Le journal d'une veuve (2)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le journal d'une veuve (2)
Mai
Je vous l'ai déjà dit dans le précédent texte, ma patientèle est composée en grande partie de retraités. Quelques uns d'entre eux sont hébergés en Ehpad, ces établissements spécialisés pour les personnes dépendantes, en particulier sur le plan mental. Je me rends fréquemment dans l'un d'eux qui a la particularité d'être géré, administré et animé uniquement par des femmes. La directrice, Lise, est jeune puisqu'elle a tout juste la trentaine. C'est un petit format blond aux yeux clairs, un vrai canon, toujours bien mise, qu'on verrait davantage dans une boutique de luxe que dans un Ehpad. Son adjointe, Fatou, est physiquement son contraire parfait : 1,80m ou pas loin, sculpturale et noire comme du charbon, coiffée de petites tresses. Samira, une beurette d'une quarantaine d'années, cheveux longs, souriante et élégante, lèvres incroyablement pulpeuses (mon rêve) est préposée à l'accueil et représentative d'une forte proportion d'employées d'origine maghrébine dans l'établissement. Rita, la gouvernante, doit friser la quarantaine et se distingue par ses cheveux bruns coupés à la garçonne ainsi que par une mise un peu débraillée qui tranche avec ses collègues sans pour autant la rendre moins sexy, au contraire : je trouve qu'elle respire le sexe. Marie, l'animatrice d'une trentaine d'années, est du genre costaud mais son visage encadrée d'une chevelure brun-roux est très agréable. Marianne, la chef infirmière, en fin de quarantaine, aux cheveux abondamment frisés, toujours maquillée, beau visage, ne dépare pas l'ensemble, loin s'en faut, malgré des cuisses et un derrière copieux mais c'est affaire de goût. Ariane, la psychologue, environ 35 ans n'est pas loin d'être la plus belle : grande, cheveux mi-longs bruns, corps parfait, toujours souriante. La moins gâtée par la nature est la femme médecin coordonnatrice, Jeanne, nettement plus âgée, un peu hommasse, et légèrement imbue de ses fonctions, ce qui fait qu'on s'entend plutôt mal. Je passe sur les nombreuses employées que je connais plutôt mal.
Est-ce parce que cette petite collectivité évolue en permanence avec la vieillesse, le déclin, la mort ? Toujours est-il que le sexe fait partie de leurs préoccupations régulières et la directrice ne fait pas exception. En clair, leur goût de vivre pleinement le temps présent passe par le cul. Et pourtant, toutes sont mariées ou en concubinage, mais quand elles sont au boulot, c'est comme si on appuyait sur leur petit bouton pour déclencher un appétit de pénis. L'autre jour, quand j'ai déboulé dans le bureau de Lise pour me faire enregistrer, elle comparait avec Samira et Rita les mérites respectifs des deux prestataires kinésithérapeutes au plumard. Longueur de bite, ardeur à s'en servir, inventivité, tout était passé en revue. Comme elles savent que je baise, elles me prenaient à témoin mais j'étais bien incapable de trancher. J'ai découvert qu'une chambre de l'Ehpad, soi disant réservée pour les cas d'urgence, sert en fait aux ébats de ces dames avec quelques mâles soigneusement sélectionnés, le critère de base étant de ne pas être salarié sur place. Mais comme les intervenants extérieurs sont nombreux, et comme ceux-ci s'aperçoivent vite qu'ils ont affaire à des dames dans le besoin, qui plus est super bien foutues, la chambre du stupre est fréquemment utilisée à des fins autres que médicales, ce qui ne va pas sans faire jaser le personnel. Mais comme l'ambiance est plutôt bonne dans l'établissement, pour l'instant, ça passe.
L'autre jour, mon Croate préféré, Branko, m'accompagnait pour régler un problème de fuite dans une chambre. J'ai tout de suite vu l'intérêt de Lise pour mon canon de mâle, qu'elle savait être mon amant depuis trois mois. C'est comme si une synthèse de Rocco Siffredi et Léonardo di Caprio avait débarqué dans son établissement. En aparté, pendant qu'il travaillait, elle m'a demandé carrément si c'était une exclusivité. Vu que je tiens à rester en bons termes avec elle, mais vu aussi, en toute honnêteté, que j'ai fait le tour du personnage, je lui ai dit que non. Et voilà la directrice dans la piaule en question, en train de lui faire du charme, de tortiller du cul qu'elle a bien rebondi, et de lui proposer des prestations régulières comme homme à tout faire. C'était bien le mot. Je me suis éclipsée pour visiter deux patientes. Quand j'ai terminé, j'ai cherché Branko là où je l'avais laissé. Pas de Branko. J'ai tout de suite mis le cap sur la chambre du stupre qui, comme toutes les chambres, n'est pas fermée à clé de l'intérieur par sécurité. J'ai ouvert discrètement et j'ai vu ce que je m'attendais à voir. Complètement à poil, Lise chevauchait Branko avec une folle ardeur. Son cul se balançait dans tous les sens et connaissant la pine de mon Croate, je savais qu'elle était visitée en profondeur et que ça lui faisait sacrément du bien. Elle m'a aperçue dans l'entrebaillement de la porte, m'a souri sans s'arrêter de rouler des hanches, ses petits seins dressés dans ses mains. Je me suis discrètement retirée, n'étant pas du genre à gâcher ce genre de plaisir. J'ai croisé Fatou, l'adjointe, qui m'a demandé si j'avais vu la patronne et je lui ai répondu : "oui, elle baise". Fatou a pouffé dans sa bouche. Et je suis partie vers ma visite suivante.
