la chambre d'hôtes naturiste - chapitre 3 Water-Polo

Récit érotique écrit par Stark31 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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la chambre d'hôtes naturiste - chapitre 3 Water-Polo
— Salut… vous venez jouer au water-polo ? On manque un peu de monde, lâche-t-il avec un sourire détendu.
Son ton est banal, mais je perçois autre chose derrière. Pierre répond vaguement, mais je sens son excitation grimper encore : il a vu cet échange de regards, il a compris qu’un témoin venait de se glisser dans notre jeu.
Je me lève, nue, sans chercher à cacher quoi que ce soit. Mon sexe encore gonflé pulse au rythme de mon cœur, et l’air frais en bas me donne un frisson délicieux. Je croise son regard à lui, celui qui a proposé le jeu. Pas un mot, mais tout est déjà dit.
L’eau me saisit d’abord à la taille, fraîche, vivante. La lumière joue à la surface, découpant les silhouettes des joueurs. Les rires et les éclaboussures servent de paravent sonore à ce qui se passe vraiment.
Je sens Pierre, appuyé contre le bord, me suivre des yeux. Il ne participe pas vraiment. Il est là pour regarder. Pour voir.
Je rejoins l’équipe improvisée. Le ballon passe de main en main, les corps se frôlent.
Nous jouons au water-polo… du moins, c’est ce que les spectateurs croient.
Les premiers contacts sont “accidentels” : un avant-bras qui effleure le haut de ma poitrine en allant chercher le ballon, une main qui “prend appui” sur ma hanche nue pour se hisser.
Un des hommes passe derrière moi, ses mains glissent sous l’eau, longues et fermes, remontant sur mon ventre avant d’effleurer mes seins. Ses doigts s’attardent sur mes tétons, les pincent doucement, juste assez pour envoyer une vague brûlante dans mon bas-ventre.
Un autre, face à moi, me “bloque” pour intercepter le ballon, ses mains sur mes épaules, puis l’une descend le long de mon dos et s’attarde dans le creux de mes reins. Quand il se déplace derrière moi, sa paume descend plus bas, frôle la raie de mes fesses, et reste là une seconde de trop pour que ce soit innocent.
Ma bouche s’ouvre pour inspirer un coup, mais l’air se bloque quand je sens le reste de son corps : un sexe dur, lourd, qui se fraie un chemin entre mes fesses, frôle ma raie, puis glisse dans l’espace de mes cuisses. Sa base caresse mon pubis, et son gland se frotte contre mon sexe trempé et vient jouer avec mon clitoris.
Je retiens un gémissement, mon cœur cogne dans ma poitrine. Je sens qu’il bouge juste assez pour donner l’illusion qu’il se repositionne pour jouer… mais ses hanches impriment un rythme minuscule, précis. L’eau dissimule le contact, mais pas la sensation : un mélange de chaleur et de pression qui m’ouvre davantage. Il ne manque pas grand chose pour qu’il s’insere en moi !
Un autre homme se glisse à ma gauche, et ses mains trouvent le chemin sous la surface. Une main remonte entre mes cuisses, sous prétexte de m’écarter pour passer. Les doigts s’attardent, caressent, s’écartent pour frôler l’endroit le plus sensible. Je mords ma lèvre pour ne pas gémir.
Je ne sais plus si c’est lui ou l’autre qui me caresse là, mais chaque passage de doigts m’enfonce un peu plus dans cet état trouble où je ne distingue plus qui est où.
Devant moi, un troisième torse se rapproche. Je sens quelque chose de dur frotter contre mon ventre, un sexe bien dressé, piégé entre nous deux, que le mouvement de l’eau fait glisser doucement le long de ma peau. Mes mains restent levées, jouant “la défense” avec le ballon, comme si rien ne se passait… mais en dessous, tout est en feu.
Pierre, adossé au bord, ne perd rien de la scène. Il sourit à peine, mais je connais ce regard : il brûle. Il sait que tout cela se passe sous les yeux de tous, dans un lieu qui n’est pas libertin, où chaque geste doit rester furtif, presque invisible… et c’est précisément cette contrainte qui rend tout plus intense.
Les mains continuent de m’explorer à tour de rôle : ma poitrine, mes tétons, mon ventre, mon sexe, même ma raie. Les sexes dressés viennent effleurer mes hanches, mon dos, ou glisser contre mes cuisses. Je suis entourée, traversée, partagée. Et je ne sais plus à qui appartient chaque caresse, chaque pression. Tout se mélange, tout m’envahit.
