Le mariage de ma petite soeur Julie (16)

Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le mariage de ma petite soeur Julie (16)
Chapitre 16
D’un seul coup, je ne sais pas ce qui s’est passé mais j’ai entendu comme un coup sourd et Noah s’est écroulé sur moi. J’ai voulu me relever pour comprendre et j’ai vu du sang sur son visage qui coulait. Je me suis dégagé et au même moment, au bout du lit : l’horreur…
Grégoire était là devant moi avec un sourire des plus sadique. Lorsque j’ai voulu m’enfuir, il m’a attrapé par le bras.
G : Tu crois aller où comme ça ? J’ai mis le temps mais je t’ai enfin retrouvé.
Moi : Lâches moi espèce de malade !
G : Moi, malade ? Tu te fous de ma gueule ? Qui a détruit ma vie ?
Moi : Je n’ai rien fait du tout !
G : Tu m’as envouté ce jour là et tu as détruit toute ma famille.
Moi : Tu l’as détruit toi-même !
Il me lâcha un instant et me gifla. Cela m’a sonné mais il fallait être fort. Je me suis relevé et j’ai put sortir de la chambre en courant et en criant à l’aide en espérant que Théodore m’entende. Grégoire me courait derrière et j’ai put me cacher dans le placard de la buanderie. Je l’entendais m’appeler avec un ton qui me faisait froid dans le dos.
G : Maxxxiiimmmme, ce soir, tu ne t’en sortiras pas.
Je n’osai pas sortir de ma cachette mais de la où j’étais je pouvais apercevoir le téléphone fixe. Il fallait que je l’attrape mais comment. Il était tout près et c’est à ce moment là que j’ai entendu Théodore m’appeler depuis l’étage. J’ai vu Grégoire partir vers les escaliers et c’est à ce moment là que je me suis précipité pour attraper le téléphone et retourner dans ma cachette d’infortune. J’ai composé le 911 et je chuchotais au téléphone pour dire ce qui arrivait. J’entendais du bruit à l’étage et l’opératrice me demandait ce qui se passait. C’est à ce moment là que j’ai entendu un coup de feu. J’ai juste eu le temps de dire au secours, que quelqu’un avait tirer et j’ai raccroché de peur que l’on m’entende.
G : Maxxxxiiiinnnnne, tu vas crever espèce de grosse merde !!!!
Je ne savais plus quoi faire. Je crevais de trouille. J’étais nu dans un placard et je ne voulais plus être une victime. Il fallait que je fasse quelque chose. Je l’ai entendu s’approcher et j’ai ensuite vu sa silhouette avec un pistolet à la main. J’ai attendu qu’il passe et j’ai ouvert la porte tout doucement. Quand celle-ci fut assez ouverte pour que je passe, j’ai couru sur lui et de toute mes forces, je l’ai poussé contre le mur. Cela a permis de le désarmer et le faire tomber au sol. Il m’a regardé avec un regard noir pendant que j’essayais de voir où était tombée l’arme. Il a voulu la récupérer au moment où je sautais dessus. Pour me faire mal, il m’attrapa par la queue en tirant dessus ce qui me fis crier de toute ses forces. Il put attraper l’arme et me la pointer dessus.
Moi : Laisses-moi tranquille, je t’en supplie !
G : Me supplier ? Tu rigoles. Là, c’est à mon tour de m’amuser avec toi. Tu vas perdre tout ce que tu as. Même ta dignité. Tu m’as ensorcelé à l’époque et je ne pense qu’à toi depuis tout ce temps et je rêve de me venger.
Il me fit me lever et me ramena vers la chambre. A l’entrée de la chambre se trouvait le corps de Théodore avec une balle dans la poitrine. Puis en entrant dans la chambre, il y avait toujours Noah allongé sur le sol avec la tête en sang. Je ne savais pas s’il était encore en vie et je me mis à pleurer.
G : Pas la peine de pleurer, tu n’as que ce que tu mérites.
