Le mariage de ma petite soeur Julie (11) - histoire érotique

Chapitre 11

Nous nous levâmes tous les deux, il partit payer tandis que je l’attendais. Nous échangeâmes nos numéros et je lui indiquai mon adresse. Nous nous sommes dit au revoir. Au lieu de se serrer la main, il me fit la bise et parti en me disant à ce soir avec un petit clin d’œil.
J’ai eu quelques petits frissons lors de se légers rapprochements et c’est vrai qu’il est très mignon.
Je suis rentré chez moi et je me suis écroulé sur mon lit après m’être mis à poil. Je me suis réveillé vers 14h. Toujours à poil, je suis parti me faire un petit café et envoyer un message à Julien pour lui dire de me rejoindre à la maison à 19h, qu’on boirait un petit verre avant d’aller au resto pour 20h. La réponse ne se fit pas attendre : « Pas de soucis, je suis impatient d’être à ce soir ». Je suis ensuite allé prendre une bonne douche froide et je suis parti jusqu’à la plage de la Conche où l’on peut s’y faire bronzer nu.
Me voilà installé sur la plage dans un coin gay. Je mate les beaux mecs à poil marcher ou lézarder au soleil. Certains bien foutus avec de beaux sexes soit en demie molle, en érection ou au repos. Toutes ses bites commençaient à réveiller mon appétit.
Je vis un groupe de 6 mecs d’environ 25 à 30 ans se balader avec pour certains une bonne gaule en direction d’un petit bois. Intéressant tout ça. Ma curiosité pris le dessus et je pris mon sac et ma serviette et les ai suivis. Arrivé dans le petit bois je les entendais discuter et rigoler. Un des mecs pris la parole et dit en se touchant la queue : « Putain, j’ai les couilles pleines et y’a pas une petite salope pour me les vider ». Les autres rigolaient et se touchaient entre eux. Son pote lui répondit : « faudrait trouver une bonne salope qui nous servent de vide couilles ». Ma queue se mit au garde à vous rien qu’en entendant ses paroles. Je pris mon courage à deux mains et arrivé à leur hauteur, je me mis à genoux en ouvrant la bouche. Les mecs me regardèrent et l’un deux dit en rigolant : « Dieu existe, merci ».
Il ne leur a pas fallu trente secondes pour me donner leurs 6 belles queues toutes bien entretenues à sucer. Ils me baisaient la bouche à tour de rôle. J’en avais de la bave qui coulait le long de ma joue tellement ils étaient excités.
- On va te défoncer par tous les trous.
- MMMM Oui j’adore mais vous êtes clean ?
- T’inquiètes pas pour ça, on est clean.
Je me suis mis à quatre pattes. Je suçais à tour de rôle quand le premier vient m’enfiler sans préparation. Je ne pouvais pas crier vu que j’avais une bite énorme en bouche. Je n’étais qu’une bonne chienne à leurs yeux et cela m’allait parfaitement à ce moment-là. Il me tournait chacun leur tour. J’ai eu mal au tout début puis le plaisir vint rapidement. Les coups de queues me martelaient de plus en plus fort. Certains me bifflaient, d’autres essayaient de me mettre une deuxième bite en bouche. Mon dieu, que j’aime la bite. L’un d’entre eux prit ma serviette, l’étala au sol et s’allongea en me disant de venir s’asseoir sur sa bonne grosse queue. Je ne me fis pas prier une seule minute. Celui que j’avais en bouche sourit à son pote et vint se placer dans mon dos. J’ai senti sa bite s’insérer avec celle de son pote et il n’eut aucun mal à me faire une double pénétration. Mon cul était tellement ouvert et la sueur servait de lubrifiant. Les quatre patientaient en se faisant sucer pour prendre place bien au chaud dans mon cul. Pas besoin de me branler tellement l’excitation était à son comble. Je me suis mis à éjaculer des litres de foutre sans me toucher. Un des mecs que je suçais s’est mis à beugler et éjacula sur ma tronche en me disant d’ouvrir la bouche. J’étais couvert de jus. Les autres le félicitèrent et chacun leur tour, il jouir sur ma gueule ou bien au fond de mon cul. L’un d’eux me dit qu’ils étaient en vacances encore une semaine et qu’ils seraient là tous les jours à la même heure si jamais je voulais encore me faire démonter. Il me dit même que j’étais une très bonne salope qui encaissait bien.
J’étais couvert de sperme. J’étais en train de me relever quand un grand black avec une queue énorme vint près de moi et me mis un doigt dans le cul.

