Le (faux) coup de la panne

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Le (faux) coup de la panne Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le (faux) coup de la panne
Micheline venait de recevoir un coup de fil de son fils qui l'inquiéta. Seul dans son studio de la région parisienne, il déprimait entre ses heures de travail. Aussi décida-t-elle de lui rendre visite pour lui remonter le moral. "C'est quand même un comble que j'en sois encore là alors qu'il a 27 ans", se disait-elle. Mais une mère reste une mère et elle était prête à délaisser deux ou trois jours sa maison du sud de la France pour quelques paroles bienfaisantes et quelques subsides supplémentaires.
L'ennuyeux était qu'on était en plein été et qu'elle devait accomplir le voyage le samedi, en plein rush vacancier. Les trains étaient complets, les voitures de location rares. Elle s'ouvrit de son souci à sa voisine Mylène, quinquagénaire comme elle et nantie elle aussi d'un fils vingtenaire, Cédric de son prénom, qui était un vieux copain de celui de Micheline.
Or, Mylène informa cette dernière que justement, Cédric devait lui aussi rejoindre la capitale afin d'accomplir un stage dans le cadre de ses études. Et il partait précisément le samedi en question.
- Je peux lui demander de t'emmener, proposa-t-elle à sa voisine.
- Ah, ce serait super, je partagerais les frais, assura celle-ci.
Quand Mylène informa Cédric de cette proposition, il ne fut guère emballé. Véhiculer la voisine tout un voyage alors qu'il se réjouissait à l'avance de sa solitude automobile lui apparut comme une corvée. C'est qu'elle est bavarde, la Micheline, se dit-il, elle va me saouler pendant tout le trajet.
Néanmoins, il pouvait difficilement refuser ce service. Il connaissait depuis longtemps la mère de son pote. Cette blonde potelée aux cheveux toujours coupés à la garçonne l'avait même fait fantasmer pendant son adolescence, surtout depuis qu'il l'avait vue bronzer nue du vasistas de son toit plongeant dans le domicile contigu. Combien de fois s'était-il branlé en pensant à elle. Mais enfin, tout ça, c'était du passé, il avait grandi et désormais, c'est les filles de vingt ans qui le faisaient rêver. Même s'il avait souvent du mal à "conclure". D'ailleurs, il venait de se rendre compte qu'il n'avait pas tiré son coup depuis trois mois. Et ça commençait à faire long.
Mais l'actualité, c'était ce voyage avec sa voisine. Il avait prévenu que le périple se déroulerait de nuit afin d'éviter autant que faire se pouvait les encombrements du samedi estival. Et pour mettre toutes les chances de son côté, il traverserait le Massif central par des routes secondaires afin d'éviter les autoroutes, toujours fréquentées même la nuit. Il avait espéré jusqu'au bout que son vieux break découragerait la voyageuse habituée au confort d'un gros SUV, mais en vain.

Et c'est ainsi qu'il la vit débouler sur le coup de 20h le vendredi soir avec son petit sac, toute pimpante, vêtue sommairement d'une mini jupe découvrant sans complexe la moitié de ses cuisses un peu trop fortes et d'un chemisier révélant le début d'un profond sillon mammaire qu'on devinait dégagé par un soutien-gorge pigeonnant. Cédric la trouva limite indécente mais c'était plus le problème de son mari que le sien.
Comme il le craignait, Micheline lui tint la conversation sans désemparer, passant d'un sujet à un autre, s'attardant sur le cas de son fils dont Cédric se fichait pas mal. Au moins, elle le tiendrait éveillé pendant le voyage, alors que la nuit commençait à tomber. Il abordait les contreforts du Massif central et il devrait bientôt traverser un secteur totalement dépourvu d'habitations. Il se délectait à l'avance de ces routes entourées de grands sapins, sombres et désertes. Et quand il les aborda, Micheline se laissa aller à un petit somme que le conducteur accueillit comme une bénédiction.

C'est alors qu'il entendit un petit bruit suspect venant du moteur. Un petit "clang" qui se mua petit à petit en bruit de quincaillerie, comme si on avait remué de la vaisselle métallique à l'intérieur du moteur. La vitesse baissa tout à coup. Ce n'était plus possible de continuer. Il s'arrêta sur le bas-côté au milieu d'une forêt de sapins. Micheline crut qu'il voulait pisser et s'apprêtait à son tour à poser culotte quand Cédric l'informa du dommage :- Je crois que nous sommes en panne.
- Ah bon ? C'est ennuyeux. On a l'air au milieu de nulle part. On pourrait téléphoner à l'assistance. Tu en as une au moins ?
- Oui mais il n'y a pas de réseau ici, j'ai essayé. On n'a plus qu'à faire du stop, à condition qu'il passe quelqu'un en pleine nuit et qu'il s'arrête. Ce n'est pas gagné.
Micheline semblait s'amuser de l'incident :- Tu ne me fais pas le coup de la panne, au moins ?
Cédric ne releva pas. Il répondit en actionnant le démarreur et le bruit de casserole parla pour lui. Micheline devint fataliste :- Bon eh bien on n'a plus qu'à attendre et espérer. En attendant, excuse-moi mais je vais faire pipi.