Il me fit m’asseoir sur le lit toujours en pointant l’arme sur moi. Il sortit du placard de la chambre (là où il devait être caché au départ) un sac. Il en sortit des menottes qu’il me mit autour des poignets et me prit par les épaules et me retourna en m’allongeant sur le ventre. Je n’osais plus bouger mais je l’entendis défaire sa ceinture.
Moi : Putain, mais tu fais quoi ?
G : Fermes là ! Une toute dernière fois pour dire au revoir.
Et là, je le sentis s’allonger au-dessus de moi et me pénétrer violemment.
G : Oh putain, ta chatte m’avait manquée tu sais. Dommage que cela soit la dernière fois qu’elle serve.
Moi : Arrrretttttes !
G : Je t’ai dit de la fermer et profites de tes derniers moments.
Il commença par me labourer le cul très vite et très fort. Même si je ne le voulais pas, sa queue était toujours aussi bonne. Mais non, il ne faut pas prendre du plaisir. Débats-toi Max, essaye de t’en sortir. Il me baisait comme si on se servait d’un sex-toy. Il ne mit pas longtemps à jouir dans mon cul en gueulant très fort. Il se releva, remit son pantalon et me remis assis sur le lit.
G : Putain, ton cul est toujours accueillant. Maintenant, il va falloir dire aurevoir Max.
Moi : No….
Un coup de feu retenti derrière Grégoire et je le vis faire tomber son arme. Un flic rentrait dans la chambre en courant. C’est lui qui venait de tirer. Il poussa le flingue avec le pied, mis Grégoire qui criait de douleur à terre et lui mis des menottes dans le dos.
D’autres flics arrivèrent et c’est à ce moment que tout est devenu noir.
2 SEMAINES PLUS TARD
Moi : Coucou toi, tu as bien dormi ?
N : Comme un bébé.
Moi : Je t’ai préparé ton petit déjeuner.
Noah me prit par le bras, me fis basculer sur le lit et m’embrassa. Cela faisait deux semaines que Grégoire avait été appréhendé par les flics. Noah n’avait rien de grave. Juste quelques points de sutures derrière la tête. Malheureusement, Théodore avait été tué dans la bagarre avec Grégoire. De mon côté, malgré tout ce qui s’était passé, je me sentais enfin libre.
N : A quoi tu penses ?
Moi : A rien, tout va bien, je t’assure.
N : Il te manque c’est ça ?
Moi : De qui tu parles ?
N : Arrêtes, je commence à te connaître maintenant.
Moi : Je te promets que tout va bien, ok ?
N : Si tu le dis !
Je l’embrassai soudainement tout en lui caressant le torse. Je fis descendre ma langue le long de son cou, puis sur son torse, ses tétons que je mordillai, puis je la descendis directement sur sa queue qui commençait à se redresser. Je la léchais de haut en bas en titillant avec le bout de ma langue son gland qui commençait déjà à mouillé. Il me regardait faire tout en me caressant le bas du dos puis mis sa main sous mon short pour commencer à me titiller mon petit trou. Je ronronnai de plaisir en sentant ses doigts et je repris sa queue en bouche pour le sucer bien comme il se doit. Je me redressai et me déshabillai pour lui faciliter l’accès à mon cul. Je vins ensuite me mettre au-dessus de lui et masser sa bite avec mon cul en faisant des allers retours dessus tandis qu’il me saisit la taille pour accentuer le mouvement. Il se redressa pour m’embrasser et je pris sa grosse queue bien dure entre mes mains pour la diriger dans mon cul. Je pus l’introduire sans trop de difficulté. Il releva les jambes et commença à me pilonner comme un fou tout en soupirant. Je gémissais de plus en plus fort. Au bout de 10 minutes, il me mit sur le coté tout en gardant sa queue en moi et s’installa derrière moi pour continuer de me bourriner le cul comme un fou. Ah que c’est bon. Après encore 15 minutes de ce traitement, il se releva du lit et vint près de mon visage. Il se branlait en me regardant et j’ouvris la bouche en tirant la langue. Il m’arrosa la gueule de 9 jets épais et chaud de son sperme et je pris ensuite sa queue en bouche pour nettoyer les quelques gouttes qui allaient coulées. Il vint passer sa langue sur mon visage pour recueillir son jus, en avala et recommença pour m’embrasser ensuite. J’eut le droit à un coup de bite sur la joue et il me dit :
N : Ça c’est parce que tu as voulu du sexe pour changer de conversation.
