Le mariage de ma petite soeur Julie (14)

Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 14 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Tounet39270 ont reçu un total de 39 974 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 564 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le mariage de ma petite soeur Julie (14)
Chapitre 14
Je n’avais pas encore juté et j’avais encore envie de ce monstre qui pendait entre ses cuisses. J’enfilai rapidement un short et parti direction le bar. Sur le chemin, je reçu un sms. Je pris mon portable et lu le message : « Je sais où tu te caches ».
J’étais mort de peur rien qu’avec ce message. Je suis reparti en arrière, rentré dans le logement et pris toutes mes affaires.
B : Déjà rentré ? Il est où mon café ?
Moi : Désolé, je n’ai pas le temps, peux-tu prendre tes affaires et t’en aller s’il te plaît ?
B : Pourquoi ?
Moi : Poses pas de questions et pars maintenant !
B : Ok comme tu voudras mais ma proposition de ce soir est toujours valable.
Moi : Ok vas t’en s’il te plaît.
Il partit rapidement et je fis mes bagages rapidement. Sans prendre le temps de passer à l’accueil pour dire que je partais, j’ai déposé les clés dans la boîte aux lettres et suis parti. Je suis passé chez moi où tout semblait vide. J’ai appelé Julien pour lui demander où il avait mis toutes mes affaires et il me répondit qu’il n’y avait pas touché et m’a ensuite raccroché au nez. La peur était encore plus stressante et je suis parti sans savoir où aller.
Je me sentais comme un fugitif en fuite. J’ai du tout abandonner. Mon travail, ma maison, tout !
J’ai roulé pendant plusieurs jours en dormant dans différents hôtels. Au bout de trois semaines, j’ai vendu ma voiture et je me suis acheté un billet d’avion pour partir loin de tout. Destination Montréal. J’ai même dû changer mon téléphone.
Au bout de deux mois de recherches et de papiers à remplir, j’ai retrouvé un travail en tant qu’aide-infirmier (l’équivalent d’aide-soignant) aux urgences du Montreal General Hospital. Là-bas, personne ne me connaissait et je me sentais un peu soulagé. Je me suis retrouvé un petit appartement dans la rue Sainte-Catherine (quartier gay de la ville). Chaque jour se ressemblait : travail, métro, dodo. Je ne voulais rencontrer personne. Je n’osais même plus sortir à part pour faire quelques courses. De temps en temps, je m’autorisais une petite sortie au Starbucks du coin pour boire un café en lisant un livre.
J’ai passé quelques années en faisant ça. Je ne voulais parler à personne. Moi qui étais quelqu’un de chaleureux, je me retrouvais dans une situation où je me refermais de plus en plus. Cela fait maintenant sept ans que je suis parti de Besançon. Mais je commence enfin à me sentir enfin libre. Plus de nouvelles de ce cinglé de Grégoire mais je pense encore chaque jour à ce que devient ma famille et Yohan.
Un jour où je me rendais au café, j’allais pour commander quand le vendeur me précéda dans ma demande :
Vendeur : Un grand café latté au nom de Maxime si je me souviens bien, n’est-ce pas ?
Moi : Oui c’est bien ça, merci.
Je n’avais jamais pris le temps de regarder les gens auparavant. J’étais face à un vendeur dans la trentaine, brun aux yeux bleus, environ 1m85 et d’allure sportive. Il était très mignon avec son petit tablier vert.
Vendeur : Je vous vois venir chaque jeudi à la même heure et prendre la même chose.
Moi : Oui, c’est vrai.
Vendeur : J’espère ne pas vous avoir offensé en tout cas.
Moi : Non pas du tout.
Il me tendit mon gobelet de café et je parti m’asseoir à ma table habituelle avec mon livre. Je n’arrivais pas à me concentrer sur mon livre. Je levais la tête pour le regarder et à chaque fois, lui me regardait aussi avec un grand sourire ce qui me faisais rougir et baisser la tête automatiquement. Je n’avais pas encore remarqué la petite inscription sur mon gobelet : « Je termine mon service dans une heure ». Il y avait même inscrit son numéro de téléphone. J’étais arrivé vers 11h et il était déjà 11h59. Merde, qu’est-ce que je devais faire ? J’ai levé les yeux et je le vis venir près de moi avec deux cafés dans les mains.
