Le journal érotique de Maud (5)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2022 dans la catégorie Plus on est
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Le journal érotique de Maud (5)
Mardi
J'ai repris le boulot hier à l'épicerie bio. Plutôt contente de retrouver les clients et surtout Caroline, noire comme un pruneau après ses vacances naturistes. Moi, mon bronzage est un peu morcelé. On a parlé bien sûr de nos vacances et je ne lui ai pas caché mes frasques, ce qui l'a ravie. Surtout quand je lui ai dit que j'avais joué collectif. "Te voilà définitivement dépucelée", m'a dit cette sacrée libertine. Le suis-je désormais aussi ? Bien possible, même si ce n'est pas vraiment mon but. Je lui ai parlé de Coralie et Magali et elle regrette comme moi qu'elles n'habitent pas notre ville, on ferait un sacré quatuor.
J'ai revu évidemment mon livreur de légumes, toujours aussi sexy, mais j'ai l'impression que je lui fais un peu peur. Comme s'il craignait que je lui mette la main aux couilles devant tout le monde. Je crains qu'il ne me faille trouver un autre chevalier servant. Pas gagné, vu la clientèle très senior. Il va falloir sortir le soir, et ça ne va pas être simple avec les gosses, qui sont revenus chez moi, pour ma plus grande joie.
Avec Caro, on a eu une discussion de nanas. J'hésite à me laisser pousser les poils du pubis et des aisselles, comme elle, qui tient à être "la plus nature possible". D'avoir vu le minou chevelu de Coralie et Magali m'a d'autant plus interpellée que ça n'a pas empêché les mâles de se gaver de leur chatte avec leur museau. Ils y prenaient même plaisir, de mélanger barbe et moustache avec leur pilosité. Et puis, ça m'éviterait la douleur de la cire. Pas agréable, l'épilation.
L'autre discussion a été plus triviale. Caro m'a demandé carrément si, dans mes ébats vacanciers, je m'étais "fait prendre par le cul". Ben oui, même si ce n'était pas ma tasse de thé. Et est-ce que j'y avais pris plaisir ? Bien obligée de répondre oui. Pour elle qui est fan de la sodomie, c'était encore la preuve que j'avais franchi le Rubicon... de l'arrière. J'ai repensé aux grosses bites de Jules et de Loïc, au plaisir qu'elles m'avaient donné et j'en ai conclu que, quoi qu'on en dise, les grands formats, ça a du bon. Caro m'a approuvée et cette discussion nous a donné à toutes les deux envie de baiser. Elle a appelé son julot pour lui dire de passer à l'épicerie. Ils vont encore forniquer comme des bêtes dans l'arrière boutique pendant que je servirai les vieilles dames, et ça ne peut plus durer. Il faut que je me trouve un régulier. Mais qui ?
Mardi, deux semaines plus tard
Après mon retour au boulot, j'ai connu un coup de mou. Plus d'excitation, plus de libido. De savoir Caro en train de baiser dans l'arrière boutique avec son julot m'énervait plus qu'autre chose. Les gosses m'accaparaient. Je n'avais plus de vie à moi. Alors, l'envie m'a pris de revoir Magali. J'ai profité du tour de garde de mon ex pour mes gosses et je me suis octroyée un grand week-end avec l'assentiment de Caroline. J'ai avalé des kilomètres en voiture pour revoir ma copine de vacances, enchantée de me retrouver. Je lui ai expliqué ma situation. On a beaucoup parlé. Elle m'a présenté son dernier copain, un gars de vingt ans plus jeune qu'elle. "Il me fait jouir", m'a-t-elle dit succinctement. Tu m'étonnes. Ce type suait la virilité. Ils n'arrêtaient pas de se peloter et de se bécoter en ma présence. Au retour d'une promenade en ville avec eux, en plein après-midi, ils ont interrompu leur thé avec moi et sont allés dans leur chambre pour baiser, comme ça, spontanément. Magali s'égosillait de plaisir. Je n'ai pas pu m'empêcher de jeter un coup d'oeil, d'autant que la porte était entrouverte. Elle était sous lui, chevilles croisées sur ses reins, les mains crispées sur ses fesses et il faisait entrer et sortir sa queue à un rythme soutenu. Rien que du classique pourtant mais il la faisait vraiment jouir, c'était évident, à l'entendre célébrer sa bite. Un mot clé chez elle.
