LA STAGIAIRE

Récit érotique écrit par Miss_Sexcret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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LA STAGIAIRE
Voici un scenario que m'a inspiré une jeune étudiante de 20 ans qui va commencer son job d'été a la Mairie de son village.
Je tiens à la remercier d'être une lectrice de la première heure, pour ses encouragements et ses photos coquines.
LA STAGIAIRE
Je savais exactement ce que je faisais.
Quand j’ai accepté ce stage d’été à la mairie, je m’étais préparée à l’ennui. Je m’imaginais déjà les matinées à trier des dossiers moisis, les après-midis à faire chauffer la cafetière pour les titulaires…Et moi, invisible, la petite stagiaire modèle, poli sourire aux lèvres.
Mais à peine arrivée, j’ai senti autre chose.
Un frisson.
Quelque chose dans l’air.
Des regards plus lourds que prévus. Qui glissaient sur ma nuque, s’arrêtaient sur mes hanches, épousaient mes courbes comme des mains invisibles. Et cette tension sourde… elle m’a fait vibrer.
J’ai aimé ça. Immédiatement.
Le premier jour, j’ai joué la carte de la prudence :Petit chemisier blanc boutonné jusqu’au col, jupe droite grise jusqu’aux genoux, escarpins noirs classiques. Collants chair. Soutien-gorge de coton. Tenue sérieuse. Tenue sage. Mais sous la surface, je brûlais déjà.
Et dès le lendemain… j’ai testé les limites.
J’ai choisi une robe d’été. Couleur crème, fine, fluide, presque transparente à contre-jour. Bretelles spaghetti. Décolleté discret mais lâche. Ourlet juste au-dessus du genou, mais qui s’envolait au moindre courant d’air.
Et surtout : rien dessous. Pas de culotte. Pas de soutien-gorge. Juste moi, nue, offerte, sous ce voile léger.
Les escarpins, eux, avaient laissé place à des sandales à talons ouvertes, qui allongeaient ma jambe et dévoilaient mes orteils vernis. Je portais un rouge à lèvres plus marqué, un parfum plus sucré. Et j’avais laissé mes cheveux détachés, tombant sur mes épaules comme une invitation.
Le changement fut immédiat.
Le jardinier a laissé tomber son sécateur quand je suis passée dans la cour. Il m’a suivie du regard, bouche entrouverte, le dos légèrement courbé, la main immobile sur le manche de son outil, comme figé par une apparition. Quand je l’ai salué d’un « Bonjour » léger, ses yeux ont glissé sur mes jambes nues, puis sont remontés lentement, traînant sur le creux de mes hanches.
Le facteur m’a tendu le courrier à hauteur de bassin, les yeux bien bas, forçant mon buste à s’incliner. « Voilà pour vous… mademoiselle », a-t-il soufflé, un brin rauque, presque admiratif. Son regard n’a pas quitté mon décolleté, ouvert juste assez pour deviner la naissance de mes seins. En me relevant, je l’ai surpris à déglutir, les doigts encore tremblants sur la liasse.
Même le vieux curé, venu déposer un papier quelconque, s’est figé dès que je suis entrée dans le hall. Le silence s’est allongé, pesant. Ses yeux se sont fixés sur mes seins libres sous le tissu, puis il a levé le regard vers mon visage avec une sorte de stupeur coupable. Il n’a pas dit un mot. Il a juste rougi, attrapé le formulaire d’une main fébrile, puis il est sorti en s’essuyant le front.
Et dans le dos, je sentais les regards des secrétaires.
Certains se détournaient vite, trop vite, comme si les voir se poser sur moi les brûlait. D’autres restaient plus longtemps, l’air absent, les pupilles humides. Une brune à lunettes a frôlé mon bras en me croisant dans le couloir, laissant sa main effleurer la mienne un peu trop longtemps. Une autre, plus âgée, m’a glissé à voix basse en me tendant un dossier : « Cette robe te va… divinement bien. »
Deux d’entre elles m’ont détaillée du coin de l’œil avec un sourire lent, presque complice. Comme si elles savaient. Comme si elles avaient déjà joué à ce jeu-là.
