La femme du vizir et le bouffon

- Par l'auteur HDS Karim_et_Nadia -
Auteur couple.
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Récit libertin : La femme du vizir et le bouffon Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La femme du vizir et le bouffon
Note : Ce récit est une traduction libre d'un conte arabe rapporté par le Chiekh En-Nafzaoui, un érudit musulman, auteur du الروض العاطر في نزهة الخاطر (Le jardin parfumé pour une promenade de l'esprit)
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Il est rapporté qu'au temps du Calife Al-Ma'moun régnait un bouffon nommé Behlool, dont le sultan, les vizirs et les commandants se moquaient sans cesse.

Un jour, il entra chez Al-Ma'moun lors de sa séance de jugement.
Le Calife lui ordonna de s'asseoir ; Behlool s'installa devant lui.

Al-Ma'moun le gifla sur la nuque :
- « Qu'est-ce qui t'amène, fils de pute ? »

Behlool :
- « Je suis venu contempler mon seigneur, qu'Allah le soutienne. »

Al-Ma'moun :
- « Comment vas-tu avec cette nouvelle épouse et l'ancienne ? »

Behlool avait pris une seconde femme.

Behlool :
- « Je n'ai besoin ni de la nouvelle, ni de l'ancienne, ni de cette pauvreté qui me ronge. »

Al-Ma'moun :
- « Ô Behlool, as-tu composé quelque chose là-dessus ? »

Behlool :
- « Oui. »

Le Calife :
- « Récite ! »

Et Behlool déclama, sa voix résonnant comme un cri de frustration :

| La pauvreté m'enchaîne comme des fers brûlants, elle me torture jusqu'à l'os, me réduit à un
| misérable tas de chair.
| Elle m'insulte, me détruit, me fait l'objet de moqueries à travers les âges.
| Qu'Allah maudisse une pauvreté comme la mienne, qui m'a volé toutes mes gazelles aux cuisses
| douces.
| Si elle persiste à me ligoter et à me tourmenter, elle me laissera nu, sans toit pour abriter
| mes désirs.

Al-Ma'moun :
- « Et où fuiras-tu ? »

Behlool :
- « Chez Allah et Son Messager, que la paix soit sur lui, puis chez toi, ô Commandeur des Croyants. »

Al-Ma'moun :
- « Bien dit ! Celui qui se réfugie chez Allah et Son Messager est le bienvenu. »

Puis ajouta :
- « As-tu versifié sur tes épouses et les tourments qu'elles t'infligent ? »

Behlool :
- « Oui ! »

Le calife :
- « Fais-nous entendre. »

Et Behlool récita, avec un ton lascif et ironique :

| Je me suis dit : je serai un bélier entre elles, me délectant des mamelles gonflées de deux
| brebis en chaleur.
| J'ai épousé deux femmes par pure folie, oh comme tu es damné, mari de deux chattes voraces !
| Je suis devenu comme une brebis qui gémit jour et nuit, déchirée entre deux queues venimeuses.
| Une nuit pour celle-ci, une autre pour celle-là, des reproches qui coulent comme du sperme amer | dans les deux nuits.
| Si je fais jouir l'une, je déclenche la fureur de l'autre, et je n'échappe à aucune de ces
| colères brûlantes.
| Si tu veux vivre comme un esclave honorable, garde ton cœur libre de ces deux mains avides.
| Vis seul, et si tu ne le peux, une seule suffit à commander deux armées de désirs.

Le Calife ordonna de récompenser Behlool d'une tunique dorée et de le libérer.

Behlool, l'esprit serein mais le corps prêt à l'aventure, passait près du palais du grand vizir.

