Le relais routier
Récit érotique écrit par Cplcandaudu60 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le relais routier
Nous devions aller chez des amis qui habitaient à environ 600 kilomètres de chez nous pour une soirée festive réunissant une bonne vingtaine d’autres amis et connaissances.
La fêtes avait lieu le Samedi soir.
Plutôt que de partir le matin et d’arrivée fatigué en milieu d’après-midi, nous avons décidé de partir le Vendredi vers 15h30 et de prendre un hôtel vers les deux tiers de la route.
Nous aurions ainsi le temps de flâner sur la route et une fois arrivée, de visiter le secteur ou habites nos amis.
Connaissant un peu le trajet, j’avais réservé un hôtel juste à côté d’un relais routier.
J’avais déjà eu l’occasion de m’y rendre lors d’un déplacement dans le passé.
Je savais qu’à l’époque on y mangeait bien pour un prix correcte et qu’il y avait plusieurs hôtels à proximité.
C’était un beau Weekend du mois de Juin, les températures étaient douces et agréables.
Nous sommes arrivés à l’hôtel vers vingt heures.
Le temps de déposer nos affaires dans la chambre et de reprendre une douche.
C’était il y a environ une vingtaine d’année, les voitures à l’époque n’avaient pas toute la climatisation, étaient moins confortable et on transpirait vite quand il faisait un peu chaud.
Nous nous sommes donc dirigés à pied vers le restaurant routier pour aller diner.
En rentrant il y avait un bar et en face quelques table ou l’on pouvait se poser pour y consommer les boissons.
Plus loin c’était la partie restaurant avec un buffet de hors d’œuvre à volonté au milieu et sur un côté la partie où se trouvait les desserts.
Pour les plats chauds une serveuse venait prendre la commande et les apporter quand c’était prêt
La salle de restaurant était équipée de grandes tables ou l’on mangeait les uns à côté des autres.
Ça je ne m’en souvenais plus, pour le coté intime c’était loupé.
Nous avons quand même décidé de rester manger ici, non sans prendre un petit apéro avant.
Installé à une table près du bar pour siroter tranquillement notre boisson, ma femme, Nathalie, ne passait pas inaperçue.
Elle portait une mini-jupe blanche très moulante, un string blanc lui aussi, des hauts talons, un haut noir et blanc avec une fermeture éclair sur le côté et de style corset qui amplifiait le volume déjà abondant de sa poitrine ainsi qu’une petite veste toute légère qui n’avait pour rôle que de couvrir ses épaules.
Lorsque nous avons voulu passer à table, la salle était bien remplie.
Une serveuse nous a placés au bout d’une grande table face à face à côté de deux hommes.
Nathalie à pris place sur la banquette contre le mur, face à la salle et moi sur une chaise.
Les deux routiers à côté ont très vite entamé la conversation et le courant est passé assez vite entre nous.
Celui assis à coté de ma femme n’arrêtait pas de bouger sur son siège, il posait régulièrement ses mains sur l’assise de la banquette tout près des cuisses de ma femme, la frôlait parfois comme pour voir sa réaction.
D’en face, moi je ne voyais pas son petit manège, enfin, je faisais comme si je ne m’apercevais de rien.
Nous parlions de tout et de rien.
Nathalie dit à un moment qu’elle aimerait bien visiter la cabine d’un poids lourd car elle n’en avait jamais vu.
L’un des deux à de suite répliqué qu’il n’y avait pas de soucis on pourrait visiter leurs cabines à la seule condition d’enlever nos chaussures en montant dedans.
Au fur et à mesure de la soirée sa main devenait plus entreprenante, il caressait du bout des doigts les cuisses de ma femme qui ne disait toujours rien.
Nous étions à la fin du repas et avions repris une bière chacun.
A un moment à force d’en avoir bu plusieurs, je suis parti au toilettes soulager ma vessie.
Le voisin de ma femme a tout de suite posé une main sur sa cuisse pour la caresser.
Nathalie s’est tournée vers lui en lui faisant un grand sourire, son collègue d’en face ne s’en est pas aperçu tellement il était omnibulé par les seins qui étaient prêt à jaillir sous la veste de ma femme.
L’homme assis à côté de ma femme s’appelait Raymond, il avait 45 ans était assez grand, brun, un peu enrobé mais pas gros, beaucoup de charisme mais un physique banal.
Son collègue en face s’appelait Jacky, 43 ans, brun aussi, la même corpulence que Raymond mais moins marqué physiquement et plus réservé.
Quand je suis revenu, j’ai dit stupéfait :
« Les douches sont payantes ? »
« Oui et on a 10 minutes maximum » répondit Raymond « Il va d’ailleurs falloir que je fasse de la monnaie pour aller prendre la mienne »
« Moi j’ai déjà pris la mienne » nous dit Jacky.
Sur ce Nathalie me dit :
« Raymond pourrait venir prendre sa douche dans notre chambre d’hôtel, ça lui éviterait de payer et il pourrait prendre un peu plus son temps, qu’en pense tu mon amour ? »
Bien évidemment je ne pouvais dire non.
« Tu veux y aller maintenant » demanda-t-elle à Raymond.
« Oui je veux bien, il faut juste que je prenne mes affaires de toilettes dans mon camion »
Nathalie me demanda alors :
« Tu l’accompagne ou j’y vais ? »
« Vas-y, moi je vais me reprendre une petite bière avec Jacky en vous attendant »
« Ok, je vais en profiter pendant ce temps pour appeler nos amis et leur dire vers quel heure on arrive demain » répondit Nathalie
Je sentais Raymond Heureux que ce ne soit pas moi qui l’accompagne et Jacky déçu de voir les seins de ma femme quitter son champ de vision.
