LE REMPLACEMENT. (14/x)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LE REMPLACEMENT. (14/x)
Allo Nadia ! Ce sont les mots qui me viennent à la bouche quand je prends mon portable pour appeler mon amie, la venue de ma sœur Nadine repartie avant que j’aie pu récupérer ma vie, principalement le jour où c’est notre anniversaire de mariage à Vivian et moi à qui elle va cuisiner des pieds-paquets m’a déboussolé.
Je suis perdu, Nadine, Natacha, Aurélie, j’ai perdu mon identité ou mieux je suis devenue multis identités.
Je suis aussi devenue multi vie car j’ai envie de retrouver la quiétude de mon foyer mais dans un même temps je veux continuer à remplir des enveloppes qui remplissent mon bas de laine.
Je veux sentir le sexe de mon mari coulisser en moi doucement, avec amour comme il sait le faire mais je veux aussi avoir des queues, des queues encore des queues qui me surprennent chaque fois que j’en découvre une nouvelle.
• Allo Nadia !
• Oui ma chérie !
• Je te dérange, tu es avec un client.
• Tu rigoles Aurélie, je suis à mon travail, je te rappelle que j’ai un métier hors de mes moments de liberté, une minute je te rappelle.
C’est long une minute quand la voix de celle qui peut m’aider disparaît surtout quand cela dure cinq minutes.
• Allo mon cœur, je suis là, j’ai trouvé un coin tranquille pour te parler, j’avais du monde autour de moi quand tu as appelé et tu connais ma discrétion sur ma vie parallèle, tu sembles avoir un gros chagrin.
Snif, c’est ce que doit entendre Nadia à l’autre bout du fils.
• Tu pleures.
• Oui, tu es loin de moi et je viens de perdre mon identité. Snif.
• Je vois que tu as un gros chagrin dit moi ce qui te tracasse.
• Ce soir c’est mon anniversaire de mariage et c’est ma sœur qui va le fêter avec mon homme, tu sais celui qui m’a dépucelé, tu sais celui avec lequel je dois avoir des enfants.
• Oui mais avec celui que tu ressentais de l’ennui car côté sexe c’était loin d’être une flèche.
• Ça c’est sûr, j’en vois de toutes les couleurs depuis que je l’ai imprudemment remplacé.
• Un bon conseil, fais-toi un bon client avec une grosse enveloppe, tu le rencontreras en pensant que nous sommes deux avec lui.
Il faut t’occuper en attendant, va acheter des joujoux comme ceux que j’aie dans ma valise, tu sais chaque fois que je reviens d’une rencontre avec un client je les passe tous à l’alcool pour qu’ils soient nickel pour les suivants, si tu allais chez moi tu les trouverais sur mon lit, après notre séparation, les sentir, les toucher, les caresser, les avaler a été la seule façon que je puisse retourner au travail ce matin la mine fraîche.
J’ai eu ton odeur avec moi toute la nuit et j’ai hâte de les retrouver ce soir pour une nouvelle nuit où ils me donneront du plaisir, prend un gode ceintures et tu pourras enculer ton client beaucoup d’eux aime que nous leur façon avec cet objet ce qu’il rêve de faire avec un autre homme sans jamais franchir le pas.
Tu te sens mieux.
• D’entendre ta voix m’a remis la tête en p^lace, je raccroche et je te tiens au courant j’ai un double appel.
• Amuse-toi bien et bonne enveloppe.
Elle raccroche et je récupère un contrat dans Paris qui v me faire oublier les pieds-paquets, mon client m’a donné rendez-vous au restaurant d’un un grand hôtel où il m’a dit avoir une chambre.
Je me prépare comme Nadine m’a suggéré de le faire en me servant de la poire de lavement que j’avais vu la première fois sur la baignoire me demandant à quoi elle pouvait lui servir.
Le client veut que je m’habile comme une dame du monde ce qui a failli me vexer mais quand j’ouvre la double armoire les tenues qui s’y trouvent pourrait en choquer plus d’un, je repère une tenue d’écolière avec jupe à carreaux et chemisier blanc qui ferait un drôle d’effet si je la mettais ce soir en entrant le restaurant.
Maquiller comme ces dames du monde dont je me suis éloignée depuis que je gagne mon fric comme vous savez j’appelle un taxi à qui je demande d’aller à Pigalle, seul endroit où je connaisse le type de boutique qui va me permettre de remplir ma valise que j’ai débarrassée de choses inutiles là où je vais.