Les corps autour de moi continuent leur ballet clandestin. Les mains se succèdent sur ma peau, les sexes durs me frôlent, se pressent, glissent contre moi sous l’eau. Chaque fois que l’un s’éloigne, un autre prend sa place, comme si mon corps était devenu un passage obligé du jeu.
Ma poitrine est tendue à m’en faire mal. Mes tétons, durs comme des pierres, sont si sensibles que chaque frôlement d’une main ou d’un torse les enflamme d’un éclair aigu. La douleur est délicieuse, pulsante, presque insupportable par moments, et ne fait qu’attiser mon envie.
Je sens aussi cette chaleur poisseuse entre mes cuisses : ma cyprine s’échappe en continu, coulée épaisse, incontrôlable… mais ici, elle se fond dans l’eau de la piscine, invisible aux yeux extérieurs. Ce camouflage liquide me donne une sensation de liberté totale : je peux me laisser aller, me laisser tremper d’excitation sans que personne ne le sache… du moins, pas ceux qui ne sont pas à portée de mes gestes.
Derrière mes lunettes de soleil, je prends le temps d’observer les femmes de ces hommes. Assises sur leurs transats, elles lisent, plongées dans leurs livres. Certaines sirotent un verre, distraites. Aucune ne se doute de ce qui se trame dans l’eau à quelques mètres d’elles. Ce décalage me donne un frisson supplémentaire : leurs hommes sont sur moi, leurs mains sur ma peau, leurs sexes contre le mien… et elles ne voient rien.
Mais je sais aussi que je ne pourrai pas rester longtemps dans cette intensité sans me trahir. Ma respiration est déjà plus courte, mes lèvres entrouvertes. Dans un lieu comme celui-ci, il ne faut pas franchir la ligne… pas encore.
Je me tourne vers Pierre. Nos regards se croisent. Il comprend.
Un mouvement un peu brusque, une torsion du bassin pour attraper le ballon… et je sens un petit tiraillement dans ma cuisse droite. Rien de grave, mais assez pour m’offrir une porte de sortie élégante avant que l’excitation ne me trahisse complètement.
Je grimace légèrement, la main sur ma cuisse.
— Je vais m’asseoir un moment… souffle-je, plus pour Pierre que pour les autres.
Je me hisse sur les marches de la piscine, la pierre chaude sous mes fesses, les jambes dans l’eau jusqu’aux genoux. Mon sexe, gonflé, palpitant, est hors de l’eau, offert à l’air tiède, et les gouttes qui glissent sur mes cuisses se mêlent à cette humidité plus dense qui n’appartient qu’à moi.
L’un des hommes, celui qui tout à l’heure s’était collé à moi par derrière, son sexe dur cherchant un passage entre mes fesses, s’avance davantage. Il s’agenouille sur la marche en contrebas, juste devant moi.
— Tu t’es fait mal à la cuisse ? Laisse-moi voir… dit-il simplement, voix neutre, comme s’il s’agissait d’un geste sportif.
Ses mains prennent ma cuisse droite, fermes, professionnelles en apparence. Il la soulève légèrement, l’ouvre un peu plus, assez pour “travailler” le muscle… mais aussi pour que, mon sexe soit parfaitement offert à son regard. Mes lèvres intimes, gonflées et luisantes, s’écartent légèrement à chaque pression.… et c’est là que mon pied vient se poser, par un hasard calculé, juste contre son sexe nu. Dur. Chaud. Je sens la peau tendue, le poids, le frémissement subtil qui parcourt sa verge.
Ses pouces glissent sur ma peau avec une aisance suspecte. Je sens qu’il a compris immédiatement que le liquide qui la recouvre n’est pas seulement celui de la piscine. Plus dense, plus tiède, plus glissant… ma cyprine se mélange à l’eau, et ses mains ne s’y trompent pas. Il presse, masse, remonte un peu, puis revient à l’intérieur, lentement.
Il ne bouge pas. Pas un geste de hanches. Mais ses mains, elles, manipulent ma jambe avec un contrôle absolu : un étirement par-ci, une rotation par-là… et voilà que c’est ma plante de pied qui glisse, qui remonte, qui redescend le long de sa longueur, comme une caresse volontaire.