A peine sorti du restaurant, Raymond dit à Nathalie :
« En fait j’ai déjà pris ma douche et j’espérais bien que ça se passerais comme ça afin de me retrouver un peu seul avec toi »
Elle lui a pris la main en lui disant :
« Alors ne perdons pas de temps, allons dans ma chambre d’hôtel »
Elle a demandé la clé de la chambre au veilleur de nuit de l’hôtel, puis s’est engouffré dans l’ascenseur en face, suivit de très près par Raymond qui l’a plaqué contre la paroi pour l’embrasser goulument et passé ses mains sous la jupe sous les yeux du veilleur avant même que les portes ne se referment.
Arrivé à l’étage, Nathalie a ouvert la porte de la chambre et une fois rentré l’a refermée.
Raymond a de nouveau collé ma femme contre la porte en l’embrassant et la caressant partout.
Ils avaient peu de temps donc il ne fallait pas en perdre.
Il l’a mise nue très vite pour pouvoir laisser aller ses mains directement sur sa peau.
Ma femme a posé sa main au niveau du sexe de Raymond pour lui caresser, elle a rapidement fait sortir la bite bien raide de ce dernier, puis s’est agenouillée pour le prendre en bouche.
Après quelques minutes d’un savant massage buccale, il se sentait trop excité.
Il a fait relever ma femme pour la coucher sur le lit et s’est installé entre ses cuisses pour enfoncer sa langue dans son sexe.
Au bout de quelques minutes, la sentant au bord de l’orgasme il lui dit :
« Tu as des capotes ? »
Même si ça casse un peu l’ambiance, elle s’est levée pour aller en chercher dans la salle de bain.
Lui n’avait pas débandé.
Il a enfilé une capote et s’est allongé sur ma femme en position missionnaire pour la pénétrer.
Sa bite était de taille moyenne mais elle la sentait bien quand même.
Il a commencé à faire des va et viens assez rapide qui ont fait que l’excitation de Nathalie est très vite revenue pour finir en orgasme.
Elle a entouré son torse avec ses bras et planté ses ongles dans son dos lorsqu’elle à joui en poussant un long râle de plaisir.
Raymond est sorti d’elle pour qu’elle se mette à quatre pattes et sitôt positionnée il lui a de nouveau enfoncé son dard toujours aussi raide dans la chatte trempée.
Il a recommencé à la pilonner par de grands mouvement de bassin en lui agrippant fermement les hanches.
A chaque coup de rein ma femme poussait en râle de plaisir.
Ses fesses venaient à la rencontre de son pieu pour qu’il la pénètre encore plus profond et qu’elle le sente bien au fond d’elle.
Après plusieurs minutes de ce traitement, n’en pouvant plus, ils ont joui ensemble dans un mélange de cris, de râle et de mots crus.
Après avoir repris leurs esprits et se sentant plus fort de l’avoir faite jouir, il lui dit :
« Putain t’es une sacré salope toi, on voit que t’aime la bite, si un jour on se recroise je serais ravi de remettre ça » « putain quand Jacky va savoir que je t’ai baisé pendant qu’il buvait un coup avec ton cocu, il va être dégouté »
Il s’est levé, a retiré sa capote en la jetant négligemment dans la poubelle et s’est habillé.
Nathalie après une petite toilette s’est habillée à son tour.
Ils sont sortis de la chambre, Nathalie a déposé la clé au veilleur de nuit, puis ils ont quitté l’hôtel.
Raymond a dit qu’il devait se lever tôt demain et qu’il préférait rentrer à son camion.
Elle est donc revenue nous rejoindre seule.
A peine arrivé à notre table elle m’a fait un gros bisous et a repris sa place sur la banquette.
Jacky, lui, pendant l’absence de ma femme avait pris la place de son pote sur la banquette pour être plus face à moi, ce qui était plus facile pour discuter.
De ce fait, il se trouvait maintenant à coté de ma femme dont la mini-jupe qui lorsqu’elle s’est assise est remontée très haut.
Jacky avait une vue assez agréable sur les cuisses de Nathalie, bien qu’il restait discret en jetant de rapide coups d’œil.
Ils ne s’étaient absenté qu’une demi-heure environ, ce qui reste plausible pour que Raymond ait eu le temps de prendre une douche.
J’avais toutefois remarqué, lorsque ma femme est revenue, que l’on ne voyait plus la marque de son string sous sa jupe moulante.
Je la voyais maintenant s’intéresser à son voisin de gauche, Jacky, elle l’aguichait discrètement.
Je me suis dit qu’elle n’avait peut-être pas pu aller très loin avec Raymond et qu’elle espérait faire mieux avec lui.
Je la connais bien, c’est une prédatrice, une mangeuse d’homme.
Je me doutais qu’elle allait me faire comprendre que je devais m’éclipser à un moment.
J’ai donc pris les devant en simulant recevoir un appel sur mon portable, j’ai quitté la table quelques minutes puis suis revenu en leur disant que je devais absolument monter me connecter avec mon PC portable à l’hôtel car j’avais des mails à envoyer et que ça me prendrait un peu de temps.
« Vas-y mon amour, on finit notre verre et je viens te rejoindre après » me dit-elle avec un large sourire.
On s’était compris tous les deux.
Je suis donc rentré à l’hôtel, j’ai demandé la clé au veilleur qui a semblé un peu étonné.
Une fois dans la chambre, j’ai remarqué que le lit était défait ou du moins qu’il y avait eu beaucoup de mouvement dessus vu la position de la couette.
J’ai aussi trouvé un emballage « Manix » et son contenu contenant un liquide blanchâtre dans la poubelle.
Nul doute Raymond avait sauté ma femme.
Je me réjouissais à l’idée de ce qu’elle allait me raconter, j’aimais qu’elle me trompe et qu’elle me le raconte après.
Pendant ce temps, jacky, resté seule avec ma femme lui dit :
« Tu veux toujours visiter mon camion ? »
« Bien sûr »
« Viens, suis-moi il est tout près »
Arrivé au camion, il ouvre la porte passager pour la faire monter.
Nathalie fait 1m60, elle a donc eu du mal à escalader jusqu’à la cabine.
Heureusement Jacky grand seigneur l’a aidé.
