la chambre d'hôtes naturiste - chapitre 2 La piscine

- Par l'auteur HDS Stark31 -
Récit érotique écrit par Stark31 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : la chambre d'hôtes naturiste - chapitre 2 La piscine Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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la chambre d'hôtes naturiste - chapitre 2 La piscine
14 h. La piscine est un miroir. Trois couples et les hôtes tournent comme des planètes tranquilles. Je m’assieds, j’analyse, je lis les personnes presentes — et mon corps lit avec moi.

Ana et Marco.
Ana sort de l’eau. Les gouttes perlent sur sa peau dorée, descendent en file lente sur sa poitrine ronde et ferme. Le froid de la piscine a figé ses pointes, deux tétons durs et fiers, presque provocants malgré elle. La brise les frôle et les rend encore plus toniques, comme si chaque frisson accentuait leur relief. Mon regard glisse plus bas : son ventre lisse accroche un éclat de lumière juste au-dessus de son sexe, où un fin duvet, taillé avec précision, dessine une ligne douce et maîtrisée. Rien de négligé, rien d’excessif : juste assez pour que l’œil y reste accroché.
Je sens, en la regardant, mon propre ventre se contracter légèrement, comme si ses frissons étaient les miens. Mes tétons réagissent en miroir, se durcissent un peu plus, envoyant de petites décharges jusque dans mon bas-ventre. Une chaleur tiède, pulsante, commence à s’installer entre mes cuisses, et je respire plus profondément pour la contenir… en vain.
Marco, lui, est assis au bord, l’eau coulant encore de ses épaules larges, dessinées par la nage. Il a cette lenteur posée, presque animale, qui attire plus que n’importe quelle attitude calculée. La ligne qui descend de son nombril est parfaitement nette, menant à un pubis tondu qui dévoile, sans exagération mais sans équivoque, un bel instrument au repos, épais et prometteur. Ses testicules, parfaitement lisses, pendent avec cette tranquillité d’homme sûr de lui, indifférent au regard, et c’est précisément ce détachement qui me frappe.
Une chaleur plus dense grimpe de mon sexe à ma gorge avant de redescendre, lourde, jusque dans mes cuisses. Mes lèvres intimes se gonflent légèrement, sensibles, comme si ce simple tableau l’invitait déjà à y entrer. Je les observe, eux deux, comme une scène à la fois esthétique et dangereuse… une scène que je pourrais rejoindre à tout moment si je le décidais.

Clara et Yvan.
Clara lit, allongée sur le flanc, une jambe pliée qui dévoile l’intérieur pâle de sa cuisse. Quand elle s’étire, sa cage thoracique s’ouvre, la poitrine se tend et s’allonge un peu, les pointes discrètement dures, comme réveillées par le soleil. Son sexe est lisse, mettant en avant des levres fines et bien dessinée, sage, mais la lumière caresse le léger ombré d’un duvet fin, soigneusement entretenu, qui souligne la naissance de son sexe. C’est une sensualité par retenue, presque timide, qui attire justement parce qu’elle ne cherche pas à séduire.
Je me redresse par mimétisme. Ma colonne s’aligne, mes omoplates se rapprochent, et une coulée tiède glisse derrière mes côtes, s’étirant jusque dans mon ventre.
Un peu plus loin, Yvan parle avec Luc. Il tient une serviette, l’ajuste sur un transat. Ses avant-bras veinés se contractent légèrement, muscles secs, peau dorée par le soleil. Sa nudité est simple, fonctionnelle, mais d’une évidence désarmante. Son sexe au repos, parfaitement naturel, bouge au rythme de sa respiration basse, régulière. Les testicules, lourds et détendus, semblent à leur place, comme le centre tranquille de tout son corps.
En le regardant, mes paumes chauffent, comme si je tenais une pierre lisse et tiède. Ma mâchoire se déverrouille, laissant passer plus d’air. Bas, tout bas, une pulsation régulière se cale, profonde, presque hypnotique.
Je croque dans l’air : il a goût de sel et de pêche, un mélange doux et salin qui se dépose sur ma langue et m’envahit lentement, comme un prélude.