Quand ils sont sortis, encore à poil, en direction de la salle de bains, elle s'est excusée en me disant qu'ils en étaient encore à la découverte de leurs corps. Mais elle a ajouté : "je vais te présenter à son meilleur pote, il est libre. Dès ce soir". Sacrée Magali. Toujours prête à rendre service. Après la douche (j'avais eu le temps de voir la queue de son mec, vraiment imposante), elle a rajusté son chignon remis un slip. enfilé un tee shirt et on a préparé ensemble le diner. Le copain venait encore la caresser sous son tee shirt et j'ai vu le moment où ils allaient remettre le couvert. Visiblement, il était fou d'elle.
Le copain du copain est arrivé juste pour le dîner. Un gars sympa, la trentaine, au physique banal quoique musclé mais avec de très beaux yeux. Il m'a déshabillée du regard dès le début et je me suis sentie vraiment à poil. J'avais juste une mini robe sans soutif boutonnée par devant. Au fil de la soirée et du dîner, il m'était apparu évidement qu'il crevait d'envie de me baiser. Moi, à force de voir les deux autres se faire des mamours, je commençais à m'échauffer. Le pote de Magali avait déboutonné son corsage, découvert ses petits seins et encore à table, jouait avec eux sans la moindre gêne, la faisant roucouler. J'ai senti le pied de l'invité venir toucher le mien. Je ne l'ai pas retiré. Encouragé, il a remonté le long de ma jambe. Par réflexe, j'ai écarté les cuisses. Et là, le gars, il a fait un truc inattendu. Il est sorti de sa chaise, a plongé sous la table et est venu poser son museau sur mon slip. En cinq secondes. Je n'ai pas eu le temps de réagir, il était déjà dans la place. Il a écarté le tissu et j'ai senti sa langue sur ma fente. J'étais cuite. Je n'ai jamais résisté à un cunni, fût-il sous une table. Magali était maintenant torse nu et je voyais au mouvement de son bras qu'elle branlait son mec en lui roulant des pelles.
On a abandonné le dessert. Magali a repoussé les assiettes, s'est assise sur la table, a fait glisser son slip le long de ses cuisses et l'autre s'est mis à prolonger le repas dans sa chatte poilue. Moi, sur ma chaise, je bouillais. Mon lécheur insistait sur mon clito et quand il a tiré sur mon slip pour m'en débarrasser, je l'ai aidé. C'est moi qui ai eu l'idée de débarrasser la table et de m'asseoir à côté de Magali. j'ai fini de me mettre à poil, j'ai ouvert mon compas, Magali a fait de même et on s'est fait enfiler en parallèle par deux mecs debout, le mien capoté pour une séance inconfortable et cochonne. On était heureuses et on le disait, on le proclamait, on le scandait. Subjugués par notre enthousiasme, qui n'était pas seulement dû à leur queue mais à la joie de se retrouver avec Magali, les deux potes nous ont limées avec ardeur. Et endurance, à tel point que Magali a pris l'initiative de nous entrainer tous les quatre dans sa chambre pour poursuivre nos ébats au lit. Elle avait défait son chignon, offrait son petit cul à quatre pattes et je l'imitai. Nous fûmes enculées en synchronie, comme les deux belles cochonnes que nous étions. On s'encourageait avec Magali, on échangeait nos impressions, on rivalisait de décibels, jubilant d'avoir à notre service deux gars aussi jeunes, aussi virils, qui sublimaient nos corps. On a procédé à tout un tas de variantes, je me suis retrouvée un moment derrière Magali qui chevauchait la bouche de son copain pendant que j'étais empalée sur lui. Le sommet pour moi fut atteint quand le quatrième larron m'a soulevée et m'a prise debout avec une force incroyable pendant que je me tenais à son cou. Je n'avais jamais fait ça. J'ai eu un orgasme fulgurant.