Il lui a carrément posé les mains sur les fesses pour l’aider à monter.
Une fois assise Nathalie a tournée son buste pour mettre ses jambes à l’extérieur.
« Tu me retire mes talons s’il te plait »
Dans le même temps elle a largement écarté les jambes permettant à Jacky d’avoir une vue imprenable sur son sexe libre de sous vêtement.
Il ne pouvait détacher son regard du sexe de ma femme pendant qu’il lui retirait ses chaussures.
Il est alors monté rapidement côté chauffeur.
Les rideaux étaient déjà tirés, personne ne pouvait donc voir de dehors ce qu’il se passait à l’intérieur.
« C’est spacieux dit donc, et là c’est où tu dors ? »
« Oui »
« C’est confortable ? »
« Va voir si tu veux »
Elle s’est levée pour rentrer dans la couchette, elle s’est allongée puis s’est déshabillée complètement.
Nue et complétement offerte elle lui dit :
« Tu viens ? »
Il s’est à son tour très vite retrouvé tout nu et s’est allongé sur elle.
Sa bite était déjà toute raide.
Il lui à enfoncé sa langue dans la bouche et ils sont resté à mélanger leurs langues pendant de longues minutes.
Ses mains la caressaient de partout.
Il lui embrassait les seins puis est descendu sur le ventre puis le sexe.
Il a d’abord passé sa langue délicatement sur ses lèvres puis à titiller son clito et enfin a enfoncé sa langue à l’intérieur de sa vulve.
Il lui a prodigué cette caresse buccale jusqu’à ce qu’un orgasme la submerge.
Il est ensuite remonté doucement toujours en embrassant toute les parties de son corps puis lui a repris la bouche avec sa langue.
Il a tendu le bras pour attraper une capote, s’est mis à genou pour l’enfiler puis s’est de nouveau allongé sur ma femme pour la pénétrer.
Elle l’a enserré avec ses jambes et ses bras pour bien sentir son sexe en elle.
Ils étaient soudés l’un à l’autre, leurs bouches toujours collés et leurs langues qui se mélangées sans retenue.
Elle prenait beaucoup de plaisir à subir les assauts de ce mâle si doux dans ses caresses et si rude dans ses coups de reins.
Elle joui une nouvelle fois, ses cris étaient étouffés par leur bouches toujours collés et leurs langues emmêlées.
« Prends-moi par derrière »
Ils se sont relevés, elle s’est mise à quatre pattes et il est revenu la pénétrer en levrette.
La vision du cul qu’il avait sous les yeux a décuplé sa vigueur.
Il s’est mis à la pilonner bien plus loin et bien plus fort.
Il n’en fallait pas plus pour qu’elle ait de nouveau un orgasme, sauf que là rien ne lui obstrué la bouche.
Ses cris ont dû en réveiller ou émoustiller quelques-uns, mais personne n’est venu frapper à la porte.
Malgré cela Jacky continué à la pilonner copieusement en lui tenant fermement les hanches pour bien la pénétrer à fond.
Trois orgasmes de ma femme plus tard, il lui a demandé si elle pouvait le finir avec sa bouche.
« Hummm si tu veux oui »
Il l’avait si bien baisé qu’elle ne pouvait refuser.
Il s’est allongé, elle s’est installée entre ses cuisses pour lui avaler la bite.
Elle l’a savamment sucé en passant sa langue partout sur son sexe, sur ses couilles jusqu’à la limite de son anus puis en revenant l’avaler jusqu’au bout.
Elle a joué avec son gland en le titillant du bout de la langue puis en l’aspirant avec ses lèvres pulpeuses en le regardant et en prenant son regard de salope.
Ce traitement à fait qu’il n’a pu se retenir plus longtemps et lui a explosé dans la bouche.
Il n’avait pas vidé ses couilles depuis longtemps car il lui a rempli la bouche.
Elle ne pouvait tout avaler et du sperme lui coulait par la commissure des lèvres.
Elle a quand même bien pris soin de le nettoyer avant de se relever pour s’habiller.
« Whaouuu quand je vais dire à Raymond ce que tu m’as fait dans le camion, il va être vert de jalousie » lui dit-il.
Elle a souri puis est sortie du camion en direction de l’hôtel.
Radieuse, elle est rentrée dans l’hôtel.
« J’ai donné la clé à votre mari, il est monté dans la chambre tout à l’heure »
C’était le veilleur de nuit, il était derrière un comptoir dans la pénombre et de son poste il pouvait voir et autoriser l’accès à l’intérieur de l’hôtel.
« Merci » « Heuuuu vous ne lui avait rien dit à propos de ma venue avec quelqu’un d’autre ? »
« Bien sûr que non Madame, je ne rapporte pas les faits et gestes de mes clients »
« Il faut dire que je pense que vous devez en voir des choses »
« Oui parfois »
« Peut-être que vous devez avoir aussi des propositions parfois »
« Cela m’arrive en effet, mais je n’ai pas le droit de monter avec les clientes dans leur chambre, je serais licencié sur le champ si ça se savais et je ne peux pas laisser l’accueil sans personne, si un client descend ou veux rentrer je dois toujours être présent »
« Je pense qu’il y a toujours d’autres moyens » lui dit ma femme.
Un peu gêné il lui répondit :
« Oui »
Ce soir elle avait envie de s’amuser encore un peu.
Il était grand, assez baraqué, une trentaine d’année, de type magrébin et avec un sourire charmeur.
Elle s’est alors rapprochée de lui et en le regardant droit dans les yeux et en prenant une voix sensuelle :
« Je suis curieuse, c’est quoi les autres moyens ? »
Il comprit rapidement ce qu’elle voulait :
« Passez donc derrière le comptoir, près de moi et vous verrez qu’une fois accroupie personne ne peut vous voir. »
Il lui a posé les mains sur les épaules pour faire pression et qu’elle s’accroupisse.
