Le collègue que tout le monde déteste (2) - histoire érotique

Chapitre 2

Sur le petit matin, je le sens bouger toujours coller à moi. Il s’écarte d’un coup en se rendant compte qu’il m’avait pris dans ses bras et j’ai senti un doigt sur le bas de mon dos et dans un murmure, je l’entends marmonner :
-Merde, merde, merde, merde et merde. Qu’est-ce que j’ai foutu bordel !

Je sens qu’il m’essuie tout doucement le dos et se lever discrètement. J’attends un peu qu’il revienne s’allonger et je fais semblant de me réveiller en me retournant vers lui et vois ses yeux grands ouverts et il me sort :
-Hey, salut, bien dormi ?
-Salut, oui mais j’ai un mal de crâne horrible. On a trop picolé hier soir.
-Putain, ouai c’est clair. Mais on s’est bien marré.

Vincent prend le téléphone et appelle la réception pour qu’on nous apporte le petit-déjeuner dans la chambre. Je lui dis qu’il abuse mais il me dit que non vu qu’on est ici pour tout tester les activités de couple alors autant en profiter jusqu’au bout. Nous n’avons pas attendu longtemps pour être servi : omelette, bacon, pommes de terre sautées, fruits, croissants, pain, confiture, jus d’orange, beurre café et thé. La table était remplie. Une fois terminée, Vincent est allé se doucher. Sans gêne, il est de dos, baisse son boxer et je peux admirer un magnifique cul. Il grimpe dans la baignoire et en l’enjambant, je peux apercevoir des couilles bien lisses et bien pendantes. Tout ce que j’aime. J’arrive même à voir le bout de sa queue qui pendouille. Putain, mais elle a l’air d’être immense. Il se douche dos à moi et je mate un max. Je bande comme un malade. Putain, il faut que je me reprenne. Je ne veux pas qu’il me voit dans cet état. Il se savonne et je ne peux toujours pas m’empêcher de le mater. Il prend la serviette et commence à se sécher. Putain, qu’il est vraiment beau ce mec et je ne l’avais jamais vraiment regardé de plus près mais bon, il faut que je me reprenne. Il noue sa serviette autour de la taille et me dit que la place est libre. J’attends qu’il passe et me lève, prends mes affaires et part prendre ma douche à mon tour. Je retire mon shorty et grimpe dans la baignoire. Je n’ose pas tourner la tête mais j’entends ses pas se rapprocher de la paroi vitrée. Et là, il me sort :
-Heureusement que je sais que t’es un mec car t’as un cul à se faire fourrer, dit-il en se marrant.
-Pffuuuu, t’es con.
-Non, sérieux, t’as un beau cul pour un mec.
-Ben euh, merci.

