Labourage et pâturage
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Labourage et pâturage
Quand Didier épousa Caroline, c'était avec la conviction qu'il avait trouvé une perle. Cet agriculteur se mariait avec une infirmière, ce qui assurait au moins un revenu stable. Vaillante au boulot, elle l'était aussi au lit et c'était rien de le dire. Petit gabarit au cheveux frisés déjà grisonnants, à la peau mate, aux grands yeux noirs et aux seins lourds, Caroline était folle de la queue épaisse de Didier, au point qu'après son tour de garde à l'hôpital, elle allait le retrouver dans son tracteur pour avoir sa dose de sexe.
Deux enfants naquirent de cette union épanouie. Mais arrivé à la quarantaine, Didier eut du mal à répondre à la demande de son épouse volcanique. Non pas en manque de désir mais parce que ses tâches agricoles l'éprouvaient de plus en plus. Caroline évoluait dans un milieu professionnel où le sexe n'était pas absent, tant chez les infirmiers que chez les médecins il s'était fait à l'idée d'être cocu.
Pourtant, Caroline l'assurait de sa fidélité mais il n'y croyait qu'à moitié. La chair est faible et celle de sa femme en particulier.
Un jour, il embaucha un travailleur saisonnier Moldave prénommé Igor. Âge de 27 ans, athlétique, blond aux yeux azur, il attira illico les regards de Caroline et Didier s'en aperçut.
Aussi prit-il son épouse bille en tête :
- Chérie, ça te dirait de baiser avec Igor ?
Caroline resta bouche bée avant de nier vigoureusement, disant qu'elle n'aimait qu'un seul homme et c'était son mari, qui répondit :
- Je t'ai dit baiser, pas faire l'amour, et avec mon accord. Tu as des besoins que je ne peux satisfaire seul.
Caroline protesta à nouveau mais plus mollement disant :
- Encore faudrait il qu'il ait envie de moi. Je ne suis plus si jeune.
Didier regarda sa femme. De fait ses cheveux frisés portes longs ou attachés étaient devenus grisonnants car elle refusait toute teinture par goût du naturel, à preuve encore son refus de s'épiler aisselles et pubis, et même de porter un soutien gorge, parfois même un slip par temps chaud. Plus d'une fois Didier l'avait troussée à la hussarde en détectant son cul nu. Elle adorait.
L'idée chemina dans l'esprit de Caroline. Igor l'excitait, elle ne pouvait le nier. Elle se mit en quête de l'exciter à son tour. Quand elle aidait aux champs, elle se penchait en avant à portée de regard de l'ouvrier agricole, faisant bailler le devant de sa robe pour découvrir ses seins pendants ou bien, dans la position inverse, lever le bas de cette robe pour dévoiler ses fesses nues. Didier observait le manège. Il était sûr que l'ouvrier bandait. Comment pouvait il en être autrement au spectacle de cette chair généreuse, offerte et tentatrice, nonobstant les vingt ans de plus et les cheveux grisonnants ?
Didier se décida à hâter le processus. Pourquoi tergiverser alors que les deux avaient envie de baiser ensemble et le feraient tôt ou tard dans son dos ? Il aborda Igor lors d'une pause, dans un mélange de français et d'anglais car le Moldave ne maîtrisait ni l'une ni l'autre langue :
- Tu veux fuck my wife, hein ?
L'autre prit peur et s'efforça de nier.
- Je suis OK et my wife aussi s'empressa de répondre Didier.
Igor eut un peu de mal à comprendre mais les explications convaincues de Didier finirent par édifier le Moldave. Le patron voulait bel et bien qu'il baise sa femme. Il n'en revenait pas et en plus, qu'il le fasse en sa présence. Mais il y avait tellement longtemps qu'il n'avait pas tiré son coup que ce détail lui parut secondaire.
L'affaire aurait lieu en soirée après le dîner. Igor reviendrait de son logement, frapperait à la porte, entrerait à l'incitation de Didier. Caroline l'attendrait dans la chambre. Nue. Et tout se passa comme prévu.
Igor découvrit le corps allongé, offert, seins étalés sur le torse menu, pubis foisonnant piqueté de fils d'argent, yeux charbonneux luisants de désir. Une boite de préservatifs était posée sur la table de nuit.
- Fous toi à poil. Your clothes off dit le mari bientôt cocu.