Vendeur : Est-ce que le siège est libre ?
Moi : Euh, oui.
V : Moi c’est Noah. J’espère que je ne suis pas trop direct ?
Moi : Non, non, c’est juste que je n’ai pas l’habitude.
Noah : Et toi, je peux te tutoyer ?
Moi : Oui oui bien entendu mais moi quoi ? Moi c’est Ma…
N : Maxime oui je me doute depuis le temps que je te sers ton café.
Moi : C’est pas faux (dis-je avec un sourire).
N : Je suis vraiment désolé d’avoir été aussi entreprenant mais je te vois chaque semaine seul et triste. Un beau mec comme toi, ne devrait pas l’être.
Moi : C’est gentil mais c’est très compliqué et je n’ai pas vraiment envie d’en parler à vrai dire.
N : Ok, je peux comprendre.
Nous avons discuté et sommes allé nous balader un peu en ville. Il est très avenant, plutôt doux, et qu’est-ce qu’il est sexy.
N : Bon, en tout cas, je suis très content d’avoir fait ta connaissance et j’espère que l’on se reverra très vite si tu en as envie ?
Moi : Oui avec plaisir, cela fait du bien de parler enfin avec quelqu’un.
N : Si tu veux, ce soir je bosse dans un bar du quartier donc si tu veux, je te donne le nom du bar et tu me rejoints là-bas ? Mais viens à l’ouverture, vers 19h. Tu ne seras pas déçu, je te le promets. Si tu ne me vois pas tout de suite, ne t’en fais pas je serai là mais reste et profite ok ?
Moi : Ok pas de soucis.
Il m’écrivit sur ma main le nom du bar, me pris dans ses bras et parti en me faisant un clin d’œil avec un sourire ravageur. Je ne savais vraiment pas quoi faire ? Devais-je rester enfermer dans mon petit appart ou alors sortir pour le rejoindre ? Le problème, c’est qu’il bosse donc je vais sûrement me faire chier.
Il est 19h et je me décide enfin à y aller. J’arrive devant ce fameux bar et me présente devant la porte. Le vigil à l’entrée me demande mon nom et m’indique de passer au bar directement. J’y suis donc allé et on m’explique qu’une table proche de la scène m’étais réservé. Je vais donc m’installé et je regarde autour de moi. Il n’y a que des hommes et une ou deux femmes. La scène et plutôt spacieuse.
Je n’ai pas attendu trop longtemps quand Noah s’est approché de moi. Mon dieu, qu’il est sexy ce soir.
N : Tu es venu ? Je suis content. J’étais sûr que tu viendrais alors je t’ai gardé la meilleure place. Tu veux boire quelque chose ?
Moi : Oui, c’est gentil. Je veux bien un verre de blanc s’il te plaît ?
N : Pas de soucis je t’apporte ça tout de suite.
Il parti et ne mit pas longtemps à revenir avec mon verre.
N : Bon, je te laisse ça va bientôt être à moi.
Moi : Comment ça ?
N : Tu verras.
Et il repartit avec son petit sourire. Un mec parla dans un micro et nous présenta la première personne à monter sur scène. Et là, je compris tout de suite où je me trouvais : un bar à striptease. Le premier mec monta sur scène et commença à se déshabiller en dansant. Puis un deuxième le rejoignit. Le premier le déshabilla et tous les deux se retrouvèrent nu en érection tout en dansant. Les mecs étaient sex et bien foutu avec de belles queues. Tout en dansant, ils se caressaient ? Le show à durer cinq bonnes minutes. Tout le monde applaudissait. C’était chaud. Puis, le présentateur dit au micro : « maintenant, vous aller découvrir notre chouchou à tous. Le beau Noah et son anaconda !!! »
Noah arriva sur scène avec une chaise et une grande peluche anaconda. Il la posa au centre de la scène proche de la barre de pole dance. Il était vêtu de baskets blanche, d’un short blanc assez ample et d’un T-shirt assez près du corps. Il commença à danser comme un pro tout en montant et glissant sur la barre de pole dance. Putain, ce mec est vraiment incroyable. Il me regardait souvent directement droit dans les yeux et commença à venir à genoux près de moi. J’étais hypnotisé par ce mec. Il me fit signe avec son doigt de le rejoindre sur scène et je fis non de la tête. Le présentateur pris la parole :
Présentateur : Allez tout le monde, faite un tonnerre d’encouragement à notre invité timide.
