Laura et Claudette (2)

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Laura et Claudette (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2021 dans la catégorie Plus on est
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Laura et Claudette (2)
En de début d'été, Laura avait décidé d'organiser un garden party pour fêter le cinquantième anniversaire de son mari Edgar. Son amie Claudette était évidemment du lot en compagnie de son conjoint Alex. La plupart des autres invités étaient des collègues d'Edgar flanqués de leurs épouses. Depuis que Laura et Claudette avaient connu une aventure torride avec deux jeunes hommes (voir épisode précédent), elles affichaient sans complexe leur sexualité au mépris de leur âge, comme si elles voulaient l'exorciser par leur tenue. La blonde Laura portait ce jour là une robe courte décolletée dans le dos jusqu'au creux des reins tandis que la brune Claudette, en panta court moulant, arborait un chemisier très échancré sous lequel ses seins évoluaient avec la même liberté que ceux de son amie. Elles estimaient ainsi faire honneur à leurs époux, qui pouvaient ainsi faire valoir leur capacité à séduire d'aussi belles femmes et implicitement à les honorer au lit.

Mais les lecteurs du premier épisode savent que ce n'était pas tout à fait vrai. Edgar et Alex, cadres supérieurs, se consacraient davantage à leur travail qu'à satisfaire sexuellement leurs épouses, si bien que celles-ci étaient "allées voir ailleurs", selon la formule consacrée, estimant qu'elles n'avaient plus de temps à perdre vu l'inexorable marche du temps. Mais ce n'étaient, pour l'une comme pour l'autre, que des liaisons éphémères à caractère strictement sexuel, pleinement satisfaisantes certes mais pas au point d'engendrer un divorce très coûteux pour leur niveau de vie, bien que l'une et l'autre fussent engagées dans la vie professionnelle. C'est d'ailleurs un stagiaire de son service que Laura s'était "tapé" tandis que Claudette s'était envoyée en l'air avec le copain dudit stagiaire. Les deux copines avaient même échangé leurs jeunes amants au cours d'un après-midi totalement dingue dans le réduit du premier nommé. Fermons le ban.

