Le colocataire partie 1 - histoire érotique

Fred était un homme de notre âge, il venait de divorcer depuis quelques mois et s’apprêtait à aller vivre dans la région PACA une fois tous les papiers de divorce réglés.
La maison était vendue et il ne devait pas partir avant un mois vers sa nouvelle vie.
Sa femme était partie vivre chez son nouvel amant.
Il cherchait pour cette période de transition un hébergement pas trop cher, la séparation ayant déjà coûté pas mal d’argent.
Nous les connaissions par des amis interposés et le trouvions lui et sa femme assez sympa.
Possédant une grande maison avec plusieurs chambres et salles de bain, nous lui avons proposé de venir chez nous à titre gratuit.
Un peu gêné au départ il a quand même accepté.

La colocation se passait bien, il était toujours discret, courtois, participant aux différentes tâches ménagères et allait au moins une fois par semaine avec Nathalie faire les courses dont il payait une partie voire la totalité parfois.

Il est donc arrivé chez nous un dimanche en milieu d’après-midi.
Nous l’avons installé à l’étage où il avait pour lui une grande chambre et une salle de bain avec WC.

Pendant les cinq semaines où il était à la maison, je suis parti trois fois en déplacement, je ne dormais qu’une nuit à l’hôtel à chaque fois.
La dernière fois c’était un jeudi soir, un peu plus d’une semaine avant qu’il ne nous quitte.
Il rentrait souvent le premier à la maison vers seize heures trente, ensuite Nathalie vers dix-sept heures et moi entre dix-sept heures trente et dix-neuf heures.
Ce jour-là où je ne rentrais pas, il a proposé à ma femme de l’emmener au resto.
Il en avait marre de son boulot et voulait se changer les idées.
Ils sont donc allés manger dans un restaurant de la zone commerciale à quinze minutes de la maison.
Bon repas, bonne ambiance, il l’a fait rire plusieurs fois, elle a bu un peu plus que d’habitude et comme c’était lui qui conduisait, ce n’était pas un souci.
Ils ont parlé de plein de choses, de son divorce, de ses amourettes après séparation, de sexe, etc.
Il lui a dit que depuis qu’il avait appris que sa femme le trompait, il se faisait tester régulièrement.
« Comme nous. » A répliqué Nathalie en s’apercevant tout de suite qu’elle avait parlé trop vite.
Un peu interloqué, il l’a regardé d’un air interrogateur.
« Comment ça comme vous ? »
« Heuuu j’ai dit une bêtise là je crois. »
Puis un peu gênée, elle lui a dit :
« Bon en fait, on est libertin et donc parfois on fait des trucs avec d’autres personnes. »
Il a embrayé sur cette conversation en lui posant plein de questions auxquelles elle répondait souvent de façon évasive.

Elle l’a senti un peu plus tactile plus entreprenant après ça.
Ils ont pris un café, il a payé l’addition puis se sont dirigés vers la voiture.
Tout en marchant il avait passé la main dans son dos et juste avant d’arriver alors qu’il lui ouvrait la portière, sa main est descendue sur ses fesses.
Voyant qu’elle n’avait aucune réaction négative, il l’a doucement retournée et plaquée contre la voiture.
Leurs visages se sont rapprochés et ils se sont embrassés.
Un long baiser pendant lequel il promenait ses mains sur son corps.
« On serait mieux dans la voiture, je ne voudrais pas que quelqu’un m’aperçoive et me reconnaisse. »
« Oui tu as raison. »
Il lui a ouvert la porte puis une fois installé, a fait le tour de la voiture pour aller côté chauffeur.
A peine assis, il s’est penché vers elle en couchant le siège passager pour mieux l’embrasser et la caresser.
La mini-jupe qu’elle portait s’est retrouvée à la hauteur de ses hanches, son corsage et son soutien-gorge ont disparu et les mains de Fred caressaient tout son corps.
Pendant un long moment ils ont échangé des baisers fougueux.
Ses doigts se sont dirigés vers le sexe de Nathalie et après avoir légèrement écarté le string, ont continué leur progression vers les lèvres et le clito.
Elle a ouvert les cuisses un peu plus pour lui permettre de l’invertir plus loin.
Pendant qu’il continuait à l’embrasser, il l’a lentement masturbée pour aller de plus en plus vite au fur et à mesure qu’elle mouillait.
Il avait enfoncé trois doigts en elle lorsqu’elle a joui une première fois, inondant sa main de cyprine.
Il a continué jusqu’à ce qu’elle prenne une nouvelle fois son pied, puis elle a redressé son siège en lui disant :
« A mon tour de te donner du plaisir. »
Alors il a déboutonné et baissé son pantalon (il n’avait rien dessous), il a couché son siège et elle s’est penchée sur lui pour engloutir sa queue, une belle queue bien raide et bien grosse.
Elle l’a sucé avec passion pendant un long moment avant qu’il ne lui dise qu’il allait jouir.
« Laisse-toi aller. » Lui a-t-elle dit avant d’avaler sa bite encore plus loin dans sa bouche.
Quelques secondes plus tard il lui envoyait plusieurs rasades de sperme au fond de la gorge.

