La leçon de jardinage
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La leçon de jardinage
Ce matin là, Francine s'ennuyait. C'est l'inconvénient des vacances scolaires à rallonge quand on est prof. Son mari Pierre, cadre dans un laboratoire pharmaceutique, ne disposait pas des mêmes facilités de congé et se trouvait même présentement en Argentine pour une mission commerciale. Les enfants, deux adolescents, étaient partis avec des copains et leurs parents. Seule, elle déambulait dans les rues surchauffées de juillet à Montpellier. Sa robe courte et légère dévoilait la moitié de ses cuisses et une bonne partie de sa poitrine généreuse. A 45 ans, elle était fière de son corps, qu'elle sculptait dans des séances régulières d'aquagym et dorait dans son jardin recto verso dans le plus simple appareil. C'était la période de l'année où son mari lui manquait le plus. Elle avait le temps et l'énergie de faire l'amour. La nuit dernière, seule dans son lit, elle s'était réveillée en sursaut. Elle avait rêvé qu'elle se faisait prendre par deux anciens élèves devenus de solides rugbymen de l'équipe locale. Oui, deux mecs à la fois. Un vieux fantasme jamais assouvi...
Tout en marchant, elle réfléchisait à son emploi du temps de l'après-midi. Le cinéma ? Rien d'intéressant à l'affiche, c'est l'été. Rendre visite à une amie ? Elles sont toutes parties. Restait le jardinage. Elle devait bouturer des lauriers fleurs depuis longtemps. Ce serait l'occasion. Passant devant une terrasse de café, elle laissa son regard dévisager les clients, des fois que. Tiens ! Justement, elle en vit un qu'elle connaissait bien : Jean, un collègue de son mari, qui sirotait un café en lisant le journal. Elle s'avança résolument :
- Coucou !
- Ah, Francine, ça me fait plaisir de te voir, assieds-toi.
- Tu es en vacances ?
- Non, juste en RTT pour la journée.
- Et Assia, ta petite femme ?
- En Espagne dans sa famille, je suis tranquille comme Baptiste. Et toi, tu ne t'ennuies pas en l'absence de ce bon vieux Pierre ?
- Non, enfin pas trop, dit-elle en soupirant un peu fort, ce qui fit saillir ses seins lourds sous la toile légère. J'ai quand même hâte qu'il revienne et qu'on parte enfin en vacances, j'en ai besoin. En attendant, je jardine.
- Ah ? Il ne fait pas trop chaud ?
- Si, mais je m'y mets après ma séance de bronzette. J'ai juste un petit problème pour bouturer mes lauriers fleurs, il faut que j'aille à la Jardinerie chercher de la doc.
- Ah mais tu sais que je sais très bien faire ça ! Si tu veux, je peux passer chez toi cet après-midi, disons vers 17h.
- Avec plaisir. Tu auras tous les outils que tu veux.
La conversation dériva sur d'autres sujets. Avant qu'il ne s'échappe pour régler une question relative à son automobile, il n'avait pas manqué de remarquer une fois de plus l'extrême sensualité de l'épouse de son collègue, visiblement soucieuse de mettre ses seins en valeur : "plus elle vieillit, plus elle est sexuelle, ce salaud de Pierre ne doit pas s'embêter" s'était-il dit.Il avait toujours envié son collègue mais comme Assia, globalement, le satisfaisait, il n'avait jamais cherché à la séduire et à mettre la zizanie dans deux ménages. Rendez-vous fut pris pour la fin d'après-midi.
Pendant qu'elle bronzait nue au bord de son spa, nouvelle acquisition du couple, Francine somnolait en pensant à Jean. Elle l'avait toujours trouvé séduisant avec son allure sportive qui tranchait un peu avec les rondeurs de Pierre. Mais elle s'était toujours interdit d'aller plus loin que la simple attirance. Pas envie de compliquer sa vie. Le problème est qu'il venait chez elle alors qu'elle était seule. Et que, pour faire court, elle était en manque. Elle se caressa le clito en pensant à son visiteur. Etait-il bon baiseur ? Assia ne lui en avait jamais parlé, si ce n'est qu'elle ne lui avait jamais caché son goût prononcé pour le sexe, sans d'autre précision. Un goût que les deux femmes partageaient. Francine commença à avoir un peu mal au bas-ventre et décida de plonger dans le spa pour se calmer les esprits. Dans l'eau, elle eut l'impression que son sexe s'ouvrait et se fermait comme la bouche d'un poisson. Il réclamait le pénis, c'était clair, et cette découverte de l'autonomie de sa vulve ébranla Francine. "Je suis mûre pour l'adultère" se dit-elle, un peu effrayée.
