Messaline : Augusta meretrix (Livre I. Les enseignements de Caligula)

- Par l'auteur HDS Karim_et_Nadia -
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Récit libertin : Messaline : Augusta meretrix (Livre I. Les enseignements de Caligula) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Messaline : Augusta meretrix (Livre I. Les enseignements de Caligula)
Prologue. La jeunesse de Messaline
(vers 17-38 ap. J.-C.)

Dans la Rome impériale, où l'opulence côtoyait la dépravation, Valeria Messalina, née dans l'ombre de la dynastie julio-claudienne, apprit dès son plus jeune âge que le pouvoir se forgeait dans les murmures des alcôves autant que dans les décrets des sénateurs.

A 17 ans, ses courbes voluptueuses et ses yeux d'onyx capturaient déjà les regards, mais c'est à 18 ans, lors d'une nuit de débauche orchestrée par son cousin Caligula, que Messaline s'éveilla à sa véritable nature. Sous son règne, Rome devint un théâtre de luxure où chaque banquet était une célébration des sens, un défi aux limites humaines.

La leçon maternelle

La domus de Domitia Lepida, mère de Messaline, était un labyrinthe de marbre et d'or, où les murmures des esclaves se mêlaient aux parfums d'Orient que brûlaient les lampes à huile. Ce soir-là, la chaleur était telle que l'air semblait vibrer, chargé de l'odeur des jasmins et des roses noires qui ornaient les vasques de la cour intérieure. Messaline, 17 ans, était allongée sur un lit de soie pourpre, ses cheveux noirs éparpillés comme une rivière d'encre sur les coussins. Elle portait une tunique de lin transparent, offerte par sa mère pour son anniversaire, un vêtement qui moulait déjà ses courbes naissantes comme une seconde peau.

La porte s'ouvrit sans bruit. Domitia entra, vêtue d'une robe de soie noire, ses cheveux auburn tressés avec des fils d'or. Ses yeux verts, froids et calculateurs, fixèrent sa fille avec une intensité qui fit frissonner Messaline.

— Tu es prête, ma fille ? murmura Domitia en s'asseyant au bord du lit, ses doigts effleurant la joue de Messaline.

— Prête pour quoi, mère ? répondit Messaline, sa voix tremblant légèrement.

Domitia sourit, un sourire qui n'atteignit pas ses yeux.

— Pour devenir ce que Rome attend de toi. Pas une simple épouse d'un sénateur. Une impératrice.

Domitia prît une coupe de vin de Falernien sur la table de nuit et la tendit à Messaline.

— Bois, ordonna-t-elle. Ce n'est pas du vin. C'est du pouvoir.

Messaline obéit, but une gorgée. Le liquide était épicé, brûlant, et une chaleur étrange se répandit dans ses veines, faisant battre son cœur plus vite.

— Tu sens ça ? murmura Domitia en caressant les cheveux de sa fille. C'est la force. La force de séduire, de contrôler, de détruire.

Elle écarta les pans de la tunique de Messaline, révélant ses seins naissants, ses mamelons durs comme des perles roses.

— Un corps comme le tien est une arme, murmura Domitia en tracant un cercle autour de son mamelon avec un ongle verni. Et les armes, ma fille, ne servent à rien si on ne sait pas s'en servir.

Messaline ferma les yeux, sentant une chaleur nouvelle l'envahir, un mélange de peur et d'excitation.

— Qui va m'apprendre ? murmura-t-elle, sa voix rauque.

Domitia sourit, se leva et s'approcha de la fenêtre, d'où l'on voyait les lumières de Rome scintiller comme des étoiles tombées.

— Caligula, l'empereur en personne, répondit-elle. Ton cousin. Il sera ton maître.

Première rencontre avec Caligula

Trois nuits plus tard, Messaline fut conduite dans les jardins privés de Caligula, un lieu où les statues de marbre représentaient des dieux en train de s'unir à des mortelles, et où les fontaines murmuraient des chansons obscènes. Caligula, vêtu d'une toge de soie pourpre, était allongé sur un lit de coussins, entouré de jeunes esclaves nus qui lui versaient du vin et lui offraient des fruits.

— Ma petite cousine, murmura-t-il en se redressant, ses yeux dorés brillant comme ceux d'un fauve. Enfin.

Messaline s'inclina, sentant son cœur battre à tout rompre.

— Mon empereur, murmura-t-elle, sa voix tremblante.

Caligula éclata de rire, un son chaud et dangereux.

— Ici, je ne suis pas ton empereur, répondit-il en faisant signe aux esclaves de s'éloigner. Je suis ton maitre.

Il tendit la main. Messaline la prît, sentant ses doigts glisser sur sa peau comme une promesse.

— Assieds-toi, murmura-t-il en désignant un coussin à côté de lui. Et écoute.

Caligula prît une figue sur un plateau d'argent, la coupa en deux et en offrit une moitié à Messaline.

— Goûte, murmura-t-il. Le plaisir, comme le pouvoir, commence par les sens.

Messaline mordit dans la figue, le jus sucré coulant sur ses lèvres. Caligula observa chaque mouvement, chaque soupir, comme un prédateur observant sa proie.