Elles savaient.
Elles avaient vu mes tétons durcis sous le tissu. Peut-être même le mouvement souple de mes seins sans soutien, qui ondulaient à chaque pas. Et peut-être même…Cette luisance entre mes cuisses, après la pause déjeuner, quand je revenais tremblante d’un petit détour par les toilettes. Ou cette façon que j’avais de m’asseoir, robe tirée juste assez, les cuisses entrouvertes, sans jamais croiser les jambes.
Oui. Je mouillais.
Tout le temps. Je rentrais chez moi le soir avec la robe collée entre les jambes — quand je ne m’étais pas déjà caressée avant — et les pensées embuées.
Alors j’ai arrêté de me retenir.
Et là, c’est devenu sérieux.
Chaque jour, je choisissais ma tenue avec soin.
Une robe rouge un peu trop moulante. Un top blanc noué sous la poitrine, avec une jupe plissée fendue. Des combinaisons sans culotte, des robes-chemises à peine boutonnées, des jupes en jean qui remontaient sur mes fesses à chaque mouvement. Des escarpins vernis, des talons aiguilles, parfois même des bas auto-fixant sous une robe pull très courte.
Je me suis mise à jouer. J’ai commencé à m’exhiber. Lentement. Subtilement. Délibérément.
Subtilement, d’abord. Je croisais les jambes plus haut, je laissais la lumière traverser le tissu pour dessiner mes courbes. Je faisais mine de chercher un dossier en me penchant plus que nécessaire au guichet d’accueil.
Et toujours, ces regards qui me frôlaient, me chauffaient, me baisaient en silence. Parfois, je sentais un regard masculin collé à mon cul, pendant que je tapais à l’ordinateur. Alors je bougeais les hanches. Juste assez.
Je me sentais puissante. Et affamée. Et là, ça a démarré pour de vrai.
Je n’avais plus qu’une envie : qu’on me prenne là, sur le comptoir.
Dans les toilettes, je me masturbais en vitesse, les doigts entre les cuisses, la tête renversée contre la porte, en imaginant leurs bites.
Dans l’ascenseur vide, je me frottais contre la paroi, le ventre collé à l’inox.
Mais le pire… C’était la salle d’archives. Fraîche, calme, isolée.
Des étagères, un bureau bancal. Une caméra HS. Un jour, j’y ai glissé la main sous ma robe. Et j’ai joué avec mon clito pendant dix minutes, à genoux contre le meuble. Je me suis faite quasiment baiser par mon propre poing, en silence, les lèvres mordues jusqu’au sang.
Et puis un jour, j’ai craqué.
Il était 14h. Accueil vide. Bâtiment silencieux. J’avais laissé la porte entrouverte. Juste assez pour entendre. Juste assez pour me faire surprendre. Je me suis assise. J’ai relevé ma robe, lentement. Mon ventre était nu, mes seins pointaient. Ma chatte était gonflée, ruisselante. Je respirais fort.
Et j’ai pris un Stabilo, bleu ciel. Pas un vulgaire stylo. Non. Un objet lisse, droit, au plastique solide, à peine tiède dans ma paume. Je l’ai fait rouler entre mes doigts. Longuement. Lentement. Je sentais déjà l’excitation monter, rien qu’à l’idée. Mon souffle s’est accéléré. Je l’ai approché de mes lèvres, l’ai effleuré comme on goûte une peau. Et dans ma tête… je ne voyais plus un simple Stabilo.
Je le voyais comme un sexe. Dur, prêt, vibrant. Le gland remplacé par le capuchon, la hampe par ce cylindre lisse que j’allais faire glisser entre mes lèvres. Ou alors… comme un sex-toy discret, d’une dureté parfaite, que j’aurais trouvé dans un tiroir de bureau.
