Lana à la plage

Récit érotique écrit par Stark31 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Lana à la plage
Le moteur se coupe dans un dernier souffle chaud. LANA sort de la voiture, claque doucement la portière, et prend une grande inspiration. L’odeur des pins, du sable chauffé, et cette brise salée venue de l’Atlantique. Elle sourit.
Elle porte simplement une longue chemise blanche, ample, légère, ouverte sur les cuisses, à peine boutonnée. Aucune lingerie en dessous. Rien qui vienne la contraindre. Rien qui dissimule.
Le tissu, légèrement transparent sous la lumière crue du matin, dessine sans pudeur la silhouette de son corps. Ses seins dansent au rythme de sa marche, et ses tétons pointent fièrement sous le coton. Ses aréoles, larges et ombrées, trahissent déjà son état d'excitation. Le bas de la chemise flotte autour de ses hanches comme un voile complice, se soulevant au grès du vent, dévoilant son intimité
Elle marche pieds nus sur le sentier sablonneux, laissant derrière elle le parking vide et le monde civilisé. Ici, dans cette forêt bordant la plage naturiste, les règles changent. Le silence est plus dense, plus chargé.
Un homme apparaît soudain au détour du chemin. Grand, brun, le regard sombre. Ils se croisent, et le temps semble suspendu. Son regard s’attarde sur elle, sur cette transparence qui ne cache rien. Il ne dit rien, mais bifurque soudain, quittant le sentier pour s’enfoncer entre les pins.
LANA hésite un instant. Juste assez pour sentir son cœur accélérer.
Puis elle le suivit.
Quelques mètres plus loin, dans une clairière d’ombre et de lumière, il l’attend. Il la fixe sans un mot, et d’un geste calme, sort son sexe. Dur. Fier. Prêt.
LANA ne dit rien. Elle décroche les deux boutons de sa chemise, et la laisse glisser le long de ses bras. Le tissu tombe au sol comme un rideau de théâtre, révélant sa nudité totale, offerte, assumée.
Le regard de l’homme devint plus sombre, plus intense. Il s’approche, lentement, et tend la main. Il pince doucement l’un de ses tétons, puis l’autre, les malaxant, les caressant, les savourant du bout des doigts. LANA ferma les yeux, bascule légèrement la tête en arrière. Son corps tout entier vibre.
Sa main descend le long de son ventre, s’attarde sur le mont de Vénus, puis glissa entre ses cuisses.
— Tu es trempée, souffla-t-il.
— Tu m’as suivie aussi, murmura-t-elle, entre provocation et abandon.
Ses doigts se mirent à jouer avec son clitoris, d’abord en cercles lents, profonds, maîtrisés. Elle se cambra, ses hanches cherchant davantage de pression. Puis, sans attendre, il glisse deux doigts en elle, d’un seul mouvement, comme s’il savait exactement ce dont elle avait besoin.
Elle gémit. Fort. Authentique. Brut.
Le soleil, filtré par éclats à travers les aiguilles de pin, zèbre leurs corps nus de traits d’or et d’ombre. LANA se tient debout, nue, la peau caressée par l’air chaud. Son sexe est entièrement lisse, parfaitement épilé, comme une offrande. Une douceur de peau qui appelle la langue, les doigts, la dévotion.
L’homme se tient devant elle, son sexe lui aussi nu, soigneusement rasé, dressé, vibrant d’envie. Ils sont comme deux statues antiques au milieu des bois, seuls et sans retenue.
Ses doigts en elle continuent leur ballet. Un va-et-vient lent, précis, qui frôle l’insoutenable. Chaque pénétration glisse avec une facilité humide, délicieuse, tant LANA est trempée d’excitation. Elle s’ouvre à lui, totalement. Pas seulement physiquement, mais aussi dans cette vulnérabilité qu’elle adorait explorer : être vue, être touchée, être prise.
Sa main libre remonte sur son sein, puis glisse le long de son flanc, jusqu’à sa chute de reins. Là, il se penche et, sans hâte, glisse un doigt contre l’entrée de son autre intimité. Doucement. Il ne force pas. Il joue.
LANA gémit, un son profond, presque animal. Ce n’est pas une surprise : elle aime cette zone, elle l’assume. Le mélange entre la caresse du clitoris, la pénétration lente, et cette exploration anale la fait monter au ciel. Une alchimie qu’elle connait bien, et qu’il semble maîtriser instinctivement.
