Le mariage de ma petite soeur Julie (10)

- Par l'auteur HDS Tounet39270 -
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Récit libertin : Le mariage de ma petite soeur Julie (10) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le mariage de ma petite soeur Julie (10)
Chapitre 10

Le lendemain matin, j’ouvris les yeux et Yohan dormait profondément. Je le regardais dormir quand je sentis une présence dans mon dos. Lorsque je me suis retourné, je me suis retrouvé avec un mot sur ma table de chevet.
C’était Charly qui nous avait écrit un petit message nous expliquant que c’était une erreur, que cela ne se reproduirai pas et que surtout il ne fallait pas en parler.
Je me suis à nouveau retourné et je me suis lové dans les bras de Yohan qui commençait à s’étirer.

Y : Bonjour mon petit Cœur (fit-il en m’embrassant tendrement sur les lèvres). Tu as bien dormi ?
Moi : Oui, sans aucun cauchemar. Et toi ?
Y : Avec toi, je dors comme un bébé.

Je commençais à faire de doux baisers dans son cou puis je commençais à descendre tout doucement sur son torse.

Y : Mmmmm, c’est qu’on dirait que monsieur a des envies coquines ce matin ?
Moi : Si tu savais ?

Je pris son sexe en main et commençait à le malaxer tout doucement tout en approchant mes lèvres de son gland. J’y passais un coup de langue avant d’avaler sa queue toute entière. Sa bite devient dure en un instant. J’aime sentir sa bite gonfler dans ma bouche. Je me suis ensuite mis sur le dos et je lui ai demandé de venir me labourer la bouche ce qu’il fit sans attendre. On aurait dit qu’il baisait un bon cul. Il commençait doucement et allait de plus en plus vite et de plus en plus fort tout en enfonçant sa queue jusqu’à la garde. Je crois qu’il était tellement excité qu’en l’espace de dix minutes, il m’inonda la bouche tout en maintenant sa queue pour que j’avale tout et en gémissant comme un bête. Il se releva à peine pour que je puisse avaler les quelques gouttes qui restaient puis se remis sur le dos cotre moi.

Y : Putain, le pied. Je crois que j’ai dû réveiller notre petit gendarme lol.
Moi : Non, il est déjà parti. Il a laissé un mot.
Y : Ok. Et toi, tu as envie de juter ?
Moi : Je te laisse faire ce que tu veux.
Y : Ce que je veux, vraiment ?
Moi : Oui.

Il ne se fit pas prier et il me mit un doigt dans le cul. Il commençait à faire des vas et vient tout doucement puis y mit deux doigts. Il me pinçait avec son autre main le téton pendant que je me masturbais. Il s’arrêtait de me torturer les tétons pour me branler jusqu’à ce que je jouisse sur mon ventre. Il prit mon jus avec ses doigts et les mis dans sa bouche puis ensuite dans la mienne jusqu’à ce que je n’aie plus rien sur moi. Nous sommes restés allongé encore une vingtaine de minutes en se caressant tendrement et en discutant de ce que nous allions faire aujourd’hui. Il fallait profiter un maximum car dans 3 jours, il devrait repartir chez lui.
Nous, nous sommes levés, pris notre petit déjeuner et ensuite une bonne douche.
Durant ces trois jours, nous sommes allés nous baigner au lac, promenade, restaurant, beaucoup de sexe aussi. C’était juste magique et tellement agréable de se sentir aimé et surtout ne pas se sentir seul. Mais bon, toute bonne chose à une fin. Le dernier matin avant qu’il ne parte, nous avons fait l’amour deux fois de suite. Je ne voulais pas qu’il parte mais il le devait. Je le savais mais c’était très difficile.
Au bout de quelques semaines, je suis retourné travailler et la routine s’installa. Je revoyais quelques fois ma sœur et Yohan. Sont ventre s’arrondissait de plus en plus. J’étais triste mais heureux de le voir à chaque fois. Et les mois aussi passaient vite.
Chaque nuit, lorsque j’étais seul dans mon lit, je cauchemardais mais sans voir le visage de mon agresseur. Puis un soir, vers les 3h du matin, je refis ce cauchemar avec cet homme et ses yeux ainsi que cette odeur de bois. Et là, l’horreur, ce regard, ça y est, je m’en souvenais enfin. Pourquoi n’y avais-je pas pensé avant. Je me suis réveillé en sursaut, le levait d’un coup et m’habillais. Je mis mes baskets et sorti. Je me fichais de l’heure qu’il pouvait être et je pris la décision d’aller frapper à la maison d’à côté. Je frappais comme un malade durant 5 minutes avant qu’une femme vienne m’ouvrir.