Moi : Je ne vois pas de quoi tu parles (dis-je en souriant).
N : Bref, vas te débarbouiller que l’on puisse discuter sérieusement s’il te plaît ?
Moi : Bon ok.
Une fois le visage lavé et une fois rhabillé, je le rejoignis dans la cuisine.
N : Bon, dis-moi la vérité : tu penses toujours à lui ?
Moi : Lui qui ?
N : Le seul à qui tu penses depuis des années ? Yohan.
Moi : Oui c’est vrai, ça m’arrive de temps en temps mais sinon pas plus que ça.
N : Mais arrêtes de me mentir, je t’ai vu plusieurs fois devant des photos de lui et tu pleurais à chaque fois.
Moi : Tu m’espionnes ?
N : Non, enfin peut-être car je me fais du souci pour toi.
Moi : Tu ne devrais pas ! Je suis avec toi tu vois bien ?
N : Oui, mais tu es toujours amoureux de lui.
Moi : Peut-être mais je suis amoureux de toi aussi.
N : Mais pas de la même manière.
Moi : ….
N : Pas besoin de parler tu sais. Bon tu vas m’écouter attentivement ok ?
Moi : Quoi encore ?
N : Est-ce que tu aimerais retourner en France revoir ta famille ?
Moi : Oui je pense qu’un jour j’y retournerai.
N : Je t’ai donc pris un billet pour retourner là-bas. Si tu penses vraiment que ça ne marchera pas avec lui, je serai là mais sinon je comprendrai et je serai heureux pour toi.
Moi : Ne dis pas ça s’il te plaît ?
N : Si, il le faut. Demain, tu partiras en France et tu verras sur place ok ?
Moi : Je ne veux pas te laisser.
N : Il le faut pour que tu prennes enfin conscience que je ne suis pas le bon ou non ! Je veux juste ton bien. Je te sens toujours ailleurs et je sais qu’il a été ton grand amour et je ne peux pas te retenir prisonnier. Tu l’as été pendant tellement d’année que je m’en voudrais de t’enfermer encore.
Je me suis mis à pleurer à chaudes larmes et il est venu me prendre dans ses bras en m’embrassant sur le front. Je ne savais pas quoi dire, ne savais pas comment le remercier. J’étais heureux et triste en même temps.
Le lendemain, il m’accompagna jusqu’à l’aéroport et ce fut des aurevoirs très douloureux. Nous n’avons rien dit. Il m’a juste souri comme il l’a toujours fait, m’a embrassé tendrement sur la bouche et m’a juste dit :
N : Ne sois pas triste. Fais ce que tu dois faire, je comprendrais. Tu seras toujours dans mon cœur. Ne dis rien et vas retrouver ton grand Amour.
J’allais pour parler mais il mit son doigt sur ma bouche et me dit de prendre mon avion.
Le voyage était très long. Pour m’endormir, j’ai voulu prendre mes écouteurs dans mon bagage à main et quand je l’ai ouvert il y avait une enveloppe. Je la pris, l’ouvris et la lu :
« Mon Cher et Tendre Amour,
Je sais que cela va être très difficile de te voir partir mais il le faut. Je ne veux pas qu’un jour tu m’en veuilles de te retenir et surtout ne t’en veux pas de ne pas revenir car je comprendrais. Saches que j’ai retrouvé ta sœur et je l’ai appelé. Nous avons longuement parlé elle et moi et elle est au courant de tout ce qui s’est passé après la mort de ton père. Yohan lui avait tout avoué. Elle lui en a voulu mais elle a mis du temps à comprendre ce qui se passait. Depuis elle a divorcé de Yohan mais elle ne lui en veut pas et à toi non plus. Elle a aussi compris combien Yohan t’aimait et elle sait aussi que tu l’aimes. Je ne l’ai malheureusement pas retrouvé pour lui dire que tu rentrais en France.