Le lendemain, j'ai rencontré Branko et je lui ai demandé comment s'étaient passés ses travaux à l'Ehpad. Il était un peu gêné et je lui ai dit qu'il pouvait parler, que je n'étais pas jalouse. Alors, il m'a dit avec ses mots :- La patronne, elle est venue pendant que je travaillais, elle m'a regardé faire et quand je me suis retourné, elle était toute nue sur le lit. Elle m'a fait comme ça avec le doigt (il mime avec son index un mouvement qui veut dire viens par ici). Qu'est-ce que tu voulais que je fasse ? C'est ma patronne, hein ? Alors, je l'ai baisée.
Je n'ai pas pu m'empêcher de lui dire que je ne croyais pas à la contrainte de corps. Une femelle comme Lise à poil sur un lit qui vous invite à la sauter, c'est irrésistible pour un jeune mâle comme Branko. Mais bon, j'ai laissé filer et au fond, j'étais contente pour eux. Deux jours plus tard, lors d'une visite programmée, Lise ne m'a même pas laissé le temps de l'interroger :- Ton boy friend, quel amant ! Je te remercie de me l'avoir prêté. Infatigable, le garçon, j'ai bien cru qu'il ne s'arrêterait jamais, mon portable n'arrêtait pas de sonner mais je n'avais aucune envie de répondre, crois-moi. Tu comprends, j'avais eu une semaine difficile avec deux décès, c'est toujours éprouvant pour moi et j'avais besoin de m'éclater. Il m'a donné ce que je voulais. Mais ne crois pas que je veux te le piquer. Par contre, méfie toi des autres, elles ont toutes envie de l'avoir entre leurs cuisses.
J'ai répondu que je m'en fichais, que j'avais tourné la page Branko et que j'irai voir ailleurs avec l'été qui s'annonce. Mon souci, c'est plutôt ma famille, et surtout celle de mon défunt mari, qui ne comprend pas que je cherche à renouer avec une vie sexuelle active. Tous voudraient que je continue à être la veuve éplorée pour me consoler. Mais ça, c'est du passé. Oui, du passé.
(A suivre).
Je vous l'ai déjà dit dans le précédent texte, ma patientèle est composée en grande partie de retraités. Quelques uns d'entre eux sont hébergés en Ehpad, ces établissements spécialisés pour les personnes dépendantes, en particulier sur le plan mental. Je me rends fréquemment dans l'un d'eux qui a la particularité d'être géré, administré et animé uniquement par des femmes. La directrice, Lise, est jeune puisqu'elle a tout juste la trentaine. C'est un petit format blond aux yeux clairs, un vrai canon, toujours bien mise, qu'on verrait davantage dans une boutique de luxe que dans un Ehpad. Son adjointe, Fatou, est physiquement son contraire parfait : 1,80m ou pas loin, sculpturale et noire comme du charbon, coiffée de petites tresses. Samira, une beurette d'une quarantaine d'années, cheveux longs, souriante et élégante, lèvres incroyablement pulpeuses (mon rêve) est préposée à l'accueil et représentative d'une forte proportion d'employées d'origine maghrébine dans l'établissement. Rita, la gouvernante, doit friser la quarantaine et se distingue par ses cheveux bruns coupés à la garçonne ainsi que par une mise un peu débraillée qui tranche avec ses collègues sans pour autant la rendre moins sexy, au contraire : je trouve qu'elle respire le sexe. Marie, l'animatrice d'une trentaine d'années, est du genre costaud mais son visage encadrée d'une chevelure brun-roux est très agréable. Marianne, la chef infirmière, en fin de quarantaine, aux cheveux abondamment frisés, toujours maquillée, beau visage, ne dépare pas l'ensemble, loin s'en faut, malgré des cuisses et un derrière copieux mais c'est affaire de goût. Ariane, la psychologue, environ 35 ans n'est pas loin d'être la plus belle : grande, cheveux mi-longs bruns, corps parfait, toujours souriante. La moins gâtée par la nature est la femme médecin coordonnatrice, Jeanne, nettement plus âgée, un peu hommasse, et légèrement imbue de ses fonctions, ce qui fait qu'on s'entend plutôt mal. Je passe sur les nombreuses employées que je connais plutôt mal.
