LE REMPLACEMENT. (3/X)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LE REMPLACEMENT. (3/X)
Moi qui avais expressément souhaité revenir dans les pas tracés le jour de mon mariage, me retrouver dans la même situation qu’au jour où j’ai décroché le téléphone professionnel de Nadine ma sœur jumelle pour faire une passe et ressentir ce qu’est sa vie en se donnant à tous ces hommes pour de l’argent, j’ai échoué ?
En ce moment, je suis sur le lit de deux hommes l’un me met sa bite dans la bouche et l’autre me caressant de ma chatte à mon anus en insistant sur mon clitoris avec sa langue et ses doigts.
Ma première découverte est la jouissance cérébrale que je ressens lorsque le ou les clients me donnent l’enveloppe qui va leur permettre de disposer de mon corps suivant la somme qu’ils m’ont proposée et que j’ai acceptée.
Sur ce plan mon premier client s’il m’a comblé sexuellement au-delà de mes espérances avec en plus trois mille cinq cents euros à la clef et que j’ai soigneusement déposé sur un livret caché au regard de Vivian.
Ils seront rejoints par les cinq mille donnés par mes clients blond et brun de ce soir et qui sont soigneusement rangés dans mon sac posé avec mes affaires dans la salle de bains.
Deux enveloppes deux situations différentes que je dois savoir maîtriser moi qui suis depuis ma jeunesse une femme qui se laisse faire contrairement à ma jumelle qui a toujours tiré les ficelles avec les hommes.
Mon brun enlève sa verge de ma bouche et vient ce coucher sur le lit m’attirant sur lui.
Il est facile de comprendre qu’il souhaite que je vienne m’empaler sur son pieu pointé vers le ciel.
Je dois régurgiter un cri qui me sort de la bouche en me sentant bien rempli par cette queue assez bien développée malgré l’une de ses couilles plus petite.
Le blond doit se sentir orphelin, car il monte derrière moi sur le lit et attaque directement ma rosette avec sa tige bien bandée.
La surprise, plaisir et douleur.
Douleur d’une pénétration un peu brutale mais aussi plaisir de me sentir ainsi comblée.
J’espérais ce qui m’arrive, être prise en double pénétration depuis que j’ai découvert cette pratique en regardant un film porno sur Canal lors d’une absence de mon mari. Je m’étais endormi et lorsque je me suis réveillé les anciens décodeurs diffusant directement les images sans code parental, une femme du même âge que moi se faisait prendre par deux acteurs et criait autant que je crie maintenant.
Le plus phénoménal est de sentir ces deux sexes se frotter l’une contre l’autre dans mes deux trous à travers la petite paroi qui les sépare.
Je jouis de mes clients comme jamais, une fois de plus j’ai joui de ma vie av.
J’allais encore dire « avec Vivian. »
Ils sortent leurs deux sexes qui m’ont bien défoncé sans avoir déchargé et me servent une coupe de champagne, nous discutons de la pluie et du beau temps.
Je sens bien qu’ils souhaitent me poser des questions du genre « pourquoi je choisis de me prostituer », mais ils savent garder leur distance et notre verre fini, je sens qu’ils ont une nouvelle fois l’envi de s’occuper de mes parties intimes.
Ils ont raison, moi aussi j’ai conscience que ma jumelle en bonne professionnelle repartirait à la tache car je suis loin d’avoir gagné l’argent qui m’a été donné, ils sont là pour décharger leur sperme resté dans leurs bourses.
Je me laisse glisser sur le sol devant le siège du brun et je lui fais une sucette pour le remettre en forme, pareil pour le blond, les verges prêtent, le deuxième m’entraîne sur le lit et s’allonge sur le dos.
Je viens sur lui et comme pour son copain la première fois, je m’empale sur son sexe poitrine contre poitrine.
Le copain vient derrière moi et alors que je m’attends à le reprendre dans le rectum, il se glisse le long de son ami et les deux verges pénètrent ma chatte.
Incroyable, comment aurais-je pu penser dans mes rêves les plus fous que deux hommes entrent en même temps dans mon vagin.