Maintenant, je sais que tu ne reviendras pas et je te souhaite une belle et longue vie avec l’amour de ta vie.
Tu me manqueras plus que tout et tu seras à jamais dans mon cœur.
Je t’aime.
Noah
PS : Ta sœur et ton neveu seront là pour t’accueillir à l’aéroport. »
En lisant sa lettre, je me suis mis à pleurer jusqu’à mon arrivée. Je n’ai jamais été dans un été pareil. Je n’ai jamais voulu tout ça et pourquoi c’est à moi que tout ça arrive. C’est injuste de faire souffrir des gens comme ça.
L’avion arriva enfin en piste et une boule au ventre commençait à arriver. J’ai récupéré mes valises et là, je vis ma sœur et un jeune garçon de presque dix ans pleurer. Elle couru et me sauta dans les bras. Nous sommes repartis chez elle et nous avons discuté longuement de tout ce que j’avais raté ces dernières années. Elle m’expliqua l’appelle de Noah et qu’elle comprenait. Elle m’expliqua aussi que mon neveu savait que son papa aimait son tonton. Bref, ce fut une tonne de chose à entendre.
Nous sommes enfin arrivés chez elle et j’étais tellement crevé que je lui ai dit que j’allais me coucher directement et je lui ai demandé si le lendemain, je pouvais lui emprunter sa voiture. Elle me dit qu’elle avait gardé la voiture de notre père et que je pouvais m’en servir sans problème.
J’ai passé une nuit cauchemardesque. Je ne pensais qu’à la tristesse de Noah et je ne m’endormis que vers 1h du matin.
Je me suis réveillé, pris un café, une douche et fouilla dans le téléphone de ma sœur pour trouver le numéro de Yohan. Je ne voulais pas l’appeler tout de suite. Je crois que j’avais un peu peur des retrouvailles. Je pris la voiture et partis sans savoir où j’allais. Sans comprendre pourquoi, j’ai pris la direction de là où tout avait commencé. Le village dans le Jura, plus précisément la maison pour la soirée de l’enterrement de vie de garçon de Yohan. Après une heure et demie de route, je suis enfin arrivé sur place. Je me suis garé et la maison était là. A côté de celle-ci se trouvait encore le banc qui dominait le lac. Je suis allé m’installer et j’ai regardé l’horizon puis pris mon téléphone et appela.
Bonjour, vous êtes bien sur le répondeur de Yohan donc n’hésitez pas à me laisser un message pour que je vous rappelle.
Sa voix était gravée dans ma mémoire mais je n’ai pas pu laisser de message. J’ai encore regardé l’horizon. Je ne me suis pas rendu compte mais je suis resté assis pendant plus d’une heure. Je me suis relevé et je suis parti reprendre la voiture. Je suis monté dedans et j’ai redémarré. Je ne sais pas pourquoi mais quelque chose me rongeait de l’intérieur. Arrivé à la sortie du village, j’ai fait demi-tour comme si j’avais oublié quelque chose. Je me suis garé et je suis sorti de la voiture. J’allais traverser la route mais je fus stoppé direct car un homme était assis sur ce même banc. Cette silhouette !!!!
L’homme s’est levé puis retourné. J’ai fondu en larme et me suis effondré ma tête entre les mains. Il s’est approché, m’a aidé à me relever et m’a juste dit : Tu es enfin là mon Amour.