Du haut de son balcon, Hamdouna, la femme du grand vizir l'aperçut.
Elle murmura à sa servante, la voix rauque :
- « Par le Seigneur de la Kaaba, c'est Behlool ! Regarde cette tunique dorée qui moule son corps ! Comment le piéger pour la lui arracher ? »

La servante, inquiète, répondit :
- « Ô ma maîtresse, c'est impossible. »

Mais Hamdouna rétorqua :
- « Je trouverai un moyen de le dépouiller. »

La servante la mit en garde :
- « C'est un homme rusé, ma maîtresse. Les gens croient le dominer, mais c'est lui qui les baise. Laisse-le, ou il te fera tomber dans le piège que tu lui tends. »

Inflexible, la femme insista :
- « Non, je veux cette tunique ! »

Elle envoya sa servante à Behlool :
- « Ma maîtresse t'invite à prendre du thé et peut-être à un festin. »

Avec un sourire lubrique, il répondit :
- « Sur la bénédiction d'Allah, je réponds à qui m'appelle pour un festin. »

Il se présenta devant elle. Elle le salua, son regard dévorant son corps :
- « Ô Behlool, j'ai ouï dire que tu venais t'enivrer de chants sensuels. »

Il acquiesça, l'œil allumé :
- « En effet. »

Cette femme, Hamdouna, épouse du grand vizir, était une chanteuse dont la voix pouvait faire bander les morts. Elle ajouta, provocante :
- « Et l'on dit qu'après la musique, tu désires te gorger de festins. »

Il confirma, un sourire en coin :
- « Oui, surtout les plus délicieux. »

Elle entonna une mélodie si érotique que ses notes semblaient caresser son sexe, puis lui offrit un banquet de mets et de vins qui enflammaient les sens.

Elle s'approcha :
- « Ô Behlool, j'ai appris que tu brûlais d'ôter cette tunique pour m'en faire don. »

Il répondit, son regard perçant son décolleté :
- « Ô ma maîtresse, je l'ôterai pour celle qui jure sur ma droite, car j'ai juré de ne l'offrir qu'à celle que je baise comme un époux baise sa femme, profondément et sans merci. »

Surprise mais excitée, elle demanda, la voix tremblante :
- « Connais-tu cela, Behlool ? »

Il rétorqua, avec une assurance sulfureuse :
- « Et comment l'ignorerais-je ? Par Allah, je suis le maître des baises ! Je connais les femmes, leurs chattes affamées, leurs cris d'extase, mieux que quiconque. Nul autre que moi n'a fait jouir une femme comme elle le mérite, la laissant pantelante et trempée. »

Hamdouna, épouse du vizir, était une déesse de luxure : corps voluptueux, seins gonflés, hanches ondulantes, une perfection qui faisait bander les héros. Sa beauté était un piège mortel ; tout homme qui la fixait sentait son sexe durcir jusqu'à la douleur. Des légions de preux avaient éjaculé leur vie sous ses charmes. Behlool fuyait sa compagnie, refusant ses invitations mais ce jour-là, pour la première fois, il céda.

Elle l'enlaça de mots torrides, lui répondant tantôt en la dévorant des yeux, tantôt en baissant le regard pour résister à l'appel de ses cuisses.

Elle insista pour la tunique, lui réclamant un tribut.

- « Quel tribut ? » demanda-t-elle, le souffle court.

- « Ta chatte, offerte à ma verge », répondit-il, implacable.

Elle répéta, feignant l'étonnement mais les tétons durcis :
- « Connais-tu cela ? »

Il répondit, la voix lourde de luxure :
- « Je connais chaque pli des créatures d'Allah. Baiser les femmes est mon vice, et nul ne les a fourrées comme moi. Les hommes s'égarent dans leurs vaines quêtes : l'un prend, l'autre donne, celui-ci vend, celui-là achète. Moi, je n'ai qu'une obsession : plonger ma bite dans la chair des femmes, éteindre leurs feux, combler leurs chattes languissantes. »

Ébahie, son clitoris palpitant, demanda :
- « As-tu écrit des vers sur cette passion dévorante ? »

Il répondit :
- « Oui, écoute. »

