Le calendrier des pompiers (6 et fin)
Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le calendrier des pompiers (6 et fin)
Chapitre 6
Ses potes le regardent en rigolant et il me dit juste ok et part manger. Vers 13h, je vois Pierre s’avancer vers moi et me demander ce que j’ai. Je lui dis de me suivre et l’emmène dans une des salles d’étude vide.
-Bon, c’est quoi le problème ?
-Y’en a pas. Tu veux encore me baiser ?
-Putain, mais grave ouai.
-Y’a-t-il un après-midi où tu serais dispo comme le mercredi ?
-Mercredi pas possible. Mais cet aprem ouai je peux. J’ai qu’une heure de cours mais je peux la sécher.
-Non, tu ne sèches pas les cours.
-J’en ai rien à faire. C’est cours d’allemand et je déteste ça.
-Je ne suis pas ok avec ça mais bon. File-moi un papier et un stylo s’il te plaît.
Il me sort un de ces cahier et un crayon et je note l’adresse d’Hugo dessus. Je lui explique aussi que je ne serai pas seul et qu’ils seraient deux à me baiser. Il à son sourire de carnassier et se barre de la salle d’étude. J’envoie un sms à Hugo pour le prévenir et il me répond immédiatement : « Putain, on va passer un sacré bon moment. A tout à l’heure mon beau. » Il termine avec un petit smiley cœur et je me mets à sourire.
Je termine de travailler puis je me dépêche de rentrer chez Hugo. J’ouvre la porte et il est là à m’attendre. Il me colle contre la porte et me roule une galoche comme jamais. Je pars me laver et il me rejoint sous la douche. Nous nous embrassons avec fougue. Nous sortons de la douche avec une putain d’érection mais nous ne faisons rien à part nous embrasser sans cesse. Il est assis sur son fauteuil et je suis assis sur lui. Il est 15h10 et l’interphone sonne. Hugo va répondre et c’est bien Pierre. Il demande si c’est bien là que se trouve Maël et Hugo lui répond que oui et le fait rentrer. Quelques secondes plus tard, il frappe à la porte et Maël lui ouvre. Je n’ai jamais vu Pierre dans un état pareil. Il a l’air tout timide et lorsqu’il me voit, il me fait un tout petit sourire. C’est là qu’Hugo lui sort :
-T’avais plutôt l’air très entreprenant à ce que me racontait Maël ? Là, tu as l’air tout coincé ! Relax, tout va bien, on ne va pas te manger. Bien au contraire.
-Désolé m’sieur.
-Appelles moi Hugo, monsieur, ça fait vieux. Je n’ai que 31 ans.
-Ok, pas de soucis.
-Tu veux boire quelque chose ?
-Juste de l’eau si vous, euh, si tu as ?
-Je t’apportes ça tout de suite, vas t’installer vers ton surveillant, dit-il en se fendant la poire.
Pierre s’approche et s’assoit à côté de moi. Il me regarde et je lui souris. Hugo lui apporte son verre d’eau qu’il boit d’une traite. Hugo prend ensuite les choses en main en venant vers moi et me roulant une pelle directement. Il me fait me lever et me prend la main en disant à Pierre de nous suivre jusqu’à la chambre. Nous arrivons et Hugo explique à Pierre de se mettre à l’aise. Il s’approche ensuite de moi et me déshabille. Je fais pareil avec lui et Pierre nous matte en s’asseyant sur le rebord du lit. Il est encore un peu coincé mais j’aperçois sa bosse sous son jean. Je m’agenouille et commence à sucer Hugo tout en le branlant. Puis, il attrape mes cheveux et commence à me pilonner la bouche. Il va tellement fort car je le sens très excité que j’en bave. Ses couilles frappent mon menton et on entend les blops blops de sa queue tapant dans ma gorge avec le bruit de la salive. J’arrive à jeter un coup d’œil vers Pierre qui se frotte la queue par-dessus son jean sans oser la sortir. Au bout de cinq minutes, Hugo me relève et me dit de me mettre sur le lit en cambrant le cul. Il se place derrière moi et commence à me bouffer le cul. Pendant ce temps-là, je regarde droit dans les yeux Pierre et lui fais signe de se rapprocher de moi ce qu’il fait. Je lui fais descendre jean et boxer ce qu’il fait en se déshabillant à toute vitesse. Il s’assoit devant moi en écartant les cuisses et je prends sa queue en main. Je gobe ses couilles avec gourmandise et je le regarde droit dans les yeux. Je passe ma langue sur toute la