Une fois de retour, elle repartit dans sa loggorhée, évoqua des pannes anciennes avec son mari et autres aventures automobiles. Puis au bout d'un moment, elle dit :- Et si on sortait un peu prendre l'air au lieu de rester dans la bagnole ? Tu n'as qu'à mettre les warnings et si quelqu'un arrive, on l'entendra.
Cédric se rendit à son avis et ils marchèrent sur un sentier couvert d'épines de sapin. La nuit était magnifique, l'air doux alors que la canicule régnait plus bas. Micheline prit le bras de Cédric et une conversation plus intimiste commença. Elle lui demanda s'il avait une petite amie. Elle parla de son couple, "un peu trop bourgeois", reconnut-elle, et admit s'ennuyer souvent. Elle laissa même entendre que son corps n'intéressait plus son mari et qu'elle devait "aller voir ailleurs". Cédric fut surpris de cette confession mais n'épilogua pas et continua de l'écouter :
- Ce qui nous arrive, c'est un moment embêtant mais ça me sort de mon ronron, affirma-t-elle, enjouée. Cédric sentait son sein de plus en plus peser sur son flanc et ce contact charnel, imprévu, ne lui déplut pas. Ils finirent néanmoins par rejoindre la voiture.
- Je vais essayer de dormir, prête-moi ton épaule, lui dit-elle du siège passager.
Et de fait, elle sembla s'assoupir. Mais sa main reposait sur sa cuisse et elle exerça un léger mouvement en direction de sa braguette. Cédric se raidit. Y compris à l'intérieur de son pantalon. Micheline avait beau avoir deux fois son âge et être la mère de son pote, elle n'en était pas moins femme et le contexte, dans cette nuit noire à peine éclairée par la lune, était propice à l'aventure. A la suite d'un mouvement rampant, le doigt de Micheline se posa exactement sur le bout de son gland, avec une précision diabolique.
- Tu bandes, lui souffla-t-elle l'oreille.

Cédric ne pouvait guère démentir. Le doigt se fit plus pressant. La pine plus dure. Micheline se redressa :- Et si on faisait l'amour au lieu de rester ici à attendre dieu sait quoi comme deux idiots ? Au moins, ça nous occupera.
Et elle colla aussitôt ses lèvres sur les siennes, cherchant sa langue, la trouvant dans un baiser langoureux qui aurait pu être romantique si, dans le même temps, sa main ne s'était escrimée sur la braguette pour en dégager un pénis survitaminé qu'elle se mit à branler avec conviction. Sa bouche quitta ses lèvres pour rejoindre le gland qu'elle goba avec volupté avec une langue de velours qui plongea d'emblée Cédric dans un abime de félicité. Elle jouait avec sa salive et ses dents sur la peau fine, mettant le sucé à cran. Elle finit par s'interrompre avec cet argument : - J'ai envie de baiser. Mettons-nous à poil. On ne risque pas de nous surprendre ici.

Ils sortirent de la voiture et Micheline se débarrassa en se tortillant de sa mini jupe et de son slip, déboutonna son chemisier, libéra ses seins lourds du soutif et ôta même ses sandales. Elle était absolument nue et le clair de lune soulignait ses formes opulentes. Prenant l'initiative, elle ouvrit grand la porte arrière du break, poussa les bagages et s'assit au ras du pare choc :- Comme ça, si une voiture arrive, on la verra venir, se justifia-t-elle.
Cédric s'était présenté devant elle la queue à l'horizontale et elle la saisit entre deux doigts pour la sucer à nouveau, mais brièvement. Elle le guida vers sa fente et il la pénétra vigoureusement, la faisant crier sous les sapins, tandis qu'elle se renversait sur le dos et calait ses pieds sur les montants du coffre. La voiture trembla alors sur ses amortisseurs fatigués qui grincèrent comme un lit. Cédric cogna dur comme un type qui n'a pas eu de chatte depuis un bon moment et celle-ci était particulièrement souple et juteuse. Ecartelée, les mains crispées sur les bras de son jeune amant, Micheline poussa une série de cris rauques de femelle copieusement baisée, entrecoupés de "t'arrête pas" et de "encore" qui survoltèrent le jeune homme, totalement oublieux de l'âge de sa voluptueuse et ardente partenaire sexuelle dont il matait le corps lourd et mouvant sous le clair de lune. Une voiture serait apparue qu'il aurait poursuivi son travail de sape pour ne pas décevoir.