— Maintenant, murmura-t-il en effleurant sa lèvre avec son pouce, tu vas apprendre à donner du plaisir. Parce que c'est comme ça qu'on en reçoit.

Il prît sa main, la guida vers son sexe, déjà dur sous sa toge.

— Caresse-moi, murmura-t-il. Doucement. Comme si tu volais quelque chose.

Messaline obéit, ses doigts tremblants explorant son corps, apprenant les courbes, les réactions, les souffles haletants.

— Bien, murmura Caligula en fermant les yeux, un sourire aux lèvres. Maintenant, je vais te montrer comment on prend.

Caligula la fit allonger sur les coussins, écarta sa tunique, et explora son corps avec une lenteur calculée. Ses doigts glissèrent sur sa peau, trouvant chaque point sensible, chaque frisson.

— Le pouvoir, murmura-t-il en léchant son cou, c'est savoir donner du plaisir... et savoir l'arracher.

Messaline gémit, ses hanches se soulevant malgré elle, son corps répondant à chaque caresse comme une lyre sous les doigts d'un maître.

— Tu es naturelle, murmura Caligula en pénétrant en elle, ses yeux rivés aux siens. Une vraie déesse.

Quand ce fut fini, Messaline restait allongée, son corps tremblant, son esprit en feu.

— Maintenant, murmura Caligula en lui caressant les cheveux, tu sais ce que c'est que d'être possédée.

Messaline se redressa, ses yeux brillant d'une lueur nouvelle.

— Non, répondit-elle, sa voix ferme. Maintenant, je sais ce que c'est que de posséder.

Caligula, empereur à l'esprit dérangé et au corps insatiable, voyait en Messaline une flamme qu'il voulait attiser, un miroir de sa propre folie.


Chapitre 1. L'initiation sous Caligula
(Rome, 37 ap. J.-C. – La grande salle du Palais Impérial, nuit des Lupercales)

Le sanctuaire de la décadence

La grande salle du Palais Impérial était un sanctuaire de décadence, un creuset où les parfums enivrants de l'ambre, du jasmin et du musc flottaient dans l'air comme une brume aphrodisiaque. Les murs de marbre noir, incrustés de mosaïques dorées, scintillaient sous la lumière vacillante de mille lampes à huile, dont les mèches crépitaient doucement, ajoutant une note rauque à la symphonie des gémissements et des rires. Des divans de soie cramoisie, bordés de franges d'or, s'étendaient autour de tables débordant de délices : des figues éclatées laissant perler leur jus sucré, des grenades fendues révélant leurs graines rubis, des coupes d'argent débordant de vin épicé au safran et au miel, dont chaque gorgée brûlait la gorge comme un feu liquide.

Des esclaves, hommes et femmes, leurs corps nus luisant d'huile de santal, glissaient entre les convives comme des ombres vivantes, leurs peaux reflétant la lumière, leurs hanches ondulant au rythme des cithares et des flûtes cachées dans les alcôves sombres.

La première leçon

Messaline, dix-sept ans, était allongée sur un divan à la droite de Caligula, son cousin et empereur, dont le regard brûlait d'une lueur démente. Sa stola de lin translucide, si fine qu'elle semblait tissée d'air, épousait ses seins pleins, ses mamelons roses pointant sous le tissu, et révélait la courbe de ses hanches et l'ombre de sa toison sombre. Le vin qu'elle avait bu, épais et capiteux, faisait pulser le sang dans ses veines, une chaleur humide s'éveillant entre ses cuisses.

Caligula, vêtu d'une toge pourpre ouverte sur son torse musclé, se pencha vers elle, son souffle chaud sentant le vin et l'encens contre son cou.

— Ma douce cousine, murmura-t-il, sa voix grave vibrant comme une promesse, ce soir, tu vas découvrir ce que Rome peut offrir à une femme qui ose tout. Je vais t'enseigner l'art du plaisir, jusqu'à ce que ton corps chante pour moi.

Messaline sentit un frisson parcourir sa peau, ses cuisses s'écartant instinctivement sous la table, où les doigts de Caligula glissaient déjà, effleurant l'intérieur soyeux de sa peau. Son vagin s'humidifia, une chaleur liquide se répandant comme du miel fondu. Elle tourna la tête, ses lèvres frôlant les siennes, son souffle mêlé au sien.

— Prouve-le, cousin, répondit-elle, sa voix rauque, ses yeux brillant de défi. Fais-moi jouir jusqu'à ce que j'oublie mon nom.

Caligula éclata d'un rire sauvage, un son qui résonna dans la salle comme un coup de tonnerre, et fit signe à un esclave nubien, un colosse aux muscles sculptés, sa peau d'ébène luisant d'huile, son sexe épais déjà à demi dressé, pulsant comme une menace délicieuse.

— Approche, ordonna Caligula, sa main serrant la cuisse de Messaline. Montre à ma cousine ce qu'un homme peut faire avec sa langue.

L'éveil des sens

L'esclave s'agenouilla devant Messaline, ses mains puissantes écartant ses cuisses avec une douceur calculée, ses doigts glissant sur sa peau comme des plumes chaudes. Il releva sa stola, révélant sa chatte gonflée, ses lèvres roses luisant d'humidité, et se pencha, son souffle brûlant caressant sa chair intime.

