Le journal érotique de Maud (3)

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Le journal érotique de Maud (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2022 dans la catégorie Plus on est
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Le journal érotique de Maud (3)
Lundi
Voilà deux jours que j'ai posé ma valise dans un hôtel club du sud de la France, au bord de la Méditerranée. Après avoir longtemps hésité, j'ai fini par opter pour cette solution, moins onéreuse que le club Med bien que pas bon marché pour autant. Mais j'avais trop besoin de vacances, fussent-elles solitaires. En définitive, ce sera une semaine ici et une autre dans un groupe de cyclistes pour sillonner la Bretagne. J'ai coupé la poire en deux.
Le club Med m'intéressait moyennement parce que j'ai pensé au film "les bronzés" et je ne me sentais pas de me retrouver dans la peau d'une solitaire en recherche de mâle comme caricaturée dans le film. Bon, soyons honnête, je suis un peu dans le déni et cet hôtel club ressemble bien par certains côtés à ce que je ne voulais pas. Mais je ne m'y sens pas mal pour autant.

Je dois d'abord préciser que j'ai eu l'opportunité de partager ma chambre avec une autre femme, désireuse comme moi de limiter les frais. Ce que je perds en intimité, je le gagne en compagnie et je dois reconnaitre que je suis bien tombée. Coralie, c'est son prénom, est une fille de mon âge à deux ans près (plus jeune), séparée comme moi de son mec qui l'a cocufiée elle aussi. En revanche, elle ne me ressemble pas physiquement. Elle est du genre baraqué mais pas grosse, plutôt musclée car c'est une sportive. Elle m'a entrainée sur les courts de tennis de l'hôtel et me met de belles volées mais avec le sourire. On s'est vite comprises. "Je suis venue ici pour le sport, mais pas que", m'a-t-elle dit avec un clin d'oeil. Et d'ajouter : "je suis ici pour baiser et le plus tôt sera le mieux". Je ne pouvais pas dire autre chose et on s'est promis de ne pas marcher sur nos plate-bande.

Dès le premier soir, on s'est retrouvées toutes les deux à une table de dix avec d'autres résidents très variés. Il n'y avait là qu'un seul couple, d'âge mûr, Françoise et Gérard, très sympas. Tous les autres étaient seuls : Delphine, une jolie rousse d'une trentaine d'années qui m'a tout de suite fait de l'oeil (j'en ai conclu qu'elle était lesbienne), Kevin, très maniéré et visiblement homo, Magali, une quinquagénaire menue mais dynamique qui évoluera probablement sur notre terrain de chasse et trois mecs : un costaud barbu, un peu faunesque mais jovial (Jules), un maigrichon d'une vingtaine d'années à peau pâle, visiblement complexé (Louis) et un brun aux yeux bleus (Maxime), bien balancé, d'à peu près trente ans ou plus, silencieux mais attentif, qui m'a tout de suite plu. On s'est tous retrouvés en boite le soir même, sauf le couple plus âgé. On a continué à faire connaissance le lendemain au cours d'une excursion en car dans l'arrière pays avant de se retrouver autour de la piscine, à l'intérieur du "compound", pour vérifier nos anatomies. Je crois pouvoir dire que mon bikini minimaliste a fait impression, mais je me suis retrouvée un peu godiche, paradoxalement. Françoise, Coralie et Magali étaient allées bronzer nues dans l'enclos réservé à cet effet par l'hôtel. Maxime, Kevin et le mari de Françoise y étaient aussi. Bien que n'étant pas spécialement naturiste, je me suis sentie obligée de les rejoindre pour montrer mon petit cul.

Le soir à table, on avait quelques coups de soleil. Les deux LGBT n'étaient plus avec nous, ni Louis le maigrichon, et à la place un autre couple et un autre mec fatigant par sa logorrhée. Et on est revenu en boite. Mon objectif était de décoincer Maxime mais le mec s'est laissé entreprendre par une pouffiasse à gros seins désireuse de se faire sauter au plus vite. Dégoûtée, j'ai cherché Coralie mais je ne l'ai pas vue. Si elle était allée se coucher, alors, je n'avais plus rien à faire là.