Et il déclama, d'une voix rauque et vibrante :

| Les mortels s'engloutissent dans leurs chimères vaines,
| Entre plaisirs éphémères et richesses soudaines,
| Dans la fièvre, la misère ou l'opulence crue,
| Chassant l'or, vendant, achetant, tout est perdu.
| Moi, je n'ai cure de ces jeux stériles,
| Ni chez les Turcs, ni chez les Arabes, ni dans l'exil.
| Mon seul brasier est l'amour, la baise des femmes,
| Sans douter, sans trembler, sans chaînes ni blâmes.
| Si la chatte tarde à engloutir ma bite,
| Mon cœur me fustige d'un reproche qui émerge.
| Contemple cette vigueur, ce prodige divin,
| Il éteint les flammes, apaise les ventres en déclin.
| Par les caresses brûlantes entre les cuisses, ô mon désir,
| Ô lumière de mes yeux, fille de noblesse et de plaisir !
| Si ce feu apaise ta faim, donne-m'en encore,
| Et nul blâme ne t'atteindra, c'est l'ivresse des corps.
| Sinon, chasse-moi, repousse-moi sans pitié,
| Avec une froideur cruelle, sans regret ni amitié.
| Si tu refuses, tu me diminues, je t'en conjure,
| Par Allah, absous-moi, épargne-moi l'injure.
| Repousse les calomnies des envieux jaloux,
| Ignore les ragots d'un fou, d'un esprit flou.
| Approche, ne t'éloigne pas, sois mon remède,
| Comme un baume pour un corps qui s'obsède.
| Enlace-moi, grimpe sur les cimes du plaisir,
| Sans honte, sans retenue, pour assouvir mon désir.
| Je garderai le secret, même sous la torture,
| De la tête aux pieds, ma langue est sûre.
| Toi et moi, seuls dans ce brasier, dans cette fièvre,
| Je suis ton esclave, tu es ma reine, ô rêve.
| Comment trahirais-je un secret si bien scellé ?
| Je suis muet, discret, à jamais celé.
| Allah sait le feu qui consume mes entrailles,
| L'amour m'a réduit à néant, un abîme sans faille.

À ces vers, Hamdouna fondit en une mare de désir, voyant sa bite dressée comme un mât gonflé de sang. Elle hésita intérieurement, mais le désir s'empara d'elle, son clitoris enflé, son vagin ruisselant, Satan courant dans ses veines comme un sperme infernal.

Elle se dit :
- « Behlool n'est qu'un bouffon ; s'il me baise et qu'il parle, nul ne le croira. »

Puis elle murmura, la voix rauque :
- « Ôte ta tunique et entre dans l'alcôve, que je te suce et te chevauche, ô flamme de mes yeux. »

Tremblante d'une ardeur insatiable, elle défit sa ceinture, son jus coulant le long de ses cuisses, et pénétra dans l'alcôve. Behlool la suivit, son sexe durcissant :
- « Est-ce un rêve ou la réalité ? »

Dans l'alcôve, elle s'étendit sur des tapis de soie, releva ses vêtements, exposant ses cuisses écartées et son sexe béant.

Sa beauté, sculptée par Allah, éclatait dans une gloire érotique : ventre bombé comme une invitation à la pénétration, taille fine comme un calice pour le sperme.

Son regard glissa sur son intimité trempée, stupéfiant. Il s'approcha, l'embrassa avec une voracité animale, léchant son jus, tandis qu'elle s'abandonnait, comme droguée par la luxure.

Ébloui par sa splendeur, il la vit s'offrir, son vagin palpitant d'une faim brute.
- « Ô ma maîtresse, tu sembles éperdue, ta chatte en feu », dit-il.