— Goûte-la, gronda Caligula, ses doigts s'enfonçant dans l'épaule de Messaline, ses yeux brillant d'une faim perverse. Fais-la fondre comme une putain sacrée.

L'esclave obéit, sa langue large et chaude glissant le long des lèvres de Messaline, explorant chaque pli avec une lenteur torturante. La sensation était un éclair, un feu liquide qui se répandait de son clitoris à sa colonne vertébrale, faisant durcir ses mamelons et arquant son dos. Il lécha son clitoris en cercles lents, puis l'aspira doucement, comme s'il buvait à une source divine. Messaline haleta, ses mains agrippant les coussins, ses ongles lacérant la soie.

— Plus vite, esclave, ordonna-t-elle, sa voix tremblante de désir. Suce-moi jusqu'à ce que je coule.

L'esclave accéléra, sa langue fouettant son clitoris, ses doigts s'enfonçant en elle, deux, puis trois, étirant ses parois humides avec une précision qui la fit gémir. Elle sentit un orgasme monter, rapide et brutal, ses cuisses tremblant autour de sa tête, son corps se cambrant comme un arc. Elle jouit avec un cri rauque, un flot de plaisir inondant la bouche de l'esclave, qui lécha chaque goutte avec une avidité animale.

Messaline le repoussa, haletante, ses yeux se tournant vers Caligula.

— Pas mal, cousin, murmura-t-elle, un sourire provocateur aux lèvres. Mais je veux plus. Beaucoup plus.

La symphonie des corps

Caligula, son sexe dur sous sa toge, fit signe à une courtisane égyptienne, une femme aux cheveux noirs comme l'ébène, à la peau cuivrée et aux seins lourds, ses mamelons sombres dressés comme des perles. Elle s'approcha, sa tunique glissant au sol, révélant un corps sculpté par les dieux, ses hanches ondulant comme une danse du Nil.

— Rejoins-nous, ordonna Caligula, sa voix épaissie par le désir. Montre à Messaline ce que deux femmes peuvent faire.

La courtisane s'agenouilla devant Messaline, ses mains glissant sur ses cuisses, ses doigts effleurant son sexus encore palpitant.

— Laissez-moi vous adorer, Impératrice, murmura-t-elle, sa voix douce comme une caresse. Je vais vous faire oublier le monde.

Messaline écarta les jambes, offrant son sexus à la courtisane, tandis que Caligula se levait, son sexe dur et veineux sorti de sa toge, pulsant d'une énergie brute. La courtisane plongea sa langue dans le sexus de Messaline, léchant les restes de son orgasme avec une avidité qui la fit gémir. Sa langue était experte, traçant des arabesques de feu, aspirant son clitoris avec une succion rythmée, ses doigts s'enfonçant en elle pour caresser ce point secret qui la faisait trembler.

Messaline sentit un deuxième orgasme monter, ses hanches se soulevant pour rencontrer la bouche de la courtisane. Caligula s'approcha par derrière, ses mains agrippant les hanches de la courtisane, son sexe s'enfonçant en elle d'un coup sec, la faisant gémir contre le sexus de Messaline. Les vibrations de ses gémissements amplifièrent le plaisir de Messaline, qui sentit ses parois se contracter, un feu liquide se répandant dans tout son corps.

— Oui... comme ça... murmura-t-elle, ses doigts agrippant les cheveux de la courtisane.

Caligula baissa la courtisane avec une sauvagerie contrôlée, ses coups de reins la poussant en avant, sa langue redoublant d'ardeur sur Messaline. Un deuxième orgasme la frappa, plus intense, ses cris résonnant dans la salle, son corps convulsé par des vagues de plaisir.

La fresque vivante

Mais Caligula, insatiable, voulait repousser les limites. Il se retira de la courtisane, son sexe luisant, et fit signe à Messaline.

— À ton tour, cousine, gronda-t-il. Prends-la comme une impératrice. Montre-moi que tu es digne de Rome.

Messaline, le corps encore frémissant, se leva et s'approcha de la courtisane, qui s'allongea sur le divan, écartant les jambes pour révéler sa chatte luisante, ses lèvres gonflées par le désir. Messaline s'agenouilla entre ses cuisses, sa langue glissant sur la chair chaude, goûtant le mélange salé du sperme de Caligula et du nectar sucré de la courtisane. La saveur était enivrante, un élixir divin qui la fit gémir. Elle lécha avec avidité, sa langue explorant chaque pli, ses doigts s'enfonçant en elle pour caresser ses parois humides.

— Tu es délicieuse, murmura-t-elle, sa voix étouffée contre la chair brûlante. Jouis pour moi, petite pute.

La courtisane gémit, ses hanches se soulevant, ses doigts lacérant les coussins. Caligula s'approcha de Messaline par derrière, ses mains glissant sur ses hanches, son sexe s'enfonçant en elle lentement, étirant ses parois encore sensibles. Messaline haleta, sa langue redoublant d'ardeur sur la courtisane, tandis que Caligula la baisait avec un rythme croissant, ses coups de reins la poussant en avant.

