Le meilleur médicament de l'âme

- Par l'auteur HDS Micky -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Le meilleur médicament de l'âme Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le meilleur médicament de l'âme
‌Mathilde n'est pas le genre de femmes sur lesquelles les hommes se retournent dans la rue. Agée de 37 ans, de taille moyenne, pulpeuse sans excès, généralement coiffée d'un chignon pour maintenir sa chevelure châtain, habillée sobrement, elle évoque d'emblée une mère de famille sans histoire, bien qu'elle soit divorcée suite à l'infidélité répétée de son mari, épousé à 20 ans. Elle élève donc seule ses deux enfants tout en travaillant comme préparatrice en pharmacie dans une officine urbaine. Mais les clients aiment son écoute, sa bienveillance, sa générosité, qui se lisent sur son visage rond et souriant illuminé par deux yeux marrons. Parmi ces clients figure un quinquagénaire divorcé aux cheveux argentés contraint à un traitement régulier, prénommé Jean-Maurice. Il se débrouille toujours, quitte à laisser passer son tour dans la file d'attente, pour être servi par Mathilde, si bien qu'une relation particulière s'est nouée entre eux deux. Ils se vouvoient, il l'appelle par son prénom mais pas elle, parce qu'elle souhaite conserver sa distance professionnelle.

Néanmoins, l'attrait manifeste que Mathilde exerce sur Jean-Maurice ne passe pas inaperçue des collègues de la pharmacie, toutes des femmes. A commencer par la patronne, une quadragénaire prénommée Blandine, jolie blonde jouant sur sa sexualité pour fidéliser sa clientèle masculine, avec l'usage fréquent de jupes courtes ou de mini shorts découvrant des jambes dont elle est fière, à juste titre. Bien que mariée et mère de famille, elle aimerait que le séduisant quinquagénaire s'intéresse davantage à elle, sans pour autant coucher avec lui. Un peu allumeuse sur les bords, Blandine.

L'autre pharmacienne, Julienne, une trentenaire salariée, serait plus déterminée à batifoler avec Jean-Maurice. C'est le prototype de la jeune femme frustrée. Elle ne parvient pas à garder ses relations masculines et demeure célibataire, ce qui la navre, en dépit d'un physique attrayant de blonde menue et bien proportionnée, un peu gâché par un visage austère chaussé de lunettes permanente. Elle est fréquemment en manque de sexe, ce qui l'incite à sortir nuitamment dans des night clubs pour en revenir parfois accompagnée par un chevalier servant, mais sans lendemain. Elle est toujours déçue et en tire une certain ressentiment contre les hommes en général. Elle se demande même si elle n'est pas frigide. Jean-Maurice lui plait, mais il la regarde à peine. Et elle en veut à Mathilde.

Tout le contraire de Fanette, l'autre préparatrice, proche de la quarantaine, petite brune piquante au corps léger mais tonique. Elle vit en couple mais avec une fidélité élastique car elle aime le libertinage. Et surtout le sexe. Elle taquine souvent Mathilde, dont elle est proche, sur l'attrait qu'elle exerce sur le sémillant Jean-Maurice. Malgré son tempérament de séductrice, elle ne cherche pas à concurrencer son amie. Au contraire, elle ne cesse de la pousser à aller plus loin que les sourires et les propos aimables, arguant de son isolement de mère célibataire et d'une vie sexuelle en berne, comme Mathilde ne s'en est pas cachée auprès d'elle.
- Mais qu'est-ce que tu attends ? Cet homme est aussi libre que toi. Invite-le à dîner, fais quelque chose, sors de ta routine pourrie !
- Je n'ai aucune envie de me remettre en ménage avec un homme. J'ai déjà donné, merci.
- Mais qui te parle de ça ? Il s'agit juste de baiser, tu m'entends, de baiser ! Cela fait combien de temps que tu ne t'es pas vraiment envoyée en l'air ?
- Euh, je ne sais plus...
- Tu vois. Ce type, il faut lui mettre la main dans le slip. Et je te dis un truc. Si tu le fais pas, c'est moi qui vais lui la mettre, la main à la queue !