Le black : Putain, ils ne t’ont pas loupé. T’es fin près pour ma bite. Suces-moi sale pute.

Pas le temps de répondre que j’avais déjà sa queue en bouche. Elle avait un goût salé à cause de l’eau. Mais putain, elle était énorme. Ses couilles pendaient et se balançaient au fur et à mesure qu’il me baisait la bouche. J’étais exténuer mais je ne pus dire non à cette queue.

Moi : Putain, baises moi. Mets-là moi bien profond.
Le black : T’es vraiment une bonne salope toi.

Je me mis à quatre pattes à nouveaux malgré les cailloux qui me faisaient mal et il vint m’enculer. Je n’étais vraiment qu’une marionnette qu’on utilisait. De toute façon, je ne me sentais rien d’autre pour le moment. Mon cul était tellement élargi que sa queue rentrait comme dans du beurre. A chaque coup de reins, je sentais ses couilles taper contre mon cul. C’était vraiment le roi des baiseurs. Il m’a démonté durant 20 minutes de cette façon avant de me jouir une partie dans le cul et une autre dans la bouche. Je l’ai sucé encore un peu puis il est parti sans se soucier de moi.
Je pris mes affaires et pris mon portable. Merde, il est 17h et bizarre, deux appels inconnus en absence sans message. Je parti me baigner un coup pour rincer tout le jus que j’avais sur moi puis je suis rentré chez moi pour me laver et me faire un petit lavement pour enlever tous les jus de mon cul. Il y en avait une quantité énorme. Je sentais mon cul bien dilaté par cet après-midi de baise et aussi par cette chaleur.
En sortant de la douche et après m’être séché, je me suis habillé avec un short chino, une petite chemise en lin blanc et des baskets blanches en attendant Julien. Je mis une bouteille de blanc au frais puis alla fumer une cigarette sur ma terrasse un peu ombragée. Un petit air frais me parcourait le corps et je me mis à penser à ce qu’était devenue ma vie. Cette pensée fut de courte durée car Julien était déjà là. Il portait un short en jean qui lui mettant con cul en valeur et un polo vert d’eau qui lui fait ressortir ses yeux et son bronzage. Je me dis dans la tête, il est très sexy ce mec.

Moi : Tu as un peu d’avance.
J : Juste 15 minutes. Je déteste être en retard.
Moi : Tu as eu raison.

Je l’invitais à prendre place près de moi sur la terrasse et nous nous sommes mis à discuter avec notre verre à la main. Il me regardait avec insistance et je me sentais un peu déstabilisé par cet aplomb qu’il avait.

J : Je peux te poser une question ?
Moi : Oui bien entendu.
J : Tu es bien gay ?
Moi : Euh oui, pourtant ce n’est pas écrit sur mon front (dis-je en souriant). Pourquoi ?
J : Parce que sinon, je n’aurais pas pu faire ceci :

Il se leva et vint se pencher vers moi pour m’embrasser. Je répondis à ce baiser parfait.

Moi : tu ne perds pas le nord toi dit donc ?
J : Jamais.

Il m’embrassa à nouveau tout en m’enlaçant.

J : Bon, on y va à ce resto ?
Moi : Bien chef. Je t’emmène tout de suite.

Nous sommes donc allés au resto ou nous avons commandé des fruits de mers et du vin. Nous avons discuté de son enfance, de ses passions et de la rupture avec son ex. Il voulu m’interroger sur ma vie mais je ne me sentais pas encore près pour en parler même après un an. Je pensais toujours à Yohan. Et surtout à cet enfoiré de Grégoire qui n’a jamais été retrouvé. Bref, la soirée s’est très bien passé et je lui ai demandé s’il voulait venir boire un dernier verre à la maison ? Je crois que nous avons pas mal bu de vin ce soir.

J : Si tu veux, mais t’es sûr que c’est juste pour un verre ?
Moi : Évidemment (dis-je sur un air moqueur).
J : Mouai….

Nous sommes retournés à la maison et j’ai sorti la bouteille de vin.
En me retournant, Julien me pris la bouteille, la posa sur la table et m’embrassa.