Moi : Où est-il ?
La femme : Mais bordel, vous avez vu l’heure qu’il est ? Et d’ailleurs, qu’est-ce que vous venez m’emmerder ? Vous ne trouvez pas que vous avez fait assez de mal comme ça ?
Moi : Où est Grégoire ?

L’ex-femme de Grégoire : Laura me regardait de la tête au pied sans ne rien comprendre.

L : Mais qu’est-ce que j’en sais moi ? Je l’ai foutu à la porte et demandé le divorce. Depuis, je n’ai plus de nouvelles ?
Moi : Je suis sûr que vous me mentez !
L : Je vous jure que non et pourquoi voulez-vous le voir ce batard ? C’est avec vous qu’il baisait non ?
Moi : Mais bordel, c’est lui qui m’a tiré dessus et qui m’a laissé pour mort. Maintenant, je m’en souviens. Alors, soit vous me dîtes où il est soit…
L : Soit quoi ? J’en n’en sait strictement rien et même si c’est un pauvre connard, il serait incapable de faire du mal à qui que ce soit !
Moi : Je n’y crois pas un seul instant.
L : Maintenant, sortez de chez moi où j’appelle les flics.
Moi : C’est exactement ce que je vais faire.

Je suis rentré chez moi prendre mon téléphone et appeler les gendarmes. Ils m’ont dit de venir dès la première heure les voir. Ce que je fis. J’ai donc dû expliquer mes souvenirs et tout ce qui s’était passé à nouveau. Je me souvenais de tout. Ils ont donc fait des recherches pendant des semaines sans jamais le retrouver. Je ne voulais pas partir de chez moi malgré tout ce qui s’était passé. Je ne voulais pas le laisser gagner et prendre le dessus.

Trois semaines se sont passées. J’étais triste car je ne voyais plus Yohan. Il m’envoyait des messages de temps à autres pour m’expliquer qu’il voulait absolument être près de moi mais Julie n’était pas en pleine forme. Un matin, le téléphone sonna. C’était lui. J’entendais enfin sa voix. Yohan venait de me prévenir de les rejoindre à la maternité car ma petite sœur venait d’accoucher. J’ai donc pris la voiture en direction de la maternité et là, Yohan est venu à ma rencontre sur le parking, me plaqua contre la voiture et m’embrassa passionnément en me disant que je lui manquais plus que tout. Je le voyais heureux. Puis sans attendre, il me prit la main et nous sommes partis dans la chambre voir la maman et le bébé. C’était un très joli bébé. Un petit garçon : Dorian. Il avait les yeux de Yohan. Je suis resté vers eux ainsi que mes parents qui nous ont rejoint une demi-heure plus tard toute la matinée et j’ai dû ensuite partir pour aller travailler. En partant, Yohan me raccompagna regarda partout autour de nous s’il n’y avait personne sur le parking et m’enlaça et m’embrassa en me faisant la promesse qu’il viendrait me voir demain avant de venir à la maternité. J’étais heureux pour lui et content qu’il ne m’oublie pas. Je savais qu’il fallait que je passe à autre chose mais le souvenir de ces quelques jours passé avec lui ne pouvaient pas s’effacer de ma mémoire. Je l’avais dans la peau et je le voulais pour moi-même s’il était avec ma petite sœur.