Je perds la notion du temps suite à l’orgasme qu’ils me procurent.
Je pensais avoir atteint avec ces deux garçons les sommets de la luxure, ma surprise est totale lorsque je sens le blond sortir de ma chatte entraînant son copain, avec sa main relever légèrement sa verge et se placer devant mon petit trou du cul.
Depuis qu’ils sont entrés en moi, il a toujours gardé son sperme et je pense que c’est dans mon cul qu’il souhaite remplir sa capote.
Il entre facilement, car l’envie d’être sodomisé permet à mon corps de le recevoir sans difficulté aidée aussi par la première pénétration reçue dans la soirée.
Je sens le brun se positionner et la première chose qui me vient à l’esprit, c’est qu’ils vont croiser et qu’il va me prendre par ma chatte pour une double pénétration comme la première fois.
Quand il place son pic le long de celui qui est déjà dans mon petit trou, j’ai envie de crier au fou mais avant que je n’aie eu le temps, il pousse et mon anus l’absorbe. Incroyable, ils sont tous les deux dans mon fondement.
Ils me déchirent le cul mais que c’est bon, dès qu’ils bougent en moi, je sens les fibres entourant ces deux verges s’irradier et l’impensable m’arrive, je jouis par le cul.
Quand la position inconfortable du brun le tétanise, il sort entraînant en moi une grande frustration, j’aurais aimé qu’il continue de longues minutes, le blond le suit de très près et les deux enlèvent leurs capotes pour m’asperger le visage en visant ma bouche qui reçoit quelques giclés que je m’empresse d’avaler.
Champagne, une douche et le baise-en-ville avec mes six mille euros, je quitte cette maison pour retrouver le taxi qu’ils ont appelé.
Je dis bien six mille, car comme me l’avait dit Nadine, ses clients sont sans limites sur le fric quand ils sont satisfaits de moi, non d’elle, bref de nous.
Le lendemain matin vers onze heures j’arrive chez moi et je retrouve Nadine allant un peu mieux grâce au traitement et très satisfaite de la nuit qu’elle a passée auprès de mon homme qui au vu de sa maladie l’a laissé récupérer se contentant de lui mettre une main sur le sein pendant son sommeil.
Quand elle me met au courant de cela, je prends conscience que je savais que c’était son habitude, mais que la perspective de retrouver les clients de ma soirée dernière a obligé mon cerveau à occulter ce qui était pour moi un détail.
• Et toi avec tes clients, tu as apprécié le double anal.
• Comment sais-tu ce qu’ils m’ont fait !
• Faciles, ils procèdent toujours de la même manière, c’est ce qu’il y a de bien avec ces deux garçons. J’ai pu suivre l’évolution de tes rapports avec eux à la minute près jusqu’au moment où ils ont rempli ta bouche.
Tu as bien tout avalé, car je bois tout le sperme jusqu’à la dernière goutte, cela plait toujours à mes clients.
• Salope, ma sœur jumelle est une salope, tu savais que j’allais me faire sodomiser par deux verges et tu m’y as envoyé tout de même.
• Dit-moi que tu as passé un mauvais moment.
• Non, bien sûr, c’était surprenant et plutôt bon, cela m’a changé de mes nuits avec la main de Vivian sur mon sein attendant une hypothétique nuit orgiaque comme celle que grâce à toi j’ai passé.
• Eh bien-moi tu vois, j’ai apprécié ce calme et cette quiétude que j’ai perdus depuis que nous étions jeunes filles et que j’ai commencé mes premières passes chez notre tante.
Pas de maquillage, pas de talons hauts, une robe de chambre sur un corps nue, un homme qui est près de toi sans vous avoir donné une enveloppe qu’il vous faut ouvrir discrètement pour recompter, voir s’il y a la bonne somme et qu’il a respecté le contrat.
Avec le temps êtres chez toi comme je le suis maintenant c’est cela le bonheur, tu as de la chance.