Quand j'ouvris la porte de la chambre, je m'attendais à la trouver dans le noir. Tout était allumé. Coralie était à quatre pattes sur un des lits jumeaux, le barbu Jules derrière elle, les mains sur ses rondeurs et la queue bien enfoncée dans sa chatte. Ces deux là baisaient visiblement de très bon coeur. En voyant ça, je n'ai pu m'empêcher de m'exclamer : "eh ben, vous êtes des rapides !" Je rappelle que nous étions dimanche soir et arrivés seulement de la veille. "Et je vais dormir où, maintenant ?", ai-je poursuivi. "Dans la baignoire", a rigolé Coralie.

Je suis allée pisser et j'allais revenir danser dans la boite en attendant que les tourtereaux aient fini quand dans la chambre, j'ai vu la queue de Jules, qui venait de sortir de son logement douillet. Ca m'a fait comme une décharge électrique, des orteils à ma queue de cheval. Vraiment une belle queue. Epaisse, tendue, bien décalottée. Elle sortait d'une forêt de poils, triomphante comme un sceptre, et Coralie la goba amoureusement, comme reconnaissante du plaisir qu'elle lui donnait. Puis elle a poussé Jules pour qu'il se couche et elle l'a enfourché, faisant aller et venir son cul plantureux avec frénésie. Alors, j'ai décidé que je ne partirais pas. Je voulais les regarder baiser. Je me suis déshabillée (je dors à poil) et me suis couchée sur le lit voisin, fascinée par la jonction de ces deux sexes. "Tu te rinces l'oeil, hein" a soufflé Coralie entre deux halètements. C'était un peu ça. Mais je me touchais aussi. Les seins, le clito. Quand Jules a renversé Coralie pour la pilonner, les roulements de son cul poilu m'ont vraiment mis le feu. Coralie ne savait plus où elle habitait. Elle piaillait, griffait les fesses de Jules, ruait sous lui avec la force de ses cuisses de tenniswoman et elle a joui. Moi aussi, avec le doigt.

Ils se sont détachés et Jules bandait toujours. Une vraie bête de sexe, ce mec. Pas beau mais follement viril. Il m'a montré sa queue. "Tu la veux ?" m'a-t-il demandé. J'ai regardé Coralie, qui reprenait peu à peu ses esprits. Elle a eu un mouvement de tête qui voulait dire oui. Elle avait eu sa dose, mais pas moi. Alors, je me suis ruée bouche ouverte sur cette bite qui n'attendait que ma langue. Une fois ôtée la capote, je m'en suis gavée comme quelqu'un qui n'a pas bouffé depuis des heures. "Ho ho, doucement" a gémi Jules. Il a remis un préservatif neuf et je me suis allongée, cuisses ouvertes, coudes sur le matelas, seins dressés. L'image même de la femelle en chaleur attendant son mâle. Il m'a enfilée profondément en mettant mes pieds sur ses épaules et a creusé, fouillé, foré. Je ne sais plus trop quel a été mon comportement ensuite. Coralie m'a dit que je m'étais comportée comme une vraie chienne, dit des mots vulgaires, imploré qu'il continue à me baiser. Que je lui ai même demandé de m'enculer quand il m'a prise par derrière, ce que je ne fais jamais. Quand il a fini par éjaculer, je l'ai clairement entendu me dire : "t'es un coup en or, toi !" C'est flatteur, je trouve.
Après, Coralie et moi, on a pris une douche ensemble. On s'est caressée et même embrassée. Elle était heureuse de m'avoir rendue heureuse. Autant dire que ce séjour a été lancé sur les meilleures bases...