Elle gagna ensuite sa chambre pour s'habiller en jardinière car l'heure approchait. Elle se trouva face à un petit dilemme. Devait-elle se vêtir comme de coutume pour le jardinage, c'est à dire avec son top à fine bretelles et sa jupe en jean, sans rien dessous, ou bien une tenue plus décente, genre chemise et pantalon ? Au diable les convenances : Jean ou pas Jean, elle ferait comme d'habitude. D'ailleurs, il ne viendrait peut-être pas.
Elle s'attaquait à ses lauriers fleurs lorsqu'il sonna à la porte d'entrée. Ce n'était pas la première fois qu'il se rendait à son domicile. Il lui fit une bise appuyée, tout près de la commissure de ses lèvres, et elle constata qu'il écrasait son buste puissant contre ses seins, libres sous la toile du top, ce que n'avait pas manqué de remarquer son visiteur. Elle frissonna malgré la chaleur. "Ma parole, mais c'est le désir" se dit-elle. Le contact de ce mâle avait provoqué chez elle une réelle émotion, bien préparée l'après-midi à la piscine. Elle n'était pas coutumière de la double vie. Elle avait bien trompé Pierre une fois à l'occasion d'un voyage d'enseignants avec le guide étranger, une belle bête qui avait su l'émouvoir et l'avait culbutée à la hussarde au fond de l'autocar pendant une pause, à la grande joie du chauffeur complice. Mais c'était une exception. Toutefois, avec le temps, Francine avait senti monter en elle des désirs inconnus, qu'elle attribuait à une fin de cycle hormonal. Et aussi, il fallait l'avouer, à une certaine paresse sexuelle de Pierre, totalement investi dans son travail. A l'inverse, Jean respirait la virilité et l'attirait comme un aimant. Il était venu avec à la main une tarte tropézienne dont il proposa la dégustation après les opérations de jardinage.
- Tiens, vous avez un bain à bulles ? lui dit-il en passant dans le jardin.
- Oui, c'est très agréable, en été comme en hiver. J'adore m'y baigner.
- Nue ?
- Euh, oui, pourquoi veux-tu que je mette un maillot de bain, notre jardin est parfaitement isolé.
- Tu dois être charmante là-dedans. Il va falloir que tu me donnes les coordonnées de ton installateur, ça m'intéresse aussi et je crois qu'Assia adorerait.
Ils étaient passés ensuite à la première phase de la leçon de jardinage. Armé de son sécateur, Jean taillait les sommets des branches des lauriers et les posait par terre. Quand il se baissa pour les ramasser, Francine l'aida à les rassembler. Elle était accroupie. Jean eut alors une vue imprenable sur son entre-cuisses, suffisamment ouvertes pour qu'il constate qu'elle ne portait pas de slip."Nom de Dieu, se dit-il, elle est à poil sous sa jupe !"
Le jeu se renouvela plusieurs fois et Jean croisa le regard de Francine, où se lisait une lueur espiègle. "Ma parole, elle m'allume" se dit-il. Il bandait. Et cela se voyait.
- On dirait que je te fais de l'effet, gloussa Francine.
- Tu fais tout pour ça. Tu es terriblement sexy aujourd'hui.
- Comme toujours !
Et elle laissa sa main s'attarder sur la bosse proéminente qui saillait sur la pantalon de Jean, manipulant la hampe avec dextérité pour la replacer dans l'axe de sa braguette, étonnée par sa propre audace, mais l'impulsion était irrésistible. L'homme gémit :
- Arrête Francine, je ne sais pas si je vais pouvoir me contrôler.
- Qui te le demande ?
Et avant qu'il ne puisse réagir, elle s'échappa prestement en direction de ses rosiers nains :
- Ils sont en mauvais état. Tu n'as pas un truc pour les fortifier ?
- Si, les tailler. On va faire ça de suite.
La leçon de jardinage se poursuivait, sécateur en main. A nouveau, ils s'accroupirent pour rassembler les branches mortes. C'était devenu un jeu. Mais Jean n'y tint plus. Il se pencha vers Francine pour l'embrasser à pleine bouche et tous deux basculèrent sur la pelouse, étroitement enlacés. Francine tâtonna à la recherche du membre viril alors que Jean s'était emparé d'emblée de la vulve qu'il trouva trempée sous son pouce.
- Non, pas ici, gémit-elle. Allons au spa.
Sur le chemin, elle s'était débarrassée de ses vêtements et était apparue à Jean dans sa splendide nudité de femme mûre. Il avait hâte de libérer son sexe qui lui faisait de plus en plus mal. Celui-ci surgit, tendu à l'extrême, prêt à l'emploi :
- Eh bien mon cher, vous voilà soulagé, lui dit-elle. Venez donc me rejoindre.