• En parlant d’enveloppe, voilà les six mille euros que j’ai gagnés pour toi.
• Non, tu les as gagnés, ils sont à toi, j’ai largement ce qu’il faut sur mon compte.
Sans compter ceux que tu vas gagner ce soir, tu as rendez-vous à 20 heures à l’hôtel continental chambre 222.
• Mais j’ai accepté de te remplacer seulement pour que tu évites la perte de tes deux clients.
• Celui de ce soir est aussi fidèle et peu exigeant, tu verras, ce sera de l’argent vite gagné et je continuerais à me soigner tout en bichonnant ton gentil mari.
Oui, va chez moi, tu mets ma robe verte sans petite culotte, il est fan de cette couleur, tu sais, certains clients vont aux putes pour retrouver un souvenir d’enfance et se rattachent à de petits détails.
En attendant avec celui-là, tu entres, tu touches le blé, tu vas sur le lit sans te dévêtir. Tu attends qu’il te prenne après qu’il t’est juste écarté les jambes ce que tu dois lui laisser faire et lorsqu’il aura fini et aura rempli sa capote tu te lèveras et tu partiras sans un mot.
Tu verras, tu apprendras vite.
• Apprendre vite, tu rigoles, je fais cela pour te rendre service le temps que tu te soignes et après fini, je reprends ma vie et toi la tienne.
Tu la choisis, je l’ai choisi, chacune retrouvera, son quotidien.
• D’accord, mais dit moi que ce que tu fais depuis que tu as répondu à mon téléphone professionnel t’a déplu et que grâce à lui ta vie qui manquait de saveur à pis une tournure nouvelle.
• Je dois le reconnaître, alors d’accord le temps que tu guérisses, tu es moi et je suis toi.
• Une dernière chose, qu’est-ce que ton mari aime comme petit plat, il faut que je lui fasse plaisir pour qu’il soit satisfait de sa gentille épouse.
• Tu en rajoute trop, mais je dois reconnaître que ce qu’il aime le plus c’est mes pieds-paquets.
Je te parie de te remplacer encore une fois dans le mois qui suit la fin de ta grippe qu’il te dit que tu les as loupés car ils sont moins bons que je ne les fais d’habitude.
• Pari tenu retourne chez moi, va te reposer, il faut que tu sois en forme ce soir, dans notre métier la récupération est primordiale.
• Arrête de dire notre métier, je suis simplement ta remplaçante.
• En attendant je te redonne le portable, il est dangereux que je le garde ici ton mari pourrait s’étonner qu’il sonne et qu’à aucun moment, je ne le décroche.
Et c’est comme cela que je la quitte pour attendre l’heure de mon prochain rendez-vous.
Rendez-vous qui se multiplient dans l’après-midi par deux clients qui comptent sur mes services et me donnent l’adresse ou les retrouver.
À ce rythme, ma semaine va vite passer et j’aurais reçu assez d’enveloppe pour garnir mon compte en banque.
Le soir comme Nadine me l’a dit, le client est tout sauf compliqué, j’ai mis sa robe verte en oubliant mon petit bout de tissu, je me présente, il m’ouvre me tend mon enveloppe où je trouve les deux mille prévus, me montre le lit.
Comme me l’a dit Nadine sans dire un mot, je me couche les bras le long du corps comme une gisante.
Après plus d’une heure me regardant en changeant simplement de chaise placée de chaque côté du lit, il vient,m’écarte les jambes, se couche sur moi et me pénètre jusqu’à ce que sa capote se remplisse, je pars comme j’étais venue sans que nous ne nous soyons dit un mot.
Sauf l’enveloppe, j’aimerais éviter de subir ce personnage souvent, s’il rappelle, je lui dirais que je suis surbooké ou que je pars en vacances.
Ce que j’apprécie dans ce métier c’est l’action, la force, la rudesse en un mot tout ce qui me manque avec Vivian.
Voilà que je suis sur les traces de Nadine en parlant de mon métier.