Je prends vite la serviette et m’essuie. J’enfile mon shorty et m’habille.
Ce matin, l’activité que nous avons est stage de poterie en couple. Je crains le pire. Quand je pense à poterie en couple, cela me fait penser au film « Ghost » avec Demi Moore et Patrick Swayze.
Nous partons donc et nous sommes accueillis par une femme d’une cinquantaine d’année. Je pensais que nous serions chacun à faire une poterie de notre côté mais elle nous explique que nous sommes là pour trouver une complicité de couple tendre et sensuelle à la fois. Putain, j’en étais sûr. C’est ce que je redoutais. Elle nous demande de se placer l’un devant et l’autre derrière. Bien entendu, qui se retrouve derrière moi ? Eh oui Vincent. Nous remontons bien nos manches et mettons un tablier pour protéger nos vêtements. Le corps de Vincent se colle à moi encore une fois. Nous écoutons attentivement notre formatrice puis débutons. Notre morceau d’argile se trouve devant nous avec de l’eau et je commence à essayer de reproduire ce que nous montre Carmen (la formatrice). Mes mains se pose sur l’argile que j’essaie de modeler en pot en faisant tourner le plateau avec mon pied. Vincent place ses bras sur les miens et elle me demande de mouiller les mains de Vincent pour que nos mains ne soient pas sèches. J’attrape donc ses mains, les mouilles puis les places sur les miennes. Il insère ses doigts entres les miens et nous commençons doucement à modeler un pot. Ses doigts bougent un peu et il caresse les miens en bougeant. On se croirait vraiment dans Ghost et je me retrouve à la place de Demi Moore. Je joue donc le jeu et mes doigts viennent enserrer les siens comme si nous étions un véritable couple. Je sens sa tête se poser sur mon épaule et son visage se colle au mien. Je n’ose même pas le regarder car je trouve ce moment hors du temps. Avec ses mains, il caresse les mienne. L’argile mouillée facilite les caresses. J’ai l’impression qu’il prend plaisir à me caresser les mains, les poignets. Je sens son souffle dans mon cou et j’ose tourner la tête dans sa direction. Il tourne lui aussi son regard et il me fait un sourire des plus craquant. Si j’osais, je poserais bien mes lèvres sur les siennes mais NON. Il est marié et 200% hétéro. Et surtout, je n’ai pas envie qu’il apprenne que je suis gay déjà qu’il a des doutes. Ses mains remontent sur mes avant-bras en les caressant sensuellement. Il a vraiment des mains immenses et très douces. Ma queue se réveille tout doucement. Non, non, non, il ne faut pas. Il joue le jeu à fond, je n’en reviens toujours pas. Ses mains reviennent sur les miennes, sa joue se glisse contre la mienne et cette fois-ci, je sens sa respiration sur mon visage. Je n’ose même pas le regarder. J’ai peur qu’il comprenne mon envie irrésistible de l’embrasser. Pendant une heure, ces caresses me déstabilisent. La séance se termine et Vincent joue le jeu du couple à fond : je sens encore son souffle dans mon cou et il dépose un petit baiser à la base de mon cou et cela me tétanise sur place. Je n’ose plus bouger ni le regarder. Le pot que nous avons fabriqué ressemble plus à un cendrier. Carmen le prend pour le faire cuire et nous dit qu’il sera déposé dans notre suite pour un souvenir de notre séjour. Nous allons nous laver les mains et les avant-bras et nous quittons Carmen. En sortant, il me dit :
-T’as vu, j’ai bien joué mon rôle ?
-T’étais quand même pas obligé d’en faire autant.

Il se marre et me claque le cul en me disant : « avance chérie ». Et il se marre de plus belle.
Je repars tout chambouler par cette activité plutôt géniale quand on est un vrai couple mais là, je ne sais pas quoi en penser. Nous allons en direction du restaurant maintenant car à 14h, nous partons en balade à la découverte du Barri Gòtic (le quartier gothique). Vous allez me dire mais qu’est-ce que c’est ? Et bien c’est le quartier le plus romantique de Barcelone. Nous allons donc déjeuner et encore une fois, nous buvons une bonne bouteille de vin blanc. Il me reparle durant le repas de notre séance de ce matin. Il a trouvé ça génial. Le côté romantique presque sensuel qui faisait monter le désir. J’ai trouvé ça étrange qu’il m’en parle de cette manière mais bon, c’est vrai que si un couple veut faire cette activité, je la leur recommande sans aucun problème.

A 14h, nous nous faisons déposer dans le quartier romantique et on nous donne rendez vous vers 22h car on nous a fait une réservation dans un petit restaurant romantique à 20h. Il fait beau cet après-midi, on a vraiment de la chance. On a donc marché dans les rues de Banys Nou, de la Palla et encore d’autre dont je ne me souviens plus des noms. Nous sommes restés stupéfait devant la fresque du baiser (c’est une photo mosaïque constitué de plusieurs photos). Pendant notre balade, je sentais de temps en temps la main de Vincent effleurée la mienne. De temps en temps, il m’attrapait par l’épaule pour me montrer certains bâtiments et se collant bien à moi pour me les montrer du doigt. A plusieurs reprises, je le vois prendre des photos des rues donc j’avance un peu et en me retournant, je le vois avec son regard en direction de mon cul. Je pense que je divague mais bon c’est assez troublant. Vers 17h, on se pose sur une terrasse d’un petit café plutôt mignon et nous parlons de ce que l’on pense de ce quartier. Les couples y passeraient un très bon moment. Je sens le pied de Vincent toucher le mien et je n’ose pas l’enlever. Je ne bouge pas et quand il bouge sa jambe, son pied vient frotter ma cuisse lentement. Il me regarde droit dans les yeux mais ne dit rien. Il me fait juste un large sourire. Il s’étend un peu sur sa chaise pour profiter du soleil et une fois de plus, il colle ses jambes aux miennes malgré le fait qu’il y a de la place autour.
Nous finissons notre balade en barque dans le parc de la Ciutadel-La. Je crois que c’est le meilleur moment de la balade. On était assis côte à côte, nos jambes l’une contre l’autre et comme il est plus grand que moi, pour bien se maintenir dans la barque, il a passé sa main derrière mon dos pour se tenir sur la banquette. Je sens sa main contre mes fesses mais cela n’avait pas l’air de le déranger. Je crois même avoir sentis son doigt caresser un peu mon cul mais je n’en suis pas bien sûr. J’ai laissé faire pour voir si je divaguais. A la fin de cette promenade en barque, son bras est passé sur mon épaule et il me dit :
-C’était vraiment chouette cette journée, tu ne trouves pas ?
-Si, bien sûr.

