Le goût des gros calibres (2)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2020 dans la catégorie Plus on est
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Le goût des gros calibres (2)
Le couple menaçant de rompre suite à la découverte de l'infidélité de Lise (lire précédent épisode), c'est alors qu'elle eut une idée pour tenter un rapprochement. Elle avait souvent remarqué l'attirance de son mari pour les femmes noires. Il dévorait littéralement des yeux les athlètes américaines, jamaïcaines et africaines lors des rencontres d'athlétisme télévisées. Il avait en outre été impressionné par une collègue de Lise, Fatou, sculpturale sénégalaise coiffée de tresses, pas loin d'1,80m, lors d'un pot d'entreprise de son épouse à laquelle il avait été convié comme d'autres conjoints. Lise l'avait constaté et ne pouvait que lui donner raison, ayant pris fréquemment une douche à poil avec sa collègue après les cours de gym qu'elles suivaient entre "midi et deux". Les seins en obus, le cul rebondi et les longues jambes musclées de Fatou étaient puissamment chargés d'érotisme et du reste, l'intéressée ne faisait par mystère de son goût pour le sexe, partagé avec son mari Boubacar, lui aussi athlétique et fortement sexué. Lise avait souvent rêvé de coucher avec lui mais n'était jamais passée à l'acte de la séduction à laquelle, elle en était sûre, le mâle sénégalais aurait fini par succomber.
Or, la nouvelle situation de son couple avec Rodolphe pouvait permettre une évolution salutaire. S'il baisait avec Fatou, il assouvirait un fantasme et en même temps permettrait à elle, Lise, de continuer à satisfaire aux siens, surtout si Boubacar jouait aussi le jeu (car elle ne doutait pas de son gros calibre). Il lui restait donc à convaincre sa collègue sénégalaise de se prêter à ce plan à quatre en faisant jouer la sauvegarde du couple qu'elle formait encore avec Rodolphe.
Fatou se montra d'abord réticente. Certes, leur couple aussi était très libre mais le charme incontestable de Lise ne risquerait-il pas de lui aliéner son Boubacar ? Et l'inverse ne serait-il pas vrai avec Rodolphe, la mettant dans une situation délicate ? Et quelles satisfactions sexuelles pourrait-elle tirer de cet accouplement avec un homme que Lise jugeait elle-même insuffisant ? Celle-ci démonta les arguments un par un. Primo, elle ne chercherait jamais à "piquer" le mari d'une autre, à fortiori d'une collègue amie, c'était juste une histoire de cul. Secundo, Rodolphe lui était trop attaché pour la larguer. Tertio, celui-ci était un bon amant, attentif au plaisir de sa partenaire et si sa bite était d'un calibre moyen, son endurance était à souligner. Et puis surtout, Fatou ferait "une bonne action".
Il fut moins difficile de convaincre Rodolphe et encore moins Boubacar de ce "plan à quatre". Ils étaient même ravis que leurs épouses prennent elles-mêmes ces initiatives qui, en général, viennent des hommes. Tous deux se régalaient à l'avance de ce mélange de peaux et le fait qu'il se produise en présence de leurs conjointes ne les dérangeait en rien. Ils se sentaient même justifiés dans leur fantasme. Boubacar avait un faible pour les petites blondes bien roulées comme Lise...
Le rendez-vous eut lieu un après-midi au domicile du couple noir afin de disposer de temps et de vitalité pendant que les enfants pratiquaient leur sport. Fatou avait préparé des amuse-gueule épicés que la Sénégalaise dégustait dans un fauteuil en mini robe, cuisses entrouvertes sur l'absence de slip. Face à elle, Rodolphe déglutissait avec peine au spectacle de l'entrecuisses découvert sans complexe. Lise avait du mal à détacher les yeux du bermuda de Boubacar moulant une excroissance qui ne demandait qu'à en jaillir. Chacun donnait le change avec une conversation banale, retardant le moment d'envoyer promener les vêtements et de se rentrer dedans. Mais cette tension faisait de plus en plus bander Boubacar qui lorgnait le débardeur de Lise et ses petits seins ronds, si éloignés par leur forme des obus de Fatou. Qui allait craquer en premier ?
