Le calendrier des pompiers (5)

- Par l'auteur HDS Tounet39270 -
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Récit libertin : Le calendrier des pompiers (5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le calendrier des pompiers (5)
Chapitre 5

Il prend mon pantalon et prend ma main pour me faire passer dans une pièce que je n’avais pas encore vu. Trois mecs sont en train de s’embrasser et au sol se trouve un matelas. Il retire le reste de mes vêtements en me laissant le masque. Il me fait me mettre à quatre pattes et passe derrière moi. Il s’agenouille et vient me bouffer le cul. Je gémis à chaque coup de langue. Les trois mecs nous encerclent en se masturbant. Au bout de cinq minutes, Hugo se relève un peu et m’encule d’un coup sec ce qui provoque chez moi un cri de surprise. Les trois mecs se sont encore plus rapprochés mais cette fois-ci j’ai les trois queues devant mon visage. Je tourne la tête vers Hugo qui me fait oui de la tête. Pendant qu’il me pilonne, je commence à pomper chacun leur tour ces trois mecs. Je pense que mes cris de plaisir ont fait rameuter plusieurs mecs dans la petite pièce. Je ne sais pas combien il y en a mais cela m’excite de plus en plus. Tout en les suçant, je contemple chacune des bites. Il y en a des petites, des grosses, des épaisses. Je suce depuis une bonne vingtaine de minutes et Hugo me pilonne toujours. Une nouvelle bite se présente devant mon visage. Je la caresse, je lèche ses couilles et là un petit détail de rien du tout. A la base de son pénis, je vois un grain de beauté en forme de petit grain de café. Je connais ce grain de beauté. Je lève les yeux et là, j’ouvre la bouche de stupéfaction. Le mec pense que j’ouvre la bouche pour le sucer et il me plante sa bite en fond de gorge. Mais ce mec : ce mec n’est autre que….

Putain, c’est Arthur. Je ne dis rien, je me laisse baiser la bouche pour mon homme et mon amant me baise tout court. Je commence à avoir une larme au coin de l’œil tellement je ne comprends pas ce qu’il fait ici. Je gémis de plaisir malgré moi car Hugo me démonte comme il sait le faire mais c’est la première fois que je vois Arthur avec autant d’assurance. Mais pourquoi m’a-t-il menti ? Il éjacule enfin sur mon visage et je le vois partir. Je me redresse en obligeant Hugo de se retirer de mon cul et je me relève. Je m’habille en prenant soin de garder mon masque et je sors. Hugo, m’emboîte le pas et me rejoint dans la rue. Je lui dis :
-Partons d’ici tout de suite.
-Pourquoi ?
-S’il te plaît, partons immédiatement.
-Je te ramène chez toi ?
-Non. Ramène-moi chez toi pour une fois.
-Comme tu voudras.

Nous montons dans sa voiture et il démarre pour faire demi-tour plus loin sur la route. Nous repassons devant le bar et au moment où nous passons, je vois Arthur sortir. Il regarde la voiture passer et je me cache le visage avec mes mains. J’espère qu’il ne m’a pas vu ? Nous roulons et je ne dis rien. Hugo pose sa main sur mon genou mais je le repousse un peu. Puis là, je reçois un message d’Arthur : « Coucou mon cœur, tu fais quoi de beau ? Je pense bien à toi, je t’aime. » C’est là que je comprends qu’il n’est pas certains de m’avoir vu. Nous arrivons chez Hugo et là je découvre un appartement immense et luxueux. Je le regarde et il me dit :
-C’est une longue histoire mais toi d’abord, qu’est-ce qui t’es arrivé tout à l’heure ?
-C’est à cause du dernier mec que j’ai sucé.
-Qu’est-ce qu’il avait ce type ?
-C’est mon mec.
-Pffuuu, t’es sûr ?
-…
-Merde. Il t’a reconnu ?
-Je pense qu’il n’en est pas sûr.
-Comment ça tu penses ?
-Il m’a envoyé un message pour savoir ce que je faisais mais je n’ai pas répondu. Et je n’en ai pas envie pour le moment. Et toi alors, c’est quoi cet appart de malade ?

Il sourit et m’explique que ce sont ses parents qui lui ont offert cet appart quand il a décidé de quitter le nid. Ses parents ont beaucoup d’argent mais il n’aime pas en parler. Je souris à mon tour et je vais l’embrasser puis je lui dis :
-Fais moi oublier toute cette soirée s’il te plaît ?
-Avec plaisir mon beau.