Son doigt humidifié effleure l’anneau délicat. Il le masse en cercles lents, hypnotiques, pendant que ses deux autres doigts continuent de la pénétrer, sans relâche. LANA est au bord de l’explosion. Ses jambes fléchissent légèrement. Elle s’agrippe à son cou. Sa respiration s’accélére, son ventre se contracte.
— Encore… ne t’arrête pas, murmura-t-elle d’une voix rauque.
Il insiste, avec précision, avec justesse. Un doigt pénétre doucement son anus, pendant qu’un troisième s’ajoute à ceux déjà en elle. Elle halete. Ce mélange de sensations — la tension, la transgression, la douceur — fait monter en elle une vague puissante, irrépressible.
Et soudain, c’est l’explosion.
Son corps tout entier se tend. Un râle s’échappe de sa gorge. Ses cuisses tremblent. Elle vient en secousses longues et intimes, son sexe vibre, tremble autour de ses doigts, tandis qu’il la maintenait dans l’instant avec une maîtrise absolue.
Il ne dit rien. Il la regarde juste, fasciné, pendant qu’elle reprend son souffle.
LANA, nue, debout dans la forêt, le regard perdu dans la lumière dorée, était plus vivante que jamais.
ELLE s’agenouille dans l’herbe sèche, et le prend entre ses lèvres. Lentement. Profondément. Elle sait exactement comment jouer avec le rythme, avec son souffle, avec cette danse délicieuse entre domination et abandon.
Mais il résiste. Longtemps.
Alors, dans un murmure un peu moqueur, elle souffle :
— Tu veux jouir maintenant ?
— Pas tout de suite, répondit-il. Pas encore.
Elle hausse les épaules, amusée et déjà ailleurs.
— OK. Tant pis pour toi.
Et elle se releve, aussi légère qu’elle est venue, un sourire en coin comme seul souvenir.
Elle ramasse sa robe mais ne la remets pas, et reprend son chemin.
Le sentier débouche enfin sur la plage. LANA choisit un enclos en bois flotté — ces petites alcôves improvisées que les habitués connaissent bien. Elles abritent du vent, mais pas des regards. Et c’est ce qui les rend si excitantes.
Elle est seule. Enfin, presque. À une vingtaine de mètres, un autre homme est installé. Il semble seul lui aussi, regard flou, corps tendu.
LANA s’étale sur sa serviette, nue, offerte au soleil. Elle attend. Rien ne vient. Pas de voyeur…
Le soleil est maintenant haut dans le ciel. La chaleur commence à envelopper le sable d’une moiteur douce et collante. LANA, seule dans son enclos de bois flotté, savoure chaque seconde de solitude, chaque soupir du vent sur sa peau nue.
Allongée sur sa serviette, elle laisse sa main remonter lentement jusqu’à sa poitrine. Ses doigts trouvent ses seins, fermes, ronds, et commencent à les caresser doucement. Elle joue avec ses tétons, les pince légèrement, les roule entre ses doigts. Ils durcissent aussitôt, dressés, affamés.
Ses gémissements, discrets mais présents, se perdent dans le souffle marin.
Puis, dans un geste théâtral, elle se redresse. Debout, entièrement nue, elle s’étire longuement, bras levés vers le ciel. Sa poitrine s’ouvre, offerte, tandis que son ventre se tend. Elle sait qu’elle est visible.
Elle le voulait. Elle le calculait.
À quelques mètres de là, l’homme dans l’autre enclos ne bouge pas. Mais elle le sent. Son regard était là, posé sur elle, avide.
LANA saisit son tube de crème solaire. Elle en fait couler une généreuse quantité dans sa paume, puis, lentement, elle commence à l'étaler sur son corps, dans une chorégraphie savamment étudiée.
Ses mains glissent sur ses épaules, puis descendent sur ses seins, qu’elle masse longuement. La crème luit sur sa peau, accentuant la courbe de sa poitrine et la pointe de ses tétons qui semblent prêts à exploser.
Elle fait descendre ses mains sur son ventre, puis sur ses hanches, puis lentement, elle s’attaque à ses fesses. Elle les enduit de crème en mouvements circulaires, presque provocants, presque obscènes, cambrant le dos, consciente de l’effet.