Quand Lise se leva pour aller se servir à boire, ondulant de la croupe moulée par un très léger pantalon corsaire révélant la couture d'un string, le Sénégalais l'attrapa par la taille et la plaqua vers lui en l'embrassant goulûment. Aussitôt, Rodolphe se rua vers Fatou et plongea son mufle dans son entrecuisses, satisfaisant illico à un vieux fantasme consistant à lécher la chatte d'une noire. Celle-ci en fit tomber son verre de punch mais s'ouvrit en grand en tenant la nuque de son lécheur qui se mettait déjà plein les babines de cyprine. Cette fois, les vêtements volèrent dans la pièce, envahie par des bruits de succion mêlés de soupirs de plaisir. On en était encore au sexe buccal. Pour Lise, le critère d'une vraie bite était de savoir si elle pouvait l'entourer de sa petite main ou pas lorsqu'elle était en érection. Elle y parvint à peine avec la queue de Boubacar, plantureuse de la base au sommet et longue comme un avant-bras d'enfant. Elle dessina le gland de sa langue, s'attardant sur les boursoufflures tout en observant les réactions de son titulaire, de plus en plus énervé par cette diablesse. Tout aussi agacée était Fatou par l'insistance de la langue de Rodolphe à titiller son clitoris proéminent tout en pétrissant ses mamelles gonflées. "Baise-moi maintenant", lui répétait-elle, écartelée et nue sur le fauteuil, mais l'autre avait trop rêvé de se barbouiller du jus d'une chatte noire pour interrompre son exploration. Quant à Lise, elle avait mal aux maxillaires à force d'ouvrir la bouche pour pomper l'imposant braquemard mais elle partait du principe que Boubacar l'a baiserait d'autant mieux si elle l'avait auparavant conduit au bout du bout.
Finalement, Fatou craqua, repoussa la figure de Rodolphe gluante de son jus et déclara :- Allez, tous au lit maintenant.
Et elle se dirigea vers la chambre, entrainant derrière elle Rodolphe fasciné par la croupe somptueuse et mouvante de la Sénégalaise, au sillon profond, tous deux suivis par l'autre couple, elle dégoulinant déjà sur ses cuisses, lui précédé d'un bâton noir à l'horizontale. Comme tous les quatre avaient été déjà préparés, la pénétration intervint rapidement alors qu'ils se trouvaient en parallèle en travers du lit, flanqué d'un grand miroir mural. Boubacar fut ravi d'entrer aussi facilement dans l'antre de Lise, parfaitement lubrifié, si bien qu'il put engager quasi totalement son glorieux pénis et l'activer sans trop de précaution en insistant sur les parois vaginales. Il sentit les petites jambes de sa partenaire verrouiller ses reins en signe d'assentiment et se mit à danser en elle, accompagné par les piaillements de la jolie blonde.
De son côté, Rodolphe avait choisi de prendre Fatou par derrière, à la fois pour mater et palper son cul royal mais aussi pour observer plus facilement la copulation du couple voisin dans le miroir de face tout en jetant des regards de côté. Il fut tout autant étonné que Boubacar de le voir engagé totalement sans provoquer le moindre cri de douleur de son épouse. Il en conclut que, décidément, elle avait l'expérience des gros chibres. Mais il était aussi ravi de voir dans le miroir le visage irradié de plaisir de Fatou, preuve que la raideur de sa queue et son rythme soutenu valait bien le volume de celle d'à côté. La Sénégalaise manifestait son contentement en agitant sa croupe à l'unisson de ses gros nibards et de ses tresses et en souriant de toutes ses dents. "Je crois que je la baise bien", se dit-il, rassuré.