Igor s'exécuta. Lorsqu'elle découvrit la qualité de l'érection du Moldave, Caroline laissa échapper une exclamation de surprise. On avait rarement aussi bien bande pour elle, aussi considérablement. Elle s'assit sur le lit, saisit le membre entre deux doigts, comme un objet précieux et le porta à sa bouche comme un mets rare.
Igor sentit illico qu'il allait vivre un très bon moment et qu'il ne fallait surtout pas en précipiter la fin. Il en oubliait la présence dans son dos de son patron. Il faut dire qu'en plus de rouler son gland dans sa bouche, Caroline lui massait les couilles et surtout avait glissé un doigt dans son anus pour lui tâter la prostate. Jamais on ne lui avait fait ça en Moldavie ni ailleurs. Ces Françaises, quelles baiseuses ! Il eut l'impression que son gland avait encore grossi ce qui il est vrai était le but de la manœuvre.
- Now lick her. Lèche la !
Didier venait de se rappeler à son souvenir, de peur sans doute que l'activité buccale et anale de Caroline pour Igor ne vienne abréger ce coït. Obéissante, elle prit la tête d'Igor et la porta dans sa broussaille intime. Il y mélangea sa barbe avec volupté. Peu dérange par sa végétation abondante, il déjeuna de son clito et de sa vulve avec un appétit qui témoignait de son goût pour le cunni. Caroline maintenait fermement sa nuque en roucoulant.
- C'est bon ce qu'il te fait, hein chérie ?
Caroline opina. Elle poussa même un petit cri révélant un premier orgasme.
Alors, Didier tira le lécheur en arrière et lui dit :
- Now, fuck her. Fuck her hard. Baise la fort.
Et de lui tendre un préservatif au cas où il n'aurait pas compris.
Igor n'attendait plus que ça. Depuis que cette femme lui avait mis le doigt dans le trou du cul, il n'aspirait plus qu'à la défoncer. Frémissante, très ouverte, ses grands yeux noirs écarquillés de desir, elle semblait tout autant impatiente d'être honorée par ce beau mâle.
- Viens, viens vite, lâcha t elle d'une voix rauque.
- Baise la, vas y franco, confirma Didier. Fuck hard.
Fort de ces validations, Igor pénétra Caroline en fixant son regard. Il eut l'impression de s'enfoncer dans une motte de beurre tant elle était large et humide.
- Allez allez go go !
A dire vrai, Didier n'avait pas besoin de le stimuler dans son dos. Igor avait une furieuse envie de baiser cette femelle à peau mate, aux gros seins étalés sur son torse menu, au corps encore ferme démenti par ses cheveux grisonnants. Pour son bonheur, elle lui fit aussitôt comprendre qu'elle aussi avait très envie en posant ses pieds sur le matelas pour accompagner ses coups de bite avec une synchronisation parfaite.
- Oui, bien comme ça, continuez. Go go !
Igor tout en besognant jeta un regard en arrière vers Didier. Il s'était complètement déculotté et s'astiquait sans perdre une miette de leurs ébats. Caroline se mit à japper, signe d'un nouvel orgasme. Igor le favorisa de plusieurs coups de bite bien sentis mais se retint d'éjaculer en se retirant juste à temps. Haletante, Caroline regarda sa queue à la raideur intacte et sourit de toutes ses dents. Elle avait joui et pourrait jouir encore. Pour la première fois, elle l'embrassa sur la bouche en signe de remerciement.
Elle le fut basculer sur le lit, en position allongée, honora encore la bite de sa bouche et vint s'empaler lentement en savourant le moment les yeux clos. Il eut alors sous les yeux le balancement cadencé des deux seins gorgés de sève, le visage extasié encadré par les cheveux grisonnants, le nombril mouvant, les hanches en rotation pour favoriser l'exploration de sa bite et il prit définitivement conscience qu'il vivait la plus belle baise de sa jeune vie moldave grâce à cette quadragénaire française au tempérament de feu.
Elle lui offrit ensuite en se retournant le spectacle émouvant de sa croupe bien fendue virevoltant sur son zob. Elle lui prit en même temps la main et la porta vers la raie de ses fesses. L'invitation était claire et Didier la confirmation :
- Your finger into her ass, she loves that. Ton doigt dans son trou du cul, elle adore.
Igor n'aurait jamais imaginé pareil désir chez une femme. Mais comme elle lui avait fait la même chose, c'était sûrement son truc à elle. Il mit le pouce et déclencha sur sa peau une invasion de chair de poule. Elle se pencha même en avant pour qu'il aille encore plus loin. Igor en conclut que c'était un préliminaire à la sodomie. Encore une nouveauté car les jeunes filles moldaves de sa connaissance n'aimaient pas du tout ça. Elles trouvaient ça "sale" pour ne pas dire plus.