FIN
D’un seul coup, je ne sais pas ce qui s’est passé mais j’ai entendu comme un coup sourd et Noah s’est écroulé sur moi. J’ai voulu me relever pour comprendre et j’ai vu du sang sur son visage qui coulait. Je me suis dégagé et au même moment, au bout du lit : l’horreur…
Grégoire était là devant moi avec un sourire des plus sadique. Lorsque j’ai voulu m’enfuir, il m’a attrapé par le bras.
G : Tu crois aller où comme ça ? J’ai mis le temps mais je t’ai enfin retrouvé.
Moi : Lâches moi espèce de malade !
G : Moi, malade ? Tu te fous de ma gueule ? Qui a détruit ma vie ?
Moi : Je n’ai rien fait du tout !
G : Tu m’as envouté ce jour là et tu as détruit toute ma famille.
Moi : Tu l’as détruit toi-même !
Il me lâcha un instant et me gifla. Cela m’a sonné mais il fallait être fort. Je me suis relevé et j’ai put sortir de la chambre en courant et en criant à l’aide en espérant que Théodore m’entende. Grégoire me courait derrière et j’ai put me cacher dans le placard de la buanderie. Je l’entendais m’appeler avec un ton qui me faisait froid dans le dos.
G : Maxxxiiimmmme, ce soir, tu ne t’en sortiras pas.
Je n’osai pas sortir de ma cachette mais de la où j’étais je pouvais apercevoir le téléphone fixe. Il fallait que je l’attrape mais comment. Il était tout près et c’est à ce moment là que j’ai entendu Théodore m’appeler depuis l’étage. J’ai vu Grégoire partir vers les escaliers et c’est à ce moment là que je me suis précipité pour attraper le téléphone et retourner dans ma cachette d’infortune. J’ai composé le 911 et je chuchotais au téléphone pour dire ce qui arrivait. J’entendais du bruit à l’étage et l’opératrice me demandait ce qui se passait. C’est à ce moment là que j’ai entendu un coup de feu. J’ai juste eu le temps de dire au secours, que quelqu’un avait tirer et j’ai raccroché de peur que l’on m’entende.
G : Maxxxxiiiinnnnne, tu vas crever espèce de grosse merde !!!!
Je ne savais plus quoi faire. Je crevais de trouille. J’étais nu dans un placard et je ne voulais plus être une victime. Il fallait que je fasse quelque chose. Je l’ai entendu s’approcher et j’ai ensuite vu sa silhouette avec un pistolet à la main. J’ai attendu qu’il passe et j’ai ouvert la porte tout doucement. Quand celle-ci fut assez ouverte pour que je passe, j’ai couru sur lui et de toute mes forces, je l’ai poussé contre le mur. Cela a permis de le désarmer et le faire tomber au sol. Il m’a regardé avec un regard noir pendant que j’essayais de voir où était tombée l’arme. Il a voulu la récupérer au moment où je sautais dessus. Pour me faire mal, il m’attrapa par la queue en tirant dessus ce qui me fis crier de toute ses forces. Il put attraper l’arme et me la pointer dessus.
Moi : Laisses-moi tranquille, je t’en supplie !
G : Me supplier ? Tu rigoles. Là, c’est à mon tour de m’amuser avec toi. Tu vas perdre tout ce que tu as. Même ta dignité. Tu m’as ensorcelé à l’époque et je ne pense qu’à toi depuis tout ce temps et je rêve de me venger.
Il me fit me lever et me ramena vers la chambre. A l’entrée de la chambre se trouvait le corps de Théodore avec une balle dans la poitrine. Puis en entrant dans la chambre, il y avait toujours Noah allongé sur le sol avec la tête en sang. Je ne savais pas s’il était encore en vie et je me mis à pleurer.
G : Pas la peine de pleurer, tu n’as que ce que tu mérites.
Il me fit m’asseoir sur le lit toujours en pointant l’arme sur moi. Il sortit du placard de la chambre (là où il devait être caché au départ) un sac. Il en sortit des menottes qu’il me mit autour des poignets et me prit par les épaules et me retourna en m’allongeant sur le ventre. Je n’osais plus bouger mais je l’entendis défaire sa ceinture.