Tout le monde applaudissait et Noah descendit de la scène pour venir me chercher. Je n’eu pas le temps de dire quoi que ce soir qu’il me fit me lever devant tout le monde et me porta dans ses bras jusque sur la scène. Je suis devenu rouge pivoine tellement j’avais honte. Une fois sur scène, il me fit m’asseoir sur la chaise et commença à danser langoureusement près de moi en m’écartant les cuisses. Il s’assit dos à moi sur mes genoux et prit mes mains pour les poser sous son maillot. J’avais les mais sur ses tétons déjà bien durs et je le caressais discrètement. Il me fit l’aider à lui enlever son T-Shirt et en même temps, il remuait ses fesses contre mon entre-jambe. Ma queue se réveillait de plus en plus et je suis sûr qu’il pouvait la sentir. Il se releva et ôta son short. Il se retrouvait en boxer blanc moulant et je pouvais voir sa queue moulée dans le tissu du sous-vêtement. Mon dieu, je comprends maintenant pourquoi l’anaconda. Ce n’était pas que la peluche. Il vient ensuite se rasseoir sur moi mais cette fois-ci face à moi. Il mit ses mains contre ses fesses bien dures. Il ondulait sur moi. Il rapprocha sa bouche près de mon oreille et me dis doucement : « Profites du moment. Et sympa aussi ton serpent sous mes fesses, mmmm ». Il se releva encore et mis mes mains sur le rebord de son boxer pour que je le descende. Ce que je fis sans me faire prier. Il l’enleva pour m’aider et le pris en me le mettant dans ma poche. Il prit ensuite mes mains pour que je le caresse sur son torse, son dos et son cul. Un vrai régal. Il vint ensuite s’asseoir à nouveau sur moi et face à moi et je voyais et sentais son sexe d’environ 25 cm en érection contre mon ventre. Ce mec est un étalon de premier choix. Je bandais à mort et il le sentait encore plus car il faisait des allers retours sur ma queue. Cela l’amusait. Puis au bout de dix minutes, il me fit me relever, me fit un baiser sur la bouche et me raccompagna à ma place. Il reparti ensuite en coulisse. J’ai regagné mon siège tout excité par ce qui venait de se passer. Je bu une gorgée de mon verre quand un autre danseur vint sur scène. Le show à continuer avec d’autres danseurs. Heureusement que je ne bossais pas le lendemain. Noah est repassé sur scène mais cette fois ci c’était une scène de douche ou il se trémoussait et se mettait du savon sur tout le corps. C’était un régal pour les yeux. Vers 2h30 du matin, Noah est venu me voir et me dis que le bar fermait dans 30 minutes et que si je voulais, je pouvais l’attendre.
J’ai donc attendu ce beau mâle.
N : Le show t’a plu ?
Moi : Comment te dire ?
N : T’inquiètes, j’ai bien senti que ça te plaisait.
Moi : Comment ne pas aimé ce genre de show ? Tu fais ça depuis longtemps ?
N : Je fais ça depuis un an maintenant. Tu veux venir boire un dernier verre chez moi ? Je n’habite pas très loin.
Moi : Oui si tu veux.
Nous avons marché durant dix minutes avant d’arriver dans un loft somptueux. Une fois la porte fermée, il vint m’embrasser directement.
N : A mon tour de voir ce serpent que j’ai bien senti tout à l’heure.
Je n’ai même pas eu le temps de répondre qu’il s’était déjà mis à poil et qu’il commençait à faire de même avec mes vêtements. Il se mit debout face à moi et me prit la bite en main.
N : Très beau spécimen je dois dire.
Moi : Merci mais le tien est vraiment énorme.
N : Tu veux l’apprivoiser ?
