Le mariage de ma petite soeur Julie (15)

- Par l'auteur HDS Tounet39270 -
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Récit libertin : Le mariage de ma petite soeur Julie (15) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le mariage de ma petite soeur Julie (15)
Chapitre 15

Lorsque je me suis réveillé, je me suis retrouvé tout seul dans ce grand lit. Je me suis donc levé et juste remis mon boxer pour le rejoindre. Il était dans la cuisine en train de faire du café. Il me vit et vint me rouler une pelle mémorable. Au même moment, j’entendis une voix de femmes derrière moi.

La femme : Bordel, tu aurais pu faire moins de bruit cette nuit, t’abuses Noah !
N : Je suis chez moi, je fais comme bon me semble non ? Max, je te présente ma cousine Zoé qui est là quelques jours en vacances.
Zoé : Enchantée.
Moi : De même mais je vais peut-être vous laisser ?
N : Non, viens prendre ton café, elle disait ça pour me faire enrager comme d’hab.
Z : Oui, de toute façon, je sors donc je vous souhaite une bonne journée et peut-être à un de ces jours Max.
Moi : Euh oui, peut-être.

Elle partit en claquant la porte d’entrée et Noah s’approcha de moi pour m’embrasser.

N : Tu as bien dormi ?
Moi : Oui mais je suis un peu gêné maintenant.
N : Par rapport à Zoé ? Pffuuu, ne t’en fait pas pour ça va. Tu veux un café ?
Moi : Oui et après je te laisserai tranquille.
N : Ben pourquoi ? Je ne reprends le travail qu’à partir de 15h et jusqu’à 19h30. On a le temps de passer un peu de temps ensemble si tu en a envie bien sûr ?
Moi : Oui je veux bien alors.

Nous avons bu notre café ensemble toujours en sous-vêtements tous les deux et de temps en temps tout en discutant, il passait sa main sur ma jambe.

Moi : Ça te dérange si je prends ma douche ?
N : Non, sans problème. Viens je te montre où c’est !
Moi : Oui parce que c’est immense chez toi ?
N : J’ai hérité ça de mes parents !
Moi : Merde, je suis désolé.
N : Ne le soit pas, je ne les ai pas beaucoup connus. J’ai grandi avec ma tante. Ils partaient souvent à l’étranger et ils sont morts dans un accident de la route.
Moi : Désolé quand même, c’est triste.
N : J’ai eu une super enfance ne te fais pas de soucis.

Il m’accompagna dans une salle de bain plus grande que mon appartement avec douche à l’italienne. Il me sorti une serviette et m’enleva mon boxer tout en me caressant les fesses.

N : Je vais t’aider à te laver si tu veux bien ?
Moi : T’es sûr que c’est pour me savonner ?
N : Tu verras ?

Il retira lui aussi son sous-vêtement et m’entraîna sous la douche. Il me plaqua le dos contre le mur et m’embrasse passionnément. Il prit ensuite du gel douche et vint me savonner le torse et commença à prendre ma queue en main qui gonflait au fur et à mesure de ses caresses. Je fis donc la même chose de mon côté mais sa queue était tellement longue et grosse que ma main n’arrivait pas à en faire le tour.

Moi : Je n’avais jamais vu une queue aussi longue et épaisse.
N : Elle te plaît ?
Moi : Oh oui.
N : Je crois bien que tu es le seul à qui j’ai put la mettre bien à fond (dit-il en commençant à me doigter mon petit trou déjà bien ouvert). Les autres mecs ont généralement des réticences à se la prendre et du coup ça me fait débander mais avec toi c’était le pied total.

Il m’embrassa à nouveau tout en me doigtant de plus en plus fort. Je gémissais de plus en plus et il me fit me mettre à genou. J’ai juste eu le temps d’ouvrir la bouche qu’il me la baisait. Pendant que je le suçais, le lui malaxais les couilles d’une main et avec l’autre, je lui titillais les tétons. J’avais la mâchoire qui commençait à s’engourdir après plusieurs minutes de ce traitement. Il me fit me relever et me plaqua le torse contre le mur. Je me suis donc cambré au maximum quand il vint me bouffer le cul. Sa langue me faisait gémir encore plus fort. Il se releva, vint m’embrasser dans le cou et me dis :

N : Ton cul est bien ouvert, pas besoin de poppers cette fois-ci.

Il présenta son gland à l’entrée de mon trou et le rentra d’un coup puis je sentis sa queue me pénétrer jusqu’à sentir ses couilles contre mon cul.

N : Oh putain que ton cul est bon. Je pourrais y rester des heures tellement c’est bon.

