LE CASTING

- Par l'auteur HDS Miss_Sexcret -
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Récit libertin : LE CASTING Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE CASTING
Qui n’y a jamais pensé ?

Quelle jeune femme, en regardant des vidéos pornos, ne s’est jamais imaginée à la place d’une actrice ? Pas toutes, peut-être. Mais moi, oui. Souvent.

J’ai toujours été fascinée par les castings X, et plus encore par ceux de Pierre Woodman, ce réalisateur français aussi célèbre que sulfureux. Il y a quelque chose d’unique dans ses vidéos : une tension, un mélange d’appréhension et d’excitation, ce moment où tout peut basculer.

Je me suis souvent demandé : Et moi ? Comment je réagirais ? Qu’est-ce que je ferais si c’était mon tour ?

Alors, j’ai décidé de l’écrire. Voici ma version. Mon fantasme. Mon casting Woodman.


LE CASTING


Le fauteuil est simple, noir, en cuir. Je m’y installe jambes croisées, les mains sur mes cuisses nues. Je porte un jean moulant, un débardeur blanc sans soutien-gorge. Mes cheveux sont tirés en arrière, mon maquillage est léger. Mes yeux fixent l’objectif.

Pierre ajuste sa caméra, puis s’assied juste en face. Il me regarde sans sourire, concentré, professionnel. Sa voix est calme, grave, légèrement rocailleuse. L’atmosphère est épaisse, chargée.

— Bonjour. Ton prénom ?

— Kristina.

— Âge ?

— 25 ans.

— Nationalité ?

— Ukrainienne.

— Tu vis où ?

— À Kiev, pour l’instant. Mais je bouge souvent.

— Pourquoi tu es ici aujourd’hui ?

— Pour passer un casting. Me faire filmer. Me faire baiser.

Un petit silence. Il ne s’attendait pas à autant de franchise d’entrée. Ses yeux pétillent à peine, mais il reste neutre. Il zoome légèrement.

— Tu sais qui je suis ?

— Bien sûr. Pierre Woodman. T’as filmé toutes les salopes que j’admirais en secret à 18 ans.

— Et toi, tu te considères comme une salope ?

— Oui. Une salope intelligente. Sélective. Et libre.

— Tu aimes te faire baiser devant une caméra ?

— Ça me rend folle. J’adore qu’on me regarde. Qu’on me désire.

— Même si tu sais que ces vidéos circuleront partout ?

— C’est même pour ça que je suis là.

Il laisse planer un silence. Mon regard ne lâche pas le sien. Il recule un peu la caméra, change d’angle.

— Raconte-moi ta première fois.

— C’était moche. Un garçon doux mais trop pressé, trop nerveux. Il a juste glissé, poussé, joui. Et moi, rien. En revanche j'ai adoré le mec qui nous regardait en se masturbant.

— Et la première fois où tu as vraiment joui ?

— Une fille. Elle m’a sucée lentement le clito, m’a léché le cul pendant que je me caressais. J’ai tremblé comme jamais.

— T’es bi ?

— Très.

— T’as déjà fait des plans à trois ?

— Oui. Trois filles, deux mecs, des mélanges. J’aime les corps, j’aime tester.

— T’as une préférence ?

— J’aime être utilisée par plusieurs hommes. Me faire tourner. Mais j’aime aussi dominer une fille, la faire jouir jusqu’à ce qu’elle pleure.

— Et l’anal ?

— J’adore. J’ai mis du temps, mais maintenant c’est presque une obsession. Quand je ne le fais pas, ça me manque.

— Tu te masturbes souvent ?

— Tous les jours. Parfois deux ou trois fois. Surtout quand je suis en manque. Ou excitée. Comme maintenant.

Il marque un temps, lève à peine un sourcil.

— Tu es excitée là ?

— Tu me regardes. Tu me poses ces questions. J’ai envie de te montrer que je suis à la hauteur de ce casting.

Ses yeux descendent vers mes cuisses. Je les décroise. Lentement. Mon jean tendu laisse deviner mon sexe sans culotte. Il zoome. Reste silencieux. La tension devient presque insupportable.

— Tu peux enlever ton haut ?

— Bien sûr.

Je le fais d’un geste lent. Mes seins apparaissent, fermes, halés, les tétons déjà durs. Il filme de près, tourne autour. Il respire plus fort, mais reste calme.

— Tu veux aller jusqu’où aujourd’hui ?

— Jusqu’au bout. Tu me filmes, tu me prends, tu me passes à d’autres. Tu peux même jouir dans ma bouche ou sur moi.

— T’as des limites ?

— Pas pour toi. Pas aujourd’hui.

