Le calendrier des pompiers
Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le calendrier des pompiers
Chapitre 2
Il soupire encore.
-Je savais bien que tu en revoudrais ?
-Pourquoi tu dis ça ?
-Comme ça, si tu ne voulais qu’une seule fois avec moi, tu ne m’aurais pas sucé encore, pas vrai ?
Il sourit en voyant ma tête et repose sa tête sur l’oreiller. Puis d’un coup, il se relève et s’habille. Je me lève à mon tour pour prendre des fringues et il me dit de rester dans cette tenue. Je l’accompagne à la porte et je commence à l’ouvrir quand il me plaque contre elle. Il me regarde et me roule une pelle d’enfer. Il me regarde, part sans se retourner et je referme la porte mais reste sur place comme un con. Deux minutes plus tard, je reçois un message d’Hugo qui me dit : « Généralement je n’embrasse pas mais tu en vaux le coup. Maintenant, je sais que l’on se reverra car tu es sous l’emprise de ma bite. »
Je suis resté comme un con devant la porte fermée pendant presque 10 minutes à penser à ce qui venait de se passer. Putain, j’ai trompé Arthur et le pire c’est que j’ai pris mon pied et que oui j’ai envie de le revoir pour qu’il me baise comme une chienne en manque de sexe.
Je suis parti prendre une douche pour penser à autre chose et changer les draps souillés. Je n’ai rien dormi de la nuit.
Le lendemain, Arthur rentre à l’appart et je ne pense qu’à une chose, la bite d’Hugo. Lorsqu’il rentre, je lui roule une pelle comme si je ne l’avais pas vu depuis des mois. Il répond à mon baiser et je commence à lui défaire sa braguette. Il me regarde faire et me dit :
-Je t’ai manqué à ce point ?
Je ne réponds rien et me mets à genoux. Je sors sa queue et la prends en bouche immédiatement. Il reste appuyer contre la porte d’entrée pendant que je le suce. Sa queue a du mal à bander et il me dit qu’il est très fatigué et qu’il est désolé. J’essaie encore de le sucer et le branler avec vigueur mais rien n’y fait. Il reste vraiment en demi molle. Il reprend sa queue en main et la replace dans son boxer puis remonte sa braguette et part se coucher directement. Je reste donc sur ma faim.
Je vais me poser devant la télé avec une érection d’enfer mais pas envie de me branler. J’ai encore envie de sexe. J’ai envie de me faire démonter. J’ai envie de sentir une bonne queue dans mon cul. Je décide de lui envoyer un message pour savoir ce qu’il faisait. Mais pas de réponse. Je reste sur ma faim et m’endors sur le canapé devant un film à la con. Vers 2h du matin, je reçois une réponse d’Hugo qui me dit qu’il est dans sa voiture devant mon bâtiment et qu’il m’attend. J’ai la gueule dans le cul mais j’enfile des chaussures et je descends immédiatement en ne faisant aucun bruit. J’arrive dans la rue mais je ne vois personne. Il y a plusieurs voitures garées puis je vois des appels de phare de l’autre côté de la chaussée. Je regarde et je vois Hugo au volant d’une voiture de fonction de pompier. Je le rejoints et mon côté passager.
-Alors, je te manquais déjà ?
-Tais-toi.
Il démarre et je ne comprends pas.
-Bordel, tu fais quoi ? Je ne peux pas partir.
-Je suis d’astreinte et je ne peux pas rester ici alors tu vas venir avec moi à la caserne.
-Mon mec est là et s’il voit que je ne suis pas là, il va se poser des questions.
-Fallait juste y penser en descendant me rejoindre alors maintenant tu vas me suivre, je vais te baiser. C’est ce que tu voulais en me contactant non ?
-Oui, je crois.
-Tu crois et tu en es sûr ?
-Oui, c’est ce que je voulais.
-Bien alors assumes.