Le lendemain matin, il arriva vers 6h avec des croissants. J’ouvris la porte, il jeta le paquet sur le meuble d’entrée, me pris dans ses bras, m’embrassa. Il me reposa et je ne pus m’empêché de lui retirer tous ses vêtements. Il fit de même avec moi. Sa queue était déjà bien dure. Je ne me fis pas prier plus longtemps et me mis à genoux pour prendre cette queue bien droite et bien dure en bouche. Oh mon dieu, qu’est-ce qu’elle est bonne. Je le suçais comme jamais je n’avais sucé avant. Il me prit la tête et mis des coups de reins pour la faire rentrer bien à fond. Je lui gobais les couilles tout en le regardant droit dans les yeux. Mes mains caressaient son torse et je lui pinçais les tétons. Il gémissait de plus en plus fort. Il me fit me relever d’un coup.

Y : Oh putain, va doucement, tu vas me faire jouir rapidement si tu continues. J’ai envie de toi.

Il m’attrapa et me poussa sur le fauteuil. Il se mit à genoux lui aussi et commença à me bouffer le cul. Je sentais sa langue me lécher tout autour de mon petit trou et de temps à autre, je la sentais me pénétrer. Il cracha ensuite sur ma petite rosette et y glissa un doigt. Avec son autre main, il prit ma queue et me masturbait doucement. Il m’y un deuxième doigt tout en embrassant mes fesses. Au troisième doigt, il me mit une petite claque sur le cul en me disant que j’étais près pour recevoir ma récompense. Oh que oui j’étais plus que prêt. Il attrapa mes fesses, les écarta un peu et je sentis son gland rentré sans difficulté. Il poussa doucement jusqu’à ce que sa queue soit bien à fond. Il se retira puis refit la même chose. Après plusieurs fois ce même traitement, il retira une dernière fois sa queue et la remit d’un coup sec et bien fort. Je poussai un cri de plaisir et retournai ma tête pour le regarder. Il avait un sourire jusqu’aux oreilles et il commença à me labourer le cul très fort et de plus en plus vite tout en me claquant le cul ? Après une bonne dizaine de minutes, il décula et me fit mettre debout. Il vint s’asseoir sur le fauteuil. Je repris sa queue en bouche pour le sucer en fond de gorge. Je le voyais poser sa tête en arrière en soupirant. Je vins ensuite m’asseoir sur cette queue. J’étais face à lui. Pendant qu’il me démontait le cul, il m’embrassa langoureusement. Il me baisa encore dans cette position cinq minutes pour tout en restant sur sa queue, il se releva en me portant et me soulevait comme des altères pour me baiser. Ce fut incroyable. Jamais on ne m’avait baisé de la sorte. J’ai joui sur son torse sans même me toucher. Avec les contractions de mon cul sur sa queue, cela lui provoqua une jouissance phénoménale. Dans un râle bestial de sa part, je reçu environ 8 ou 9 jets de son jus bien chaud tout au fond de mon cul. C’était vraiment incroyable.
Il finit par s’écrouler sur le canapé. J’étais toujours assis sur sa queue car il me maintenait fermement. Sa queue restait encore bien dure. Il reprit ensuite ses esprits, m’embrassa à nouveau et je le sentais le mettre encore quelques petits coups de reins.

Y : J’ai encore envie de toi. J’ai encore envie de te remplir. Tu sens tout ce jus en toi ?

Je fis oui de la tête.

Y : Julie n’a pas voulu baiser avec moi depuis le début de la grossesse. Donc tout est à toi comme je suis à toi.