« Ah oui en effet » « J’ai presque envie d’essayer » lui dit-elle en lui détachant son pantalon.
Le pantalon en bas des chevilles, le caleçon suivant aussitôt le même chemin, Nathalie a attrapée son sexe qui commençait à durcir pour le porter à sa bouche.
Après quelques coups de langue et en quelques secondes il était devenu tout droit et tout dur.
Elle l’a alors complétement englouti dans sa bouche pour l’enrouler avec sa langue.
Il était assez long et gros, des trois hommes de ce soir, c’est lui qui avait sans nul doute la plus grosse bite.
Elle le branlait d’une main pendant que sa langue jouait avec son gland, elle ressortait pour lécher tout le long de sa hampe, puis les lécher et aspirer ses couilles.
Elle le reprenait alors presque entièrement dans sa bouche pour bien le pomper.
Pendant près d’une dizaine de minute elle lui a prodiguer ses faveurs avec sa bouche.
A un moment ne tenant plus, il lui a bloqué la tête contre son ventre pour qu’elle le garde bien en bouche et lui a lâché plusieurs giclées de sperme.
« Ding »
C’est le bruit de l’ascenseur lorsqu’il arrive à l’endroit demandé.
Je sors donc de ce dernier et j’aperçois le veilleur dans la pénombre derrière son comptoir.
« Heuuu… excusez-moi, vous n’auriez pas vu ma femme rentrer ? »
J’étais un peu inquiet car j’étais monté dans la chambre depuis environ une heure trente ou deux heures et Nathalie n’était toujours pas rentrée.
« Non Monsieur, je suis désolé »
Quand j’ai appris plus tard ou elle était, j’ai trouvé la situation très cocasse, imaginez un peu.
Le mari qui cherche sa femme et qui demande au veilleur s’il ne l’a pas vu alors que ce dernier vient juste de se vider dans sa bouche et qu’après avoir tout avalé à cet instant précis elle lui nettoie le sexe en aspirant bien les dernières goutes qui sortent de son gland.
Ne sachant pas cela, je suis alors sorti à l’extérieur de l’hôtel pour voir si je pouvais la trouver.
Deux minutes plus tard :
« Bip bip »
Un texto sur mon téléphone.
Ahhhhh c’est elle.
« Je vais bientôt rentrer, j’espère que tu es tout nu sur le lit à m’attendre la bite bien dure pour que je m’empale dessus. Je t’aime mon cocu »
Rassuré, je suis rentré dans l’hôtel et en faisant un petit signe de la main au veilleur je lui dis :
« C’est bon je viens de l’avoir, elle va bientôt arriver »
« J’en suis fort heureux » me dit-il « Bonne nuit »
« Merci »
Et hop je reprends l’ascenseur pour aller vers ma chambre à l’étage.
Arrivé devant ma porte de chambre, je me suis dit que c’était bizarre qu’il ne me demande pas comment est ma femme pour savoir s’il l’avait vu, de plus il était de biais derrière son comptoir et enfin ce qui m’étonnais le plus c’est le texto à peine deux minutes après que je sois sorti.
J’ai décidé de descendre vers l’accueil par l’escalier sans faire de bruit et épiais au cas où.
Pendant tout ce temps après avoir bien nettoyer la bite de son amant d’un soir et après m’avoir envoyé le texto ma femme a continué à le sucer car il ne débandait pas.
Ayant entendu la porte de l’ascenseur se refermer elle lui dit :
« J’aimerais bien que tu me baise mais vu que tu viens de jouir ça risque de durer trop longtemps » « Et là ça va être difficile si quelqu’un arrive »
Il lui répondit alors :
« Tout les clients sont rentrés et je pense que personne ne va sortir à cette heure, et si tu veux je peux essayer d’être rapide car moi aussi j’ai envi de te baiser maintenant »
Il a attrapé un préservatif dans la poche de sa veste et l’a enfilé sur son sexe.
Ma femme pendant ce temps avait détaché complètement son haut, remonté sa jupe et avait poser les deux mains face au comptoir en écartant bien les jambes.
Il s’est installé derrière elle, lui a pris les seins avec ses mains et l’a empalé d’un coup avec son gourdin tout gonflé.
« Ahhhhhhhhh… putain elle est grosse ta bite je la sent bien »
Il a commencé à faire des va et viens tout en lui malaxant les seins et en jouant avec ses tétons tout durcit eux aussi.
De mon côté j’entendais leurs chuchotement et les petits couinements de ma femme pendant qu’il s’activait derrière elle.
Les va et viens s’accéléraient ainsi que la respiration et les petits râles de ma femme.
« Hummm…. Ouiiiii…. Elle est trop bonne ta bite tu va me faire jouir salaud ahhhhhhhh… »
Un long râle de jouissance est sorti de sa bouche.
Lui toujours bien ancré en elle continuait à la pilonner.
Ses mains se baladaient de ses hanches à ses seins pendant qu’il la baisait copieusement.
Elle sentait bien cette grosse queue la remplir à chaque coup de rein de son partenaire.
A ce rythme là elle n’allait pas tarder à reprendre du plaisir tellement c’était bon.
A force de va et viens un deuxième orgasme est venu la submerger lui laissant échapper un grand et long cri de plaisir qu’elle n’a pu retenir.
Il s’est alors retiré d’elle, à enlever sa capote et lui a dit très excité :
« Viens me finir avec ta bouche de salope » « Putain t’es trop bonne »
Après quelques petits coups de langue, il a explosé dans la bouche de ma femme en lui envoyant au fond de la gorge de nouveau plusieurs jets de foutre qu’elle a avalé goulument.
Je n’avais rien vu mais tout entendu, résultat, mon caleçon était bon pour le lavage.
Je suis remonté discrètement pour attendre ma femme tout nu sur le lit et le sexe au garde à vous.
Quand elle est rentrée, elle s’est mise nue, est venue s’allonger sur moi et m’embrasser à pleine bouche.
Sa langue avait un gout de sperme, elle sentait le sexe et moi j’étais hyper excité.