Il roule et ouvre sa fermeture de pantalon pour en sortir sa bite déjà bien raide. Il attrape ma tête pour que j’aille le sucer. Je me penche donc sur sa queue et je le pompe. Il appuie bien fort sur ma tête pour que je la prenne bien à fond et il me la bloque pendant plusieurs secondes. Je bave sur son pantalon tellement il me maintient la tête. Je ne l’ai pas sucé bien longtemps : environ dix minutes car nous arrivons à la caserne. Il me regarde et me dit :
-Tu vas faire tout ce que je te dis. Quand je suis d’astreinte, j’ai une chambre juste pour moi mais certains gars sont encore dans la caserne donc pour le moment tu reste dans la voiture et je viens te chercher dès que la voie est libre. Tu te fais discret ok ?
-Oui ok.
-Bien.
J’attends donc dans la voiture presqu’un quart d’heure quand Hugo vient me chercher. Il me dit de le suivre doucement. Nous rentrons dans la caserne et j’entend des rires puis deux mecs discuter assez fort. Il me fait rentrer dans une chambre pas très grande je dois dire avec un lit une personne au milieu. Il me regarde avec un regard qui en dit long. Il s’approche de moi et m’arrache mes vêtements. Et que je dis qu’il me les arrache, c’est que mes vêtements se retrouve en lambeau. Je ne porte pas de sous-vêtements et cela le fait sourire. Il se fou à poil et il appuie sur mes épaules pour que je m’agenouille et prenne sa queue déjà bien raide en bouche. A peine dans ma bouche, il commence à me la baiser. Ses couilles frappent mon menton et il maintient ma tête quand sa queue se trouve au fond de ma gorge. J’étouffe mais il me maintient encore plus fort. Il continue de me pilonner la bouche comme un dingue. Il ressort sa queue et me biffle bien fort. Il me fait me relever et me fait mettre à quatre pattes sur le lit. Il prend un peu de lubrifiant dans son sec et s’en fou sur la queue et en étale sur mon cul. Il s’approche de moi et m’encule directement et sans ménagement. Je pousse un cri et il me claque le cul très fort en me disant de fermer ma gueule. Sa queue est bien au fond de mon cul puis il la ressort. Il la replante aussitôt puis se met à me démonter le cul. Je prends l’oreiller devant moi et le met devant ma bouche pour hurler de plaisir dedans. Pendant vingt minutes, il me défonce comme une chienne quand son téléphone sonne. Il retire sa queue et je ne bouge pas. Il décroche et écoute puis il dit à la personne qu’il part et qu’il sera là d’ici 10 minutes. Tout en étant au téléphone, il continue à se branler pour ne pas débander. Il raccroche et revient derrière moi me replanter sa queue d’un coup sec puis il se défoule comme un fou dans mon cul. En moins de deux minutes, il éjacule en moi puis fou sa queue dans ma bouche pour la nettoyer. Il se rhabille et j’allais faire la même chose quand il me stoppa en me disant :
-Hop hop hop, tu fais quoi là ? T’as pas de fringue à te mettre en plus.
-Ben je me pensais que tu allais me déposer chez moi et me prêter un truc à me mettre sur le dos.
-J’en ai pas fini avec toi. Tu vas rester sagement ici à m’attendre ok ?
-Et mon mec ?
-Tu trouveras une explication mais j’ai encore envie de me vider les couilles. Là, j’ai été stoppé dans mon élan. Alors, tu ne bouges pas d’ici ok ?
-Ok, dis-je résigné.
Il finit de s’habiller, prends ses clés et part. Je reste comme un con sur le lit avec son jus qui commence à couler de mon cul. Je ne peux même pas aller aux toilettes car je ne sais pas où ils sont. Je suis fatigué et décide de m’allonger sur lit puis je m’endors.