— Baise-la, cousine, gronda-t-il, sa voix rauque. Fais-la hurler pendant que je te remplis.

Messaline obéit, sa langue fouettant le clitoris de la courtisane, ses doigts courbés pour toucher ce point secret qui la faisait trembler. La courtisane jouit avec un cri, son corps convulsé, un flot de plaisir inondant la bouche de Messaline. Caligula accéléra, ses coups de reins devenant plus brutaux, son sexe pulsant en elle. Messaline sentit un troisième orgasme monter, ses parois se contractant autour de lui.

— Remplis-moi, empereur, gronda-t-elle, sa voix tremblante. Jouis en moi comme dans une chienne.

Caligula jouit avec un rugissement, son sperme chaud inondant Messaline, déclenchant son propre orgasme, un feu liquide qui la consuma toute entière.

L'orgie impériale

Mais la nuit était loin d'être terminée. Caligula, dans un excès de folie, fit venir un groupe d'esclaves – cinq hommes et trois femmes – leurs corps huilés scintillant sous la lumière, leurs sexes dressés ou humides, prêts à obéir à ses moindres caprices. Il ordonna une fresque vivante, un tableau de chair où chaque corps serait une note dans une symphonie de plaisir.

— Formez un cercle, ordonna-t-il, sa voix vibrant d'une excitation démente. Que chaque bouche, chaque main, chaque sexe soit occupé.

Les esclaves s'organisèrent, leurs corps s'entremêlant comme une mosaïque vivante. Un homme s'allongea sous Messaline, son sexe s'enfonçant en elle par en dessous, ses coups de reins lents et profonds, tandis qu'un autre s'agenouilla derrière elle, sa langue explorant son anus, le léchant avec une douceur qui contrastait avec la sauvagerie ambiante.

Une femme s'installa sur le visage de Messaline, son clitoris humide pressé contre sa bouche, tandis qu'une autre caressait ses seins, ses lèvres mordillant ses mamelons avec une précision cruelle. Un troisième homme se plaça à côté, son sexe dur glissant contre la cuisse de Messaline, tandis qu'une autre femme le prenait dans sa bouche, ses gémissements vibrant contre sa peau.

Messaline se perdit dans les sensations : le goût salé-sucré de la chatte de la femme sur sa langue, l'odeur musquée des corps en sueur, la texture soyeuse des peaux huilées, la chaleur des sexes qui l'emplissaient, la douceur des langues qui la caressaient.

Chaque mouvement était une vague, chaque contact une étincelle. Elle sentit un quatrième orgasme monter, plus intense que les précédents, ses cris étouffés par la chair chaude contre sa bouche.

— Baisez-moi tous, murmura-t-elle, sa voix brisée par le plaisir. Faites-moi exploser.

Un esclave changea de position, s'enfonçant dans son anus tandis que l'autre continuait à la pénétrer par devant, leurs rythmes synchronisés créant une danse brutale et délicieuse. Une femme grimpa sur le visage de l'esclave sous Messaline, formant une chaîne de plaisir où chaque corps était connecté, chaque gémissement amplifiant celui des autres.

Caligula, debout au centre, orchestrant la scène comme un dieu païen, se caressait, son sexe dur pulsant à la vue de cette orgie qu'il avait créée.

— Plus fort, gronda-t-il. Faites-la jouir jusqu'à ce qu'elle supplie.

Messaline jouit encore, son corps convulsé par des vagues de plaisir si intenses qu'elle crut perdre conscience. Ses sens étaient submergés : le goût du sexe, l'odeur de l'huile et du vin, le son des gémissements mêlés aux crépitements des lampes, la sensation des sexes et des langues qui la possédaient. Elle était au centre d'un tourbillon, une déesse entourée d'adorateurs, son corps un autel où chaque offrande était un orgasme.

La consécration

Lorsque les esclaves s'effondrèrent, épuisés, leurs corps luisant de sueur et de plaisir, Caligula s'approcha, son sexe toujours dur, ses yeux brillant d'une lueur démente.

— Tu es prête, maintenant, murmura-t-il, sa main caressant la joue de Messaline. Prête à régner sur Rome, à faire plier les hommes par ton corps.

Messaline, le souffle court, le corps encore frémissant, lui adressa un sourire carnassier.

— Oui, cousin, murmura-t-elle. Prête à tout dévorer.


Chapitre 2. Les leçons du pouvoir
(Rome, 37 ap. J.-C. – Le Palais Impérial)

La leçon du miroir ou l'art de la duplicité

Caligula emmena Messaline à la salle des miroirs du Palais Impérial, éclairée par des lampes à huile parfumées au narcisse.

Les miroirs déformants couvraient les murs, reflétant Messaline sous des angles multiples et trompeurs. Caligula, vêtu d'une toge noire, se tenait derrière elle, une dague incrustée de pierres précieuses à la main. Il effleura la lame contre sa peau, traçant une ligne invisible entre ses seins.

— Regarde-toi, murmura-t-il, sa voix rauque comme du velours usé. Tu es une déesse ici. Une esclave là. Une vierge plus loin.

Messaline observa ses reflets : tantôt dominatrice, tantôt soumise, tantôt innocente. Caligula défît sa stola, laissant son corps nu sous les lumières dansantes.