Bien qu'habituée en langage cru de Fanette, Mathilde est un peu choquée de sa franchise. Néanmoins, elle reconnut plus tard qu'elle n'avait pas tout à fait tort. Elle est en train de se déssécher, de perdre le peu d'attrait qui lui reste. Et au fond d'elle-même, elle en pince pour l'homme à la chevelure argentée. Mais comment passer du stade commercial à l'intime ?
C'est Fanette qui va l'aider. Un jour que l'homme vient à la pharmacie, elle sort de son comptoir, le prend à part et lui dit qu'elle et Mathilde aimeraient nouer une "relation sympa" autour d'un verre après le travail. Jean-Maurice n'attendait que ça. Rendez-vous est pris.

Pour la première fois, Mathilde va apparaitre devant lui sans son éternelle blouse. Fanette l'oblige à apparaitre sexy. Elle profite de la pause de midi pour lui faire acheter une nouvelle robe dans une boutique voisine. Courte, dévoilant la moitié de ses cuisses dodues, et décolletée, découvrant le haut de ses seins larges avec un pendentif glissant coquinement dans son sillon mammaire. Maquillage, boucles d'oreilles, rouge à lèvres, ongles peints aux pieds et aux mains, chignon dénoué, bref transformation.
Lorsque Jean-Maurice la découvre à la terrasse du café, flanquée de Fanette elle aussi en tenue légère, été oblige, laissant ses petits seins libres sous sa robe, il est stupéfait. Ces deux femmes étalent une sexualité qui tranche totalement avec l'austérité obligatoire de la pharmacie. Au bout d'un petit moment, Fanette s'échappe et laisse l'homme et sa collègue face à face. Avec un regard à celle-ci qui veut dire "à toi de jouer maintenant".
En bonne copine, Fanette s'est proposée pour garder les enfants de Mathilde non seulement pour la soirée mais aussi pour la nuit, poussant le zèle jusqu'à lui réserver une chambre d'hôtel et la payer elle-même :
- Tu me rembourseras plus tard. Je veux que tu baises dès ce soir, et même toute la nuit, lui a-t-elle dit.

Mise au pied du mur, Mathilde a tenté de protester. Mais quand Fanette s'est éclipsée, elle s'est sentie obligée de jouer le jeu. Peu à peu, elle s'est libérée de ses carcans. Elle a ri avec Jean-Maurice qui l'a invitée à dîner puis elle lui a proposé d'aller danser, ce qu'elle n'avait pas fait depuis des lustres.
Cependant, le quinquagénaire montre des signes de fatigue. Il est vrai qu'il a sifflé presque toute la bouteille de vin pendant le dîner et enchainé avec des cocktails dans la boite de nuit, peut-être pour se donner un peu de courage face à une Mathilde de plus en plus virevoltante, heureuse de retrouver un peu de sa jeunesse étudiante. Pendant que Jean-Maurice somnole sur la banquette devant son verre, elle continue à danser et capte l'attention de quelques jeunes gaillards intéressés par cette femme seule, court vêtue et décolletée. L'un d'eux plait à Mathilde, peau ambrée et catogan, athlétique et bon danseur, qui la fait tourner dans des rocks endiablés.

Constatant l'état léthargique de Jean-Maurice, il est vrai rond comme une bille, elle se trouve embarrassée car c'est lui qui l'a conduite à sa soirée. Le garçon, un dénommé Ryan, propose de ramener le quinquagénaire chez lui en même temps que son accompagnatrice, ce que celle-ci accepte de vive joie. Une fois Jean-Maurice rentré chez lui et allongé sur son canapé par les soins de Mathilde et Ryan, celui-ci, découvrant qu'elle ne réside pas chez lui, s'offre à la reconduire à son domicile. Mathilde pense successivement à ses enfants, à Fanette qui exige qu'elle ne rentre pas, et à la chambre d'hôtel qui l'attend, ainsi qu'à l'étui de préservatifs que sa copine a glissé dans son sac à main.
- Ramenez-moi à mon hôtel, indique-t-elle au jeune homme, un peu surpris mais de plus en plus disponible envers la trentenaire. Laquelle est en proie depuis quelques minutes à un véritable déchainement hormonal à tremper sa culotte. Elle a de plus en plus envie d'écarter les cuisses devant ce jeune gaillard et quand celui-ci se penche pour l'embrasser dans sa voiture, elle répond avec ardeur à sa langue. Une brève exploration de l'entrecuisses de la préparatrice en pharmacie, nullement repoussée, renseigne le dénommé Ryan. Il va baiser cette nuit.