Moi : Grave.
Il me fit me mettre à genou et pris sa bite en main pour me biffler à grands coups. J’ouvris la bouche et je commençais à sucer cette énorme bite qui je dois l’admettre me faisait bander mais aussi me faisait un peu peur. Je n’arrivais pas à la mettre toute entière en bouche. Il commençait ses vas et viens dans ma bouche comme s’il voulait me la baiser. Je n’arrivais plus à reprendre ma respiration donc au bout de 15 minutes, il me fit me relever, m’embrassa sauvagement. Il me mit ensuite à quatre pattes et vint me bouffer le cul directement. Mon dieu qua sa langue est divine. Il me bouffa pendant de longues minutes et se releva en me demandant de ne surtout pas bouger. Lorsqu’il revint, il me présenta une petite fiole de poppers en me disant de bien inspirer pour que sa queue rentre en moi.
Moi : Vas doucement ok ?
N : T’inquiètes pas pour ça, je ne vais pas t’abîmer bien au contraire, je vais te baiser et tu vas en redemander.
Je pris de grandes inspirations de poppers et je me senti voler. Je sentais son gland rentrer en moi. Je criais tellement il était gros. Puis mon trou le fit rentrer et tout doucement, il commença à insérer le reste de sa queue jusqu’à la garde. J’ai crié encore plus fort. Il est resté en moi en faisant de tous petits mouvements pour que mon cul soit bien dilaté à sa bite.
N : Ton cul est divin mon beau.
Moi : Putain (dis-je en reprenant de grandes inspirations de poppers), vas-y baises moi s’il te plaît.
N : Ma queue te plaît alors.
M : Mmmmmm oui, défonces moi maintenant, je n’en peux plus d’attendre.
Il ressortit sa queue et la replanta directement ce qui me fit gémir très fort. Et il commença ensuite à me mettre de grands coups de reins de plus en plus fort. Ses couilles bien pendantes claquaient cotre mon cul. Pour accentuer ses coups de reins, il me prit par les épaules et ses coups devinrent encore plus forts durant bien vingt minutes.
N : Tu la sens bien ma grosse queue hein ?
Moi : Ouiiiiiii.
N : Putain, je ne vais pas tarder à juter. Tu veux mon jus ?
Moi : Ouiiiiiii.
Il se retira d’un coup et me la remit bien à fond encore deux fois de suite et me fis ensuite me retourner en me demandant d’ouvrir la bouche bien grande. C’est ce que je fis en tirant la langue. Il se mit à juter des litres de foutre dans ma bouche et sur mon visage. J’en avais partout et son sperme était incroyablement bon et chaud. Il vint ressasser tout le reste de son jus avec sa queue et ses doigts pour tout me faire avaler. Rien que de le voir faire, cela me fit juter à mon tour. Une fois avaler tout son jus et nettoyer sa queue, il me rebouffa le cul et vint m’embrasser fougueusement.
Il s’écroula au sol tout transpirant et je vins le rejoindre. Il m’embrassa à nouveau et me dis :
N : C’était le pied. Tu veux boire un verre du coup ?
Il se mit à rire ce qui me fit sourire aussi.
N : Une bière ça te va ?
Moi : Oui très bien.
Il se leva et revint avec deux bières bien fraiches. Nous avons discuté encore une bonne heure et je commençais à tomber de sommeil.
N : Tu veux rester dormir ici cette nuit ? Je ne bosse que demain aprem donc pas de soucis pour moi.
Moi : Je ne vais pas te déranger.
N : Non au contraire, restes ?
Moi : Tu es sûr ?
N : Bien entendu.
Il m’a pris par la main et nous sommes allé nous mettre dans son énorme lit. Il m’embrassa et me pris dans ses bras pour dormir.
Lorsque je me suis réveillé, je me suis retrouvé tout seul dans ce grand lit. Je me suis donc levé et juste remis mon boxer pour le rejoindre. Il était dans la cuisine en train de faire du café. Il me vit et vint me rouler une pelle mémorable. Au même moment, j’entendis une voix de femmes derrière moi.
