Le collègue que tout le monde déteste (1)

- Par l'auteur HDS Tounet39270 -
Auteur .
  • • 63 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Tounet39270 ont reçu un total de 209 829 visites.
Récit libertin : Le collègue que tout le monde déteste (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 774 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Le collègue que tout le monde déteste (1)
Chapitre 1

Petite présentation de départ : Je m’appelle Tobias Fournier. J’ai 29 ans, 1m74, brun aux yeux marrons presque noirs. J’ai une apparence normale. Je suis gay et passif. Mon entourage est au courant mais je n’en parle pas au travail à part à une de mes collègue Mya que je connais depuis le jour où j’ai commencé mon boulot au siège d’une grande agence de voyage et avec qui j’ai plus que sympathisé. Nous sommes une vingtaine d’agents de voyage.

Ce matin, je suis à la bourre et j’arrive au taf avec une heure de retard. Quand je rentre dans l’agence, je vois pas mal de monde dans la grande salle de conférence. Je rejoins ma collègue préférée. Je me faufile vers elle pour lui demander ce qui se passe. Elle me regarde et me dit :
-Tu vas encore te faire défoncer par le boss qui t’as déjà de son collimateur.
-C’est bon, il n’a pas dû me voir. Bon, tu vas me dire ce qu’il se passe ici ?
-Le boss à trouver un nouvel hôtel à tester avant de le mettre dans les choix d’hébergement pour Barcelone. Et il fait un tirage au sort pour savoir qui irait tester l’hôtel pendant une semaine avec toutes les activités.
-Ah cool.
-Non, pas trop car il veut que l’on teste les activités pour couples à vrai dire. Et devines qui a été tiré au sort en premier ?
-J’en ai aucune idée ?
-C’est Vincent ?
-Putain, celle qui va l’accompagner va en chier. Qu’est-ce qu’il peut être lourd !
-C’est clair mais qu’est ce qu’il est grave sexy.
-Ouai c’est pas trop mon type de mec à vrai dire même si c’est vrai qu’il est pas mal.

Vincent est un mec assez macho qui sait qu’il est beau. Il mesure dans les 1m85, brun aux yeux bleu azur. Il a 35 ans. Il est marié mais ça ne l’empêche pas de draguer toutes les belles nanas qu’il croise. Il a son petit groupe de potes au sein de l’agence mais bon, il n’est pas beaucoup apprécié par les autres.

On écoute et on rigole en même temps le discours de notre boss qui va annoncer l’autre personne qui ira tester ce nouvel hôtel avec relou de Vincent. Puis notre boss dit enfin :
-Pas besoin de faire un tirage au sort pour notre deuxième candidat. Vu que monsieur Fournier se permet encore d’arriver avec une heure de retard et rigole sans cesse, il ne verra pas d’objection de partir une semaine avec monsieur Perrier pendant toute une semaine ?

Tout le monde se retourne vers moi.
-Non, non pas du tout, avec grand plaisir.
-De tout façon, je ne vous laisse pas trop le choix. Donc messieurs Fournier et Perrier, vous viendrez chercher vos billets d’avion dans mon bureau dans une demi-heure. Vous partez jeudi soir.

Je repars à mon poste de travail dépité avec Mya qui est morte de rire. Putain, fait chier, ce week-end, j’avais justement l’intention de revoir un plan régulier qui était de passage dans le coin. Je suis dégoûté. Je m’installe et là, l’autre abruti de Vincent vient s’asseoir sur le rebord de mon bureau.
-Alors ma caille, content d’être avec moi pour toute une semaine ?
-Ouai, génial, dis-je d’un ton enjoué.
-Bon, on va chercher nos billets. Et si tu veux, jeudi, je te conduis jusqu’à l’aéroport.
-Ouai si tu veux. Merci.