Elle se glissa souplement dans les bulles et se cala contre le bord, en attente. A peine l'avait-il rejointe qu'elle lui saisissait sa queue sous l'eau et entreprenait de le masturber lentement. Lui-même lui massait délicatement la fente, s'attardant sur son clitoris dont l'excroissance était spectaculaire.
- Ne me fais pas languir, baise-moi, souffla-t-elle.
Il la saisit sous les fesses et la déposa délicatement son pénis, la laissant en prendre la mesure petit à petit jusqu'à ce qu'elle soit totalement empalée. Elle encercla ses reins de ses jambes et commença à onduler tandis que lui-même opérait un mouvement de bas en haut de plus en plus prononcé. Jetant ses bras autour du cou de son amant, elle se colla à lui en laissant parler ses hanches tout en lui mordant l'épaule.
- Vas-y, plus fort ! gémit-elle.
Il la colla contre le mur du spa et se mit à ruer en elle pour répondre à son attente. Il sentait son sperme monter de ses couilles mais parvint à le maitriser afin que sa partenaire puisse atteindre l'orgasme, visiblement de plus en plus proche. De fait, elle cria, la tête en arrière et les jambes étroitement serrées autour des reins de son amant qui se soulagea enfin de l'extrême tension en laissant le sperme jaillir. Francine le libéra et se laissa aller dans l'eau, en extase.
- Mon Dieu quel plaisir ! soupira-t-elle après quelques minutes de récupération. Tu m'as vraiment fait jouir. Embrasse-moi.
- Francine, tu as une façon particulière de jardiner. Tu m'as bien attrapé. Mais tout le plaisir était aussi pour moi.
Ils sortirent du spa, un peu titubants, un peu mous, et s'assirent, nus sous leur serviette, avec l'intention de déguster la tarte tropézienne.
- Alors les amoureux, on a fini ses petites affaires ?
Tous deux sursautèrent violemment. Francine découvrit son amie Marie-Cécile, complaisamment assise dans le fauteuil du salon.
- Mais qu'est-ce que tu fais là ?
- Ce que je fais ? Tu ne m'avais pas dit de passer te chercher pour aller acheter des pots à la jardinerie ?
Bon sang ! C'était vrai. Elle avait complètement oublié dans la fièvre de sa rencontre avec Jean.
- Mais je n'ai rien entendu ! Tu aurais pu sonner !
- J'ai sonné, mais comme personne venait, j'ai tout simplement ouvert la porte qui n'était pas verrouillée. Je vous ai vu tous les deux dans l'eau. C'était très excitant et j'ai joué les voyeuses, voilà...
Francine pâlit. Marie-Cécile, elle la connaissait bien, elle était adorable mais elle avait la langue bien pendue. A un moment ou un autre, c'était sûr, Pierre serait au courant de son incartade.
- J'espère que ce que tu as vu restera entre nous...
- Mais bien sûr ma chérie. Au fait, tu ne m'as pas présentée.
- Ah oui, c'est vrai. Marie-Cécile, voici Jean. Jean, Marie-Cécile, une vieille amie.
L'homme serra la main de la pantureuse brune qui lui faisait face et se sentit un peu bête avec sa serviette autour des reins. Autant Francine soignait sa ligne, autant son amie ne pouvait dissimuler son appétit de bonne chère. Son visage lunaire, ses seins larges, son fessier rebondi n'étaient pourtant pas désagréables à regarder. "Je parierais qu'elle aime faire l'amour", se dit-il, considérant que son attitude pendant qu'ils baisaient était révélatrice de son état d'esprit.
- Vous m'excusez deux minutes, je vais au petit coin, votre histoire m'a un peu stimulée, gloussa la brune.
Pendant qu'elle était partie, Francine prit Jean à part :
- Je la connais, elle va parler, je suis bonne pour le divorce. Fais quelque chose.
- Mais que veux-tu que je fasse ? Je ne vais pas la tuer !
- Je sais ce que tu vas faire. Tu vas la baiser. Comme ça, elle sera contrainte de se taire, car son mari est plein de fric.
- La baiser ? Mais je la connais à peine. Et en plus, je viens d'éjaculer.
- T'inquiète pas. Elle est chaude comme la braise et je la connais assez pour savoir que tu lui as tapé dans l'oeil. Et avec la forme que tu as, tu vas recharger sans problème. On va revenir au spa et lui demander de nous rejoindre. Après, je trouverai un prétexte pour m'esquiver et ce sera à toi de jouer.
Jean était estomaqué par l'esprit de décision de Francine. Mais il pouvait difficilement dire non. Il y allait de leur couple à tous les deux.
Quand Marie-Cécile arriva au bord du spa, le sourire aux lèvres, Francine y alla franco :
- Viens donc te baigner avec nous au lieu de te fendre la pipe, ça nous détendra tous.
- Me baigner ? Mais je n'ai pas de maillot et je sors de chez le coiffeur...