Enfin, pas tout à fait. La garden party était déjà bien avancée et les esprits bien échauffés par l'alcool lorsqu'un motard fit son apparition avec un passager derrière lui. L'attention de l'assistance se dirigea vers eux quand ils enlevèrent leur casque. Quelle ne fut pas la surprise, mieux la stupéfaction, de Laura et Claudette lorsqu'elles découvrirent les têtes hirsutes de Louis et Célestin, leurs étalons quelques jours plus tôt. Edgar et Alex vinrent à leur rencontre, les saluèrent et les invitèrent à consommer le lunch préparé à l'intention des invités. Laura et Claudette se regardèrent : qu'est-ce que ça voulait dire, ce sketch ? Edgar et Alex les fixaient, hilares. Laura s'avança vers Louis et l'interrogea sèchement :- Qu'est-ce que vous fichez là, tous les deux ?
- Ben, on a été invités par ces messieurs (il désigna du doigt les deux maris) et je ne vois pas pourquoi on aurait refusé.
- Ah oui ? Et vous ne saviez pas que c'étaient nos maris, bien sûr ?
- Euh... si.
- Et vous êtes venus quand même ? Ils vous ont payé ou quoi ?
- Euh... oui.
- Tiens donc. Et combien ?
Louis annonça une somme qui acheva de stupéfier Laura et Claudette. Elles se précipitèrent vers Edgar et Alex, bien décidées à obtenir des explications, toute honte adultère bue. Les deux hommes les prirent à l'écart pour ne pas alerter les autres invités et Edgar déclara :- Vous nous preniez pour des imbéciles ou quoi ? Vous croyez qu'on n'avait pas compris que vous nous faisiez cocus ? C'était clair comme l'eau de notre piscine. On a payé un détective privé qui vous a suivies. On a même des photos. On a pensé que vous seriez contentes de voir vos gigolos à mon anniversaire. Non ?
- Qu'est-ce que vous voulez ? Un divorce ?
- Mais non, pas du tout ! C'est tellement mesquin, un divorce. C'est un peu de notre faute, tout ça. On vous a un peu négligées. On a oublié que vous étiez belles. On assure peut-être moins qu'autrefois.
- C'est bien de le reconnaitre, mais ça ne dit pas ce qu'ils font là. On avait plus ou moins rompu.
- Eh bien, vous pouvez renouer des relations, et pas plus tard que ce soir.
Claudette et Laura se regardèrent. Décidément, c'était le jour des surprises. Edgar poursuivit :- Quand les invités seront partis, vos copains vont rester. Et ils vont vous baiser. Devant nous.
- Quoi ? Vous allez jouer les voyeurs ?
- Voyeurs actifs, dirons-nous.
- Pas question. On ne va pas se prêter à ce jeu pervers.
- Eh bien, on verra tout à l'heure. Allons rejoindre les autres, ils se posent des questions.
*********Tard en soirée, les invités finirent par partir et Laura s'affaira avec son amie à débarrasser le plus gros de la vaisselle, tandis que les deux maris devisaient avec Louis et Célestin.
- Qu'est ce qu'ils se racontent, d'après toi ? interrogea Claudette.
- J'en sais rien mais ce n'est sûrement pas très propre.
C'est alors qu'elles virent les deux jeunes hommes se déshabiller entièrement et entrer dans la piscine privée du couple hôte. La vision des deux corps nus, dont elles avaient abondamment profité quelques jours plus tôt, fit frémir les deux amies.
- Mais qu'est-ce qu'ils font ? questionna Laura, un peu bêtement.
- Ben tu vois, ils se baignent.
Elles délaissèrent leur tâche ménagère pour s'avancer vers le bassin et regarder nager les deux éphèbes. La vision de leur fessier à la surface de l'eau ne pouvait pas les laisser totalement indifférentes.
- Foutez-vous à poil aussi et rejoignez-les !
L'injonction d'Edgar sortir brutalement les deux amies de leur perplexité. Ainsi donc, c'était le plan : les mettre en présence de leurs amants dans la piscine pour un coït aquatique sous les yeux des maris.
- Qu'est-ce qu'on fait ? demanda Laura à Claudette.
- Ben, on y va pardi. Je ferais bien une petite trempette, finalement.
La robe décolletée, le chemisier et le pantacourt accompagnèrent deux mini slips sur un bain de soleil et les deux amies entrèrent dans l'eau avec un léger frisson, moins en raison de la température de l'eau que du contexte très spécial de ce bain à quatre. D'abord, elles se tinrent éloignées des deux garçons, comme pour repousser l'inéluctable.
- Rapprochez-vous ! ordonna Edgar.
Laura regarda son mari et constata qu'il n'avait gardé que sa chemise. Plus de pantalon, plus de slip et une main sur sa queue. Alex, quant à lui, était complètement à poil et se masturbait également. Elle ne vit pas venir Louis qui l'enlaça par derrière, lui empauma les seins et lui fit sentir sa queue déjà raidie sur ses fesses. Elle se retourna et lui tendit ses lèvres, glissant sa main sur ses couilles.
- Baisez-les maintenant !
Cette fois, c'est Alex qui était intervenu. La situation excitait maintenant les deux amies. "Puisqu'ils veulent ça, eh bien, on va le faire, tant pis pour eux", se disaient-elles.