Une fois rhabillés, ils ont repris le chemin de la maison.

A peine rentré dans la maison, il l’a attrapé en la hissant sur le passe de la cuisine pour lui écarter les jambes et enfouir sa tête entre ses cuisses.
Après s’être laissé manger la chatte un bon moment, elle lui a dit :
« Baise-moi, j’ai trop envie de la sentir en moi. »
Il l’a descendue, puis retournée en lui écartant les jambes pour s’enfoncer en elle d’un grand coup de rein.
Il la baisait bien fort en la tenant fortement par les hanches.
Ils étaient excités tous les deux et ont joui ensemble à peine dix minutes plus tard.
Après lui avoir rempli la bouche dans la voiture, il lui avait maintenant rempli la chatte d’une belle quantité de sperme.
Ils ont pris une douche, puis sont allés naturellement se coucher tous les deux dans le lit conjugal.
Il l’a baisée une grande partie de la nuit en la prenant dans toutes les positions, elle a joui un bon nombre de fois et l’a encore fait éjaculer deux fois entre ses cuisses.


Le vendredi quand je suis rentré, Fred n’était pas là, il était en week-end avec des potes pour aller pêcher, il ne devait revenir chez nous que le lundi.

Quand nous nous sommes couchés ce vendredi, Nathalie est venue se blottir contre mon épaule en me caressant le sexe.
Elle m’a ainsi tout raconté de leur soirée d’hier.
Je bandais comme un fou en l’écoutant, j’ai joui à peine j’ai senti sa langue s’enrouler autour de mon gland alors qu’elle venait de me prendre en bouche.

Dans la nuit, au cours de leurs ébats, elle lui avait demandé s’il serait ok pour un plan à trois avant qu’il ne parte de chez nous.
Il était complètement d’accord pour ça et était prêt à faire ça lundi si ça nous convenait.

Le lundi soir quand je suis arrivé, Fred était nu, assis sur le canapé et Nathalie, nue aussi, était à califourchon sur lui, empalée sur sa queue et gémissant de plaisir.
Elle lui avait dit que ce serait plus facile pour tout le monde si je les retrouvais en train de baiser quand j’arriverais.
Un peu surpris au départ, je me suis approché d’eux et tout en ouvrant mon pantalon, j’ai approché ma bite, déjà en érection, de la bouche de ma femme qui s’est tournée vers moi pour la gober.
Je ne savais pas depuis combien de temps il la prenait, mais elle a pris son pied dans les cinq minutes qui ont suivi mon arrivée dans sa bouche.
Elle s’est détachée de lui pour venir s’agenouiller entre ses cuisses et le sucer, pendant que moi je me suis installé derrière elle pour la pénétrer à mon tour.
Sa chatte était trempée et elle tendait bien ses fesses vers moi pour que je la prenne bien loin.
Nous avons joui quasiment tous les trois ensemble.

Le reste de la soirée s’est passé tranquillement, nous avons pris un verre, mangé, regardé un peu la télé, puis nous sommes allés nous coucher, Fred dans sa chambre et nous dans la nôtre.

Le mardi soir, ils étaient dans notre chambre quand je suis arrivé.
Bien calé derrière elle, il la prenait en levrette à un rythme effréné.
Elle était en train de jouir en lui disant que sa queue était bonne, quand j’ai ouvert la porte.
Je me suis joint à eux et Nathalie a englouti ma queue dès que je me suis trouvé à portée de sa bouche.
Pendant plus d’une heure nous l’avons fait jouir à tour de rôle.
Elle était déchaînée et en voulait encore plus après chaque jouissance.
C’est elle qui passait d’une bite à l’autre en nous traitant de salaud et en gueulant qu’elle adorait nos queues.
Après une bonne dizaine d’orgasmes, elle nous a fini ensemble dans sa bouche.
Comme nous avons éjaculé presque en même temps, elle a avalé nos deux jus mélangés.

