LE RUSS - CHAPITRE 4

- Par l'auteur HDS Miss_Sexcret -
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Récit libertin : LE RUSS - CHAPITRE 4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE RUSS - CHAPITRE 4
LE RUSS



CAHPITRE IV : CABINE 223

LES MARIÉS
Nouvelle croisière. Nouveaux passagers.
Le quai était noir de monde, mais le couple s’est détaché tout de suite. Comme une lumière au milieu des polos beiges et des sacs à roulettes.
Elle était grande. Très grande. Blonde platine, cheveux en cascade, jupe blanche fendue sur des jambes longues et musclées.
Et surtout : une poitrine magnifique. Pleine, lourde, maintenue dans un débardeur moulant qui ne laissait aucune place à l’imagination. Chaque pas faisait onduler ses seins comme une provocation naturelle.
Lui, bronzé, barbe de trois jours, chemise ouverte et main fermement posée sur sa hanche. Ils n’avaient pas trente ans. Ils rayonnaient. De jeunesse. De sexe. D’envie.
Ils se sont embrassés sur la passerelle, langue contre langue, sans honte. Certains passagers ont détourné les yeux. D’autres ont fixé.
— On va s’amuser avec ceux-là, a soufflé Ksiusha à mon oreille.
— S’ils baisent aussi fort qu’ils s’aiment, le pont ne suffira pas.
Et moi, je le savais déjà.
Le Russ allait encore chauffer.

SOIRÉE D'ACCUEIL
C’était la première soirée de la nouvelle croisière.
Soirée d’accueil, comme toujours. Tenue habillée, sourires polis, champagne tiède et cocktails sucrés.
Le salon principal du Russ avait été transformé pour l’occasion : lumières tamisées, nappes blanches repassées à l’os, fauteuils tirés au cordeau, musique de piano en fond.
Je portais la robe noire réglementaire. Courte. Décolletée juste ce qu’il faut. Cheveux relevés. Talons.
Natacha avait ajouté un rouge à lèvres discret, Ksiusha avait roulé sa jupe plus haut que nécessaire.
On était prêtes. Sourire en place, plateau en main.
Les passagers entraient un à un. Vieux couples, dames seules, hommes en blazer beige, montres brillantes. Certains déjà rouges du nez.
Puis eux.
Le jeune couple.
Elle : sublime. Grande, blonde, robe dos nu bleu nuit, seins tenus par un simple lien derrière le cou. Et quand elle marchait, tout bougeait. Délicatement. Mais visiblement.
Lui : jean noir, chemise ouverte sur torse sec, main dans le bas de son dos comme pour dire : “Elle est à moi.”
Mais tout le monde regardait. Tous les regards masculins se posaient sur elle. Même les plus discrets.
Je suis passée avec mon plateau. Ils ont pris chacun un cocktail.
Elle m’a souri.
— Merci.
Sa voix. Sensuelle, profonde. Accent vaguement scandinave.
— Bienvenue à bord, ai-je soufflé.
Ils se sont éloignés vers un fauteuil double. Se sont assis collés. Main sur cuisse. Baiser rapide. Langoureux.
On aurait cru un shooting de pub pour parfum de luxe… ou pour un porno chic.
À côté, les officiers étaient debout.
Le capitaine Oleg, raide dans son costume, sourcils levés.
Le médecin Viktor, lunettes sur le nez, regard fixé sur la blonde.
Et Pavel… oh Pavel…
Chemise en lin, verre de rouge à la main, appuyé au comptoir, un rictus en coin.
— Celui-là va mettre le feu au bateau, a-t-il dit en me lançant un regard entendu.
— Elle, tu veux dire ?
— Elle. Lui. Les deux. T’as vu comme elle le chauffe ? Même assise, elle le chevauche du regard.
Et il avait raison.
La soirée a continué.
Discours de bienvenue. Blagues de matelots. Applaudissements tièdes.
Puis la musique a changé.
Le DJ a lancé un vieux tube jazzy. Et la danse a commencé.
Couples timides. Papys qui osaient une valse maladroite. Dames esseulées qui tentaient de faire bouger les vieux os.
Et au milieu… eux.
Ils ont dansé comme s’ils étaient seuls. Corps à corps. Lent. Sensuel.
Sa cuisse entre ses jambes. Ses mains sur ses fesses. Sa bouche dans son cou.
— Ils vont baiser là, au milieu, a chuchoté Ksiusha à mon oreille.
— Et ça ne choquerait que les frustrés, ai-je répondu.
Le médecin les fixait toujours.
Un officier a détourné les yeux.
Mais Pavel, lui, riait doucement.
— Les jeunes, dit-il. Ils n’ont peur de rien. Et ils ont encore tout à donner.
Moi, je servais un dernier verre.
Et je regardais ce couple s’embrasser. Langoureusement.
Et je sentais ma culotte coller.
Le Russ venait à peine de quitter le quai.
Et déjà, l’air vibrait.