Je suis réveillé par quelque chose qui me laboure le cul. J’émerge de mon profond sommeil sans savoir l’heure et je sens qu’une bite est en moi et commence des allers retours. Je tourne la tête et je vois un mec avec un large sourire. Mais derrière ce mec, il y a Hugo. Il me regarde et me dit :
-Mon collègue n’a pas revu sa femme depuis un mois et à part la branlette, il n’a pas baisé. Je lui ai donc parlé de ton petit cul. Ca ne te dérange pas trop que l’on soit deux à te démonter ?
Je fais non de la tête et le mec continuer ses allers retours quand Hugo se remet à poil et vient présenter sa queue devant mon visage. Je ne peux pas parler mais mes gémissements sont bien étouffés. Ils me pilonnent tous les deux dans un rythme intense et j’adore ça. Après plus de dix minutes, le mec se retire et prend ma place en s’allongeant sur le dos. Hugo me dit d’aller le chevaucher ce que je fais sans attendre. Il commence à me redéfoncer et je vois Hugo passer derrière moi. Il ne va quand même pas faire ce à quoi je pense ? Le mec sous moi se stoppe sans se retirer et je sens Hugo poser son gland contre mon petit trou déjà pas mal élargit. Il pousse un peu puis plus fort pour que son gland rentre. Puis une fois à l’intérieur, il pousse encore plus fort pour que sa queue vienne elle aussi me pénétrer. Je hurle mais le mec du dessous fou sa main sur ma bouche. Hugo commence à faire de petits allers retours et une fois qu’il coulisse bien sa queue il y va plus fort et l’autre mec commence à son tour à me mettre des coups de reins. Les deux bites se démontent et je hurle de plaisir dans la main du mec. C’est la première fois que l’on me fait une double pénétration. Il faut dire que la bite d’Hugo m’avait déjà bien préparée vu l’épaisseur et la taille.
Tous les deux se retirent et je me retrouve à quatre pattes à nouveau sur le lit. Le mec grimpe au-dessus de moi et plante sa queue directement. Puis je sens les mains de Hugo sur mes cuisses. Il se place derrière le mec qui me chevauche. Celui-ci se retire de mon trou sans se déplacer et je sens la queue d’Hugo rentrer en moi et me pilonner. Tous les deux alternent chacun leur tour dans mon cul. Je tourne la tête pour voir le spectacle et quand c’est au tour du mec de me pilonner, je vois son cul proche du visage d’Hugo qui d’un seul coup plante sa langue à l’intérieur ce qui provoque une énorme éjaculation du mec en moi. Il se retient de grogner. Il retire juste sa queue qui continue de juter sur mes couilles et le lit quand Hugo me plante sa queue en moi tout en bouffant le cul de son collègue. Il attrape mes hanches et me démonte de plus en plus vite et c’est à son tour d’éjaculer en moi. J’ai tellement de sperme en moi que je sens que ça coule à chaque allers retours. Il reste en moi encore quelques instants le temps de reprendre ses esprits puis se retire. Son collègue se rhabille et se casse en me disant merci pour mon cul. Hugo enfile ses vêtements et m’accompagne discrètement vers les douches en me disant de me dépêcher à me laver ce que je fais puis nous retournons dans la chambre où il me passe un survêtement et un T-shirt des pompiers. Je regarde l’heure et il est déjà 7h du matin. Je suis mort de fatigue.
Il me dit ensuite qu’il me ramène chez moi. Nous arrivons en bas de mon immeuble quand lui aussi sort de la voiture.
-Qu’est-ce que tu fou ?
-Ben je te raccompagne chez toi.
-T’es dingue, y’a mon mec.
-Et tu vas expliquer comment pour les fringues ?
-Je me débrouillerais.
-Comme tu veux.
Il remonte dans sa voiture de fonction et se casse. Je remonte vite fait chez moi et Arthur dors encore. Je prends vite des vêtements et me change en cachant ceux des pompiers. Je me prépare car je bosse cet après-midi et toute la nuit à l’internat du lycée avec les terminales. Mon mec se réveille vers 10h. Il vient m’embrasser tendrement et me dit qu’il a envie de moi. Je ne peux pas lui dire non car il sait que j’aime ça et cela serait étrange si je refusais.