— Le pouvoir, c'est savoir jouer tous les rôles, continua-t-il en glissant la dague le long de son ventre. Aujourd'hui, tu es une amante. Demain, une ennemie.

Il fit signe à une esclave, une jeune fille aux yeux verts et aux lèvres rouges, vêtue d'une tunique transparente. L'esclave s'agenouilla devant Messaline, ses mains tremblantes effleurant ses cuisses.

— Séduis-la comme si tu l'aimais, ordonna Caligula, ses doigts serrant la nuque de Messaline. Puis détruis-la comme si tu la méprisais.

Messaline sourit, caressant les cheveux de l'esclave comme une amante, avant de l'attirer pour un baiser. Leurs lèvres se rencontrèrent, douces puis violentes, Messaline mordillant la lèvre inférieure de l'esclave jusqu'à ce qu'un filet de sang perle.

— Comme ça ? murmura Messaline, ses yeux brillant de malice.

Caligula lécha la lame de la dague, un sourire aux lèvres.

— Parfait. Maintenant, fais-la supplier pour que tu la tues.

L'esclave, haletante, supplia :

— Je vous en prie, Impératrice...

Messaline rit, effleurant la gorge de l'esclave avec la dague.

— Supplie mieux que ça.


La leçon du silence ou le pouvoir des non-dits

Caligula entraina Messaline à une bibliothèque secrète, éclairée par des bougies parfumées à la myrrhe.

Il attacha Messaline à une colonne de marbre, un bâillon de soie dans la bouche. Caligula avait convié trois sénateurs ivres, leurs yeux avides fixés sur son corps nu, éclairé par la lueur tremblotante des bougies.

— Le silence est la langue la plus puissante, murmura Caligula en caressant ses seins, ses doigts effleurant ses mamelons. Un regard peut détruire un homme. Un soupir peut le sauver.

Il ordonna aux sénateurs de la toucher, mais sans parler. Leurs mains tremblantes explorèrent son corps : l'un pétrissait ses seins, l'autre glissait entre ses cuisses, le troisième léchait sa nuque. Messaline gémit sous le bâillon, ses yeux brillant de défis et de plaisir.

— Tu vois ? murmura Caligula à l'oreille d'un sénateur. Elle crie, mais personne ne l'entend. C'est ça, le vrai pouvoir.

Il défît le bâillon.

— Maintenant, parle, ordonna-t-il. Dis-leur ce que tu veux sans ouvrir la bouche.

Messaline sourit, léchant ses lèvres.

— Je veux que vous m'adoriez, murmura-t-elle, sa voix rauque. Et que vous trembliez quand je vous regarde.

Les sénateurs reculèrent, leurs visages pâles. Caligula éclata de rire, versant du vin sur ses seins.

— Bien joué, ma lionne.


La leçon des chaînes ou la soumission volontaire comme arme

Caligula fit descendre Messaline aux catacombes sous le Palais, éclairées par des torches.

Il ordonna aux esclaves d'enchainer Messaline à un pilier de pierre, ses poignets et ses chevilles liés par des chaînes dorées. Caligula effleura son ventre avec un fouet de soie, laissant une trace rouge sur sa peau.

— La soumission n'est pas une faiblesse, murmura-t-il. C'est une stratégie.

Il ordonna à un gladiateur numide de lécher ses pieds, puis ses cuisses, tandis qu'une vestale lui mordillait les mamelons. Messaline ferma les yeux, s'abandonnant aux sensations : la douceur du fouet, la chaleur des langues, le froid des chaînes.

— Tu vois ces chaînes ? continua Caligula en enroulant une chaîne autour de son cou. Elles ne te retiennent pas. Elles te protègent.

Messaline ouvrit les yeux, défiant son regard.

— Alors libère-moi, murmura-t-elle, sa voix tremblante de désir.

Caligula éclata de rire, défaisant les chaînes.

— Tu ne comprends toujours pas, ma lionne. Tu n'as jamais été enchaînée.


La leçon du poison ou comment séduire pour détruire

C'est l'heure du banquet dans la grande salle du Palais.

Calligula commande des coupes de vin où chaque coupe pourrait être empoisonnée.

Caligula offrit à Messaline une coupe de vin rouge, son liquide scintillant comme du sang.

— Bois, ordonna-t-il. Ou donne-la à ton ennemi.

Il désigna un sénateur, Marcus Vinicius, un homme gras et arrogant qui avait insulté Messaline la veille. Messaline s'approcha de lui, la coupe à la main, ses hanches ondulant comme une danse.

— Buvez, sénateur, murmura-t-elle, ses lèvres effleurant le bord de la coupe. C'est un cadeau.

Vinicius hésita, mais but. Ses yeux s'écarquillèrent, attendant la mort... qui ne vint pas.

— C'était du vin, rit Messaline. Mais maintenant, tu me crains. Et c'est ça, le vrai poison.

Caligula sourit, prenant la coupe des mains de Messaline.

— Bravo Messaline. Maintenant, fais-lui croire que la prochaine fois, ce sera vrai.