Pendant qu’il “travaille” mon muscle, son pouce revient régulièrement, avec une précision presque chirurgicale, se poser juste sur l’aine, là où la peau est fine et le nerf à fleur. Il appuie, relâche, frotte… à quelques millimètres seulement des lèvres gonflées de mon sexe.
Je baisse la tête, comme pour observer son massage… et je le vois. Son pouce glisse sur mon aine avec une lenteur étudiée, frôlant si près que la chaleur s’y concentre en un point unique. Mon regard descend un peu plus… et là, je constate que mon bouton d’amour est complètement gonflé, vibrant, sorti de son capuchon, offert à l’air et à la lumière. La vision m’arrache un frisson long et profond qui me traverse le ventre et remonte jusqu’à mes tétons, déjà douloureux de désir.
Je sens mon clitoris palpiter, mes lèvres pulser, mon bas-ventre se serrer. Ma respiration devient plus lente, plus profonde, pour masquer ce qui m’arrive.
Derrière mes lunettes de soleil, je l’observe. Lui garde ce masque calme, presque détaché, mais je sens qu’il savoure chaque instant de ce jeu inversé. Et le plus troublant, c’est que je le laisse faire.
De là où il est, il a la vue parfaite. Nos yeux se croisent derrière mes lunettes de soleil. Les autres peuvent croire que nous parlons de mon claquage, mais dans le couloir étroit entre nos regards, c’est tout autre chose qui se joue. Il sait. Je sais. Et Pierre, resté à quelques pas, le sait aussi.
Je sens mes cuisses se détendre malgré moi, s’ouvrir davantage, comme si mon corps voulait prolonger cette fausse consultation sportive. Lui ne se presse pas. Il reste là, ses mains glissant toujours sur ma peau, le visage à quelques centimètres de ce qu’il sait être la véritable source de mon “accident”.
D’habitude, c’est moi qui mène. C’est moi qui orchestre. Mais là… je suis prise dans son rythme, dans sa maîtrise. Mon pied continue, malgré moi, à se frotter contre son sexe raide, chaque geste imposé par ses mains se transformant en caresse involontaire. Et ce renversement me brûle encore plus que le contact lui-même.
Mes tétons trahissent tout. Durs, tendus à s’en faire mal, ils pointent vers le ciel comme deux éclats de verre, chaque souffle d’air les rendant encore plus sensibles. Impossible de les cacher. Heureusement, chez les femmes, c’est plus discret… ou du moins plus toléré.
Pour Pierre, c’est une autre histoire. Son sexe est gonflé à bloc, presque douloureux, et il est obligé de se pencher légèrement, de coincer sa verge dressée entre ses cuisses pour éviter que cela se voie. Ses mâchoires sont serrées, son regard fixe, mais je sais que c’est autant pour contenir son excitation que pour se retenir d’intervenir.
Je relève doucement la tête vers lui. Il est à quelques mètres, assis sur le rebord de la piscine. Il ne dit rien, ne bouge pas, mais ses yeux… Ses yeux brûlent. C’est un feu contenu, presque violent, qui me fixe, me déshabille, me dévore. Il a tout vu : le pied sur ce sexe dur, le pouce sur mon aine, mon clitoris gonflé, offert. Et au lieu d’intervenir, il se gorge de la scène.
Je le connais. Je sais que cette frustration est son carburant, qu’elle le pousse à la limite. Et moi, je lui donne tout ce qu’il aime voir… sans qu’il puisse y toucher.
L’homme devant moi relâche lentement ma cuisse, comme si le massage était terminé. Mais son regard, lui, reste ancré dans le mien, une provocation silencieuse. Puis il se redresse, s’éloigne de quelques pas, reprenant son rôle d’invité comme si rien ne s’était passé.
— Oh, mais tu es toute raide, ma belle…
La voix vient de ma gauche. Myriam. Les cheveux encore humides, drapée dans un paréo léger. Elle m’observe, un sourire tranquille aux lèvres, mais dans ses yeux il y a autre chose : elle sait que quelque chose vient de se jouer.
— Viens, on va te détendre un peu. Luc vient de préparer l’espace massage. Ce serait dommage de garder cette tension, non ?
Elle me tend la main, douce mais ferme. Derrière moi, Pierre se lève. Ses yeux croisent les miens une fraction de seconde : il a compris que ça continue… et qu’il aura encore mieux à regarder.