Moi : Putain, mais tu fais quoi ?
G : Fermes là ! Une toute dernière fois pour dire au revoir.
Et là, je le sentis s’allonger au-dessus de moi et me pénétrer violemment.
G : Oh putain, ta chatte m’avait manquée tu sais. Dommage que cela soit la dernière fois qu’elle serve.
Moi : Arrrretttttes !
G : Je t’ai dit de la fermer et profites de tes derniers moments.
Il commença par me labourer le cul très vite et très fort. Même si je ne le voulais pas, sa queue était toujours aussi bonne. Mais non, il ne faut pas prendre du plaisir. Débats-toi Max, essaye de t’en sortir. Il me baisait comme si on se servait d’un sex-toy. Il ne mit pas longtemps à jouir dans mon cul en gueulant très fort. Il se releva, remit son pantalon et me remis assis sur le lit.
G : Putain, ton cul est toujours accueillant. Maintenant, il va falloir dire aurevoir Max.
Moi : No….
Un coup de feu retenti derrière Grégoire et je le vis faire tomber son arme. Un flic rentrait dans la chambre en courant. C’est lui qui venait de tirer. Il poussa le flingue avec le pied, mis Grégoire qui criait de douleur à terre et lui mis des menottes dans le dos.
D’autres flics arrivèrent et c’est à ce moment que tout est devenu noir.
2 SEMAINES PLUS TARD
Moi : Coucou toi, tu as bien dormi ?
N : Comme un bébé.
Moi : Je t’ai préparé ton petit déjeuner.
Noah me prit par le bras, me fis basculer sur le lit et m’embrassa. Cela faisait deux semaines que Grégoire avait été appréhendé par les flics. Noah n’avait rien de grave. Juste quelques points de sutures derrière la tête. Malheureusement, Théodore avait été tué dans la bagarre avec Grégoire. De mon côté, malgré tout ce qui s’était passé, je me sentais enfin libre.
N : A quoi tu penses ?
Moi : A rien, tout va bien, je t’assure.
N : Il te manque c’est ça ?
Moi : De qui tu parles ?
N : Arrêtes, je commence à te connaître maintenant.
Moi : Je te promets que tout va bien, ok ?
N : Si tu le dis !
Je l’embrassai soudainement tout en lui caressant le torse. Je fis descendre ma langue le long de son cou, puis sur son torse, ses tétons que je mordillai, puis je la descendis directement sur sa queue qui commençait à se redresser. Je la léchais de haut en bas en titillant avec le bout de ma langue son gland qui commençait déjà à mouillé. Il me regardait faire tout en me caressant le bas du dos puis mis sa main sous mon short pour commencer à me titiller mon petit trou. Je ronronnai de plaisir en sentant ses doigts et je repris sa queue en bouche pour le sucer bien comme il se doit. Je me redressai et me déshabillai pour lui faciliter l’accès à mon cul. Je vins ensuite me mettre au-dessus de lui et masser sa bite avec mon cul en faisant des allers retours dessus tandis qu’il me saisit la taille pour accentuer le mouvement. Il se redressa pour m’embrasser et je pris sa grosse queue bien dure entre mes mains pour la diriger dans mon cul. Je pus l’introduire sans trop de difficulté. Il releva les jambes et commença à me pilonner comme un fou tout en soupirant. Je gémissais de plus en plus fort. Au bout de 10 minutes, il me mit sur le coté tout en gardant sa queue en moi et s’installa derrière moi pour continuer de me bourriner le cul comme un fou. Ah que c’est bon. Après encore 15 minutes de ce traitement, il se releva du lit et vint près de mon visage. Il se branlait en me regardant et j’ouvris la bouche en tirant la langue. Il m’arrosa la gueule de 9 jets épais et chaud de son sperme et je pris ensuite sa queue en bouche pour nettoyer les quelques gouttes qui allaient coulées. Il vint passer sa langue sur mon visage pour recueillir son jus, en avala et recommença pour m’embrasser ensuite. J’eut le droit à un coup de bite sur la joue et il me dit :
N : Ça c’est parce que tu as voulu du sexe pour changer de conversation.