Non mon métier c’est femme au foyer auprès de l’homme que j’aime, d’ailleurs je me promets que dès que ma sœur ira mieux et que j’aurais repris ma place, j’arrêterais toute contraception pour donner un héritier à mon mari ce qui clôturera définitivement le chapitre prostitution de ma vie.
Le lendemain la soirée s’avère plus sympa, la coupe de champagne qui m’est servie au moment où il me donne mon enveloppe me met en joie et c’est guillerette que je fais l’amour principalement en levrette avec mon premier black.
Contrairement à la veille, ce client parle, il m’apprend qu’il est martiniquais et qu’il est enchanté de faire l’amour avec Natacha véritable beauté qu’il a trouvée sur le site Internet où Nadine est inscrite.
Plein d’humour à la suite de l’éloge à ma beauté, il déclare que s’il s’écoutait, il me ferait une demande en mariage.
Mais épouse-t-on, une pute tel est la question surtout si celle-ci est déjà mariée et qu’elle aime son mari plus que ses clients du moins j’essaye de m’en convaincre.
Ce client est vierge de tout contact avec ma sœur et je peux me lâcher n’ayant rien à craindre de faire un impair qui divulguerait le remplacement des sœurs.
Comme je l’ai dit, il veut me prendre en levrette et sollicite ma chatte puis mon cul.
Je comprends une chose dans le métier de ma jumelle, la plupart des hommes viennent nous voir, car nous acceptons de nous faire prendre par l’anus endroit que la plupart des femmes mariées leur refusent c’est une constatation que je fais rapidement chaque fois qu’un client veut me sodomiser car il me dit que chez lui pas question d’avoir ce plaisir avec sa bourgeoise.
Le premier jour où je reprendrais ma place auprès de Vivian, je m’empresserais de lui donner mon anus pour qu’il évite d’être tenté d’aller voir une escorte.
Jusqu’au vendredi soir, j’ai des rendez-vous que j’assume.
J’ai même le jeudi deux rendez-vous l’un dans l’après-midi l’autre en soirée chez un couple très connu dont madame est bisexuelle et qui évite de se montrer dans les clubs échangistes de peur de photos qui ruineraient leur carrière.
J’ai failli refuser, car les pratiques sexuelles entre femmes sont pour moi un terrain inconnu.
Au dernier moment je décide d’accepter toujours intéressé par l’enveloppe substantielle que son mari me propose.
Il va falloir que je me renseigne auprès de mon banquier pour une plane épargne-logement, car mon livret A est déjà plein.
L’hôtel où j’ai rendez-vous est très sélect et dès que j’arrive, c’est la cliente qui ouvre.
Nous passons un moment assis à la table à boire la petite coupette habituelle.
Vu le nombre d’escortes que je vois sur le site où Natacha propose son numéro 06 pour enfiler des perles, les maisons de champagne de Reims ont de beaux jours devant elles.
Ce qui m’étonne, c’est que mon rendez-vous était avec un couple et que la femme est seule, je suis payée, c’est une question subalterne.
Comme l’autre fois, mon manque de pratique me bloque alors quand cette femme prend l’initiative me faisant lever, m’ôtant mes vêtements, j’en fais de même pour elle.
Pour éviter de paraître nunuche, quand les seins de cette femme ayant plus de la cinquantaine sont à ma portée, je me penche et ma bouche se pose sur la pointe ressemblant plus à une tétine de biberon que de mes propres pointes qui ressemble à de petites poires.
Je suis une femme qui a toujours lavé ses seins sans jamais essayer de les sucer pour voir la texture qu’ils donnent dans la bouche de mon mari.
Là, je dois constater que cette douceur presque soyeuse me plait alors avant d’aller plus loin dans ma découverte pour la première fois du corps d’une femme, je passe un maximum de temps à les sucer, voire à les mordiller.
La réaction de ma cliente est immédiate et elle commence à glousser comme moi quand la personne qui s’occupe de moi, c’est y faire.
Ayant repris l’initiative, je descends ma main sur sa cuisse et je remonte jusqu’à sa fourche.