Je lui saute de dessus et lui demande de me faire l’amour ce soir. Il m’embrasse et me porte jusque dans sa chambre. Il me dépose sur son lit et retire ses vêtements puis vient enlever les miens. Il vient ensuite s’installer entre mes cuisses. Il me regarde et je caresse son visage puis ses lèvres. Je frissonne en caressant sa peau si douce. Quand je passe la main sur sa joue, il tourne un peu la tête et ferme les yeux puis vient embrasser la paume de ma main. Il me sourit tendrement et vient déposer ses lèvres contre les miennes. Sa langue s’insère dans ma bouche et je crois que c’est le meilleur baiser que l’on m’a fait de tout ma petite vie. Ses lèvres descendent ensuite dans mon cou, puis sur mon torse. Il arrive au niveau de mon sexe déjà en érection et y dépose quelques baisers puis il lèche mon gland avant de le mettre en bouche. Mon bassin se relève légèrement quand il prend mon sexe entièrement. Ma main gauche caresse toujours mon torse tandis qu’il me branle tout en me suçant. Je sens son regard sur moi. Il relève ensuite mes jambes pour accéder à mon cul qu’il se met à dévorer. Qu’est-ce que c’est bon ? Je gémis comme si c’était la première fois que l’on me faisait ça. Je n’en peux plus, j’ai l’impression d’avoir un feu brûlant en moi. Il rentre ensuite deux doigts directement en moi et continue de me lécher le cul. Il rentre jusqu’à quatre doigts et hurle de bonheur. Je suis sur un petit nuage. Il pourrait faire ça tout la nuit que cela ne me déplairait pas. Il se redresse mais sa langue reste sur mon corps et remonte doucement jusqu’à mon cou puis revient dans ma bouche pour à nouveau m’embrasser. Il vient se placer derrière moi, relève ma jambe et prend son sexe en main qu’il appuie contre mon trou qui s’ouvre directement en le faisant rentrer comme dans du beurre. Je gémis en tournant la tête et il attrape ma tête de sa main pour venir à la rencontre de ma bouche et m’embrasser tout en commençant ses allers retours en moi. Je m’agrippe à ses fesses pour accentuer ses coups de reins de plus en plus intenses. Je crie, je hurle mon plaisir tout en le regardant droit dans les yeux. Je vais me tordre le cou à force de tourner la tête pour le regarder. Je le vois se mordre les lèvres et j’aime qu’il prenne son pied en moi. Il retire sa queue et me remet sur le dos. Il positionne son sexe et le rentre en moi avec douceur. Il soulève mes jambes sur ses épaules et il reprend ses vas et vient en moi. J’ai l’impression de ne faire plus qu’un avec lui. Je sens son souffle sur moi et je suis en extase. J’en ai la chair de poule. Je sens mon orgasme monté de plus en plus et là, je ne contrôle plus rien. J’éjacule sur mon ventre sans même me toucher. Il me regarde avec son sourire ravageur et je lui souris en retour mais il continue de me mettre de grands coups de reins. Il va de plus en plus vite et de plus en plus fort et je sens son orgasme monter rapidement. Puis, dans un dernier coup de rein, il ne dit juste que ses deux mots : « Oh Maël » en tremblant. Il se paralyse en moi et jouit en moi. Il s’écroule ensuite sur moi tout transpirant, essoufflé et tremblant. Je lui caresse le visage, les cheveux et nos regards se croisent à nouveau et dans un dernier petit effort, il vient déposer ses lèvres sur les miennes.
-Je suis bien avec toi, me dit-il.
-Moi aussi.
-Quittes-le alors.

Je ne sais pas quoi répondre à ça et je souris.
-Tu veux manger quelques choses ? me demande-t-il ?
-Oh oui je meurs de faim.
-Ok, détends-toi alors. Va t’installer sur le canapé, je t’apporte un verre de vin et je m’occupe du repas.
-Tu cuisines ?
-Ca m’arrive oui de temps en temps.