Ils ont fini par expulser leur sperme et nous en ont arrosées. Ils sont restés avec nous le reste de la soirée et même de la nuit. Au réveil, le copain m'a à nouveau baisée alors que Magali dormait encore à côté de moi. Je l'ai réveillée en jouissant et elle m'a embrassée. Puis ils sont partis et on s'est retrouvées toutes les deux. "Alors, ça va mieux maintenant ?" m'a-t-elle demandé. Oui, ça allait mieux. Parce que j'avais baisé, et parce que j'avais suscité le désir de deux hommes plus jeunes que moi alors que je doutais de mon corps. Avec ses cinquante balais bien tassés, Magali me démontrait que la sexualité ne s'arrête pas à la ménopause, bien au contraire. "Il ne faut pas hésiter à mettre la main dans le slip d'un mec dont on a envie", m'a-t-elle dit. C'est une image... mais pas que. Il faut que j'ose davantage. J'aime trop la bite pour m'en passer longtemps. Quand j'écris ça, je pense à celle du copain de Magali en train d'entrer et sortir de son cul. Raide, tonique, puissante. Et je mouille. Il faut que je baise, vite !
Mardi, deux semaines plus tard
Il s'en est passé des choses depuis le dernier épisode de mon journal. Je ne vis plus seule. Mais pas avec un type rencontré à l'épicerie ou n'importe où ailleurs. Avec mon ex. Oui, Samuel est revenu à la maison. Il a fini par larguer sa pouffe. Il a compris que finalement, sa légitime, c'était pas si mal. Il faut dire que les gosses ont beaucoup joué aussi. Ils en avaient marre des allées et venues d'un parent à l'autre. Ils ont tout fait pour qu'on se rabiboche. Au début, je lui ai battu froid. Mais il était tellement piteux qu'il m'a fait de la peine. Et puis, bon, il faut avouer que j'aime son corps. Ce n'est pas par hasard qu'il avait séduit une fille de 20 ans. Il est sec, musclé, bien membré et il a de beaux yeux, essentiel pour moi. Il est séduisant et il le sait, le salaud. Mais il fallait passer le test du lit. Je voyais à son regard qu'il mourait d'envie de me baiser. Je l'ai fait poireauter le plus longtemps possible. Le soir même, je l'ai mis à la porte de la chambre et il a couché sur le canapé. Cela m'a coûté car je sentais un grand vide dans mon entrecuisses, mais je voulais lui faire comprendre qu'on ne largue pas Maud.
Le lendemain, je voyais bien qu'il piaffait. Il me disait plein de gentillesses, il m'a aidée à faire le déjeuner. Mais quand les gosses sont partis, il m'a littéralement sauté dessus. Cela s'est passé dans la cuisine alors que je nettoyais les plats après la bouffe. J'aurais dû résister mais le contact de sa queue raidie contre ma cuisse m'a électrisée. Il faut dire que ça faisait un moment que je n'avais pas baisé. Quand il a sorti son engin, ni une ni deux, je me suis accroupie et je l'ai sucé. Ou plutôt mangé. Je me suis gavée de sa bite comme un mets de choix, en le fixant du regard. J'avais une robe, il m'a troussée contre l'évier en faisant glisser ma culotte le long de mes jambes et m'a enfilée debout sans même me préparer ni mettre de capote. Mais j'étais tellement dans le besoin que j'ai accompagné ses coups de bite avec toute l'ardeur possible. Il me pétrissait les nichons en m'embrassant dans le cou tout en allant et venant avec virilité. Je suis allée chercher ses couilles qui ballottaient dans ma main. Le pied. Il m'a prise ensuite sur la table, ses yeux dans les miens, très droit, très dur, après m'avoir mise à poil.
