Le grenier, au dessus de chez mes parents.

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Le grenier, au dessus de chez mes parents. Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le grenier, au dessus de chez mes parents.
C'était quelques semaines, après mon aventure nocturne en 1982, avec l'homme qui m'a demandé une fellation dans un couloir d'immeuble ancien.

Il m'a enculé ensuite, sur les hauteurs du Mont Faron, contre le capot de sa voiture.
C'est en me ramenant chez moi, qu'on a découvert qu'on habitait pas loin, l'un de l'autre.
Mais lui était marié, et moi, encore chez mes parents, j'étais en couple avec ma première fiancée.

Elle et moi, faisions toujours l'amour dans un grenier inoccupé, que j'avais réussi à ouvrir avec une clef modifiée, qui me servait de passe.
C'était parfait pour nous, il y avait un matelas en assez bon état, posé sur le sol.

On y passait des après-midi entiers, comme tout jeune couple fou amoureux.
C'était troublant, et à la fois excitant d'entendre ma famille, à l'étage en dessous, alors qu'on venait de jouir ensemble.
Surtout quand je venais de la sodomiser, parce qu'elle adorait ça, et me le réclamait souvent !
On adorait se dévergonder ensemble, et malgré ses dires, elle était bien plus vicieuse qu'elle n'osait l'avouer.

Cette fin d'après midi là, on sort discrètement du grenier, puis descendons dans la rue, devant chez mes parents.
Je ne sais pas, si c'est mon cas, mais je trouve qu'on voit sur son visage qu'elle est épuisée sexuellement, et ça me plait !
On se bécote un peu, puis son regard insistant sur un homme qui passe derrière moi, m'intrigue.

Je me retourne, et reconnais l'homme qui m'a baisé au Mont Faron. La situation me fige brusquement, j'essaie de rester naturel.
Alors que ma copine me dit:

"Qu'est-ce qu'il a lui, à nous regarder comme ça ?".

Je suis saisi d'une peur immense, c'est vrai ! Qu'est ce qu'il fait là ?
Le type marche encore un peu, puis se pose contre un mur, faisant mine d'attendre, tout en nous jetant des regards furtifs.

"C'est rien, je pense qu'il a rendez-vous ! On s'en fout !".

Pour distraire son attention, je l'embrasse tendrement.

"Hummm, c'était bien tout à l'heure ! Je t'aime comme un fou !".
"Hummmm ! Oui, trop bien ! Moi aussi, j'ai adoré ! Je t'aime trop, Pascal !".

Elle me répète qu'elle a osé parler de nos ébats à sa meilleure amie, se vantant de jouir extrêmement bien avec moi.
Je reste réaliste, je suis le seul homme qu'elle ait connu, comment peut elle être si affirmative ?
Aujourd'hui, je sais que c'est ma passion pour elle qui me rendait aussi performant.

Elle me quitte peu de temps après, pour rentrer chez ses parents.
L'homme la regarde passer devant lui, puis vient à ma rencontre.

"Eh ben ! Tu t'emmerde pas, mon vieux ! C'est un petit canon ! Tu l'as baisée, j'espère ?".
"Oui, mais ça me gêne de parler d'elle, comme ça !".

"Excuses moi ! Il t'en reste un peu pour moi ? J'suis venu exprès, en espérant te trouver !".
"Euh, on peut pas, j'ai pas d'appartement !".

"Pourtant, tu l'as bien baisée ta copine ! T'as fait ça chez tes parents ?".
"Euh... Non, mais c'est notre endroit à nous ! On fait ça dans un grenier ! Ca va me faire bizarre de me faire... euh... baiser... au même endroit !".
"Mais non ! C'est parfait ! On y va ! Montre-moi ! Allez, dépêches toi, j'ai une grosse envie !".

En me tournant pour lui montrer le chemin, les souvenirs de mes ébats avec ma copine me reviennent.
J'ai éjaculé en prenant un plaisir incroyable, comment je vais pouvoir apprécier ce qui arrive.
J'ai plus aucun désir de sexe.

Puis je me rassure, c'est vrai qu'il préfère se faire sucer !
Je sais que malgré tout, ça va me plaire, ça aussi !
Je compte bien en profiter, en prenant mon temps, avec sa grosse verge.
Je pivote en lui murmurant:

"Ne me suis pas de trop près ! J'ai peur qu'on nous voit monter ensemble !".
"OK ! T'as raison, c'est plus discret !".

Il laisse l'équivalent d'un étage, entre nous, ça me donne le temps d'ouvrir à nouveau, notre nid d'amour, à ma copine et moi.
Il se faufile dans la petite mansarde.

