La résultante de la veille…

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : La résultante de la veille… Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La résultante de la veille…
Claire rentre, ce soir là après le shopping avec sa marraine dans la chambre habillée en soubrette un plateau dans les mains. Elle se penche au-devant de moi.
- Si monsieur le désire !
Sur le plateau se tenait une culotte en résille de couleur noire.
- A qui appartient-elle ?
- Devine ? Un indice, elle n’est pas à moi…
Sourire aux lèvres, je m’en saisis et la porte à mes narines.
- C’est au goût de monsieur ?
- Bien madame la bonne !
- Monsieur veut peut-être que je m’occupe de sa…
Elle me désigne la bosse que fait mon érection sous la toile de mon slip.
Très vite elle se met à me pomper la queue. Sa caresse buccale additionné avec l’odeur que dégage la culotte de marraine il m’en faut pas plus pour me faire éjaculer. Ma femme, après avoir avalé mon plaisir prend place en s’allongeant sur le lit près de moi.
- A votre tour monsieur.
-Pas avant que tu es à ton tour humer la culotte de marraine. Fais-je en lui tendant la culotte en résille qui sent très fort. Je l’oblige d’humer l’étroite bande souillée par une chatte ardente en manque d’affection. Elle la hume bruyamment comme pour me provoquer.
Je me jette sur son sexe comme un mort de faim. Mes lèvres viennent bientôt s’appliquer sur cette vulve accueillante très odorante qui n’attendait que ça. Quel plaisir ! Lécher cette intimité livrée avec tous ses parfums d’urine, de sève et de sueur me donne un certain appétit.
Je veux la faire jouir. Je m’affaire pour ça sur le clitoris ruisselant de plaisir. Ma femme soupire bientôt d’une façon ne laissant aucun mystère sur sa nature : elle va jouir.
- Vite… vite… vite… prend moi vite… j’ai vite besoin d’être remplie…
Elle veut du cul. Et bien elle va en avoir. D’un seul coup de la place en levrette devant moi. Là, je guide ma queue en la tenant à pleine main, je pousse mon gland tout au fond de la vulve béante et suintante de mouille. Quand l’extrémité de ma verge est bien en place entre les petites lèvres. Je me rue d’un coup en avant. Une fois ma verge enfoncée bien à fond, je reste immobile pendant quelques secondes, les mains serrées autour des hanches de ma femme. Le souffle court, je précipite mon mouvement. À chacun de mes coups, elle extériorise son plaisir. La coquine crie plus fort qu’à son habitude. Comme si elle veut que sa marraine soit témoin de notre coït.
Tout de suite elle jouit, et le fait savoir, ouvertement. Je me retire pour observer sa fente béante. Mais la coquine en veut encore.
-Encore…encore ! Hurle-t-elle.
J’enfonce alors, mon pouce dans le vagin. Et lui masse l’intérieur comme je sais qu’elle affectionne. Elle manifeste son bien être. Mon érection est à bloc.
J’ouvre mon tiroir et y sors des godes. Il m’en manque Gérard. Je précise que les quatre godes de ma femme portent des prénoms. Donc Gérard, vingt centimètres de long quatre de diamètre. Gabriel, lui vingt-deux de long pour quatre de circonférence. Il y a Gari trente-deux de long pour cinq centimètre de diamètre. Et enfin George vingt-sept de long pour six de diamètre.
-T’inquiète, me fait-elle il est entre de bonnes lèvres.
Elle a un sourire triomphant et cruel.
-Non… ! Tu n’as pas fait ça ?
-Elle a tout entendu. Et cela lui a donné des envies, des grosses envies même, si tu devines ce que je veux te faire comprendre.
-Eh bien.
-Allez continue…me fait-elle. Je suis en manque ce soir.
Et je me mets à continuer à branler sa chatte avec mon pouce.
- Je lui es même donner un slip à toi, porté bien sûr.
Je lui enfonce George. Elle râle. Je commence par un doux va-et-vient, tout en poussant de plus en plus. Elle vient au-devant de George par des mouvements du bassin. Elle mouille tellement que ça coule entre ses fesses jusque sur le drap. Elle enchaine les orgasmes. Je retire le joujou pour lui permettre de rependre ses esprits.