- Alors, elle est pas trop moche, ta quadra ? Elle te fait toujours bander ? je lui ai soufflé, les cuisses en V.
- Tu es bonne ! Tu es super bonne ! m'a-t-il répondu en ahanant.
- Elle est meilleure baiseuse que ta pouffe ?
- Oui, oui, tu es géniale. Elle est bonne ma bite ?
- J'ai connu mieux mais c'est pas trop mal pour un début.
Je mentais, évidemment, mais ça l'a survolté. Il m'a levée sans se détacher de ma chatte et ma conduite dans la chambre, accrochée à son cou. Et là, ça a été un festival de cul. Je ne sais pas ce qu'il avait avalé mais il était inlassable. Il m'a prise dans toutes les positions, m'a évidemment enculée, a marqué une petite pause sans débander le temps que j'aille faire pipi, on s'est parlé en se masturbant mutuellement, il me parlait de mon cul et de ma chatte, je lui parlais de sa bite, il m'a demandé si j'avais souvent baisé en son absence, je lui a dit que j'avais partouzé avec Caro, ça l'a fait allonger d'un bon centimètre et il m'a à nouveau crucifiée en me mettant les pieds sur ses épaules. Je couinais, je bramais, je baisais. Combien de temps cela a-t-il duré ? Je n'en sais rien. Mais quand nous sommes sortis de la chambre, légèrement titubant, en direction de la salle de bain et à poil, deux de mes gosses étaient là. J'étais légèrement gênée mais pas lui. Les gosses non plus, apparemment. Et voilà, la vie conjugale a repris son cours. Salutaire routine. Je baise quand j'ai envie de baiser. Ce journal érotique s'arrête donc. Provisoirement ? Allez savoir...
FIN
J'ai repris le boulot hier à l'épicerie bio. Plutôt contente de retrouver les clients et surtout Caroline, noire comme un pruneau après ses vacances naturistes. Moi, mon bronzage est un peu morcelé. On a parlé bien sûr de nos vacances et je ne lui ai pas caché mes frasques, ce qui l'a ravie. Surtout quand je lui ai dit que j'avais joué collectif. "Te voilà définitivement dépucelée", m'a dit cette sacrée libertine. Le suis-je désormais aussi ? Bien possible, même si ce n'est pas vraiment mon but. Je lui ai parlé de Coralie et Magali et elle regrette comme moi qu'elles n'habitent pas notre ville, on ferait un sacré quatuor.
J'ai revu évidemment mon livreur de légumes, toujours aussi sexy, mais j'ai l'impression que je lui fais un peu peur. Comme s'il craignait que je lui mette la main aux couilles devant tout le monde. Je crains qu'il ne me faille trouver un autre chevalier servant. Pas gagné, vu la clientèle très senior. Il va falloir sortir le soir, et ça ne va pas être simple avec les gosses, qui sont revenus chez moi, pour ma plus grande joie.
Avec Caro, on a eu une discussion de nanas. J'hésite à me laisser pousser les poils du pubis et des aisselles, comme elle, qui tient à être "la plus nature possible". D'avoir vu le minou chevelu de Coralie et Magali m'a d'autant plus interpellée que ça n'a pas empêché les mâles de se gaver de leur chatte avec leur museau. Ils y prenaient même plaisir, de mélanger barbe et moustache avec leur pilosité. Et puis, ça m'éviterait la douleur de la cire. Pas agréable, l'épilation.