- Encule la maintenant. Fuck her ass.
Didier venait d'ordonner la phase suivante et Caroline était déjà en position, à quatre pattes, légèrement cambrée, le visage tourné vers lui, en attente. Il entra assez facilement car elle était déjà dilatée grâce à l'activité du pouce. Malgré la capote, il éprouva un ressenti inhabituel agrémenté par l'agitation de la croupe de Caroline et le claquement de leurs peaux. Il empauma ses seins par en dessous, en savourant leur volume et leur densité le nez dans sa crinière grisonnante tout en poursuivant sa fouille anale.
- Oui c'est bon ça, good good ! s'exclama Didier.
En retour, Caroline alla chercher ses couilles d'une main et Igor eut une nouvelle fois-là sensation de vivre un rapport sexuel d'une crudité inouïe qui allait marquer sa vie.
Impression encore augmentée lorsque Didier se découvrit pour présenter sa queue devant la bouche de son épouse. Alors commença la réalité inévitable d'une baise à trois et d'un trio. Tout en étant enculée, Caroline suçait. La posture dura jusqu'à la jouissance crémeuse de Didier que Caroline absorba goulûment. Igor se retira juste à temps pour ne pas jouir à son tour tant cette scène l'avait chamboulé. Mais il bandait toujours et le regard énamouré de Caroline l'informa : elle avait toujours autant envie de baiser avec lui.
Mais le fait que Didier ait éjaculé le rendait moins désireux d'un rapport encore prolongé.
- Jouissez ensemble maintenant, dit-il à son épouse.
Caroline était moins pressée. Elle voulait un final à la hauteur de son plaisir. Après avoir changé la capote d'Igor, un peu souillée par la sodomie, elle le prit par la main et l'entraina vers le salon. Igor, toujours en érection, la suivit en se demandant ce qu'il allait lui arriver avec cette femme étonnante. Il comprit lorsqu'elle s'assit sur la table faite d'un bois épais et solide.
- I love that, lui dit-elle simplement en l'attirant à lui avec ses pieds.
De fait, elle adorait cette position très particulière où l'homme debout pénètre la femme assise un peu en hauteur. Elle profitait à la fois d'une pénétration puissante et de sa capacité à la visualiser pleinement. Quand il fut en elle, elle fixait l'activité de sa bite avec un regard intense, langue sur les lèvres, seins toujours aussi mouvants sous l'effet des coups de boutoir du Moldave.
- Cum cum jouis jouis, cria Didier à l'oreille de son ouvrier.
Mais l'autre attendait le signal de Caroline et pour l'instant, elle savourait de tout son ventre, de tout son corps, les assauts rectilignes de son jeune amant. Quand enfin elle rejeta la tête en arrière en couinant, Igor comprit qu'elle avait son orgasme et un flot de sperme sortit de ses reins pour inonder sa capote. Ils s'immobilisèrent, rincés et apaisés, avant de se détacher dans un bruit mouillé. Caroline prit à nouveau Igor par la main pour l'emmener à la salle de bain où ils prirent une douche ensemble en se bécotant. Mais elle prit soin d'embrasser aussi Didier, le remerciant du moment jouissif qu'elle venait de vivre avec son accord. Et sa participation.
Igor devait rester encore deux semaines pour aller au bout de son contrat et ce fut pour le trio l'occasion de renouveler le scénario à deux reprises : une fois dans la grange, une autre fois dans un champ sous le soleil. Caroline n'avait jamais été aussi belle aux yeux de Didier. Quant à Igor, il apprit davantage sur le sexe en quinze jours que durant toute sa vie antérieure. Mais éprouverait-il dans l'avenir le même plaisir ? Ce fut dès lors sa principale interrogation.
Quand Didier épousa Caroline, c'était avec la conviction qu'il avait trouvé une perle. Cet agriculteur se mariait avec une infirmière, ce qui assurait au moins un revenu stable. Vaillante au boulot, elle l'était aussi au lit et c'était rien de le dire. Petit gabarit au cheveux frisés déjà grisonnants, à la peau mate, aux grands yeux noirs et aux seins lourds, Caroline était folle de la queue épaisse de Didier, au point qu'après son tour de garde à l'hôpital, elle allait le retrouver dans son tracteur pour avoir sa dose de sexe.