SOUS LES ÉTOILES
Le salon était vide. Verres vides, serviettes chiffonnées, miettes de petits fours oubliées sur les nappes. La musique avait cessé depuis longtemps, ne restait que le clapotis de l’eau contre la coque. Natacha avait filé dès que le dernier toast avait été ramassé. Ksiusha, elle, traînait sur le pont arrière avec Lena, une clope dans une main, un verre dans l’autre, en train de rigoler doucement sur les pitreries d’un vieux monsieur qui avait glissé pendant la valse.
Il était plus de deux heures.
J’aime ce moment.
Quand le bateau se tait.
Quand les verres sont rangés, les rires éteints, les passagers couchés.
J’ai enlevé mes talons, j’ai monté pieds nus jusqu’au pont supérieur. L’air était doux, chargé d’humidité, et les étoiles brillaient comme des éclats de diamants dans le ciel noir. Je me suis appuyée à la rambarde, j’ai fermé les yeux, respiré. Les dernières volutes de champagne m’embrumaient encore un peu la tête.
Un silence parfait.
Puis un bruit.
Un soupir.
Léger. Au-dessus de moi.
J’ai baissé les yeux.
Et je les ai vus.
Le couple.
Les jeunes mariés.
Juste au-dessous, sur le pont inférieur. Dos à la rambarde. En pleine lumière lunaire.
Elle était nue. Totalement. Les cheveux en cascade, la peau blanche presque fluorescente. Les seins magnifiques. Lourds. Parfaits.
Lui, debout derrière elle. Pantalon sur les chevilles. Les mains sur sa taille.
Et il la baisait.
Lentement. Profondément.
Ses fesses cognaient contre elle avec un claquement sourd.
Ses gémissements à elle descendaient le long des tôles du Russ comme une mélodie interdite.
Je suis restée figée.
Elle avait la tête rejetée en arrière, les yeux clos, la bouche entrouverte dans un soupir. Ses seins — magnifiques — dansaient à chaque coup de reins. Pleins, lourds, fermes. Il s’en détachait de la salive, de la sueur. Il les avait sûrement léchés avant. Peut-être mordu.
Il a changé d’angle. Elle a gémi plus fort.
— Oh putain... oui...
Sa voix, grave, rauque, presque rauchie par le plaisir. Il la pilonnait maintenant plus vite, plus fort. Ses fesses contractées, son dos musclé tendu comme un arc.
Je n’arrivais pas à détourner les yeux.
Je n’ai pas voulu les détourner.
Et alors… elle m’a vue.
Elle a tourné la tête. M’a vue. En haut. Dans l’ombre.
Et elle a souri.
Un vrai sourire. Pas surpris. Pas choqué.
Un sourire d’invitation. Un sourire sale. Inconscient ou parfaitement assumé. Elle a glissé sa langue dans la bouche de son mari, sans me lâcher du regard.
Puis elle a posé ses deux mains à plat sur la rambarde. A cambré davantage. A offert son cul au ciel.
Et elle a dit, à voix haute, sans honte :
— Plus fort, chéri. Je crois qu’on a un public.
Lui n’a pas ralenti.
Au contraire. Il a accéléré encore. Elle a crié. Un cri bref, guttural.
— Vas-y... fous-moi tout...
Il l’a prise plus fort. Plus brutalement.
Ses couilles claquaient contre elle.
Elle gémissait. Long. Salement.
Sa poitrine bougeait dans tous les sens. Ses jambes tremblaient.
Moi, eau dessus, j’avais la main sous ma chemise. Culotte mouillée. Doigts dans ma chatte.
Je les regardais. Et je me caressais.
Elle s’est redressée un instant. L’a fait asseoir contre la rambarde. Puis s’est agenouillée. Et elle l’a sucé. Goulûment. Langue autour du gland. Main sur la base. Yeux dans les siens.
Il grognait. Le bassin bougeait. Elle avalait. Sans pudeur. Sans pause.
Puis elle s’est reculée. A tendu la langue.
Il a joui.
Un jet. Puis deux. Épais. Sur son visage. Sur ses seins. Elle en a léché une partie. A laissé couler le reste.
Elle a levé les yeux vers moi. Toujours ce sourire.
— Bonne nuit, murmura-t-elle. Et merci d’être restée.
Puis elle a disparu dans l’ombre, main dans la sienne, seins encore luisants.
Ils n’ont même pas regardé autour d’eux.
Ils savaient que ce bateau leur appartenait.
Moi, jambes tremblantes, doigts encore dans ma culotte, je suis restée seule.
Sous les étoiles.
Encore humide.
Et affamée.