Un peu honteuse de se présenter devant le veilleur de nuit de l'hôtel en galante compagnie, Mathilde se laisse tripoter dans l'ascenseur. Mais une fois dans la chambre, les événements s'enchainent très vite. L'homme considère avec appétit le corps nu, pulpeux, offert de la préparatrice en pharmacie qui elle même savoure du regard le pénis puissant, érigé, qui fait un angle prometteur avec le bas-ventre. Avec adresse, il prépare Mathilde au coït à coups de langue, des seins au sexe, la faisant frémir de désir. Elle ne s'est pas trouvée dans cette situation depuis des lustres et elle a oublié toutes ses préventions de mère célibataire. Elle n'aspire plus qu'à une chose : être pénétrée. Et c'est avec impatience qu'elle voit le jeune homme coiffer son pénis du latex qu'elle lui a tendu.

Il va alors découvrir avec ravissement une femme ardente, passionnée, crieuse, mouvante, tout le contraire des bimbos qu'il a souvent honorées, passives et sans imagination. Mathilde entend profiter pleinement de cet hommage viril que le dénommé Ryan fait durer après avoir éjaculé dans la bouche gourmande de sa partenaire, qui a tout avalé. Mais il a vite rechargé au coeur de la nuit et son éjaculation primitive lui offre la perspective de limer longuement la jeune femme qui en redemande, comme si elle voulait rattraper le temps perdu d'une chasteté forcée. Elle lui offre même son cul joufflu pour une sodomie inédite, que Fanette, elle le lui a avoué, pratique régulièrement. Et en tire un orgasme anal tout aussi inédit.

C'est donc une Mathilde repue de sexe qui se présente à son logement au petit matin, où Fanette occupe son lit. Elle se couche à ses côtés pour récupérer un peu avant de retourner à la pharmacie. Le récit de sa nuit d'amour, cependant elliptique, ravit sa collègue, heureuse d'avoir contribué à sa renaissance sexuelle, même si ce n'était pas le scénario exactement prévu. Yeux cernés mais moue satisfaite, elle sera présente toute la journée au comptoir de la pharmacie prête comme d'habitude à servir les clients. Julienne la regarde de travers, comme si elle avait compris que quelque chose s'était passée dans la vie de Mathilde depuis cette nuit.
*******
Quelque temps plus tard, Ryan se présente au comptoir pour se fait servir un médicament banal, prétexte évident pour retrouver Mathilde. Il la reconnait à peine avec sa blouse et son chignon. A se demander si c'est bien la même femme qui a tressauté exaltée sur sa queue en se pétrissant les seins quelques nuits plus tôt. Il est flanqué d'un jeune homme à peau ambrée qu'il présente sous le prénom de Barnabé. Il propose à Mathilde d'aller boire un verre à la fin de son service et celle-ci prend une initiative : proposer à Julienne de les accompagner. Elle a bien compris que sa collègue est jalouse et elle entend faire en sorte qu'elle change d'état d'esprit en lui offrant la possibilité d'une rencontre. Julienne accepte, trop heureuse de sortir de sa routine solitaire.

Elle a évidemment compris que Ryan a baisé Mathilde et qu'il va probablement recommencer. Mais elle constate que Barnabé s'intéresse à elle. Flattée, elle joue le jeu et sa mine austère se déride. Elle redresse le buste qu'elle a ferme et regrette de se trouver en pantalon car elle n'est pas mécontente de ses jambes. Aussi, quand Ryan propose d'aller diner dans une pizzeria, les deux jeunes femmes acceptent. Julienne veut juste passer chez elle pour se changer et Mathilde contacte à nouveau Fanette pour garder ses enfants. Elle est aussi désireuse de passer une robe et de se maquiller avant le diner.