J’ai écarté mes cuisses. Mon sexe était gonflé, luisant, nerveux. Je l’ai effleuré d’un doigt. Mes lèvres se sont ouvertes d’elles-mêmes, affamées.
Alors j’ai écarté. Doucement. J’ai pris le Stabilo. Et je l’ai posé contre ma fente. Le contact a été glacé. Un frisson m’a parcourue tout le dos. Je l’ai frotté contre mes lèvres, puis contre mon clitoris.
Je me suis cambrée, déjà prête à basculer. J’ai fermé les yeux. Et j’ai commencé à l’enfoncer. Tout doucement. Ma chatte l’a aspiré, l’a accueilli comme un sexe familier. Je l’ai glissé lentement en moi, le plastique dur frottant contre mes parois. Chaque aspérité du logo, chaque arête du capuchon me faisait vibrer de l’intérieur. Je me suis imaginée que c’était sa queue.
Celle du maire. Ou celle du jardinier, longue, lisse, dure comme un gode. Je l’ai enfoncé plus fort. Un va-et-vient lent, régulier. Mes muscles se serraient sur le plastique. Je le sentais cogner contre mon col, contre mon plaisir.
J’ai accéléré. Mon autre main s’est plaquée contre mon clito, que j’ai frotté avec frénésie. Je me foutais du bruit. Je voulais jouir. J’en avais besoin. Je me suis renversée sur le dossier de la chaise, les jambes écartées, le ventre tendu.
Le Stabilo disparaissait dans ma chatte, ressortait luisant, puis glissait à nouveau en moi.
J’ai murmuré :
— Oui… vas-y… baise-moi…
Comme s’il était vivant. Comme si quelqu’un, derrière cette porte entrouverte, m’enfonçait sa queue avec rage.
Et là… Tout s’est contracté. Une vague m’a traversée. J’ai joui. Fort. Longtemps. Le plastique dur contre mon point G, la paume brûlante sur mon clito, ma gorge nouée par le cri que je me suis interdite.
Je me suis mordue l’avant-bras. Mes jambes se sont tendues. J’ai giclé un peu, je crois. Je dégoulinais.
Et quand j’ai rouvert les yeux… Elle était là. Une collègue. Jeune. Belle. Le regard planté entre mes cuisses. Le Stabilo encore enfoncé.
Elle n’a rien dit. Elle a juste fait demi-tour. Et trois minutes plus tard,
le téléphone a sonné.
— Le maire veut vous voir. Immédiatement.
Je suis montée à l’étage, les cuisses encore humides, le cœur qui cognait.
Le bureau du maire. Porte fermée.
Silence.
J’ai frappé.
Une voix grave a répondu :
— Entrez.
J’ai ouvert. Lentement.
Et je l’ai vu. Le maire. Costume gris clair, chemise ouverte, bronzé, cheveux argent, regard noir. Assis derrière son immense bureau en bois, calme, droit, les mains croisées.
Il m’a regardée. Longtemps. Sans rien dire. Je suis restée debout, droite, la robe encore froissée sur les hanches. Sans culotte. Les cuisses collantes du jus de mon petit délire au Stabilo.
Il a parlé, enfin.
— On m’a rapporté un comportement inacceptable, Mademoiselle.
J’ai senti mes joues rougir. Pas de honte. De l’excitation.
Il s’est levé. S’est approché. Je pouvais sentir son parfum : boisé, masculin, luxueux. Il s’est arrêté à dix centimètres de moi.
— Vous vous montrez nue sous vos robes, vous vous masturbez à votre poste...Vous voulez vraiment que je vous renvoie ?
Je l’ai regardé droit dans les yeux.
Et j’ai murmuré :
— Non, monsieur le maire.
Il a levé la main. A glissé deux doigts sous ma robe. Et les a enfoncés dans ma chatte, sans prévenir.
J’étais trempée.
Ses doigts ont glissé tout seuls. Il les a sortis. A les regardés briller.
— Tu dégoulines. Petite salope.