Chapitre 3. La dernière leçon : La loi du sang froid
Rome, 37 ap. J.-C. – Les thermes de Caracalla, nuit de la pleine lune

Le bain de la trahison

Les thermes de Caracalla étaient un labyrinthe de marbre et de vapeur, où l'air était chargé des parfums envoûtants de l'eau de rose et du musc. Les mosaïques représentant des scènes de chasse et de débauche brillaient sous la lueur des lampes à huile, projetant des ombres mouvantes sur les murs humides. Messaline, vêtue d'une tunique de lin transparent, était allongée sur un lit de pierre chaude, ses cheveux noirs collés à sa nuque par la vapeur. Ses yeux sombres fixaient un point invisible, son corps encore marqué par les étreintes de la veille.

Caligula entra, vêtu d'une toge pourpre, son visage marqué par une colère froide. Il tenait à la main un parchemin froissé – une lettre anonyme dénonçant une conspiration contre Messaline, ourdie par Lucius Cassius, un sénateur qu'elle avait humilié lors d'un banquet.

— Il t'a trahie, murmura Caligula en jetant la lettre aux pieds de Messaline. Et il croit que tu vas pardonner.

Messaline ramassa le parchemin, lécha ses lèvres, un sourire cruel aux coins.

— Les hommes comme Cassius ne méritent pas le pardon, répondit-elle, sa voix rauque. Ils méritent une leçon.

La première épreuve : La danse des couteux

Caligula fit signe à deux esclaves, qui amenèrent Lucius Cassius, nu et enchaîné, ses yeux injectés de peur. Il était marqué par les fouets – les traces de son châtiment précédent, quand il avait osé critiquer Messaline.

— À genoux, ordonna Caligula, sa voix glaciale.

Cassius obéit, ses genoux heurtant les dalles froides. Messaline se leva, écarta sa tunique, révélant son corps nu sous la lumière tremblotante. Elle prît un couteau courbe sur un plateau d'argent, sa lame brillant comme un sourire.

— Tu m'as trahie, Lucius, murmura-t-elle en effleurant sa joue avec la pointe du couteau. Et les traitres paient en sang... ou en plaisir.

Elle fit signe à une esclave, qui apporta une coupe de vin empoisonné. Messaline la tendit à Cassius.

— Bois, ordonna-t-elle. Ou je te découpe morceau par morceau.

Cassius hésita, ses doigts tremblants autour de la coupe. Messaline sourit, léchant ses lèvres.

— Tu préfères mourir comme un lâche ? murmura-t-elle. Ou vivre comme mon esclave ?

Il but une gorgée, ses yeux s'écarquillant, attendant la mort. Mais rien ne vint. Messaline éclata de rire, reprenant la coupe.

— C'était du vin, murmura-t-elle. Mais la prochaine fois, ce sera vrai.


La deuxième épreuve : le jeu des langues

Messaline poussa Cassius sur un lit de pierre, écarta ses cuisses et s'installa à califourchon sur lui, son clitoris humide frôlant son ventre. Elle prît son sexe dans sa main, le caressa lentement, le regardant dans les yeux.

— Tu vas me faire jouir, murmura-t-elle, sa voix rauque. Et après, je déciderai si tu vis ou si tu meurs.

Cassius obéit, ses doigts tremblants explorant son corps, sa langue traçant des cercles autour de ses mamelons. Messaline ferma les yeux, s'abandonnant aux sensations, mais son esprit restait froid, calculateur.

— Plus fort, murmura-t-elle en agrippant ses cheveux. Ou je te castre avant l'aube.

Il obéit, ses lèvres se fermant autour de son mamelon, ses dents le mordillant doucement. Messaline sentit son désir monter, mais elle se retint, gardant le contrôle.

— Maintenant, murmura-t-elle en se redressant, prends-moi.

Il la pénétra, ses hanches se soulevant pour rencontrer les siennes. Messaline jouit avec un cri étouffé, son corps tremblant, mais ses yeux restèrent froids, sans pitié.

— Bien, murmura-t-elle en se redressant, son corps luisant de sueur. Maintenant, tu vas supplier pour ta vie.


La dernière épreuve : Le choix

Messaline fit amener une dague et une coupe de vin. Elle les posa devant Cassius, allongé sur le sol, épuisé et tremblant.

— Choisis, murmura-t-elle. La dague pour une mort rapide... ou le vin pour une vie d'esclave.

Cassius regarda les deux objets, ses yeux brillant de larmes.

— Je... je ne mérite pas de vivre, murmura-t-il.

Messaline sourit, léchant la lame de la dague.

— Non, répondit-elle. Mais tu vas vivre. Parce que ta honte sera bien plus douloureuse que ta mort.

Elle prît la coupe, la tendit à Cassius.

— Bois, murmura-t-elle. Et souviens-toi : la prochaine fois que tu me trahis, je te ferai égorger devant ta famille.

Il but, ses mains tremblantes. Messaline se pencha, lécha une larme sur sa joue.

— Bienvenue dans ma cour, murmura-t-elle. Tu es à moi, maintenant.

la loi du sang froid

Caligula observa la scène, un sourire aux lèvres.

— Tu as appris la leçon, ma lionne, murmura-t-il. Ne jamais pardonner. Ne jamais oublier.