C’est le moment que je choisis pour entrer à fond ma main dans l’orifice complètement dilaté de sa femme. Merci George ! Je fiste l’entrejambe avec vice et douceur à la fois. Ma femme est ainsi prise et comblée, gémit bruyamment à mesure que ma main enfoncée jusqu’à la gaine, éclate son intimité. Puis son vagin se crispe violemment. Un jet de liquide clair gicle violemment de son antre, arrosant tout à proximité d’elle. Je fais une pause pour examiner sa chatte. Elle est dilatée comme je ne l’es jamais vu. Je peux voir son intérieur avec une précision déconcertante.
La coquine a les yeux vitreux, mi-clos. La bouche ouverte comme si elle n’arrive plus à respirer. Un filet de bave coule à la commissure de ses lèvres.
Je lui donne ma queue à sucer. Je profite qu’elle soit occupée pour humer de nouveau le slip résille à marraine.
Sa langue commence par piqueter le gland tout autour du méat à coup répétés et précis. Ainsi traiter ma verge devient dur. Elle vit son existence propre. Sous la douce caresse de la langue, elle me prend entre ses lèvres, puis l’embouchant de façon plus résolue la faisant disparaître dans sa bouche. Je ne peux retenir un sursaut. La bouche est douce, chaude et palpitantes aussi accueillante qu’une chatte à tel point que ma verge prise dans cet étau brûlant gagne en dureté. Elle trouve son rythme. Elle place ses doigts à la base de ma verge alors que la bouche repart en arrière jusqu’à en libérer le gland, puis l’aspire et recommence avec la régularité obsédante d’un métronome. Je commence à sentir mes muscles se tendre. Le plaisir monte peu à peu en moi. Des ondes m’irradient. Un frisson me traverse qui me fait me cabrer davantage. Ma femme relève les yeux et comprend. À l’aide de ses lèvres elle étrangle ma verge, tétant le gland et avalant à longues gorgées ma semence. Humant de plus belle le slip à marraine je retiens le râle qui monte à ma gorge.
J’écarte largement les cuisses de ma femme, et me mets à lécher le bas ventre, parcourant à grands coups de langue tout le pubis suçant les poils rêches partout où se situe. Depuis le ventre jusqu’à la naissance des cuisses.
Je l’aspire, je la tète avec un bruit de succion qui couvre les gémissements de ma femme. J’attends que ma femme jouisse pour relever la tête de son sexe.
Là elle empoigne ma verge et la guide contre son anus. Elle gare ma queue dans l’anneau serré. Les mains agrippées à mon cou, continue l’intromission. Elle perd l’équilibre et s’empale de tout son poids. Peu à peu, je sens le cul se dilater.
Je lui tends la culotte de marraine, et l’oblige de poser son nez sur l’étroite bande de coton renforcée, souillée. Le nez entre ses seins. Elle se soulève petit à petit et se laisse retomber avec précaution sur moi. Complètement ouverte, elle se met alors à monter et à descendre de plus en plus vite. L’effort la met en nage et ses seins ballotent dans tous les sens.
Jamais je n'ai eu autant de plaisir que ce soir-là, à voir mes coups de queue, à sentir la souplesse du canal étroit que je laboure sans scrupule. Je ne cherche même pas à retarder mon plaisir, je la sodomise à grands coups de reins, à chaque va-et-vient, ses fesses claquent contre mes cuisses.
Quand je joui, je me laisse tomber sur son dos, raidi, immobile pendant qu'elle continue à ruer au même rythme en contractant son rectum, comme pour pomper. Elle se démène en grimaçant horriblement en proie de la jouissance.
Le lendemain j’ai la surprise de découvrir en lieu et place de ma femme un bout de papier. Qui dit qu’elle est partie acheter un gode pour marraine et que cela va une prendre une bonne partie de la journée. Qu’elle compte sur moi pour faire patienter marraine.
Comme les matins précédents je retrouve marraine dans la cuisine. Je me sers un café et pose mon cul sur une chaise devant le pain grillé.
-Ça été cette nuit ? Lui fais-je, alors qu’elle prend place à mes côtés.
-J’ai eu du mal à trouver le sommeil mais après ça été.
-Vous allez me dire alors, que vous avez tout entendu.
-Tu parles de quoi ?
-Oh ! Vous savez parfaitement de ce que je parle. Je suis au courant pour le gode. Et même de mon slip.
Sans doute embarrasser, que je sois au courant, elle porte sa tasse de café jusqu’à ses lèvres et on boit une gorgée. Alors j’insiste :
-Mes odeurs intimes vous a enflammé, embrasé.
-On peut dire ça, oui !
-Et le gode ?
-A défaut d’autre chose !