Il me porte dans ses bras et m’allonge sur le lit en me déshabillant. Lui est déjà nu et il bande bien. Je le suce en prenant soin de lui gober les couilles tout en le regardant droit dans les yeux. Je le suce comme il aime ; c’est-à-dire doucement en m’amusant avec son gland. Il s’installe ensuite derrière moi et présente sa queue devant mon petit trou. Il appuie doucement pour la faire rentrer mais sa queue est comme aspirée dans mon cul ce qui le surprend et me dit :
-Whoua, t’es bien ouvert mon cœur.
-Oui, je me suis un peu amusé sans toi. Je me suis acheté un jouet pour les jours où je suis seul.
-T’es vraiment un coquin.
Il commence donc par me mettre des coups de reins lents. J’adore quand il me fait l’amour. Même si cela reste plan plan, je l’aime et j’aime quand il est en moi. Sa queue n’est pas celle d’Hugo mais il sait s’en servir même si ce n’est pas assez souvent à mon goût. Ses vas et viens commencent à être de plus en plus rapide. Il fait tourner ma tête contre la sienne et vient déposer ses lèvres sur les miennes. Tout en l’embrassant, je gémis de plaisir parce qu’il me pilonne avec douceur mais ce n’est que du bonheur. Tout en restant en moi, il me fait mettre dur le dos et relève mes jambes pour qu’il puisse me regarder quand il me fait l’amour. Il sait comment faire monter le désir. Il sait aussi me faire gémir. Il continue son pilonnage un peu plus rapidement et il m’attrape derrière le cou pour accentuer les coups de bite puis éjacule en moi en poussant un cri bestial. Il reste en moi et vient m’embrasser tendrement. Il se retire et se lève pour aller se faire un café. Je passe aux toilettes et finis de me préparer pour partir travailler.
Vers midi, il est temps de partir. Je vais embrasser Arthur en lui roulant une méga pelle puis je pars. L’après-midi se passe tranquillement dans le lycée. Je rigole avec mes collègues puis arrive le temps d’aller à l’internat avec les mecs de terminale. Ils sont tous majeurs et il y a pas mal de beaux gosses dans le tas.
Ils sont toujours en rut, se balade souvent à poil dans les couloirs. Je fais semblant de ne pas remarquer mais j’adore voir leurs bites au repos. A 22h, c’est extinction des lumières et je fais le tour des chambres. Pour le moment, tout est calme.
Vers 2h du matin, je suis réveillé par une porte qui claque. Je me lève en boxer et vais dans le couloir voir ce qui se passe. Je ne vois rien et n’entends rien. Je vais voir vers les douches, et là, j’entends du bruit. Un bruit que je connais bien. Un bruit que je ne peux pas faire semblant d’ignorer. C’est un bruit de succion. Il y a un des terminales qui est en train de se faire sucer par un autre. Mais lequel ? Je m’approche discrètement et là, je suis sous le choc. C’est le beau gosse de service. Le mec que toutes les filles du bahut veulent. Il est debout avec une gaule d’enfer. Il est en train de se faire pomper par un interne plutôt réservé. Je n’en reviens toujours pas. Il ne met pas longtemps à éjaculer sur le visage du deuxième. Il en a partout et se relève puis s’essuie le visage. Il repart en courant et je me cache dans la cabine des toilettes à côté de moi. Le beau gosse repart lui aussi avec le sourire aux lèvres et toujours en érection.
Je sors ma queue et me branle au-dessus des toilettes et jute une grosse quantité de jus dans la cuvette puis tire la chasse d’eau. Je ressors tranquillement et tombe nez à nez avec le beau gosse.
-Alors, on aime bien mater ?