Ses coups de reins devenaient de plus en plus intenses et je le regardais droit dans les yeux. Il était en transe. Sa queue bien en moi tassait tout le jus dans mon cul. Il me retourna sur le canapé. J’étais à quatre pattes et il me remit sa queue d’un sec à nouveau. Il vint ensuite coller son ventre contre mon dos, Mis ses deux jambes sur le canapé et m’agrippa par les épaules pour que ses coups de reins soient encore plus forts et que je les sente bien. J’avais l’impression d’avoir un acteur porno qui était en train de me défoncer. Cette fois-ci, il ne fut pas aussi long pour me remplir à niveau. 5 jets de son sperme vinrent taper le fond de mon cul. Il se retira, se mis debout et me fit retourner. Il me présenta sa queue luisante de sperme et me la mis en bouche. Je l’ai sucé quelques minutes pour qu’il n’y ai plus une trace de jus dessus.
Il est venu ensuite me prendre dans ses bras. Tous les deux étaient en sueurs. Nous nous sommes embrassés pendant de longues minutes.

Y : Je n’ai jamais ressenti ça pour personne tu sais ?
Moi : Moi non plus.
Y : Je t’aime et je suis tellement désolé pour tous ces mois loin de toi.
Moi : Je comprends tu sais.
Y : Non, je ne crois pas. Je t’aime encore plus que ta sœur. Vraiment mais je ne peux pas la quitter maintenant.
Moi : Je sais.

Nous sommes restés enlacé encore quelques minutes puis je lui ai proposé d’aller se doucher avant de repartir.
Une heure après, je l’embrassais sur le pas de la porte et le vis partir.
Je me suis mis à pleurer à chaudes larmes car j’étais heureux mais triste aussi.
Je pris ma douche et m’habilla. J’entendis la sonnerie des messages sur mon téléphone. J’ouvris et vis un numéro inconnu. Ce n’était pas un message. C’était une vidéo apparemment. Je l’ouvris et je suis resté choquer par ce que je voyais. C’était une vidéo de Yohan et moi pris ce jour. On nous voyait baiser et nous embrasser. Puis un message s’afficha : « Tu as une semaine pour le quitter. Si tu ne le fais pas, j’envoie la vidéo à sa femme ; ta sœur ; et je pense que si je fais ça, tu vas tout perdre. Tu n’as plus le choix, je l’ai fait à ta place. Et si tu en parles aux flics, ça se passera encore plus mal pour toi et le reste de ta famille. Est-ce que c’est compris ? Grégoire ».
Bordel, mais quel fils de … Et d’un seul coup, je me suis effondré sur le sol en pleure. Est-ce que j’ai le choix ou alors peut-être qu’il me teste ? Je ne sais plus quoi penser ?
Je reçois un nouveau message mais cette fois-ci, c’est Yohan. Il me dit qu’il m’aime et qu’il ne veut plus attendre avant de me revoir. Que ce matin avait été inoubliable. Je suis resté prostré au sol plus d’une heure en me prenant la tête entre les mains et en pleurant. Je n’ai pas pu lui répondre ni à tous les messages qui m’envoya les jours suivants.
Les jours se passèrent, la veille du jour fatidique arriva. Je savais ce qu’il me restait à faire. Je pris mon portable et envoya un message à Yohan : « Coucou, mon Amour. Pourrais-tu me retrouver à l’endroit où tout a commencé entre nous ? Juste en face de la maison il y a un petit banc qui donne sur le lac. Je t’y attends demain à 13h. »
Il répondit en me demandant si tout allait bien et comme je ne répondais pas, il me répondit par l’affirmative.
J’ai passé une nuit sans dormir, à pleurer, à boire aussi. Je ne voulais plus penser à rien. Le lendemain matin, je pris mes affaires, les mis dans la voiture et me voilà parti pour le Jura. Arrivé sur place à midi, je m’installai sur ce fameux banc et regarda ce magnifique lac entouré d’arbre. Oui, c’était le bon endroit. Des personnes se promenaient mais ne faisait pas attention à moi. Ce fut l’heure la plus longue de toute ma petite vie.
12h59, la voiture de Yohan se gara sur le parking d’un petit snac en face de la maison et non loin de moi. Je le vis descendre et me regarder tout en me souriant. Il s’approcha de moi et m’embrassa. Je savourais ce baiser tellement, il me réconfortait. Il me prit dans ses bras et je me mis à pleurer encore plus que la veille.