Contrairement à ce qu’elle va découvrir pour moi, elle est entièrement à ma disposition sa chatte étant libre de toute entrave.
Au moment où je lui donne, ma bouche évitant l’erreur avec mon premier client, je sens ma chatte mouiller ma petite culotte…
En ce moment, je suis sur le lit de deux hommes l’un me met sa bite dans la bouche et l’autre me caressant de ma chatte à mon anus en insistant sur mon clitoris avec sa langue et ses doigts.
Ma première découverte est la jouissance cérébrale que je ressens lorsque le ou les clients me donnent l’enveloppe qui va leur permettre de disposer de mon corps suivant la somme qu’ils m’ont proposée et que j’ai acceptée.
Sur ce plan mon premier client s’il m’a comblé sexuellement au-delà de mes espérances avec en plus trois mille cinq cents euros à la clef et que j’ai soigneusement déposé sur un livret caché au regard de Vivian.
Ils seront rejoints par les cinq mille donnés par mes clients blond et brun de ce soir et qui sont soigneusement rangés dans mon sac posé avec mes affaires dans la salle de bains.
Deux enveloppes deux situations différentes que je dois savoir maîtriser moi qui suis depuis ma jeunesse une femme qui se laisse faire contrairement à ma jumelle qui a toujours tiré les ficelles avec les hommes.
Mon brun enlève sa verge de ma bouche et vient ce coucher sur le lit m’attirant sur lui.
Il est facile de comprendre qu’il souhaite que je vienne m’empaler sur son pieu pointé vers le ciel.
Je dois régurgiter un cri qui me sort de la bouche en me sentant bien rempli par cette queue assez bien développée malgré l’une de ses couilles plus petite.
Le blond doit se sentir orphelin, car il monte derrière moi sur le lit et attaque directement ma rosette avec sa tige bien bandée.
La surprise, plaisir et douleur.
Douleur d’une pénétration un peu brutale mais aussi plaisir de me sentir ainsi comblée.
J’espérais ce qui m’arrive, être prise en double pénétration depuis que j’ai découvert cette pratique en regardant un film porno sur Canal lors d’une absence de mon mari. Je m’étais endormi et lorsque je me suis réveillé les anciens décodeurs diffusant directement les images sans code parental, une femme du même âge que moi se faisait prendre par deux acteurs et criait autant que je crie maintenant.
Le plus phénoménal est de sentir ces deux sexes se frotter l’une contre l’autre dans mes deux trous à travers la petite paroi qui les sépare.
Je jouis de mes clients comme jamais, une fois de plus j’ai joui de ma vie av.
J’allais encore dire « avec Vivian. »
Ils sortent leurs deux sexes qui m’ont bien défoncé sans avoir déchargé et me servent une coupe de champagne, nous discutons de la pluie et du beau temps.
Je sens bien qu’ils souhaitent me poser des questions du genre « pourquoi je choisis de me prostituer », mais ils savent garder leur distance et notre verre fini, je sens qu’ils ont une nouvelle fois l’envi de s’occuper de mes parties intimes.
Ils ont raison, moi aussi j’ai conscience que ma jumelle en bonne professionnelle repartirait à la tache car je suis loin d’avoir gagné l’argent qui m’a été donné, ils sont là pour décharger leur sperme resté dans leurs bourses.
Je me laisse glisser sur le sol devant le siège du brun et je lui fais une sucette pour le remettre en forme, pareil pour le blond, les verges prêtent, le deuxième m’entraîne sur le lit et s’allonge sur le dos.
Je viens sur lui et comme pour son copain la première fois, je m’empale sur son sexe poitrine contre poitrine.
Le copain vient derrière moi et alors que je m’attends à le reprendre dans le rectum, il se glisse le long de son ami et les deux verges pénètrent ma chatte.
Incroyable, comment aurais-je pu penser dans mes rêves les plus fous que deux hommes entrent en même temps dans mon vagin.
Je perds la notion du temps suite à l’orgasme qu’ils me procurent.