"C'est parfait pour baiser, ici ! Putain, ça sent encore la chatte, et la baise ! Tu l'as baisée longtemps ?".
"Chhhhut ! Moins fort ! Mes parents sont juste en dessous ! Ca a duré deux heures !".
"Vous êtes jeunes ! C'est normal !".

Je referme la porte à clefs, il se colle à mes fesses, et me caresse le cul avec un désir évident.

"Putain, tu sais que je me suis régalé l'autre fois ! Tu vas commencer par me sucer, et après je te baise ton p'tit cul !".

Ca ne m'arrange pas, j'ai la libido à zéro, moi !
Je me dis que je vais me donner à fond dans notre plaisir buccal.
Qui sait, il ne pourra pas résister à ma bouche, et m'éjaculera dans la gorge !

Pour le moment, il m'entraine près du matelas, et me dirige au niveau de sa grosse verge.
Il se dénude en ajoutant:

"Putain, ça sent trop le cul, ça me fait encore plus bander ! Regardes !".

En effet, en dégageant sa verge, elle m'apparait énorme et très dure, devant les yeux, qui commencent à briller d'envie.
Je la saisi par la base, et ses couilles rasées, mes petits doigts ont du mal à l'encercler.

Ca m'excite au point de fermer les yeux, avant de coller ma langue sur son gros gland.
J'en apprécie davantage chaque millimètre de douceur et dureté.
Lentement, mes lèvres s'écartent pour me l'enfoncer au fond de la gorge.

J'en gémis de bonheur pervers, lui aussi !
Sous son impulsion, je me dénude sans quitter sa bite avec ma bouche.

J'ai encore le bout de la verge humide, de mon éjaculation avec ma copine.
Je m'inquiète pour la suite, mais je ne reviendrai pas en arrière, c'est sûr !
J'aime trop ce qu'on est entrain de faire.
Ca ne va pas me faire jouir, mais ça comble mon plaisir cérébral.
J'ai envie de lui donner du plaisir jusqu'à l'éjaculation.

Il me retient un instant, pour s'allonger sur le matelas.

"Allez ! Viens ! Suces moi encore la bite ! On va prendre notre temps !".

Je m'allonge entre ses cuisses écartées, pour m'enivrer de ce plaisir buccal sans fin.
Je change d'endroit très souvent, en lui gobant, léchant, ou aspirant les couilles.

Pour ensuite revenir sur son gland, afin de lui pomper la verge avec gourmandise.
Très souvent, je m'enfonce sur sa grosse verge, jusqu'à m'en étouffer.

"Oh putain ! T'es une vraie p'tite salope ! Encore ! J'adore ça !".

A l'étage en dessous, on entend:

"A quelle heure, il rentre Pascal ?".
"Je sais pas, je l'ai vu dehors avec sa copine ! Il devrait pas tarder !".

Mon inconnu, me demande:

"C'est toi Pascal ?".
"Mmmmmmm ! Mmmouiii ! Mmmmmm !...".
"Ben, t'es pas prêt de rentrer ! Crois-moi ! Orhhhh ! Qu'est-ce que tu me suces bien ! Arhhhh ! Stop ! Maintenant, je veux ton p'tit cul !".

Ce vicieux a bien tenu, ça doit faire plus de vingt minutes que je lui dévore la queue ! Il ajoute:

"Mets toi à quatre pattes ! Comme ta copine ! Je suis sûr que tu la baises comme ça aussi ! Pas vrai ?".

Je m'offre en avouant:

"Oui, c'est vrai ! Ca m'arrive !".
"Ben, cette fois, c'est moi qui vais te baiser ! Comme on baise une chatte ! Tu la défonces bien, j'espère !".
"On fait l'amour ! Je la baise pas souvent !".
"Tu réserves ça aux hommes ! C'est ça, salope !".

Sa verge commence à pousser et m'écarteler l'anus.

"Arhhhhhhhhh ! Oui, c'est ça ! Orhhhhhhh ! Doucement ! Mmmmmmmmmmmm !...".

Je me cambre pour mordre le matelas, ce qui lui offre davantage mes fesses.
Il recule pour me cracher encore sur l'orifice anal, puis revient de plus belle.
Son gros gland glisse mieux, et s'insère plus profondément.
J'en suis pas encore à ressentir du plaisir, mais réaliser que je vais me faire enculer m'apporte un vrai bonheur cérébral.
Il ressort et recrache dans mon petit trou, un peu élargi, du coup.
Il s'y présente encore en forçant.
Contre toute attente, il coulisse très lentement jusqu'à me toucher le coccyx.

"Mmmmmmmmmmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmmmmmmmm...".
"Orhhhhhhhh ! Putain, je suis trop bien dans ton petit cul, Pascal ! J'vais encore me régaler !".