Je me suis mordue la lèvre. Et je suis tombée à genoux. Naturellement. Ses doigts ont défait sa ceinture. Son pantalon a glissé au sol sur la moquette. Et sa queue est sortie.
Putain… quelle queue.
Épaisse. Dure. Veinée. Brune. Elle pointait vers moi comme une promesse. Je l’ai regardée un instant, fascinée. Son odeur montait déjà, musquée, virile, chaude.
Je l’ai prise en main, doucement, comme on saisit un trésor interdit. Elle était lourde. Elle palpitait dans ma paume. Vivante. Alors je l’ai portée à ma bouche. Et je l’ai sucée. Comme une vraie salope. Pas une petite stagiaire timide. Non. Une chienne en chaleur. Une putain de bureau.
Je l’ai engloutie d’un coup. Mes lèvres se sont serrées autour de sa hampe. Ma langue l’a enroulée, a caressé chaque veine, a léché le dessous, le gland, l’arête.
Il a grogné. Ses mains sont venues agripper mes cheveux, comme pour me guider. Mais je n’avais pas besoin d’aide. Je savais ce que je faisais. Je l’ai pompé à grands coups de gorge. Ma salive dégoulinait, je bavais sur ses couilles, j’en voulais encore. Mes joues creuses, mes yeux larmoyants, mes bruits humides faisaient écho dans le bureau.
Je le regardais depuis en bas, les pupilles brillantes. Je voulais l’entendre me dire que j’étais une pute. Que je méritais sa queue. Que je n’étais bonne qu’à ça.
Alors je l’ai regardé, les yeux remplis de désir, et j’ai murmuré, langue tirée, lèvres écartées :
— Baisez ma bouche, Monsieur le Maire… s’il vous plaît… Faites de moi votre salope…
Il n’a pas attendu. Il m’a attrapée par les cheveux, et il a commencé à me baiser la gorge. Des coups de reins secs, rythmés. Sa queue cognait contre ma luette, je m’étranglais à moitié, mais je ne reculais pas. Au contraire. Je voulais l’avaler entier. Je voulais le sentir jouir au fond. Je bavais, je râlais, je glapissais. Le foutre commençait déjà à gonfler dans ses couilles. Je suçais avec une ferveur animale.
Comme si ma vie dépendait de cette queue. Comme si j’avais été faite pour ça. Et au fond… peut-être que oui.
Il s’est retiré un instant. M’a soulevée. Et m’a retournée.
J’étais pliée sur son bureau, ventre contre le bois, jambes écartées.
Il a remonté ma robe. Découvert mes fesses nues. Et il a craché sur ma chatte.
— Je vais te démonter, petite salope d'étudiante.
Il a glissé son gland contre ma fente. Puis il a poussé d’un coup. Ma chatte s’est ouverte, j’ai hurlé, et il a commencé à me prendre. Fort. Brutal. Ses mains sur mes hanches, ses reins qui claquaient. Ses couilles tapaient contre mon clito. Je gémissais comme une pute, le front contre les papiers de service.
Il m’a prise longtemps, changeant de rythme, accélérant jusqu’à me faire trembler. Puis il s’est penché, a pris mes cheveux, et a tiré ma tête en arrière.
— Tu veux mon jus petite pute ?
— Oui… oui Monsieur le Maire…
— Alors prends ça.
Il s’est retiré. M’a remise à genoux.
Et il s’est branlé sur mon visage. Sa queue luisait de mes sucs. Il me regardait. Je tirais ma langue. Je l’implorais des yeux.
Et là, il a giclé.
Une première salve sur ma joue. Une deuxième en plein sur mes seins, qui se sont couverts de blanc, chauds, poisseux. Une troisième sur ma bouche. J’ai léché sa queue, j’ai avalé ses dernières gouttes, puis je suis restée là, à genoux, couverte, soumise, ravie.
Il a souri.
— Va retourner à l’accueil, maintenant.
J’ai remis ma petite robe souillée et tachée. Sans rien essuyer. Le sperme collait entre mes seins, luisait sur mon visage.