Nous n’avons pas beaucoup dormis cette nuit-là, ma femme était déchainée.
La fêtes avait lieu le Samedi soir.
Plutôt que de partir le matin et d’arrivée fatigué en milieu d’après-midi, nous avons décidé de partir le Vendredi vers 15h30 et de prendre un hôtel vers les deux tiers de la route.
Nous aurions ainsi le temps de flâner sur la route et une fois arrivée, de visiter le secteur ou habites nos amis.
Connaissant un peu le trajet, j’avais réservé un hôtel juste à côté d’un relais routier.
J’avais déjà eu l’occasion de m’y rendre lors d’un déplacement dans le passé.
Je savais qu’à l’époque on y mangeait bien pour un prix correcte et qu’il y avait plusieurs hôtels à proximité.
C’était un beau Weekend du mois de Juin, les températures étaient douces et agréables.
Nous sommes arrivés à l’hôtel vers vingt heures.
Le temps de déposer nos affaires dans la chambre et de reprendre une douche.
C’était il y a environ une vingtaine d’année, les voitures à l’époque n’avaient pas toute la climatisation, étaient moins confortable et on transpirait vite quand il faisait un peu chaud.
Nous nous sommes donc dirigés à pied vers le restaurant routier pour aller diner.
En rentrant il y avait un bar et en face quelques table ou l’on pouvait se poser pour y consommer les boissons.
Plus loin c’était la partie restaurant avec un buffet de hors d’œuvre à volonté au milieu et sur un côté la partie où se trouvait les desserts.
Pour les plats chauds une serveuse venait prendre la commande et les apporter quand c’était prêt
La salle de restaurant était équipée de grandes tables ou l’on mangeait les uns à côté des autres.
Ça je ne m’en souvenais plus, pour le coté intime c’était loupé.
Nous avons quand même décidé de rester manger ici, non sans prendre un petit apéro avant.
Installé à une table près du bar pour siroter tranquillement notre boisson, ma femme, Nathalie, ne passait pas inaperçue.
Elle portait une mini-jupe blanche très moulante, un string blanc lui aussi, des hauts talons, un haut noir et blanc avec une fermeture éclair sur le côté et de style corset qui amplifiait le volume déjà abondant de sa poitrine ainsi qu’une petite veste toute légère qui n’avait pour rôle que de couvrir ses épaules.
Lorsque nous avons voulu passer à table, la salle était bien remplie.
Une serveuse nous a placés au bout d’une grande table face à face à côté de deux hommes.
Nathalie à pris place sur la banquette contre le mur, face à la salle et moi sur une chaise.
Les deux routiers à côté ont très vite entamé la conversation et le courant est passé assez vite entre nous.
Celui assis à coté de ma femme n’arrêtait pas de bouger sur son siège, il posait régulièrement ses mains sur l’assise de la banquette tout près des cuisses de ma femme, la frôlait parfois comme pour voir sa réaction.
D’en face, moi je ne voyais pas son petit manège, enfin, je faisais comme si je ne m’apercevais de rien.
Nous parlions de tout et de rien.
Nathalie dit à un moment qu’elle aimerait bien visiter la cabine d’un poids lourd car elle n’en avait jamais vu.
L’un des deux à de suite répliqué qu’il n’y avait pas de soucis on pourrait visiter leurs cabines à la seule condition d’enlever nos chaussures en montant dedans.
Au fur et à mesure de la soirée sa main devenait plus entreprenante, il caressait du bout des doigts les cuisses de ma femme qui ne disait toujours rien.
Nous étions à la fin du repas et avions repris une bière chacun.
A un moment à force d’en avoir bu plusieurs, je suis parti au toilettes soulager ma vessie.
Le voisin de ma femme a tout de suite posé une main sur sa cuisse pour la caresser.
Nathalie s’est tournée vers lui en lui faisant un grand sourire, son collègue d’en face ne s’en est pas aperçu tellement il était omnibulé par les seins qui étaient prêt à jaillir sous la veste de ma femme.
L’homme assis à côté de ma femme s’appelait Raymond, il avait 45 ans était assez grand, brun, un peu enrobé mais pas gros, beaucoup de charisme mais un physique banal.
Son collègue en face s’appelait Jacky, 43 ans, brun aussi, la même corpulence que Raymond mais moins marqué physiquement et plus réservé.
Quand je suis revenu, j’ai dit stupéfait :
« Les douches sont payantes ? »
« Oui et on a 10 minutes maximum » répondit Raymond « Il va d’ailleurs falloir que je fasse de la monnaie pour aller prendre la mienne »
« Moi j’ai déjà pris la mienne » nous dit Jacky.
Sur ce Nathalie me dit :
« Raymond pourrait venir prendre sa douche dans notre chambre d’hôtel, ça lui éviterait de payer et il pourrait prendre un peu plus son temps, qu’en pense tu mon amour ? »
Bien évidemment je ne pouvais dire non.
« Tu veux y aller maintenant » demanda-t-elle à Raymond.
« Oui je veux bien, il faut juste que je prenne mes affaires de toilettes dans mon camion »
Nathalie me demanda alors :
« Tu l’accompagne ou j’y vais ? »
« Vas-y, moi je vais me reprendre une petite bière avec Jacky en vous attendant »
« Ok, je vais en profiter pendant ce temps pour appeler nos amis et leur dire vers quel heure on arrive demain » répondit Nathalie
Je sentais Raymond Heureux que ce ne soit pas moi qui l’accompagne et Jacky déçu de voir les seins de ma femme quitter son champ de vision.
A peine sorti du restaurant, Raymond dit à Nathalie :
« En fait j’ai déjà pris ma douche et j’espérais bien que ça se passerais comme ça afin de me retrouver un peu seul avec toi »
Elle lui a pris la main en lui disant :
« Alors ne perdons pas de temps, allons dans ma chambre d’hôtel »
Elle a demandé la clé de la chambre au veilleur de nuit de l’hôtel, puis s’est engouffré dans l’ascenseur en face, suivit de très près par Raymond qui l’a plaqué contre la paroi pour l’embrasser goulument et passé ses mains sous la jupe sous les yeux du veilleur avant même que les portes ne se referment.