La tête du patron quand il voit entrer une bourge venue s’encanailler dans ces lieux de perdition, dans la boutique des hommes me dévore des yeux.
• Cherches-tu une belle queue ?
L’homme qui me dit cela est arrivé derrière moi sans que je le voie, je suis contente de ma réponse, il y a peu, non seulement je ne serais entrée dans une telle boutique mais j’aurais rougi comme une jeune pucelle.
• Si tu as 2 000 € et un hôtel non loin d’ici, je pourrais te défoncer le cul avec ce gode ceintures, tu préfères celui avec une bite blanche ou une belle noire, moi je penche pour la belle noire, elle est plus grosse et elle t’éclatera mieux le cul.
J’ai parlé assez fort et chacun entant ce que j’ai dit, je vois le patron se marrer surtout quand l’importun se sauve presque en courant.
Je fais le tour des rayons où se trouvent les objets surpris de l’imagination des hommes et des femmes pour leurs dépravations, je prends le strict nécessaire bien décidé à revenir, montrant par là même que ma tête est de nouveau posée sur mes épaules et que je suis prête à assumer ma condition de courtisane.
Je passe en caisse.
• Bien joué madame, je vois que vous avez pris les deux godes blancs et noirs. Regardez ces deux modèles on l’avantage d’avoir une bite amovible double usage, en ceinture normalement pour vous prendre pour un homme et si vous le sortez comme ceci de son logement si vous acceptez de descendre au sous-sol je vous montrerais ou vous pourrez vous en servir toute seule.
• Dommage, un client m’attend, je reviendrais certainement et vous me monterez.
• Merci, mais mes moyens sont loin d’être au niveau de la personne que vous allez rejoindre 2 000 € même avec ma boutique il m’est impossible de vous payer une telle somme.
• On est loin d’être une pute tous les jours, on peut fonctionner à la belle gueule, c’est votre catégorie.
• Merci du compliment, le gode ceinture noir ces cadeaux, quand vous vous en servirez, pensez à moi.
Quand je remonte dans le taxi que j’ai fait attendre, il a mis les objets dans une poche en papier hélas assez solide pour éviter qu’elle se déchire au milieu du trottoir, j’aurais bien aimé que tous ceux qui passent près de moi constatent que plus j’avance dans le temps, plus je montre que j’étais née pour devenir moi aussi une pute comme ma sœur.
J’ouvre ma valise que j’avais gardée avec moi et je range un à un mes objets.
Comme je suis assise depuis qu’il m’a chargé au bas de chez moi je le vois regarder dans son rétro qu’il a positionné pour constater que si ma tenue est BCBG, la non-présence de petite culotte donne la touche de ce que je vais faire quand il m’aura conduit à destination.
Ses yeux lui sortent de la tête surtout quand il voit le gode noir d’une taille assez impressionnante.
• Bonne soirée madame.
Je descends ma valise à la main ayant laissé le sac vide dans le véhicule et à ma grande surprise il redémarre avant que je l’aie payé.
Ou je l’ai surpris d’avoir ma chatte à l’air, tout au long du parcours, ou mes godes ou autre boule à bouche et boule de Geisha l’ont impressionné.
• Bonjours messieurs, j’ai rendez-vous avec un ami au restaurant.
Je suis une pute et je viens tapiner, si j’avais voulu être plus discrète c’est gagner, je sais que l’homme que je vais rencontrer est grand dans un costume trois-pièces et aura un journal à la main, mais ma valise peut paraître suspecte.
• J’arrive de Lyon et mon train m’a déposé à la gare du Nord.
• Je vois, n’ayez aucune crainte nous savons être discrets, pour Paris en venant de Lyon le train aurait dû vous déposer gare de Lyon, problème de ligne les a obligés à vous déposer gare du Nord.
• Non, il allait à Lille après.
Ma défense est vaseuse mais ma connaissance des chemins de fer semble avoir bien des lacunes.
• Laissez-nous votre valise vous viendrez la reprendre après avoir dîner ou voulez-vous que l’on vous la montre dans la chambre de votre ami.
Salop il se joue de moi, il a dû me prendre pour une blonde mais je me dirige vers le restaurant à droite.
• Madame, le restaurant c’est à gauche la porte en vitre qui est derrière vous, par là ce sont les ascenseurs qui conduisent vers les chambres, il vous faut votre valise.