J : Laisses tomber la bouteille.
Moi : Coquin.
J : Et encore tu n’as rien vu ?
Moi : J’attends de voir alors.

Je me suis approché de lui et je lui ai attraper sa queue directement à travers son jean.

Moi : Je pourrais peut-être boire à cette bouteille directement.
J : Bois au goulot alors.

J’ouvris son short et le baissa en même temps que son shorty. Il avait une belle queue sans poils avec de belles couilles bien lisse. Une queue de belles proportions : 19x6. Je mis à genoux et engloutis sa queue qui durcie au fur et à mesure que je la suçais. Il finit par enlever son polo pour se retrouver quasi à poil. Pendant que j’avais sa queue en bouche, je l’aidais à enlever ses baskets, chaussettes, short et shorty. Je repris ma pipe de plus belle et il posa sa main sur ma tête pour accélérer le mouvement. Après 5 minutes de ce traitement buccal, je me relevais pour me mettre nu à mon tour. C’est lui qui se mit ensuite à genoux pour me bouffer la queue. Mmmmmm que sa bouche était douce. Tout en me suçant, avec sa main, il rapprocha son doigt de mon cul et me le mis. Au lieu de passé à deux, il y mit directement 4 doigts. Il se releva et me dit :

J : Putain, toi tu t’es bien fait défoncer aujourd’hui !

Je suis devenu rouge mais rien à faire, maintenant j’avais envie de lui. Je lui pris la main et le dirigea dans la chambre où je me suis allongé sur le dos en relevant les jambes. L’invitation faite, il vient se poser sur moi pour m’embrasser. Je sentis sa main prendre sa queue et la diriger vers ma rosette bien dilatée.

J : T’es bien élargis, même pas besoin de te préparer.

Il m’y sa queue bien à fond et commença à me baiser. Il était bien droit en me regardant et me tenait par les hanches tout en me mettant de grands coups de reins. Il me mit ensuite sur le côté et se colla allonger derrière moi en me levant une jambe. Et pour finir, il me mit à quatre pattes sur le lit en me demandant de bien me cambrer. Il m’encula encore plus rapidement au bout de 5 minutes, je passai mon bras en dessous de moi pour pouvoir atteindre ses couilles et les malaxer pendant qu’il me baisait. J’ai senti ses couilles se contracter et il retira sa queue pour me jouir sur le dos. Il vint ensuite lécher tout son jus puis me retourner pour me le donner en bouche que je me mis à avaler avec plaisir. Il prit ma bite en bouche et me suça avec ardeur jusqu’à ce que je lui éjacule dans la gorge.

J : C’était vraiment le pied.
Moi : Clairement. Tu veux dormir ici ? Avec l’alcool, ça sera plus simple pour toi.
J : Ah oui mais demain, je me lève tôt, c’est moi qui ouvre la boutique.
Moi : Pas de soucis.

Nous n’avons pas mis longtemps pour nous endormir et le lendemain matin, je me suis réveillé avant lui. Je suis allé préparer le café et je suis venu le réveiller avec une bonne pipe matinale.

J : Mmmmm une bonne pipe pour commencer la journée, tu es vraiment un mec à garder.

Je souris puis nous sommes allés prendre notre café et il est parti vers les 8h.
Nous nous sommes revus à plusieurs reprises et au bout d’un an, nous avons emménagé ensemble. Je me sentais bien. Il m’a même déjà dit qu’il m’aimait mais après Yohan, je ne pouvais plus dire Je t’aime à quelqu’un. Pas besoin de lui raconter ma vie, je pense qu’il a compris qu’une blessure était en moi sans être cicatrisée.
Puis un jour le téléphone sonna et Julien décrocha.

J : Chéri, téléphone pour toi.
Moi : Je suis sous la douche, dis-leur de rappeler.
J : Apparemment, c’est ta sœur et c’est très important.

Je sortis de la douche sans même me sécher à poil. Il me dit à voix basse en me tendant le téléphone : « Tu as une sœur ? » Je pris le téléphone et lui dit bonjour. Je suis resté 5 minutes au téléphone puis j’ai raccroché avec une larme à l’œil.

J : Qu’est-ce qui se passe ? T’as une sœur ?
Moi : C’est mon père.
J : Quoi ton père ?
Moi : Il est mort.

Fin du chapitre 11