-Je vais maintenant te poser des questions marraine (passant au tutoiement), disons… un peu plus personnelles, d’accord ?
Je l’entends répondre dans un souffle :
-Je ne sais pas si…
-Quelle est la fréquence des rapports sexuels ses derniers temps ?
Après quelques secondes d’embarras…
-Je n’ai plus eu de rapport depuis la mort de Michel.
-Pardon ?
-Oui, trois ans.
-Tu n’as pas cherché de faire cela avec un autre homme ?
-Non, surtout pas, voyons !
Elle est mûre. Je lis dans ses yeux que du plaisir. Le même que je lis quand j’ai comme partenaire une sexagénaire. Je suis habitué à mêler ses femmes de cet âge à ma vie sexuelle.
-As-tu déjà eu des orgasmes au moins ?
Elle baisse les yeux et répond :
-Jamais, enfin avec un partenaire.
Pauvre femme.
-Cela te dirait que j’essaye de ton donnée un ?
-Toi, mais…mais… ce n’ai pas envisageable.
-Qu’est-ce qui te dit qu’elle n’est pas consentante ?
-Je n’y pense pas.
-Alors explique-moi, pourquoi elle t’a donné George ?
-George ?
-Enfin…oui le gode. Et avec ça un slip.
-Bon j’accepte, me dit-elle un peu trop rapidement.
-Bon alors approche, fais-je d’une voix que je veux la plus sensuelle possible.
Elle vient à moi. Avec beaucoup de douceur, je donne quelques légers baisers sur son front. Je lui embrasse le cou. Délicatement, je passe ma main sur sa joue, la fait descendre vers la nuque, les épaules. Elle commence peu à peu à se pacifier.
-Défait la ceinture de ta robe de chambre.
Ce qui s’en suit n’est pas sans une certaine réticence. Elle a une poitrine tombante. Elle a tout de même soixante-quinze ans. Je passe ensuite ma main entre ses deux seins, effleurant à peine sa peau. Je fais le tour de l’un, du bout des doigts… le tour de l’autre. Elle respire de plus en plus fort. Lorsque je touche l’aréole, elle sursaute. Je la caresse avec plus d’insistance, fait rouler les pointes entre ses doigts. Je prends possession de ses seins, à pleine main. Je commence, moi aussi, à être très excité, mon membre se gonflant.
La marraine remue de plus en plus. Elle aime ce que je lui fais.
-J’ai mon entrejambe complètement humide, et c’est bien la première fois que j’éprouve ce genre de sensation avec un homme !
Je la soulage de sa robe de chambre. Dans l’élan je lui soulève les bras au-dessus de la tête. Je lui lèche gloutonnement les aisselles. Je sens qu’elle en a la chair de poule. Tout son corps devient granuleux. J’insiste de plus belle, lui léchant maintenant les seins, le cou, de nouveau les aisselles. Ce qui déclenche des premiers gémissements. Je suis chanceux !
Ma verge est tendue dans mon slip. Cette marraine me trouble. La façon dont elle accepte que je la touche est vraiment étrange. Cela m’excite terriblement. Je descends ma main jusqu’au sexe. Elle frissonne, toujours atone mais de plus en plus agitée, à la limite passionnée. Je glisse une main à l’intérieur de la cuisse. À plusieurs reprises, je passe mes doigts le long des grandes lèvres. Glisse l’index dans la fêlure imbibée. Mon doigt qui monte et descend lentement dans cette masse de chair, bouillonnant de désir.
Je vais jusqu’au bouton, descend sur l’anus. Le liquide que je moissonne entre les lèvres lubrifie assez facilement cette zone inexplorée. Je répète ce parcours, plusieurs fois, de l’anus au clitoris. Celui-ci étant outrageusement sensible, elle jouit pour la première fois. Je suis fière de moi
Cela m’encourage à passer à autre chose. Je me redresse pour cela, la place pour être au-dessus d’elle, en missionnaire, et glisse ma verge au fond de son vagin.
-Ce n’est pas George ! Lui fais-je.
-Je trouve la tienne bien meilleure, plus vivante !
Après seulement quelques mouvements de va-et-vient, mes poussées se font quelque peu désordonnées. Je ne me retiens même pas à éjaculer. Avec de longs et puissants jets de sperme.
Suite à ça je m’affale sur le côté. J’attends une dizaine de minutes pour me lever, et de quitter la chambre.
Je rentre dans ma chambre, de manière relativement automatique, perdu dans mes pensées. Je songe à tout ce que j’aurais pu faire avec elle.

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