Je pensais avoir atteint avec ces deux garçons les sommets de la luxure, ma surprise est totale lorsque je sens le blond sortir de ma chatte entraînant son copain, avec sa main relever légèrement sa verge et se placer devant mon petit trou du cul.
Depuis qu’ils sont entrés en moi, il a toujours gardé son sperme et je pense que c’est dans mon cul qu’il souhaite remplir sa capote.
Il entre facilement, car l’envie d’être sodomisé permet à mon corps de le recevoir sans difficulté aidée aussi par la première pénétration reçue dans la soirée.
Je sens le brun se positionner et la première chose qui me vient à l’esprit, c’est qu’ils vont croiser et qu’il va me prendre par ma chatte pour une double pénétration comme la première fois.
Quand il place son pic le long de celui qui est déjà dans mon petit trou, j’ai envie de crier au fou mais avant que je n’aie eu le temps, il pousse et mon anus l’absorbe. Incroyable, ils sont tous les deux dans mon fondement.
Ils me déchirent le cul mais que c’est bon, dès qu’ils bougent en moi, je sens les fibres entourant ces deux verges s’irradier et l’impensable m’arrive, je jouis par le cul.
Quand la position inconfortable du brun le tétanise, il sort entraînant en moi une grande frustration, j’aurais aimé qu’il continue de longues minutes, le blond le suit de très près et les deux enlèvent leurs capotes pour m’asperger le visage en visant ma bouche qui reçoit quelques giclés que je m’empresse d’avaler.
Champagne, une douche et le baise-en-ville avec mes six mille euros, je quitte cette maison pour retrouver le taxi qu’ils ont appelé.
Je dis bien six mille, car comme me l’avait dit Nadine, ses clients sont sans limites sur le fric quand ils sont satisfaits de moi, non d’elle, bref de nous.
Le lendemain matin vers onze heures j’arrive chez moi et je retrouve Nadine allant un peu mieux grâce au traitement et très satisfaite de la nuit qu’elle a passée auprès de mon homme qui au vu de sa maladie l’a laissé récupérer se contentant de lui mettre une main sur le sein pendant son sommeil.
Quand elle me met au courant de cela, je prends conscience que je savais que c’était son habitude, mais que la perspective de retrouver les clients de ma soirée dernière a obligé mon cerveau à occulter ce qui était pour moi un détail.
• Et toi avec tes clients, tu as apprécié le double anal.
• Comment sais-tu ce qu’ils m’ont fait !
• Faciles, ils procèdent toujours de la même manière, c’est ce qu’il y a de bien avec ces deux garçons. J’ai pu suivre l’évolution de tes rapports avec eux à la minute près jusqu’au moment où ils ont rempli ta bouche.
Tu as bien tout avalé, car je bois tout le sperme jusqu’à la dernière goutte, cela plait toujours à mes clients.
• Salope, ma sœur jumelle est une salope, tu savais que j’allais me faire sodomiser par deux verges et tu m’y as envoyé tout de même.
• Dit-moi que tu as passé un mauvais moment.
• Non, bien sûr, c’était surprenant et plutôt bon, cela m’a changé de mes nuits avec la main de Vivian sur mon sein attendant une hypothétique nuit orgiaque comme celle que grâce à toi j’ai passé.
• Eh bien-moi tu vois, j’ai apprécié ce calme et cette quiétude que j’ai perdus depuis que nous étions jeunes filles et que j’ai commencé mes premières passes chez notre tante.
Pas de maquillage, pas de talons hauts, une robe de chambre sur un corps nue, un homme qui est près de toi sans vous avoir donné une enveloppe qu’il vous faut ouvrir discrètement pour recompter, voir s’il y a la bonne somme et qu’il a respecté le contrat.
Avec le temps êtres chez toi comme je le suis maintenant c’est cela le bonheur, tu as de la chance.
• En parlant d’enveloppe, voilà les six mille euros que j’ai gagnés pour toi.
• Non, tu les as gagnés, ils sont à toi, j’ai largement ce qu’il faut sur mon compte.