La femme : Bordel, tu aurais pu faire moins de bruit cette nuit, t’abuses Noah…
Fin du chapitre 14.
Je n’avais pas encore juté et j’avais encore envie de ce monstre qui pendait entre ses cuisses. J’enfilai rapidement un short et parti direction le bar. Sur le chemin, je reçu un sms. Je pris mon portable et lu le message : « Je sais où tu te caches ».
J’étais mort de peur rien qu’avec ce message. Je suis reparti en arrière, rentré dans le logement et pris toutes mes affaires.
B : Déjà rentré ? Il est où mon café ?
Moi : Désolé, je n’ai pas le temps, peux-tu prendre tes affaires et t’en aller s’il te plaît ?
B : Pourquoi ?
Moi : Poses pas de questions et pars maintenant !
B : Ok comme tu voudras mais ma proposition de ce soir est toujours valable.
Moi : Ok vas t’en s’il te plaît.
Il partit rapidement et je fis mes bagages rapidement. Sans prendre le temps de passer à l’accueil pour dire que je partais, j’ai déposé les clés dans la boîte aux lettres et suis parti. Je suis passé chez moi où tout semblait vide. J’ai appelé Julien pour lui demander où il avait mis toutes mes affaires et il me répondit qu’il n’y avait pas touché et m’a ensuite raccroché au nez. La peur était encore plus stressante et je suis parti sans savoir où aller.
Je me sentais comme un fugitif en fuite. J’ai du tout abandonner. Mon travail, ma maison, tout !
J’ai roulé pendant plusieurs jours en dormant dans différents hôtels. Au bout de trois semaines, j’ai vendu ma voiture et je me suis acheté un billet d’avion pour partir loin de tout. Destination Montréal. J’ai même dû changer mon téléphone.
Au bout de deux mois de recherches et de papiers à remplir, j’ai retrouvé un travail en tant qu’aide-infirmier (l’équivalent d’aide-soignant) aux urgences du Montreal General Hospital. Là-bas, personne ne me connaissait et je me sentais un peu soulagé. Je me suis retrouvé un petit appartement dans la rue Sainte-Catherine (quartier gay de la ville). Chaque jour se ressemblait : travail, métro, dodo. Je ne voulais rencontrer personne. Je n’osais même plus sortir à part pour faire quelques courses. De temps en temps, je m’autorisais une petite sortie au Starbucks du coin pour boire un café en lisant un livre.
J’ai passé quelques années en faisant ça. Je ne voulais parler à personne. Moi qui étais quelqu’un de chaleureux, je me retrouvais dans une situation où je me refermais de plus en plus. Cela fait maintenant sept ans que je suis parti de Besançon. Mais je commence enfin à me sentir enfin libre. Plus de nouvelles de ce cinglé de Grégoire mais je pense encore chaque jour à ce que devient ma famille et Yohan.
Un jour où je me rendais au café, j’allais pour commander quand le vendeur me précéda dans ma demande :
Vendeur : Un grand café latté au nom de Maxime si je me souviens bien, n’est-ce pas ?
Moi : Oui c’est bien ça, merci.
Je n’avais jamais pris le temps de regarder les gens auparavant. J’étais face à un vendeur dans la trentaine, brun aux yeux bleus, environ 1m85 et d’allure sportive. Il était très mignon avec son petit tablier vert.
Vendeur : Je vous vois venir chaque jeudi à la même heure et prendre la même chose.
Moi : Oui, c’est vrai.
Vendeur : J’espère ne pas vous avoir offensé en tout cas.
Moi : Non pas du tout.
Il me tendit mon gobelet de café et je parti m’asseoir à ma table habituelle avec mon livre. Je n’arrivais pas à me concentrer sur mon livre. Je levais la tête pour le regarder et à chaque fois, lui me regardait aussi avec un grand sourire ce qui me faisais rougir et baisser la tête automatiquement. Je n’avais pas encore remarqué la petite inscription sur mon gobelet : « Je termine mon service dans une heure ». Il y avait même inscrit son numéro de téléphone. J’étais arrivé vers 11h et il était déjà 11h59. Merde, qu’est-ce que je devais faire ? J’ai levé les yeux et je le vis venir près de moi avec deux cafés dans les mains.