Le mercredi, Fred était assis dans le canapé, le pantalon aux chevilles et ma femme à genoux entre ses cuisses en train de le pomper vigoureusement.
Elle était toujours habillée contrairement aux jours précédents.
J’ai compris assez vite qu’elle ne voulait rien d’autre que le sucer, alors je me suis assis dans un fauteuil en la regardant faire sa fellation.
Elle y mettait du cœur, on voyait bien que ça lui plaisait.
Fred était au bord de l’explosion, mais à chaque fois elle relâchait la pression pour qu’il n’éjacule pas tout de suite.
C’est une chose qu’elle sait très bien faire si elle veut faire durer un mec et là, c’est exactement ce qu’elle faisait.
Sa langue se promenait partout sur son sexe, sa hampe, ses couilles, son gland et parfois allait titiller son anus.
Parfois elle se relevait pour l’embrasser puis redescendait avaler son braquemart.
Cela faisait bien une demi-heure que j’étais là et Fred commençait à la supplier de le faire jouir.
Alors elle lui a dit :
« Vas-y lâche-toi. »
Elle a de nouveau englouti son membre tout en le branlant vigoureusement.
Quelques secondes plus tard, il se déversait dans sa bouche, libérant une bonne quantité de sperme qu’elle a avalé goulument.

Elle s’est relevée avec un grand sourire aux lèvres, s’est penchée sur moi pour me rouler une grosse pelle pleine de foutre de notre hôte.
Je me suis aperçu qu’elle n’avait pas tout avalé car elle m’en a transmis une grande quantité en m’embrassant.
Puis elle s’est relevée en nous disant :
« Moi aussi j’aime bien partager. »
Fred a eu un grand sourire et ne semblait pas choqué du comportement de ma femme.
Elle nous a dit ensuite :
« A table, j’ai faim, ça m’a ouvert l’appétit. »

Quand nous sommes allés nous coucher, Fred était sur son ordinateur.
Nathalie est passée à côté de lui et en posant sa main sur son épaule, lui a dit :
« J’ai pas eu ma dose de sexe ce soir, si tu veux tu viens nous rejoindre. »
« Pas de souci, je finis un truc et j’arrive, j’en ai pour dix minutes, ça va vous laisser le temps de chauffer ; » A-t-il répondu en lui faisant un clin d’œil.

Quand il est entré dans notre chambre, il était nu.
Moi, j’étais allongé sur le lit, Nathalie sur moi et nous étions en soixante-neuf.
Elle dévorait ma bite et moi sa chatte.
Il s’est approché de la bouche de ma femme qui a commencé à nous sucer à tour de rôle tout en gémissant sous ma langue qui la fouillait.
Après qu’elle a joui, elle lui a dit :
« Viens me baiser pendant qu’il me lèche. »
Sans hésiter, il est venu derrière elle et s’est enfoncé tout doucement dans sa vulve, comme s’il voulait me faire bien profiter du spectacle.
Il faut dire que j’avais sa queue et ses couilles à quelques centimètres de mon visage et que vu d’ici elle me paraissait énorme.
J’ai vu son gland disparaître entre les lèvres de ma femme puis il s’est enfoncé jusqu’à la garde.
Alors que je léchais ses lèvres, j’avais les testicules de Fred sur mon nez.
Il devait sentir ma langue un peu sur sa queue et ça ne semblait pas le déranger, alors j’ai continué et petit à petit, ma bouche et mes lèvres ont embrassé leurs sexes.
Quand il sortait de sa chatte, il le faisait doucement pour bien sentir ma langue lécher sa hampe puis son gland, il faisait de lent mouvement de vas-et-viens qui nous excitait tous les trois.
Quand il était enfoncé en elle, j’allais gober ses couilles, puis je revenais vers les lèvres de Nathalie pour les sucer et les titiller en faisant la même chose avec la queue qui était enfoncée dans sa chatte.
Parfois il accélérait le mouvement et ses testicules venaient frapper mon visage.
Nathalie a joui plusieurs fois ainsi, je sentais sa vulve qui dégoulinait dans ma bouche, alors quand il a voulu changer de position, elle lui a dit :
« Non reste, continue comme ça, je veux que tu jouisses en me prenant comme une chienne pendant qu’il me lèche. »
Il est donc resté dans cette position de levrette à la baiser fougueusement jusqu’à ce qu’il explose dans son ventre.
Quand il s’est retiré, un gros paquet de sperme est tombé dans ma bouche.
J’ai ensuite plaqué mon visage sur la chatte baveuse qui était au-dessus de moi, pour la nettoyer, provoquant ainsi un nouvel orgasme à Nathalie.
Fred était resté à genoux sur le lit et quand ma femme s’est relevée, il est venu poser sa queue sur mes lèvres pour qu’à son tour je le nettoie.