Je le suis et vais m’installer complètement nu sur son canapé dans son salon qui donne sur une grande cuisine ouverte. Il nous sert deux verres de vin blanc et m’apporte un verre et nous trinquons. Il repart en cuisine nous discutons de tout et de rien. Je lui parle même de ce qui s’est passé avec Pierre (l’élève que j’ai à l’internat) et cela l’émoustille un peu et me dit que ça pourrait être sympa de l’inviter un de ces quatre, ce qui m’a fait sourire. La soirée se passe tranquillement et il me demande s’il doit me raccompagner. Je lui demande si cela le dérange de me raccompagner demain matin. Je ne bosse pas demain mais lui doit reprendre le boulot à 5h. Il me propose donc de rester la matinée chez lui et qu’il viendra demain midi me raccompagner si cela me va. Je lui dis ok. Nous passons une superbe soirée où je ne pense pas à Arthur. A la fin du repas, nous allons prendre une douche et allons nous coucher. Il me prend dans ses bras et nous nous endormons.

Le lendemain matin, je me réveil et je découvre un petit mot sur son côté du lit : « Bonjour mon beau. J’espère que tu as bien dormi ? Je te dis à tout à l’heure et fais comme chez toi. Et je t’ai laissé un double des clés de l’appart si tu avais envie de sortir faire un tour. »
Je me lève, vais dans la cuisine me faire un café puis vais m’habiller. Je prends mon téléphone que je n’ai pas consulté depuis la veille et je vois des tonnes de messages d’Arthur qui me demande pourquoi je ne réponds pas ? Et aussi des dizaines d’appels de sa part. Je prends le double de la clé et je pars en direction d’un arrêt de bus pour rentrer chez moi. J’envoie un message à Hugo pour le prévenir et lui explique que je le rappelle plus tard en fin de journée.
Je rentre donc chez moi vers les 11h et j’attends avec impatience mais aussi avec appréhension le retour d’Arthur. En début d’après-midi, j’entends la porte de l’appart s’ouvrir et Arthur venir vers moi m’embrasser. Je reste assez froid et il me dit :
-Pourquoi tu ne m’as pas répondu hier soir mon cœur ? Ça ne va pas ?
-Tu sais très bien pourquoi je n’ai pas répondu. Eh oui c’est bien moi que tu as aperçu.
-Je le savais bien. Tu étais avec qui ?
-Attends, tu ne vas quand même pas me faire une crise de jalousie ? C’est plutôt moi qui devrais te demander depuis quand tu me mens et surtout depuis quand tu vas baiser ailleurs dans des orgies ?
-Comment, …. Comment tu sais ça ?
-Eh bien, tu vois j’en avais marre d’attendre depuis des mois et des mois qu’il se passe quelque chose entre nous. Je t’aime mais je t’en ai déjà parlé depuis longtemps.
-Oui je sais tout ça mais comment tu sais ce que j’ai fait hier soir ?
-Eh bien le mec dont tu baisais la gueule hier soir et qui se faisait enculer en même temps, figures toi qu’on le connait tous les deux.
-Putain de bordel de merde. C’était qui ce batard ?
-T’es vraiment con ou quoi ? C’étais moi. C’est moi l’enculé, J’étais celui que tu as baisé la gueule hier soir.
- …
-Tu aimes le sexe mais apparemment pas avec moi. Pourquoi, tu ne m’en as jamais parlé ? Et depuis quand ça dure ?
-J’ai toujours été comme ça mais j’avais honte de t’en parler. Eh bien tu aurais dû. Je n’ai plus confiance en toi. Je veux…
-Tu veux quoi ? me dit-il avec les larmes aux yeux.
-C’est fini. Je suis désolé mais je n’ai plus confiance.

Je me suis levé et je suis sorti de l’appartement malgré le fait qu’il essayait de me parler. J’ai déambulé dans les rues ne sachant pas quoi faire. Arthur n’a pas arrêté d’essayer de m’appeler et de m’envoyer des messages auxquels je n’ai pas répondu. Vers 17h, comme promis, j’ai appelé Hugo en lui expliquant ce qu’il s’était passé et tout de suite sa réponse a été vient dormir à la maison. J’avais beau refusé car je ne l’avais pas appelé pour ça qu’il insistait. Je suis rentré chez moi prendre quelques affaires et heureusement Arthur n’était pas là. Puis, je suis parti rejoindre Hugo. Il n’était pas encore rentré chez lui alors c’est moi qui me suis mis à cuisiner pour le remercier. J’avais repéré une petite épicerie en bas de chez lui donc c’était assez pratique. Il est rentré vers 20h et je m’étais assoupis sur le canapé. Il s’est approché de moi et est venu me déposer un baiser sur les lèvres ce qui m’a réveillé en sursaut.
-Coucou toi. Je suis content que tu sois là.
-Bonjour toi et encore merci de m’accueillir mais tu n’étais pas obligé tu sais.