Il baisse la caméra. Il sourit, enfin. Léger. Il sait qu’il a trouvé ce qu’il cherchait.

— Tu sais qu’à la fin, je te pisse dessus ?

— Oui. Et j’ai hâte. Je veux tout. Le sale. Le vrai. Le pur fantasme.

Il se lève. Pose la caméra sur pied. Avance vers moi. Je ne bouge pas. Je l’attends.

Le vrai casting commence.

Le silence est pesant. Je suis torse nu sur le fauteuil. Mes tétons durcis défient l’objectif. Mes mains glissent sur mes cuisses. Pierre s’approche. Son regard est différent. Plus fixe. Moins technique. Il est toujours pro… mais troublé.

— Kristina… Tu sais ce que tu dégages ?

— Oui. Du désir. De la soif. Et un peu de peur aussi, non ?

Il ne répond pas. Mais ses yeux me scannent. Il tourne autour, caméra au poing, capturant mes moindres frissons. Je me lève, me place face à lui, jambes légèrement écartées. Je déboutonne lentement mon jean, les yeux rivés dans sa lentille.

— Tu veux que je l’enlève doucement… ou que je te surprenne ?

— Montre-moi comment tu fais ça… quand tu sais que quelqu’un te regarde.

Je souris. J’attrape la ceinture, la fais glisser. Mon jean tombe à mes chevilles. Rien dessous. Mon sexe rasé, brillant déjà, offert. Je fais un tour sur moi-même. Mes fesses tendues, rebondies, la cambrure parfaite. Il zoome. Moi, je m’accroupis à quelques centimètres de lui.

— Tu veux que j’ouvre plus ?

— Oui. Écarte un peu.

Mes doigts séparent doucement mes lèvres. Mon sexe est gonflé, mouillé, prêt. Je le regarde en coin. Il filme en silence. Il se mord la lèvre, imperceptiblement. Il n’a pas l’habitude qu’une fille prenne le pouvoir dans l’exhibition. Je le sens. Et ça me fait trembler de plaisir.

— Tu veux que je me doigte, Pierre ? Que je mouille ta caméra ?

— Vas-y. Doucement. Regarde-moi. Ne cligne pas des yeux.

Je m’allonge sur le tapis, écartant les jambes, les genoux bien relevés. Deux doigts entrent en moi pendant qu’un autre joue sur mon clitoris. Je suis à peine entrée que je gémis déjà. Je ne joue pas. Je suis en feu. Et lui… il s’approche.

— T’as souvent des filles comme moi ?

— Jamais. T’es une salope… mais une salope rare. T’as le contrôle. Et tu me le fais perdre.

Je souris. C’est gagné.

— Alors viens. Prends le relais. T’es pas seulement là pour filmer, non ?

— Pas encore. Je veux encore te voir… poser.

Il me fait me relever, me mettre sur le fauteuil à quatre pattes. Il filme mon cul sous tous les angles. Je le serre, je l’ouvre, je le montre. Je me penche, doigts sur mes lèvres, puis sur mon anus.

— Tu l’aimes comment, ce petit trou ?

— Profond. Propre. Et lubrifié avec la langue.

— Tu veux goûter ?

— Bientôt.

Je me retourne, m’assois jambes écartées, seins dressés, chatte dégoulinante.

— Regarde-moi, Pierre. Respire. C’est moi qui vais te faire perdre ton contrôle aujourd’hui.

Je suis toujours nue, écartée sur le fauteuil, la chatte luisante, le regard planté dans le sien. Je respire fort. Lui aussi. Mais il garde cette retenue presque professionnelle, comme s’il voulait retarder l’évidence.

— Tu veux venir goûter, Pierre ?

— Tu crois que je craque si vite ?

— Je crois que tu bandes déjà.

Il ne répond pas. Il baisse les yeux un instant. Et je le vois, sous son jean : son érection est là, lourde, tendue. Il s’approche, la caméra à la main, tente de se concentrer encore sur l’image. Mais sa respiration trahit autre chose. Je tends la main vers sa ceinture.

— Laisse-moi vérifier…

Il ne me repousse pas. Je déboutonne lentement, défais sa braguette. Sa queue jaillit, raide, veineuse, puissante. Je souris.

— Mhmm… Même toi, tu n’es pas immunisé, hein ?

— Je suis un homme avant d’être un réalisateur. Et là, tu m’as complètement retourné.

Je m’agenouille sans qu’il le demande. Ma langue glisse le long de sa verge, doucement, longuement. Je le regarde depuis en bas, salivant, jouant avec l’extrémité de ma bouche. Puis je le prends en bouche, profond, sans les mains, gorge détendue. Il gémit, étouffé. Il filme encore, mais sa main tremble.