Enfin, elle laisse sa main glisser entre ses cuisses.
Son sexe, déjà lisse, brillant de chaleur et d’excitation, accueille la crème comme une offrande. Elle passe ses doigts sur ses grandes lèvres, les massant avec lenteur, puis effleure son clitoris en petits cercles sensuels, rythmés, profonds.
Elle ferme les yeux un instant, basculant légèrement les hanches, totalement concentrée sur la sensation, sur l’acte, sur le regard qu’elle devine posé sur elle.
Elle était un tableau vivant. Une prière païenne. Une invitation.
Puis elle rouvre les yeux, croise ceux de l’homme — oui, il regarde. Figé. Fasciné.
LANA sourit. Un sourire d’impératrice.
LANA, décide de s’allonger dans l’enclos, pour poursuivre ses caresses. Sa main glisse sur son bas-ventre, lente, ferme, presque provocante. Ses doigts jouent avec ses propres limites, avec cette douce douleur du désir qui monte, qui enflamme. Elle se caresse les seins avec la même précision, pinçant ses tétons jusqu’à ce que le plaisir flirte avec la brûlure.
Puis soudain une ombre se projete sur son corps nu.
Elle leve les yeux. C’est l’homme de tout à l’heure — celui des bois. Mais elle ne le reconnait pas tout de suite. Il avait ce regard changé, celui d’un homme en mission. Il s’approche sans un mot, à la lisière de son monde intime.
— Je peux m’installer ? demanda-t-il, le souffle déjà lourd.
— Fais comme tu veux, murmura-t-elle, sans cesser ses gestes.
Il s’installe tout près. Et pendant qu’elle fin l’indifférence, sa main glisse naturellement sur sa cuisse. Elle ne dit rien. Elle écarte à peine les jambes, assez pour l’inviter, pas assez pour supplier.
Il se penche. Ses doigts s’enfoncent dans l’intime moiteur qu’elle entretenait depuis déjà trop longtemps. Elle est trempée. Brûlante. Déjà à moitié en feu.
Ses doigts jouent avec son clitoris, précis, sûrs, possessifs. Elle halète. Il lui souffle à l’oreille des mots crus, contrôlés, comme une litanie charnelle.
— T’aimes te faire caresser devant tout le monde, hein… petite salope...
Elle gémit. Non de honte, mais de pure jouissance. Ces mots, lancés comme des ordres, viennent frapper son ventre plus fort que ses doigts.
Elle se redresse, s’agenouille face à lui. D’un geste souple, elle défait sa ceinture, et sort son sexe tendu, prêt à exploser. Elle le prend dans sa bouche sans prévenir, affamée. Il la laisse faire, la main dans ses cheveux, la guidant, la retenant.
Mais il ne voulait pas finir là.
Il la retourne d’un coup, la met à quatre pattes sur la fouta. Le sable collait à ses genoux, la chaleur vibrait entre ses reins. Il la pénétre d’un seul coup, profondément. Elle hurle, étouffée dans sa propre serviette, surprise et enivrée à la fois.
Il la tient. Il la pprend. Il la posséde. Fort. Brut. Parfait.
— Regarde là-bas, lui murmura-t-il. Tu le vois, le voisin ?
Elle leva la tête. Oui. Il était toujours là. La main sur son sexe. Spectateur silencieux.
— Il te regarde. Il te mate pendant que je te baise comme une vraie chienne.
Et elle jouit. Une première fois, intense, secouée, traversée. Son corps se cambre, puis retombe. Mais il ne ralentit pas.
Il la tient par la taille, et sans prévenir, se recule à peine… puis glisse une main ferme sur ses fesses, les écartant. LANA frissonne. Elle sait ce qui va suivre. Elle l’attend.
Il s’enfonce en elle. Là. Brutalement. Profondément. Elle crie. Pas de douleur. D’extase. Elle se tend comme un arc, les deux points de tension en feu — son sexe vibrant, et son autre entrée, prise, envahie, possédée.
Elle explose à nouveau, secouée d’un deuxième orgasme incontrôlable, plus long, plus animal, plus profond.
— T’es à moi maintenant, souffla-t-il, haletant, sa main claquant sur sa fesse.