Le sourire ironique que me montrent ces deux garçons me fait prendre conscience que j’ai encore du chemin à faire pour devenir une vraie pro du sexe et surtout des hôtels lorsque l’on a peu de renseignements sur le client.
Client somme toute plaisant me montrant lui aussi que c’est un novice car l’alliance qu’il a ôtée de son doigt est resté gravé dans ses chairs.
Le repas terminé, l’enveloppe qu’il a glissée vers moi alors qu’elle était sur la table en évidence des serveurs leurs montrant que d’ici peu j’allais me faire baiser voire sodomiser, mais ce qu’ils ignorent c’est le plaisir que je prends quand je la touche sentant la boursouflure que les billets donnent à mon enveloppe.
Moment plein de malice car j’ai fini de jouer avec les réceptionnistes, de toute manière m’a crédibilisée de Lyonnaise étant bien entamé voire nul quand je récupère ma valise et où fièrement je devance mon client pour appeler les ascenseurs.
Dans la chambre je pose ma valise sur le lit et je me dirige vers la salle de bains pour ôter mes affaires et contrôler l’argent dans l’enveloppe que j’ai glissée dans mon petit sac à main.
Comme le l’a dit Nadia, j’ouvre ma valise pour récupérer le petit flacon d’huile adoucissante trouvé dans l’armoire à pharmacie de Nadine qu’elle devait elle aussi se servir avec ses clients vus la réserve que j’ai trouvé me demandant pourquoi elle en achetait autant.
Je fais tomber les godes ceintures sur le lit.
• Vous avez ces godes car vous avez des clientes.
La phrase magique est prononcée et ma repartie donnée par ma copine lui tombe dessus.
• Les femmes, pas seulement, de nombreux hommes font appel à mes objets pour assouvir leur envie secrète de sentir ce que resente les femmes quand ils les enculent sans pour autant être homosexuels.
• Peut-on essayer ?
C’est fait, pour la première fois ce client tombe dans mes filets mais plutôt dans ceux de Nadia qui par son explication m’apporte une arme de plus pour satisfaire mes clients.
• Mettez-vous en levrette, je place le gode à ma taille, vous verrez j’ai de l’huile apaisante qui va adoucir la première pénétration.
• Ce sera la seule fois.
• Combien de vos femmes vous ont dit une fois et souvent acceptent de recommencer.
Je lui place de l’huile sur sa rosette que j’éclate d’un seul trait, j’ai été gentil j’ai placé le blanc à ma ceinture…
Je suis perdu, Nadine, Natacha, Aurélie, j’ai perdu mon identité ou mieux je suis devenue multis identités.
Je suis aussi devenue multi vie car j’ai envie de retrouver la quiétude de mon foyer mais dans un même temps je veux continuer à remplir des enveloppes qui remplissent mon bas de laine.
Je veux sentir le sexe de mon mari coulisser en moi doucement, avec amour comme il sait le faire mais je veux aussi avoir des queues, des queues encore des queues qui me surprennent chaque fois que j’en découvre une nouvelle.
• Allo Nadia !
• Oui ma chérie !
• Je te dérange, tu es avec un client.
• Tu rigoles Aurélie, je suis à mon travail, je te rappelle que j’ai un métier hors de mes moments de liberté, une minute je te rappelle.
C’est long une minute quand la voix de celle qui peut m’aider disparaît surtout quand cela dure cinq minutes.
• Allo mon cœur, je suis là, j’ai trouvé un coin tranquille pour te parler, j’avais du monde autour de moi quand tu as appelé et tu connais ma discrétion sur ma vie parallèle, tu sembles avoir un gros chagrin.
Snif, c’est ce que doit entendre Nadia à l’autre bout du fils.
• Tu pleures.
• Oui, tu es loin de moi et je viens de perdre mon identité. Snif.
• Je vois que tu as un gros chagrin dit moi ce qui te tracasse.
• Ce soir c’est mon anniversaire de mariage et c’est ma sœur qui va le fêter avec mon homme, tu sais celui qui m’a dépucelé, tu sais celui avec lequel je dois avoir des enfants.
• Oui mais avec celui que tu ressentais de l’ennui car côté sexe c’était loin d’être une flèche.
• Ça c’est sûr, j’en vois de toutes les couleurs depuis que je l’ai imprudemment remplacé.
• Un bon conseil, fais-toi un bon client avec une grosse enveloppe, tu le rencontreras en pensant que nous sommes deux avec lui.
