Séance photo privée Chapitre 2

Récit érotique écrit par Stark31 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Séance photo privée Chapitre 2
Séance photo privée
Chapitre 2
Cela faisait quatre jours que Lana relisait encore et encore le message de Julien.
"Les photos sont prêtes. Elles sont superbes. Et… si tu veux, on peut faire une deuxième séance. Quelque chose de plus audacieux."
Elle avait tapé sa réponse d’une main tremblante, un sourire aux lèvres.
"Audacieux… J’arrive samedi."
L’arrivée
Samedi, 17h. Lana monta les marches de l’immeuble avec un petit battement au creux du ventre. Cette fois, elle avait choisi avec soin : un chemisier blanc légèrement transparent et un jean moulant… mais en dessous, l’ensemble en dentelle noire qu’elle réservait d’habitude aux soirs où elle savait qu’elle ne dormirait pas seule.
Elle avait hésité à mettre un soutien-gorge, mais quelque chose en elle voulait qu’il remarque chaque frisson, chaque réaction. L’ensemble etait complété par un string en dentelle fine qui ne cachait presque rien.
Julien lui ouvrit la porte avec le même sourire calme que la première fois, mais son regard… plus intense, plus lent.
— Tu es radieuse… encore plus que la dernière fois, dit-il, sa voix plus grave qu’avant.— Et toi… tu as l’air impatient, répondit-elle en haussant un sourcil.
Il ne répondit pas, se contentant d’un petit sourire nerveux.
Le studio avait changé : un petit canapé bas recouvert d’un plaid en fausse fourrure, une lumière chaude qui donnait l’impression d’être dans une chambre plutôt que dans un studio photo.
Julien commença calmement, comme la première fois. Mais dès qu’il s’approchait pour "rectifier" une mèche de cheveux ou replacer l’ourlet de sa manche, Lana sentait un frisson plus fort qu’avant. Ses tétons se dressaient déjà sous son chemisier, tendant le tissu à en être presque douloureux.Au bout de vingt minutes, il posa son appareil et la regarda sérieusement.
— On essaie quelque chose de différent ? Tu te souviens, tu m’as dit que tu voulais oser davantage…
Lana le fixa, le cœur battant. Elle hocha lentement la tête.
— Qu’est-ce que tu as en tête ?
Julien inspira profondément.
— Rien d’excessif. Juste toi… en lingerie. Assise ou allongée, comme tu veux. Promis, ça reste artistique.
Elle sourit, légèrement troublée mais excitée.
— J’ai justement mis quelque chose qui pourrait convenir…
Elle se leva, tourna le dos, et, d’un geste lent, fit glisser son chemisier. Puis elle ouvrit son jean et le laissa tomber à ses pieds. Quand elle se retourna, Julien resta immobile, son appareil dans les mains, mais son regard était clairement ailleurs.
Lana, elle, se sentait étrangement puissante. Elle n’avait jamais été pudique, mais se savoir regardée ainsi… c’était différent.
Elle s’assit sur le canapé, croisant d’abord les jambes avec une lenteur calculée. Sa lingerie était un spectacle à elle seule : un soutien-gorge en dentelle noire si fine que ses tétons, durs et tendus à en être presque douloureux, se dessinaient nettement sous le tissu.Mais ce qui attira vraiment le regard de Julien, c’était son string minuscule, une simple bande de dentelle qui couvrait à peine son intimité.À chaque mouvement, on devinait sans mal que son sexe était parfaitement lisse, nu, offert à l’imagination.
Julien reprit son appareil, mais ses mains tremblaient légèrement.
— Allonge-toi un peu… oui, comme ça. Plie une jambe… parfait…
Lana obéit avec un petit sourire en coin. Elle se laissa aller contre le plaid, une main caressant paresseusement son ventre. La chaleur qui pulsait entre ses cuisses devenait insupportable. Son string était déjà humide, si humide qu’elle se demanda si Julien ne le verrait pas.
Alors, elle décida de jouer.
Elle écarta légèrement les jambes, juste assez pour que la dentelle de son string se tende encore plus, soulignant chaque courbe intime. Le tissu noir, déjà humide, épousait son sexe parfaitement lisse. Julien s’approcha pour replacer le plaid, son regard effleurant à peine l’endroit où la dentelle collait à sa peau.