Fin du chapitre 2.
Il soupire encore.
-Je savais bien que tu en revoudrais ?
-Pourquoi tu dis ça ?
-Comme ça, si tu ne voulais qu’une seule fois avec moi, tu ne m’aurais pas sucé encore, pas vrai ?
Il sourit en voyant ma tête et repose sa tête sur l’oreiller. Puis d’un coup, il se relève et s’habille. Je me lève à mon tour pour prendre des fringues et il me dit de rester dans cette tenue. Je l’accompagne à la porte et je commence à l’ouvrir quand il me plaque contre elle. Il me regarde et me roule une pelle d’enfer. Il me regarde, part sans se retourner et je referme la porte mais reste sur place comme un con. Deux minutes plus tard, je reçois un message d’Hugo qui me dit : « Généralement je n’embrasse pas mais tu en vaux le coup. Maintenant, je sais que l’on se reverra car tu es sous l’emprise de ma bite. »
Je suis resté comme un con devant la porte fermée pendant presque 10 minutes à penser à ce qui venait de se passer. Putain, j’ai trompé Arthur et le pire c’est que j’ai pris mon pied et que oui j’ai envie de le revoir pour qu’il me baise comme une chienne en manque de sexe.
Je suis parti prendre une douche pour penser à autre chose et changer les draps souillés. Je n’ai rien dormi de la nuit.
Le lendemain, Arthur rentre à l’appart et je ne pense qu’à une chose, la bite d’Hugo. Lorsqu’il rentre, je lui roule une pelle comme si je ne l’avais pas vu depuis des mois. Il répond à mon baiser et je commence à lui défaire sa braguette. Il me regarde faire et me dit :
-Je t’ai manqué à ce point ?
Je ne réponds rien et me mets à genoux. Je sors sa queue et la prends en bouche immédiatement. Il reste appuyer contre la porte d’entrée pendant que je le suce. Sa queue a du mal à bander et il me dit qu’il est très fatigué et qu’il est désolé. J’essaie encore de le sucer et le branler avec vigueur mais rien n’y fait. Il reste vraiment en demi molle. Il reprend sa queue en main et la replace dans son boxer puis remonte sa braguette et part se coucher directement. Je reste donc sur ma faim.
Je vais me poser devant la télé avec une érection d’enfer mais pas envie de me branler. J’ai encore envie de sexe. J’ai envie de me faire démonter. J’ai envie de sentir une bonne queue dans mon cul. Je décide de lui envoyer un message pour savoir ce qu’il faisait. Mais pas de réponse. Je reste sur ma faim et m’endors sur le canapé devant un film à la con. Vers 2h du matin, je reçois une réponse d’Hugo qui me dit qu’il est dans sa voiture devant mon bâtiment et qu’il m’attend. J’ai la gueule dans le cul mais j’enfile des chaussures et je descends immédiatement en ne faisant aucun bruit. J’arrive dans la rue mais je ne vois personne. Il y a plusieurs voitures garées puis je vois des appels de phare de l’autre côté de la chaussée. Je regarde et je vois Hugo au volant d’une voiture de fonction de pompier. Je le rejoints et mon côté passager.
-Alors, je te manquais déjà ?
-Tais-toi.
Il démarre et je ne comprends pas.
-Bordel, tu fais quoi ? Je ne peux pas partir.
-Je suis d’astreinte et je ne peux pas rester ici alors tu vas venir avec moi à la caserne.
-Mon mec est là et s’il voit que je ne suis pas là, il va se poser des questions.
-Fallait juste y penser en descendant me rejoindre alors maintenant tu vas me suivre, je vais te baiser. C’est ce que tu voulais en me contactant non ?
-Oui, je crois.
-Tu crois et tu en es sûr ?
-Oui, c’est ce que je voulais.
-Bien alors assumes.