Julienne n'a pas fait les choses à moitié. Mini jupe, débardeur sans soutif, maquillage, y compris des yeux derrière ses lunettes, elle veut mettre toutes les chances de son côté pour séduire le bel Antillais, sans préjuger du reste de la soirée. Mathilde et Ryan sont dans une humeur pré coïtale, se faisant des mamours à travers la table et du pied en dessous. Barnabé drague Julienne en même temps et elle se laisse faire, envahie peu à peu par l'atmosphère érotique de la tablée. Aussi, quand Ryan propose d'aller boire un verre chez lui à ses trois commensaux, elle suit le mouvement sans réfléchir. Elle se laisse même embrasser à l'arrière de la voiture de Ryan par Barnabé qui en profite pour reconnaitre son corps d'une main fébrile, sans rencontrer d'opposition. Ce n'est pas tous les jours qu'un mec canon pelote Julienne et la présence voisine de sa collègue la rassure. Elle ne part pas a priori dans un nouveau coup pourri.

Ryan sort une bouteille de whisky dans sa piaule où une tension érotique règne. Il n'y a qu'un seul lit et Mathilde, après avoir avalé un verre, met rapidement les choses au point en s'y allongeant entièrement nue. Figée sur sa chaise, Julienne voit Ryan tout aussi nu se pencher sur sa collègue pour faire courir sa langue sur son corps offert. Barnabé l'a enlacée, a glissé ses mains sous son débardeur, constaté des pointes de seins érigées et retiré prestement le léger vêtement pour titiller les mamelons de ses lèvres. Julienne est encore un peu tendue. Faire l'amour dans le même lit qu'un autre couple, et en prime à côté d'une collègue, cela ne lui est jamais arrivée. Mais elle est bien obligée de constater que son bas-ventre réclame et quand Barnabé part en reconnaissance sous la mini jupe, le slip est trempé.

Il ne se passe pas une minute avant qu'elle ne se retrouve à son tour entièrement nue, mais avec ses lunettes, sur le lit de Ryan qui a déjà commencé d'aller et venir entre les cuisses dodues de Mathilde. La bouche avide de Barnabé a pris possession de la vulve de la pharmacienne qui ne manifeste plus la moindre réticence. Les exclamations de plaisir de Mathilde sous les assauts virils de Ryan, le lit chahuté, la queue gainée de latex de l'Antillais à l'orée de son sexe, tout concourt à ce que Julienne écarte ses jolies jambes à 180° pour une visite intime qu'elle veut massive, et qui le sera.

Allongées côte à côte sur le lit, et non plus debout de flanc sur leur comptoir habituel, Mathilde et Julienne baisent. D'abord en missionnaire, visage de l'homme contre le leur, puis en cavalant de conserve et symétriquement sur la queue érigée de leur amant avec une frénésie communicative, puis toujours en parallèle en levrette, se découvrant dans le plaisir sexuel, échevelées, seins pendants, culs mouvants, bouches béantes, se confiant mutuellement leur exaltation érotique entre deux râles. Pas plus que sa collègue, Mathilde n'a auparavant copulé à quatre dans le même lit mais cette transgression lui procure une véritable extase totalement inattendue, que Julienne partage avec elle, c'est l'évidence même et cela ravit la mère célibataire.

Dévastée, écartelée, crucifiée et pilonnée en travers du lit, les lunettes embuées, Julienne a totalement oublié ses frustrations passées. Elle ne pense plus à sa supposée frigidité, seulement à cette bite qui la fait tellement sentir femme. Elle découvre qu'en la fouillant quasi sauvagement, en la secouant de sa queue, Barnabé lui procure ce qui lui manquait dans ses précédents ébats, à savoir d'être réellement et totalement baisée. Quand il finira par éjaculer, elle sera à la fois comblée et en déploration de ne pas continuer sur le même tempo. Elle découvrira assise sur le lit l'orgasme ravageur de Mathilde, la sueur perlant sur ses seins larges et le visage irradié de bonheur. C'est à partir de cette nuit que les rapports entre les deux collègues change totalement de nature. Plus rien ne sera comme avant entre elles.
*****
Du coup, l'ambiance derrière le comptoir de la pharmacie s'est réchauffée. Les clients s'en rendent compte, la patronne Blandine aussi pour s'en réjouir et Fanette encore plus car c'est bien elle, par ses initiatives, qui se trouve à l'origine de ce changement d'état d'esprit. Toutes les trois sortent plus souvent ensemble, flanquées de leur chéri, car Ryan et Barnabé ont désormais une liaison plus durable avec Mathilde et Julienne. La rencontre sexuelle initiale s'est muée en rapport amoureux, les deux garçons se félicitant d'une relation avec deux femmes certes plus âgées mais attentionnées, généreuses de leur corps, attentives à leur plaisir autant qu'au leur, réhabilité. Le visage à lunettes de Julienne n'est plus austère, il sourit volontiers à la clientèle, c'est l'attitude d'une femme heureuse, en particulier au lit. Ou ailleurs car elle a appris à aimer la fantaisie.