Il est venu m’embrasser à nouveau. Je l’attrape par le cou et le fais basculer sur moi. Je lui dégrafe son jean et lui baisse jusqu’aux genoux avec son boxer. Ça n’a pas l’air de lui déplaire car sa queue se met à bander rapidement. Je suis toujours assis sur le canapé et lui retire son jean et son caleçon et se met debout devant moi en me présentant sa queue. J’ouvre la bouche et là, il me la met jusqu’au fond de la gorge et commence à me pilonner bien fort. Il me baise littéralement la bouche pendant dix minutes avant d’éjaculer tout son jus que j’avale immédiatement. Il se pose à côté de moi en posant sa tête sur mon épaule.
-Ca fait un bien fou de se faire pomper en rentrant du taf.

Je le regarde et nous nous marrons comme deux gosses. Nous allons manger sans qu’il prenne le temps de se rhabiller. Il me demande si demain je bosse et si je bosse de nuit aussi ce à quoi je réponds par l’affirmative à sa première demande mais que le soir je serai là. C’est là qu’il me demande une chose incroyable :
-Et si tu demandais à ton interne de venir passer un après-midi ici ?
-Pour quoi faire ?
-D’après toi ?
-Ben écoutes, je vais voir demain si je peux essayer de lui en parler.

La soirée passe vite. Hugo est crevé et nous allons nous mettre au lit de bonne heure sans oublier de baiser. Il ne s’arrête jamais et ce n’est pas pour me déplaire.

Le lendemain matin, je me lève doucement mais il se réveille pour m’embrasser et soulever la couverture.
-Une petite gâterie avant ton départ ?

Je rigole et me penche sur sa queue que je suce avec gourmandise. En peu de temps, je n’ai jamais autant baiser qu’avec lui. Il croise les mains derrière la tête et se laisse aller pendant que je lèche sa queue de bas en haut. Je lui gobe ses grosses couilles en lui caressant et titillant les tétons avec ma main. Je m’amuse avec ma langue sur son gland qui commence à perler de plus en plus de son pré sperme que j’avale avec gourmandise puis c’est l’extase, il déverse tout son jus dans ma bouche. J’avale mais j’en garde une partie dans ma bouche et je vais ensuite lui rouler une pelle. Il avale ce que je lui donne. Je retire ma bouche de la sienne et il me dit :
-Tu paies rien pour attendre ?

Et il se met à rire puis retourne sous les couvertures. Je pars au travail. J’ai de la chance car il ne vit pas loin. Je suis à dix minutes en voiture. La matinée se passe et le midi, je surveille l’entrée du self quand je vois Pierre et ses potes passer près de moi. J’interpelle Pierre qui me lance un regard des plus noir et me lance :
-Qu’est-ce qu’il y a ?
-Après le repas, tu pourrais venir me voir deux minutes s’il te plaît ?
-Qu’est-ce que j’ai fait ?
-Rien, mais j’ai quelque chose à te demander. Mais avant 13h30 car je pars juste après.

Ses potes le regardent en rigolant et il me dit juste ok et part manger. Vers 13h, je vois Pierre s’avancer vers moi et me demander ce que j’ai. Je lui dis de me suivre et l’emmène dans une des salles d’étude vide.
-Bon, c’est quoi le problème ?
-Y’en a pas. Tu veux encore me baiser ?
-Putain, mais grave ouai.
-Y’a-t-il un après-midi où tu serais dispo comme le mercredi ?
-Mercredi pas possible. Mais cet aprem ouai je peux. J’ai qu’une heure de cours mais je peux la sécher.
-Non, tu ne sèches pas les cours.
-J’en ai rien à faire. C’est cours d’allemand et je déteste ça.
-Je ne suis pas ok avec ça mais bon. Files moi un papier et un stylo s’il te plaît.

Il me sort un de ces cahier et un crayon et je note l’adresse d’Hugo dessus. Je lui explique aussi que je ne serai pas seul et qu’ils seraient deux à me baiser. Il à son sourire de carnassier et se barre de la salle d’étude. J’envoie un sms à Hugo pour le prévenir et il me répond immédiatement : « Putain, on va passer un sacré bon moment. A tout à l’heure mon beau. » Il termine avec un petit smiley cœur et je me mets à sourire.

Fin du chapitre 5.

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