Puis, dans un dernier coup de reins, il se répand en elle, tout entier, jusqu’au bout, les yeux dans ceux du voisin, comme pour signer la scène d’un regard.
Silence. Sable. Soleil.
LANA s’écroule sur le côté, nue, tremblante de plaisir, le sourire au bord des lèvres.
Il se rhabille lentement, presque à regret. Le souffle encore court, le regard flou, il se redresse et ajuste son short avec maladresse. LANA, allongée dans le sable, nue, luisante, les cuisses encore ouvertes, le regarde partir avec un merci. Il s’éloigne allégé. Évidemment. Elle, non. Elle avait encore faim.
Elle tourne lentement la tête.
Le voisin est toujours là. Fidèle. Silencieux. Fasciné.
Alors elle se redresse, s’étire longuement comme une féline, et se met debout. Le sable colle à sa peau, en petites particules dorées sur ses cuisses, ses fesses, entre ses seins. Elle sent le sperme de son baiseur s’écouler dans son sillon… divin…
Elle saisit sa fouta et la secoué, puis entreprend de la replacer lentement, méthodiquement.
Mais elle ne faisait rien innocemment.
Dos tourné vers lui, bien cambrée, elle penche le buste en avant, les jambes bien écartées. Ses fesses bien rondes s’ouvrent à la lumière. Encore rougies. Encore humides. Elle sait ce qu’il voit. Son sexe trempé et se lèvres bien écartées… tout comme son anus béant et dégoulinant du trop plein de la semence de son baiseur…Et elle adorait le lui offrir.
Puis elle se redresse, passe une main sur sa hanche, sur ses seins, puis sur son sexe, pour balayer le sable… mais surtout pour ranimer la chaleur.
Elle était déjà à nouveau excitée. Elle ne voulait pas que ça s’arrête là.
Alors elle décide d’aller voir.
LANA quitte l’enclos, nue, naturelle, comme une nymphe échappée d’un tableau. Elle se balade lentement le long de la plage, pieds dans l’eau, l’air de rien. Puis elle fait mine de s’approcher de l’enclos du voyeur. Un détour. Une boucle. Quelques photos bidons sur son téléphone. Elle tourne autour.
Bingo.
Il est toujours là. Debout. Son sexe en main, dur comme une pierre, luisant de désir retenu.
Elle plante son regard dans le sien. Il ne détourne pas les yeux. Ils sont à 2 mètres l’un de l’autre.
LANA, lentement, caresse sa poitrine. Ses seins gonflés, sensibles, réagissent aussitôt. Puis sa main descend, et ses doigts se glissent entre ses cuisses, sur son intimité encore chaude, encore pleine.
Elle fait un pas vers lui, comme on entre dans un feu.
— Je peux entrer ? demanda-t-elle, voix basse, yeux brillants.
— Oui, souffla-t-il, à peine audible.
Elle ne dit rien de plus. Elle tombe à genoux sur sa serviette, comme portée par une urgence. Sa main saisit son sexe. Plus large que celui du précédent. Plus dense. Plus vibrant. Elle le voulait en elle !!!
Et sa bouche s’ouvre. Elle le prend d’un coup. Profond. Comme si elle avait attendu ce moment toute l’après-midi. Sa langue tournoye, son rythme s’adaptee, jouant avec sa respiration, l’effleurant du regard.
Il n’eut aucune chance.
Trop excité. Trop plein.
Il jouit en quelques minutes, dans sa bouche, en silence, le corps tendu comme une corde. Elle l’avale sans sourciller, les yeux fermés. Elle veux le vider. Jusqu’au bout.
Mais à peine l’extase passée, il s’effondre, désarmé. Incapable de continuer. Vide. Il la remercie pour ce délicieux moment.
LANA se redresse, frustrée. Elle espérait plus. Elle avait prévu qu’il la prenne, là, fort, sans précaution. Mais il était déjà ailleurs, les jambes molles, le regard au loin.
Alors elle se leve, sans un mot, sans colère. Juste un soupir.
Elle retourne seule vers son enclos, encore pleine de désir. Elle s’allonge, ouvrit à nouveau les jambes. Et cette fois, ce fut pour elle. Rien que pour elle.
Ses doigts retrouvèrent leur danse. Mais dans sa tête, c’étaient les deux corps d’avant, leurs mains, leurs mots, leurs regards, qui s’entremêlaient. Elle jouit lentement, intensément, les yeux fermés, un sourire sur les lèvres.