Je m’applique. Ma langue tournoie, mes lèvres serrent, ma bouche suce avec une lenteur provocante. Puis je le relâche, d’un bruit humide, les yeux brillants :

— T’es déjà à bout, dis la vérité.

— J’ai besoin de goûter ton cul, Kristina.

Il pose enfin la caméra. À ce moment-là, le pro n’est plus en contrôle. C’est l’homme qui parle. Il me fait me retourner, m’agenouiller sur le fauteuil, les fesses bien hautes, le dos cambré. Ses mains m’écartent. Je sens sa respiration brûlante sur ma peau.

Et puis sa langue.

D’abord un simple contact, puis un coup de langue plus profond, précis. Il lèche avec lenteur, minutie. Il me prépare comme un chef prépare un plat qu’il a attendu toute sa vie. Sa langue tournoie, appuie, pénètre. Je gémi, le corps entier offert, tremblant, exalté.

— Oh putain, Pierre… continue… lèche encore… je suis à toi…

Il rajoute un doigt. Puis deux. J’ouvre sans résistance. Il me masse de l’intérieur, son autre main sur ma nuque. Je salive, je coule. Ma chatte goutte sur le cuir. Il m’ouvre, me détend, m’admire.

— Tu veux ma bite là-dedans ?

— Maintenant.

Sans un mot de plus, il me pénètre.

Sa queue glisse dans mon petit trou avec une lenteur calculée. Il s’enfonce jusqu’à la garde. Mon corps entier vibre. Je crie. Pas de douleur. Juste une prise totale. Il reste là, profond, figé, comme pour savourer le moment.

— Tu la sens bien ?

— Elle me remplit… totalement…

Et il commence à bouger. Longs va-et-vient puissants. Mes fesses claquent contre ses hanches. Je suis prise, tenue, offerte. Il me pilonne en m'insultant doucement : "salope", "putain parfaite", "petite chienne". Je jouis, la bouche ouverte, la voix cassée.

Et lui… il n’est plus réalisateur. Il est spectateur de ce qu’il devient dans mon corps. Il n’en revient pas. Il bande plus dur encore. Il est fasciné.

Il me prend par le cul, profondément, brutalement. Mon corps encaisse chaque coup. Je suis cambrée à l’extrême, les deux mains accrochées à l’accoudoir du fauteuil, le visage écrasé contre le cuir, haletante. Mes gémissements sont gutturaux. Sans filtre.

Et lui… il grogne. Comme un animal. Comme un homme qui découvre un plaisir neuf. Sa queue tape contre mon point le plus profond. Je l’absorbe. Je le serre. Je l’enferme.

— Putain Kristina… Tu baises mon cerveau. T’es pas humaine.

— Je suis ta salope, Pierre. Je suis celle que t’attendais depuis des années.

Il me claque les fesses. Fort. Puis il attrape mes cheveux, me redresse à genoux contre lui, sa queue toujours dans mon cul. Il colle sa bouche à mon oreille.

— T’as pas peur de moi ?

— Non. J’ai peur de ce que je vais te faire.

Il sourit. Un sourire crispé, perdu, excité. Il me retourne sur le dos, me remet sa bite dans le cul d’un seul coup de bassin. Je hurle. Il me baise en me regardant droit dans les yeux, ses mains serrées sur mes hanches.

— Tu veux que je te salisse ? Que je te détruise ?

— Je veux que tu me défonces. Que tu me marques. Que tu n’oublies jamais mon nom.

Il obéit. Il s’acharne. Et moi je jouis. Deux fois. Trois fois. À chaque fois qu’il m’appuie contre lui, à chaque fois qu’il m’étrangle un peu. Je me sens violente, vivante, brûlante.

— T’en veux encore ?

— Continue. Je veux que tu bandes même quand tu penseras à moi dans dix ans.

Il me soulève. Je m’agrippe à lui, enroulée autour de son corps, sa bite toujours plantée dans mon trou. Il marche avec moi, me baise contre le mur. Nos sueurs se mélangent. Mon dos frappe le plâtre à chaque coup de reins.

— T’es pas réelle, bordel. Tu me rends fou.

— Prends-moi. Termine-moi. Et ensuite, prête-moi. Ils veulent me goûter, eux aussi.

Un dernier coup. Un râle long. Il me plante jusqu’à la garde, tremble… mais ne jouit pas.

Il me repose lentement, me regarde comme s’il venait de découvrir la putain de sa vie. Je suis nue, trempée, offerte, l’anus encore dilaté. Je m’agenouille devant lui, la bouche entrouverte.