Arrivé à l’étage, Nathalie a ouvert la porte de la chambre et une fois rentré l’a refermée.
Raymond a de nouveau collé ma femme contre la porte en l’embrassant et la caressant partout.
Ils avaient peu de temps donc il ne fallait pas en perdre.
Il l’a mise nue très vite pour pouvoir laisser aller ses mains directement sur sa peau.
Ma femme a posé sa main au niveau du sexe de Raymond pour lui caresser, elle a rapidement fait sortir la bite bien raide de ce dernier, puis s’est agenouillée pour le prendre en bouche.
Après quelques minutes d’un savant massage buccale, il se sentait trop excité.
Il a fait relever ma femme pour la coucher sur le lit et s’est installé entre ses cuisses pour enfoncer sa langue dans son sexe.
Au bout de quelques minutes, la sentant au bord de l’orgasme il lui dit :
« Tu as des capotes ? »
Même si ça casse un peu l’ambiance, elle s’est levée pour aller en chercher dans la salle de bain.
Lui n’avait pas débandé.
Il a enfilé une capote et s’est allongé sur ma femme en position missionnaire pour la pénétrer.
Sa bite était de taille moyenne mais elle la sentait bien quand même.
Il a commencé à faire des va et viens assez rapide qui ont fait que l’excitation de Nathalie est très vite revenue pour finir en orgasme.
Elle a entouré son torse avec ses bras et planté ses ongles dans son dos lorsqu’elle à joui en poussant un long râle de plaisir.
Raymond est sorti d’elle pour qu’elle se mette à quatre pattes et sitôt positionnée il lui a de nouveau enfoncé son dard toujours aussi raide dans la chatte trempée.
Il a recommencé à la pilonner par de grands mouvement de bassin en lui agrippant fermement les hanches.
A chaque coup de rein ma femme poussait en râle de plaisir.
Ses fesses venaient à la rencontre de son pieu pour qu’il la pénètre encore plus profond et qu’elle le sente bien au fond d’elle.
Après plusieurs minutes de ce traitement, n’en pouvant plus, ils ont joui ensemble dans un mélange de cris, de râle et de mots crus.
Après avoir repris leurs esprits et se sentant plus fort de l’avoir faite jouir, il lui dit :
« Putain t’es une sacré salope toi, on voit que t’aime la bite, si un jour on se recroise je serais ravi de remettre ça » « putain quand Jacky va savoir que je t’ai baisé pendant qu’il buvait un coup avec ton cocu, il va être dégouté »
Il s’est levé, a retiré sa capote en la jetant négligemment dans la poubelle et s’est habillé.
Nathalie après une petite toilette s’est habillée à son tour.
Ils sont sortis de la chambre, Nathalie a déposé la clé au veilleur de nuit, puis ils ont quitté l’hôtel.
Raymond a dit qu’il devait se lever tôt demain et qu’il préférait rentrer à son camion.
Elle est donc revenue nous rejoindre seule.
A peine arrivé à notre table elle m’a fait un gros bisous et a repris sa place sur la banquette.
Jacky, lui, pendant l’absence de ma femme avait pris la place de son pote sur la banquette pour être plus face à moi, ce qui était plus facile pour discuter.
De ce fait, il se trouvait maintenant à coté de ma femme dont la mini-jupe qui lorsqu’elle s’est assise est remontée très haut.
Jacky avait une vue assez agréable sur les cuisses de Nathalie, bien qu’il restait discret en jetant de rapide coups d’œil.
Ils ne s’étaient absenté qu’une demi-heure environ, ce qui reste plausible pour que Raymond ait eu le temps de prendre une douche.
J’avais toutefois remarqué, lorsque ma femme est revenue, que l’on ne voyait plus la marque de son string sous sa jupe moulante.
Je la voyais maintenant s’intéresser à son voisin de gauche, Jacky, elle l’aguichait discrètement.
Je me suis dit qu’elle n’avait peut-être pas pu aller très loin avec Raymond et qu’elle espérait faire mieux avec lui.
Je la connais bien, c’est une prédatrice, une mangeuse d’homme.
Je me doutais qu’elle allait me faire comprendre que je devais m’éclipser à un moment.
J’ai donc pris les devant en simulant recevoir un appel sur mon portable, j’ai quitté la table quelques minutes puis suis revenu en leur disant que je devais absolument monter me connecter avec mon PC portable à l’hôtel car j’avais des mails à envoyer et que ça me prendrait un peu de temps.
« Vas-y mon amour, on finit notre verre et je viens te rejoindre après » me dit-elle avec un large sourire.
On s’était compris tous les deux.
Je suis donc rentré à l’hôtel, j’ai demandé la clé au veilleur qui a semblé un peu étonné.
Une fois dans la chambre, j’ai remarqué que le lit était défait ou du moins qu’il y avait eu beaucoup de mouvement dessus vu la position de la couette.
J’ai aussi trouvé un emballage « Manix » et son contenu contenant un liquide blanchâtre dans la poubelle.
Nul doute Raymond avait sauté ma femme.
Je me réjouissais à l’idée de ce qu’elle allait me raconter, j’aimais qu’elle me trompe et qu’elle me le raconte après.
Pendant ce temps, jacky, resté seule avec ma femme lui dit :
« Tu veux toujours visiter mon camion ? »
« Bien sûr »
« Viens, suis-moi il est tout près »
Arrivé au camion, il ouvre la porte passager pour la faire monter.
Nathalie fait 1m60, elle a donc eu du mal à escalader jusqu’à la cabine.
Heureusement Jacky grand seigneur l’a aidé.
Il lui a carrément posé les mains sur les fesses pour l’aider à monter.