Il commença à me défoncer à grands coups de reins tout en me branlant. Après un quart d’heure dans cette position, mes jambes étaient toutes tremblantes et il s’en rendit compte. Il enleva sa queue d’un coup. J’avais l’impression d’avoir des courant d’air entrant dans mon cul tellement il était ouvert. Il me retourna, me porta et remis sa queue dans son fourreau. Il me plaqua le dos au mur et il me lima comme un fou tout en m’insérant sa langue dans ma bouche. Putain, c’est vraiment une bête de sexe ce mec. Je gémissais de plus en plus fort. Sa queue me procurait un bien fou. J’étais collé à lui dans ses bras musclés avec ma queue qui frottait contre son ventre. Je n’ai pas eu besoin de me branler pour jouir une quantité folle de sperme. Il cul s’est resserré sur sa queue et je l’entendis crier de plaisir en déversant tout son foutre dans mon cul. J’ai bien compté au moins dix jets de sperme chaud et épais. Toujours dans ses bras, je vins poser ma bouche sur la sienne. Il me reposa au sol et je me mis à genoux pour lui lécher la queue. Je me suis ensuite assis sur le sol de la douche pour me poser et fermer les yeux pour reprendre mon souffle. Il me tapotait doucement le visage avec sa queue que je caressais pour le remercier de cette baise intense.

N : Putain, le pied.
Moi : Tu m’as démonté le cul.
N : Mmmmmm, ne me parle pas comme ça parce que je pourrais encore venir le fourrer tellement il est bon.

Il me prit la main et m’aida à me relever. Nous nous sommes rincés et sécher puis ensuite habillés. Nous avons passé le reste de la matinée à se parler de tout et de rien et de s’embrasser régulièrement. Je l’ai ensuite quitté pour rentrer chez moi et lui est parti travailler.
Nous nous sommes revus à plusieurs reprises et après presque un an, il me demanda si je voulais emménager avec lui ? J’étais plutôt bien avec lui malgré le fait que je pensais encore à Yohan. Il m’arrivait de temps en temps d’aller espionner ses photos sur les réseaux sociaux. Plus il vieillissait, plus il était beau. Il me manquait. Il y avait toujours ce vide en moi mais je ne pouvais pas y retourner pour ne pas le mettre en danger. J’avais créé un faux profil pour aller l’espionner, je ne voulais surtout pas qu’il sache que c’était moi.
Un jour, Noah vint me voir et me dis qu’il avait vu mes recherches sur l’ordi au sujet de Yohan.

N : C’est qui ce type que tu recherches souvent ?
Moi : C’est compliqué tu sais et je ne sais pas si je pourrais en parler.
N : Tu sais que tu peux tout me dire ? Même si on est bien tous les deux, je ne veux pas que tu sois en souffrance. Explique-moi s’il te plaît ?

J’ai hésité pendant un moment et j’ai commencé à tout lui dire. Cela a pris plusieurs heures et il écoutait avec une oreille attentive.

N : Eh ben, je suis vraiment désolé que tu ais dû subir tout ça. Je savais bien que quelque chose te tracassait. Et tu l’aimes toujours n’est-ce pas ?
Moi : Je ne sais plus…
N : Ne me mens pas, je vois ce qui se passe quand tu parlais de lui. Je ne t’en veux pas tu sais et je comprends.
Moi : Mais je suis bien avec toi.
N : Moi aussi, tu sais. Tu sais quoi, On va essayer de retrouver ce connard qui te fais tant peur et qui sait : peut-être que tu retrouveras ton amour. Mais je comprendrais aussi que tu ne veuilles plus être avec moi.
Moi : Non, je veux être avec toi. Je suis bien et je tiens à toi énormément.
N : Oui je le sais. Mais ton cœur est ailleurs !
Moi : Je ne sais pas. Tout ce que je sais c’est que pour le moment on est là tous les deux et je me sens bien.
N : Ok mais veux-tu qu’on essaie de retrouver ce connard pour le mettre en état de nuire une bonne fois pour toute et que tu sois enfin libéré de son emprise ?
Moi : Je ne veux pas te faire courir le moindre danger !
N : Si je te le propose, c’est que j’en ai envie et tu sais je connais un mec qui bosse en tant que détective donc on pourrait voir avec lui ? Il m’en doit une.

J’ai donc accepté et nous sommes aller voir ce fameux détective quelques semaines plus tard. C’était un mec dans la quarantaine avec une barbe et des cheveux poivre et sel et aussi avec des yeux verts, dans les 1m90.

N : Max, je te présente Théodore.
T : Enchanté, j’ai beaucoup entendu parler de toi.
Moi : Ah ok.
N : Je lui ai déjà tout expliqué.
T : Oui et j’ai déjà fait des recherches qui sont plutôt positives.
Moi : Ah oui, et qu’est-ce que vous avez trouvé ?
T : Tu peux me dire tu.
Moi : Ok.
T : Eh bien, pour le moment ce n’est pas grand-chose mais c’est un début. J’ai retrouvé sa trace il y a quelques jours mais il faudra être fort ok ?
Moi : Fort, c’est-à-dire ?
T : Il se trouve ici au Québec.
Moi : Putain, mais comment ?
T : La seule chose que je peux te dire c’est qu’apparemment il ne sait pas où tu te trouves où alors il te surveille car cela fait une semaine qu’il est ici.
N : Comment il pouvait savoir qu’il se trouvait au Canada et en plus ici ?
T : Je pense qu’il arrive à voir quand certaines recherches sont faites sur lui ou tes proches. Il n’a plus qu’a remonter jusqu’à la source.
Moi : Merde, je dois encore partir alors.
N : NON, il n’en est pas question. Tu dois être fort et je t’ai promis qu’on allait se charger de lui ok ?
Moi : Oui mais….
N : Pas de mais….
Moi : Ok mais s’il te plaît, il est dangereux.
T : Ne t’inquiètes pas, j’ai connu pire.
Moi : Comment je pourrais te remercier pour tout ce que tu fais ? Et combien, je te dois ?
T : Pas d’argent entre nous ok ?

