La toubib au corps chaud

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : La toubib au corps chaud Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La toubib au corps chaud
Nathalie terminait sa journée de consultation médicale un peu lasse. En face de lui, un homme d'un certain âge était en train de lui expliquer laborieusement ses difficultés sexuelles afin de lui demander une prescription de viagra. "Il doit avoir une maîtresse et il a du mal à l'honorer", se disait Nathalie in petto. "Mais au moins, il baise. Moi, je n'ai pas fait l'amour depuis six mois mais ça, tout le monde s'en fout". Agée de 52 ans, divorcée depuis dix ans, Nathalie se consacrait essentiellement à son métier de médecin généraliste de ville. Son ex mari, médecin lui aussi, l'avait quittée pour une infirmière plus jeune. Depuis, Nathalie vouait une rancoeur tenace envers cette profession lorsqu'elle était exercée par des femmes : "Elles ne pensent qu'à mettre le grappin sur les toubibs", jugeait-elle abruptement. Mais elle, personne ne lui avait mis le grappin dessus. Pourtant, elle ne se voyait pas trop laide. Petite, pulpeuse mais sans excès, un visage rond et des yeux vert d'eau, elle avait gardé son apparence de poupée qui avait fait son succès pendant ses études de médecine. Elle avait beaucoup baisé alors, mais elle s'était rangée des voitures une fois dans son cabinet, mariée et mère d'une fille qui volait aujourd'hui de ses propres ailes. Elle regrettait maintenant de ne pas avoir saisi ces occasions qui s'offraient à elle quand elle inspirait la relation sexuelle. "On a beau dire mais passée cinquante ans, une femme fait moins bander les mecs", considérait-elle. Néanmoins, elle trouvait de temps en temps l'occasion de s'envoyer en l'air avec un collègue lors de quelque stage de remise à niveau dans un endroit éloigné. Le dernier en date était un Martiniquais supérieurement monté de 35 ans qui l'avait fait grimper aux rideaux pendant deux nuits, au point qu'elle était revenue lessivée. Les gros calibres l'avaient toujours attirée pour la bonne et simple raison que la nature l'avait affublée d'un vagin peu étroit, d'où un jour une critique d'un amant monté fin qui avait regretté d'avoir "nagé". Le goujat n'y était plus revenu. Le Martiniquais, lui, avait fort bien occupé l'espace. Hélas, le phénomène était rentré dans son île retrouver femme et enfants. Elle ne voyait plus que des solutions de raccroc pour satisfaire son penchant pour le sexe (car oui, elle aimait ça) : un voyage dans un baisodrome baptisé club de vacances en Tunisie ou au Maroc ou, pire encore, le recours à un escort boy. Son gode électrique avait encore de beaux jours devant lui.

******
Elle raccompagna le monsieur d'âge mûr vers la sortie. Il restait une seule personne dans la salle d'attente : un jeune homme d'aspect sportif, espèce plutôt rare dans sa clientèle. Il était venu lui demander un certificat médical afin de pratiquer la plongée durant ses prochaines vacances. Nathalie détailla le personnage. Tout à fait son genre d'homme, même si elle les préférait plus âgés : grand, mince, musclé, habillé décontracté. Elle décida de s'offrir un petit plaisir et lui demanda de se mettre en slip afin de l'ausculter. Nathalie loucha devant les pectoraux, les abdominaux et surtout, surtout, le barreau de chaise qui tendait le slip dans toute sa largeur. Mon Dieu, quel pénis ! Nathalie se remémora brièvement le chibre du Martiniquais et une onde de chaleur envahit son bas-ventre. Elle vit allonger le patient sur le lit médical et laissa courir ses doigts sur l'abdomen, en bonne ausculteuse. Elle n'avait qu'un minuscule mouvement à faire pour entrer dans le slip mais parvint à s'en abstenir en pensant très fort au Conseil de l'ordre. Elle respira un grand coup et après avoir pris la tension du jeune homme, lui ordonna de se rhabiller. Ils échangèrent quelques propos badins sur la plongée sous-marine et le lieu (le Cap Vert) où le jeune homme comptait sacrifier à sa passion. Puis Nathalie se retrouva seule. Après avoir mis en ordre quelques dossiers, elle rentra chez elle, tout aussi seule. Le soir venu, elle sortit le gode et se masturba en pensant au Martiniquais et au jeune homme si bien monté.