Quand je suis descendue, je sentais le foutre, et j’avais le sourire d’une stagiaire qu’on n’oubliera pas de si tôt.
Je tiens à la remercier d'être une lectrice de la première heure, pour ses encouragements et ses photos coquines.
LA STAGIAIRE
Je savais exactement ce que je faisais.
Quand j’ai accepté ce stage d’été à la mairie, je m’étais préparée à l’ennui. Je m’imaginais déjà les matinées à trier des dossiers moisis, les après-midis à faire chauffer la cafetière pour les titulaires…Et moi, invisible, la petite stagiaire modèle, poli sourire aux lèvres.
Mais à peine arrivée, j’ai senti autre chose.
Un frisson.
Quelque chose dans l’air.
Des regards plus lourds que prévus. Qui glissaient sur ma nuque, s’arrêtaient sur mes hanches, épousaient mes courbes comme des mains invisibles. Et cette tension sourde… elle m’a fait vibrer.
J’ai aimé ça. Immédiatement.
Le premier jour, j’ai joué la carte de la prudence :Petit chemisier blanc boutonné jusqu’au col, jupe droite grise jusqu’aux genoux, escarpins noirs classiques. Collants chair. Soutien-gorge de coton. Tenue sérieuse. Tenue sage. Mais sous la surface, je brûlais déjà.
Et dès le lendemain… j’ai testé les limites.
J’ai choisi une robe d’été. Couleur crème, fine, fluide, presque transparente à contre-jour. Bretelles spaghetti. Décolleté discret mais lâche. Ourlet juste au-dessus du genou, mais qui s’envolait au moindre courant d’air.
Et surtout : rien dessous. Pas de culotte. Pas de soutien-gorge. Juste moi, nue, offerte, sous ce voile léger.
Les escarpins, eux, avaient laissé place à des sandales à talons ouvertes, qui allongeaient ma jambe et dévoilaient mes orteils vernis. Je portais un rouge à lèvres plus marqué, un parfum plus sucré. Et j’avais laissé mes cheveux détachés, tombant sur mes épaules comme une invitation.
Le changement fut immédiat.
Le jardinier a laissé tomber son sécateur quand je suis passée dans la cour. Il m’a suivie du regard, bouche entrouverte, le dos légèrement courbé, la main immobile sur le manche de son outil, comme figé par une apparition. Quand je l’ai salué d’un « Bonjour » léger, ses yeux ont glissé sur mes jambes nues, puis sont remontés lentement, traînant sur le creux de mes hanches.
Le facteur m’a tendu le courrier à hauteur de bassin, les yeux bien bas, forçant mon buste à s’incliner. « Voilà pour vous… mademoiselle », a-t-il soufflé, un brin rauque, presque admiratif. Son regard n’a pas quitté mon décolleté, ouvert juste assez pour deviner la naissance de mes seins. En me relevant, je l’ai surpris à déglutir, les doigts encore tremblants sur la liasse.
Même le vieux curé, venu déposer un papier quelconque, s’est figé dès que je suis entrée dans le hall. Le silence s’est allongé, pesant. Ses yeux se sont fixés sur mes seins libres sous le tissu, puis il a levé le regard vers mon visage avec une sorte de stupeur coupable. Il n’a pas dit un mot. Il a juste rougi, attrapé le formulaire d’une main fébrile, puis il est sorti en s’essuyant le front.
Et dans le dos, je sentais les regards des secrétaires.
Certains se détournaient vite, trop vite, comme si les voir se poser sur moi les brûlait. D’autres restaient plus longtemps, l’air absent, les pupilles humides. Une brune à lunettes a frôlé mon bras en me croisant dans le couloir, laissant sa main effleurer la mienne un peu trop longtemps. Une autre, plus âgée, m’a glissé à voix basse en me tendant un dossier : « Cette robe te va… divinement bien. »
Deux d’entre elles m’ont détaillée du coin de l’œil avec un sourire lent, presque complice. Comme si elles savaient. Comme si elles avaient déjà joué à ce jeu-là.