Deux enfants naquirent de cette union épanouie. Mais arrivé à la quarantaine, Didier eut du mal à répondre à la demande de son épouse volcanique. Non pas en manque de désir mais parce que ses tâches agricoles l'éprouvaient de plus en plus. Caroline évoluait dans un milieu professionnel où le sexe n'était pas absent, tant chez les infirmiers que chez les médecins il s'était fait à l'idée d'être cocu.
Pourtant, Caroline l'assurait de sa fidélité mais il n'y croyait qu'à moitié. La chair est faible et celle de sa femme en particulier.
Un jour, il embaucha un travailleur saisonnier Moldave prénommé Igor. Âge de 27 ans, athlétique, blond aux yeux azur, il attira illico les regards de Caroline et Didier s'en aperçut.
Aussi prit-il son épouse bille en tête :
- Chérie, ça te dirait de baiser avec Igor ?
Caroline resta bouche bée avant de nier vigoureusement, disant qu'elle n'aimait qu'un seul homme et c'était son mari, qui répondit :
- Je t'ai dit baiser, pas faire l'amour, et avec mon accord. Tu as des besoins que je ne peux satisfaire seul.
Caroline protesta à nouveau mais plus mollement disant :
- Encore faudrait il qu'il ait envie de moi. Je ne suis plus si jeune.
Didier regarda sa femme. De fait ses cheveux frisés portes longs ou attachés étaient devenus grisonnants car elle refusait toute teinture par goût du naturel, à preuve encore son refus de s'épiler aisselles et pubis, et même de porter un soutien gorge, parfois même un slip par temps chaud. Plus d'une fois Didier l'avait troussée à la hussarde en détectant son cul nu. Elle adorait.
L'idée chemina dans l'esprit de Caroline. Igor l'excitait, elle ne pouvait le nier. Elle se mit en quête de l'exciter à son tour. Quand elle aidait aux champs, elle se penchait en avant à portée de regard de l'ouvrier agricole, faisant bailler le devant de sa robe pour découvrir ses seins pendants ou bien, dans la position inverse, lever le bas de cette robe pour dévoiler ses fesses nues. Didier observait le manège. Il était sûr que l'ouvrier bandait. Comment pouvait il en être autrement au spectacle de cette chair généreuse, offerte et tentatrice, nonobstant les vingt ans de plus et les cheveux grisonnants ?
Didier se décida à hâter le processus. Pourquoi tergiverser alors que les deux avaient envie de baiser ensemble et le feraient tôt ou tard dans son dos ? Il aborda Igor lors d'une pause, dans un mélange de français et d'anglais car le Moldave ne maîtrisait ni l'une ni l'autre langue :
- Tu veux fuck my wife, hein ?
L'autre prit peur et s'efforça de nier.
- Je suis OK et my wife aussi s'empressa de répondre Didier.
Igor eut un peu de mal à comprendre mais les explications convaincues de Didier finirent par édifier le Moldave. Le patron voulait bel et bien qu'il baise sa femme. Il n'en revenait pas et en plus, qu'il le fasse en sa présence. Mais il y avait tellement longtemps qu'il n'avait pas tiré son coup que ce détail lui parut secondaire.
L'affaire aurait lieu en soirée après le dîner. Igor reviendrait de son logement, frapperait à la porte, entrerait à l'incitation de Didier. Caroline l'attendrait dans la chambre. Nue. Et tout se passa comme prévu.
Igor découvrit le corps allongé, offert, seins étalés sur le torse menu, pubis foisonnant piqueté de fils d'argent, yeux charbonneux luisants de désir. Une boite de préservatifs était posée sur la table de nuit.
- Fous toi à poil. Your clothes off dit le mari bientôt cocu.
Igor s'exécuta. Lorsqu'elle découvrit la qualité de l'érection du Moldave, Caroline laissa échapper une exclamation de surprise. On avait rarement aussi bien bande pour elle, aussi considérablement. Elle s'assit sur le lit, saisit le membre entre deux doigts, comme un objet précieux et le porta à sa bouche comme un mets rare.
Igor sentit illico qu'il allait vivre un très bon moment et qu'il ne fallait surtout pas en précipiter la fin. Il en oubliait la présence dans son dos de son patron. Il faut dire qu'en plus de rouler son gland dans sa bouche, Caroline lui massait les couilles et surtout avait glissé un doigt dans son anus pour lui tâter la prostate. Jamais on ne lui avait fait ça en Moldavie ni ailleurs. Ces Françaises, quelles baiseuses ! Il eut l'impression que son gland avait encore grossi ce qui il est vrai était le but de la manœuvre.
