard plongé dans le sien.
— Lana… murmura-t-il d’une voix rauque.— Oui… touche-moi… s’il te plaît…
Julien resta figé quelques secondes, sa main emprisonnée par celle de Lana, trempée contre son sexe ouvert.Il la regardait, haletant, comme s’il se battait encore avec son dernier soupçon de retenue.
— Julien… s’il te plaît… murmura-t-elle, sa voix vibrante de désir.
Ce fut la dernière barrière qui céda. Il lâcha un souffle rauque et fit glisser sa main, ses doigts caressant ses lèvres intimes luisantes, puis glissant entre elles.Lana bascula la tête en arrière, un gémissement lui échappant aussitôt.
— Oh oui… oui…
Julien s’agenouilla derrière elle, caressant encore son sexe trempé, ses doigts s’enfonçant doucement en elle. Elle était si humide que chaque mouvement produisait un petit bruit obscène qui la rendait folle.
— Regarde comme tu es excitée… grogna-t-il, sa voix grave presque animale.— C’est à cause de toi… de ton calme insupportable… répondit-elle, haletante, ses hanches bougeant déjà pour réclamer plus.
Julien ne parla plus. Il se leva brusquement, déboucla sa ceinture et fit tomber son pantalon. Lana écarquilla les yeux en voyant enfin ce qu’elle n’avait fait qu’imaginer : son sexe était massif, long et épais, les veines gonflées.
— Putain… Julien… souffla-t-elle, fascinée.
Il attrapa ses hanches et se plaça derrière elle, toujours à quatre pattes sur le canapé. Sans attendre, il écarta doucement ses lèvres humides de ses doigts, puis la pénétra d’un coup puissant.
— Oh mon dieu ! cria Lana, surprise par la sensation de se sentir si remplie.
Julien bougea d’abord lentement, ses coups de reins profonds et réguliers. Mais Lana, déjà incontrôlable, poussait ses hanches en arrière pour l’accueillir encore plus.
— Plus fort… Julien, baise-moi… plus fort !
Il accéléra, ses mains agrippant fermement ses hanches. Chaque coup de bassin claquait contre ses fesses, et la sensation la submergeait.Elle gémissait bruyamment, sans aucune retenue.
— Oui… Julien… oui… encore !
Son premier orgasme la prit de plein fouet. Elle se cambra violemment, ses cuisses tremblant, ses ongles s’enfonçant dans le plaid.
— Je jouis… oh putain je jouis ! cria-t-elle en se cambrant davantage.
Julien ne ralentit pas, continuant à la prendre sans relâche. Chaque coup de reins envoyait une onde de plaisir dans tout son ventre.Un deuxième orgasme la secoua presque aussitôt. Ses gémissements se transformèrent en cris étouffés, son corps vibrant de spasmes incontrôlables.
— Oui… encore… Julien, je vais… je vais jouir encore !
Elle explosa une troisième fois, se crispant de tout son corps, les larmes aux yeux tellement le plaisir était intense.Julien se pencha contre elle, sa bouche contre son oreille.
— Je vais jouir en toi… grogna-t-il, haletant.— Oui… oui viens… en moi !
Quelques secondes plus tard, il se raidit brusquement, un râle grave lui échappant tandis qu’elle sentait sa chaleur se répandre en elle. Lana gémit encore, savourant chaque pulsation.
Julien se retira lentement, haletant, mais son regard brûlant disait déjà qu’il n’avait pas fini.Lana, essoufflée mais avide, se retourna et se mit à nouveau à quatre pattes, ses fesses relevées. Son sexe encore luisant et son petit anus parfaitement visible semblaient l’appeler.Elle tourna la tête vers lui, ses yeux fiévreux.
— Julien… prends-moi… là aussi.
Il resta une seconde immobile, comme s’il voulait s’assurer qu’elle le voulait vraiment.
— Tu es sûre ?— Maintenant… souffla-t-elle, sans aucune hésitation.
Julien posa ses mains sur ses fesses, les caressant lentement avant d’écarter légèrement ses hanches. Il passa un doigt sur son anus lisse, déjà humecté par ses propres fluides, et Lana frissonna de tout son corps.
— Oh oui… vas-y…
Il la pénétra doucement par derrière, lentement pour la laisser s’habituer, mais elle poussa aussitôt ses hanches en arrière, réclamant plus.
— Plus fort… prends-moi… plus fort ! cria-t-elle, sa voix tremblante d’excitation.
Julien accéléra, ses coups de reins devenant plus rapides, plus puissants. Le bruit sourd de leurs corps résonnait dans la pièce.Lana ne retenait plus rien : ses cris étaient bruyants, presque sauvages, son visage collé contre le plaid alors qu’elle se cambrait davantage.
— Oui… Julien… je jouis… je jouis encore ! hurla-t-elle, son corps secoué d’un orgasme brutal qui la fit presque s’effondrer.
Julien la maintint fermement par la taille, continuant à la prendre sans relâche jusqu’à ce qu’elle jouisse une deuxième fois, encore plus fort. Elle cria son nom, le dos cambré à l’extrême, les larmes aux yeux sous l’intensité du plaisir.
— Je vais jouir… encore… grogna Julien derrière elle.— Oui… viens… en moi… Julien !
Quelques secondes plus tard, il se raidit à nouveau, se déversant profondément en elle tandis qu’elle atteignait un dernier orgasme dévastateur, ses cuisses tremblant violemment.
Julien s’écroula doucement à côté d’elle, haletant. Lana, le corps encore parcouru de spasmes, se tourna vers lui, un sourire satisfait mais encore troublé aux lèvres.
— Tu vois… je t’avais dit que tu ne tiendrais pas toujours… murmura-t-elle, essoufflée.
Julien ferma les yeux, un sourire discret sur les lèvres.
— Et toi… tu es bien plus dangereuse que je ne l’imaginais.
Lana se laissa retomber contre lui, encore tremblante, un soupir d’aise lui échappant. Elle savait déjà qu’elle en voudrait encore… et bientôt.

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