L'autre discussion a été plus triviale. Caro m'a demandé carrément si, dans mes ébats vacanciers, je m'étais "fait prendre par le cul". Ben oui, même si ce n'était pas ma tasse de thé. Et est-ce que j'y avais pris plaisir ? Bien obligée de répondre oui. Pour elle qui est fan de la sodomie, c'était encore la preuve que j'avais franchi le Rubicon... de l'arrière. J'ai repensé aux grosses bites de Jules et de Loïc, au plaisir qu'elles m'avaient donné et j'en ai conclu que, quoi qu'on en dise, les grands formats, ça a du bon. Caro m'a approuvée et cette discussion nous a donné à toutes les deux envie de baiser. Elle a appelé son julot pour lui dire de passer à l'épicerie. Ils vont encore forniquer comme des bêtes dans l'arrière boutique pendant que je servirai les vieilles dames, et ça ne peut plus durer. Il faut que je me trouve un régulier. Mais qui ?
Mardi, deux semaines plus tard
Après mon retour au boulot, j'ai connu un coup de mou. Plus d'excitation, plus de libido. De savoir Caro en train de baiser dans l'arrière boutique avec son julot m'énervait plus qu'autre chose. Les gosses m'accaparaient. Je n'avais plus de vie à moi. Alors, l'envie m'a pris de revoir Magali. J'ai profité du tour de garde de mon ex pour mes gosses et je me suis octroyée un grand week-end avec l'assentiment de Caroline. J'ai avalé des kilomètres en voiture pour revoir ma copine de vacances, enchantée de me retrouver. Je lui ai expliqué ma situation. On a beaucoup parlé. Elle m'a présenté son dernier copain, un gars de vingt ans plus jeune qu'elle. "Il me fait jouir", m'a-t-elle dit succinctement. Tu m'étonnes. Ce type suait la virilité. Ils n'arrêtaient pas de se peloter et de se bécoter en ma présence. Au retour d'une promenade en ville avec eux, en plein après-midi, ils ont interrompu leur thé avec moi et sont allés dans leur chambre pour baiser, comme ça, spontanément. Magali s'égosillait de plaisir. Je n'ai pas pu m'empêcher de jeter un coup d'oeil, d'autant que la porte était entrouverte. Elle était sous lui, chevilles croisées sur ses reins, les mains crispées sur ses fesses et il faisait entrer et sortir sa queue à un rythme soutenu. Rien que du classique pourtant mais il la faisait vraiment jouir, c'était évident, à l'entendre célébrer sa bite. Un mot clé chez elle.
Quand ils sont sortis, encore à poil, en direction de la salle de bains, elle s'est excusée en me disant qu'ils en étaient encore à la découverte de leurs corps. Mais elle a ajouté : "je vais te présenter à son meilleur pote, il est libre. Dès ce soir". Sacrée Magali. Toujours prête à rendre service. Après la douche (j'avais eu le temps de voir la queue de son mec, vraiment imposante), elle a rajusté son chignon remis un slip. enfilé un tee shirt et on a préparé ensemble le diner. Le copain venait encore la caresser sous son tee shirt et j'ai vu le moment où ils allaient remettre le couvert. Visiblement, il était fou d'elle.
Le copain du copain est arrivé juste pour le dîner. Un gars sympa, la trentaine, au physique banal quoique musclé mais avec de très beaux yeux. Il m'a déshabillée du regard dès le début et je me suis sentie vraiment à poil. J'avais juste une mini robe sans soutif boutonnée par devant. Au fil de la soirée et du dîner, il m'était apparu évidement qu'il crevait d'envie de me baiser. Moi, à force de voir les deux autres se faire des mamours, je commençais à m'échauffer. Le pote de Magali avait déboutonné son corsage, découvert ses petits seins et encore à table, jouait avec eux sans la moindre gêne, la faisant roucouler. J'ai senti le pied de l'invité venir toucher le mien. Je ne l'ai pas retiré. Encouragé, il a remonté le long de ma jambe. Par réflexe, j'ai écarté les cuisses. Et là, le gars, il a fait un truc inattendu. Il est sorti de sa chaise, a plongé sous la table et est venu poser son museau sur mon slip. En cinq secondes. Je n'ai pas eu le temps de réagir, il était déjà dans la place. Il a écarté le tissu et j'ai senti sa langue sur ma fente. J'étais cuite. Je n'ai jamais résisté à un cunni, fût-il sous une table. Magali était maintenant torse nu et je voyais au mouvement de son bras qu'elle branlait son mec en lui roulant des pelles.