Puis ce fut au tour de Lise de se mettre à quatre pattes et de se regarder baiser, enfilée jusqu'à la garde, démontée par les vigoureuses poussées du Noir et visionnant via le miroir le visage concentré de son mari en train de limer en missionnaire la plantureuse Fatou dont les pieds nus, écartés à 45°, pointaient vers le plafond. Les deux femmes rivalisaient de décibels comme si elles voulaient se démontrer mutuellement le plaisir qu'elles prenaient à cet échange de mari. Le lit tanguait, le jus coulait sur les draps découverts, les sexes clapotaient, la sueur envahissait les peaux et l'odeur de foutre imprégnait la chambre. Rodolphe limait la belle Fatou avec l'impression qu'il pourrait durer encore une heure. La tige de Boubacar, blanchie par le jus de Lise, le fascinait autant que les gros seins en mouvement de Fatou. Cette matraque noire entrait et sortait avec facilité, semblait aspirée par la chatte en fusion de Lise et modifiait le rythme de ses aller-retour en fonction des coups de cul de la petite blonde. C'était comme s'il voyait sa femme baiser pour la première fois et c'était une vraie révélation. De même, Lise était épatée par le rendement de son mari entre les cuisses musclées de la Sénégalaise, qui n'en finissait plus de célébrer verbalement sa virilité. Elle ne s'opposa pas à sa proposition de la sodomiser et le couple voisin s'interrompit pour observer et même aider à l'opération. Lise guida elle-même la bite de son mari vers l'anus de Fatou qui s'ouvrit comme Sésame et ce fut de nouveaux cris de plaisir pendant que Lise s'empalait sur Boubacar, le regard passant alternativement sur le torse puissant de son partenaire et sur l'enculade voisine. Lise tressautait les pieds sur le matelas, Fatou arrondissant sa croupe, les deux mâles se défiaient du regard : qui allait juter le premier ?
Ce furent quelques mots qui déclenchèrent l'éjaculation de Rodolphe, premier à craquer. Simultanément, Fatou lâcha : "ah c'est bon, tes couilles sur ma chatte !" Puis Lise :" ah que je suis bien remplie ! Baise, baise !" Affalé sur le dos de Fatou comme un chien sur une chienne en chaleur, Rodolphe gicla dans le rectum de la Sénégalaise en grognant et resta un moment soudé à elle pendant qu'elle l'essorait à grands coups de cul. Puis Boubacar retourna Lise, l'écartela les bras dans le creux de ses genoux et la percuta de toute sa longueur avant de lui éjaculer sur le ventre un sperme épais et copieux, la mettant au bord de l'évanouissement. Et les deux couples se dissocièrent, toujours en travers du lit, rompus de fatigue mais apaisés après une longue tension.
Dès lors, les rapports entre Lise et Rodolphe prirent un tour nouveau. Ils firent beaucoup plus souvent l'amour et Lise ressentit moins le désir d'une grosse queue. Fatou lui rappelait dans le creux de l'oreille le plaisir que lui avait donné Rodolphe, qui s'était nettement réévalué aux yeux de son épouse. D'un commun accord, les deux femmes considérèrent qu'il valait mieux ne pas renouveler l'expérience de ce plan à quatre et d'en rester sur ce bon souvenir, d'autant qu'il avait pleinement atteint son but. Néanmoins, lors d'un voyage aux Antilles, Lise et Rodolphe ne résistèrent pas à la tentation de renouer l'une avec un gros calibre, l'autre avec une chatte noire, et ce à la suite d'une rencontre avec un couple d'hôteliers locaux avec lequel ils avaient sympathisé. Après tout, les vacances servent aussi aux rencontres enrichissantes...
Or, la nouvelle situation de son couple avec Rodolphe pouvait permettre une évolution salutaire. S'il baisait avec Fatou, il assouvirait un fantasme et en même temps permettrait à elle, Lise, de continuer à satisfaire aux siens, surtout si Boubacar jouait aussi le jeu (car elle ne doutait pas de son gros calibre). Il lui restait donc à convaincre sa collègue sénégalaise de se prêter à ce plan à quatre en faisant jouer la sauvegarde du couple qu'elle formait encore avec Rodolphe.
Fatou se montra d'abord réticente. Certes, leur couple aussi était très libre mais le charme incontestable de Lise ne risquerait-il pas de lui aliéner son Boubacar ? Et l'inverse ne serait-il pas vrai avec Rodolphe, la mettant dans une situation délicate ? Et quelles satisfactions sexuelles pourrait-elle tirer de cet accouplement avec un homme que Lise jugeait elle-même insuffisant ? Celle-ci démonta les arguments un par un. Primo, elle ne chercherait jamais à "piquer" le mari d'une autre, à fortiori d'une collègue amie, c'était juste une histoire de cul. Secundo, Rodolphe lui était trop attaché pour la larguer. Tertio, celui-ci était un bon amant, attentif au plaisir de sa partenaire et si sa bite était d'un calibre moyen, son endurance était à souligner. Et puis surtout, Fatou ferait "une bonne action".