Une fois assise Nathalie a tournée son buste pour mettre ses jambes à l’extérieur.
« Tu me retire mes talons s’il te plait »
Dans le même temps elle a largement écarté les jambes permettant à Jacky d’avoir une vue imprenable sur son sexe libre de sous vêtement.
Il ne pouvait détacher son regard du sexe de ma femme pendant qu’il lui retirait ses chaussures.
Il est alors monté rapidement côté chauffeur.
Les rideaux étaient déjà tirés, personne ne pouvait donc voir de dehors ce qu’il se passait à l’intérieur.
« C’est spacieux dit donc, et là c’est où tu dors ? »
« Oui »
« C’est confortable ? »
« Va voir si tu veux »
Elle s’est levée pour rentrer dans la couchette, elle s’est allongée puis s’est déshabillée complètement.
Nue et complétement offerte elle lui dit :
« Tu viens ? »
Il s’est à son tour très vite retrouvé tout nu et s’est allongé sur elle.
Sa bite était déjà toute raide.
Il lui à enfoncé sa langue dans la bouche et ils sont resté à mélanger leurs langues pendant de longues minutes.
Ses mains la caressaient de partout.
Il lui embrassait les seins puis est descendu sur le ventre puis le sexe.
Il a d’abord passé sa langue délicatement sur ses lèvres puis à titiller son clito et enfin a enfoncé sa langue à l’intérieur de sa vulve.
Il lui a prodigué cette caresse buccale jusqu’à ce qu’un orgasme la submerge.
Il est ensuite remonté doucement toujours en embrassant toute les parties de son corps puis lui a repris la bouche avec sa langue.
Il a tendu le bras pour attraper une capote, s’est mis à genou pour l’enfiler puis s’est de nouveau allongé sur ma femme pour la pénétrer.
Elle l’a enserré avec ses jambes et ses bras pour bien sentir son sexe en elle.
Ils étaient soudés l’un à l’autre, leurs bouches toujours collés et leurs langues qui se mélangées sans retenue.
Elle prenait beaucoup de plaisir à subir les assauts de ce mâle si doux dans ses caresses et si rude dans ses coups de reins.
Elle joui une nouvelle fois, ses cris étaient étouffés par leur bouches toujours collés et leurs langues emmêlées.
« Prends-moi par derrière »
Ils se sont relevés, elle s’est mise à quatre pattes et il est revenu la pénétrer en levrette.
La vision du cul qu’il avait sous les yeux a décuplé sa vigueur.
Il s’est mis à la pilonner bien plus loin et bien plus fort.
Il n’en fallait pas plus pour qu’elle ait de nouveau un orgasme, sauf que là rien ne lui obstrué la bouche.
Ses cris ont dû en réveiller ou émoustiller quelques-uns, mais personne n’est venu frapper à la porte.
Malgré cela Jacky continué à la pilonner copieusement en lui tenant fermement les hanches pour bien la pénétrer à fond.
Trois orgasmes de ma femme plus tard, il lui a demandé si elle pouvait le finir avec sa bouche.
« Hummm si tu veux oui »
Il l’avait si bien baisé qu’elle ne pouvait refuser.
Il s’est allongé, elle s’est installée entre ses cuisses pour lui avaler la bite.
Elle l’a savamment sucé en passant sa langue partout sur son sexe, sur ses couilles jusqu’à la limite de son anus puis en revenant l’avaler jusqu’au bout.
Elle a joué avec son gland en le titillant du bout de la langue puis en l’aspirant avec ses lèvres pulpeuses en le regardant et en prenant son regard de salope.
Ce traitement à fait qu’il n’a pu se retenir plus longtemps et lui a explosé dans la bouche.
Il n’avait pas vidé ses couilles depuis longtemps car il lui a rempli la bouche.
Elle ne pouvait tout avaler et du sperme lui coulait par la commissure des lèvres.
Elle a quand même bien pris soin de le nettoyer avant de se relever pour s’habiller.
« Whaouuu quand je vais dire à Raymond ce que tu m’as fait dans le camion, il va être vert de jalousie » lui dit-il.
Elle a souri puis est sortie du camion en direction de l’hôtel.
Radieuse, elle est rentrée dans l’hôtel.
« J’ai donné la clé à votre mari, il est monté dans la chambre tout à l’heure »
C’était le veilleur de nuit, il était derrière un comptoir dans la pénombre et de son poste il pouvait voir et autoriser l’accès à l’intérieur de l’hôtel.
« Merci » « Heuuuu vous ne lui avait rien dit à propos de ma venue avec quelqu’un d’autre ? »
« Bien sûr que non Madame, je ne rapporte pas les faits et gestes de mes clients »
« Il faut dire que je pense que vous devez en voir des choses »
« Oui parfois »
« Peut-être que vous devez avoir aussi des propositions parfois »
« Cela m’arrive en effet, mais je n’ai pas le droit de monter avec les clientes dans leur chambre, je serais licencié sur le champ si ça se savais et je ne peux pas laisser l’accueil sans personne, si un client descend ou veux rentrer je dois toujours être présent »
« Je pense qu’il y a toujours d’autres moyens » lui dit ma femme.
Un peu gêné il lui répondit :
« Oui »
Ce soir elle avait envie de s’amuser encore un peu.
Il était grand, assez baraqué, une trentaine d’année, de type magrébin et avec un sourire charmeur.
Elle s’est alors rapprochée de lui et en le regardant droit dans les yeux et en prenant une voix sensuelle :
« Je suis curieuse, c’est quoi les autres moyens ? »
Il comprit rapidement ce qu’elle voulait :
« Passez donc derrière le comptoir, près de moi et vous verrez qu’une fois accroupie personne ne peut vous voir. »
Il lui a posé les mains sur les épaules pour faire pression et qu’elle s’accroupisse.
« Ah oui en effet » « J’ai presque envie d’essayer » lui dit-elle en lui détachant son pantalon.