On a abandonné le dessert. Magali a repoussé les assiettes, s'est assise sur la table, a fait glisser son slip le long de ses cuisses et l'autre s'est mis à prolonger le repas dans sa chatte poilue. Moi, sur ma chaise, je bouillais. Mon lécheur insistait sur mon clito et quand il a tiré sur mon slip pour m'en débarrasser, je l'ai aidé. C'est moi qui ai eu l'idée de débarrasser la table et de m'asseoir à côté de Magali. j'ai fini de me mettre à poil, j'ai ouvert mon compas, Magali a fait de même et on s'est fait enfiler en parallèle par deux mecs debout, le mien capoté pour une séance inconfortable et cochonne. On était heureuses et on le disait, on le proclamait, on le scandait. Subjugués par notre enthousiasme, qui n'était pas seulement dû à leur queue mais à la joie de se retrouver avec Magali, les deux potes nous ont limées avec ardeur. Et endurance, à tel point que Magali a pris l'initiative de nous entrainer tous les quatre dans sa chambre pour poursuivre nos ébats au lit. Elle avait défait son chignon, offrait son petit cul à quatre pattes et je l'imitai. Nous fûmes enculées en synchronie, comme les deux belles cochonnes que nous étions. On s'encourageait avec Magali, on échangeait nos impressions, on rivalisait de décibels, jubilant d'avoir à notre service deux gars aussi jeunes, aussi virils, qui sublimaient nos corps. On a procédé à tout un tas de variantes, je me suis retrouvée un moment derrière Magali qui chevauchait la bouche de son copain pendant que j'étais empalée sur lui. Le sommet pour moi fut atteint quand le quatrième larron m'a soulevée et m'a prise debout avec une force incroyable pendant que je me tenais à son cou. Je n'avais jamais fait ça. J'ai eu un orgasme fulgurant.
Ils ont fini par expulser leur sperme et nous en ont arrosées. Ils sont restés avec nous le reste de la soirée et même de la nuit. Au réveil, le copain m'a à nouveau baisée alors que Magali dormait encore à côté de moi. Je l'ai réveillée en jouissant et elle m'a embrassée. Puis ils sont partis et on s'est retrouvées toutes les deux. "Alors, ça va mieux maintenant ?" m'a-t-elle demandé. Oui, ça allait mieux. Parce que j'avais baisé, et parce que j'avais suscité le désir de deux hommes plus jeunes que moi alors que je doutais de mon corps. Avec ses cinquante balais bien tassés, Magali me démontrait que la sexualité ne s'arrête pas à la ménopause, bien au contraire. "Il ne faut pas hésiter à mettre la main dans le slip d'un mec dont on a envie", m'a-t-elle dit. C'est une image... mais pas que. Il faut que j'ose davantage. J'aime trop la bite pour m'en passer longtemps. Quand j'écris ça, je pense à celle du copain de Magali en train d'entrer et sortir de son cul. Raide, tonique, puissante. Et je mouille. Il faut que je baise, vite !