Est-ce parce que cette petite collectivité évolue en permanence avec la vieillesse, le déclin, la mort ? Toujours est-il que le sexe fait partie de leurs préoccupations régulières et la directrice ne fait pas exception. En clair, leur goût de vivre pleinement le temps présent passe par le cul. Et pourtant, toutes sont mariées ou en concubinage, mais quand elles sont au boulot, c'est comme si on appuyait sur leur petit bouton pour déclencher un appétit de pénis. L'autre jour, quand j'ai déboulé dans le bureau de Lise pour me faire enregistrer, elle comparait avec Samira et Rita les mérites respectifs des deux prestataires kinésithérapeutes au plumard. Longueur de bite, ardeur à s'en servir, inventivité, tout était passé en revue. Comme elles savent que je baise, elles me prenaient à témoin mais j'étais bien incapable de trancher. J'ai découvert qu'une chambre de l'Ehpad, soi disant réservée pour les cas d'urgence, sert en fait aux ébats de ces dames avec quelques mâles soigneusement sélectionnés, le critère de base étant de ne pas être salarié sur place. Mais comme les intervenants extérieurs sont nombreux, et comme ceux-ci s'aperçoivent vite qu'ils ont affaire à des dames dans le besoin, qui plus est super bien foutues, la chambre du stupre est fréquemment utilisée à des fins autres que médicales, ce qui ne va pas sans faire jaser le personnel. Mais comme l'ambiance est plutôt bonne dans l'établissement, pour l'instant, ça passe.
L'autre jour, mon Croate préféré, Branko, m'accompagnait pour régler un problème de fuite dans une chambre. J'ai tout de suite vu l'intérêt de Lise pour mon canon de mâle, qu'elle savait être mon amant depuis trois mois. C'est comme si une synthèse de Rocco Siffredi et Léonardo di Caprio avait débarqué dans son établissement. En aparté, pendant qu'il travaillait, elle m'a demandé carrément si c'était une exclusivité. Vu que je tiens à rester en bons termes avec elle, mais vu aussi, en toute honnêteté, que j'ai fait le tour du personnage, je lui ai dit que non. Et voilà la directrice dans la piaule en question, en train de lui faire du charme, de tortiller du cul qu'elle a bien rebondi, et de lui proposer des prestations régulières comme homme à tout faire. C'était bien le mot. Je me suis éclipsée pour visiter deux patientes. Quand j'ai terminé, j'ai cherché Branko là où je l'avais laissé. Pas de Branko. J'ai tout de suite mis le cap sur la chambre du stupre qui, comme toutes les chambres, n'est pas fermée à clé de l'intérieur par sécurité. J'ai ouvert discrètement et j'ai vu ce que je m'attendais à voir. Complètement à poil, Lise chevauchait Branko avec une folle ardeur. Son cul se balançait dans tous les sens et connaissant la pine de mon Croate, je savais qu'elle était visitée en profondeur et que ça lui faisait sacrément du bien. Elle m'a aperçue dans l'entrebaillement de la porte, m'a souri sans s'arrêter de rouler des hanches, ses petits seins dressés dans ses mains. Je me suis discrètement retirée, n'étant pas du genre à gâcher ce genre de plaisir. J'ai croisé Fatou, l'adjointe, qui m'a demandé si j'avais vu la patronne et je lui ai répondu : "oui, elle baise". Fatou a pouffé dans sa bouche. Et je suis partie vers ma visite suivante.
Le lendemain, j'ai rencontré Branko et je lui ai demandé comment s'étaient passés ses travaux à l'Ehpad. Il était un peu gêné et je lui ai dit qu'il pouvait parler, que je n'étais pas jalouse. Alors, il m'a dit avec ses mots :- La patronne, elle est venue pendant que je travaillais, elle m'a regardé faire et quand je me suis retourné, elle était toute nue sur le lit. Elle m'a fait comme ça avec le doigt (il mime avec son index un mouvement qui veut dire viens par ici). Qu'est-ce que tu voulais que je fasse ? C'est ma patronne, hein ? Alors, je l'ai baisée.
Je n'ai pas pu m'empêcher de lui dire que je ne croyais pas à la contrainte de corps. Une femelle comme Lise à poil sur un lit qui vous invite à la sauter, c'est irrésistible pour un jeune mâle comme Branko. Mais bon, j'ai laissé filer et au fond, j'étais contente pour eux. Deux jours plus tard, lors d'une visite programmée, Lise ne m'a même pas laissé le temps de l'interroger :- Ton boy friend, quel amant ! Je te remercie de me l'avoir prêté. Infatigable, le garçon, j'ai bien cru qu'il ne s'arrêterait jamais, mon portable n'arrêtait pas de sonner mais je n'avais aucune envie de répondre, crois-moi. Tu comprends, j'avais eu une semaine difficile avec deux décès, c'est toujours éprouvant pour moi et j'avais besoin de m'éclater. Il m'a donné ce que je voulais. Mais ne crois pas que je veux te le piquer. Par contre, méfie toi des autres, elles ont toutes envie de l'avoir entre leurs cuisses.
J'ai répondu que je m'en fichais, que j'avais tourné la page Branko et que j'irai voir ailleurs avec l'été qui s'annonce. Mon souci, c'est plutôt ma famille, et surtout celle de mon défunt mari, qui ne comprend pas que je cherche à renouer avec une vie sexuelle active. Tous voudraient que je continue à être la veuve éplorée pour me consoler. Mais ça, c'est du passé. Oui, du passé.
(A suivre).
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