Noah s’approcha de mon oreille et me dit quelque chose qui m’électrisa : « Il voudrait juste que je me branle devant lui à poil et que je lui jute à la figure. Je lui ai juste répondu que je ne pouvais pas faire ça à moins que tu ne sois d’accord ? » Je suis resté stupéfait mais je fis oui de la tête.

Moi : Je suis d’accord avec le marché mais à une seule condition ?
T : Laquelle ?
Moi : Pas touche à Noah. Je lui donne mon accord même si cela ne me convient pas trop mais tu n’auras pas le droit de le toucher ok ?
T : Ok ça me va. Mais par contre moi aussi je me fou à poil par contre.
Moi : Tant que tu ne le touches pas ok.

Il ne mit pas longtemps à se foutre à poil et je dois dire qu’il était bien foutu avec une belle queue bien lisse. Il bandait déjà comme un taureau et se mit assis dans son fauteuil. Quant à Noah, il commençait à retirer ses vêtements et je l’ai aidé à se déshabiller. Il ne bandait pas alors, je lui ai donné un coup de main. Je l’ai embrassé et j’ai commencé à le branler. Je me suis agenouillé devant lui ai-je lui ai gobé les couilles. Il bascula sa tête en arrière et se laissa faire jusqu’à ce qu’il soit bien dur. De son côté, Théodore se branlait doucement en se caressant le torse. Ce con commençait à me faire bander et Noah le vit dans mon regard. Il me regarda droit dans les yeux et sans ne rien dire me fit oui de la tête. Il se rapprocha au-dessus de Théodore et se masturba en me regardant faire. Théodore ne me remarqua pas lorsque je me suis mis à genou et passa entre les cuisses de Noah pour attraper sa queue bien dure. Il fut surpris mais se laissa faire. Je passai ma langue le long de son frein et enfourna sa queue en fond de gorge ce qui le fit gémir. Il se laissait sucer et Noah ne tarda pas à juter tout son jus sur le torse et le visage de Théodore. Je pris sa queue en main et la branla énergiquement ce qui le fit juter instantanément.
Une fois tout le monde rhabillé, nous laissâmes Théodore s’occuper de tous les détails. Cela a mis presque cinq mois avant que Théodore ne localise enfin Grégoire. Il fallait le coincer dans un endroit où nous serions sûr qu’il ne puisse pas s’échapper. Mais comment ? Théodore s’est chargé de tous les détails. Il suffisait juste d’attendre patiemment. Le jour fatidique arriva vite. Je devais m’installer à la terrasse d’un café avec Noah et attendre que le poisson morde à l’hameçon. Nous avions des oreillettes pour que Théodore nous dise quand partir car il surveillait de l’autre côté de la rue tous les passants. Nous avons attendus tout l’après-midi mais rien ne se passa. Vers 19h, Théodore nous dit que c’était mort et qu’il avait dû comprendre ce qui se passait. Qu’il fallait que nous soyons prudents et de rentrer chez nous en fermant tout à double tour. Noah m’embrassa et me prit par la main direction le métro pour rentrer à la maison. Je n’étais toujours pas rassuré alors Noah appela Théo pour qu’il reste à la maison au cas où, qu’il dormirait dans la chambre d’amis qui se trouvait à l’étage au-dessus de notre chambre. Il accepta et nous rejoignit à la maison. Nous avons donc tout fermé à clé et j’étais tellement crevé par cette journée stressante que je suis allé me mettre au lit directement. Noah à montré la chambre à Théodore puis m’a rejoint. Nous avons discuté un peu et Noah m’a proposé un petit massage pour me détendre. Je me mis nu ainsi que Noah et me suis allongé sur le dos. Noah s’est installé sur moi et à commencer à me masser au niveau du torse et des épaules. Je sentais sa queue s’agiter et gonfler tout doucement ce qui me fis sourire et en lui disant qu’il était un vrai pervers ce qu’il approuva. Il s’est allongé sur moi et à commencé par me faire des baisers sur les tétons et à remonter dans mon cou puis sur mes lèvres. J’étais stressé, fatigué mais il savait comment me faire oublier tout le négatif de ce qui nous entourait. Il s’est ensuite redressé, a écarté mes jambes et il me fixait avec son regard tendre et profond en même temps. D’un seul coup, je ne sais pas ce qui s’est passé mais j’ai entendu comme un coup sourd et Noah s’est écroulé sur moi. J’ai voulu me relever pour comprendre et j’ai vu du sang sur son visage qui coulait. Je me suis dégagé et au même moment, au bout du lit : l’horreur…

Fin du chapitre 15.

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