Elle porte simplement une longue chemise blanche, ample, légère, ouverte sur les cuisses, à peine boutonnée. Aucune lingerie en dessous. Rien qui vienne la contraindre. Rien qui dissimule.
Le tissu, légèrement transparent sous la lumière crue du matin, dessine sans pudeur la silhouette de son corps. Ses seins dansent au rythme de sa marche, et ses tétons pointent fièrement sous le coton. Ses aréoles, larges et ombrées, trahissent déjà son état d'excitation. Le bas de la chemise flotte autour de ses hanches comme un voile complice, se soulevant au grès du vent, dévoilant son intimité
Elle marche pieds nus sur le sentier sablonneux, laissant derrière elle le parking vide et le monde civilisé. Ici, dans cette forêt bordant la plage naturiste, les règles changent. Le silence est plus dense, plus chargé.
Un homme apparaît soudain au détour du chemin. Grand, brun, le regard sombre. Ils se croisent, et le temps semble suspendu. Son regard s’attarde sur elle, sur cette transparence qui ne cache rien. Il ne dit rien, mais bifurque soudain, quittant le sentier pour s’enfoncer entre les pins.
LANA hésite un instant. Juste assez pour sentir son cœur accélérer.
Puis elle le suivit.
Quelques mètres plus loin, dans une clairière d’ombre et de lumière, il l’attend. Il la fixe sans un mot, et d’un geste calme, sort son sexe. Dur. Fier. Prêt.
LANA ne dit rien. Elle décroche les deux boutons de sa chemise, et la laisse glisser le long de ses bras. Le tissu tombe au sol comme un rideau de théâtre, révélant sa nudité totale, offerte, assumée.
Le regard de l’homme devint plus sombre, plus intense. Il s’approche, lentement, et tend la main. Il pince doucement l’un de ses tétons, puis l’autre, les malaxant, les caressant, les savourant du bout des doigts. LANA ferma les yeux, bascule légèrement la tête en arrière. Son corps tout entier vibre.
Sa main descend le long de son ventre, s’attarde sur le mont de Vénus, puis glissa entre ses cuisses.
— Tu es trempée, souffla-t-il.
— Tu m’as suivie aussi, murmura-t-elle, entre provocation et abandon.
Ses doigts se mirent à jouer avec son clitoris, d’abord en cercles lents, profonds, maîtrisés. Elle se cambra, ses hanches cherchant davantage de pression. Puis, sans attendre, il glisse deux doigts en elle, d’un seul mouvement, comme s’il savait exactement ce dont elle avait besoin.
Elle gémit. Fort. Authentique. Brut.
Le soleil, filtré par éclats à travers les aiguilles de pin, zèbre leurs corps nus de traits d’or et d’ombre. LANA se tient debout, nue, la peau caressée par l’air chaud. Son sexe est entièrement lisse, parfaitement épilé, comme une offrande. Une douceur de peau qui appelle la langue, les doigts, la dévotion.
L’homme se tient devant elle, son sexe lui aussi nu, soigneusement rasé, dressé, vibrant d’envie. Ils sont comme deux statues antiques au milieu des bois, seuls et sans retenue.
Ses doigts en elle continuent leur ballet. Un va-et-vient lent, précis, qui frôle l’insoutenable. Chaque pénétration glisse avec une facilité humide, délicieuse, tant LANA est trempée d’excitation. Elle s’ouvre à lui, totalement. Pas seulement physiquement, mais aussi dans cette vulnérabilité qu’elle adorait explorer : être vue, être touchée, être prise.
Sa main libre remonte sur son sein, puis glisse le long de son flanc, jusqu’à sa chute de reins. Là, il se penche et, sans hâte, glisse un doigt contre l’entrée de son autre intimité. Doucement. Il ne force pas. Il joue.
LANA gémit, un son profond, presque animal. Ce n’est pas une surprise : elle aime cette zone, elle l’assume. Le mélange entre la caresse du clitoris, la pénétration lente, et cette exploration anale la fait monter au ciel. Une alchimie qu’elle connait bien, et qu’il semble maîtriser instinctivement.