Aucun mot, aucune réaction.
Il se contenta de redresser le tissu d’un geste sûr, reprit son appareil et se recula, comme si de rien n’était.Lana, pourtant, vit ce qu’il essayait de cacher. Le tissu de son jean, tendu à l’extrême, trahissait une érection impressionnante. La bosse longue et épaisse déformait clairement le pantalon.
Elle mordit discrètement sa lèvre, un frisson la traversant à cette vision, mais quelque chose en elle s’agaça : comment pouvait-il rester aussi calme avec une telle érection ?
Elle décida de l’attaquer directement.
— Tu restes toujours aussi professionnel ? demanda-t-elle, sa voix volontairement moqueuse.
Julien leva les yeux vers elle. Un simple regard, stable, presque trop maîtrisé.
— Toujours, répondit-il d’un ton posé, avant d’ajouter en levant son appareil : On continue ?
Ce calme la désarma.
Elle, trempée sous son string, le cœur battant, les tétons douloureux à force de pointer… et lui, imperturbable, presque froid.
Elle serra imperceptiblement les cuisses, un peu frustrée.
Elle se redressa lentement, s’assit sur ses genoux, les jambes repliées sous elle. Sa poitrine, tendue par l’excitation, se soulevait à chaque respiration. Elle savait qu’il le voyait.
Julien reprit son appareil, mais ses doigts tremblaient encore plus. La séance se poursuivit avec un professionnalisme déconcertant !
Le retour à la maison
Lana claqua la porte de son appartement derrière elle, encore électrisée par la séance. Ses jambes tremblaient légèrement, et son string humide collait toujours à sa peau.
Elle lâcha son sac dans l’entrée, sans même retirer sa veste. Elle alla directement dans sa chambre et s’assit sur le bord du lit, respirant profondément.
Son corps entier était en feu. Ses tétons, tendus et douloureux, frottaient contre le tissu fin de son soutien-gorge. Chaque fois qu’elle fermait les yeux, elle revoyait Julien : son calme, son regard presque froid… et cette bosse énorme qui déformait son pantalon.
— Putain… souffla-t-elle à voix basse, frustrée.
Elle n’y tenait plus. Elle se leva d’un coup, ouvrit la fermeture de son jean et le fit glisser à ses pieds. Puis elle détacha son soutien-gorge, libérant ses seins tendus qui pointaient violemment, comme s’ils avaient attendu ce moment toute la journée.
Elle retira son string d’un geste rapide. Le tissu noir était trempé, luisant à la lumière douce de sa chambre. Elle le regarda une seconde, un sourire nerveux aux lèvres, avant de le jeter sur le lit.
Puis elle s’allongea, nue, les jambes légèrement ouvertes. Ses doigts glissèrent entre ses cuisses presque instinctivement.
— Julien… murmura-t-elle, à moitié honteuse d’entendre sa propre voix.
Elle ferma les yeux et se laissa aller. Son sexe était déjà si humide que ses doigts glissaient facilement sur sa peau lisse. Elle se caressa lentement d’abord, comme pour prolonger l’excitation, mais l’image de Julien, debout devant elle, imperturbable avec cette érection monstrueuse sous son jean, la rendait folle.
Elle accéléra le mouvement, ses hanches suivant le rythme sans qu’elle s’en rende compte. Elle imaginait son regard froid, sa main qui aurait enfin lâché son appareil pour glisser sur sa peau nue.
Sa respiration devint saccadée. Ses tétons douloureux semblaient presque pulser à chaque battement de cœur. Elle se pinça l’un d’eux de l’autre main, ce qui arracha un petit gémissement à sa gorge.
— Oh… Julien… soupira-t-elle encore, la voix tremblante.
La vague monta vite, irrésistible. Ses doigts s’enfoncèrent un peu plus, ses jambes se crispèrent, et elle sentit l’orgasme exploser, brutal, incontrôlable. Elle se cambra, la bouche entrouverte, un cri étouffé lui échappant alors qu’elle se laissait aller complètement.
Elle resta un moment immobile, haletante, le corps tremblant. Puis elle ouvrit les yeux, un sourire satisfait mais frustré aux lèvres.