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Quelques semaines plus tard, Nathalie entrait dans un magasin de bricolage pour louer un kärcher afin de nettoyer sa terrasse. Et qui était au comptoir ? Son jeune homme grenouille. Après les salutations d'usage et des questions aimables de Nathalie sur ses vacances sous-marinières, le jeune homme prénommé Kevin (c'était écrit sur sa chemise) lui procura le kärcher et poussa l'amabilité jusqu'à le placer dans son coffre de voiture. "Vous savez comment faire marcher ça" lui demanda-t-il. Devant sa réponse évasive, Kevin lui proposa de venir lui faire la démonstration chez elle, ce que Nathalie accepta avec empressement. A la fois pour des raisons pratiques et légèrement érotiques. Ce jeune homme lui plaisait. Bien sûr, il était probablement "en mains" mais le fait qu'il entre chez elle lui donnait toutes les cartes pour le séduire et elle en avait bien l'intention. Sans illusion cependant. Ses 52 ans lui trottaient dans le crâne.
Le jour venu, Nathalie accueillit Kevin en short et chemisier bien déboutonné sur un sillon mammaire dont la profondeur avait de quoi donner le vertige à un homme normalement constitué. Certes, ses jambes étaient un peu fortes mais allez savoir pourquoi, elle avait envie de montrer ses cuisses. Le kärcher était effectivement une bête difficile à manier, tant la pression était forte. Mais Kevin l'aida en se plaçant derrière elle, le manche tenu par tous les deux. Nathalie sentait sur ses fesses la légère pression de l'entre-jambes du jeune homme. Elle se pencha légèrement en avant pour aller la chercher davantage et le garçon ne se déroba pas. Puis elle opéra seule et le nettoyage suivit son cours. Une fois celui-ci terminé, elle proposa au jeune homme un rafraîchissement qu'il accepta.

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La discussion prit alors une autre tournure. Nathalie l'interrogea sur sa vie personnelle et Kevin lui avoua qu'il avait une copine mais qu'il était en ce moment "un peu fâché avec elle". Nathalie n'épilogua pas. En revanche, elle lui avoua qu'elle vivait seule depuis son divorce et que parfois, sa solitude était difficile à vivre. De fil en aiguille, la conversation se poursuivit jusqu'à l'heure du déjeuner et Nathalie proposa au jeune homme de l'accompagner dans un restaurant voisin, ce qu'il accepta. Elle courut se changer et apparut dans une robe droite et blanche presque transparente où son soutien-gorge et son slip blancs apparaissaient clairement sous l'étoffe. Le déjeuner fut assez vite expédié. Nathalie avait une furieuse envie de baiser avec ce type. Pas question de le laisser filer, celui-là. Une occasion comme celle-ci, elle n'en avait pas tous les jours. Lui-même avait la trique à force de lorgner les ballonnets qui débordaient du soutif blanc sous la robe. Il avait toujours eu envie de se taper une femme mûre et en plus, une toubib, que demander de mieux ? Surtout que celle-là semblait avoir vraiment chaud au cul.
Après le café, avec le plus grand naturel, Nathalie lança à Kevin : "on va chez moi ?" Le garçon approuva d'un signe de tête. Sa queue lui faisait déjà mal. Et toujours avec aisance, Nathalie conduisit le jeune homme à sa chambre et l'embrassa en lui tâtant l'entre-jambes. Rassurée sur sa capacité de séduction, elle fit glisser sa robe, se débarrassa de ses sous-vêtements et s'allongea sur le lit entièrement à poil alors que l'invité était encore habillé :- Alors, tu viens ? lui lança-t-elle, le défi dans le regard. Elle n'en revenait pas d'avoir un aussi joli morceau de mec dans son lit. Elle allait le dévorer tout cru.
Un peu décontenancé par son assurance, qui était sans doute l'apanage des femmes d'expérience, le jeune homme se dévêtit et exhiba sa trique :- Mmmh, prometteur, souffla-t-elle. Viens à côté de moi, on va causer un peu avant de baiser.
C'était en effet une manie de Nathalie. Avant de faire l'amour, elle aimait parler avec son amant, l'exciter, exacerber son désir tout autant que le sien à elle. Le jeune homme s'allongea, la main de Nathalie s'empara de son chibre et l'invita à faire de même avec son bouton :- Caresse-moi, doucement, là comme ça. Tu sais que tu es mignon ? Et drôlement bien monté. J'aime les belles queues comme la tienne. Tu vas bien me baiser, je le sens. Tu aimes mes seins ? Lèche-les, j'adore ça. Oui, comme ça, sur les tétons. Qu'est-ce que tu as envie de me faire ?
- Euh... je ne sais pas, ce que tu veux.