longueur de sa queue tout en couinant de plaisir des coups de langue qu’Hugo me prodigue. A chaque gorge profonde que je fais à Pierre, je l’entends dire : « Putain, ouai, vas-y comme ça, c’est trop bon ». Enfin, il commence à se lâcher. Je sens les doigts d’Hugo commencer à entrer puis sortir de plus en plus vite de mon cul et je retire la bite de Pierre de ma bouche pour hurler de plaisir. Pierre attrape ma tête et replante sa queue bien à fond et commence à faire des vas et viens dedans. Hugo lui retire ses doigts et sans même prendre son temps m’encule d’un coup fort et sec. Je hurle avec la queue de Pierre dans la bouche et mon amant me défonce le cul littéralement. Hugo me défonce pendant plus de dix minutes puis se retire en me claquant le cul. Je remonte doucement au-dessus de Pierre et viens placer mon cul sur sa queue dressée. Une fois dessus, il attrape mes fesses en les écartant, relève légèrement ses jambes et se met en mode marteau piqueur. Hugo, se met au-dessus de sa tête et place sa queue devant ma bouche que j’ouvre en grand. Je crie, je hurle de plaisir. Je suis en transpiration tellement ces deux mâles me défoncent de tous les côtés mais je ne suis pas le seul. Hugo se retire puis vient me lécher le cul et par la même occasion la bite de Pierre qui grogne en sentant la chaleur de cette langue. Il va ensuite s’installer à côté de Pierre et me regarde droit dans les yeux, comme s’il était fier de moi ce qui intensifie mon excitation. Il me caresse le torse tout en se branlant. Il me fait comprendre de changer de partenaire. Mes jambes tremblent mais je viens m’installer sur la queue de mon beau pompier. Pierre nous regarde avec des yeux bien ronds et se redresse et vient se placer derrière moi. Il me titille l’anus avec son gland et tapote sa queue sur les couilles d’Hugo qui est surprit sur le moment. Sa queue se place contre celle d’Hugo. Mon pompier se stoppe et attends un peu. Pierre fait glisser tout doucement son gland en moi avec celle d’Hugo et lentement, il rentre sa queue. Ma respiration se stoppe le temps de m’habituer à ses deux grosses queues en moi et Hugo attrape ma tête en s’empresse de m’embrasser en levant sa main avec son pouce en l’air pour faire comprendre à Pierre qu’il peut commencer à me donner des coups de rien. Cette fois-ci, Pierre est moins brusque dans ses coups de queue puis Hugo lui aussi commence à bouger. Mon corps se retrouve collé aux deux autres. Je sens que nous sommes tous les trois en trans et l’orgasme monte de plus en plus. Ma tête se renverse en arrière sur l’épaule de Pierre et dans un hurlement de plaisir et sous les frottements de ma queue contre le ventre d’Hugo, je me mets à éjaculer des litres de foutre. Mon sphincter se contracte et dans un même temps, mes deux amants éjaculent en moi. Je sens cette chaleur m’envahir de tout l’intérieur. Pierre se retire et s’allonge ensuite à côté de nous et une partie du jus coule en dehors de mon cul. Je laisse la queue d’Hugo en moi et je l’embrasse avec fougue. Pierre nous regarde et se rapproche de nous tout doucement. J’attrape son visage et je l’embrasse à mon tour. Hugo se joint à nous et c’est un baiser à trois langues que nous formons. J’essaie de me redresser mais je m’écroule sur le ventre entre les deux. Hugo me caresse le cul et introduit plusieurs doigts en moi et en ressort avec du jus qu’il vient me mettre à la bouche. Je suce ses doigts un à un avec gourmandise. Je tourne la tête vers Pierre qui me regarde de la tête au pied. Je pose ma main sur son torse et je le caresse doucement. Il ferme les yeux, je me rapproche et lui dépose un baiser sur ses tétons puis attrape sa queue que j’engloutis pour la nettoyer. Il se redresse un peu et m’embrasse. Puis je fais la même chose sur Hugo qui m’embrasse lui aussi.
Pierre attrape son téléphone et se lève d’un coup pour s’habiller.
-Il y a un problème, lui dis-je ?
-Putain ouai, il est 17h passé et j’ai raté mon dernier bus pour rentrer au bahut.
-Merde. Ben écoute, je m’habille et je te dépose si tu veux ?