Chapitre 2
Cela faisait quatre jours que Lana relisait encore et encore le message de Julien.
"Les photos sont prêtes. Elles sont superbes. Et… si tu veux, on peut faire une deuxième séance. Quelque chose de plus audacieux."
Elle avait tapé sa réponse d’une main tremblante, un sourire aux lèvres.
"Audacieux… J’arrive samedi."
L’arrivée
Samedi, 17h. Lana monta les marches de l’immeuble avec un petit battement au creux du ventre. Cette fois, elle avait choisi avec soin : un chemisier blanc légèrement transparent et un jean moulant… mais en dessous, l’ensemble en dentelle noire qu’elle réservait d’habitude aux soirs où elle savait qu’elle ne dormirait pas seule.
Elle avait hésité à mettre un soutien-gorge, mais quelque chose en elle voulait qu’il remarque chaque frisson, chaque réaction. L’ensemble etait complété par un string en dentelle fine qui ne cachait presque rien.
Julien lui ouvrit la porte avec le même sourire calme que la première fois, mais son regard… plus intense, plus lent.
— Tu es radieuse… encore plus que la dernière fois, dit-il, sa voix plus grave qu’avant.— Et toi… tu as l’air impatient, répondit-elle en haussant un sourcil.
Il ne répondit pas, se contentant d’un petit sourire nerveux.
Le studio avait changé : un petit canapé bas recouvert d’un plaid en fausse fourrure, une lumière chaude qui donnait l’impression d’être dans une chambre plutôt que dans un studio photo.
Julien commença calmement, comme la première fois. Mais dès qu’il s’approchait pour "rectifier" une mèche de cheveux ou replacer l’ourlet de sa manche, Lana sentait un frisson plus fort qu’avant. Ses tétons se dressaient déjà sous son chemisier, tendant le tissu à en être presque douloureux.Au bout de vingt minutes, il posa son appareil et la regarda sérieusement.
— On essaie quelque chose de différent ? Tu te souviens, tu m’as dit que tu voulais oser davantage…
Lana le fixa, le cœur battant. Elle hocha lentement la tête.
— Qu’est-ce que tu as en tête ?
Julien inspira profondément.
— Rien d’excessif. Juste toi… en lingerie. Assise ou allongée, comme tu veux. Promis, ça reste artistique.
Elle sourit, légèrement troublée mais excitée.
— J’ai justement mis quelque chose qui pourrait convenir…
Elle se leva, tourna le dos, et, d’un geste lent, fit glisser son chemisier. Puis elle ouvrit son jean et le laissa tomber à ses pieds. Quand elle se retourna, Julien resta immobile, son appareil dans les mains, mais son regard était clairement ailleurs.
Lana, elle, se sentait étrangement puissante. Elle n’avait jamais été pudique, mais se savoir regardée ainsi… c’était différent.
Elle s’assit sur le canapé, croisant d’abord les jambes avec une lenteur calculée. Sa lingerie était un spectacle à elle seule : un soutien-gorge en dentelle noire si fine que ses tétons, durs et tendus à en être presque douloureux, se dessinaient nettement sous le tissu.Mais ce qui attira vraiment le regard de Julien, c’était son string minuscule, une simple bande de dentelle qui couvrait à peine son intimité.À chaque mouvement, on devinait sans mal que son sexe était parfaitement lisse, nu, offert à l’imagination.
Julien reprit son appareil, mais ses mains tremblaient légèrement.
— Allonge-toi un peu… oui, comme ça. Plie une jambe… parfait…
Lana obéit avec un petit sourire en coin. Elle se laissa aller contre le plaid, une main caressant paresseusement son ventre. La chaleur qui pulsait entre ses cuisses devenait insupportable. Son string était déjà humide, si humide qu’elle se demanda si Julien ne le verrait pas.
Alors, elle décida de jouer.
Elle écarta légèrement les jambes, juste assez pour que la dentelle de son string se tende encore plus, soulignant chaque courbe intime. Le tissu noir, déjà humide, épousait son sexe parfaitement lisse. Julien s’approcha pour replacer le plaid, son regard effleurant à peine l’endroit où la dentelle collait à sa peau.