- Now lick her. Lèche la !
Didier venait de se rappeler à son souvenir, de peur sans doute que l'activité buccale et anale de Caroline pour Igor ne vienne abréger ce coït. Obéissante, elle prit la tête d'Igor et la porta dans sa broussaille intime. Il y mélangea sa barbe avec volupté. Peu dérange par sa végétation abondante, il déjeuna de son clito et de sa vulve avec un appétit qui témoignait de son goût pour le cunni. Caroline maintenait fermement sa nuque en roucoulant.
- C'est bon ce qu'il te fait, hein chérie ?
Caroline opina. Elle poussa même un petit cri révélant un premier orgasme.
Alors, Didier tira le lécheur en arrière et lui dit :
- Now, fuck her. Fuck her hard. Baise la fort.
Et de lui tendre un préservatif au cas où il n'aurait pas compris.
Igor n'attendait plus que ça. Depuis que cette femme lui avait mis le doigt dans le trou du cul, il n'aspirait plus qu'à la défoncer. Frémissante, très ouverte, ses grands yeux noirs écarquillés de desir, elle semblait tout autant impatiente d'être honorée par ce beau mâle.
- Viens, viens vite, lâcha t elle d'une voix rauque.
- Baise la, vas y franco, confirma Didier. Fuck hard.
Fort de ces validations, Igor pénétra Caroline en fixant son regard. Il eut l'impression de s'enfoncer dans une motte de beurre tant elle était large et humide.
- Allez allez go go !
A dire vrai, Didier n'avait pas besoin de le stimuler dans son dos. Igor avait une furieuse envie de baiser cette femelle à peau mate, aux gros seins étalés sur son torse menu, au corps encore ferme démenti par ses cheveux grisonnants. Pour son bonheur, elle lui fit aussitôt comprendre qu'elle aussi avait très envie en posant ses pieds sur le matelas pour accompagner ses coups de bite avec une synchronisation parfaite.
- Oui, bien comme ça, continuez. Go go !
Igor tout en besognant jeta un regard en arrière vers Didier. Il s'était complètement déculotté et s'astiquait sans perdre une miette de leurs ébats. Caroline se mit à japper, signe d'un nouvel orgasme. Igor le favorisa de plusieurs coups de bite bien sentis mais se retint d'éjaculer en se retirant juste à temps. Haletante, Caroline regarda sa queue à la raideur intacte et sourit de toutes ses dents. Elle avait joui et pourrait jouir encore. Pour la première fois, elle l'embrassa sur la bouche en signe de remerciement.
Elle le fut basculer sur le lit, en position allongée, honora encore la bite de sa bouche et vint s'empaler lentement en savourant le moment les yeux clos. Il eut alors sous les yeux le balancement cadencé des deux seins gorgés de sève, le visage extasié encadré par les cheveux grisonnants, le nombril mouvant, les hanches en rotation pour favoriser l'exploration de sa bite et il prit définitivement conscience qu'il vivait la plus belle baise de sa jeune vie moldave grâce à cette quadragénaire française au tempérament de feu.
Elle lui offrit ensuite en se retournant le spectacle émouvant de sa croupe bien fendue virevoltant sur son zob. Elle lui prit en même temps la main et la porta vers la raie de ses fesses. L'invitation était claire et Didier la confirmation :
- Your finger into her ass, she loves that. Ton doigt dans son trou du cul, elle adore.
Igor n'aurait jamais imaginé pareil désir chez une femme. Mais comme elle lui avait fait la même chose, c'était sûrement son truc à elle. Il mit le pouce et déclencha sur sa peau une invasion de chair de poule. Elle se pencha même en avant pour qu'il aille encore plus loin. Igor en conclut que c'était un préliminaire à la sodomie. Encore une nouveauté car les jeunes filles moldaves de sa connaissance n'aimaient pas du tout ça. Elles trouvaient ça "sale" pour ne pas dire plus.
- Encule la maintenant. Fuck her ass.
Didier venait d'ordonner la phase suivante et Caroline était déjà en position, à quatre pattes, légèrement cambrée, le visage tourné vers lui, en attente. Il entra assez facilement car elle était déjà dilatée grâce à l'activité du pouce. Malgré la capote, il éprouva un ressenti inhabituel agrémenté par l'agitation de la croupe de Caroline et le claquement de leurs peaux. Il empauma ses seins par en dessous, en savourant leur volume et leur densité le nez dans sa crinière grisonnante tout en poursuivant sa fouille anale.
