Le journal érotique de Maud

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Le journal érotique de Maud Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-02-2022 dans la catégorie Plus on est
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Le journal érotique de Maud
Lundi
Un an. Cela fait tout juste un an que mon mari m'a larguée avec nos trois gosses. Pour une pouffe de 20 ans. La claque. J'ai 45 ans mais c'était comme si j'en avais eu le double, sur le coup. Le divorce a fini par être prononcé et je dois reconnaitre que Samuel a été réglo. On se partage la garde des enfants qui, il est vrai, n'ont plus l'âge des couches culotte, heureusement. Mais j'ai quand même eu du mal à m'en remettre. Il m'a fallu trouver un boulot car je me reposais un peu trop sur mon julot et son travail de cadre sup. Je bosse dans une épicerie bio avec Caroline, la patronne, devenue une véritable amie. Elle a mon âge, Caro, elle est brune alors que je suis blonde, on a un peu le même corps, ni gros ni maigre, j'ai juste un peu moins de seins et de fesses qu'elle, mais surtout, elle est mariée et bien mariée avec Gaston, un petit mec costaud qui la fait jouir. Elle en parle souvent pour m'exciter, pour m'obliger à sortir de ma torpeur sexuelle où je me suis enfoncée après ma rupture.

Complètement dégoûtée des mecs, j'étais. Pas au point de devenir gouine, mais pas loin. Caro, furieusement hétéro, m'a invitée un soir chez elle pour me présenter à un copain, libre comme moi. Sympa, le copain, mais pas vraiment mon genre. Un peu trop lisse, pas assez de poils, j'aime les mecs sexués. Ce soir là, on a tellement picolé que j'étais à moitié bourrée quand le gars m'a entrainée dans la chambre d'amis de Caroline, comme elle l'avait prévu. Sylvain, le copain en question, était aussi bourré que moi et après deux ou trois aller-retours très mous, il s'est effondré sur le plumard et s'est mis à ronfler. Dans la chambre d'à côté, Caro et Gaston baisaient comme des dingues et j'ai pris un vrai coup de vieux. Plus bonne à rien, la nana. Quand Caro a crié "mets-la moi dans le cul maintenant", j'ai pris mes cliques et mes claques et je me suis taillée, en voleuse. Je n'ai plus vu un mec depuis.

Mais là, maintenant, j'avoue que ça commence à me manquer. Quand je vois un type bien balancé entrer dans l'épicerie, j'ai tendance à l'imaginer entre mes cuisses. C'est nouveau. Caroline s'en est aperçue et m'encourage : "vas-y, qu'est-ce que tu as à perdre ?" me répète-t-elle.
Ce que j'ai à perdre ? Ne pas être à la hauteur. Rester froide. Déçue. Et pourtant, mes rêves sont de plus en plus érotiques. Cela fait quand même un an qu'on ne m'a pas léché le minou, que je n'ai pas regardé une bite entrer et sortir de ma chatte, que je n'ai pas avalé de sperme, mon pêché mignon. L'autre nuit, je me suis réveillée en sursaut. Je rêvais qu'une espèce de faune barbu et velu m'enculait. Là, j'ai compris qu'il fallait faire quelque chose. C'était maintenant une question de santé mentale autant que physique. J'en ai parlé à Caroline qui m'a dit simplement : "il faut que tu baises". Et d'expliquer qu'il me fallait laisser de côté le renouvellement d'un couple pour me concentrer sur le cul. : "Baise d'abord, le reste viendra ensuite, si tu le veux vraiment, mais baise. Tu es canon, les mecs bavent devant toi, fais péter tes hormones". Elle parle cash et cru, Caro, c'est pour ça que je l'aime bien. Elle m'a proposé de sortir avec elle samedi soir en boite, "en célibataires", a-t-elle dit, car Gaston est en mission à l'extérieur. J'appréhende mais ça m'excite en même temps. En attendant, place à la vente à l'épicerie. J'ai encore vu un beau brun faire ses courses avec sa nana aujourd'hui. Est-ce qu'il l'a fait jouir, au moins ?

Dimanche
Lever à 13h30. Moulue, courbatue, mâchée. Plus de mon âge, ces soirées ? Bien possible. Ou plutôt ce qui a suivi. Mon fils aîné, le seul présent dans la maison actuellement, me regarde d'un drôle d'air en train de déambuler en pyjama. Ce n'est pas la norme que sa mère rentre se coucher au petit matin. Et se lève aussi tard. Il a dû préparer son déjeuner tout seul, pâtes à la sauce tomate à ce que je vois dans l'évier. Moi, ce sera juste un café, très fort. Faut que je me remette sur les rails.