-Ouai, ça serait super cool de ta part.
-Ca ne te dérange pas si je fais l’aller-retour pour le déposer ?
-Pas du tout vu que je vous accompagne tous les deux. Avec tous ce qu’on t’a mis, je ne suis pas sûr que tu tiennes bien sur tes jambes.
-T’es con, allé, lèves ton cul et habilles toi.
Nous nous habillons et effectivement, j’ai beaucoup de mal à marcher et nous raccompagnons Pierre et pendant le trajet, je pose ma main sur la jambe d’Hugo que je caresse tout en remontant au niveau de sa queue que je commence à malaxer. Pierre n’en perd pas une seule miette et décide de se rapprocher sur son siège pour voir de plus près.
-Putain, mais t’es trop un chaud du slip Maël. J’aurais jamais pensé ça de toi.
-Et encore, tu n’as pas tout vu, dit Hugo.
Je me retourne vers Pierre et attrape son visage pour lui rouler une pelle et je lui dis :
-On remet ça quand tu veux.
-Putain mais je suis grave chaud ouai.
Nous arrivons près du lycée et décidons de le laisser un peu plus loin pour ne pas se faire remarquer. Hugo se gare sur un parking un peu à l’écart. Il fait nuit donc, personne pour nous voir. Pierre sort de la voiture et au moment de passer à mon niveau, j’ouvre ma portière et le stop. Il me regarde et me dit :
-Y’a un problème ?
-Non, pas du tout mais approches par là.
-Pour quoi faire ?
-Approches je te dis.
Il s’approche de moi et je le choppe au niveau de l’entre-jambe. Je sens que notre petit manège dans la voiture ne l’a pas laissé de marbre. Sa queue est bien raide. J’ouvre les boutons de son jean et passe ma main sous son boxer pour libérer sa queue et ses couilles encore lourdes malgré le fait qu’il s’est bien vidé en moi quelques temps plus tôt. Hugo me regarde faire avec un grand sourire et il sort sa queue pour se branler de son côté. Je pose mes lèvres sur cette bite bien dure et je commence à le pomper avec vigueur.
-Putain, mais t’es vraiment une bonne chienne à jus Maël.
Je ne réponds pas et m’applique sur sa queue. Il pilonne ma bouche et ne met pas longtemps à se vider au fond de ma gorge. Je suce encore un peu et le lèche une dernière fois avant qu’il remballe son matos avec un large sourire. Il se retourne une dernière fois pour nous faire signe. Hugo m’embrasse comme jamais et il me fait un signe de tête pour me faire comprendre que maintenant c’est à son tour. Je souris et me penche vers sa bite que je suce mais cette fois-ci en prenant mon temps. Je lèche ses couilles, sa queue et son gland. Il recule son dossier et me laisse faire. Je suce, je gobe, je lui fais des gorges profondes et je le branle aussi. Je sens ses couilles se contracter et je prends son sexe en fond de gorge pour qu’il me nourrisse à son tour de sa semence chaude. Je m’en délecte et n’en laisse pas une seule goutte. Je prends ensuite sa queue que je replace au chaud dans son caleçon et referme son jean.
Nous reprenons la route et commençons à discuter de tout ce qui vient de se passer et en rigolons. Quand tout à coup, un chauffard grille le stop sur notre côté et nous percute de plein fouet. La voiture fait des tonneaux sur le côté et nous finissons la tête à l’envers dans la voiture. Je ne comprends pas ce qui se passe, tourne la tête et vois Hugo inconscient. Et là, plus rien, je sombre moi aussi.
Je me réveille en sursautant et en criant. Je crie bien fort le prénom de Hugo. Je suis tout tremblant, en sueur et je regarde autour de moi. Je ne comprends plus rien. Je me retrouve dans mon appart. L’appart que je partage avec Arthur et je me dis : « c’est quoi ce putain de bordel ? » Je ne comprends plus ce qui se passe et je me mets à pleurer sans aucune raison. Il est 10h du matin et je me mets à faire les 100 pas dans l’appartement quand on frappe à la porte.
Je pars ouvrir et en ouvrant je le vois. Oui c’est bien lui et il est toujours vivant et c’est là que je comprends tout. Tout ce qui s’est passé n’était qu’un rêve. UN PUTAIN DE REVE !
Je le regarde et lui dit :
-Hugo ?
Il reste surpris et me dit « Oui, comment vous le savez ».