- Oui c'est bon ça, good good ! s'exclama Didier.
En retour, Caroline alla chercher ses couilles d'une main et Igor eut une nouvelle fois-là sensation de vivre un rapport sexuel d'une crudité inouïe qui allait marquer sa vie.
Impression encore augmentée lorsque Didier se découvrit pour présenter sa queue devant la bouche de son épouse. Alors commença la réalité inévitable d'une baise à trois et d'un trio. Tout en étant enculée, Caroline suçait. La posture dura jusqu'à la jouissance crémeuse de Didier que Caroline absorba goulûment. Igor se retira juste à temps pour ne pas jouir à son tour tant cette scène l'avait chamboulé. Mais il bandait toujours et le regard énamouré de Caroline l'informa : elle avait toujours autant envie de baiser avec lui.
Mais le fait que Didier ait éjaculé le rendait moins désireux d'un rapport encore prolongé.
- Jouissez ensemble maintenant, dit-il à son épouse.
Caroline était moins pressée. Elle voulait un final à la hauteur de son plaisir. Après avoir changé la capote d'Igor, un peu souillée par la sodomie, elle le prit par la main et l'entraina vers le salon. Igor, toujours en érection, la suivit en se demandant ce qu'il allait lui arriver avec cette femme étonnante. Il comprit lorsqu'elle s'assit sur la table faite d'un bois épais et solide.
- I love that, lui dit-elle simplement en l'attirant à lui avec ses pieds.
De fait, elle adorait cette position très particulière où l'homme debout pénètre la femme assise un peu en hauteur. Elle profitait à la fois d'une pénétration puissante et de sa capacité à la visualiser pleinement. Quand il fut en elle, elle fixait l'activité de sa bite avec un regard intense, langue sur les lèvres, seins toujours aussi mouvants sous l'effet des coups de boutoir du Moldave.
- Cum cum jouis jouis, cria Didier à l'oreille de son ouvrier.
Mais l'autre attendait le signal de Caroline et pour l'instant, elle savourait de tout son ventre, de tout son corps, les assauts rectilignes de son jeune amant. Quand enfin elle rejeta la tête en arrière en couinant, Igor comprit qu'elle avait son orgasme et un flot de sperme sortit de ses reins pour inonder sa capote. Ils s'immobilisèrent, rincés et apaisés, avant de se détacher dans un bruit mouillé. Caroline prit à nouveau Igor par la main pour l'emmener à la salle de bain où ils prirent une douche ensemble en se bécotant. Mais elle prit soin d'embrasser aussi Didier, le remerciant du moment jouissif qu'elle venait de vivre avec son accord. Et sa participation.
Igor devait rester encore deux semaines pour aller au bout de son contrat et ce fut pour le trio l'occasion de renouveler le scénario à deux reprises : une fois dans la grange, une autre fois dans un champ sous le soleil. Caroline n'avait jamais été aussi belle aux yeux de Didier. Quant à Igor, il apprit davantage sur le sexe en quinze jours que durant toute sa vie antérieure. Mais éprouverait-il dans l'avenir le même plaisir ? Ce fut dès lors sa principale interrogation.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tres belle histoire candauliste un mari content et un jeune fougueux a fleur de l age c est le bonheur pour la dame qui se voit combler
Magnifique histoire
Ma femme aussi baise avec des inconnus
Quelle plaisir de la voir prendre son pied en ma présence, et parfois par des étrangers qui ne parlent pas français
Elle adore aussi les personnes beaucoup plus âgées
Moi, j'ai 55, elle 39, et son amant régulier 72, il vient la baiser au moins 3 fois par semaine
C'est notre mode de vie, et nous ne le changerions pour rien au monde, on s'aime tjrs un peu plus, à chaque jour qui passent
Ma femme aussi baise avec des inconnus
Quelle plaisir de la voir prendre son pied en ma présence, et parfois par des étrangers qui ne parlent pas français
Elle adore aussi les personnes beaucoup plus âgées
Moi, j'ai 55, elle 39, et son amant régulier 72, il vient la baiser au moins 3 fois par semaine
C'est notre mode de vie, et nous ne le changerions pour rien au monde, on s'aime tjrs un peu plus, à chaque jour qui passent
Encore un beau récit très torride en soi, comme sait si bien les écrire Micky.
Didier
Didier
Un très beau texte candauliste. Une belle preuve d'amour de Didier pour son épouse!