Sans compter ceux que tu vas gagner ce soir, tu as rendez-vous à 20 heures à l’hôtel continental chambre 222.
• Mais j’ai accepté de te remplacer seulement pour que tu évites la perte de tes deux clients.
• Celui de ce soir est aussi fidèle et peu exigeant, tu verras, ce sera de l’argent vite gagné et je continuerais à me soigner tout en bichonnant ton gentil mari.
Oui, va chez moi, tu mets ma robe verte sans petite culotte, il est fan de cette couleur, tu sais, certains clients vont aux putes pour retrouver un souvenir d’enfance et se rattachent à de petits détails.
En attendant avec celui-là, tu entres, tu touches le blé, tu vas sur le lit sans te dévêtir. Tu attends qu’il te prenne après qu’il t’est juste écarté les jambes ce que tu dois lui laisser faire et lorsqu’il aura fini et aura rempli sa capote tu te lèveras et tu partiras sans un mot.
Tu verras, tu apprendras vite.
• Apprendre vite, tu rigoles, je fais cela pour te rendre service le temps que tu te soignes et après fini, je reprends ma vie et toi la tienne.
Tu la choisis, je l’ai choisi, chacune retrouvera, son quotidien.
• D’accord, mais dit moi que ce que tu fais depuis que tu as répondu à mon téléphone professionnel t’a déplu et que grâce à lui ta vie qui manquait de saveur à pis une tournure nouvelle.
• Je dois le reconnaître, alors d’accord le temps que tu guérisses, tu es moi et je suis toi.
• Une dernière chose, qu’est-ce que ton mari aime comme petit plat, il faut que je lui fasse plaisir pour qu’il soit satisfait de sa gentille épouse.
• Tu en rajoute trop, mais je dois reconnaître que ce qu’il aime le plus c’est mes pieds-paquets.
Je te parie de te remplacer encore une fois dans le mois qui suit la fin de ta grippe qu’il te dit que tu les as loupés car ils sont moins bons que je ne les fais d’habitude.
• Pari tenu retourne chez moi, va te reposer, il faut que tu sois en forme ce soir, dans notre métier la récupération est primordiale.
• Arrête de dire notre métier, je suis simplement ta remplaçante.
• En attendant je te redonne le portable, il est dangereux que je le garde ici ton mari pourrait s’étonner qu’il sonne et qu’à aucun moment, je ne le décroche.
Et c’est comme cela que je la quitte pour attendre l’heure de mon prochain rendez-vous.
Rendez-vous qui se multiplient dans l’après-midi par deux clients qui comptent sur mes services et me donnent l’adresse ou les retrouver.
À ce rythme, ma semaine va vite passer et j’aurais reçu assez d’enveloppe pour garnir mon compte en banque.
Le soir comme Nadine me l’a dit, le client est tout sauf compliqué, j’ai mis sa robe verte en oubliant mon petit bout de tissu, je me présente, il m’ouvre me tend mon enveloppe où je trouve les deux mille prévus, me montre le lit.
Comme me l’a dit Nadine sans dire un mot, je me couche les bras le long du corps comme une gisante.
Après plus d’une heure me regardant en changeant simplement de chaise placée de chaque côté du lit, il vient,m’écarte les jambes, se couche sur moi et me pénètre jusqu’à ce que sa capote se remplisse, je pars comme j’étais venue sans que nous ne nous soyons dit un mot.
Sauf l’enveloppe, j’aimerais éviter de subir ce personnage souvent, s’il rappelle, je lui dirais que je suis surbooké ou que je pars en vacances.
Ce que j’apprécie dans ce métier c’est l’action, la force, la rudesse en un mot tout ce qui me manque avec Vivian.
Voilà que je suis sur les traces de Nadine en parlant de mon métier.
Non mon métier c’est femme au foyer auprès de l’homme que j’aime, d’ailleurs je me promets que dès que ma sœur ira mieux et que j’aurais repris ma place, j’arrêterais toute contraception pour donner un héritier à mon mari ce qui clôturera définitivement le chapitre prostitution de ma vie.