- Va dans ma chambre, dans la commode dans le tiroir du haut, il y a un bonnet de bain. Et fous toi à poil, on sera à égalité.
Cinq minutes plus tard, Marie-Cécile réapparut effectivement coiffée d'un bonnet de bain affriolant, rien à voir avec celui des nageuses. Et entièrement nue. Jean nota l'imposant triangle de poils sur un bassin à peau blanche qui portait la marque d'un slip de bain alors que le reste du corps était bronzé, seins compris. "Madame fait du topless" conclut-il, matant au passage le postérieur charnu aux fesses bien séparées. "Un cul fait pour la sodomie" se dit-il, soudain inspiré. L'amie de Francine se glissa dans l'onde avec une volupté évidente, laissant ses seins larges émerger du liquide comme deux petites bouées. Francine avait caché son téléphone portable sous une serviette et préparé un appel automatique sur son fixe. Il suffisait d'appuyer sur un bouton pour que la sonnerie se déclenche, ce qui fut fait dans les minutes suivantes. Elle sortit toute degouttante du bain pour aller "répondre" et revint la mine désolée : "Je dois vous quitter, je viens de recevoir un appel de ma fille, elle est en panne et je dois la ramener chez elle". Et elle quitta les lieux en prenant soin de bien claquer la porte.
Mis devant le fait accompli, Jean se sentit obligé d'amorcer le commencement d'un début de drague. Il fallait à tout prix qu'il bande. Il s'approcha en nageotant de la baigneuse qui affectait l'indifférence et qui en fait, commençait à bouillir intérieurement. La présence de cet homme nu à côté d'elle, dont elle avait pu mesurer la virilité, lui faisait peu à peu perdre son self control. Elle répondit en minaudant aux approches verbales de l'homme dont elle vit bien qu'il était désormais tout près d'elle et qu'il allait la coincer. Lorsque sa main glissa sous l'eau à la recherche de son intimité, deux options s'offrirent à elle : la gifle, ou le baiser. Elle l'embrassa.
- Tu es insatiable, grand fou. Tu viens à peine de sauter mon amie et tu veux remettre ça ?
- Dès que je t'ai vue, j'ai eu envie de toi.
- Et Francine, tu y penses ? C'est mon amie.
- C'est aussi la mienne mais ce n'est pas ma maîtresse attitrée.
Pendant cet échange, la main de Jean s'était attardée entre les cuisses de Marie-Cécile qui commençait à onduler. Elle-même s'était saisie du pénis de Jean, qui recommençait à prendre tournure.
- J'ai envie de te baiser là, maintenant, tout de suite, ici même, lui soufflat-il à l'oreille tout en glissant un doigt fureteur dans son anus. Marie-Cécile gémit. Ce type savait exactement ce qu'il fallait faire pour la vaincre. Elle glissa ses jambes autour de ses hanches et s'empala sur lui avec une facilité dérisoire. Jean la percuta comme il avait percuté Francine, mais il sentait qu'il pourrait durer plus longtemps du fait de son éjaculation récente. Le cul de Marie-Cécile l'inspirait. Après plusieurs ruades, qui avaient fait crier sa partenaire, il l'invita à sortir du bain. Elle en émergea en ondulant, sûre de l'attrait de sa croupe qui, de fait, fascinait son nouvel amant.
- Où on va ? lui demanda-t-elle.
- Là, sur le bain de soleil. Mets-toi à quatre pattes. J'ai envie de ton cul.
Et Jean se mit à lui lécher l'anus, qui sentait un peu le chlore mais s'ouvrit facilement quand il y posa sa bite. Madame n'était pas une réfractaire du petit trou, c'était clair.
- Comment tu sais que j'aime ça ? gémit-elle.
Il répondit en labourant petit à petit son rectum et en possédant pleinement ce somptueux fessier qui se mit à balancer en cadence. Cramponnée au bain de soleil, Marie-Cécile ripostait à ses assauts en couinant de plaisir. Et c'est au moment où il lâchait quelques gouttes de sperme, après s'être vraiment surpassé, que Jean entendit la voix de Francine :
- Eh bien, vous ne vous embêtez pas tous les deux. Dès que j'ai le dos tourné, vous forniquez comme des lapins.
Cette fois, ce fut au tour de Marie-Cécile de sursauter. Tout en reprenant un peu de contenance, elle lâcha :
- Excuse-moi, je ne sais pas ce qui m'a pris, Jean est tellement séduisant...
- A qui le dis-tu. Bon, on ne va pas faire de chichis entre amies, tu as pris ton pied, moi aussi. Mais s'il te plait, Jean, maintenant, tu t'en vas.