Je suis donc Vincent et nous allons chercher nos billets d’avion. Le vol est à 17h. Nous avons 1h30 de route en voiture à faire puis ensuite environ 1h20 en avion. En sortant du bureau du boss, Vincent me met une claque au cul en me disant que l’on va s’éclater et après ma « caille », il m’appelle ma p’tite femme (vu que nous allons tester des activités de couples) et je retourne bosser toujours dépité mais encore plus énervé par ses remarques à la con.
La semaine passe à une allure très rapide et nous voilà déjà jeudi. Je prépare ma valise sans oublier des capotes et du lubrifiant. On ne sait jamais si je peux me trouver un plan cul pendant le séjour, je le ramènerai dans ma chambre d’hôtel. C’est peut-être la seule chose qui me console dans ce séjour car les espagnols ont le sang chaud donc j’ai très hâte de voir de beaux mâles en rut.
Vers 15h, Vincent passe me chercher chez moi. Nous sommes fin juin et il fait super chaud aujourd’hui. Lorsque j’ouvre la porte d’entrée, je découvre Vincent dans un petit short chino beige qui lui moule son entre-jambe magnifiquement bien. La nature a été très généreuse à ce que je peux constater et quand il se retourne pour retourner à sa voiture pour ouvrir le coffre, je constate encore qu’il a un cul très rebondi et qui a l’air bien ferme. Ça donne envie de le toucher. Il porte aussi une petite chemise en lin blanc plutôt ajustée avec les trois premiers boutons ouverts qui me laisse deviner un torse plutôt bien musclé. J’aperçois même qu’il est poilu mais qu’il entretien en se tondant. Je le regarde sous un autre angle malgré qu’il soit con. Je dépose mes affaires dans le coffre et nous voilà parti. Durant 1h30, il me parle lui et rien que de lui. Il me parle beaucoup de cul et des nanas avec qui il baise. Il parle du fait qu’il aime se faire pomper et de voir une bouche déformée par sa queue. Il adore aussi baiser une nana par le cul mais que quasiment toutes celles qu’il saute refusent de se faire enculer car d’un : elles n’en ont pas envie et que de deux : elles disent que sa queue est trop grosse. Et il dit ça en se touchant le paquet qui commence à gonfler. Je ris bêtement à conneries et essaie de penser à autre chose et de regarder autre chose que son entre-jambe ce qu’il remarque.
-Tu mates quoi là ?
-Rien, rien, j’ai la tête dans la lune.
-Ah ok.

La route est longue, mais tellement longue. Il ne parle que de lui et je rêve de lui dire de fermer sa gueule mais bon, je reste correct. Ce mec à un melon démesuré. Nous arrivons à l’aéroport, il gare la voiture et nous voilà en train d’enregistrer nos bagages. Nous montons dans l’avion et putain, je me retrouve encore à côté de lui mais par chance je suis côté hublot. Cette fois-ci, je mets mes écouteurs pour ne plus l’entendre parler de sa petite personne mais la seule chose qui m’intéresse, c’est ce qui se passe entre ses cuisses. Je ferme les yeux pour écouter un peu de musique. Une demi-heure plus tard, je suis réveillé par mon très cher voisin qui s’est endormi en posant sa tête sur mon épaule et monsieur à mis sa main sur ma cuisse. J’ai envie de le repousser mais si je le fais, je vais le réveiller et je n’en ai pas envie. Malgré tout, le fait qu’il est sa main sur le haut de ma cuisse me perturbe, m’électrise même et je commence même à avoir ma queue qui frétille dans mon shorty. Bordel, je ne vais quand même pas bander pour ce gros macho ?
Nous arrivons enfin à destination et une navette de l’hôtel nous attends. Il est 19h et nous sommes à l’accueil pour prendre nos clés de chambre quand la réceptionniste nous dit :
-Je suis désolé messieurs mais nous n’avons qu’une seule réservation pour une seule chambre.
-Comment ça ? dis-je.
-Oui, nous avons une réservation pour la suite nuptiale.
-Nous ne sommes pas en couple ? Nous sommes l’agence X pour tester vos activités de couple.
-Oui, et pour cela, vous avez la chambre nuptiale.