Il fut moins difficile de convaincre Rodolphe et encore moins Boubacar de ce "plan à quatre". Ils étaient même ravis que leurs épouses prennent elles-mêmes ces initiatives qui, en général, viennent des hommes. Tous deux se régalaient à l'avance de ce mélange de peaux et le fait qu'il se produise en présence de leurs conjointes ne les dérangeait en rien. Ils se sentaient même justifiés dans leur fantasme. Boubacar avait un faible pour les petites blondes bien roulées comme Lise...
Le rendez-vous eut lieu un après-midi au domicile du couple noir afin de disposer de temps et de vitalité pendant que les enfants pratiquaient leur sport. Fatou avait préparé des amuse-gueule épicés que la Sénégalaise dégustait dans un fauteuil en mini robe, cuisses entrouvertes sur l'absence de slip. Face à elle, Rodolphe déglutissait avec peine au spectacle de l'entrecuisses découvert sans complexe. Lise avait du mal à détacher les yeux du bermuda de Boubacar moulant une excroissance qui ne demandait qu'à en jaillir. Chacun donnait le change avec une conversation banale, retardant le moment d'envoyer promener les vêtements et de se rentrer dedans. Mais cette tension faisait de plus en plus bander Boubacar qui lorgnait le débardeur de Lise et ses petits seins ronds, si éloignés par leur forme des obus de Fatou. Qui allait craquer en premier ?
Quand Lise se leva pour aller se servir à boire, ondulant de la croupe moulée par un très léger pantalon corsaire révélant la couture d'un string, le Sénégalais l'attrapa par la taille et la plaqua vers lui en l'embrassant goulûment. Aussitôt, Rodolphe se rua vers Fatou et plongea son mufle dans son entrecuisses, satisfaisant illico à un vieux fantasme consistant à lécher la chatte d'une noire. Celle-ci en fit tomber son verre de punch mais s'ouvrit en grand en tenant la nuque de son lécheur qui se mettait déjà plein les babines de cyprine. Cette fois, les vêtements volèrent dans la pièce, envahie par des bruits de succion mêlés de soupirs de plaisir. On en était encore au sexe buccal. Pour Lise, le critère d'une vraie bite était de savoir si elle pouvait l'entourer de sa petite main ou pas lorsqu'elle était en érection. Elle y parvint à peine avec la queue de Boubacar, plantureuse de la base au sommet et longue comme un avant-bras d'enfant. Elle dessina le gland de sa langue, s'attardant sur les boursoufflures tout en observant les réactions de son titulaire, de plus en plus énervé par cette diablesse. Tout aussi agacée était Fatou par l'insistance de la langue de Rodolphe à titiller son clitoris proéminent tout en pétrissant ses mamelles gonflées. "Baise-moi maintenant", lui répétait-elle, écartelée et nue sur le fauteuil, mais l'autre avait trop rêvé de se barbouiller du jus d'une chatte noire pour interrompre son exploration. Quant à Lise, elle avait mal aux maxillaires à force d'ouvrir la bouche pour pomper l'imposant braquemard mais elle partait du principe que Boubacar l'a baiserait d'autant mieux si elle l'avait auparavant conduit au bout du bout.
Finalement, Fatou craqua, repoussa la figure de Rodolphe gluante de son jus et déclara :- Allez, tous au lit maintenant.
Et elle se dirigea vers la chambre, entrainant derrière elle Rodolphe fasciné par la croupe somptueuse et mouvante de la Sénégalaise, au sillon profond, tous deux suivis par l'autre couple, elle dégoulinant déjà sur ses cuisses, lui précédé d'un bâton noir à l'horizontale. Comme tous les quatre avaient été déjà préparés, la pénétration intervint rapidement alors qu'ils se trouvaient en parallèle en travers du lit, flanqué d'un grand miroir mural. Boubacar fut ravi d'entrer aussi facilement dans l'antre de Lise, parfaitement lubrifié, si bien qu'il put engager quasi totalement son glorieux pénis et l'activer sans trop de précaution en insistant sur les parois vaginales. Il sentit les petites jambes de sa partenaire verrouiller ses reins en signe d'assentiment et se mit à danser en elle, accompagné par les piaillements de la jolie blonde.