Pendant qu'il se rhabillait, un brin penaud, Jean reçut cinq sur cinq le clin d'oeil de Francine. Son plan avait marché à merveille. Les femmes sont décidément machiavéliques en amour, se dit-il. Mais il savait que ce jardin, s'il pouvait ressembler à l'Eden, était aussi farci de pièges. La prochaine fois, se dit-il, je laisserai Francine aller seule à la jardinerie...
Tout en marchant, elle réfléchisait à son emploi du temps de l'après-midi. Le cinéma ? Rien d'intéressant à l'affiche, c'est l'été. Rendre visite à une amie ? Elles sont toutes parties. Restait le jardinage. Elle devait bouturer des lauriers fleurs depuis longtemps. Ce serait l'occasion. Passant devant une terrasse de café, elle laissa son regard dévisager les clients, des fois que. Tiens ! Justement, elle en vit un qu'elle connaissait bien : Jean, un collègue de son mari, qui sirotait un café en lisant le journal. Elle s'avança résolument :
- Coucou !
- Ah, Francine, ça me fait plaisir de te voir, assieds-toi.
- Tu es en vacances ?
- Non, juste en RTT pour la journée.
- Et Assia, ta petite femme ?
- En Espagne dans sa famille, je suis tranquille comme Baptiste. Et toi, tu ne t'ennuies pas en l'absence de ce bon vieux Pierre ?
- Non, enfin pas trop, dit-elle en soupirant un peu fort, ce qui fit saillir ses seins lourds sous la toile légère. J'ai quand même hâte qu'il revienne et qu'on parte enfin en vacances, j'en ai besoin. En attendant, je jardine.
- Ah ? Il ne fait pas trop chaud ?
- Si, mais je m'y mets après ma séance de bronzette. J'ai juste un petit problème pour bouturer mes lauriers fleurs, il faut que j'aille à la Jardinerie chercher de la doc.
- Ah mais tu sais que je sais très bien faire ça ! Si tu veux, je peux passer chez toi cet après-midi, disons vers 17h.
- Avec plaisir. Tu auras tous les outils que tu veux.
La conversation dériva sur d'autres sujets. Avant qu'il ne s'échappe pour régler une question relative à son automobile, il n'avait pas manqué de remarquer une fois de plus l'extrême sensualité de l'épouse de son collègue, visiblement soucieuse de mettre ses seins en valeur : "plus elle vieillit, plus elle est sexuelle, ce salaud de Pierre ne doit pas s'embêter" s'était-il dit.Il avait toujours envié son collègue mais comme Assia, globalement, le satisfaisait, il n'avait jamais cherché à la séduire et à mettre la zizanie dans deux ménages. Rendez-vous fut pris pour la fin d'après-midi.
Pendant qu'elle bronzait nue au bord de son spa, nouvelle acquisition du couple, Francine somnolait en pensant à Jean. Elle l'avait toujours trouvé séduisant avec son allure sportive qui tranchait un peu avec les rondeurs de Pierre. Mais elle s'était toujours interdit d'aller plus loin que la simple attirance. Pas envie de compliquer sa vie. Le problème est qu'il venait chez elle alors qu'elle était seule. Et que, pour faire court, elle était en manque. Elle se caressa le clito en pensant à son visiteur. Etait-il bon baiseur ? Assia ne lui en avait jamais parlé, si ce n'est qu'elle ne lui avait jamais caché son goût prononcé pour le sexe, sans d'autre précision. Un goût que les deux femmes partageaient. Francine commença à avoir un peu mal au bas-ventre et décida de plonger dans le spa pour se calmer les esprits. Dans l'eau, elle eut l'impression que son sexe s'ouvrait et se fermait comme la bouche d'un poisson. Il réclamait le pénis, c'était clair, et cette découverte de l'autonomie de sa vulve ébranla Francine. "Je suis mûre pour l'adultère" se dit-elle, un peu effrayée.
Elle gagna ensuite sa chambre pour s'habiller en jardinière car l'heure approchait. Elle se trouva face à un petit dilemme. Devait-elle se vêtir comme de coutume pour le jardinage, c'est à dire avec son top à fine bretelles et sa jupe en jean, sans rien dessous, ou bien une tenue plus décente, genre chemise et pantalon ? Au diable les convenances : Jean ou pas Jean, elle ferait comme d'habitude. D'ailleurs, il ne viendrait peut-être pas.