Son doigt humidifié effleure l’anneau délicat. Il le masse en cercles lents, hypnotiques, pendant que ses deux autres doigts continuent de la pénétrer, sans relâche. LANA est au bord de l’explosion. Ses jambes fléchissent légèrement. Elle s’agrippe à son cou. Sa respiration s’accélére, son ventre se contracte.
— Encore… ne t’arrête pas, murmura-t-elle d’une voix rauque.
Il insiste, avec précision, avec justesse. Un doigt pénétre doucement son anus, pendant qu’un troisième s’ajoute à ceux déjà en elle. Elle halete. Ce mélange de sensations — la tension, la transgression, la douceur — fait monter en elle une vague puissante, irrépressible.
Et soudain, c’est l’explosion.
Son corps tout entier se tend. Un râle s’échappe de sa gorge. Ses cuisses tremblent. Elle vient en secousses longues et intimes, son sexe vibre, tremble autour de ses doigts, tandis qu’il la maintenait dans l’instant avec une maîtrise absolue.
Il ne dit rien. Il la regarde juste, fasciné, pendant qu’elle reprend son souffle.
LANA, nue, debout dans la forêt, le regard perdu dans la lumière dorée, était plus vivante que jamais.
ELLE s’agenouille dans l’herbe sèche, et le prend entre ses lèvres. Lentement. Profondément. Elle sait exactement comment jouer avec le rythme, avec son souffle, avec cette danse délicieuse entre domination et abandon.
Mais il résiste. Longtemps.
Alors, dans un murmure un peu moqueur, elle souffle :
— Tu veux jouir maintenant ?
— Pas tout de suite, répondit-il. Pas encore.
Elle hausse les épaules, amusée et déjà ailleurs.
— OK. Tant pis pour toi.
Et elle se releve, aussi légère qu’elle est venue, un sourire en coin comme seul souvenir.
Elle ramasse sa robe mais ne la remets pas, et reprend son chemin.
Le sentier débouche enfin sur la plage. LANA choisit un enclos en bois flotté — ces petites alcôves improvisées que les habitués connaissent bien. Elles abritent du vent, mais pas des regards. Et c’est ce qui les rend si excitantes.
Elle est seule. Enfin, presque. À une vingtaine de mètres, un autre homme est installé. Il semble seul lui aussi, regard flou, corps tendu.
LANA s’étale sur sa serviette, nue, offerte au soleil. Elle attend. Rien ne vient. Pas de voyeur…
Le soleil est maintenant haut dans le ciel. La chaleur commence à envelopper le sable d’une moiteur douce et collante. LANA, seule dans son enclos de bois flotté, savoure chaque seconde de solitude, chaque soupir du vent sur sa peau nue.
Allongée sur sa serviette, elle laisse sa main remonter lentement jusqu’à sa poitrine. Ses doigts trouvent ses seins, fermes, ronds, et commencent à les caresser doucement. Elle joue avec ses tétons, les pince légèrement, les roule entre ses doigts. Ils durcissent aussitôt, dressés, affamés.
Ses gémissements, discrets mais présents, se perdent dans le souffle marin.
Puis, dans un geste théâtral, elle se redresse. Debout, entièrement nue, elle s’étire longuement, bras levés vers le ciel. Sa poitrine s’ouvre, offerte, tandis que son ventre se tend. Elle sait qu’elle est visible.
Elle le voulait. Elle le calculait.
À quelques mètres de là, l’homme dans l’autre enclos ne bouge pas. Mais elle le sent. Son regard était là, posé sur elle, avide.
LANA saisit son tube de crème solaire. Elle en fait couler une généreuse quantité dans sa paume, puis, lentement, elle commence à l'étaler sur son corps, dans une chorégraphie savamment étudiée.
Ses mains glissent sur ses épaules, puis descendent sur ses seins, qu’elle masse longuement. La crème luit sur sa peau, accentuant la courbe de sa poitrine et la pointe de ses tétons qui semblent prêts à exploser.
Elle fait descendre ses mains sur son ventre, puis sur ses hanches, puis lentement, elle s’attaque à ses fesses. Elle les enduit de crème en mouvements circulaires, presque provocants, presque obscènes, cambrant le dos, consciente de l’effet.
Enfin, elle laisse sa main glisser entre ses cuisses.