- Alors, tu vas me lécher la chatte pour que je sois bien humide. Et mon petit trou du cul aussi. Tu pourras m'enculer ensuite. J'aime me faire enculer, tu sais ? Ta copine aussi, elle aime ça ? Non bien sûr. Ce n'est pas une grosse cochonne comme moi. Regarde comme tu es long et dur. Je t'excite, hein ? Non, tu ne vas pas me baiser tout de suite. Je vais te sucer d'abord. Tu as une bite pour être sucée. Après, tu pourras me la mettre, bien profond. Mais il faudra durer, mon petit Kevin. Me baiser longtemps. J'aime quand c'est dur et que ça dure. Allons voir cette jolie queue de plus près.
Et Nathalie entreprit, après avoir enfilé elle-même le préservatif à son amant, une succion diabolique, faite de petits coups de langue suivis d'une engloutissement total. Le jeune homme ne s'appartenait plus vraiment devant un tel appétit et il se demanda avec terreur s'il n'allait pas envoyer toute la purée avant même qu'elle lui ait ouvert ses cuisses. Nathalie, avec toute son expérience, vit le danger :- Houlà ! Tu es bien mûr, dis donc, ta queue palpite comme si tu allais gicler, gardes-en un peu pour moi. Allez, à toi, lèche ! ordonna-t-elle en attirant la tête du jeune homme entre ses cuisses.
Celui-ci ne se fit pas prier et fourra son groin avec voracité dans le pubis et la vulve de la quinquagénaire qui ronronna de plaisir :- Mmmh, c'est bon, tu lèches bien, ta copine doit aimer ça... Après, on fera un petit 69, c'est la meilleure façon de faire connaissance.
Le couple se mit tête bêche, elle au-dessus, offrant à Kevin le panorama de son fessier charnu. Sa langue effleura son anus et elle se cambra pour qu'il puisse y aller plus franchement.
- Ecarte-moi les fesses et lèche moi le trou du cul, j'adore ça, ordonna-t-elle.
Kevin n'avait encore jamais pratiqué ce genre d'exercice. Sa copine aurait refusé tout net. Il ne la connaissait que trop. Il y mit une telle conviction que Nathalie abandonna sa queue, se redressa et savoura en ondulant les hanches, toute proche d'un premier orgasme, le pétard collé sur le visage de son jeune amant qui étouffait à demi.
- Ah mon Dieu, tu me rends folle ! Baise-moi maintenant. Oui, comme ça, par derrière, devant la glace, j'aime me regarder baiser. Oh que c'est bon ! Oh que tu es gros !
Et Kevin se mit à marteler la croupe de sa maîtresse dont il voyait dans la glace de la commode le visage en proie à l'extase et les nichons balloter entre ses bras. Il y alla durement mais à fréquences modérées afin de ne pas se laisser emporter par le tempérament de feu de la toubib. Celle-ci le regardait avec attention, comme si elle observait la montée de son plaisir, et continuait à commenter :- Oui, c'est ça, comme ça, pas trop vite, je la sens bien, mmmmh, oh que j'en avais besoin !
Le gars n'en revenait pas d'une cochonnerie pareille sous des dehors aussi classiques. Il fallait à tout prix qu'il se montre à la hauteur et penser à des choses tristes si son sperme lui échappait. Mais comment penser à autre chose qu'au cul quand une femelle en chaleur, les melons en bataille et le fessier en mouvement, vous regarde droit dans les yeux ?
- Couche-toi maintenant, je vais venir sur toi, lui imposa-t-elle.
Et elle s'empala lentement, savourant autant la bite que la vision du torse parfait de son amant, sans un poil de graisse qu'elle lécha à petits coups de langue tout en ondulant. Elle lui prit les mains pour les déposer sur ses seins et recommença à lui parler :- Caresse-moi, oui comme ça, pas trop fort. C'est moi qui vais te baiser maintenant, voilà, comme ça, tu es bien en moi ?
Tantôt sur les genoux, tantôt sur les pieds, elle s'infligeait le délicieux supplice du pal vaginal tout en matant son jeune amant, subjuguée par sa chance après des mois de disette sexuelle. Mais désireuse de faire durer le plaisir, elle s'interrompit et s'allongea à côté de lui tout en le masturbant afin qu'il ne perde pas sa raideur :- Dis-moi, ta copine, elle t'a déjà léché le trou du cul et les couilles ? Elle t'a mis le doigt dedans, jusqu'à la prostate ? Je m'en doutais. Les jeunes filles ne savent pas ce qui est bon pour l'homme et pour elle en même temps. Laisse-toi faire...