Elle s'attaquait à ses lauriers fleurs lorsqu'il sonna à la porte d'entrée. Ce n'était pas la première fois qu'il se rendait à son domicile. Il lui fit une bise appuyée, tout près de la commissure de ses lèvres, et elle constata qu'il écrasait son buste puissant contre ses seins, libres sous la toile du top, ce que n'avait pas manqué de remarquer son visiteur. Elle frissonna malgré la chaleur. "Ma parole, mais c'est le désir" se dit-elle. Le contact de ce mâle avait provoqué chez elle une réelle émotion, bien préparée l'après-midi à la piscine. Elle n'était pas coutumière de la double vie. Elle avait bien trompé Pierre une fois à l'occasion d'un voyage d'enseignants avec le guide étranger, une belle bête qui avait su l'émouvoir et l'avait culbutée à la hussarde au fond de l'autocar pendant une pause, à la grande joie du chauffeur complice. Mais c'était une exception. Toutefois, avec le temps, Francine avait senti monter en elle des désirs inconnus, qu'elle attribuait à une fin de cycle hormonal. Et aussi, il fallait l'avouer, à une certaine paresse sexuelle de Pierre, totalement investi dans son travail. A l'inverse, Jean respirait la virilité et l'attirait comme un aimant. Il était venu avec à la main une tarte tropézienne dont il proposa la dégustation après les opérations de jardinage.
- Tiens, vous avez un bain à bulles ? lui dit-il en passant dans le jardin.
- Oui, c'est très agréable, en été comme en hiver. J'adore m'y baigner.
- Nue ?
- Euh, oui, pourquoi veux-tu que je mette un maillot de bain, notre jardin est parfaitement isolé.
- Tu dois être charmante là-dedans. Il va falloir que tu me donnes les coordonnées de ton installateur, ça m'intéresse aussi et je crois qu'Assia adorerait.
Ils étaient passés ensuite à la première phase de la leçon de jardinage. Armé de son sécateur, Jean taillait les sommets des branches des lauriers et les posait par terre. Quand il se baissa pour les ramasser, Francine l'aida à les rassembler. Elle était accroupie. Jean eut alors une vue imprenable sur son entre-cuisses, suffisamment ouvertes pour qu'il constate qu'elle ne portait pas de slip."Nom de Dieu, se dit-il, elle est à poil sous sa jupe !"
Le jeu se renouvela plusieurs fois et Jean croisa le regard de Francine, où se lisait une lueur espiègle. "Ma parole, elle m'allume" se dit-il. Il bandait. Et cela se voyait.
- On dirait que je te fais de l'effet, gloussa Francine.
- Tu fais tout pour ça. Tu es terriblement sexy aujourd'hui.
- Comme toujours !
Et elle laissa sa main s'attarder sur la bosse proéminente qui saillait sur la pantalon de Jean, manipulant la hampe avec dextérité pour la replacer dans l'axe de sa braguette, étonnée par sa propre audace, mais l'impulsion était irrésistible. L'homme gémit :
- Arrête Francine, je ne sais pas si je vais pouvoir me contrôler.
- Qui te le demande ?
Et avant qu'il ne puisse réagir, elle s'échappa prestement en direction de ses rosiers nains :
- Ils sont en mauvais état. Tu n'as pas un truc pour les fortifier ?
- Si, les tailler. On va faire ça de suite.
La leçon de jardinage se poursuivait, sécateur en main. A nouveau, ils s'accroupirent pour rassembler les branches mortes. C'était devenu un jeu. Mais Jean n'y tint plus. Il se pencha vers Francine pour l'embrasser à pleine bouche et tous deux basculèrent sur la pelouse, étroitement enlacés. Francine tâtonna à la recherche du membre viril alors que Jean s'était emparé d'emblée de la vulve qu'il trouva trempée sous son pouce.
- Non, pas ici, gémit-elle. Allons au spa.
Sur le chemin, elle s'était débarrassée de ses vêtements et était apparue à Jean dans sa splendide nudité de femme mûre. Il avait hâte de libérer son sexe qui lui faisait de plus en plus mal. Celui-ci surgit, tendu à l'extrême, prêt à l'emploi :
- Eh bien mon cher, vous voilà soulagé, lui dit-elle. Venez donc me rejoindre.
Elle se glissa souplement dans les bulles et se cala contre le bord, en attente. A peine l'avait-il rejointe qu'elle lui saisissait sa queue sous l'eau et entreprenait de le masturber lentement. Lui-même lui massait délicatement la fente, s'attardant sur son clitoris dont l'excroissance était spectaculaire.
- Ne me fais pas languir, baise-moi, souffla-t-elle.
Il la saisit sous les fesses et la déposa délicatement son pénis, la laissant en prendre la mesure petit à petit jusqu'à ce qu'elle soit totalement empalée. Elle encercla ses reins de ses jambes et commença à onduler tandis que lui-même opérait un mouvement de bas en haut de plus en plus prononcé. Jetant ses bras autour du cou de son amant, elle se colla à lui en laissant parler ses hanches tout en lui mordant l'épaule.
- Vas-y, plus fort ! gémit-elle.