De mon coté, sa présence dans mon orifice anal, me confirme que même sans désir, je peux encaisser sa grosse verge, sans problème.
Et ce remplissage anal non désiré, me fait beaucoup de bien, j'adore cette sensation.

Il se lance dans une interminable série d'enfoncements, qui me font gémir, puis râler de plaisir.
Ca commence à me submerger, je serre mes dents dans le matelas, pour ne pas crier trop fort.

"Mmmmuuuhhhhhhhhhhhhhhhh ! Mmmuhhhhhhhhhhhhhhmmmmmmmmm...".

Il s'amuse en écartant ses mains, puis les claquent de chaque coté de mon cul et mes hanches pour s'y agripper sans arrêt.
J'ai tout le mal du monde à m'empêcher de râler trop bruyamment, l'expression de mon premier orgasme anal.
Il s'acharne en moi de plus belle.

Sa grosse verge m'a bien élargi l'anus, pour lui faire atteindre sa béance maximale.
Elle s'est complètement recouverte de mes secrétions gluantes et translucides.
Il glisse en moi sans avoir besoin de viser mon orifice, et surtout, il m'empale sur toute la longueur de sa longue bite.

Je glisse ma main gauche sous mes testicules, ils sont pollués par mes rejets anaux abondants.
Ses couilles cognent contre mes doigts, en même temps que je sens son gros gland, au plus profond de mes intestins.

J'arrive pas à chasser de ma tête, le fait que je me fais enculer par un homme, avec ma famille à quelques mètres.
La vision de ma copine dans cette même position, ajoute à ma honte.
Je les imaginent tous, surgissant dans la pièce, il ne faudrait pas que cela arrive.
Pourquoi, je fais ça ?

Mais je prend trop de plaisir, moi dont la libido était au plus bas.
Mon cul se fiche de mes envies, il me fait jouir malgré moi, et je prend tout ce plaisir avec bonheur.
Après d'autres montées d'orgasmes, mon inconnu reconnait celui qui m'emmène à la plénitude.
Il se calme et admire son œuvre.
Je gémis, râle longuement ensuite, puis fuis sa grosse verge pour m'étendre sur le matelas.

"Orhhhhhhhhhhh ! Putain ! J'ai trop bien joui ! Orhhhhhhhh ! Ma pauvre petite chatte ! Tu me l'as défoncée ! Ourhhhhhhhh !... J'en peux plus !".

Il s'étend près de moi, fier de lui, puis me caresse le cul.

"Hummm ! Je me suis régalé ! Je te laisse un peu tranquille, et je te remets ça !".
"Orhhh ! Si tu veux ! Mais pas ici, j'ai failli avoir des fuites !".

"C'est à dire ?".
"Ben, dès fois, ça me stimule la prostate, et ma vessie se vide !".
"Ca te fait pisser ?".
"Mmmm... oui ! J'aime pas quand ça m'arrive, mais j'y peux rien !".

"Hummmm ! Mais moi, ça m'plairait bien ! J'ai connu une femme fontaine ! Ca doit pas être différent ! J'adorerai ça ! Ou est ce que tu préfères que j't'encule ?".
"Euh... Le plus simple, c'est loin du matelas, parce que ma copine va voir les taches !".

Après un rapide coup d'œil, on trouve un carton qu'on étale au sol.
Il me demande de m'y étaler sur le dos, puis plonge entre mes cuisses écartelées à l'extrême pour l'accueillir.

Sa grosse verge m'investi jusqu'au fond, sans rencontrer de barrière.
En m'assénant ses assauts puissants, il provoque de nombreux bruits de claquements contre mes fesses, et mon orifice trempé.

On partage notre premier baiser entre hommes, pervers et goulu.
A l'image de notre copulation.
Ma verge se vide un peu, entre nos deux ventres.
Il le sent, et se redresse pour assister au spectacle.
Il s'amuse à vérifier les effets de ses enfoncements, sur l'éjection de mon liquide brulant, pendant que je râle mon plaisir.

"Orhhhhh ! Enlèves toi ! Il faut que ça sorte !".

Il retire sa grosse bite, je me repends encore plus puissamment, suite à cette libération de mon anus.
Il y revient pour me stimuler encore et encore, et ressort ensuite.
Ca marche puisque je m'arrose du ventre à ma face, en râlant.

Il me relève le bassin et m'empale avec vice, en jouant de ma chatte avec sa grosse verge.
Je me pollue le torse et la face encore.

"Putain ! J'adore ta chatte ! J'te la baise comme une chatte de gonzesse ! C'est même encore mieux ! Parce que c'est plus profond, et plus serré sur ma bite ! J'm'y sens mieux ! Et toi ? Tu l'aimes ma queue ?".
"Orhhhhh ! A ton avis ! J'en peux plus, tu veux pas te laisser aller ? J'sens plus mon cul !".