RETOUR A LA CABINE
Je suis redescendue du pont à pas lents.
Mes jambes tremblaient. Mes doigts étaient encore collants. Mon cœur battait dans mes tempes.
J’avais les images du couple imprimées sous mes paupières.
Ses seins. Son sourire. Sa chatte offerte. Sa bouche pleine.
Et ce “Bonne nuit”… comme un baiser sur mon clito.
J’ai ouvert la porte de la cabine sans bruit.
Il faisait presque noir, juste la lumière du hublot filtrée par l’eau noire de la Volga.
Et là…
Elles étaient là.
Natacha sur le dos, nue, jambes écartées.
Ksiusha au-dessus d’elle, torse nu, cheveux défaits, la tête plongée entre ses cuisses.
Et Natacha gémissait. Fort.
Pas pour jouer. Pas pour moi.
Parce que ça brûlait.
Je suis restée immobile.
Ma main encore sur la poignée.
Elles ne m’avaient pas entendue. Ou elles s’en fichaient.
Ksiusha léchait. Langue rapide, profonde, précise. Deux doigts enfoncés dans la chatte de Natacha, qui se cambrait, le ventre tendu, les seins brillants de sueur.
— Oui… putain… continue… continue… jouis-moi, chienne…
Natacha parlait à voix basse, la voix brisée par le plaisir.
Et Ksiusha redoublait de vitesse.
Sans bruit.
Et j’ai regardé.
Ksiusha est remontée. A léché les tétons. A mordu le cou.
Puis elle a basculé Natacha sur le ventre. L’a prise à califourchon.
Et elle a frotté sa chatte huilée contre ses fesses.
Elle se masturbait en se frottant contre le cul de Natacha.
Un ballet de sueur, de salive, de mouille.
Leurs corps se mêlaient, s’enlaçaient. Ça coulait. Ça gémissait.
Je ne voulais pas les déranger. Et en même temps… j’étais hypnotisée.
Le claquement mouillé des lèvres de Natacha sur la chatte de Ksiusha. Les gémissements. Les doigts crispés. Le bruit de peau contre peau.
Je me suis mordue la lèvre.
Moi, je n’en pouvais plus.
J’ai reculé d’un pas, mais sans faire de bruit.
Ma culotte collait à ma chatte.
Je me suis glissée hors de la cabine et contre le mur du couloir. En tailleur. Et j’ai recommencé à me caresser.
En silence.
Je me suis mordue la lèvre.
Je déviais.
Je le sentais. J’avais besoin de… quelque chose d’autre. De quelqu’un d’autre.
Mon cœur cognait.
J’ai traversé le couloir. Descendu un niveau.
Et frappé. Une fois. Deux fois. Un souffle.
Puis la porte s’est ouverte.
Yura.
Torse nu. Yeux à moitié endormis. Un short en coton, rien en dessous. Une odeur de mâle, de chaleur, de sueur propre.
Il m’a regardée. Surprise. Silence.
— J’ai besoin de toi, j’ai dit.
Et moi, je lui ai sauté dessus.
Je n’ai pas attendu. Pas demandé. Pas réfléchi.
Mes mains ont plaqué son corps chaud, mes lèvres ont trouvé sa bouche, et j’ai avalé sa langue comme si j’étais en manque depuis des semaines. Il a reculé d’un pas, surpris, et moi j’ai refermé la porte d’un coup de pied, sans cesser de l’embrasser.
Il était nu sous son short. Je l’ai senti tout de suite. Dur. Chaud. Déjà prêt.
Ma main l’a trouvé à travers le tissu, et j’ai serré. Il a gémi dans ma bouche.
— Putain, Snegurochka…