Je le regarde avec un grand sourire qu’il me rend et je lui dis :
-Entrez.
Fin
Ses potes le regardent en rigolant et il me dit juste ok et part manger. Vers 13h, je vois Pierre s’avancer vers moi et me demander ce que j’ai. Je lui dis de me suivre et l’emmène dans une des salles d’étude vide.
-Bon, c’est quoi le problème ?
-Y’en a pas. Tu veux encore me baiser ?
-Putain, mais grave ouai.
-Y’a-t-il un après-midi où tu serais dispo comme le mercredi ?
-Mercredi pas possible. Mais cet aprem ouai je peux. J’ai qu’une heure de cours mais je peux la sécher.
-Non, tu ne sèches pas les cours.
-J’en ai rien à faire. C’est cours d’allemand et je déteste ça.
-Je ne suis pas ok avec ça mais bon. File-moi un papier et un stylo s’il te plaît.
Il me sort un de ces cahier et un crayon et je note l’adresse d’Hugo dessus. Je lui explique aussi que je ne serai pas seul et qu’ils seraient deux à me baiser. Il à son sourire de carnassier et se barre de la salle d’étude. J’envoie un sms à Hugo pour le prévenir et il me répond immédiatement : « Putain, on va passer un sacré bon moment. A tout à l’heure mon beau. » Il termine avec un petit smiley cœur et je me mets à sourire.
Je termine de travailler puis je me dépêche de rentrer chez Hugo. J’ouvre la porte et il est là à m’attendre. Il me colle contre la porte et me roule une galoche comme jamais. Je pars me laver et il me rejoint sous la douche. Nous nous embrassons avec fougue. Nous sortons de la douche avec une putain d’érection mais nous ne faisons rien à part nous embrasser sans cesse. Il est assis sur son fauteuil et je suis assis sur lui. Il est 15h10 et l’interphone sonne. Hugo va répondre et c’est bien Pierre. Il demande si c’est bien là que se trouve Maël et Hugo lui répond que oui et le fait rentrer. Quelques secondes plus tard, il frappe à la porte et Maël lui ouvre. Je n’ai jamais vu Pierre dans un état pareil. Il a l’air tout timide et lorsqu’il me voit, il me fait un tout petit sourire. C’est là qu’Hugo lui sort :
-T’avais plutôt l’air très entreprenant à ce que me racontait Maël ? Là, tu as l’air tout coincé ! Relax, tout va bien, on ne va pas te manger. Bien au contraire.
-Désolé m’sieur.
-Appelles moi Hugo, monsieur, ça fait vieux. Je n’ai que 31 ans.
-Ok, pas de soucis.
-Tu veux boire quelque chose ?
-Juste de l’eau si vous, euh, si tu as ?
-Je t’apportes ça tout de suite, vas t’installer vers ton surveillant, dit-il en se fendant la poire.
Pierre s’approche et s’assoit à côté de moi. Il me regarde et je lui souris. Hugo lui apporte son verre d’eau qu’il boit d’une traite. Hugo prend ensuite les choses en main en venant vers moi et me roulant une pelle directement. Il me fait me lever et me prend la main en disant à Pierre de nous suivre jusqu’à la chambre. Nous arrivons et Hugo explique à Pierre de se mettre à l’aise. Il s’approche ensuite de moi et me déshabille. Je fais pareil avec lui et Pierre nous matte en s’asseyant sur le rebord du lit. Il est encore un peu coincé mais j’aperçois sa bosse sous son jean. Je m’agenouille et commence à sucer Hugo tout en le branlant. Puis, il attrape mes cheveux et commence à me pilonner la bouche. Il va tellement fort car je le sens très excité que j’en bave. Ses couilles frappent mon menton et on entend les blops blops de sa queue tapant dans ma gorge avec le bruit de la salive. J’arrive à jeter un coup d’œil vers Pierre qui se frotte la queue par-dessus son jean sans oser la sortir. Au bout de cinq minutes, Hugo me relève et me dit de me mettre sur le lit en cambrant le cul. Il se place derrière moi et commence à me bouffer le cul. Pendant ce temps-là, je regarde droit dans les yeux Pierre et lui fais signe de se rapprocher de moi ce qu’il fait. Je lui fais descendre jean et boxer ce qu’il fait en se déshabillant à toute vitesse. Il s’assoit devant moi en écartant les cuisses et je prends sa queue en main. Je gobe ses couilles avec gourmandise et je le regarde droit dans les yeux. Je passe ma langue sur toute la longueur de sa queue tout en couinant de plaisir des