Y : Mon Cœur, mais qu’est-ce qui se passe ? Tu me fais peur.
Moi : S’il te plaît, peux-tu t’asseoir ? J’ai quelque chose de très important à te dire et je te demanderai de ne pas m’interrompre ?
Y : Mais…
Moi : Réponds-moi, est-ce que tu peux juste te taire et m’écouter ?
Y : Oui mais tu me fais peur.
Moi : Ecoutes moi attentivement. Tout d’abord, je voudrais juste te dire que je t’aime plus que je n’aie aimé quiconque. Il y a une semaine, Grégoire a pris contact avec moi.
Y : Oh l’enfoiré, …
Moi : Je t’ai dit de me laisser parler (lui dis-je en détournant le regard, je ne pouvais pas le voir en lui disant toute la vérité) ! Donc, je disais, il a pris contact avec moi par message. Il m’a envoyé une vidéo de nous deux le jour de la naissance de Dorian en train de faire l’amour. Suite à cette vidéo, il m’a laissé un autre message m’expliquant que j’avais une semaine pour mettre fin à notre relation sinon, il dirait tout à tout le monde. Et si j’informais les flics qu’il avait repris contact avec moi, il ferait du mal à toute ma famille. J’ai donc dû prendre une décision. Une décision très difficile mais qui sera la meilleure pour nous et en l’occurrence pour toi et toute ta petite famille.

Je me remis à pleurer et je l’ai enfin regardé droit dans les yeux. Il avait une larme au coin de son œil.

Y : Et donc, qu’est-ce que cela veut dire ?
Moi : Je vais partir.
Y : Comment ça ? Tu vas partir où ?
Moi : Je vais juste partir sans me retourner. Tu vas vivre ta vie avec Julie et ton petit garçon et moi je vais en sortir. Tu vas être heureux, je t’en fais la promesse. Tu vas être un mari et un papa génial.
Y : Mais je ne veux pas que tu partes !
Moi : Ce n’est pas à toi de prendre cette décision.
Y : Mais, je t’aime comme un dingue. Tu ne peux pas nous faire ça. Tu m’aimes aussi, tu viens de me le dire. Tu ne peux pas me quitter (dit-il en se mettant à pleurer).

Je lui prends sa tête entre mes deux mains et lui pose un baiser sur le front.

Moi : Oui je t’aime et c’est pour ça que je dois partir. Partir sans revenir.
Y : mais où ?
Moi : Je suis désolé mais je ne peux pas te le dire. Je ne veux pas qu’il t’arrive quoi que ce soit. Tu seras à jamais mon grand Amour mais il le faut.

Je le pris à nouveau dans mes bras et cette fois-ci je vins poser mes lèvres sur les siennes tendrement. Ce fut un baiser long et je voulais le faire durer à tout jamais. Je me suis reculé et je l’ai regardé avec un sourire. Il pleurait.

Moi : Je dois partir. Je te l’ai dit je ne veux pas qu’il t’arrive quoi que ce soit. Mais saches une chose : Je t’aime et je t’aimerai toute ma vie. Et s’il te plaît, vis ta vie à fond. Réalise tous tes rêves.

Il me prit le bras.

Y : NON, ne pars pas je t’en supplie. Ne pars pas maintenant. Restes avec moi. Je t’AIME.
Moi : Je t’aime.