— Tu jouis pas maintenant ?

— Non. Pas encore. Je veux te voir baiser avec les autres. Je veux voir ce que tu leur fais.

Je souris. Je m’essuie la bouche d’un revers de main, les yeux brillants.

— Appelle tes potes. Je suis prête. Et encore bien ouverte.

Je suis à genoux, nue, les cuisses encore tremblantes, mon trou rouge et dilaté après la baise sauvage de Pierre. Il tient la caméra à la main, sans dire un mot. Ses yeux me dévorent. Il bande encore, monstrueusement. Mais il recule.

— Reste là. Ne bouge pas. Je vais chercher les autres.

Il sort de la pièce. Je reste dans la lumière, offerte, jambes écartées, mes doigts qui caressent distraitement mon clito, comme si j’étais seule. Je sais que la caméra tourne. Je joue. Je m’échauffe.

Ils arrivent.

Trois mecs. Trois gabarits différents. Un brun jeune au regard insolent, un barbu plus mûr avec des mains épaisses, et un black immense, torse nu, déjà prêt à l’emploi. Ils me regardent comme un plat posé devant eux. Aucun mot.

Pierre se replace derrière la caméra.

— Elle est pour vous. Faites ce que vous voulez. Elle est en chaleur.

Le plus jeune s’avance. Il sort sa queue, fine mais longue. Il me la claque contre la joue. Je ris. Je la lèche, doucement, puis je la prends en bouche. Pas pour le sucer. Pour l'avaler. Gorge profonde d’entrée. Il gémit fort.

Pendant ce temps, le barbu s’agenouille derrière moi. Il écarte mes fesses. Son doigt glisse dans mon cul encore ouvert, s’enfonce sans résistance. Il sourit.

— Putain Pierre… t’as bien bossé. Elle est déjà prête.

— Je sais. C’est une salope d’élite, celle-là.

Il me pénètre doucement, sa queue épaisse remplissant mon cul. Je suis en sandwich : gorge pleine devant, trou plein derrière. Je me perds dans l’intensité. Je deviens objet, passerelle de plaisir, corps multi-connecté.

Puis le troisième me soulève d’un geste, me retourne, me couche sur le dos et m’enfonce sa queue énorme dans la chatte. Je crie. Il me déchire, me fait hurler, me plaque au sol. L’autre continue de me prendre le cul, pendant que le premier me branle la bouche et me gifle doucement.

Je suis prise en double. Encadrée. Offerte à tous.

Pierre filme. Il tremble. Sa main tremble. Il parle à voix basse pendant qu’il cadre :

— Regarde-moi ça… Trois bites en toi. Et tu jouis. Tu vibres, salope… T’étais faite pour ça.

— Oui… Oui… Continuez… Baisez-moi comme une pute… comme votre chienne…

Je sens mon plaisir monter. Les claques. Les doigts. Les queues. Ma bouche ne sait plus à qui elle appartient. Mon corps s’ouvre encore plus. L’orgasme me foudroie, brutal, long, mouillé. Je me tords. Je jouis comme une possédée.

Ils se relaient. Je suce pendant qu’on me prend. On me retourne, on m’écrase. Je deviens le centre d’un ballet obscène, rythmé par les halètements, les gémissements, les claquements de peau. J’en veux encore. Je supplie.

Pierre pose enfin la caméra. Il s’approche. Sa bite luit. Ses yeux sont noirs.

— C’est fini, Kristina ?

— Non… Je veux que vous jouissiez tous. Sur moi. Dans moi. Dans ma bouche. Dans mes yeux s’il faut. Je suis là pour ça.

Je suis à genoux, nue, ruisselante de salive, de foutre déjà coulé, de sueur. Mes fesses sont rouges, mon cul encore ouvert, ma chatte gonflée, palpitante. Ma bouche est entrouverte, brillante, prête. Mes seins marqués de doigts, de griffures, de désir.

Autour de moi, les mecs se branlent. Lentement. Chacun à son rythme. Le brun jeune, le barbu, le black… et maintenant Pierre, debout, la caméra posée, le sexe en main, tendu, dur, comme s’il allait exploser. Il ne dit rien. Il me regarde.

— Allez… jouissez pour moi… sur moi… J’ai été votre salope… Maintenant je veux vos traces.

Le premier s’approche. Je lui tends la langue. Il gémit, accélère, bande comme jamais, puis se tend d’un coup : un jet chaud éclate sur ma joue, un autre sur mes lèvres, un dernier dans mes cheveux. Je souris, yeux mi-clos, je lèche ce que je peux.