Je me lève des margelles, l’eau glissant le long de mes jambes. Mon sexe, encore gonflé, pulse à chaque pas. Sous la chaleur du soleil, je sens le reste de mon excitation s’évaporer en vagues lentes et moites, prêtes à être ravivées par d’autres mains…
Son ton est banal, mais je perçois autre chose derrière. Pierre répond vaguement, mais je sens son excitation grimper encore : il a vu cet échange de regards, il a compris qu’un témoin venait de se glisser dans notre jeu.
Je me lève, nue, sans chercher à cacher quoi que ce soit. Mon sexe encore gonflé pulse au rythme de mon cœur, et l’air frais en bas me donne un frisson délicieux. Je croise son regard à lui, celui qui a proposé le jeu. Pas un mot, mais tout est déjà dit.
L’eau me saisit d’abord à la taille, fraîche, vivante. La lumière joue à la surface, découpant les silhouettes des joueurs. Les rires et les éclaboussures servent de paravent sonore à ce qui se passe vraiment.
Je sens Pierre, appuyé contre le bord, me suivre des yeux. Il ne participe pas vraiment. Il est là pour regarder. Pour voir.
Je rejoins l’équipe improvisée. Le ballon passe de main en main, les corps se frôlent.
Nous jouons au water-polo… du moins, c’est ce que les spectateurs croient.
Les premiers contacts sont “accidentels” : un avant-bras qui effleure le haut de ma poitrine en allant chercher le ballon, une main qui “prend appui” sur ma hanche nue pour se hisser.
Un des hommes passe derrière moi, ses mains glissent sous l’eau, longues et fermes, remontant sur mon ventre avant d’effleurer mes seins. Ses doigts s’attardent sur mes tétons, les pincent doucement, juste assez pour envoyer une vague brûlante dans mon bas-ventre.
Un autre, face à moi, me “bloque” pour intercepter le ballon, ses mains sur mes épaules, puis l’une descend le long de mon dos et s’attarde dans le creux de mes reins. Quand il se déplace derrière moi, sa paume descend plus bas, frôle la raie de mes fesses, et reste là une seconde de trop pour que ce soit innocent.
Ma bouche s’ouvre pour inspirer un coup, mais l’air se bloque quand je sens le reste de son corps : un sexe dur, lourd, qui se fraie un chemin entre mes fesses, frôle ma raie, puis glisse dans l’espace de mes cuisses. Sa base caresse mon pubis, et son gland se frotte contre mon sexe trempé et vient jouer avec mon clitoris.
Je retiens un gémissement, mon cœur cogne dans ma poitrine. Je sens qu’il bouge juste assez pour donner l’illusion qu’il se repositionne pour jouer… mais ses hanches impriment un rythme minuscule, précis. L’eau dissimule le contact, mais pas la sensation : un mélange de chaleur et de pression qui m’ouvre davantage. Il ne manque pas grand chose pour qu’il s’insere en moi !
Un autre homme se glisse à ma gauche, et ses mains trouvent le chemin sous la surface. Une main remonte entre mes cuisses, sous prétexte de m’écarter pour passer. Les doigts s’attardent, caressent, s’écartent pour frôler l’endroit le plus sensible. Je mords ma lèvre pour ne pas gémir.
Je ne sais plus si c’est lui ou l’autre qui me caresse là, mais chaque passage de doigts m’enfonce un peu plus dans cet état trouble où je ne distingue plus qui est où.
Devant moi, un troisième torse se rapproche. Je sens quelque chose de dur frotter contre mon ventre, un sexe bien dressé, piégé entre nous deux, que le mouvement de l’eau fait glisser doucement le long de ma peau. Mes mains restent levées, jouant “la défense” avec le ballon, comme si rien ne se passait… mais en dessous, tout est en feu.
Pierre, adossé au bord, ne perd rien de la scène. Il sourit à peine, mais je connais ce regard : il brûle. Il sait que tout cela se passe sous les yeux de tous, dans un lieu qui n’est pas libertin, où chaque geste doit rester furtif, presque invisible… et c’est précisément cette contrainte qui rend tout plus intense.
Les mains continuent de m’explorer à tour de rôle : ma poitrine, mes tétons, mon ventre, mon sexe, même ma raie. Les sexes dressés viennent effleurer mes hanches, mon dos, ou glisser contre mes cuisses. Je suis entourée, traversée, partagée. Et je ne sais plus à qui appartient chaque caresse, chaque pression. Tout se mélange, tout m’envahit.