Il la colla contre le mur du spa et se mit à ruer en elle pour répondre à son attente. Il sentait son sperme monter de ses couilles mais parvint à le maitriser afin que sa partenaire puisse atteindre l'orgasme, visiblement de plus en plus proche. De fait, elle cria, la tête en arrière et les jambes étroitement serrées autour des reins de son amant qui se soulagea enfin de l'extrême tension en laissant le sperme jaillir. Francine le libéra et se laissa aller dans l'eau, en extase.
- Mon Dieu quel plaisir ! soupira-t-elle après quelques minutes de récupération. Tu m'as vraiment fait jouir. Embrasse-moi.
- Francine, tu as une façon particulière de jardiner. Tu m'as bien attrapé. Mais tout le plaisir était aussi pour moi.
Ils sortirent du spa, un peu titubants, un peu mous, et s'assirent, nus sous leur serviette, avec l'intention de déguster la tarte tropézienne.
- Alors les amoureux, on a fini ses petites affaires ?
Tous deux sursautèrent violemment. Francine découvrit son amie Marie-Cécile, complaisamment assise dans le fauteuil du salon.
- Mais qu'est-ce que tu fais là ?
- Ce que je fais ? Tu ne m'avais pas dit de passer te chercher pour aller acheter des pots à la jardinerie ?
Bon sang ! C'était vrai. Elle avait complètement oublié dans la fièvre de sa rencontre avec Jean.
- Mais je n'ai rien entendu ! Tu aurais pu sonner !
- J'ai sonné, mais comme personne venait, j'ai tout simplement ouvert la porte qui n'était pas verrouillée. Je vous ai vu tous les deux dans l'eau. C'était très excitant et j'ai joué les voyeuses, voilà...
Francine pâlit. Marie-Cécile, elle la connaissait bien, elle était adorable mais elle avait la langue bien pendue. A un moment ou un autre, c'était sûr, Pierre serait au courant de son incartade.
- J'espère que ce que tu as vu restera entre nous...
- Mais bien sûr ma chérie. Au fait, tu ne m'as pas présentée.
- Ah oui, c'est vrai. Marie-Cécile, voici Jean. Jean, Marie-Cécile, une vieille amie.
L'homme serra la main de la pantureuse brune qui lui faisait face et se sentit un peu bête avec sa serviette autour des reins. Autant Francine soignait sa ligne, autant son amie ne pouvait dissimuler son appétit de bonne chère. Son visage lunaire, ses seins larges, son fessier rebondi n'étaient pourtant pas désagréables à regarder. "Je parierais qu'elle aime faire l'amour", se dit-il, considérant que son attitude pendant qu'ils baisaient était révélatrice de son état d'esprit.
- Vous m'excusez deux minutes, je vais au petit coin, votre histoire m'a un peu stimulée, gloussa la brune.
Pendant qu'elle était partie, Francine prit Jean à part :
- Je la connais, elle va parler, je suis bonne pour le divorce. Fais quelque chose.
- Mais que veux-tu que je fasse ? Je ne vais pas la tuer !
- Je sais ce que tu vas faire. Tu vas la baiser. Comme ça, elle sera contrainte de se taire, car son mari est plein de fric.
- La baiser ? Mais je la connais à peine. Et en plus, je viens d'éjaculer.
- T'inquiète pas. Elle est chaude comme la braise et je la connais assez pour savoir que tu lui as tapé dans l'oeil. Et avec la forme que tu as, tu vas recharger sans problème. On va revenir au spa et lui demander de nous rejoindre. Après, je trouverai un prétexte pour m'esquiver et ce sera à toi de jouer.
Jean était estomaqué par l'esprit de décision de Francine. Mais il pouvait difficilement dire non. Il y allait de leur couple à tous les deux.
Quand Marie-Cécile arriva au bord du spa, le sourire aux lèvres, Francine y alla franco :
- Viens donc te baigner avec nous au lieu de te fendre la pipe, ça nous détendra tous.
- Me baigner ? Mais je n'ai pas de maillot et je sors de chez le coiffeur...
- Va dans ma chambre, dans la commode dans le tiroir du haut, il y a un bonnet de bain. Et fous toi à poil, on sera à égalité.
Cinq minutes plus tard, Marie-Cécile réapparut effectivement coiffée d'un bonnet de bain affriolant, rien à voir avec celui des nageuses. Et entièrement nue. Jean nota l'imposant triangle de poils sur un bassin à peau blanche qui portait la marque d'un slip de bain alors que le reste du corps était bronzé, seins compris. "Madame fait du topless" conclut-il, matant au passage le postérieur charnu aux fesses bien séparées. "Un cul fait pour la sodomie" se dit-il, soudain inspiré. L'amie de Francine se glissa dans l'onde avec une volupté évidente, laissant ses seins larges émerger du liquide comme deux petites bouées. Francine avait caché son téléphone portable sous une serviette et préparé un appel automatique sur son fixe. Il suffisait d'appuyer sur un bouton pour que la sonnerie se déclenche, ce qui fut fait dans les minutes suivantes. Elle sortit toute degouttante du bain pour aller "répondre" et revint la mine désolée : "Je dois vous quitter, je viens de recevoir un appel de ma fille, elle est en panne et je dois la ramener chez elle". Et elle quitta les lieux en prenant soin de bien claquer la porte.