Et Nathalie joignit le geste à la parole, un geste habile de praticienne augmenté par le vice d'une grande amoureuse, tout en continuant à le branler. Kevin gémit, se cabra, décontenancé par l'expertise de sa maîtresse qui le pilotait à sa guise. Il fallait qu'il reprenne l'initiative, qu'il redevienne l'homme maitre du jeu. Alors, il se détacha d'elle, sortit du lit, la tira par le bras, la prit sous les fesses et les cuisses et la pénétra en la collant au mur de la chambre, debout, en athlète.
- Mais qu'est-ce que tu fais ? Oh mon Dieu ! On ne m'a jamais fait ça ! Que tu es costaud ! Que je te sens bien ! Ahhhh ! Ohhh !
Accrochée au cou de son amant par les bras et à ses reins par les jambes, Nathalie parvint à synchroniser les mouvements de son bassin à ceux de son baiseur, qui la détacha du mur et la conduisit sur quelques mètres dans cette position pour le moins physique. Elle tenait par sa bite autant que par ses bras et ses jambes et cette sensation inédite la chavira. Puis il la bascula sur le lit et lui asséna de virulents coups de queue qu'elle accompagna en empoignant ses belles fesses, les jambes repliées de chaque côté de son torse. Elle allait tout droit à l'orgasme et s'y laissa entraîner sans résistance, laissant échapper des bruits de gorge et de ventre dans son corps en fusion. Kevin put enfin remplir sa capote et il se retira pour offrir sa queue nue à la bouche de Nathalie, qui savoura les dernières gouttes de la semence de son vigoureux amant. Avec le regret que ce fût terminé, mais la satisfaction d'un corps enfin apaisé.

****************
Pendant quelques semaines, Nathalie vécut sur un nuage. Ceux qui la connaissaient la trouvaient métamorphosée. Elle était devenue plus souriante, plus aimable, plus à l'écoute de ses malades. Elle avait totalement changé son "look" avec un maquillage permanent et une jupe courte et droite mariée à un chemisier boutonné sur le devant (et souvent déboutonné d'ailleurs). Peut-être parce qu'elle était devenue plus sexy, sa clientèle augmenta de quelques unités masculines. Elle perdit en outre cinq kilos. A cela une bonne raison : presque chaque jour, elle sautait le repas de midi pour baiser avec son jeune amant dans son cabinet. Elle préférait en effet les galipettes à l'heure du déjeuner plutôt que le soir afin de paraitre plus fraiche et en meilleure forme, sans le poids de sa journée de travail. Elle n'oubliait pas qu'elle avait la cinquantaine... Il y eut toutefois une petite ombre au tableau. Elle connut des soucis de rectum en raison du goût du couple pour la sodomie et du volume du pénis de Kevin, en dépit des précautions d'usage avec un terrain bien préparé. Elle se décida à consulter une proctologue de ses amies, ancienne condisciple en fac de médecine, qui lui adressa quelques baumes et un conseil : "mets le frein là-dessus pendant quelque temps". Tout en reconnaissant qu'elle-même et son mari n'étaient pas hostiles à la pratique, bien au contraire mais que, bon, de temps en temps, une petite pause est nécessaire...
Nathalie ne se faisait pas trop d'illusion sur la pérennité de sa relation avec Kevin, sodomie ou pas. Un jour ou l'autre, se disait-elle, il va retourner à sa copine ou une autre. Alors, elle en profitait abondamment. Jusqu'au moment où les visites du jeune homme s'espacèrent. Un jour, il arriva l'événement que Nathalie craignait depuis longtemps : Kevin vint lui annoncer qu'il la quittait. Une fois le coup encaissé, elle voulut savoir qui était l'heureuse élue. Quelle ne fut pas sa surprise, et son mécontentement, d'apprendre que le jeune homme était devenu l'amant d'une kinésithérapeute de 48 ans, une vraie salope d'après ses informations. Kevin avait transformé sa rééducation d'une cheville en celle de son pénis. "Se faire larguer pour une kiné, merde alors, pas la peine de faire sept ans d'études ! " se dit Nathalie, qui vira sur l'heure le malotru. Elle accusa le coup pendant quelques jours, puis préféra prendre la chose du bon côté en se disant que ce jeune gars l'avait fait rajeunir et qu'il fallait conserver le même élan.
Et c'est ainsi qu'après s'y être longtemps refusée, elle s'inscrivit sur un site de rencontre. A l'heure qu'il est, elle continue de chercher fortune.

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