coups de langue qu’Hugo me prodigue. A chaque gorge profonde que je fais à Pierre, je l’entends dire : « Putain, ouai, vas-y comme ça, c’est trop bon ». Enfin, il commence à se lâcher. Je sens les doigts d’Hugo commencer à entrer puis sortir de plus en plus vite de mon cul et je retire la bite de Pierre de ma bouche pour hurler de plaisir. Pierre attrape ma tête et replante sa queue bien à fond et commence à faire des vas et viens dedans. Hugo lui retire ses doigts et sans même prendre son temps m’encule d’un coup fort et sec. Je hurle avec la queue de Pierre dans la bouche et mon amant me défonce le cul littéralement. Hugo me défonce pendant plus de dix minutes puis se retire en me claquant le cul. Je remonte doucement au-dessus de Pierre et viens placer mon cul sur sa queue dressée. Une fois dessus, il attrape mes fesses en les écartant, relève légèrement ses jambes et se met en mode marteau piqueur. Hugo, se met au-dessus de sa tête et place sa queue devant ma bouche que j’ouvre en grand. Je crie, je hurle de plaisir. Je suis en transpiration tellement ces deux mâles me défoncent de tous les côtés mais je ne suis pas le seul. Hugo se retire puis vient me lécher le cul et par la même occasion la bite de Pierre qui grogne en sentant la chaleur de cette langue. Il va ensuite s’installer à côté de Pierre et me regarde droit dans les yeux, comme s’il était fier de moi ce qui intensifie mon excitation. Il me caresse le torse tout en se branlant. Il me fait comprendre de changer de partenaire. Mes jambes tremblent mais je viens m’installer sur la queue de mon beau pompier. Pierre nous regarde avec des yeux bien ronds et se redresse et vient se placer derrière moi. Il me titille l’anus avec son gland et tapote sa queue sur les couilles d’Hugo qui est surprit sur le moment. Sa queue se place contre celle d’Hugo. Mon pompier se stoppe et attends un peu. Pierre fait glisser tout doucement son gland en moi avec celle d’Hugo et lentement, il rentre sa queue. Ma respiration se stoppe le temps de m’habituer à ses deux grosses queues en moi et Hugo attrape ma tête en s’empresse de m’embrasser en levant sa main avec son pouce en l’air pour faire comprendre à Pierre qu’il peut commencer à me donner des coups de rien. Cette fois-ci, Pierre est moins brusque dans ses coups de queue puis Hugo lui aussi commence à bouger. Mon corps se retrouve collé aux deux autres. Je sens que nous sommes tous les trois en trans et l’orgasme monte de plus en plus. Ma tête se renverse en arrière sur l’épaule de Pierre et dans un hurlement de plaisir et sous les frottements de ma queue contre le ventre d’Hugo, je me mets à éjaculer des litres de foutre. Mon sphincter se contracte et dans un même temps, mes deux amants éjaculent en moi. Je sens cette chaleur m’envahir de tout l’intérieur. Pierre se retire et s’allonge ensuite à côté de nous et une partie du jus coule en dehors de mon cul. Je laisse la queue d’Hugo en moi et je l’embrasse avec fougue. Pierre nous regarde et se rapproche de nous tout doucement. J’attrape son visage et je l’embrasse à mon tour. Hugo se joint à nous et c’est un baiser à trois langues que nous formons. J’essaie de me redresser mais je m’écroule sur le ventre entre les deux. Hugo me caresse le cul et introduit plusieurs doigts en moi et en ressort avec du jus qu’il vient me mettre à la bouche. Je suce ses doigts un à un avec gourmandise. Je tourne la tête vers Pierre qui me regarde de la tête au pied. Je pose ma main sur son torse et je le caresse doucement. Il ferme les yeux, je me rapproche et lui dépose un baiser sur ses tétons puis attrape sa queue que j’engloutis pour la nettoyer. Il se redresse un peu et m’embrasse. Puis je fais la même chose sur Hugo qui m’embrasse lui aussi.
Pierre attrape son téléphone et se lève d’un coup pour s’habiller.
-Il y a un problème, lui dis-je ?
-Putain ouai, il est 17h passé et j’ai raté mon dernier bus pour rentrer au bahut.
-Merde. Ben écoute, je m’habille et je te dépose si tu veux ?
-Ouai, ça serait super cool de ta part.