Son sexe, déjà lisse, brillant de chaleur et d’excitation, accueille la crème comme une offrande. Elle passe ses doigts sur ses grandes lèvres, les massant avec lenteur, puis effleure son clitoris en petits cercles sensuels, rythmés, profonds.
Elle ferme les yeux un instant, basculant légèrement les hanches, totalement concentrée sur la sensation, sur l’acte, sur le regard qu’elle devine posé sur elle.
Elle était un tableau vivant. Une prière païenne. Une invitation.
Puis elle rouvre les yeux, croise ceux de l’homme — oui, il regarde. Figé. Fasciné.
LANA sourit. Un sourire d’impératrice.
LANA, décide de s’allonger dans l’enclos, pour poursuivre ses caresses. Sa main glisse sur son bas-ventre, lente, ferme, presque provocante. Ses doigts jouent avec ses propres limites, avec cette douce douleur du désir qui monte, qui enflamme. Elle se caresse les seins avec la même précision, pinçant ses tétons jusqu’à ce que le plaisir flirte avec la brûlure.
Puis soudain une ombre se projete sur son corps nu.
Elle leve les yeux. C’est l’homme de tout à l’heure — celui des bois. Mais elle ne le reconnait pas tout de suite. Il avait ce regard changé, celui d’un homme en mission. Il s’approche sans un mot, à la lisière de son monde intime.
— Je peux m’installer ? demanda-t-il, le souffle déjà lourd.
— Fais comme tu veux, murmura-t-elle, sans cesser ses gestes.
Il s’installe tout près. Et pendant qu’elle fin l’indifférence, sa main glisse naturellement sur sa cuisse. Elle ne dit rien. Elle écarte à peine les jambes, assez pour l’inviter, pas assez pour supplier.
Il se penche. Ses doigts s’enfoncent dans l’intime moiteur qu’elle entretenait depuis déjà trop longtemps. Elle est trempée. Brûlante. Déjà à moitié en feu.
Ses doigts jouent avec son clitoris, précis, sûrs, possessifs. Elle halète. Il lui souffle à l’oreille des mots crus, contrôlés, comme une litanie charnelle.
— T’aimes te faire caresser devant tout le monde, hein… petite salope...
Elle gémit. Non de honte, mais de pure jouissance. Ces mots, lancés comme des ordres, viennent frapper son ventre plus fort que ses doigts.
Elle se redresse, s’agenouille face à lui. D’un geste souple, elle défait sa ceinture, et sort son sexe tendu, prêt à exploser. Elle le prend dans sa bouche sans prévenir, affamée. Il la laisse faire, la main dans ses cheveux, la guidant, la retenant.
Mais il ne voulait pas finir là.
Il la retourne d’un coup, la met à quatre pattes sur la fouta. Le sable collait à ses genoux, la chaleur vibrait entre ses reins. Il la pénétre d’un seul coup, profondément. Elle hurle, étouffée dans sa propre serviette, surprise et enivrée à la fois.
Il la tient. Il la pprend. Il la posséde. Fort. Brut. Parfait.
— Regarde là-bas, lui murmura-t-il. Tu le vois, le voisin ?
Elle leva la tête. Oui. Il était toujours là. La main sur son sexe. Spectateur silencieux.
— Il te regarde. Il te mate pendant que je te baise comme une vraie chienne.
Et elle jouit. Une première fois, intense, secouée, traversée. Son corps se cambre, puis retombe. Mais il ne ralentit pas.
Il la tient par la taille, et sans prévenir, se recule à peine… puis glisse une main ferme sur ses fesses, les écartant. LANA frissonne. Elle sait ce qui va suivre. Elle l’attend.
Il s’enfonce en elle. Là. Brutalement. Profondément. Elle crie. Pas de douleur. D’extase. Elle se tend comme un arc, les deux points de tension en feu — son sexe vibrant, et son autre entrée, prise, envahie, possédée.
Elle explose à nouveau, secouée d’un deuxième orgasme incontrôlable, plus long, plus animal, plus profond.
— T’es à moi maintenant, souffla-t-il, haletant, sa main claquant sur sa fesse.
Puis, dans un dernier coup de reins, il se répand en elle, tout entier, jusqu’au bout, les yeux dans ceux du voisin, comme pour signer la scène d’un regard.
Silence. Sable. Soleil.
LANA s’écroule sur le côté, nue, tremblante de plaisir, le sourire au bord des lèvres.