D'un commun accord, elles s'adossèrent au bassin, les bras en croix sur le bord et ouvrirent leurs cuisses face aux deux étalons, debout, de l'eau jusqu'à la poitrine. Elles furent pénétrées quasiment en même temps, leurs fesses empoignées par leur amant, et ondulèrent dans cette posture aquatique inédite qui portait leurs mouvements. L'énergie déployée par Louis pour Laura et Célestin pour Claudette ne tarda pas à provoquer des vagues qui débordèrent sur le bord de la piscine. Face aux deux accouplements, les maris s'astiquaient avec frénésie. Ils lisaient dans les yeux de leurs épouses le plaisir intense que leur octroyait les deux étalons. L'eau accentuait leurs exclamations, en diffusant le son selon le phénomène physique classique. Laura connut rapidement un orgasme puissant qui entraina à sa suite celui de Claudette. Les deux jeunes mâles s'interrompirent. Les deux voyeurs, inquiets, s'interrogèrent : avaient-ils déjà éjaculé ?
Ils furent vite rassurés en les voyant sortir du bassin encore en pleine érection.
- Continuez à les baiser, elles n'en ont pas assez ! asséna Edgar.
Les deux maris ordonnèrent à leurs cocufieurs de s'asseoir sur un bain de soleil et commandèrent leurs épouses :- Mettez-vous sur eux maintenant.

Sans protester, Laura et Claudette, encore sous l'effet de leur orgasme, s'avancèrent toutes mouillées vers les deux fauteuils de bain, considérèrent la queue dressée des deux jeunes mâles, hommages incontestables à leur séduction intacte, et s'empalèrent simultanément, offrant leur dos mouvant au regard de leurs époux de l'autre côté du bassin.
Et surtout leurs fesses. Edgar et Alex pouvaient mater à loisir les deux globes charnus roulant et virevoltant, manifestations tangibles du plaisir sexuel de leurs épouses. Il faut dire que celles-ci, à cheval sur le bain de soleil, les pieds au sol, bénéficiaient d'un fort écartement des cuisses qui rendait l'action des deux pénis extrêmement profitable. Si les deux jeunes mâles ne bougeaient pratiquement pas, les deux quinquagénaires pouvaient au contraire alterner mouvement rectilignes et rotatoires, à leur gré et selon leur inspiration :- Putain, que c'est bon ! lâcha Laura, un rien vulgaire, en agitant sa croupe.
- Ah ouais, qu'est-ce que je la sens bien comme ça ! confirma Claudette.
Totalement concentrées sur leur vagin survolté, les deux femmes en oubliaient la présence dans leur dos de leur mari, lesquels n'étaient pas le moins du monde offusqués qu'elles prennent leur panard sur des queues qui n'étaient pas les leurs. Bien au contraire, c'était comme s'ils les baisaient par procuration, avec en prime la vision de leur corps dans l'extase sous un angle qu'ils ne connaissaient forcément pas.
- Quelles salopes ! s'exclama Alex en s'astiquant.
- Elles aiment le cul, c'est clair, confirma Edgar.
- Tournez-vous maintenant ! ordonna l'époux de Claudette.
Toujours obéissantes, les deux épouses se retournèrent avant de s'empaler à nouveau sur les pines bien tendues. Le volume de Célestin entrait désormais aisément dans l'antre de Claudette, largement dilaté. Cette fois, les deux époux purent considérer l'agitation des seins, du ventre, du nombril même et surtout l'expression du visage des deux quinquagénaires, passant d'un rictus à un franc sourire, de la langue sur les lèvres à la moue de satisfaction, des yeux clos au regard extasié. Une exclamation de plaisir dans la bouche de Laura ou Claudette traduisait parfois un contact franc de la bite avec une zone sensible. Les deux cocus étaient épatés par l'endurance de leurs cocufieurs. A leur place, il y a longtemps qu'ils auraient tout lâché. Pas étonnant qu'elles se gavaient de ces jeunes bites.
C'est alors qu'Edgar eut une inspiration et dit à Alex :- Viens, on va se faire sucer.
******Les deux hommes firent le tour du bassin et présentèrent leur queue à leur épouse, en train de cavaler sur celles de leurs jeunes amants. Quelle ne fut pas la surprise de Laura et Claudette de trouver très raides le pénis de leur conjoint. Beaucoup plus raides, en tout cas, que ce qui leur arrivait de sucer dans le lit conjugal afin de provoquer la rigidité minimum qui permettrait une visite approfondie de leur vagin. Comme quoi leurs julots étaient plus excités à les regarder baiser qu'à les baiser eux-mêmes; Sacrée révélation.