Mis devant le fait accompli, Jean se sentit obligé d'amorcer le commencement d'un début de drague. Il fallait à tout prix qu'il bande. Il s'approcha en nageotant de la baigneuse qui affectait l'indifférence et qui en fait, commençait à bouillir intérieurement. La présence de cet homme nu à côté d'elle, dont elle avait pu mesurer la virilité, lui faisait peu à peu perdre son self control. Elle répondit en minaudant aux approches verbales de l'homme dont elle vit bien qu'il était désormais tout près d'elle et qu'il allait la coincer. Lorsque sa main glissa sous l'eau à la recherche de son intimité, deux options s'offrirent à elle : la gifle, ou le baiser. Elle l'embrassa.
- Tu es insatiable, grand fou. Tu viens à peine de sauter mon amie et tu veux remettre ça ?
- Dès que je t'ai vue, j'ai eu envie de toi.
- Et Francine, tu y penses ? C'est mon amie.
- C'est aussi la mienne mais ce n'est pas ma maîtresse attitrée.
Pendant cet échange, la main de Jean s'était attardée entre les cuisses de Marie-Cécile qui commençait à onduler. Elle-même s'était saisie du pénis de Jean, qui recommençait à prendre tournure.
- J'ai envie de te baiser là, maintenant, tout de suite, ici même, lui soufflat-il à l'oreille tout en glissant un doigt fureteur dans son anus. Marie-Cécile gémit. Ce type savait exactement ce qu'il fallait faire pour la vaincre. Elle glissa ses jambes autour de ses hanches et s'empala sur lui avec une facilité dérisoire. Jean la percuta comme il avait percuté Francine, mais il sentait qu'il pourrait durer plus longtemps du fait de son éjaculation récente. Le cul de Marie-Cécile l'inspirait. Après plusieurs ruades, qui avaient fait crier sa partenaire, il l'invita à sortir du bain. Elle en émergea en ondulant, sûre de l'attrait de sa croupe qui, de fait, fascinait son nouvel amant.
- Où on va ? lui demanda-t-elle.
- Là, sur le bain de soleil. Mets-toi à quatre pattes. J'ai envie de ton cul.
Et Jean se mit à lui lécher l'anus, qui sentait un peu le chlore mais s'ouvrit facilement quand il y posa sa bite. Madame n'était pas une réfractaire du petit trou, c'était clair.
- Comment tu sais que j'aime ça ? gémit-elle.
Il répondit en labourant petit à petit son rectum et en possédant pleinement ce somptueux fessier qui se mit à balancer en cadence. Cramponnée au bain de soleil, Marie-Cécile ripostait à ses assauts en couinant de plaisir. Et c'est au moment où il lâchait quelques gouttes de sperme, après s'être vraiment surpassé, que Jean entendit la voix de Francine :
- Eh bien, vous ne vous embêtez pas tous les deux. Dès que j'ai le dos tourné, vous forniquez comme des lapins.
Cette fois, ce fut au tour de Marie-Cécile de sursauter. Tout en reprenant un peu de contenance, elle lâcha :
- Excuse-moi, je ne sais pas ce qui m'a pris, Jean est tellement séduisant...
- A qui le dis-tu. Bon, on ne va pas faire de chichis entre amies, tu as pris ton pied, moi aussi. Mais s'il te plait, Jean, maintenant, tu t'en vas.
Pendant qu'il se rhabillait, un brin penaud, Jean reçut cinq sur cinq le clin d'oeil de Francine. Son plan avait marché à merveille. Les femmes sont décidément machiavéliques en amour, se dit-il. Mais il savait que ce jardin, s'il pouvait ressembler à l'Eden, était aussi farci de pièges. La prochaine fois, se dit-il, je laisserai Francine aller seule à la jardinerie...
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe histoire , tout y est : le soleil, la ville, le jardin, l'âge des participants , le spa : tout cela m'a bien fait plonger dans l'histoire : je bande comme un fou ...merci ,lolo
Très excitant le recit, jai bandé grav
J'ai mouillé
A mon tour de souligner la belle écriture de cette histoire qui sent le vécu ! J'espère vous lire bientôt
a suivre belle histoire merci
Jolie histoire qui plus est très bien écrite. j'espère que vous publierez encore.
Jolie histoire, bien écrite, comme je les aime.