Le bagagiste nous précède pour nous apporter nos bagages et nous fait visiter la suite qui est vraiment spacieuse et magnifique. Nous rentrons par un petit vestibule puis nous rentrons enfin dans ce qui s’appelle UNE PUTAIN DE SUITE ! D’un côté de la pièce se trouve un immense lit à baldaquin et en face se trouve derrière une paroi vitrée, une immense baignoire et juste à côté un jacuzzi. La pièce est remplie de miroir et un immense lustre éclaire la pièce. Il y a même un coin avec une belle table avec un seau à champagne et deux flutes avec des roses pour nous accueillir. Je suis sur le cul de voir tout ça mais ce qui me choque le plus, malgré le fait de dormir avec Vincent, c’est que je devrais me doucher à poil devant lui. Être nu devant un inconnu ne me dérange pas mais devant lui, j’aurai beaucoup de mal.
Vincent donne un pourboire au bagagiste et part ouvrir la bouteille de champagne. Il nous sert chacun une coupe et vient me tendre la mienne.
-A la nôtre ma chérie, me dit-il en me souriant.

Punaise, il a un sourire charmant. Mais STOP Tobias, arrête un peu ton bordel.

-Arrêtes tes conneries Vincent.
-Ben quoi, on est en couple pour une semaine, alors profites-en. Mais bon va falloir que je trouve une nana qui a une chambre pour la culbuter car je ne vais pas le faire avec toi à côté de moi. Quoi que cela ne me dérangerait pas.

Nous buvons plusieurs coupes de champagne et l’alcool commence à monter légèrement. Je me sens vraiment bien.
-Bon, c’est pas le tout mais si on allait manger ma belle.

Il me sort cette dernière phrase en me claquant une nouvelle fois le cul. Je ne dis rien sur cette claque, je ressens plutôt un peu d’excitation.
Nous descendons au restaurant où une table nous est réservée. Nous dînons et buvons pas mal de vin. Je ne sais pas si c’est l’alcool qui fait ça, mais je rigole à toutes ses blagues et je le regarde sous un autre angle que celui d’un con narcissique. Nous passons au dessert et c’est Vincent qui décide de le commander. Il demande au serveur de me servir une banane à la vanille, miel et clous de girofle pendant que lui prend un fondant au chocolat. Quand le serveur nous les apporte, il nous très que c’est un très bon choix car c’est un dessert aphrodisiaque. Je regarde Vincent qui explose de rire et au lieu d’être en colère j’explose de rire aussi. Il me regarde et me dit droit dans les yeux :
-Ce soir, j’te fais ta fête bébé.

Et nous explosons de rire à nouveau. Nous finissons notre dessert qui je dois dire était excellent. Nous remontons dans notre suite et je me jette littéralement sur le lit. Vincent lui, met en route le jacuzzi et appelle la réception pour commander une autre bouteille de champagne.
-Tu fais quoi ?
-Ben comme tu le vois, je vais tester le jacuzzi et tu vas me rejoindre.
-Je suis KO.
-Ah non, tu ne vas pas me laisser boire tout seul.
-Bon ok mais une seule coupe.

Une fois que nous récupérons la bouteille, Vincent nous sert et se fou en boxer et rentre dans le jacuzzi. Je le regarde faire et OH MY GOD, c’est un vrai apollon avec des tablettes de chocolat. Il a des cuisses bien musclés. Ce n’est ni trop gros ni trop fin. Et que dire de la bosse dans son boxer ? Je veux en voir plus maintenant. Il s’installe et me dit de le rejoindre. Je commence à me déshabiller en me mettant dos à lui. J’enlève le haut, puis je passe au pantalon et au moment de le descendre, mon shorty se baisse aussi en le laissant apercevoir mon petit cul imberbe.
Je l’entends siffler et me dire de ramener mon p’tit cul vers lui et prendre mon verre. Je remonte en vitesse mon shorty en me dépêchant de rentrer dans l’eau car ma queue commence à durcir en pensant au mâle sexy tout près de moi. Je m’installe en face de lui et nous nous relaxons sans parler et je sens quelques fois ses jambes frotter les miennes. Puis, il commence à me parler de sa femme avec qui il ne baise plus depuis des mois car elle est frigide depuis qu’elle a accouchée de leur deuxième enfant. Je l’écoute sans écouter. En fait, je regarde ses lèvres mais il pense que je m’intéresse vraiment à lui du coup, il change de place et vient s’installer à côté de moi. Nos jambes se touchent et il passe son bras à côté de moi.
-On n’est pas bien ici tous les deux ?
-Si, c’est clair.
-En fait je suis content que ça soit toi car on ne s’est jamais vraiment parlé.
-Oui, c’est clair et je dois dire que, …. Non, laisses tomber.
-Ben si, dis-moi ?
-A vrai dire, je t’ai peut-être mal jugé.
-Comment ça ?
-Je te prenais vraiment pour un pauvre connard narcissique.