Puis Micheline fouilla dans son sac derrière elle et en sortit un miroir de courtoisie. Elle l'orienta vers les fesses de Cédric pour les regarder s'agiter et cette vision la fit japper de plaisir. Elle se mit en arc de cercle et jouit à faire envoler les chouettes. Cédric se retira prestement pour contenir son sperme et continua d'arborer une bite congestionnée. Pour une fois qu'il avait une partenaire enthousiasmée par sa queue, il n'allait pas la laisser tomber. Micheline, une fois qu'elle eut recouvré ses esprits, lui adressa un sourire reconnaissant avant de se retourner dans l'habitacle et de lui présenter son fessier joufflu, bien ouvert sur une vulve palpitante. Elle tourna la tête vers lui et lui dit dans un sourire :- Allez, sers-toi;Mains crispées sur ses hanches, il fit claquer la peau de son bas-ventre sur ses fesses, totalement enfoncé, tandis qu'elle venait le chercher à grands coups de cul. Il la récompensa en se penchant en avant et en allant chercher ses seins ballottants pour les pétrir, provoquant une nouvelle série d'exclamations de joie. La dame était sensible des mamelles. Il dut encore se retirer pour ne pas éjaculer et ils convinrent d'une brève pause, assis côte à côte au bord du coffre :- Il y a très longtemps qu'on ne pas aussi bien fait l'amour, lui souffla-t-elle en le bécotant. J'ai encore envie et toi aussi. C'est merveilleux. Je vais venir sur toi maintenant.
Allongé dans le coffre, le jambes à l'extérieur, il l'accueillit pine en l'air. Elle l'enfourcha sans hâte et lui offrit le spectacle, sous le plafonnier allumé, de ses seins lourds en bataille, de son petit ventre rond mouvant et de son visage rayonnant, tout près de lui à cause du plafond qui heurtait sa tête. Elle se mit à lui parler de sa bite, "bonne et dure", l'adjurant de durer encore un peu "tellement c'est bon". Lui-même était subjugué par cette femelle follement sexuelle, incomparablement plus jouissive que les minettes qui avaient fait auparavant son ordinaire. Qu'elle ait de la cellulite et des rides lui était totalement indifférent.
- Tu veux voir mon cul maintenant ? lui demanda-t-elle et s'immobilisant dans l'habitacle.
Oui, il voulait le voir. Elle prit alors une curieuse position, un peu de travers, un pied dehors et un autre dedans, supposément pour rendre la pénétration plus raboteuse, plus jouissive. Et sa croupe se mit à rouler, à louvoyer. Il l'accompagna en lui pétrissant les hémisphères. Il osa même glisser son pouce dans son anus, ce qui déclencha un "ouiiii" prometteur. Il comprit que s'il voulait la sodomiser, il ne recontrerait pas d'obstacle.