A 20h, nous sommes arrivés au restaurant. Notre table était prête. Et que dire de l’endroit : c’était juste magnifique. Notre table se trouvais sous un arbre où des guirlandes lumineuses l’embellissait. Des pétales de roses se trouvait sur la table avec un joli bouquet de roses rouge. Nous étions seul sous cet arbre. Les autres clients étaient un peu plus loin. Franchement, ils ont vraiment fait les choses bien pour recevoir les couples en toute intimité. Le dîner se passe relativement bien quand Vincent voulu prendre un morceau de pain en même temps que moi. Nos mains se sont touchées. Il avait la sienne sur la mienne mais ne l’a pas enlevé tout de suite. Il s’excusa et la retira ensuite. Nous finissons notre repas accompagner encore une fois de vin vers 22h, nous sortons du restaurant repus et fatigués. Une limousine nous attend devant le restaurant. Nous montons dedans et partons pour un tour VIP d’une heure dans les rues de Barcelone avec boissons illimitées. Du coup, nous buvons du champagne et profitons de regarder les rues illuminées de cette superbe ville. J’ouvre le toit ouvrant de la limousine et je me mets debout pour profiter du moment. Vincent me rejoint et comme il y a peu de place, il passe son bras autour de moi tout en se collant de plus près. Nous ne restons pas longtemps car le chauffeur nous demande de nous rasseoir. J’ouvre donc la vitre de mon côté et une fois de plus, Vincent se colle à moi et pose sa main sur ma cuisse. Je me retourne vers lui. Il boit une gorgée de champagne et me sourit en même temps. Le chauffeur de la limousine nous a ramener vers les alentours de minuit à notre hôtel où nous avons rejoint notre suite.
Arrivé là-bas, Vincent me proposa d’aller se faire un petit sauna. J’ai décliné la proposition pour ce soir me sentant fatigué. Il est donc parti seul et je suis allé me coucher directement. Je me suis endormi à peine mis dans le lit. Il rentra trois quart d’heure plus tard. J’ai entendu la porte s’ouvrir quand il est revenu vers le lit en titubant. J’ai pu le voir arriver près du lit et se déshabiller. Merci à la pleine lune d’illuminer la chambre. J’ai enfin pu apercevoir sa longue queue (21x5 au repos) et ses grosses couilles. Il est rentré dans le lit et me demande doucement :
-Tobias, tu dors ?