Tout a commencé hier vers 18h quand j'ai retrouvé Caroline chez elle. Elle avait une combinaison en cuir terrible avec une fermeture éclair devant. A poil dessous. Moi, j'étais en jean et chemisier, tennis pour danser, classique, en sous-vêt. "Tu ne peux pas sortir dans cette tenue", m'a-t-elle asséné, assez consternée. Elle m'a emmenée vers sa garde-robe, a sorti un mini short, un débardeur, des sandales à talons plats et un blouson court. "Avec les guiboles que tu as, ne pas les montrer, c'est un crime", m'a-t-elle dit. Elle m'a tendu un string pour remplacer ma petite culotte et ma sommé de lâcher mon chignon pour laisser mes cheveux retomber sur mes épaules, comme elle. Quand je me suis vue dans la glace, j'ai eu l'impression d'être une pute.
"Tu veux baiser ou pas ?" m'a-t-elle dit. Je lui ai dit que je voulais surtout danser et elle a haussé les épaules.

La boite où elle m'emmenait était très "branchouille". Les jeunes se révélaient nettement majoritaires et je me suis sentie très vieille là-dedans. Caro, au contraire, était super à l'aise. Dans la voiture, elle m'avait avoué : "j'ai envie de me taper un petit jeune ce soir". Et Gaston ? je lui ai demandé, à quoi elle a répondu : "il vit sa vie et je vis la mienne". Chanceux couple.

Ce qui m'a rassuré, c'est qu'on a très vite été entourées sur la piste de danse. Sans doute que les lumières tamisées effaçaient nos rides. Deux jeunes gars étaient particulièrement assidus. Souples, colorés, respectueux, vingt ans de moins facile mais ça n'avait pas l'air de les gêner. On a pas mal dansé ensemble, parlé aussi (très fort vu le bruit), un peu bu (mais pas trop, je ne tiens pas l'alcool) et il est arrivé le moment fatidique : se séparer en rentrant chacun chez soi, ou finir la nuit ensemble. Cela faisait un moment que l'un des deux gars pelotait Caro et que l'autre essayait de m'embrasser. Caro m'a demandé à l'oreille si on pouvait aller chez moi. J'ai dit non à cause de mon fils. Alors, elle a proposé aux deux garçons d'aller chez elle avec moi. Ils ont souri de toutes leurs dents. Ils voulaient nous baiser. Je ne pouvais plus reculer. J'avais un trac terrible.

Ils nous ont suivies en voiture et Caro m'a demandé lequel je voulais. Celui à la coiffure rasta me plaisait bien. Il m'avait dit son prénom mais je l'ai oublié. Je commençais sérieusement à mouiller et c'était plutôt bon signe. La sècheresse n'est-elle pas l'ennemie du plaisir chez la femme ?
En montant l'escalier vers son appartement, Caro tortillait du cul sous sa combinaison que c'en était indécent, avec ses fesses collées au cuir, véritable appel à la bite. Mais ça a accru l'incendie dans mon string. J'avais à la fois une sensation de feu et de vide. Il fallait éteindre et remplir. D'urgence. Dans l'appartement, j'ai mieux vu nos chevaliers servants. Ils m'ont paru étonnamment jeunes, à peine plus vieux que mon fils. Mais quels corps ! Quand ils ont enlevé leur tee shirts, sans transition, j'ai frissonné de la tête aux pieds. Caro avait hâte d'entrer dans le vif du sujet. Pendant que l'autre gars tirait sur la fermeture éclair de sa combi et dévoilait d'un coup d'un seul son corps nu avec le béret basque de son pubis, elle me désigna la chambre d'amis et dit qu'elle se gardait le canapé car elle ne voulait pas baiser dans la chambre conjugale. Délicate attention pour Gaston.

Bref, j'ai tiré mon mec vers la chambre, impatiente de voir ce qu'il y avait dans son jean. Oh mon Dieu ! Le gaillard n'avait ni slip, ni boxer et sa queue a surgi comme un diable de sa boite. Jamais je n'avais vu une aussi belle queue. Une vraie sculpture en bois d'ébène. A peine avait-il relevé mon débardeur que je l'embouchais. Cela faisait un sacré bail que je n'avais pas sucé, mais une comme ça, jamais. C'était chaud, c'était dur et c'était surtout très gros. J'en avais plein les joues. Et ces couilles ! Grosses comme des balles de tennis. Un mec monté pour procréer. Pas dans mon cas, certes. Après l'avoir bien pompé, j'ai couru à poil dans le salon demander à Caro un préservatif car bien sûr, le gars n'en avait pas. Elle était en train de se faire pilonner sur le canapé, une jambe sur le dossier, l'autre sur l'épaule du gars qui virevoltait du cul, archi ouverte et n'avait pas trop la tête aux choses pratiques. La voir se faire baiser comme ça, ma collègue, c'était fort. Il a fallu que je lui gueule à l'oreille "où sont les capotes" pour qu'elle me désigne du doigt une petite boite en miaulant. Le cul en mouvement de son mec était tellement sexy que je n'ai pas pu m'empêcher de le caresser. Le gars s'est retourné avec un grand sourire. Je me suis vite tirée avec ma capote de peur qu'il ne lâche Caro pour me sauter à sa place.