Vendeur : Est-ce que le siège est libre ?
Moi : Euh, oui.
V : Moi c’est Noah. J’espère que je ne suis pas trop direct ?
Moi : Non, non, c’est juste que je n’ai pas l’habitude.
Noah : Et toi, je peux te tutoyer ?
Moi : Oui oui bien entendu mais moi quoi ? Moi c’est Ma…
N : Maxime oui je me doute depuis le temps que je te sers ton café.
Moi : C’est pas faux (dis-je avec un sourire).
N : Je suis vraiment désolé d’avoir été aussi entreprenant mais je te vois chaque semaine seul et triste. Un beau mec comme toi, ne devrait pas l’être.
Moi : C’est gentil mais c’est très compliqué et je n’ai pas vraiment envie d’en parler à vrai dire.
N : Ok, je peux comprendre.
Nous avons discuté et sommes allé nous balader un peu en ville. Il est très avenant, plutôt doux, et qu’est-ce qu’il est sexy.
N : Bon, en tout cas, je suis très content d’avoir fait ta connaissance et j’espère que l’on se reverra très vite si tu en as envie ?
Moi : Oui avec plaisir, cela fait du bien de parler enfin avec quelqu’un.
N : Si tu veux, ce soir je bosse dans un bar du quartier donc si tu veux, je te donne le nom du bar et tu me rejoints là-bas ? Mais viens à l’ouverture, vers 19h. Tu ne seras pas déçu, je te le promets. Si tu ne me vois pas tout de suite, ne t’en fais pas je serai là mais reste et profite ok ?
Moi : Ok pas de soucis.
Il m’écrivit sur ma main le nom du bar, me pris dans ses bras et parti en me faisant un clin d’œil avec un sourire ravageur. Je ne savais vraiment pas quoi faire ? Devais-je rester enfermer dans mon petit appart ou alors sortir pour le rejoindre ? Le problème, c’est qu’il bosse donc je vais sûrement me faire chier.
Il est 19h et je me décide enfin à y aller. J’arrive devant ce fameux bar et me présente devant la porte. Le vigil à l’entrée me demande mon nom et m’indique de passer au bar directement. J’y suis donc allé et on m’explique qu’une table proche de la scène m’étais réservé. Je vais donc m’installé et je regarde autour de moi. Il n’y a que des hommes et une ou deux femmes. La scène et plutôt spacieuse.
Je n’ai pas attendu trop longtemps quand Noah s’est approché de moi. Mon dieu, qu’il est sexy ce soir.
N : Tu es venu ? Je suis content. J’étais sûr que tu viendrais alors je t’ai gardé la meilleure place. Tu veux boire quelque chose ?
Moi : Oui, c’est gentil. Je veux bien un verre de blanc s’il te plaît ?
N : Pas de soucis je t’apporte ça tout de suite.
Il parti et ne mit pas longtemps à revenir avec mon verre.
N : Bon, je te laisse ça va bientôt être à moi.
Moi : Comment ça ?
N : Tu verras.
Et il repartit avec son petit sourire. Un mec parla dans un micro et nous présenta la première personne à monter sur scène. Et là, je compris tout de suite où je me trouvais : un bar à striptease. Le premier mec monta sur scène et commença à se déshabiller en dansant. Puis un deuxième le rejoignit. Le premier le déshabilla et tous les deux se retrouvèrent nu en érection tout en dansant. Les mecs étaient sex et bien foutu avec de belles queues. Tout en dansant, ils se caressaient ? Le show à durer cinq bonnes minutes. Tout le monde applaudissait. C’était chaud. Puis, le présentateur dit au micro : « maintenant, vous aller découvrir notre chouchou à tous. Le beau Noah et son anaconda !!! »
Noah arriva sur scène avec une chaise et une grande peluche anaconda. Il la posa au centre de la scène proche de la barre de pole dance. Il était vêtu de baskets blanche, d’un short blanc assez ample et d’un T-shirt assez près du corps. Il commença à danser comme un pro tout en montant et glissant sur la barre de pole dance. Putain, ce mec est vraiment incroyable. Il me regardait souvent directement droit dans les yeux et commença à venir à genoux près de moi. J’étais hypnotisé par ce mec. Il me fit signe avec son doigt de le rejoindre sur scène et je fis non de la tête. Le présentateur pris la parole :
Présentateur : Allez tout le monde, faite un tonnerre d’encouragement à notre invité timide.