Messaline se leva, son corps luisant de sueur et de plaisir, ses yeux brillants d'une lueur glaciale.

— Celle-ci, je ne l'ai pas appris, répondit-elle. Je l'ai toujours su.

Elle se tourna vers Cassius, allongé sur le sol, brisé.

— Ramenez-le dans sa cellule, ordonna-t-elle aux gardes. Et qu'il rêve de moi... jusqu'à ce que je décide de le tuer.

— Tu es prête, maintenant, s'exclama Caligula, sa main caressant la chatte de Messaline, humide de ses sécrétions mélangées au sperme de Cassius. Prête à régner sur Rome, à faire plier les hommes par ton corps.

Messaline, le souffle court, le corps encore frémissant, lui adressa un sourire carnassier.

— Oui, mon empereur, murmura-t-elle. Prête à tout dévorer.



Chapitre 4. La cour du fou
(Rome, 37 ap. J.-C. – Le Palais de Caligula, nuit du quinzième jour des Kalendes)

L'invitation

Messaline avait terminé son initiation sous Caligula. Elle est désormais prête pour le pouvoir. Caligula en a fait d'elle, une femme du pouvoir cruelle à son image.

Ce soir-là, Caligula avait ordonné une fête dans ses appartements privés, une de ces nuits où le vin coulait comme du sang et où les limites entre maître et esclave, entre homme et femme, entre plaisir et douleur, s'effaçaient dans une bouillie de sueur, de cris et de semence. Elle portait une tunique de soie si fine qu'on voyait le rose de ses mamelons à travers le tissu, le triangle sombre de sa toison soyeuse, les courbes de ses hanches encore adolescentes mais déjà prometteuses.

Un esclave nubien, le corps luisant d'huile, lui tendit une coupe de vin mélangé à de l'aphrodisiaque. Elle la but d'un trait, sentit le liquide brûler sa gorge, puis s'insinuer entre ses cuisses comme un serpent.

— Bonne petite chienne, murmura l'esclave en lui caressant la nuque.

Elle le gifla. Pas parce qu'elle en avait envie, mais parce qu'elle savait que Caligula observait.

— Tu veux jouer, petite ? Une voix rauque, derrière elle.

Elle se retourna. C'était Aulus Vitellius, un sénateur bedonnant, les lèvres humides, les yeux injectés de vin. Il avait déjà une érection, visible sous sa toge, grosse et veineuse comme celle d'un âne.

— Je ne joue pas, répondit-elle en souriant. Je gagne.


Le lupanar impérial

Caligula avait fait aménager une réplique de lupanar dans les sous-sols du palais. Les murs étaient peints en rouge sang, les lits recouverts de peaux de bête, et l'air empestait le musc, la sueur et l'urine. Des lanternes vacillaient, projetant des ombres monstrueuses sur les corps entrelacés. Des sénateurs baisaient des esclaves, des vestales se faisaient prendre à quatre pattes par des gladiateurs, des hommes en toge sodomisaient des jeunes garçons aux fesses marquées de coups de fouet.

— Bienvenue dans mon royaume, ricana Caligula, nu, le sexe à moitié dressé, une coupe de vin à la main. Ici, il n'y a ni rang, ni morale. Juste la loi du désir.

Messaline sentit une main lui agripper le sein. Vitellius. Elle ne le repoussa pas. Au contraire, elle se colla contre lui, sentit son membre dur contre son ventre.

— Tu veux me baiser, vieux porc ? murmura-t-elle à son oreille. Alors paie.

Il éclata de rire, jetant une poignée de pièces d'or aux pieds d'un esclave.

— Elle est à moi pour la nuit !

— Non, corrigea Caligula, les yeux brillants. Elle est à nous tous.

Ils la jetèrent sur un matelas puant, lui arrachèrent sa tunique. Ses seins, petits mais fermes, rebondirent. Des mains – celles de Vitellius, d'un gladiateur inconnu, d'un jeune patricien aux doigts fins – se ruèrent sur elle, pétrissant sa chair, pinçant ses mamelons jusqu'à ce qu'elle gémisse.

— Écarte les cuisses, salope, grogna Vitellius.

Elle obéit, lentement, les yeux rivés sur Caligula. Regarde-moi. Regarde ce que tu as créé.

Le premier fut Vitellius. Il plongea en elle sans préambule, la déchirant presque. Elle serra les dents, mais ne cria pas. La douleur est une arme. Elle enroula ses jambes autour de ses hanches, le força à aller plus profond, jusqu'à ce qu'il halète comme un chien.

— Plus fort, ordonna-t-elle. Ou je te mords.

Il obéit, la martelant, ses bourses claquant contre ses fesses à chaque coup de reins. Elle sentit son utérus se contracter, une douleur aiguë qui se transforma en plaisir quand un deuxième homme – le gladiateur – lui écarta les fesses et lui cracha sur l'anus avant d'y enfoncer un doigt, puis deux.

— Tu aimes ça, petite putain ? ricana le gladiateur.

— J'adore, répondit-elle en arquant le dos, offrant son cou à un troisième, un jeune patricien qui lui mordit la peau jusqu'au sang avant de lui fourrer sa queue dans la bouche.