Je me défie de son bras, me retourna en pris la direction de ma voiture. Je l’entendais pleurer mais non, je ne devais pas me retourner. Je ne devais pas le regarder. Je suis monté dans la voiture, j’ai démarré et je suis parti sans même me retourner. Je roulais sans voir la route car mes larmes étaient trop fortes. J’ai tout quitté : mes amis, mon travail, ma famille et ma maison. J’ai juste demandé à une agence de l’entretenir tant que je n’avais pas pris de décision si je la vendais ou non.
J’ai traversé toute la France et je suis parti m’installer sur la pointe de l’Ile de Ré à Saint-Clément des Baleines. J’y avais loué une petite maison proche de la plage. J’ai mis quelques semaines avant de retrouver un boulot d’aide-soignant à l’hôpital St-Honoré à Saint-Martin en Ré. Une nouvelle vie pour moi commençait. Mais quelle vie ? Je ne connaissais personne ici. Très peu de touriste durant l’année à part sur la période estivale.
Je recevais souvent des messages de mes proches sans y répondre mais le plus dur, je crois que c’était les messages déchirant de Yohan. J’ai mis plusieurs jours avant d’arrêter de pleurer.

Un an après ma décision de tout quitter, je partis faire une balade à vélo et un homme fit un malaise devant moi. Je ne pouvais pas le laisser comme ça sans ne rien faire. Je me suis occupé de lui, appelé les pompiers et je les ai attendus. Pour leur dire son nom, j’ai du fouillé un peu dans ses affaires. Il s’appelait Julien Barbier. Une fois les pompiers sur place, il le mit sur une civière et partit.
Le lendemain, je fis mes dix heures de nuit (oui je travaille de nuit dans l’Ehpad appartenant à l’hôpital). Nous étions au mois d’août donc le service des Urgences était ouvert. Je suis allé me renseigner sur ce fameux Julien. Il devait sortir ce matin. J’ai donc attendu qu’il sorte pour prendre de ses nouvelles.

Moi : Bonjour, Julien ?
J : Oui, euh bonjour, on se connait ?
Moi : Non, je suis désolé de vous importuner mais c’est moi qui ai appelé les pompiers hier.
J : Oh merci beaucoup !
Moi : Ça va mieux ? Que vous est-il arrivé ?
J : Oui, ça va, en fait, j’étais déshydrater et avec la chaleur, je me suis évanoui. Ils m’ont fait des examens pour savoir si tout allait bien et me voici sur pied.
Moi : Ah je suis content pour vous.
J : Merci, c’est gentil. Dîtes, ça vous dit de prendre un café en ville pour vous remercier.
Moi : Avec plaisir.

Nous sommes partis en ville et nous sommes installé sur la terrasse d’un café qui donnait sur le port. J’appris qu’il avait 27 ans, qu’il venait de se séparer d’un mec plus âgé que lui. Il travaille dans une petite librairie du centre car il adore la lecture depuis son enfance. Je le regardais parler et je le trouvais assez mignon. Il est roux mais ses cheveux virent sur le brun, les yeux vert foncé, il est plutôt bien foutu et il est plutôt grand dans les 1m88. Je suis sous le charme. Je me suis mis à bailler à plusieurs reprises et il le vit.

J : Tu es fatigué ? Je peux te dire tu ?
Moi : Oui tu peux sans problème. Oui je suis un peu crevé car j’ai bossé toute la nuit.
J : Ah merde et moi qui te demande de boire un café je suis désolé.
Moi : Ce n’est pas grave mais c’est vrai que je ne vais pas tarder. Ce que je peux te proposer, c’est de venir à Saint-clément ce soir et je t’invite à diner pour que l’on continue notre conversation ? Je connais un petit resto sympa dans le village d’à côté. Si tu le veux bien sûr.
J : Avec plaisir.

Nous nous levâmes tous les deux, il parti payer tandis que je l’attendais. Nous échangeâmes nos numéros et je lui indiquai mon adresse. Nous nous sommes dit au revoir. Au lieu de se serrer la main, il me fit la bise et parti en me disant à ce soir avec un petit clin d’œil.
J’ai eu quelques petits frissons lors de se légers rapprochements et c’est vrai qu’il est très mignon.

Fin du chapitre 10

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