Mercredi
On est déjà au milieu de la semaine. Que le temps passe vite ici ! Il est vrai qu'on n'a pas le temps de s'ennuyer. Du tennis, du bateau, de la piscine, des animations le soir et surtout du cul. Avec Coralie, on s'est mis d'accord. Plus question de ne pas marcher sur ses plate-bande. Jules est une bête de sexe qui peut nous satisfaire toutes les deux. On trouve même excitant de baiser à trois. Je regarde Jules pilonner Coralie, parfois en lui caressant les fesses ou les couilles et après, hop, c'est mon tour de me faire sauter. Il assure, le mec ! Il n'a plus beaucoup de jus dans la capote mais il bande comme un cheval et c'est l'essentiel. Plus je baise et plus j'ai envie de baiser, à tel point qu'une séance le soir ne me suffit plus. Je suis devenue une vraie chienne en chaleur.

C'est pourquoi je piste toujours le beau Maxime. Surtout depuis qu'on est allé hier à la plage naturiste que Françoise, la sexa sexy, avait débusquée avec son mari. Coralie était partie faire du bateau mais Maxime nous accompagnait, ce qui m'a permis de découvrir la saucisse qui pend entre ses jambes. Françoise étalait sa chair opulente, je rôtissais mon petit cul, guettant le regard de Maxime mais c'est le mari de Françoise, Gérard, qui me matait. Françoise et Maxime n'arrêtait pas de papoter ensemble. Gérard est même venu se joindre à eux et ils se sont mis à parler mezzo voce, comme pour me tenir à distance. Vexant. Qu'est-ce qu'ils manigançaient ? J'ai fini par comprendre en voyant la queue de Maxime prendre une allure de plus en plus horizontale. Et tout s'éclaira quand Gérard me dit qu'ils allaient faire un petit tour dans les dunes derrière la plage, me laissant en plan. C'était donc ça : Gérard et Françoise formaient un couple candauliste. Maxime allait baiser la femme devant le mari. J'ai montré un petit sourire entendu, mais je l'avais mauvaise.

J'ai quand même voulu vérifier, des fois que je me serais fait un film. Après dix minutes, je suis montée à mon tour dans les dunes et j'ai trouvé le trio en pleine action. A quatre pattes, seins pendants, Françoise se faisait prendre en levrette par Maxime devant Gérard qui se masturbait. Elle avait la bouche ouverte et allait chercher la bite à grands coups de cul. Quand il l'a retournée pour la coucher sur la serviette et la pilonner, elle a croisé les chevilles sur son dos et la rotation des petites fesses de Maxime a été pour moi le coup de grâce. J'ai fui. Quand ils sont revenus, l'air réjoui, j'ai fait la gueule. Françoise a eu le culot de l'embrasser devant moi et lui caressant la queue. Elle avait joui, la salope, c'était clair.
Le soir, j'ai quitté la table habituelle et j'ai tout raconté à Coralie. "Tu ne vas quand même pas jouer les moralistes avec tout ce qu'on fait en ce moment, m'a-t-elle dit. Si Maxime aime les femmes mûres, où est le mal si son mari est d'accord ?" Vu comme ça, évidemment... Je me suis vengée sur Jules en cavalant sur sa bite, au point que Coralie a dû me bousculer pour avoir sa part du gâteau. J'ai joui sous mon doigt en regardant ses grosses fesses faire des huit sur le mandrin de notre faune préféré. Pour la première fois, j'ai mis le doigt dans l'anus de ma copine. Elle m'a dit qu'elle avait aimé.

Samedi
C'est déjà fini. Je fais ma valise et après le petit-déjeuner, je quitte ces lieux de débauche. Coralie fait aussi ses bagages et on est un peu tristes. Elle va revenir au boulot alors que moi, j'ai encore une semaine de vacances, ça me console. Durant cette semaine, j'ai gagné une copine, peut-être même une amie. Le curieux de l'affaire, c'est que le cul a été le facteur de notre amitié. On a partagé le même homme et on a joui ensemble de sa queue magistrale. Le pauvre finit son séjour raplapla. Ce ne sont plus des valises qu'il a sous les yeux, ce sont des malles. Encore hier soir, ils nous a honorées toutes les deux vaillamment. On était couchées en travers d'un lit et il nous enfilait à tour de rôle pendant qu'on se tenait la main avec Coralie. Il nous a arrosées de quelques gouttes de sperme réparties sur notre ventre et nos seins. Comme un cadeau d'adieu.