De son côté, Rodolphe avait choisi de prendre Fatou par derrière, à la fois pour mater et palper son cul royal mais aussi pour observer plus facilement la copulation du couple voisin dans le miroir de face tout en jetant des regards de côté. Il fut tout autant étonné que Boubacar de le voir engagé totalement sans provoquer le moindre cri de douleur de son épouse. Il en conclut que, décidément, elle avait l'expérience des gros chibres. Mais il était aussi ravi de voir dans le miroir le visage irradié de plaisir de Fatou, preuve que la raideur de sa queue et son rythme soutenu valait bien le volume de celle d'à côté. La Sénégalaise manifestait son contentement en agitant sa croupe à l'unisson de ses gros nibards et de ses tresses et en souriant de toutes ses dents. "Je crois que je la baise bien", se dit-il, rassuré.
Puis ce fut au tour de Lise de se mettre à quatre pattes et de se regarder baiser, enfilée jusqu'à la garde, démontée par les vigoureuses poussées du Noir et visionnant via le miroir le visage concentré de son mari en train de limer en missionnaire la plantureuse Fatou dont les pieds nus, écartés à 45°, pointaient vers le plafond. Les deux femmes rivalisaient de décibels comme si elles voulaient se démontrer mutuellement le plaisir qu'elles prenaient à cet échange de mari. Le lit tanguait, le jus coulait sur les draps découverts, les sexes clapotaient, la sueur envahissait les peaux et l'odeur de foutre imprégnait la chambre. Rodolphe limait la belle Fatou avec l'impression qu'il pourrait durer encore une heure. La tige de Boubacar, blanchie par le jus de Lise, le fascinait autant que les gros seins en mouvement de Fatou. Cette matraque noire entrait et sortait avec facilité, semblait aspirée par la chatte en fusion de Lise et modifiait le rythme de ses aller-retour en fonction des coups de cul de la petite blonde. C'était comme s'il voyait sa femme baiser pour la première fois et c'était une vraie révélation. De même, Lise était épatée par le rendement de son mari entre les cuisses musclées de la Sénégalaise, qui n'en finissait plus de célébrer verbalement sa virilité. Elle ne s'opposa pas à sa proposition de la sodomiser et le couple voisin s'interrompit pour observer et même aider à l'opération. Lise guida elle-même la bite de son mari vers l'anus de Fatou qui s'ouvrit comme Sésame et ce fut de nouveaux cris de plaisir pendant que Lise s'empalait sur Boubacar, le regard passant alternativement sur le torse puissant de son partenaire et sur l'enculade voisine. Lise tressautait les pieds sur le matelas, Fatou arrondissant sa croupe, les deux mâles se défiaient du regard : qui allait juter le premier ?
Ce furent quelques mots qui déclenchèrent l'éjaculation de Rodolphe, premier à craquer. Simultanément, Fatou lâcha : "ah c'est bon, tes couilles sur ma chatte !" Puis Lise :" ah que je suis bien remplie ! Baise, baise !" Affalé sur le dos de Fatou comme un chien sur une chienne en chaleur, Rodolphe gicla dans le rectum de la Sénégalaise en grognant et resta un moment soudé à elle pendant qu'elle l'essorait à grands coups de cul. Puis Boubacar retourna Lise, l'écartela les bras dans le creux de ses genoux et la percuta de toute sa longueur avant de lui éjaculer sur le ventre un sperme épais et copieux, la mettant au bord de l'évanouissement. Et les deux couples se dissocièrent, toujours en travers du lit, rompus de fatigue mais apaisés après une longue tension.
Dès lors, les rapports entre Lise et Rodolphe prirent un tour nouveau. Ils firent beaucoup plus souvent l'amour et Lise ressentit moins le désir d'une grosse queue. Fatou lui rappelait dans le creux de l'oreille le plaisir que lui avait donné Rodolphe, qui s'était nettement réévalué aux yeux de son épouse. D'un commun accord, les deux femmes considérèrent qu'il valait mieux ne pas renouveler l'expérience de ce plan à quatre et d'en rester sur ce bon souvenir, d'autant qu'il avait pleinement atteint son but. Néanmoins, lors d'un voyage aux Antilles, Lise et Rodolphe ne résistèrent pas à la tentation de renouer l'une avec un gros calibre, l'autre avec une chatte noire, et ce à la suite d'une rencontre avec un couple d'hôteliers locaux avec lequel ils avaient sympathisé. Après tout, les vacances servent aussi aux rencontres enrichissantes...
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