Il éclate de rire en me prenant dans ses bras musclés ce qui me fait basculer contre lui. Je me rattrape sur son torse. Quand je veux me redresser, je glisse et cette fois-ci, ma main se retrouve sur son entre-jambe.
-Putain, je suis désolé.
-Pas de soucis, dit-il en se marrant. Bon, je dois te dire que moi aussi, je t’ai mal jugé.
-Pourquoi ?
-J’ai toujours cru que tu étais gay.

Je ne réponds rien, devient écarlate et fait semblant de rire à mon tour. Nos jambes se frôlent toujours et je sens ma queue devenir bien dure. Il faut que je pense à autre chose.
On finit par être naze et décidons d’aller nous coucher. Nous nous essuyons et il se retourne pour s’essuyer et je découvre un cul magnifique, bien bombé et légèrement poilu mais sans plus. Il met sa serviette autour de la taille et je me retourne aussi mais j’enfile un autre shorty pour aller me coucher.
-Tobias, je suis désolé mais le soir, je dors complètement à poil mais si tu veux, je peux laisser ma serviette comme ça aucun problème.
-Oui, oui pas de soucis.

On se couche et je l’entends s’endormir rapidement. De mon côté, j’ai du mal à trouver les bras de Morphée car UN PUTAIN DE BEAU GOSSE dort à poil à mes côtés. Je le mate un peu avec la lumière de la lune qui éclaire la suite. J’attends presque une heure pour essayer de toucher ses tablettes et au moment où je le touche à peine, il grogne et je me retourne directement dos à lui et je m’endors quand même avec un peu de mal. Dans la nuit, je me réveille car je le sens se rapprocher de moi et se coller à moi. Il enroule son bras autour de moi et BORDEL, je sens tout son corps dans mon dos. Je ne bouge plus. Je suis figé. Est-ce qu’il dort, est-ce qu’il est éveillé ? Je n’en sais rien et là, il commence à se frotter contre moi et je sens quelque chose contre le bas de mon dos. Putain, il a dû perdre sa serviette car c’est sa queue qu’il frotte contre mon cul et le bas de mon dos. Il fait plusieurs allers-retours et en quelques minutes, je sens un liquide sur mon dos. L’enfoiré, il a éjaculé sur moi. Je suis pris d’une soudaine érection mais je n’ose pas me toucher. Je suis tout excité et j’ai encore beaucoup de mal à me rendormir.

Sur le petit matin, je le sens bouger toujours coller à moi. Il s’écarte d’un coup en se rendant compte qu’il m’avait pris dans ses bras et j’ai senti un doigt sur le bas de mon dos et dans un murmure, je l’entends marmonner :
-Merde, merde, merde, merde et merde. Qu’est-ce que j’ai foutu bordel !

Je sens qu’il m’essuie tout doucement le dos et se lever discrètement. J’attends un peu qu’il revienne s’allonger et je fais semblant de me réveiller en me retournant vers lui et vois ses yeux grands ouverts et il me sort :
-Hey, salut, bien dormi ?

Fin du chapitre 1.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Le collègue que tout le monde déteste (1)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Tounet39270

Le collègue que tout le monde déteste (3) - Récit érotique publié le 04-12-2025
Le collègue que tout le monde déteste (2) - Récit érotique publié le 02-12-2025
Le collègue que tout le monde déteste (1) - Récit érotique publié le 01-12-2025
Le calendrier des pompiers (6 et fin) - Récit érotique publié le 29-11-2025
Le calendrier des pompiers (5) - Récit érotique publié le 28-11-2025
Le calendrier des pompiers (4) - Récit érotique publié le 27-11-2025
Le calendrier des pompiers (3) - Récit érotique publié le 25-11-2025
OnlyFan Academy : l'école des passifs - Récit érotique publié le 24-11-2025
Le calendrier des pompiers - Récit érotique publié le 22-11-2025
Le calendrier des pompiers - Récit érotique publié le 20-11-2025