Pour être franche, je ne suis pas très fraiche non plus. Je n'étais plus habituée à baiser tous les jours et même plus. Il faut dire qu'avant-hier, la séance a été particulièrement mouvementée. Françoise et Gérard ont voulu absolument nous intégrer dans leur plan à quatre, ou plutôt à cinq, car le beau Maxime était de la partie fine. Enfin, j'allais découvrir la saucisse en érection ! Le couple voulait faire ça en plein air, à la plage naturiste, ou plutôt dans sa base arrière. Paradoxalement, c'était plus discret qu'à l'hôtel où on aurait pu nous entendre.

Bref, on s'est tous retrouvés à poil sur nos serviettes sous les pins. J'avais l'intention de mettre le grappin d'entrée sur Maxime, je m'étais entendue avec Coralie. Mais Gérard tenait absolument à me faire mon affaire. Ce sexagénaire légèrement bedonnant n'était pas aussi excitant que le beau brun, loin s'en faut. Mais bon, c'était l'organisateur et il était difficile de l'envoyer paitre. Je dois admettre qu'il m'a très bien léchée. Je me suis même un peu cabrée sous sa langue, il se peut que j'aie aussi couiné. J'ai donc joui une première fois.

Pendant ce temps, Maxime enfilait Coralie en levrette et je voyais sa saucisse tendue entrer et sortir de la chatte de mon amie qui jubilait. Vu que j'étais occupée, je ne pouvais pas lui faire un procès. Gérard est venu sur moi et je me suis mise à remuer comme une folle pour hâter sa jouissance afin d'être disponible ailleurs, si j'ose dire. Sauf qu'à ce petit jeu, j'ai fini par perdre un peu les pédales. Mon minou était devenu tellement sensible avec toutes les séances de baise ces jours derniers que je me suis emballée. C'est une discussion qu'on a eu un moment avec Coralie. Pourquoi, nous les femmes, on manifeste davantage et plus bruyamment notre plaisir que les hommes ? Parce qu'on est plus sensible à leur queue qu'eux à notre chatte ?
Le sexa se révélait un expert. Rigide et endurant, il me menait tranquillement à une suite d'orgasmes à tel point que je n'étais plus du tout pressée d'abandonner sa bite. Et c'est ainsi que pendant qu'il me prenait en levrette, je découvris Maxime faire de même avec Françoise pendant que Coralie lui léchait le trou du cul.

​C'est le moment que choisit Gérard pour me sodomiser et dès lors, je me concentrai sur sa bite, tout entière à mon plaisir. Quand il éjacula dans mon rectum, un cri rauque sortit de ma bouche. Je m'affalai sur la serviette, vannée. Quand je me redressai, je vis Maxime fiché dans le cul plantureux de Françoise qui beuglait "ton sperme, ton sperme !" et le beau brun éjacula à son tour. C'était fini pour moi avec Maxime.
Voilà donc le côté un peu négatif de ce séjour. Je n'ai pas baisé avec cette gravure de mode mais avec un gros velu et un sexagénaire vicelard. Pas très glorieux, j'en conviens. Cela dit, c'étaient deux super baiseurs, j'en conviens aussi. Après tout, qu'étais-je venue chercher ici, sinon de la bonne baise ? C'est ce que m'a dit Coralie et elle a raison. J'ai fait hier soir une bise à Maxime en lui disant que l'espérais le revoir un jour. Sous-entendu, dans un lit. D'ici là, je serai devenue à mon tour une femme mûre et j'aurai ma chance... Et maintenant, place au vélo !
A SUIVRE

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