Aucun mot, aucune réaction.
Il se contenta de redresser le tissu d’un geste sûr, reprit son appareil et se recula, comme si de rien n’était.Lana, pourtant, vit ce qu’il essayait de cacher. Le tissu de son jean, tendu à l’extrême, trahissait une érection impressionnante. La bosse longue et épaisse déformait clairement le pantalon.
Elle mordit discrètement sa lèvre, un frisson la traversant à cette vision, mais quelque chose en elle s’agaça : comment pouvait-il rester aussi calme avec une telle érection ?
Elle décida de l’attaquer directement.
— Tu restes toujours aussi professionnel ? demanda-t-elle, sa voix volontairement moqueuse.
Julien leva les yeux vers elle. Un simple regard, stable, presque trop maîtrisé.
— Toujours, répondit-il d’un ton posé, avant d’ajouter en levant son appareil : On continue ?
Ce calme la désarma.
Elle, trempée sous son string, le cœur battant, les tétons douloureux à force de pointer… et lui, imperturbable, presque froid.
Elle serra imperceptiblement les cuisses, un peu frustrée.
Elle se redressa lentement, s’assit sur ses genoux, les jambes repliées sous elle. Sa poitrine, tendue par l’excitation, se soulevait à chaque respiration. Elle savait qu’il le voyait.
Julien reprit son appareil, mais ses doigts tremblaient encore plus. La séance se poursuivit avec un professionnalisme déconcertant !
Le retour à la maison
Lana claqua la porte de son appartement derrière elle, encore électrisée par la séance. Ses jambes tremblaient légèrement, et son string humide collait toujours à sa peau.
Elle lâcha son sac dans l’entrée, sans même retirer sa veste. Elle alla directement dans sa chambre et s’assit sur le bord du lit, respirant profondément.
Son corps entier était en feu. Ses tétons, tendus et douloureux, frottaient contre le tissu fin de son soutien-gorge. Chaque fois qu’elle fermait les yeux, elle revoyait Julien : son calme, son regard presque froid… et cette bosse énorme qui déformait son pantalon.
— Putain… souffla-t-elle à voix basse, frustrée.
Elle n’y tenait plus. Elle se leva d’un coup, ouvrit la fermeture de son jean et le fit glisser à ses pieds. Puis elle détacha son soutien-gorge, libérant ses seins tendus qui pointaient violemment, comme s’ils avaient attendu ce moment toute la journée.
Elle retira son string d’un geste rapide. Le tissu noir était trempé, luisant à la lumière douce de sa chambre. Elle le regarda une seconde, un sourire nerveux aux lèvres, avant de le jeter sur le lit.
Puis elle s’allongea, nue, les jambes légèrement ouvertes. Ses doigts glissèrent entre ses cuisses presque instinctivement.
— Julien… murmura-t-elle, à moitié honteuse d’entendre sa propre voix.
Elle ferma les yeux et se laissa aller. Son sexe était déjà si humide que ses doigts glissaient facilement sur sa peau lisse. Elle se caressa lentement d’abord, comme pour prolonger l’excitation, mais l’image de Julien, debout devant elle, imperturbable avec cette érection monstrueuse sous son jean, la rendait folle.
Elle accéléra le mouvement, ses hanches suivant le rythme sans qu’elle s’en rende compte. Elle imaginait son regard froid, sa main qui aurait enfin lâché son appareil pour glisser sur sa peau nue.
Sa respiration devint saccadée. Ses tétons douloureux semblaient presque pulser à chaque battement de cœur. Elle se pinça l’un d’eux de l’autre main, ce qui arracha un petit gémissement à sa gorge.
— Oh… Julien… soupira-t-elle encore, la voix tremblante.
La vague monta vite, irrésistible. Ses doigts s’enfoncèrent un peu plus, ses jambes se crispèrent, et elle sentit l’orgasme exploser, brutal, incontrôlable. Elle se cambra, la bouche entrouverte, un cri étouffé lui échappant alors qu’elle se laissait aller complètement.
Elle resta un moment immobile, haletante, le corps tremblant. Puis elle ouvrit les yeux, un sourire satisfait mais frustré aux lèvres.
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