— Oui… oui… encore…

Le deuxième prend place. Il se branle au-dessus de mes seins, les serre entre ses grosses mains, les malaxe, les gifle légèrement, puis se décharge : foutre épais, blanc, gluant, qui dégouline entre mes seins, sur mon ventre. Je le prends entre mes doigts, je le goûte.

Le troisième me saisit la nuque, pose sa queue contre ma bouche.

— Tu veux que je jouisse où ?

— Dans ma bouche. Regarde-moi quand tu le fais.

Je l’avale. Longuement. Je suce fort. Je le sens trembler. Puis il se retire, et je reste bouche ouverte. Il me vise, jouit en plein sur ma langue, en me tenant les cheveux. Je garde tout. Je lape. Je avale, yeux dans les yeux.

Et enfin… Pierre.

Il s’approche lentement. Il bande plus fort que tous les autres. Il a filmé chaque goutte, chaque cri, chaque spasme. Il me regarde maintenant comme s’il voulait tout effacer avec sa propre jouissance.

— Tu veux la mienne aussi ?

— C’est celle que j’attendais.

Il me claque la joue avec sa queue. Une fois. Deux fois. Puis il me la donne. Je la prends entière, jusqu’à la gorge. Je le suce fort, salement, avec bruit, avec fièvre. Mes yeux pleurent. Ma salive coule. Je le branle en même temps.

— Vas-y, Pierre. Donne-la-moi. Finis en moi. Sur moi. Comme tu veux. Mais marque-moi.

Il grogne. Il bande si dur qu’il recule. Se branle en me fixant. Sa main va vite. Son souffle se brise.

— Tiens-toi prête, salope.

Et il explose. Un premier jet sur ma bouche, que j’ouvre aussitôt. Un deuxième sur mon nez, un troisième sur mes seins, puis sur ma langue. Il continue, haletant, tremblant, vidé… Je récupère tout. Je goûte. Je garde un filet blanc au coin de la lèvre.

Je reste là, nue, salie, sacralisée. Je suis un autel vivant, trempé de leur foutre.

Je souffle, doucement. Je souris.

— Maintenant… je suis prête pour l’étape finale.

Je suis restée à genoux. Le sol sous moi est humide, glissant de foutre, de sueur, de salive. Mes cheveux collent à ma peau, mes seins sont luisants, mes cuisses maculées. Mon regard ne vacille pas. Je suis là, plus nue encore que nue. Plus rien à cacher.

Autour de moi, les hommes me regardent, encore essoufflés. Mais c’est Pierre que je fixe.

— Je suis prête, Pierre. Donne-moi tout. Jusqu’à ta dernière goutte. Même celle que t’oses jamais montrer.

Il reste silencieux, tendu, le souffle court. Il déglutit. Je vois l’hésitation. Il a tout filmé, il a tout vu, mais là… là il sait que ce n’est pas une fille comme les autres devant lui. Je le vois. Il a presque peur.

Je rampe vers lui, lentement. Mes seins frottent le sol, mes genoux glissent. Je me poste juste devant lui, à genoux, docile, offerte, les yeux levés.

— Pisse sur moi. Marque ton territoire. Comme un animal. Comme un roi sur sa pute.

Il défait sa ceinture, recule à peine. Sa queue encore semi-dure tremble. Il soupire, baisse les yeux vers moi.

— Tu veux vraiment ça ?

— Je le veux depuis que je suis entrée. Et je veux que tu regardes pendant.

Il prend son sexe en main, ferme les yeux un instant. Et puis… je l’entends. Le premier jet.

Chaude, dorée, salée, l’urine frappe mon épaule. Puis ma clavicule. Il ajuste. Il me vise.

En plein visage.

Mes paupières se ferment. Ma bouche s’ouvre. Je sens le liquide couler sur mes joues, dégouliner dans mes cheveux, ruisseler sur mes seins, mon ventre, mes tétons. Je me cambre, je me laisse recouvrir, entièrement. Et je souris.

— Oui… oui… continue… je veux sentir ton odeur… ton sale… ton vrai…

Il gémit. Le jet s’intensifie. Il m’arrose le cou, le dos, les fesses. Je me retourne, je tends mes cheveux, mes mains, je l’accueille comme une bénédiction inversée, comme une victoire du corps sur la pudeur.

Je suis à genoux, trempée, dégoulinante d’or chaud, le corps collant, le souffle court, les yeux levés vers lui.

— Tu sais ce que tu viens de faire, Pierre ?

— Je viens de perdre la dernière once de contrôle que j’avais.

Je ris. Lentement. Doucement.

Je suis Kristina. 25 ans. Une salope libre. Une icône de foutre et de feu. Et je viens de marquer le roi du X à jamais.

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