Je n’ai rien répondu. J’ai juste fait semblant de dormir. Je l’ai senti monter dans le lit et se rapprocher de moi. Il a posé sa main sur mon dos et me repose la question si je dors. Je fais toujours semblant de dormir. Puis, je sens sa respiration et son souffle dans mon cou. Sa main qui se pose sur mon dos et me le caresse doucement en descendant progressivement vers mes fesses. Il a ensuite commencé à toucher puis caresser mes fesses. Puis ses mains se sont glissées sous l’élastique. La paume de sa main est vraiment douce. Il la retire ensuite puis prend l’élastique et descend légèrement mon shorty pour laisser mon cul apparaître. Je l’ai entendu chuchoter : « whoua putain ce cul ! » et le caresser à nouveau. Pour ne pas faire de bruit car j’ai envie de gémir, je me mords les lèvres et j’essaie de ne pas bouger du tout. Il continue de me caresser et je sens qu’il se branle légèrement. De temps à autre, je sens le bout de son gland contre mes fesses et à certains instants, il écarte mes fesses pour le passer le long de ma raie. Je l’entends cracher et je sens ensuite ses doigts pleins de salive sur mon petit trou. Je suis surpris et fait un léger petit sursaut qui le fait stopper et ne bouge plus. Il attend un peu puis me redemande si je dors. Je ne réponds pas alors il reprend là où s’est arrêté. Il pose ensuite son gland sur mon trou et fait de tous petits à-coups. Il fait ça pendant plusieurs minutes quand le bout de son gland rentre doucement. Je soupir doucement et il se stoppe en poussant un râle. Il ne bouge plus et attend. Putain, il ne doute de rien ce mec. Mais je veux voir jusqu’où il va aller. J’ai envie de hurler de plaisir et de lui dire de me la mettre bien à fond mais non, je le laisse faire. Il reprend ses petits à-coups et il rentre un peu plus sa bite mais ne va pas plus loin. Ses petits à-coups doivent lui branler sa grosse queue et il pousse de légers soupirs à chaque fois qu’il rentre un peu en moi. Il arrive tout de même à faire rentrer sa queue à moitié. Il fait ce petit jeu pendant plus de dix minutes quand il se raidit et déverse son jus dans mon cul. Comme sa queue n’est pas rentré à fond, je sens son jus en moi puis une partie qui ressort de mon cul et coule tout le long de celui-ci. Il retire sa queue en soupirant puis se met sur le dos. En moins de deux minutes, je l’entends ronfler. Je passe ma main sur mon cul parce qu’il n’a pas prit le temps de remonter mon shorty. Je récupère son jus avec mes doigts et doucement, je passe mes doigts sur mes lèvres que je lèche. Je recommence et je passe même mes doigts dans mon cul pour récupérer le reste de son jus qui est vraiment délicieux.
Je me mets à mon tour sur le dos et commence par baisser mon shorty pour libérer ma queue qui est bien dure. Je la prends en main et je commence à me branler quand mon regard se pose sur sa queue toute luisante. Il ne s’est même pas essuyer la bite. Il a encore du jus dessus et encore un peu sur son gland. Je sens l’adrénaline monter en moi et je me redresse doucement. Je passe ma main devant son visage mais il dort profondément. J’approche doucement mes lèvres du fruit défendu tout en regardant s’il ne se réveille pas. Je me rapproche encore plus près et je passe ma langue sur son gland. Mmmmmm, putain que c’est bon. J’ouvre la bouche et je rentre son gland que je savoure avec le reste de son jus. Avec ma main, je prends doucement sa queue et je le suce tout doucement. Mon autre main branle ma queue avec plus de vigueur. Lentement, sa queue durcie et je n’arrive plus à la prendre entière dans ma bouche. Une fois bien raide, je la repose sur son ventre et je me rends compte qu’elle doit bien faire dans les 24cm par 6,5cm de diamètre. Ce n’est plus une bite, c’est plutôt une matraque. Je me penche vers ses couilles et je leur fais de petits baisers. Je reprends sa queue en main et continue de le sucer avec gourmandise mais tout doucement pour ne pas le réveiller. Je sens du précum couler de son gland et je m’en délecte. Je vois ses couilles se contracter et je prends tout de suite son sexe en bouche et il se met à éjaculer une grosse quantité de jus dans ma bouche que j’avale sans en perdre une goutte. Au même moment, je sens que je vais aussi juter alors je me contorsionne en me mettant sur le dos et gardant sa bite en bouche et je jouis sur mon ventre. Je jouis énormément tellement je suis excité par la situation. Il se met à bouger, je relâche sa queue, remonte mon shorty rapidement et attrape mon T-shirt au sol pour m’essuyer le ventre. Je suis en nage tellement j’ai chaud. J’ai du mal à me rendormir par ce qui vient de se passer. Mais oh mon Dieu, que vient-il de se passer ?

Le lendemain matin, je me lève doucement le premier pour aller prendre ma douche pendant qu’il dort. J’appelle ensuite le service de réception pour nous apporter le petit-déjeuner en leur demandant de faire doucement en frappant à la porte. Je commence à prendre mon café quand Vincent émerge enfin. Il se lève avec une érection matinale sans prendre la peine de la cachée. Je rigole en le voyant arriver et il s’en rend compte. Il enfile son caleçon, s’assoit en face de moi et rigole à son tour.
-Tu as bien dormi, lui dis-je ?
-Je crois, mais j’ai la gueule dans le cul ?

Nous prenons notre petit-déj puis je me lève pour aller aux toilettes et lui se lève en même temps pour aller prendre sa douche. En me relevant, je ne sais pas ce que je fais mais je me prendre la serviette de bain que j’ai laissé traîner et je me casse la gueule sur Vincent qui essaie de me rattraper. Je me relève sans mal mais cette fois-ci je ne regarde pas et je me retrouve juste devant la queue de Vincent qui explose de rire.
-Alors ma chérie, déjà en place pour me faire une gâterie ?

Et il rit de plus belle. Je le regarde, rigole et lui met une petite gifle sur la queue. Ce qui le surprend.

Fin du chapitre 2.