Moi : Je ne vois pas de quoi tu parles (dis-je en souriant).
N : Bref, vas te débarbouiller que l’on puisse discuter sérieusement s’il te plaît ?
Moi : Bon ok.
Une fois le visage lavé et une fois rhabillé, je le rejoignis dans la cuisine.
N : Bon, dis-moi la vérité : tu penses toujours à lui ?
Moi : Lui qui ?
N : Le seul à qui tu penses depuis des années ? Yohan.
Moi : Oui c’est vrai, ça m’arrive de temps en temps mais sinon pas plus que ça.
N : Mais arrêtes de me mentir, je t’ai vu plusieurs fois devant des photos de lui et tu pleurais à chaque fois.
Moi : Tu m’espionnes ?
N : Non, enfin peut-être car je me fais du souci pour toi.
Moi : Tu ne devrais pas ! Je suis avec toi tu vois bien ?
N : Oui, mais tu es toujours amoureux de lui.
Moi : Peut-être mais je suis amoureux de toi aussi.
N : Mais pas de la même manière.
Moi : ….
N : Pas besoin de parler tu sais. Bon tu vas m’écouter attentivement ok ?
Moi : Quoi encore ?
N : Est-ce que tu aimerais retourner en France revoir ta famille ?
Moi : Oui je pense qu’un jour j’y retournerai.
N : Je t’ai donc pris un billet pour retourner là-bas. Si tu penses vraiment que ça ne marchera pas avec lui, je serai là mais sinon je comprendrai et je serai heureux pour toi.
Moi : Ne dis pas ça s’il te plaît ?
N : Si, il le faut. Demain, tu partiras en France et tu verras sur place ok ?
Moi : Je ne veux pas te laisser.
N : Il le faut pour que tu prennes enfin conscience que je ne suis pas le bon ou non ! Je veux juste ton bien. Je te sens toujours ailleurs et je sais qu’il a été ton grand amour et je ne peux pas te retenir prisonnier. Tu l’as été pendant tellement d’année que je m’en voudrais de t’enfermer encore.
Je me suis mis à pleurer à chaudes larmes et il est venu me prendre dans ses bras en m’embrassant sur le front. Je ne savais pas quoi dire, ne savais pas comment le remercier. J’étais heureux et triste en même temps.
Le lendemain, il m’accompagna jusqu’à l’aéroport et ce fut des aurevoirs très douloureux. Nous n’avons rien dit. Il m’a juste souri comme il l’a toujours fait, m’a embrassé tendrement sur la bouche et m’a juste dit :
N : Ne sois pas triste. Fais ce que tu dois faire, je comprendrais. Tu seras toujours dans mon cœur. Ne dis rien et vas retrouver ton grand Amour.
J’allais pour parler mais il mit son doigt sur ma bouche et me dit de prendre mon avion.
Le voyage était très long. Pour m’endormir, j’ai voulu prendre mes écouteurs dans mon bagage à main et quand je l’ai ouvert il y avait une enveloppe. Je la pris, l’ouvris et la lu :
« Mon Cher et Tendre Amour,
Je sais que cela va être très difficile de te voir partir mais il le faut. Je ne veux pas qu’un jour tu m’en veuilles de te retenir et surtout ne t’en veux pas de ne pas revenir car je comprendrais. Saches que j’ai retrouvé ta sœur et je l’ai appelé. Nous avons longuement parlé elle et moi et elle est au courant de tout ce qui s’est passé après la mort de ton père. Yohan lui avait tout avoué. Elle lui en a voulu mais elle a mis du temps à comprendre ce qui se passait. Depuis elle a divorcé de Yohan mais elle ne lui en veut pas et à toi non plus. Elle a aussi compris combien Yohan t’aimait et elle sait aussi que tu l’aimes. Je ne l’ai malheureusement pas retrouvé pour lui dire que tu rentrais en France.