Il se rhabille lentement, presque à regret. Le souffle encore court, le regard flou, il se redresse et ajuste son short avec maladresse. LANA, allongée dans le sable, nue, luisante, les cuisses encore ouvertes, le regarde partir avec un merci. Il s’éloigne allégé. Évidemment. Elle, non. Elle avait encore faim.
Elle tourne lentement la tête.
Le voisin est toujours là. Fidèle. Silencieux. Fasciné.
Alors elle se redresse, s’étire longuement comme une féline, et se met debout. Le sable colle à sa peau, en petites particules dorées sur ses cuisses, ses fesses, entre ses seins. Elle sent le sperme de son baiseur s’écouler dans son sillon… divin…
Elle saisit sa fouta et la secoué, puis entreprend de la replacer lentement, méthodiquement.
Mais elle ne faisait rien innocemment.
Dos tourné vers lui, bien cambrée, elle penche le buste en avant, les jambes bien écartées. Ses fesses bien rondes s’ouvrent à la lumière. Encore rougies. Encore humides. Elle sait ce qu’il voit. Son sexe trempé et se lèvres bien écartées… tout comme son anus béant et dégoulinant du trop plein de la semence de son baiseur…Et elle adorait le lui offrir.
Puis elle se redresse, passe une main sur sa hanche, sur ses seins, puis sur son sexe, pour balayer le sable… mais surtout pour ranimer la chaleur.
Elle était déjà à nouveau excitée. Elle ne voulait pas que ça s’arrête là.
Alors elle décide d’aller voir.
LANA quitte l’enclos, nue, naturelle, comme une nymphe échappée d’un tableau. Elle se balade lentement le long de la plage, pieds dans l’eau, l’air de rien. Puis elle fait mine de s’approcher de l’enclos du voyeur. Un détour. Une boucle. Quelques photos bidons sur son téléphone. Elle tourne autour.
Bingo.
Il est toujours là. Debout. Son sexe en main, dur comme une pierre, luisant de désir retenu.
Elle plante son regard dans le sien. Il ne détourne pas les yeux. Ils sont à 2 mètres l’un de l’autre.
LANA, lentement, caresse sa poitrine. Ses seins gonflés, sensibles, réagissent aussitôt. Puis sa main descend, et ses doigts se glissent entre ses cuisses, sur son intimité encore chaude, encore pleine.
Elle fait un pas vers lui, comme on entre dans un feu.
— Je peux entrer ? demanda-t-elle, voix basse, yeux brillants.
— Oui, souffla-t-il, à peine audible.
Elle ne dit rien de plus. Elle tombe à genoux sur sa serviette, comme portée par une urgence. Sa main saisit son sexe. Plus large que celui du précédent. Plus dense. Plus vibrant. Elle le voulait en elle !!!
Et sa bouche s’ouvre. Elle le prend d’un coup. Profond. Comme si elle avait attendu ce moment toute l’après-midi. Sa langue tournoye, son rythme s’adaptee, jouant avec sa respiration, l’effleurant du regard.
Il n’eut aucune chance.
Trop excité. Trop plein.
Il jouit en quelques minutes, dans sa bouche, en silence, le corps tendu comme une corde. Elle l’avale sans sourciller, les yeux fermés. Elle veux le vider. Jusqu’au bout.
Mais à peine l’extase passée, il s’effondre, désarmé. Incapable de continuer. Vide. Il la remercie pour ce délicieux moment.
LANA se redresse, frustrée. Elle espérait plus. Elle avait prévu qu’il la prenne, là, fort, sans précaution. Mais il était déjà ailleurs, les jambes molles, le regard au loin.
Alors elle se leve, sans un mot, sans colère. Juste un soupir.
Elle retourne seule vers son enclos, encore pleine de désir. Elle s’allonge, ouvrit à nouveau les jambes. Et cette fois, ce fut pour elle. Rien que pour elle.
Ses doigts retrouvèrent leur danse. Mais dans sa tête, c’étaient les deux corps d’avant, leurs mains, leurs mots, leurs regards, qui s’entremêlaient. Elle jouit lentement, intensément, les yeux fermés, un sourire sur les lèvres.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
merci pour le retour !
Superbe, je pense que ce serait mieux au présent, c’est comme ça que je l’ai lu !
Jef
Jef