Elle les prit tous les trois en même temps : Vitellius en elle, le gladiateur dans son cul, le patricien dans sa gorge. Leurs souffles chauds, leurs grognements, leurs mains qui la marquaient comme une bête. Elle jouit la première, un orgasme violent qui lui fit voir des étoiles, son corps tremblant, son ventre inondé de sueur et de sperme.

— Maintenant, dit Caligula en s'approchant, le sexe dressé, à mon tour.


L'empereur et la vierge

Caligula n'était pas comme les autres. Il ne la prit pas. Il la posséda.

Il la retourna, lui écarta les fesses, et sans un mot, lui cracha sur le trou du cul avant d'y enfoncer son sexe monstrueux. Elle hurla – de douleur, de surprise, de plaisir. Personne ne l'avait jamais prise comme ça.

— Tu es à moi, gronda-t-il en la pénétrant jusqu'à la garde. Tu as toujours été à moi.

Elle sentit ses ongles lui lacérer les hanches, ses dents lui mordre l'épaule. Il la prit comme une bête, sans tendresse, sans pitié, et elle adora ça. Elle se cambra, offrit son corps, ses cris se mêlant à ceux des autres, dans ce bordel impérial où plus rien n'avait de sens.

— Tu es une chienne, haleta-t-il. Ma chienne.

— Oui, gémit-elle. Ta chienne. Ta putain. Ta déesse.

Il jouit en elle, son sperme brûlant lui remplissant les entrailles. Puis il se retira, la laissant vide, tremblante, couverte de morsures.

— Et maintenant, dit-il en essuyant son sexe sur ses seins, tu vas sucer.

Ils la firent passer de lit en lit, de queue en queue, de bouche en bouche. Elle avala, elle se fit prendre, elle mordit, elle griffa. À un moment, un sénateur lui offrit une coupe de vin mélangé à du sang. Elle but sans hésiter.

— Tu es née pour ça, lui murmura Caligula en lui caressant les cheveux, alors qu'elle était à quatre pattes, un inconnu dans sa chatte, un autre dans sa bouche. Pour régner par le sexe. Pour détruire par le désir.

Elle le regarda, les lèvres enflées, le visage couvert de sperme.

— Je ne veux pas régner, répondit-elle en souriant, les dents rouges. Je veux tout brûler.

À l'aube, il ne restait plus que trois hommes debout : Vitellius, le gladiateur, et un jeune esclave aux yeux sombres. Caligula les regarda, amusé.

— Lequel d'entre vous va la finir ?

L'esclave s'avança. Il avait à peine quinze ans, mais son sexe était dur comme du marbre.

— Moi, dit-il.

Messaline éclata de rire, se laissa tomber sur un matelas, écarta les cuisses.

— Alors viens, petit. Montre-moi ce que tu vaux.

Il la prit avec une douceur qui la surprit. Pas de brutalité, pas de morsures. Juste des mains tendres, des baisers sur ses seins, ses hanches, son ventre. Elle sentit quelque chose en elle se briser. Non. Pas ça. Pas de tendresse.

— Plus fort, ordonna-t-elle. Ou je te tue.

Il obéit. Il la retourna, lui écarta les fesses, et la prit par-derrière, ses doigts enfoncés dans ses hanches, sa queue la remplissant comme aucun autre avant lui. Elle jouit en hurlant, ses ongles labourant les draps, son corps tremblant comme une feuille.

Quand il éjacula en elle, elle lui mordit l'épaule jusqu'au sang.

— Merci, murmura-t-elle. Maintenant, tu peux mourir.

Caligula éclata de rire.

— Parfait. Il fit un signe de tête à un garde. Tuez-le.

L'esclave fut égorgé sur-le-champ, son sang giclant sur les cuisses de Messaline.

— Bienvenue dans ma cour, dit Caligula en lui tendant une coupe. Tu es prête, maintenant.


La révélation

Alors qu'elle se rhabillait, les jambes tremblantes, le corps couvert de marques, Caligula s'approcha.

— Tu as aimé ça ?

— J'ai adoré.

— Bien. Il lui caressa la joue, lui offrit un collier d'or. Parce que demain, tu épouseras Claude.

Elle le regarda, stupéfaite.

— Ton oncle ? Ce vieux déchet ?

Caligula rit.

— Exactement. Il lui murmura à l'oreille : Et tu vas le baiser comme tu m'as baisé ce soir. Et un jour, tu le tueras.

Elle sourit.

— Je préfère te tuer toi.

Il rit à nouveau, comme si elle venait de faire une blague.

— Peut-être. Il lui mordit la lèvre. Mais d'abord, amuse-toi avec lui. Rome a besoin d'une putain sur le trône.

Elle serra le collier dans sa main, sentit le poids de l'or, le poids de son nouveau destin.

— Je ne serai pas une putain, répondit-elle. Je serai une impératrice.

Et elle sortit du lupanar, le sang de l'esclave encore chaud sur ses cuisses, prête à conquérir un empire.


A suivre ...

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Texte coquin : Messaline : Augusta meretrix (Livre I. Les enseignements de Caligula)
Histoire sexe : Une rose rouge
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