Iris et Thomas.
Iris a la peau claire, laiteuse, légèrement rosée aux épaules. Ses seins, plus petits, ne bougent presque pas quand elle rit, mais leurs pointes se durcissent net, nerveuses, dès qu’un nuage voile le soleil. C’est subtil, rapide, comme un frisson attrapé en plein vol. Son bas-ventre est fin, tenu, parfaitement dessiné, avec un triangle discret, entretenu de près, qui suggère plus qu’il ne montre. Il appelle à venir le découvrir sans jamais revendiquer. Le dessin du triangle pointe vers son sexe, comme pour en indiquer l’entrée…
En la regardant, mes tétons se contractent d’eux-mêmes, têtus, comme en réponse muette à ce signal involontaire. Je pose une main sur ma poitrine “pour le soleil” — du moins, c’est ce que je veux laisser croire — en réalité pour calmer ce léger tremblement qui menace de s’entendre dans ma voix.
À côté, Thomas s’assoit sur le bord du transat. Ses cuisses sont fermes, celles d’un marcheur régulier, et son dos reste droit, presque fier. Sa nudité n’exhibe rien ; elle s’impose par sa simplicité. Mais il est impossible de ne pas remarquer le reste : un sexe entièrement lisse, parfaitement rasé, d’une taille imposante même au repos, lourd et plein, comme une promesse à laquelle on ne peut pas ne pas penser. Les testicules, ronds et lustrés, complètent un tableau qui semble presque irréel par ses proportions.
L’axe de son bassin est sobre, mais ses hanches respirent, gonflant et redescendant au rythme de sa poitrine. Ce mouvement lent et régulier crée un balancement invisible qui attire l’œil et fixe l’attention.

Je sens mon pouls battre au poignet avec une précision presque mécanique. Mon sexe prend soudain conscience de lui-même, comme s’il se gonflait légèrement. Une tiédeur insistante s’installe, basse, tenue, mais bien décidée à rester.

Je me rends compte que je respire plus fort. Chaque corps autour de moi a laissé une empreinte différente, une sensation unique dans mon ventre, dans ma poitrine, entre mes cuisses. Quand je tourne la tête vers Pierre, il m’observe. Nu, tendu, déjà dur. Je souris intérieurement. Il sait que j’ai tout vu. Et il sait que tout ce que j’ai ressenti… je vais le lui faire payer.

Myriam dépose une corbeille de pêches sur la table basse, juste à l’ombre du baldaquin. Ses gestes sont simples, précis, presque cérémonieux. Sa peau est lisse, uniformément hâlée, sans une ombre de poil, comme polie par le soleil et l’eau. Je devine sous la lumière la douceur parfaite de cette surface nue : ça doit être un délice à caresser, une caresse qui glisserait sans accrocher, comme sur une pierre chaude et fine. Ses cuisses fermes soutiennent une silhouette naturelle, sans ostentation, mais chaque mouvement dégage une sensualité tranquille, assumée.

Luc, de son côté, vérifie l’eau de la piscine. Agenouillé, il plonge la main et observe, concentré. Son dos large capte la lumière, et lui aussi est entièrement glabre : ni torse, ni ventre, ni jambes ne brisent cette continuité de peau lisse et dorée. C’est un corps utile, façonné par le travail et l’entretien, mais aussi un corps qui appelle au contact, à la glissade de la main sur chaque courbe.

En les regardant ensemble, je sens cette “beauté utile” m’ancrer. Pas la beauté d’une image figée, mais celle qui se vit, qui se touche, qui sert. L’idée de passer ma paume sur leurs hanches, de sentir la chaleur de leur peau nue contre la mienne, m’envoie un frisson dans le bas-ventre.

Mon corps parle plus fort que moi. Mes tétons sont au garde-à-vous, insolents, tendus sous la caresse de la brise. Une chaleur dense s’installe en courbe derrière mon nombril et descend, s’alourdit, se concentre bas. Mon sexe pulse doucement, gonfle de désir, ses lèvres s’ouvrant légèrement, gorgées de sang, sensibles au moindre frottement de l’air. L’humidité qui s’y forme devient plus riche, plus chaude, comme si chaque image que je viens de capter y déposait sa trace brûlante.

Mes paumes picotent, impatientes de contact, ma nuque chauffe, et ma peau me semble “plus grande”, prête à capter la moindre caresse, la moindre vibration. Je lâche quelques mots sur la météo, ma voix faussement légère, pour masquer la gravité qui pèse désormais dans mon timbre.