A sa nouvelle sortie, il constate que je n'ai plus d'écoulement, alors que mon anus est pris de spasmes incontrôlés.
Il se dresse, et m'admire, étalé sous lui, en se branlant la bite.

Je saisi un tissu pour m'essuyer le ventre et le visage, puis m'affale sur le matelas, avec le cul en bombe.
Mon orifice anal ne me laisse pas tranquille, mon sphincter convulse sans cesse, rejetant par ce fait, mes excès de sécrétions.

"Orhhhh ! J'suis mort !".

J'aurai pas du faire ça !

"Ben, t'as pas fini ! Mon chéri ! Faut pas se mettre comme ça ! Tu l'sais pas ? J'ai l'impression qu'il m'appelle, ton petit cul !".

Il se plante en moi, et s'y enfonce en me tenant pas les épaules.
Il s'y active aussitôt.
Je serre encore les dents dans le matelas, en jouissant malgré moi.
Cette position me ramène au moment où, il m'a défoncé sur son capot de voiture.

La base de sa grosse verge vient cogner très fortement, contre ma rosette écartelée, qui rejette son jus de plus belle.

"Putain, j'adore t'enculer ! Qu'est ce que tu peux mouiller du cul ! Tu m'excites, salope !".

Il est déchainé, je reconnais les signes de sa future jouissance, grâce à ce rythme non contrôlé.

Enfin, il se met à grogner.
Au même moment, je me contorsionne le bassin, pour l'aider à jouir pleinement dans ma chatte.

"Orghhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiii ! Comme ça, chéri ! Encore, bouges le ton cul ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !...".

On vit un moment intense, sans retenue.
Je veux tout son plaisir, autant que son insémination, jusqu'à la dernière goutte.

Il jouit encore et encore, ensuite m'assène de nombreux spasmes péniens.
Ceux qu'on ressent, quand le plaisir s'installe dans la durée.
Il a passé ses mains de chaque coté de mes fesses, pour s'y accrocher, et jouir en moi jusqu'à la fin.

"Orhhhh ! C'est trop bon ! Encore meilleur que l'autre soir ! Arhhhhhhhhhh...".

Le moment qui suit est plus sensuel, il me caresse sans quitter mon orifice.

"Ca t'as plu mon chéri ?".
"Oui, beaucoup ! Pourtant, j'en avais pas envie !".
"Tant mieux !".

"Mais ? si je me trompe pas, tu baisais ton pote quand t'étais jeune !".
"Ouais ! Mais je le vivais mal ! J'voulais pas devenir pédé ! Mais tu sais ce que c'est, plus on le rejette, et plus on y pense ! Et puis, j'adorai quand il me suçait, donc ça j'ai essayé de me contenter de ça ! Ca m'est arrivé d'enculer des mecs, et d'aimer ça aussi, mais trop rarement ! Pas comme avec toi ! Toi t'es mignon, et t'as un cul d'enfer ! J'adore te prendre !".
"Merci ! Bon, il va falloir que je rentre chez moi ! Et que je nettoie le grenier, faudrait pas que ma meuf voit les taches ! Orhhh ! Putain, tu m'as éclaté le cul !".

Il se redresse, et fixe mon trou poisseux.

"Ouais ! Et j'te l'ai bien rempli aussi ! Je peux te le jurer !".

Je flatule fortement, ce qui m'oblige à rejeter une dose énorme de sperme, qui dégouline entre mes fesses.
Je me relève rapidement, afin d'éviter que ça coule sur le matelas.

"Eh ! Merde ! Ca coule trop !".

Il fouille dans son jeans, et m'offre un paquet de kleenex.

"Ca m'excite de te voir comme ça, avec mon foutre qui sort de ta chatte !".

Je lui souris, et ajoute:

"Moi aussi, j'aime ça ! Ca m'excite de me faire remplir de sperme!".
"Super ! On est fait pour s'entendre !".

Il m'aide à me nettoyer, puis à tout remettre en ordre.
Je jetterai le carton trempé, dans un autre grenier abandonné, c'est plus sûr.

Chez mes parents, j'ai du réchauffer mon repas, puis après le film du soir, je suis tombé comme une souche, avec une forte envie de revoir cet homme.

Par précaution, j'ai gardé mon slip. De toute manière, un accident anal m'a obligé à le polluer malgré moi !
Je l'ai lavé à la main, lors de ma douche matinale.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour, je suis hétéro et marié, j'ai 70 ans. Je n'ai jamais rien fait avec des hommes.
Mais tes récits me font bander depuis longtemps.
J'aimerais tant être Pascal...



Texte coquin : Le grenier, au dessus de chez mes parents.
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