Il faut t’occuper en attendant, va acheter des joujoux comme ceux que j’aie dans ma valise, tu sais chaque fois que je reviens d’une rencontre avec un client je les passe tous à l’alcool pour qu’ils soient nickel pour les suivants, si tu allais chez moi tu les trouverais sur mon lit, après notre séparation, les sentir, les toucher, les caresser, les avaler a été la seule façon que je puisse retourner au travail ce matin la mine fraîche.
J’ai eu ton odeur avec moi toute la nuit et j’ai hâte de les retrouver ce soir pour une nouvelle nuit où ils me donneront du plaisir, prend un gode ceintures et tu pourras enculer ton client beaucoup d’eux aime que nous leur façon avec cet objet ce qu’il rêve de faire avec un autre homme sans jamais franchir le pas.
Tu te sens mieux.
• D’entendre ta voix m’a remis la tête en p^lace, je raccroche et je te tiens au courant j’ai un double appel.
• Amuse-toi bien et bonne enveloppe.
Elle raccroche et je récupère un contrat dans Paris qui v me faire oublier les pieds-paquets, mon client m’a donné rendez-vous au restaurant d’un un grand hôtel où il m’a dit avoir une chambre.
Je me prépare comme Nadine m’a suggéré de le faire en me servant de la poire de lavement que j’avais vu la première fois sur la baignoire me demandant à quoi elle pouvait lui servir.
Le client veut que je m’habile comme une dame du monde ce qui a failli me vexer mais quand j’ouvre la double armoire les tenues qui s’y trouvent pourrait en choquer plus d’un, je repère une tenue d’écolière avec jupe à carreaux et chemisier blanc qui ferait un drôle d’effet si je la mettais ce soir en entrant le restaurant.
Maquiller comme ces dames du monde dont je me suis éloignée depuis que je gagne mon fric comme vous savez j’appelle un taxi à qui je demande d’aller à Pigalle, seul endroit où je connaisse le type de boutique qui va me permettre de remplir ma valise que j’ai débarrassée de choses inutiles là où je vais.
La tête du patron quand il voit entrer une bourge venue s’encanailler dans ces lieux de perdition, dans la boutique des hommes me dévore des yeux.
• Cherches-tu une belle queue ?
L’homme qui me dit cela est arrivé derrière moi sans que je le voie, je suis contente de ma réponse, il y a peu, non seulement je ne serais entrée dans une telle boutique mais j’aurais rougi comme une jeune pucelle.
• Si tu as 2 000 € et un hôtel non loin d’ici, je pourrais te défoncer le cul avec ce gode ceintures, tu préfères celui avec une bite blanche ou une belle noire, moi je penche pour la belle noire, elle est plus grosse et elle t’éclatera mieux le cul.
J’ai parlé assez fort et chacun entant ce que j’ai dit, je vois le patron se marrer surtout quand l’importun se sauve presque en courant.
Je fais le tour des rayons où se trouvent les objets surpris de l’imagination des hommes et des femmes pour leurs dépravations, je prends le strict nécessaire bien décidé à revenir, montrant par là même que ma tête est de nouveau posée sur mes épaules et que je suis prête à assumer ma condition de courtisane.
Je passe en caisse.
• Bien joué madame, je vois que vous avez pris les deux godes blancs et noirs. Regardez ces deux modèles on l’avantage d’avoir une bite amovible double usage, en ceinture normalement pour vous prendre pour un homme et si vous le sortez comme ceci de son logement si vous acceptez de descendre au sous-sol je vous montrerais ou vous pourrez vous en servir toute seule.
• Dommage, un client m’attend, je reviendrais certainement et vous me monterez.
• Merci, mais mes moyens sont loin d’être au niveau de la personne que vous allez rejoindre 2 000 € même avec ma boutique il m’est impossible de vous payer une telle somme.
• On est loin d’être une pute tous les jours, on peut fonctionner à la belle gueule, c’est votre catégorie.
• Merci du compliment, le gode ceinture noir ces cadeaux, quand vous vous en servirez, pensez à moi.
Quand je remonte dans le taxi que j’ai fait attendre, il a mis les objets dans une poche en papier hélas assez solide pour éviter qu’elle se déchire au milieu du trottoir, j’aurais bien aimé que tous ceux qui passent près de moi constatent que plus j’avance dans le temps, plus je montre que j’étais née pour devenir moi aussi une pute comme ma sœur.
J’ouvre ma valise que j’avais gardée avec moi et je range un à un mes objets.