Il roule et ouvre sa fermeture de pantalon pour en sortir sa bite déjà bien raide. Il attrape ma tête pour que j’aille le sucer. Je me penche donc sur sa queue et je le pompe. Il appuie bien fort sur ma tête pour que je la prenne bien à fond et il me la bloque pendant plusieurs secondes. Je bave sur son pantalon tellement il me maintient la tête. Je ne l’ai pas sucé bien longtemps : environ dix minutes car nous arrivons à la caserne. Il me regarde et me dit :
-Tu vas faire tout ce que je te dis. Quand je suis d’astreinte, j’ai une chambre juste pour moi mais certains gars sont encore dans la caserne donc pour le moment tu reste dans la voiture et je viens te chercher dès que la voie est libre. Tu te fais discret ok ?
-Oui ok.
-Bien.
J’attends donc dans la voiture presqu’un quart d’heure quand Hugo vient me chercher. Il me dit de le suivre doucement. Nous rentrons dans la caserne et j’entend des rires puis deux mecs discuter assez fort. Il me fait rentrer dans une chambre pas très grande je dois dire avec un lit une personne au milieu. Il me regarde avec un regard qui en dit long. Il s’approche de moi et m’arrache mes vêtements. Et que je dis qu’il me les arrache, c’est que mes vêtements se retrouve en lambeau. Je ne porte pas de sous-vêtements et cela le fait sourire. Il se fou à poil et il appuie sur mes épaules pour que je m’agenouille et prenne sa queue déjà bien raide en bouche. A peine dans ma bouche, il commence à me la baiser. Ses couilles frappent mon menton et il maintient ma tête quand sa queue se trouve au fond de ma gorge. J’étouffe mais il me maintient encore plus fort. Il continue de me pilonner la bouche comme un dingue. Il ressort sa queue et me biffle bien fort. Il me fait me relever et me fait mettre à quatre pattes sur le lit. Il prend un peu de lubrifiant dans son sec et s’en fou sur la queue et en étale sur mon cul. Il s’approche de moi et m’encule directement et sans ménagement. Je pousse un cri et il me claque le cul très fort en me disant de fermer ma gueule. Sa queue est bien au fond de mon cul puis il la ressort. Il la replante aussitôt puis se met à me démonter le cul. Je prends l’oreiller devant moi et le met devant ma bouche pour hurler de plaisir dedans. Pendant vingt minutes, il me défonce comme une chienne quand son téléphone sonne. Il retire sa queue et je ne bouge pas. Il décroche et écoute puis il dit à la personne qu’il part et qu’il sera là d’ici 10 minutes. Tout en étant au téléphone, il continue à se branler pour ne pas débander. Il raccroche et revient derrière moi me replanter sa queue d’un coup sec puis il se défoule comme un fou dans mon cul. En moins de deux minutes, il éjacule en moi puis fou sa queue dans ma bouche pour la nettoyer. Il se rhabille et j’allais faire la même chose quand il me stoppa en me disant :
-Hop hop hop, tu fais quoi là ? T’as pas de fringue à te mettre en plus.
-Ben je me pensais que tu allais me déposer chez moi et me prêter un truc à me mettre sur le dos.
-J’en ai pas fini avec toi. Tu vas rester sagement ici à m’attendre ok ?
-Et mon mec ?
-Tu trouveras une explication mais j’ai encore envie de me vider les couilles. Là, j’ai été stoppé dans mon élan. Alors, tu ne bouges pas d’ici ok ?
-Ok, dis-je résigné.
Il finit de s’habiller, prends ses clés et part. Je reste comme un con sur le lit avec son jus qui commence à couler de mon cul. Je ne peux même pas aller aux toilettes car je ne sais pas où ils sont. Je suis fatigué et décide de m’allonger sur lit puis je m’endors.