Ryan vient souvent chez Mathilde et connait ses enfants. La complicité entre collègues est telle qu'elles envisagent un coup monté contre le mari de Blandine, qui les prend de haut lorsqu'il vient à la pharmacie de son épouse. Elles ont compris que leur patronne n'est pas sexuellement aussi satisfaite qu'elles. Et sa manière de montrer son corps avec ostentation est un appel muet et inconscient au pénis. C'est ce qu'avait compris Fanette avant tout le monde. Dès lors, elles vont malicieusement entrainer Blandine vers une rencontre qui fera cocu son méprisant mari.

*****
Elles ont d'abord pensé à Jean-Maurice, qui continue de fréquenter l'officine, mais le fiasco avec Mathilde les dissuadent. Ryan suggère le nom d'un autre pote, un blondinet râblé assidu à la salle de sport, qui serait assorti à la taille et à la blondeur de la pharmacienne et dont la queue régale les clientes du fitness. Fanette organise un barbecue chez elle un dimanche où le garçon prénommé Gabriel est invité avec les autres et Blandine. Il sait pourquoi il est là et il drague ouvertement la pharmacienne qui s'est présentée en mini short et tee shirt, afin de ne pas faire ses quarante ans. Les autres observent discrètement en souriant in petto ces travaux d'approche qui, espèrent-ils, se termineront au lit. Fanette a d'ailleurs, avec sa prévoyance habituelle, préparé sa chambre d'amis à cette intention. Elles espèrent bien que la viande grillée arrosée généreusement de sangria vaincra la résistance de la patronne, dont le visage rosit à vue d'oeil sous l'effet conjugué de la drague du blondinet et de l'alcool. Ses défenses matrimoniales fondent à vue d'oeil. Mais il faut un petit coup de pouce incitatif et Fanette va se dévouer avec son compagnon, un Noir athlétique qui la dépasse de plus d'une tête.

Alors que le barbecue est proche de s'achever, elle entraine le dénommé Boubacar dans son salon et le couple se met à baiser sur le canapé. Les cris de plaisir de Fanette étant parfaitement audibles, les autres commensaux s'approchent avec malice pour observer les ébats et voir la petite brune chevaucher le grand Noir à grands coups de ses petites fesses. Gabriel en profite pour enlacer puis peloter Blandine qui se laisse faire, puis entrainer à l'étage où un lit attend le nouveau couple.
En bas, on attend la suite, l'oreille aux aguets. Et dès que les premiers cris de plaisir émergent de la chambre et de la gorge de Blandine, les "oui oui oui ouiiiiii" attestent d'un orgasme manifeste. Alors, ses salariées se tapent dans les mains en riant. Elles ont réussi leur coup.
Blandine et Gabriel descendent quelques minutes plus tard, enlacés. Elle resplendit encore de volupté et caresse légèrement le sexe de son jeune amant à travers son bermuda. Il est clair à tout le monde qu'elle a été copieusement baisée. Elle aborde ses collègues avec un sourire en coin :
- Bien joué, vous m'avez eue. Mais je dois reconnaitre que même pour une pharmacienne, faire l'amour est le meilleur des médicaments de l'âme".

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bravo Micky,

C'est très agréable à lire et excitant, même si la réalité ne se passe pas toujours comme cela.
Je ne verrai plus les pharmaciennes du même œil.

Bises.

M.



Texte coquin : Le meilleur médicament de l'âme
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