Tout le monde applaudissait et Noah descendit de la scène pour venir me chercher. Je n’eu pas le temps de dire quoi que ce soir qu’il me fit me lever devant tout le monde et me porta dans ses bras jusque sur la scène. Je suis devenu rouge pivoine tellement j’avais honte. Une fois sur scène, il me fit m’asseoir sur la chaise et commença à danser langoureusement près de moi en m’écartant les cuisses. Il s’assit dos à moi sur mes genoux et prit mes mains pour les poser sous son maillot. J’avais les mais sur ses tétons déjà bien durs et je le caressais discrètement. Il me fit l’aider à lui enlever son T-Shirt et en même temps, il remuait ses fesses contre mon entre-jambe. Ma queue se réveillait de plus en plus et je suis sûr qu’il pouvait la sentir. Il se releva et ôta son short. Il se retrouvait en boxer blanc moulant et je pouvais voir sa queue moulée dans le tissu du sous-vêtement. Mon dieu, je comprends maintenant pourquoi l’anaconda. Ce n’était pas que la peluche. Il vient ensuite se rasseoir sur moi mais cette fois-ci face à moi. Il mit ses mains contre ses fesses bien dures. Il ondulait sur moi. Il rapprocha sa bouche près de mon oreille et me dis doucement : « Profites du moment. Et sympa aussi ton serpent sous mes fesses, mmmm ». Il se releva encore et mis mes mains sur le rebord de son boxer pour que je le descende. Ce que je fis sans me faire prier. Il l’enleva pour m’aider et le pris en me le mettant dans ma poche. Il prit ensuite mes mains pour que je le caresse sur son torse, son dos et son cul. Un vrai régal. Il vint ensuite s’asseoir à nouveau sur moi et face à moi et je voyais et sentais son sexe d’environ 25 cm en érection contre mon ventre. Ce mec est un étalon de premier choix. Je bandais à mort et il le sentait encore plus car il faisait des allers retours sur ma queue. Cela l’amusait. Puis au bout de dix minutes, il me fit me relever, me fit un baiser sur la bouche et me raccompagna à ma place. Il reparti ensuite en coulisse. J’ai regagné mon siège tout excité par ce qui venait de se passer. Je bu une gorgée de mon verre quand un autre danseur vint sur scène. Le show à continuer avec d’autres danseurs. Heureusement que je ne bossais pas le lendemain. Noah est repassé sur scène mais cette fois ci c’était une scène de douche ou il se trémoussait et se mettait du savon sur tout le corps. C’était un régal pour les yeux. Vers 2h30 du matin, Noah est venu me voir et me dis que le bar fermait dans 30 minutes et que si je voulais, je pouvais l’attendre.
J’ai donc attendu ce beau mâle.
N : Le show t’a plu ?
Moi : Comment te dire ?
N : T’inquiètes, j’ai bien senti que ça te plaisait.
Moi : Comment ne pas aimé ce genre de show ? Tu fais ça depuis longtemps ?
N : Je fais ça depuis un an maintenant. Tu veux venir boire un dernier verre chez moi ? Je n’habite pas très loin.
Moi : Oui si tu veux.
Nous avons marché durant dix minutes avant d’arriver dans un loft somptueux. Une fois la porte fermée, il vint m’embrasser directement.
N : A mon tour de voir ce serpent que j’ai bien senti tout à l’heure.
Je n’ai même pas eu le temps de répondre qu’il s’était déjà mis à poil et qu’il commençait à faire de même avec mes vêtements. Il se mit debout face à moi et me prit la bite en main.
N : Très beau spécimen je dois dire.
Moi : Merci mais le tien est vraiment énorme.
N : Tu veux l’apprivoiser ?
Moi : Grave.