-Ca ne te dérange pas si je fais l’aller-retour pour le déposer ?
-Pas du tout vu que je vous accompagne tous les deux. Avec tous ce qu’on t’a mis, je ne suis pas sûr que tu tiennes bien sur tes jambes.
-T’es con, allé, lèves ton cul et habilles toi.
Nous nous habillons et effectivement, j’ai beaucoup de mal à marcher et nous raccompagnons Pierre et pendant le trajet, je pose ma main sur la jambe d’Hugo que je caresse tout en remontant au niveau de sa queue que je commence à malaxer. Pierre n’en perd pas une seule miette et décide de se rapprocher sur son siège pour voir de plus près.
-Putain, mais t’es trop un chaud du slip Maël. J’aurais jamais pensé ça de toi.
-Et encore, tu n’as pas tout vu, dit Hugo.
Je me retourne vers Pierre et attrape son visage pour lui rouler une pelle et je lui dis :
-On remet ça quand tu veux.
-Putain mais je suis grave chaud ouai.
Nous arrivons près du lycée et décidons de le laisser un peu plus loin pour ne pas se faire remarquer. Hugo se gare sur un parking un peu à l’écart. Il fait nuit donc, personne pour nous voir. Pierre sort de la voiture et au moment de passer à mon niveau, j’ouvre ma portière et le stop. Il me regarde et me dit :
-Y’a un problème ?
-Non, pas du tout mais approches par là.
-Pour quoi faire ?
-Approches je te dis.
Il s’approche de moi et je le choppe au niveau de l’entre-jambe. Je sens que notre petit manège dans la voiture ne l’a pas laissé de marbre. Sa queue est bien raide. J’ouvre les boutons de son jean et passe ma main sous son boxer pour libérer sa queue et ses couilles encore lourdes malgré le fait qu’il s’est bien vidé en moi quelques temps plus tôt. Hugo me regarde faire avec un grand sourire et il sort sa queue pour se branler de son côté. Je pose mes lèvres sur cette bite bien dure et je commence à le pomper avec vigueur.
-Putain, mais t’es vraiment une bonne chienne à jus Maël.
Je ne réponds pas et m’applique sur sa queue. Il pilonne ma bouche et ne met pas longtemps à se vider au fond de ma gorge. Je suce encore un peu et le lèche une dernière fois avant qu’il remballe son matos avec un large sourire. Il se retourne une dernière fois pour nous faire signe. Hugo m’embrasse comme jamais et il me fait un signe de tête pour me faire comprendre que maintenant c’est à son tour. Je souris et me penche vers sa bite que je suce mais cette fois-ci en prenant mon temps. Je lèche ses couilles, sa queue et son gland. Il recule son dossier et me laisse faire. Je suce, je gobe, je lui fais des gorges profondes et je le branle aussi. Je sens ses couilles se contracter et je prends son sexe en fond de gorge pour qu’il me nourrisse à son tour de sa semence chaude. Je m’en délecte et n’en laisse pas une seule goutte. Je prends ensuite sa queue que je replace au chaud dans son caleçon et referme son jean.
Nous reprenons la route et commençons à discuter de tout ce qui vient de se passer et en rigolons. Quand tout à coup, un chauffard grille le stop sur notre côté et nous percute de plein fouet. La voiture fait des tonneaux sur le côté et nous finissons la tête à l’envers dans la voiture. Je ne comprends pas ce qui se passe, tourne la tête et vois Hugo inconscient. Et là, plus rien, je sombre moi aussi.
Je me réveille en sursautant et en criant. Je crie bien fort le prénom de Hugo. Je suis tout tremblant, en sueur et je regarde autour de moi. Je ne comprends plus rien. Je me retrouve dans mon appart. L’appart que je partage avec Arthur et je me dis : « c’est quoi ce putain de bordel ? » Je ne comprends plus ce qui se passe et je me mets à pleurer sans aucune raison. Il est 10h du matin et je me mets à faire les 100 pas dans l’appartement quand on frappe à la porte.
Je pars ouvrir et en ouvrant je le vois. Oui c’est bien lui et il est toujours vivant et c’est là que je comprends tout. Tout ce qui s’est passé n’était qu’un rêve. UN PUTAIN DE REVE !
Je le regarde et lui dit :
-Hugo ?
Il reste surpris et me dit « Oui, comment vous le savez ».
Je le regarde avec un grand sourire qu’il me rend et je lui dis :
-Entrez.
Fin
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