Pour autant, elles ne négligèrent pas l'offrande. De la fermeté sous la langue, c'est toujours mieux que de la mollesse. Surtout quand, dans le même temps, deux bites particulièrement efficaces visitent l'intimité de fond en comble. C'est ainsi que Laura et Claudette se retrouvèrent "prises par les deux bouts", selon l'expression consacrée, situation encore inédite qu'elles savourèrent comme il se doit. Moins cependant que leurs propres maris qui redécouvraient les joies de la fellation dans un contexte lui aussi inédit. L'activité buccale de leurs conjointes, qui n'en continuaient pas moins de tressauter sur la bite de leurs étalons, eut vite raison de leur résistance d'autant qu'ils étaient déjà pas mal échauffés par ce qu'ils avaient vu et entendu. A peine Laura eut-elle mis la main sur ses couilles qu'Edgar expulsa un tonneau de sperme dans sa bouche, le liquide séminal n'ayant pas été produit depuis des lustres. Laura avala le tout d'un "gloup". Quant à Alex, il éclaboussa quelques minutes plus tard le visage de sa légitime après avoir tenté de se comprimer la queue, mais en vain.

Pour autant, les deux couples fornicateurs n'en restèrent pas là. A l'initiative d'Edgar, les deux femmes se mirent à quatre pattes sur le bord du bassin et reçurent en même temps un hommage appuyé en levrette.
- Enculez-les ! cria Edgar, encore flageolant.
Mais seule Laura reçut une visite anale, d'ailleurs assez brève, Louis ayant succombé à l'attrait de son fessier par une giclette rectale contenue par la capote. Claudette refusa expressément la sodomie, considérant Célestin "trop gros", si bien qu'elle fut encore longuement limée avant que le Guadeloupéen ne finisse à son tour par rendre les armes, sous les yeux des quatre autres protagonistes de cette soirée un peu folle. Puis tout le monde se retrouva dans la piscine où flottèrent ça et là des particules blanchâtres, produits masculins d'une exaltation érotique désormais évacuée.

******
Deux jours plus tard, Laura retrouva Claudette dans leur salon de thé habituel.
- Alors, tu as récupéré ? demanda la première.
- Pas complètement. J'ai encore mal aux cuisses et au bide. C'est plus de notre âge, ces trucs-là.
- Arrête. Tu vas vieillir trop tôt. Tu as vu comme on les a fait bander, ces jeunots ?
- Oui, et nos maris aussi. Il y a longtemps que je n'avais pas vu Alex bander comme ça. Cocu et content.
- Figure-toi qu'Edgar m'a baisée hier soir, et pas mal du tout, je dois dire. Il m'a avoué que me voir baiser avec un autre a stimulé sa libido, qui était en sommeil.
- Alex m'a dit à peu près la même chose. Lui aussi a essayé hier soir mais je n'étais pas trop en forme et on a reporté. Mais c'est provisoire. Je ne vais pas lui refuser ça.
- Bon, et qu'est-ce qu'on fait maintenant ?
- On voit venir. Après tout, on ne s'attendait pas à nos galipettes de la piscine. Quelque chose me dit que le film n'est pas fini.
- Oui, c'est possible. Bon, je te quitte parce que j'ai rendez-vous chez l'esthéticienne pour me faire épiler.
- Moi, je vais me faire une séance de hammam, ça va me régénérer.
Et les deux amies se quittèrent afin de s'occuper de leur corps. Il l'avait bien mérité.

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