Elles savaient.
Elles avaient vu mes tétons durcis sous le tissu. Peut-être même le mouvement souple de mes seins sans soutien, qui ondulaient à chaque pas. Et peut-être même…Cette luisance entre mes cuisses, après la pause déjeuner, quand je revenais tremblante d’un petit détour par les toilettes. Ou cette façon que j’avais de m’asseoir, robe tirée juste assez, les cuisses entrouvertes, sans jamais croiser les jambes.
Oui. Je mouillais.
Tout le temps. Je rentrais chez moi le soir avec la robe collée entre les jambes — quand je ne m’étais pas déjà caressée avant — et les pensées embuées.
Alors j’ai arrêté de me retenir.
Et là, c’est devenu sérieux.
Chaque jour, je choisissais ma tenue avec soin.
Une robe rouge un peu trop moulante. Un top blanc noué sous la poitrine, avec une jupe plissée fendue. Des combinaisons sans culotte, des robes-chemises à peine boutonnées, des jupes en jean qui remontaient sur mes fesses à chaque mouvement. Des escarpins vernis, des talons aiguilles, parfois même des bas auto-fixant sous une robe pull très courte.
Je me suis mise à jouer. J’ai commencé à m’exhiber. Lentement. Subtilement. Délibérément.
Subtilement, d’abord. Je croisais les jambes plus haut, je laissais la lumière traverser le tissu pour dessiner mes courbes. Je faisais mine de chercher un dossier en me penchant plus que nécessaire au guichet d’accueil.
Et toujours, ces regards qui me frôlaient, me chauffaient, me baisaient en silence. Parfois, je sentais un regard masculin collé à mon cul, pendant que je tapais à l’ordinateur. Alors je bougeais les hanches. Juste assez.
Je me sentais puissante. Et affamée. Et là, ça a démarré pour de vrai.
Je n’avais plus qu’une envie : qu’on me prenne là, sur le comptoir.
Dans les toilettes, je me masturbais en vitesse, les doigts entre les cuisses, la tête renversée contre la porte, en imaginant leurs bites.
Dans l’ascenseur vide, je me frottais contre la paroi, le ventre collé à l’inox.
Mais le pire… C’était la salle d’archives. Fraîche, calme, isolée.
Des étagères, un bureau bancal. Une caméra HS. Un jour, j’y ai glissé la main sous ma robe. Et j’ai joué avec mon clito pendant dix minutes, à genoux contre le meuble. Je me suis faite quasiment baiser par mon propre poing, en silence, les lèvres mordues jusqu’au sang.
Et puis un jour, j’ai craqué.
Il était 14h. Accueil vide. Bâtiment silencieux. J’avais laissé la porte entrouverte. Juste assez pour entendre. Juste assez pour me faire surprendre. Je me suis assise. J’ai relevé ma robe, lentement. Mon ventre était nu, mes seins pointaient. Ma chatte était gonflée, ruisselante. Je respirais fort.
Et j’ai pris un Stabilo, bleu ciel. Pas un vulgaire stylo. Non. Un objet lisse, droit, au plastique solide, à peine tiède dans ma paume. Je l’ai fait rouler entre mes doigts. Longuement. Lentement. Je sentais déjà l’excitation monter, rien qu’à l’idée. Mon souffle s’est accéléré. Je l’ai approché de mes lèvres, l’ai effleuré comme on goûte une peau. Et dans ma tête… je ne voyais plus un simple Stabilo.
Je le voyais comme un sexe. Dur, prêt, vibrant. Le gland remplacé par le capuchon, la hampe par ce cylindre lisse que j’allais faire glisser entre mes lèvres. Ou alors… comme un sex-toy discret, d’une dureté parfaite, que j’aurais trouvé dans un tiroir de bureau.
J’ai écarté mes cuisses. Mon sexe était gonflé, luisant, nerveux. Je l’ai effleuré d’un doigt. Mes lèvres se sont ouvertes d’elles-mêmes, affamées.