Elle rétorqua, haletante :
- « Écarte-toi, fils de pute ! Par Allah, je suis une jument en rut et tes mots m'ont fait mouiller comme une fontaine. Ignores-tu que de tels propos font basculer la plus vertueuse des femmes dans la débauche, la faisant supplier pour une bite ? Ton verbe et tes vers m'ont transformée en salope ! »

Il demanda, un rictus moqueur :
- « Pourquoi me tendre ce piège, toi qui as un époux pour te fourrer ? »

Elle répondit, les yeux en feu, les tétons dressés :
- « Une femme piège un homme comme une jument attire un étalon, mariée ou non. Contrairement aux bêtes, qui s'agitent par manque de saillie, une femme succombe aux mots qui font couler son jus et à l'attente qui la fait se doigter. Et moi, je brûle de ces deux maux, d'autant que je maudis mon époux depuis des années, sa bite molle me laissant affamée. Dépêche-toi, avant qu'il ne revienne, et baise-moi comme une chienne ! »

Behlool répondit, jouant l'innocent :
- « Mon dos me torture, je ne puis te grimper et te pilonner. Mais monte sur ma bite, prends la tunique et laisse-moi vider mes couilles ailleurs. »

Il s'allongea, sa bite dressée comme une lance veineuse. Elle la saisit, stupéfaite par sa taille monstrueuse, ses veines saillantes :
- « Voici le fléau des femmes, la damnation de leurs chattes ! Jamais je n'ai vu bite si imposante, si épaisse, prête à me déchirer. »

Elle la caressa, la suça avec une ferveur lubrique, la guida entre ses lèvres vaginales gonflées, puis s'abaissa sur lui, l'engloutissant dans son antre trempé et serré, disparut en elle, comme avalé par sa chair vorace, sans trace ni effet. Furieuse, son clitoris frottant contre son pubis, elle s'écria :
- « Maudites soient les femmes, si faibles face à la luxure, leurs chattes trahissant leurs désirs ! »

Elle s'agita frénétiquement, montant et descendant, se tordant dans une danse érotique, son jus coulant sur ses couilles, jusqu'à ce que leurs orgasmes explosent ensemble, son vagin se contractant autour de lui comme un étau, expulsant un jet de plaisir. Puis elle la libéra lentement, la contemplant avec une admiration lascive, couverte de sueur et de sperme :
- « Voilà ce que sont les bites des vrais hommes ! »

Elle essuya son front ruisselant, et il se leva, prêt à s'évanouir.

Elle l'arrêta, pantelante, son sexe encore palpitant :
- « Et la tunique ? »

Il répondit, un sourire goguenard :
- « Ô ma maîtresse, tu m'as baisé sauvagement, vidant mes couilles, et je devrais t'en donner plus ? »

Elle rétorqua, hors d'elle, ses seins se soulevant :
- « N'as-tu pas dit que ton dos t'empêchait de me fourrer ? »

Il répondit, imperturbable :
- « C'est toi qui m'as monté et fait jouir dans ta chatte ; c'est toi qui m'as baisé comme une salope. Moi, je n'ai pas labouré entre tes cuisses écartées. Je réclame mon dû, ou laisse-moi partir. »

Elle pensa :
- « Je l'ai eu, mais je ne le laisserai pas partir sans me fourrer à nouveau, sa bite me manque déjà. »

Elle s'étendit à nouveau, offerte, son corps vibrant d'une luxure déchaînée.

Il déclara, implacable :
- « Pas un geste tant que tu n'es pas nue, ta chatte exposée. »

Elle arracha ses vêtements, dévoilant une beauté à damner les saints : seins lourds, tétons durs, ventre plat menant à son mont de Vénus rasé.

Behlool, hypnotisé, explora son corps, caressant chaque courbe, suçant ses tétons, jusqu'à atteindre son sexe ruisselant. Il y plongea ses lèvres, lécha son clitoris enflé, mordit ses lèvres vaginales avec une sauvagerie érotique :
- « Ô damnation des hommes, quel antre de perdition, si humide et serré ! »

Il s'attarda, léchant, mordant, doigtant son vagin jusqu'à ce que leurs désirs s'embrasent à l'unisson, son jus coulant sur son menton. Elle tendit une main tremblante, saisit sa bite rigide et l'engloutit dans son intimité, l'accueillant jusqu'aux couilles. Lui, avec une vigueur brutale, la pilonna comme un piston ; elle, ondulant avec une frénésie lubrique, ses seins ballottant, jusqu'à ce que leurs orgasmes les terrassent dans un cri primal, son sperme jaillissant en elle.