Il me fit me mettre à genou et pris sa bite en main pour me biffler à grands coups. J’ouvris la bouche et je commençais à sucer cette énorme bite qui je dois l’admettre me faisait bander mais aussi me faisait un peu peur. Je n’arrivais pas à la mettre toute entière en bouche. Il commençait ses vas et viens dans ma bouche comme s’il voulait me la baiser. Je n’arrivais plus à reprendre ma respiration donc au bout de 15 minutes, il me fit me relever, m’embrassa sauvagement. Il me mit ensuite à quatre pattes et vint me bouffer le cul directement. Mon dieu qua sa langue est divine. Il me bouffa pendant de longues minutes et se releva en me demandant de ne surtout pas bouger. Lorsqu’il revint, il me présenta une petite fiole de poppers en me disant de bien inspirer pour que sa queue rentre en moi.
Moi : Vas doucement ok ?
N : T’inquiètes pas pour ça, je ne vais pas t’abîmer bien au contraire, je vais te baiser et tu vas en redemander.
Je pris de grandes inspirations de poppers et je me senti voler. Je sentais son gland rentrer en moi. Je criais tellement il était gros. Puis mon trou le fit rentrer et tout doucement, il commença à insérer le reste de sa queue jusqu’à la garde. J’ai crié encore plus fort. Il est resté en moi en faisant de tous petits mouvements pour que mon cul soit bien dilaté à sa bite.
N : Ton cul est divin mon beau.
Moi : Putain (dis-je en reprenant de grandes inspirations de poppers), vas-y baises moi s’il te plaît.
N : Ma queue te plaît alors.
M : Mmmmmm oui, défonces moi maintenant, je n’en peux plus d’attendre.
Il ressortit sa queue et la replanta directement ce qui me fit gémir très fort. Et il commença ensuite à me mettre de grands coups de reins de plus en plus fort. Ses couilles bien pendantes claquaient cotre mon cul. Pour accentuer ses coups de reins, il me prit par les épaules et ses coups devinrent encore plus forts durant bien vingt minutes.
N : Tu la sens bien ma grosse queue hein ?
Moi : Ouiiiiiii.
N : Putain, je ne vais pas tarder à juter. Tu veux mon jus ?
Moi : Ouiiiiiii.
Il se retira d’un coup et me la remit bien à fond encore deux fois de suite et me fis ensuite me retourner en me demandant d’ouvrir la bouche bien grande. C’est ce que je fis en tirant la langue. Il se mit à juter des litres de foutre dans ma bouche et sur mon visage. J’en avais partout et son sperme était incroyablement bon et chaud. Il vint ressasser tout le reste de son jus avec sa queue et ses doigts pour tout me faire avaler. Rien que de le voir faire, cela me fit juter à mon tour. Une fois avaler tout son jus et nettoyer sa queue, il me rebouffa le cul et vint m’embrasser fougueusement.
Il s’écroula au sol tout transpirant et je vins le rejoindre. Il m’embrassa à nouveau et me dis :
N : C’était le pied. Tu veux boire un verre du coup ?
Il se mit à rire ce qui me fit sourire aussi.
N : Une bière ça te va ?
Moi : Oui très bien.
Il se leva et revint avec deux bières bien fraiches. Nous avons discuté encore une bonne heure et je commençais à tomber de sommeil.
N : Tu veux rester dormir ici cette nuit ? Je ne bosse que demain aprem donc pas de soucis pour moi.
Moi : Je ne vais pas te déranger.
N : Non au contraire, restes ?
Moi : Tu es sûr ?
N : Bien entendu.
Il m’a pris par la main et nous sommes allé nous mettre dans son énorme lit. Il m’embrassa et me pris dans ses bras pour dormir.
Lorsque je me suis réveillé, je me suis retrouvé tout seul dans ce grand lit. Je me suis donc levé et juste remis mon boxer pour le rejoindre. Il était dans la cuisine en train de faire du café. Il me vit et vint me rouler une pelle mémorable. Au même moment, j’entendis une voix de femmes derrière moi.
La femme : Bordel, tu aurais pu faire moins de bruit cette nuit, t’abuses Noah…
Fin du chapitre 14.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Tounet39270
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