Comme je suis assise depuis qu’il m’a chargé au bas de chez moi je le vois regarder dans son rétro qu’il a positionné pour constater que si ma tenue est BCBG, la non-présence de petite culotte donne la touche de ce que je vais faire quand il m’aura conduit à destination.
Ses yeux lui sortent de la tête surtout quand il voit le gode noir d’une taille assez impressionnante.
• Bonne soirée madame.
Je descends ma valise à la main ayant laissé le sac vide dans le véhicule et à ma grande surprise il redémarre avant que je l’aie payé.
Ou je l’ai surpris d’avoir ma chatte à l’air, tout au long du parcours, ou mes godes ou autre boule à bouche et boule de Geisha l’ont impressionné.
• Bonjours messieurs, j’ai rendez-vous avec un ami au restaurant.
Je suis une pute et je viens tapiner, si j’avais voulu être plus discrète c’est gagner, je sais que l’homme que je vais rencontrer est grand dans un costume trois-pièces et aura un journal à la main, mais ma valise peut paraître suspecte.
• J’arrive de Lyon et mon train m’a déposé à la gare du Nord.
• Je vois, n’ayez aucune crainte nous savons être discrets, pour Paris en venant de Lyon le train aurait dû vous déposer gare de Lyon, problème de ligne les a obligés à vous déposer gare du Nord.
• Non, il allait à Lille après.
Ma défense est vaseuse mais ma connaissance des chemins de fer semble avoir bien des lacunes.
• Laissez-nous votre valise vous viendrez la reprendre après avoir dîner ou voulez-vous que l’on vous la montre dans la chambre de votre ami.
Salop il se joue de moi, il a dû me prendre pour une blonde mais je me dirige vers le restaurant à droite.
• Madame, le restaurant c’est à gauche la porte en vitre qui est derrière vous, par là ce sont les ascenseurs qui conduisent vers les chambres, il vous faut votre valise.
Le sourire ironique que me montrent ces deux garçons me fait prendre conscience que j’ai encore du chemin à faire pour devenir une vraie pro du sexe et surtout des hôtels lorsque l’on a peu de renseignements sur le client.
Client somme toute plaisant me montrant lui aussi que c’est un novice car l’alliance qu’il a ôtée de son doigt est resté gravé dans ses chairs.
Le repas terminé, l’enveloppe qu’il a glissée vers moi alors qu’elle était sur la table en évidence des serveurs leurs montrant que d’ici peu j’allais me faire baiser voire sodomiser, mais ce qu’ils ignorent c’est le plaisir que je prends quand je la touche sentant la boursouflure que les billets donnent à mon enveloppe.
Moment plein de malice car j’ai fini de jouer avec les réceptionnistes, de toute manière m’a crédibilisée de Lyonnaise étant bien entamé voire nul quand je récupère ma valise et où fièrement je devance mon client pour appeler les ascenseurs.
Dans la chambre je pose ma valise sur le lit et je me dirige vers la salle de bains pour ôter mes affaires et contrôler l’argent dans l’enveloppe que j’ai glissée dans mon petit sac à main.
Comme le l’a dit Nadia, j’ouvre ma valise pour récupérer le petit flacon d’huile adoucissante trouvé dans l’armoire à pharmacie de Nadine qu’elle devait elle aussi se servir avec ses clients vus la réserve que j’ai trouvé me demandant pourquoi elle en achetait autant.
Je fais tomber les godes ceintures sur le lit.
• Vous avez ces godes car vous avez des clientes.
La phrase magique est prononcée et ma repartie donnée par ma copine lui tombe dessus.
• Les femmes, pas seulement, de nombreux hommes font appel à mes objets pour assouvir leur envie secrète de sentir ce que resente les femmes quand ils les enculent sans pour autant être homosexuels.
• Peut-on essayer ?
C’est fait, pour la première fois ce client tombe dans mes filets mais plutôt dans ceux de Nadia qui par son explication m’apporte une arme de plus pour satisfaire mes clients.
• Mettez-vous en levrette, je place le gode à ma taille, vous verrez j’ai de l’huile apaisante qui va adoucir la première pénétration.
• Ce sera la seule fois.
• Combien de vos femmes vous ont dit une fois et souvent acceptent de recommencer.
Je lui place de l’huile sur sa rosette que j’éclate d’un seul trait, j’ai été gentil j’ai placé le blanc à ma ceinture…
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