Maintenant, je sais que tu ne reviendras pas et je te souhaite une belle et longue vie avec l’amour de ta vie.
Tu me manqueras plus que tout et tu seras à jamais dans mon cœur.
Je t’aime.
Noah
PS : Ta sœur et ton neveu seront là pour t’accueillir à l’aéroport. »
En lisant sa lettre, je me suis mis à pleurer jusqu’à mon arrivée. Je n’ai jamais été dans un été pareil. Je n’ai jamais voulu tout ça et pourquoi c’est à moi que tout ça arrive. C’est injuste de faire souffrir des gens comme ça.
L’avion arriva enfin en piste et une boule au ventre commençait à arriver. J’ai récupéré mes valises et là, je vis ma sœur et un jeune garçon de presque dix ans pleurer. Elle couru et me sauta dans les bras. Nous sommes repartis chez elle et nous avons discuté longuement de tout ce que j’avais raté ces dernières années. Elle m’expliqua l’appelle de Noah et qu’elle comprenait. Elle m’expliqua aussi que mon neveu savait que son papa aimait son tonton. Bref, ce fut une tonne de chose à entendre.
Nous sommes enfin arrivés chez elle et j’étais tellement crevé que je lui ai dit que j’allais me coucher directement et je lui ai demandé si le lendemain, je pouvais lui emprunter sa voiture. Elle me dit qu’elle avait gardé la voiture de notre père et que je pouvais m’en servir sans problème.
J’ai passé une nuit cauchemardesque. Je ne pensais qu’à la tristesse de Noah et je ne m’endormis que vers 1h du matin.
Je me suis réveillé, pris un café, une douche et fouilla dans le téléphone de ma sœur pour trouver le numéro de Yohan. Je ne voulais pas l’appeler tout de suite. Je crois que j’avais un peu peur des retrouvailles. Je pris la voiture et partis sans savoir où j’allais. Sans comprendre pourquoi, j’ai pris la direction de là où tout avait commencé. Le village dans le Jura, plus précisément la maison pour la soirée de l’enterrement de vie de garçon de Yohan. Après une heure et demie de route, je suis enfin arrivé sur place. Je me suis garé et la maison était là. A côté de celle-ci se trouvait encore le banc qui dominait le lac. Je suis allé m’installer et j’ai regardé l’horizon puis pris mon téléphone et appela.
Bonjour, vous êtes bien sur le répondeur de Yohan donc n’hésitez pas à me laisser un message pour que je vous rappelle.
Sa voix était gravée dans ma mémoire mais je n’ai pas pu laisser de message. J’ai encore regardé l’horizon. Je ne me suis pas rendu compte mais je suis resté assis pendant plus d’une heure. Je me suis relevé et je suis parti reprendre la voiture. Je suis monté dedans et j’ai redémarré. Je ne sais pas pourquoi mais quelque chose me rongeait de l’intérieur. Arrivé à la sortie du village, j’ai fait demi-tour comme si j’avais oublié quelque chose. Je me suis garé et je suis sorti de la voiture. J’allais traverser la route mais je fus stoppé direct car un homme était assis sur ce même banc. Cette silhouette !!!!
L’homme s’est levé puis retourné. J’ai fondu en larme et me suis effondré ma tête entre les mains. Il s’est approché, m’a aidé à me relever et m’a juste dit : Tu es enfin là mon Amour.
FIN
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour cette histoire
Histoire haletante mais glauque à la fin avec le rôle donné à G. qui te suis jusque dans la Belle Province. Que d'amants médicaments, t'es sur que Noah c'est fini, quelle preuve d'amour vis à vis de toi pour démasquer le dingo.