Les corps autour de moi continuent leur ballet clandestin. Les mains se succèdent sur ma peau, les sexes durs me frôlent, se pressent, glissent contre moi sous l’eau. Chaque fois que l’un s’éloigne, un autre prend sa place, comme si mon corps était devenu un passage obligé du jeu.
Ma poitrine est tendue à m’en faire mal. Mes tétons, durs comme des pierres, sont si sensibles que chaque frôlement d’une main ou d’un torse les enflamme d’un éclair aigu. La douleur est délicieuse, pulsante, presque insupportable par moments, et ne fait qu’attiser mon envie.
Je sens aussi cette chaleur poisseuse entre mes cuisses : ma cyprine s’échappe en continu, coulée épaisse, incontrôlable… mais ici, elle se fond dans l’eau de la piscine, invisible aux yeux extérieurs. Ce camouflage liquide me donne une sensation de liberté totale : je peux me laisser aller, me laisser tremper d’excitation sans que personne ne le sache… du moins, pas ceux qui ne sont pas à portée de mes gestes.
Derrière mes lunettes de soleil, je prends le temps d’observer les femmes de ces hommes. Assises sur leurs transats, elles lisent, plongées dans leurs livres. Certaines sirotent un verre, distraites. Aucune ne se doute de ce qui se trame dans l’eau à quelques mètres d’elles. Ce décalage me donne un frisson supplémentaire : leurs hommes sont sur moi, leurs mains sur ma peau, leurs sexes contre le mien… et elles ne voient rien.
Mais je sais aussi que je ne pourrai pas rester longtemps dans cette intensité sans me trahir. Ma respiration est déjà plus courte, mes lèvres entrouvertes. Dans un lieu comme celui-ci, il ne faut pas franchir la ligne… pas encore.
Je me tourne vers Pierre. Nos regards se croisent. Il comprend.
Un mouvement un peu brusque, une torsion du bassin pour attraper le ballon… et je sens un petit tiraillement dans ma cuisse droite. Rien de grave, mais assez pour m’offrir une porte de sortie élégante avant que l’excitation ne me trahisse complètement.
Je grimace légèrement, la main sur ma cuisse.
— Je vais m’asseoir un moment… souffle-je, plus pour Pierre que pour les autres.
Je me hisse sur les marches de la piscine, la pierre chaude sous mes fesses, les jambes dans l’eau jusqu’aux genoux. Mon sexe, gonflé, palpitant, est hors de l’eau, offert à l’air tiède, et les gouttes qui glissent sur mes cuisses se mêlent à cette humidité plus dense qui n’appartient qu’à moi.
L’un des hommes, celui qui tout à l’heure s’était collé à moi par derrière, son sexe dur cherchant un passage entre mes fesses, s’avance davantage. Il s’agenouille sur la marche en contrebas, juste devant moi.
— Tu t’es fait mal à la cuisse ? Laisse-moi voir… dit-il simplement, voix neutre, comme s’il s’agissait d’un geste sportif.
Ses mains prennent ma cuisse droite, fermes, professionnelles en apparence. Il la soulève légèrement, l’ouvre un peu plus, assez pour “travailler” le muscle… mais aussi pour que, mon sexe soit parfaitement offert à son regard. Mes lèvres intimes, gonflées et luisantes, s’écartent légèrement à chaque pression.… et c’est là que mon pied vient se poser, par un hasard calculé, juste contre son sexe nu. Dur. Chaud. Je sens la peau tendue, le poids, le frémissement subtil qui parcourt sa verge.
Ses pouces glissent sur ma peau avec une aisance suspecte. Je sens qu’il a compris immédiatement que le liquide qui la recouvre n’est pas seulement celui de la piscine. Plus dense, plus tiède, plus glissant… ma cyprine se mélange à l’eau, et ses mains ne s’y trompent pas. Il presse, masse, remonte un peu, puis revient à l’intérieur, lentement.
Il ne bouge pas. Pas un geste de hanches. Mais ses mains, elles, manipulent ma jambe avec un contrôle absolu : un étirement par-ci, une rotation par-là… et voilà que c’est ma plante de pied qui glisse, qui remonte, qui redescend le long de sa longueur, comme une caresse volontaire.
Pendant qu’il “travaille” mon muscle, son pouce revient régulièrement, avec une précision presque chirurgicale, se poser juste sur l’aine, là où la peau est fine et le nerf à fleur. Il appuie, relâche, frotte… à quelques millimètres seulement des lèvres gonflées de mon sexe.