Mardi, deux semaines plus tard
Il s'en est passé des choses depuis le dernier épisode de mon journal. Je ne vis plus seule. Mais pas avec un type rencontré à l'épicerie ou n'importe où ailleurs. Avec mon ex. Oui, Samuel est revenu à la maison. Il a fini par larguer sa pouffe. Il a compris que finalement, sa légitime, c'était pas si mal. Il faut dire que les gosses ont beaucoup joué aussi. Ils en avaient marre des allées et venues d'un parent à l'autre. Ils ont tout fait pour qu'on se rabiboche. Au début, je lui ai battu froid. Mais il était tellement piteux qu'il m'a fait de la peine. Et puis, bon, il faut avouer que j'aime son corps. Ce n'est pas par hasard qu'il avait séduit une fille de 20 ans. Il est sec, musclé, bien membré et il a de beaux yeux, essentiel pour moi. Il est séduisant et il le sait, le salaud. Mais il fallait passer le test du lit. Je voyais à son regard qu'il mourait d'envie de me baiser. Je l'ai fait poireauter le plus longtemps possible. Le soir même, je l'ai mis à la porte de la chambre et il a couché sur le canapé. Cela m'a coûté car je sentais un grand vide dans mon entrecuisses, mais je voulais lui faire comprendre qu'on ne largue pas Maud.
Le lendemain, je voyais bien qu'il piaffait. Il me disait plein de gentillesses, il m'a aidée à faire le déjeuner. Mais quand les gosses sont partis, il m'a littéralement sauté dessus. Cela s'est passé dans la cuisine alors que je nettoyais les plats après la bouffe. J'aurais dû résister mais le contact de sa queue raidie contre ma cuisse m'a électrisée. Il faut dire que ça faisait un moment que je n'avais pas baisé. Quand il a sorti son engin, ni une ni deux, je me suis accroupie et je l'ai sucé. Ou plutôt mangé. Je me suis gavée de sa bite comme un mets de choix, en le fixant du regard. J'avais une robe, il m'a troussée contre l'évier en faisant glisser ma culotte le long de mes jambes et m'a enfilée debout sans même me préparer ni mettre de capote. Mais j'étais tellement dans le besoin que j'ai accompagné ses coups de bite avec toute l'ardeur possible. Il me pétrissait les nichons en m'embrassant dans le cou tout en allant et venant avec virilité. Je suis allée chercher ses couilles qui ballottaient dans ma main. Le pied. Il m'a prise ensuite sur la table, ses yeux dans les miens, très droit, très dur, après m'avoir mise à poil.
- Alors, elle est pas trop moche, ta quadra ? Elle te fait toujours bander ? je lui ai soufflé, les cuisses en V.
- Tu es bonne ! Tu es super bonne ! m'a-t-il répondu en ahanant.
- Elle est meilleure baiseuse que ta pouffe ?
- Oui, oui, tu es géniale. Elle est bonne ma bite ?
- J'ai connu mieux mais c'est pas trop mal pour un début.
Je mentais, évidemment, mais ça l'a survolté. Il m'a levée sans se détacher de ma chatte et ma conduite dans la chambre, accrochée à son cou. Et là, ça a été un festival de cul. Je ne sais pas ce qu'il avait avalé mais il était inlassable. Il m'a prise dans toutes les positions, m'a évidemment enculée, a marqué une petite pause sans débander le temps que j'aille faire pipi, on s'est parlé en se masturbant mutuellement, il me parlait de mon cul et de ma chatte, je lui parlais de sa bite, il m'a demandé si j'avais souvent baisé en son absence, je lui a dit que j'avais partouzé avec Caro, ça l'a fait allonger d'un bon centimètre et il m'a à nouveau crucifiée en me mettant les pieds sur ses épaules. Je couinais, je bramais, je baisais. Combien de temps cela a-t-il duré ? Je n'en sais rien. Mais quand nous sommes sortis de la chambre, légèrement titubant, en direction de la salle de bain et à poil, deux de mes gosses étaient là. J'étais légèrement gênée mais pas lui. Les gosses non plus, apparemment. Et voilà, la vie conjugale a repris son cours. Salutaire routine. Je baise quand j'ai envie de baiser. Ce journal érotique s'arrête donc. Provisoirement ? Allez savoir...
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