Le lendemain la soirée s’avère plus sympa, la coupe de champagne qui m’est servie au moment où il me donne mon enveloppe me met en joie et c’est guillerette que je fais l’amour principalement en levrette avec mon premier black.
Contrairement à la veille, ce client parle, il m’apprend qu’il est martiniquais et qu’il est enchanté de faire l’amour avec Natacha véritable beauté qu’il a trouvée sur le site Internet où Nadine est inscrite.
Plein d’humour à la suite de l’éloge à ma beauté, il déclare que s’il s’écoutait, il me ferait une demande en mariage.
Mais épouse-t-on, une pute tel est la question surtout si celle-ci est déjà mariée et qu’elle aime son mari plus que ses clients du moins j’essaye de m’en convaincre.
Ce client est vierge de tout contact avec ma sœur et je peux me lâcher n’ayant rien à craindre de faire un impair qui divulguerait le remplacement des sœurs.
Comme je l’ai dit, il veut me prendre en levrette et sollicite ma chatte puis mon cul.
Je comprends une chose dans le métier de ma jumelle, la plupart des hommes viennent nous voir, car nous acceptons de nous faire prendre par l’anus endroit que la plupart des femmes mariées leur refusent c’est une constatation que je fais rapidement chaque fois qu’un client veut me sodomiser car il me dit que chez lui pas question d’avoir ce plaisir avec sa bourgeoise.
Le premier jour où je reprendrais ma place auprès de Vivian, je m’empresserais de lui donner mon anus pour qu’il évite d’être tenté d’aller voir une escorte.
Jusqu’au vendredi soir, j’ai des rendez-vous que j’assume.
J’ai même le jeudi deux rendez-vous l’un dans l’après-midi l’autre en soirée chez un couple très connu dont madame est bisexuelle et qui évite de se montrer dans les clubs échangistes de peur de photos qui ruineraient leur carrière.
J’ai failli refuser, car les pratiques sexuelles entre femmes sont pour moi un terrain inconnu.
Au dernier moment je décide d’accepter toujours intéressé par l’enveloppe substantielle que son mari me propose.
Il va falloir que je me renseigne auprès de mon banquier pour une plane épargne-logement, car mon livret A est déjà plein.
L’hôtel où j’ai rendez-vous est très sélect et dès que j’arrive, c’est la cliente qui ouvre.
Nous passons un moment assis à la table à boire la petite coupette habituelle.
Vu le nombre d’escortes que je vois sur le site où Natacha propose son numéro 06 pour enfiler des perles, les maisons de champagne de Reims ont de beaux jours devant elles.
Ce qui m’étonne, c’est que mon rendez-vous était avec un couple et que la femme est seule, je suis payée, c’est une question subalterne.
Comme l’autre fois, mon manque de pratique me bloque alors quand cette femme prend l’initiative me faisant lever, m’ôtant mes vêtements, j’en fais de même pour elle.
Pour éviter de paraître nunuche, quand les seins de cette femme ayant plus de la cinquantaine sont à ma portée, je me penche et ma bouche se pose sur la pointe ressemblant plus à une tétine de biberon que de mes propres pointes qui ressemble à de petites poires.
Je suis une femme qui a toujours lavé ses seins sans jamais essayer de les sucer pour voir la texture qu’ils donnent dans la bouche de mon mari.
Là, je dois constater que cette douceur presque soyeuse me plait alors avant d’aller plus loin dans ma découverte pour la première fois du corps d’une femme, je passe un maximum de temps à les sucer, voire à les mordiller.
La réaction de ma cliente est immédiate et elle commence à glousser comme moi quand la personne qui s’occupe de moi, c’est y faire.
Ayant repris l’initiative, je descends ma main sur sa cuisse et je remonte jusqu’à sa fourche.
Contrairement à ce qu’elle va découvrir pour moi, elle est entièrement à ma disposition sa chatte étant libre de toute entrave.
Au moment où je lui donne, ma bouche évitant l’erreur avec mon premier client, je sens ma chatte mouiller ma petite culotte…
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