Je baisse la tête, comme pour observer son massage… et je le vois. Son pouce glisse sur mon aine avec une lenteur étudiée, frôlant si près que la chaleur s’y concentre en un point unique. Mon regard descend un peu plus… et là, je constate que mon bouton d’amour est complètement gonflé, vibrant, sorti de son capuchon, offert à l’air et à la lumière. La vision m’arrache un frisson long et profond qui me traverse le ventre et remonte jusqu’à mes tétons, déjà douloureux de désir.
Je sens mon clitoris palpiter, mes lèvres pulser, mon bas-ventre se serrer. Ma respiration devient plus lente, plus profonde, pour masquer ce qui m’arrive.
Derrière mes lunettes de soleil, je l’observe. Lui garde ce masque calme, presque détaché, mais je sens qu’il savoure chaque instant de ce jeu inversé. Et le plus troublant, c’est que je le laisse faire.
De là où il est, il a la vue parfaite. Nos yeux se croisent derrière mes lunettes de soleil. Les autres peuvent croire que nous parlons de mon claquage, mais dans le couloir étroit entre nos regards, c’est tout autre chose qui se joue. Il sait. Je sais. Et Pierre, resté à quelques pas, le sait aussi.
Je sens mes cuisses se détendre malgré moi, s’ouvrir davantage, comme si mon corps voulait prolonger cette fausse consultation sportive. Lui ne se presse pas. Il reste là, ses mains glissant toujours sur ma peau, le visage à quelques centimètres de ce qu’il sait être la véritable source de mon “accident”.
D’habitude, c’est moi qui mène. C’est moi qui orchestre. Mais là… je suis prise dans son rythme, dans sa maîtrise. Mon pied continue, malgré moi, à se frotter contre son sexe raide, chaque geste imposé par ses mains se transformant en caresse involontaire. Et ce renversement me brûle encore plus que le contact lui-même.
Mes tétons trahissent tout. Durs, tendus à s’en faire mal, ils pointent vers le ciel comme deux éclats de verre, chaque souffle d’air les rendant encore plus sensibles. Impossible de les cacher. Heureusement, chez les femmes, c’est plus discret… ou du moins plus toléré.
Pour Pierre, c’est une autre histoire. Son sexe est gonflé à bloc, presque douloureux, et il est obligé de se pencher légèrement, de coincer sa verge dressée entre ses cuisses pour éviter que cela se voie. Ses mâchoires sont serrées, son regard fixe, mais je sais que c’est autant pour contenir son excitation que pour se retenir d’intervenir.
Je relève doucement la tête vers lui. Il est à quelques mètres, assis sur le rebord de la piscine. Il ne dit rien, ne bouge pas, mais ses yeux… Ses yeux brûlent. C’est un feu contenu, presque violent, qui me fixe, me déshabille, me dévore. Il a tout vu : le pied sur ce sexe dur, le pouce sur mon aine, mon clitoris gonflé, offert. Et au lieu d’intervenir, il se gorge de la scène.
Je le connais. Je sais que cette frustration est son carburant, qu’elle le pousse à la limite. Et moi, je lui donne tout ce qu’il aime voir… sans qu’il puisse y toucher.
L’homme devant moi relâche lentement ma cuisse, comme si le massage était terminé. Mais son regard, lui, reste ancré dans le mien, une provocation silencieuse. Puis il se redresse, s’éloigne de quelques pas, reprenant son rôle d’invité comme si rien ne s’était passé.
— Oh, mais tu es toute raide, ma belle…
La voix vient de ma gauche. Myriam. Les cheveux encore humides, drapée dans un paréo léger. Elle m’observe, un sourire tranquille aux lèvres, mais dans ses yeux il y a autre chose : elle sait que quelque chose vient de se jouer.
— Viens, on va te détendre un peu. Luc vient de préparer l’espace massage. Ce serait dommage de garder cette tension, non ?
Elle me tend la main, douce mais ferme. Derrière moi, Pierre se lève. Ses yeux croisent les miens une fraction de seconde : il a compris que ça continue… et qu’il aura encore mieux à regarder.
Je me lève des margelles, l’eau glissant le long de mes jambes. Mon sexe, encore gonflé, pulse à chaque pas. Sous la chaleur du soleil, je sens le reste de mon excitation s’évaporer en vagues lentes et moites, prêtes à être ravivées par d’autres mains…
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