Alors j’ai écarté. Doucement. J’ai pris le Stabilo. Et je l’ai posé contre ma fente. Le contact a été glacé. Un frisson m’a parcourue tout le dos. Je l’ai frotté contre mes lèvres, puis contre mon clitoris.
Je me suis cambrée, déjà prête à basculer. J’ai fermé les yeux. Et j’ai commencé à l’enfoncer. Tout doucement. Ma chatte l’a aspiré, l’a accueilli comme un sexe familier. Je l’ai glissé lentement en moi, le plastique dur frottant contre mes parois. Chaque aspérité du logo, chaque arête du capuchon me faisait vibrer de l’intérieur. Je me suis imaginée que c’était sa queue.
Celle du maire. Ou celle du jardinier, longue, lisse, dure comme un gode. Je l’ai enfoncé plus fort. Un va-et-vient lent, régulier. Mes muscles se serraient sur le plastique. Je le sentais cogner contre mon col, contre mon plaisir.
J’ai accéléré. Mon autre main s’est plaquée contre mon clito, que j’ai frotté avec frénésie. Je me foutais du bruit. Je voulais jouir. J’en avais besoin. Je me suis renversée sur le dossier de la chaise, les jambes écartées, le ventre tendu.
Le Stabilo disparaissait dans ma chatte, ressortait luisant, puis glissait à nouveau en moi.
J’ai murmuré :
— Oui… vas-y… baise-moi…
Comme s’il était vivant. Comme si quelqu’un, derrière cette porte entrouverte, m’enfonçait sa queue avec rage.
Et là… Tout s’est contracté. Une vague m’a traversée. J’ai joui. Fort. Longtemps. Le plastique dur contre mon point G, la paume brûlante sur mon clito, ma gorge nouée par le cri que je me suis interdite.
Je me suis mordue l’avant-bras. Mes jambes se sont tendues. J’ai giclé un peu, je crois. Je dégoulinais.
Et quand j’ai rouvert les yeux… Elle était là. Une collègue. Jeune. Belle. Le regard planté entre mes cuisses. Le Stabilo encore enfoncé.
Elle n’a rien dit. Elle a juste fait demi-tour. Et trois minutes plus tard,
le téléphone a sonné.
— Le maire veut vous voir. Immédiatement.
Je suis montée à l’étage, les cuisses encore humides, le cœur qui cognait.
Le bureau du maire. Porte fermée.
Silence.
J’ai frappé.
Une voix grave a répondu :
— Entrez.
J’ai ouvert. Lentement.
Et je l’ai vu. Le maire. Costume gris clair, chemise ouverte, bronzé, cheveux argent, regard noir. Assis derrière son immense bureau en bois, calme, droit, les mains croisées.
Il m’a regardée. Longtemps. Sans rien dire. Je suis restée debout, droite, la robe encore froissée sur les hanches. Sans culotte. Les cuisses collantes du jus de mon petit délire au Stabilo.
Il a parlé, enfin.
— On m’a rapporté un comportement inacceptable, Mademoiselle.
J’ai senti mes joues rougir. Pas de honte. De l’excitation.
Il s’est levé. S’est approché. Je pouvais sentir son parfum : boisé, masculin, luxueux. Il s’est arrêté à dix centimètres de moi.
— Vous vous montrez nue sous vos robes, vous vous masturbez à votre poste...Vous voulez vraiment que je vous renvoie ?
Je l’ai regardé droit dans les yeux.
Et j’ai murmuré :
— Non, monsieur le maire.
Il a levé la main. A glissé deux doigts sous ma robe. Et les a enfoncés dans ma chatte, sans prévenir.
J’étais trempée.
Ses doigts ont glissé tout seuls. Il les a sortis. A les regardés briller.
— Tu dégoulines. Petite salope.
Je me suis mordue la lèvre. Et je suis tombée à genoux. Naturellement. Ses doigts ont défait sa ceinture. Son pantalon a glissé au sol sur la moquette. Et sa queue est sortie.