Je suis réveillé par quelque chose qui me laboure le cul. J’émerge de mon profond sommeil sans savoir l’heure et je sens qu’une bite est en moi et commence des allers retours. Je tourne la tête et je vois un mec avec un large sourire. Mais derrière ce mec, il y a Hugo. Il me regarde et me dit :
-Mon collègue n’a pas revu sa femme depuis un mois et à part la branlette, il n’a pas baisé. Je lui ai donc parlé de ton petit cul. Ca ne te dérange pas trop que l’on soit deux à te démonter ?
Je fais non de la tête et le mec continuer ses allers retours quand Hugo se remet à poil et vient présenter sa queue devant mon visage. Je ne peux pas parler mais mes gémissements sont bien étouffés. Ils me pilonnent tous les deux dans un rythme intense et j’adore ça. Après plus de dix minutes, le mec se retire et prend ma place en s’allongeant sur le dos. Hugo me dit d’aller le chevaucher ce que je fais sans attendre. Il commence à me redéfoncer et je vois Hugo passer derrière moi. Il ne va quand même pas faire ce à quoi je pense ? Le mec sous moi se stoppe sans se retirer et je sens Hugo poser son gland contre mon petit trou déjà pas mal élargit. Il pousse un peu puis plus fort pour que son gland rentre. Puis une fois à l’intérieur, il pousse encore plus fort pour que sa queue vienne elle aussi me pénétrer. Je hurle mais le mec du dessous fou sa main sur ma bouche. Hugo commence à faire de petits allers retours et une fois qu’il coulisse bien sa queue il y va plus fort et l’autre mec commence à son tour à me mettre des coups de reins. Les deux bites se démontent et je hurle de plaisir dans la main du mec. C’est la première fois que l’on me fait une double pénétration. Il faut dire que la bite d’Hugo m’avait déjà bien préparée vu l’épaisseur et la taille.
Tous les deux se retirent et je me retrouve à quatre pattes à nouveau sur le lit. Le mec grimpe au-dessus de moi et plante sa queue directement. Puis je sens les mains de Hugo sur mes cuisses. Il se place derrière le mec qui me chevauche. Celui-ci se retire de mon trou sans se déplacer et je sens la queue d’Hugo rentrer en moi et me pilonner. Tous les deux alternent chacun leur tour dans mon cul. Je tourne la tête pour voir le spectacle et quand c’est au tour du mec de me pilonner, je vois son cul proche du visage d’Hugo qui d’un seul coup plante sa langue à l’intérieur ce qui provoque une énorme éjaculation du mec en moi. Il se retient de grogner. Il retire juste sa queue qui continue de juter sur mes couilles et le lit quand Hugo me plante sa queue en moi tout en bouffant le cul de son collègue. Il attrape mes hanches et me démonte de plus en plus vite et c’est à son tour d’éjaculer en moi. J’ai tellement de sperme en moi que je sens que ça coule à chaque allers retours. Il reste en moi encore quelques instants le temps de reprendre ses esprits puis se retire. Son collègue se rhabille et se casse en me disant merci pour mon cul. Hugo enfile ses vêtements et m’accompagne discrètement vers les douches en me disant de me dépêcher à me laver ce que je fais puis nous retournons dans la chambre où il me passe un survêtement et un T-shirt des pompiers. Je regarde l’heure et il est déjà 7h du matin. Je suis mort de fatigue.
Il me dit ensuite qu’il me ramène chez moi. Nous arrivons en bas de mon immeuble quand lui aussi sort de la voiture.
-Qu’est-ce que tu fou ?
-Ben je te raccompagne chez toi.
-T’es dingue, y’a mon mec.
-Et tu vas expliquer comment pour les fringues ?
-Je me débrouillerais.
-Comme tu veux.
Il remonte dans sa voiture de fonction et se casse. Je remonte vite fait chez moi et Arthur dors encore. Je prends vite des vêtements et me change en cachant ceux des pompiers. Je me prépare car je bosse cet après-midi et toute la nuit à l’internat du lycée avec les terminales. Mon mec se réveille vers 10h. Il vient m’embrasser tendrement et me dit qu’il a envie de moi. Je ne peux pas lui dire non car il sait que j’aime ça et cela serait étrange si je refusais.