C'est alors qu'à quelques encablures, un trait lumineux apparut. Des phares. Une voiture arrivait. Micheline la vit en premier et se détacha vivement dans un bruit mouillé.
- Vite, habillons-nous, c'est notre chance.
Elle enfila sa mini jupe sans slip, boutonna sommairement son chemisier sans mettre son soutif tandis qu'il enfilait maladroitement son pantalon. La voiture arriva et Micheline fit de grands signes pour essayer de l'arrêter. Elle ralentit mais le chauffeur, invisible de l'extérieur, après avoir marqué un temps d'arrêt, redémarra sans égard pour le couple débraillé qui lui faisait des gestes. Cédric était encore torse nu, Micheline même pas chaussée, il y avait de quoi se poser des questions.
- Salaud ! cria Micheline en voyant la voiture s'éloigner. C'est un salaud ! Nous laisser tomber comme ça en pleine pampa. Salaud !
Cédric ne dit mot. Sa queue pointait encore dans son pantalon. Il n'avait toujours pas éjaculé. Ce refus ne tombait peut-être pas si mal.
Une fois calmée, Micheline devint fataliste.
- Bon, je crois qu'on est voués à passer la nuit ici. Qu'est-ce qu'on fait ? On essaie de dormir ?
Cédric répondit en l'enlaçant, collant son pénis contre le ventre charnu de la quinquagénaire.
- Tu as encore envie de moi, hein, petit cochon. C'est vrai qu'à cause de ce con, tu n'as pas pu jouir. Bon, d'accord, mais pas dans la voiture. Viens sous les arbres. De toute façon, il ne passera personne.
Micheline attrapa une couverture sur le siège arrière et le couple gagna le bois, en vue de la route néanmoins. Allongés sur la couverture, ils commencèrent à se bécoter et se peloter. Micheline entreprit une fellation avant de se relever et de dire, en s'appuyant sur un tronc d'arbre :- Prends-moi comme ça, debout, j'adore, ça me rappellera ma jeunesse.
Cédric releva la mini-jupe jusqu'à la taille, découvrant au clair de lune la croupe généreuse et nue puisque le slip gisait par terre à côté de la voiture. Fléchissant les jambes en raison de la différence de taille, il s'enfonça tandis que Micheline enlaçait le tronc en couinant. Le coït fut bref mais intense et une flaque de sperme dégoulina de la chatte de Micheline pour s'étaler sur les aiguilles de pin, Flageolante après ce nouvel orgasme, elle s'effondra sur la couverture, aussitôt rejointe par son jeune amant, auquel elle dit :- Tu m'auras vraiment tout fait. Merci la panne.
Puis le couple s'endormit sous les étoiles perçues à travers les cimes des arbres.
*****Au petit jour, un bruit se fit entendre de la route, que Cédric, réveillé en sursaut, identifia comme celui d'un tracteur. Vivement reculotté, il se précipita et eut juste le temps de héler le paysan qui passait par là. Après un bref conciliabule, il accepta de prendre la voiture en remorque jusqu'au bourg voisin. Une simple corde permit le tractage mais elle cassa deux fois, si bien que Micheline, pour alléger la voiture, fut obligée de monter sur le tracteur. Comme on était dimanche, le garage était fermé. Il fallait coucher sur place. Le bourg ne comportait qu'un seul hôtel. Une chambre était libre, avec un grand lit. L'hôtelier considéra avec circonspection ce duo. La mère et son fils ? La supposition fut validée sans vergogne par les clients. " A la guerre comme à la guerre, on est que de passage", éluda Micheline.

Ils tuèrent le temps en se promenant dans le bourg après avoir déjeuné mais une fois dans la chambre, l'envie de baiser les reprenait. Il fallait juste le faire un peu discrètement pour ne pas faire croire à un inceste. C'est en ces circonstances que Cédric fut initié par Micheline à la sodomie, dont elle avait perdu l'habitude. Elle poussa un cri de plaisir étouffé dans un oreiller tandis qu'il faisait claquer la peau de son ventre contre ses fesses. Pour ne pas faire trop grincer le lit fatigué, ils baisèrent par terre et dans la salle de bain. Cédric la prit aussi par derrière devant une armoire à glace géante. Il put vraiment la découvrir dans l'amour, plus nettement que dans la semi pénombre, se régaler de ses seins lourds balançant au rythme de ses coups de boutoir, de son visage déformé par le plaisir muet tandis qu'elle même le fixait, liant l'expression de ses yeux à l'activité de sa bite. Ils baisèrent aussi avant de dormir et au réveil car plus il baisaient et plus ils avaient envie de baiser. Micheline avait les yeux tellement cernés qu'on l'aurait crue victime de coups. Mais au fond d'elle-même, son corps avait rajeuni de vingt ans, comme si le sperme de Cédric était un elixir de jouvence.
Mais le lundi était arrivé et le garage, devant lequel le vieux break stationnait, était ouvert. Par une heureuse circonstance, la pièce défectueuse était en stock. La voiture fut réparée dans la matinée et le couple put reprendre son voyage jusqu'à la capitale.

La séparation fut tendre. Ils avaient trop joui réciproquement de leur corps pour qu'un lien fort ne fut pas né entre eux. Mais ils savaient l'un et l'autre que c'était circonstanciel parce qu'improbable. Micheline retrouva son fils, Cédric son stage. Elle savait que tôt ou tard, il reviendrait vers les filles de son âge. Et elle partagerait à nouveau le lit de son mari.
- Tu comptes revenir quand chez toi ? lui dit-elle néanmoins.
Cédric resta évasif. Cette relation sexuelle de voisinage pouvait s'avérer périlleuse. Tout se sait dans un village.
Néanmoins, il y a tout lieu de penser que cette relation aussi fortuite qu'inattendue a connu un prolongement furtif lors de la visite suivante de Cédric à ses parents. Une bite et une chatte ont souvent une mémoire envahissante.

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