Le jeudi, je suis rentré plus tôt et il est arrivé juste derrière moi.
On a bu une bière en discutant, il m’a dit qu’il avait adoré ma bouche et qu’il était prêt à recommencer quand je voulais.
« Tout de suite si tu veux. »
Il m’a dit Ok et est allé s’asseoir dans un fauteuil après avoir enlevé son pantalon.
Je me suis installé à genoux entre ses cuisses pour le prendre dans ma bouche.
Un peu flasque au départ, il a très vite pris de la vigueur jusqu’à avoir son membre bien raide.
Je l’ai sucé du mieux que je pouvais, ma langue se promenait partout sur son sexe, aspirant ses couilles, léchant sa hampe, mordillant son gland avant de le prendre complètement en bouche.
Il semblait apprécier ma fellation, à tel point qu’il s’est vidé au fond de ma gorge en à peine quinze minutes.

Quand Nathalie est rentrée, elle a été un peu surprise de me voir déjà là.
C’était le jour ou normalement ils faisaient les courses, je les ai laissés y aller pendant que moi j’allais faire quelques papiers dans mon bureau.

A leur retour, nous avons pris un apéro, puis mangé et vu que c’était son dernier soir à la maison, nous sommes montés directement après la douche, tous les trois dans la chambre.
Il fallait bien honorer Nathalie pour ce dernier soir.

Elle s’est gavée de nos queues une grande partie de la nuit, comme si elle voulait jouir au maximum une dernière fois avec nos deux bites ensemble.
Je ne sais plus combien de fois elle a joui, mais c’était presque du non-stop. Elle nous a même réclamé une double, Fred devant et moi derrière.
C’était une vraie chienne en chaleur.
Ce soir elle voulait être notre pute et se faire prendre par tous les trous.
Elle voulait qu’on l’insulte, qu’on lui claque les fesses, qu’on la prenne très fort et très loin.
Pendant près de trois heures nous l’avons défoncée, avec quelques courtes pauses pour recharger après s’être vidé en elle.
Fred a éjaculé deux fois, une dans sa bouche (elle est aussitôt venue m’embrasser) et une dans sa chatte et là je les ai nettoyés l’un après l’autre.
Moi j’ai joui trois fois, une fois dans chacun de ses trous.
Tard dans la nuit nous nous sommes endormis, exténués par tant de sexe intense.

Le lendemain il prenait ses affaires pour se diriger vers sa nouvelle vie.

Le soir quand avec Nathalie nous sommes allés nous coucher, elle s’est lovée contre le creux de mon épaule, puis elle a posé sa main sur mon sexe en le caressant et elle m’a dit :
« Tu aimes quand je te fais cocu ? »
« Oui bien sûr, pourquoi ? »
« Même si je ne te le dis pas aussitôt après l’avoir fait. »
« Bein oui, ça dépend des circonstances mais oui. »
« Alors voilà, ce que je t’ai raconté sur notre sortie au restaurant avec Fred est vrai, mais… ça ne s’est pas passé jeudi dernier… ça s’est passé lors de ton premier déplacement quand il était là, c’est-à-dire le surlendemain de son arrivée, le mardi soir. Tu étais parti à Lyon si je me souviens bien. »
« Heuuu, oui, exact, mais… alors… je ne comprends plus trop la chronologie là. »
« Je t’explique, il s’est donc passé ce que je t’ai raconté, tout est exact et je comptais te le dire le mercredi quand tu es rentré.
Quand Fred est arrivé ce soir-là, j’étais sous la douche, il est entré dans la salle de bain complètement nu et déjà en érection.
Il s’est approché de moi, m’a collé contre le mur pour m’embrasser avec fougue. Je sentais sa bite bien raide contre mon ventre et je n’ai pas pu résister, il m’a relevé les jambes et m’a prise debout comme ça.
Après avoir joui, on est monté dans sa chambre et il m’a baisée pendant plus d’une heure.
Ensuite nous sommes redescendus et tu es arrivé une bonne demi-heure après.
Je voulais savoir si tu allais t’en rendre compte, alors je ne t’ai rien dit et j’avoue que ça m’excitait de t’avoir fait cocu sans que je te le raconte après.
De plus je me doutais qu’à la moindre occasion il allait vouloir me sauter, donc je me suis dit que j’allais attendre pour te raconter tout ça. »
« Ok mais je ne comprends pas, pour le trio avec moi tu lui en as parlé quand ? »
« Le premier soir ou l’on a baiser ensemble, mais il n’était pas très chaud et au fur et à mesure du temps j’ai réussi à le décider. »
« Ok, donc tu dois avoir plein de choses à me raconter. »
« Oui, tout plein. » M’a-t-elle dit avec un grand sourire, toujours en tenant ma queue qui était bien dure.

A suivre…