Il me porte dans ses bras et m’allonge sur le lit en me déshabillant. Lui est déjà nu et il bande bien. Je le suce en prenant soin de lui gober les couilles tout en le regardant droit dans les yeux. Je le suce comme il aime ; c’est-à-dire doucement en m’amusant avec son gland. Il s’installe ensuite derrière moi et présente sa queue devant mon petit trou. Il appuie doucement pour la faire rentrer mais sa queue est comme aspirée dans mon cul ce qui le surprend et me dit :
-Whoua, t’es bien ouvert mon cœur.
-Oui, je me suis un peu amusé sans toi. Je me suis acheté un jouet pour les jours où je suis seul.
-T’es vraiment un coquin.
Il commence donc par me mettre des coups de reins lents. J’adore quand il me fait l’amour. Même si cela reste plan plan, je l’aime et j’aime quand il est en moi. Sa queue n’est pas celle d’Hugo mais il sait s’en servir même si ce n’est pas assez souvent à mon goût. Ses vas et viens commencent à être de plus en plus rapide. Il fait tourner ma tête contre la sienne et vient déposer ses lèvres sur les miennes. Tout en l’embrassant, je gémis de plaisir parce qu’il me pilonne avec douceur mais ce n’est que du bonheur. Tout en restant en moi, il me fait mettre dur le dos et relève mes jambes pour qu’il puisse me regarder quand il me fait l’amour. Il sait comment faire monter le désir. Il sait aussi me faire gémir. Il continue son pilonnage un peu plus rapidement et il m’attrape derrière le cou pour accentuer les coups de bite puis éjacule en moi en poussant un cri bestial. Il reste en moi et vient m’embrasser tendrement. Il se retire et se lève pour aller se faire un café. Je passe aux toilettes et finis de me préparer pour partir travailler.
Vers midi, il est temps de partir. Je vais embrasser Arthur en lui roulant une méga pelle puis je pars. L’après-midi se passe tranquillement dans le lycée. Je rigole avec mes collègues puis arrive le temps d’aller à l’internat avec les mecs de terminale. Ils sont tous majeurs et il y a pas mal de beaux gosses dans le tas.
Ils sont toujours en rut, se balade souvent à poil dans les couloirs. Je fais semblant de ne pas remarquer mais j’adore voir leurs bites au repos. A 22h, c’est extinction des lumières et je fais le tour des chambres. Pour le moment, tout est calme.
Vers 2h du matin, je suis réveillé par une porte qui claque. Je me lève en boxer et vais dans le couloir voir ce qui se passe. Je ne vois rien et n’entends rien. Je vais voir vers les douches, et là, j’entends du bruit. Un bruit que je connais bien. Un bruit que je ne peux pas faire semblant d’ignorer. C’est un bruit de succion. Il y a un des terminales qui est en train de se faire sucer par un autre. Mais lequel ? Je m’approche discrètement et là, je suis sous le choc. C’est le beau gosse de service. Le mec que toutes les filles du bahut veulent. Il est debout avec une gaule d’enfer. Il est en train de se faire pomper par un interne plutôt réservé. Je n’en reviens toujours pas. Il ne met pas longtemps à éjaculer sur le visage du deuxième. Il en a partout et se relève puis s’essuie le visage. Il repart en courant et je me cache dans la cabine des toilettes à côté de moi. Le beau gosse repart lui aussi avec le sourire aux lèvres et toujours en érection.
Je sors ma queue et me branle au-dessus des toilettes et jute une grosse quantité de jus dans la cuvette puis tire la chasse d’eau. Je ressors tranquillement et tombe nez à nez avec le beau gosse.
-Alors, on aime bien mater ?
Fin du chapitre 2.
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