Putain… quelle queue.
Épaisse. Dure. Veinée. Brune. Elle pointait vers moi comme une promesse. Je l’ai regardée un instant, fascinée. Son odeur montait déjà, musquée, virile, chaude.
Je l’ai prise en main, doucement, comme on saisit un trésor interdit. Elle était lourde. Elle palpitait dans ma paume. Vivante. Alors je l’ai portée à ma bouche. Et je l’ai sucée. Comme une vraie salope. Pas une petite stagiaire timide. Non. Une chienne en chaleur. Une putain de bureau.
Je l’ai engloutie d’un coup. Mes lèvres se sont serrées autour de sa hampe. Ma langue l’a enroulée, a caressé chaque veine, a léché le dessous, le gland, l’arête.
Il a grogné. Ses mains sont venues agripper mes cheveux, comme pour me guider. Mais je n’avais pas besoin d’aide. Je savais ce que je faisais. Je l’ai pompé à grands coups de gorge. Ma salive dégoulinait, je bavais sur ses couilles, j’en voulais encore. Mes joues creuses, mes yeux larmoyants, mes bruits humides faisaient écho dans le bureau.
Je le regardais depuis en bas, les pupilles brillantes. Je voulais l’entendre me dire que j’étais une pute. Que je méritais sa queue. Que je n’étais bonne qu’à ça.
Alors je l’ai regardé, les yeux remplis de désir, et j’ai murmuré, langue tirée, lèvres écartées :
— Baisez ma bouche, Monsieur le Maire… s’il vous plaît… Faites de moi votre salope…
Il n’a pas attendu. Il m’a attrapée par les cheveux, et il a commencé à me baiser la gorge. Des coups de reins secs, rythmés. Sa queue cognait contre ma luette, je m’étranglais à moitié, mais je ne reculais pas. Au contraire. Je voulais l’avaler entier. Je voulais le sentir jouir au fond. Je bavais, je râlais, je glapissais. Le foutre commençait déjà à gonfler dans ses couilles. Je suçais avec une ferveur animale.
Comme si ma vie dépendait de cette queue. Comme si j’avais été faite pour ça. Et au fond… peut-être que oui.
Il s’est retiré un instant. M’a soulevée. Et m’a retournée.
J’étais pliée sur son bureau, ventre contre le bois, jambes écartées.
Il a remonté ma robe. Découvert mes fesses nues. Et il a craché sur ma chatte.
— Je vais te démonter, petite salope d'étudiante.
Il a glissé son gland contre ma fente. Puis il a poussé d’un coup. Ma chatte s’est ouverte, j’ai hurlé, et il a commencé à me prendre. Fort. Brutal. Ses mains sur mes hanches, ses reins qui claquaient. Ses couilles tapaient contre mon clito. Je gémissais comme une pute, le front contre les papiers de service.
Il m’a prise longtemps, changeant de rythme, accélérant jusqu’à me faire trembler. Puis il s’est penché, a pris mes cheveux, et a tiré ma tête en arrière.
— Tu veux mon jus petite pute ?
— Oui… oui Monsieur le Maire…
— Alors prends ça.
Il s’est retiré. M’a remise à genoux.
Et il s’est branlé sur mon visage. Sa queue luisait de mes sucs. Il me regardait. Je tirais ma langue. Je l’implorais des yeux.
Et là, il a giclé.
Une première salve sur ma joue. Une deuxième en plein sur mes seins, qui se sont couverts de blanc, chauds, poisseux. Une troisième sur ma bouche. J’ai léché sa queue, j’ai avalé ses dernières gouttes, puis je suis restée là, à genoux, couverte, soumise, ravie.
Il a souri.
— Va retourner à l’accueil, maintenant.
J’ai remis ma petite robe souillée et tachée. Sans rien essuyer. Le sperme collait entre mes seins, luisait sur mon visage.
Quand je suis descendue, je sentais le foutre, et j’avais le sourire d’une stagiaire qu’on n’oubliera pas de si tôt.
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