Je l’ai poussé contre le mur, arraché son short d’un coup sec. Il a grogné. Son sexe a jailli, tendu, magnifique, dur comme une barre. Sans un mot, je me suis baissée, l’ai pris en bouche jusqu’à la gorge, sans douceur.
Je l’ai sucé comme une affamée.
Profonde. Rapide. Salive qui coule. Gémissements étouffés.
Mes lèvres glissaient sur lui avec une rage mouillée. Je le voulais entier. Je le voulais en moi. Maintenant.
Il a tenté de me relever, mais j’ai résisté quelques secondes, encore quelques coups de langue, de gorge, de bruits obscènes dans la petite cabine… puis je me suis levée, ai enlevé ma robe d’un geste sec, et l’ai regardé droit dans les yeux.
— Prends-moi, maintenant.
Je me suis retournée, penchée sur son lit étroit, jambes écartées, cul en arrière. Je n’avais pas de culotte. Il a compris le message.
Il est venu derrière moi, m’a empoignée par la taille, et m’a enfoncé sa queue d’un coup sec, profond.
J’ai cri.
Un cri de jouissance brute. De délivrance.
Il m’a tenue fort. Et il m’a baisée comme une bête.
Ses hanches claquaient contre mes fesses. Ses mains me maintenaient ouverte, offerte. Il cognait en moi, sans relâche. Chaque coup me faisait gémir plus fort. Ma chatte dégoulinait.
— Encore, putain ! Plus fort !
Je me suis cambrée, j’ai tendu les bras, agrippé les draps, et il m’a pilonnée.
Une baise animale. Sans mot. Juste des souffles. De la sueur. Du plaisir cru.
Puis je me suis retournée, l’ai fait asseoir, et je me suis empalée sur lui. D’un coup. Jusqu’au bout. Il a hurlé.
Je l’ai chevauché comme une furie.
Mes seins bondissaient sous ses mains. Mes fesses claquaient sur ses cuisses. J’étais trempée, ruisselante, déchaînée. J’ai senti mon orgasme monter comme une vague brutale.
Je me suis accrochée à sa nuque, j’ai crié, et j’ai joui sur sa queue, tremblante, secouée de spasmes.
Lui m’a renversée, plaquée sur le dos, et a continué à me baiser comme un fou. Mais au moment où je l’ai senti se tendre, prêt à jouir, je l’ai repoussé doucement de la paume sur le torse.
— Non… pas dedans.
Il a compris tout de suite.
Je me suis redressée, me suis mise à genoux sur le lit, les seins encore lourds de plaisir, la bouche entrouverte.
— Sur moi, Yura… fous-moi ton jus sur le ventre.
Il s’est branlé fort, le regard rivé à mes tétons dressés, mes hanches encore agitées de petits tressaillements.
— Oui, comme ça…
Et il a gémi. Fort.
Sa main a accéléré, sa queue a jailli, et il m’a giclée dessus en plusieurs jets chauds, épais, qui ont éclaboussé ma peau, mon ventre, mes seins. J’ai souri en le regardant faire, fière, conquérante, salie comme j’aime.
Il a haleté, vidé, vidé… puis s’est laissé tomber à côté de moi.
On baignait dans le foutre, dans la sueur, dans la chaleur moite de cette nuit d’été.
Il m’a regardée, fasciné.
— Putain, t’es pas réelle…
Je me suis léchée deux doigts, ai ramassé un peu de sa semence et l’ai portée à ma langue.
Il m’a embrassée.
Et j’ai ri.
Un rire chaud. Essoufflé. Encore excitée.
Il m’a regardée, éberlué.
— Qu’est-ce qui t’a pris ?
Je lui ai léché le cou.
— Juste… une envie d’étoiles.

(à suivre)
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