La pensée est claire, implacable : si je le décide, aucun d’eux ne me résistera. Aucun. La question n’a jamais été “si”. Elle est déjà “où”… et surtout “comment”.

En tournant la tête, je vois Pierre, assis juste à côté. Il m’observe à la dérobée, le souffle un peu court. Son sexe est dressé, raide, mais il tente de le cacher derrière la serviette posée sur ses cuisses. Ce geste discret, cette tension contenue, ce jeu maladroit pour ne pas exposer aux autres ce que je lui fais sans le toucher… tout cela me donne un frisson supplémentaire, long et précis, qui remonte du creux de mon sexe jusque dans ma poitrine.

Nous aussi, nous avons cette peau nue, entièrement lisse. Aucun poil pour interrompre le contact, juste cette douceur chaude et continue qui rend chaque caresse plus pure, plus directe. Sous le soleil, nos corps prennent la même teinte dorée, comme s’ils appartenaient à la même matière, au même souffle.

Pierre est bien pourvu par la nature. Son sexe, lourd et long même au repos, pourrait faire pâlir plus d’un homme… mais il n’en tire pas sa plus grande fierté. Ce qui l’excite, ce qui l’embrase vraiment, ce n’est pas de me posséder, mais de me voir être possédée. Il prend plus de plaisir à m’imaginer avec d’autres qu’à m’avoir pour lui seul.

Un vrai candauliste, entier, heureux de l’être. Et moi, j’ai vite compris l’avantage immense de ce fantasme-là. Ce n’est pas une faille, c’est une clé. Une liberté absolue offerte par l’homme que j’aime le plus au monde.

Il y a surtout ces soirs particuliers… quand je reviens d’une aventure. Mon corps encore imprégné de l’odeur, de la chaleur et du goût d’un autre. Il m’installe, nu, me fait écarter les cuisses, et se glisse entre elles. Pas pour me posséder. Pour me nettoyer. Sa langue recueille chaque trace de plaisir laissé par mon amant, et pendant qu’il me goûte ainsi, je lui raconte tout. Les gestes. Les sensations. Les sons. Chaque mot que je prononce lui arrache un frisson, chaque détail que je livre rend ses mouvements plus avides. Et moi, je jouis une seconde fois, nourrie par le souvenir et par sa dévotion.

Je l’aime pour ça. Pour cette confiance démesurée. Pour ce don, rare, de me laisser libre sans craindre de me perdre. Pour cette fierté étrange et belle qu’il a quand il sait que je prends plus que ce qu’il peut me donner seul.
Le matelas du lit baldaquin s’enfonce sous mon dos, et la chaleur du soleil se mêle à celle qui pulse encore dans mon ventre depuis mes observations. Les voilages blancs bougent doucement, laissant des ouvertures furtives sur la piscine et les couples dispersés autour.

Pierre est étendu à côté de moi, torse nu, une serviette posée sur ses hanches. Il croit qu’elle dissimule son érection… mais elle est si évidente que je pourrais presque deviner son contour sans la soulever. Je sais qu’il brûle. Et j’adore ça.

Je fais semblant de m’étirer, les bras au-dessus de la tête, la poitrine offerte au soleil. Mes tétons sont durs comme du verre, insolents sous la brise. Puis, dans un geste qui pourrait passer pour anodin, je laisse ma main descendre sur mon ventre… et plus bas.

Mes doigts se perdent entre mes cuisses entrouvertes. D’abord un simple frôlement, comme pour chasser un grain de sable… puis une caresse lente, précise, là où mon sexe est déjà gonflé et humide. Je sais que Pierre regarde, que ses yeux se fixent sur mes gestes, et cette conscience me chauffe encore plus.

J’imagine ce que verraient les autres s’ils regardaient par l’ouverture du voile. L’idée m’excite au point que mon souffle change, que mes hanches bougent légèrement pour accompagner mes doigts. Le plaisir monte, chaud, insistant, prêt à se faire entendre.

Et c’est là que l’ombre d’un corps se glisse sur nous.

Je retire ma main avec une lenteur calculée, comme si de rien n’était, mais je sais. Je sais qu’il a vu. Ses yeux m’ont croisée, puis sont redescendus, juste assez pour que le message passe.

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