Lorsqu'il fit mine de partir, elle le retint, le souffle coupé, son vagin dégoulinant :
- « Ôte cette tunique, maintenant ! »

Il répondit, moqueur :
- « Le premier échange a soldé le second, nous sommes quittes, ta chatte pleine de mon jus. »

Folle de rage et de désir, elle s'écria :
- « Te fous-tu de moi, fils de pute ? »

Il rétorqua :
- « Cette tunique a un prix, et je ne l'ôterai pas sans l'obtenir – une troisième baise. Le premier pour toi, le second pour moi en compensation. Le troisième est son prix. »

Il défit la tunique, la plia sous ses yeux. Elle s'allongea à nouveau, brûlante, ses jambes écartées :
- « Baise-moi comme tu veux, remplis-moi encore ! »

Il se rua sur elle, sa bite dur comme le roc plongea dans son sexe trempé avec une furie implacable, la déchirant de plaisir. Il la laboura, elle s'arqua sous lui, leurs corps s'entrechoquant dans une danse sauvage, ses ongles griffant son dos, jusqu'à ce que l'extase les submerge à nouveau, son sperme inondant son utérus. Puis il se redressa, abandonnant la tunique derrière lui, la laissant haletante et comblée.

La servante, témoin de cette orgie, s'adressa à Hamdouna :
- « Ne t'avais-je pas prévenue ? Behlool est un démon rusé, un maître de la baise. Les gens croient le berner, mais c'est lui qui les nique jusqu'à l'os. Pourquoi as-tu ignoré mes paroles ? »

Hamdouna, encore pantelante, son sexe gonflé et dégoulinant, répondit :
- « Ferme-la ! Ce qui est fait est fait. Chaque chatte porte gravé le nom de celui qui la fourre, aimé ou non. Si le nom de Behlool n'était pas inscrit sur ma chatte, ni lui ni aucun autre mortel n'aurait pu la pénétrer et me faire jouir, même pour tout l'or du monde. »

Alors qu'elles parlaient, un coup retentit à la porte.
La servante demanda :
- « Qui est là ? »
Une voix répondit : « Behlool. »

À ce nom, Hamdouna trembla, son vagin se contractant à nouveau de désir refoulé.

La servante cria :
- « Que veux-tu ? »
Il répondit :
- « Une gorgée d'eau pour rafraîchir ma bite. »

Elle lui tendit un récipient. Il but, puis le laissa choir, et il se brisa en éclats.
La servante claqua la porte, l'abandonnant dehors. Behlool s'assit là, nonchalant.

Bientôt, le grand vizir apparut et l'interpella :
- « Que fais-tu ici, Behlool ? »
Celui-ci répondit, l'air innocent :
- « Ô mon seigneur, en passant par ici, une soif ardente m'a pris. J'ai frappé, la servante m'a donné un récipient d'eau, mais il m'a glissé des mains et s'est fracassé. Alors, ta femme Hamdouna m'a pris la tunique que le Calife m'avait offerte, en paiement du récipient. »

Le vizir ordonna :
- « Rends-lui sa tunique ! »

Hamdouna surgit, rouge de honte et s'écria :
- « C'est ainsi que cela s'est passé, Behlool ?! »

Elle se frappa les mains, désemparée. Il répondit, un sourire goguenard aux lèvres :
- « J'ai conté l'histoire à ma manière, avec ma folie. Toi, raconte-la avec ta raison. »

Stupéfaite par son culot, elle lui rendit la tunique. Il la saisit et disparut, triomphant.

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