L'autre m'attendait, couché, la queue verticale. La coiffer a été un peu compliqué car la capote était juste mais il était bien gainé quand enfin, je me suis mise sur lui et j'ai descendu mon cul. Très lentement d'abord car j'étais vraiment resserrée après tant de mois d'abstinence. Mais mon con avait tellement envie d'être visité que je l'ai assez vite englouti. Je n'aurais pas cru qu'un engin pareil puisse être absorbé par mon intimité mais c'est l'avantage d'avoir connu trois maternités : ça permet d'accueillir des grands formats. Dès que j'ai commencé à vraiment remuer, on a été en symbiose totale. Et alors, quel bonheur ! On imagine pas à quel point une bonne grosse bite bien raide puisse faire du bien à une femme dans le besoin comme moi. Je me régalais les yeux de son torse magnifique tout en faisant aller et venir mon cul. Je lui ai mis ses mains sur mes seins pour qu'il les caresse pendant que j'ondulais sur lui car j'adore ça. Je baisais et j'ai encore plus baisé quand il est venu sur moi pour me larder de coups de bite. Je n'avais pas mis les talons dans les reins d'un mec depuis des années lumière et je peux dire qu'il a eu droit à la pression. Tout mon trac avait disparu et si j'avais une appréhension, c'était qu'il jouisse trop tôt. J'arrêtais pas de lui demander de se retenir, de continuer à me baiser.

Je venais de me mettre à quatre pattes pour qu'il me prenne par derrière quand Caro a fait son entrée avec l'autre gars et sa tête crêpue. "Poussez-vous, on va continuer ici", a-t-elle dit. Elle s'est mise à quatre pattes à côté de moi et les deux garçons nous ont enfilées dans un parallèle quasi parfait. C'était la première fois que je faisais l'amour, si l'on peut dire, en présence d'un autre couple. Sensation bizarre mais terriblement excitante. Avec Caro, on s'encourageait, on se questionnait, elle voulait vraiment savoir si je prenais mon pied. Elle a fini par s'allonger et je me suis aperçue que le mec qui la baisait était mon rasta. Je ne m'étais même pas rendue compte que c'était son pote qui me tringlait par derrière. A dire vrai, je m'en foutais, du moment que j'avais une grosse bite dans la chatte. C'est dire dans quel état j'étais. Méconnaissable.

J'ai senti que le mec devenait très pointu, qu'il accélérait son rythme au point de me secouer comme un prunier. J'en avais mal aux nichons. A côté, Caro était elle aussi sérieusement chahutée, le plumard grinçait et bougeait. A l'entendre s'exalter, j'ai compris pourquoi elle voulait des petits jeunes. Ce sont de vraies mitraillettes de la bite et je n'avais plus le souvenir de ces cavalcades. J'en transpirais et je sentais les gouttes de sueur du gars tomber sur mes reins. Ecartelée, Caro a envoyé sans le vouloir un pied dans ma joue. Signe qu'on se faisait vraiment défoncer : les bruits de nos bouches étaient presque masqués par les claquements des peaux. Il y avait quelque chose de sauvage dans la manière de baiser de ces deux étalons mais quel pied ! Je crois que jamais je ne m'étais sentie aussi femelle, avec cette bite qui me creusait inlassablement. J'en étais raide dingue. Mais on avait atteint un pic. Caro s'est mise à jouir avec un "ouiiiii" assourdissant et ça a déclenché dans mon cerveau un orgasme inédit, total. Mon gars s'est effondré sur mon dos en grognant, comme un chien à sa chienne. On est restés unis tous les quatre quelques minutes avant de nous dégager, moi encore haletante. Un vrai 400m d'athlétisme...
Quand je repense à tout ça aujourd'hui, j'en mouille ma culotte de pyjama. Il va falloir que j'en change. C'est comme si ces deux petits mecs avaient ouvert mon robinet à cyprine. Le seul truc qui m'embête, c'est rapport à mon fils. Il n'est pas loin d'avoir leur âge. Heureusement, ils étaient noirs, ça évite trop de rapprochements.

LundiEntre deux clients, j'ai raconté à Caro que j'avais un peu honte de m'être laissée aller comme l'autre nuit. Bien sûr, elle m'a dit que j'avais tort puisque j'avais pris mon pied et que je ne pouvais pas le nier. Les deux garçons avaient voulu nous laisser leur numéro de portable mais Caro dit qu'il ne faudra pas les relancer. "Ils ont eu ce qu'ils voulaient, baiser deux femmes mûres chaudes du cul, mais maintenant on passe à autre chose", m'a-t-elle dit. Elle a raison. Mais j'avoue que je remettrais bien le couvert. J'ai décidé d'être un peu plus sexy à la boutique. Pas trop pour ne pas choquer les grands-mères, très bonnes clientes, mais suffisamment pour susciter quelques envies chez certains mâles. Justement, il y en a un qui me plait bien. Un livreur de légumes qui transporte ses caisses comme si elles ne pesaient rien. Pas très beau mais costaud et quelque chose dans l'oeil qui montre que je ne lui suis pas indifférente. Mais il est toujours pressé. Faudra trouver un truc.

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