Le pantalon en bas des chevilles, le caleçon suivant aussitôt le même chemin, Nathalie a attrapée son sexe qui commençait à durcir pour le porter à sa bouche.
Après quelques coups de langue et en quelques secondes il était devenu tout droit et tout dur.
Elle l’a alors complétement englouti dans sa bouche pour l’enrouler avec sa langue.
Il était assez long et gros, des trois hommes de ce soir, c’est lui qui avait sans nul doute la plus grosse bite.
Elle le branlait d’une main pendant que sa langue jouait avec son gland, elle ressortait pour lécher tout le long de sa hampe, puis les lécher et aspirer ses couilles.
Elle le reprenait alors presque entièrement dans sa bouche pour bien le pomper.
Pendant près d’une dizaine de minute elle lui a prodiguer ses faveurs avec sa bouche.
A un moment ne tenant plus, il lui a bloqué la tête contre son ventre pour qu’elle le garde bien en bouche et lui a lâché plusieurs giclées de sperme.
« Ding »
C’est le bruit de l’ascenseur lorsqu’il arrive à l’endroit demandé.
Je sors donc de ce dernier et j’aperçois le veilleur dans la pénombre derrière son comptoir.
« Heuuu… excusez-moi, vous n’auriez pas vu ma femme rentrer ? »
J’étais un peu inquiet car j’étais monté dans la chambre depuis environ une heure trente ou deux heures et Nathalie n’était toujours pas rentrée.
« Non Monsieur, je suis désolé »
Quand j’ai appris plus tard ou elle était, j’ai trouvé la situation très cocasse, imaginez un peu.
Le mari qui cherche sa femme et qui demande au veilleur s’il ne l’a pas vu alors que ce dernier vient juste de se vider dans sa bouche et qu’après avoir tout avalé à cet instant précis elle lui nettoie le sexe en aspirant bien les dernières goutes qui sortent de son gland.
Ne sachant pas cela, je suis alors sorti à l’extérieur de l’hôtel pour voir si je pouvais la trouver.
Deux minutes plus tard :
« Bip bip »
Un texto sur mon téléphone.
Ahhhhh c’est elle.
« Je vais bientôt rentrer, j’espère que tu es tout nu sur le lit à m’attendre la bite bien dure pour que je m’empale dessus. Je t’aime mon cocu »
Rassuré, je suis rentré dans l’hôtel et en faisant un petit signe de la main au veilleur je lui dis :
« C’est bon je viens de l’avoir, elle va bientôt arriver »
« J’en suis fort heureux » me dit-il « Bonne nuit »
« Merci »
Et hop je reprends l’ascenseur pour aller vers ma chambre à l’étage.
Arrivé devant ma porte de chambre, je me suis dit que c’était bizarre qu’il ne me demande pas comment est ma femme pour savoir s’il l’avait vu, de plus il était de biais derrière son comptoir et enfin ce qui m’étonnais le plus c’est le texto à peine deux minutes après que je sois sorti.
J’ai décidé de descendre vers l’accueil par l’escalier sans faire de bruit et épiais au cas où.
Pendant tout ce temps après avoir bien nettoyer la bite de son amant d’un soir et après m’avoir envoyé le texto ma femme a continué à le sucer car il ne débandait pas.
Ayant entendu la porte de l’ascenseur se refermer elle lui dit :
« J’aimerais bien que tu me baise mais vu que tu viens de jouir ça risque de durer trop longtemps » « Et là ça va être difficile si quelqu’un arrive »
Il lui répondit alors :
« Tout les clients sont rentrés et je pense que personne ne va sortir à cette heure, et si tu veux je peux essayer d’être rapide car moi aussi j’ai envi de te baiser maintenant »
Il a attrapé un préservatif dans la poche de sa veste et l’a enfilé sur son sexe.
Ma femme pendant ce temps avait détaché complètement son haut, remonté sa jupe et avait poser les deux mains face au comptoir en écartant bien les jambes.
Il s’est installé derrière elle, lui a pris les seins avec ses mains et l’a empalé d’un coup avec son gourdin tout gonflé.
« Ahhhhhhhhh… putain elle est grosse ta bite je la sent bien »
Il a commencé à faire des va et viens tout en lui malaxant les seins et en jouant avec ses tétons tout durcit eux aussi.
De mon côté j’entendais leurs chuchotement et les petits couinements de ma femme pendant qu’il s’activait derrière elle.
Les va et viens s’accéléraient ainsi que la respiration et les petits râles de ma femme.
« Hummm…. Ouiiiii…. Elle est trop bonne ta bite tu va me faire jouir salaud ahhhhhhhh… »
Un long râle de jouissance est sorti de sa bouche.
Lui toujours bien ancré en elle continuait à la pilonner.
Ses mains se baladaient de ses hanches à ses seins pendant qu’il la baisait copieusement.
Elle sentait bien cette grosse queue la remplir à chaque coup de rein de son partenaire.
A ce rythme là elle n’allait pas tarder à reprendre du plaisir tellement c’était bon.
A force de va et viens un deuxième orgasme est venu la submerger lui laissant échapper un grand et long cri de plaisir qu’elle n’a pu retenir.
Il s’est alors retiré d’elle, à enlever sa capote et lui a dit très excité :
« Viens me finir avec ta bouche de salope » « Putain t’es trop bonne »
Après quelques petits coups de langue, il a explosé dans la bouche de ma femme en lui envoyant au fond de la gorge de nouveau plusieurs jets de foutre qu’elle a avalé goulument.
Je n’avais rien vu mais tout entendu, résultat, mon caleçon était bon pour le lavage.
Je suis remonté discrètement pour attendre ma femme tout nu sur le lit et le sexe au garde à vous.
Quand elle est rentrée, elle s’est mise nue, est venue s’allonger sur moi et m’embrasser à pleine bouche.
Sa langue avait un gout de sperme, elle sentait le sexe et moi j’étais hyper excité.
Nous n’avons pas beaucoup dormis cette nuit-là, ma femme était déchainée.
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