LE RUSS - CHAPITRE 6

- Par l'auteur HDS Miss_Sexcret -
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Récit libertin : LE RUSS - CHAPITRE 6 Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE RUSS - CHAPITRE 6
LE RUSS



CHAPITRE VI : CONFIDENCES

Quelque part sur le lac LADOGA, Russie – Juillet 2017

DOUBLE BOUCHE
J’ai toqué trois fois.
Cabine 223.
La même que l’autre nuit. Mais cette fois, j’étais attendue.
Elina a ouvert. Nue sous un peignoir bordeaux. Maquillage léger, seins libres, regard profond.
— Entre, chérie.
La lumière était douce. Ambiance dorée. Musique feutrée.
Et lui, son mari, était déjà là, assis dans le fauteuil. Torse nu, un verre à la main, sa queue déjà gonflée sous son pantalon léger.
— Ce soir, il regarde, a soufflé Elina. Il adore me voir avec une autre femme.
Elle a refermé la porte. Et lentement, elle a défait le nœud de sa ceinture.
Son peignoir est tombé. Elle était nue.
Moi aussi, je me suis déshabillée. Un geste. Une robe glissée. Pas de culotte. Rien d’autre.
Elle m’a prise par la main. Et elle m’a allongée sur le lit.
— Tu veux découvrir ce que c’est d’être prise par une femme qui sait ce qu’elle fait ?
Je n’ai même pas répondu.
Elle est descendue sur moi comme une vague chaude.
Sa bouche entre mes cuisses, douce d’abord, puis précise. Sa langue m’a trouvée, a joué, a dessiné des cercles lents, puis plus rapides. Elle suçait mon clitoris comme on lèche une cerise sucrée.
Je gémissais déjà, tendue, cambrée, ouverte.
Elle a levé la tête. Un sourire au coin des lèvres.
— Elle est prête.
Puis elle est allée chercher la boîte.
Un coffret en cuir. Et dedans… des merveilles.
Un gode ceinture noir, brillant. Un autre en verre. Un petit vibro rose. Du lubrifiant. Et un gode double translucide. Épais. Long. Lisse.
— Tu veux lequel ? a-t-elle demandé en me caressant les cuisses.
— Le dernier. Le double.
Elle a souri.
Elle s’est assise, a ouvert ses jambes, a lentement glissé une moitié du gode en elle. Elle a gémi doucement.
Puis elle s’est approchée. Et a fait entrer l’autre moitié en moi.
Nous étions liées.
Elle a commencé à bouger. À onduler. À me pénétrer doucement. Le plastique dur glissait en nous, frottait, cognait.
Nos souffles se mêlaient. Nos seins se touchaient. Elle me baisait. Lentement. Sensuellement. Puis plus fort.
Je gémissais, accrochée à ses hanches, écartelée entre désir et vertige.
— Regarde-nous, dit-elle à son mari.
Il ne bronchait pas. Mais sa queue était sortie, maintenant. Il se branlait lentement, fasciné.
Elle s’est redressée, toujours chevillée à moi par le gode.
— J’vais la faire jouir fort. Regarde ça.
Elle m’a attrapée par les cuisses. M’a soulevée. Et elle m’a pilonnée. Avec rythme. Précision. Ma chatte claquait contre la sienne à chaque coup. Le gode entrait, ressortait, frottait mes parois, cognait là où il fallait.
Je hurlais.
— Oh putain oui… continue… encore… je vais…
Et j’ai joui. Comme une décharge. Fort. Long. Mon dos s’est arqué. Mes jambes ont tremblé. Mon ventre s’est contracté.
Elle a ralenti. S’est penchée. A léché ma bouche. Ma gorge. Mon téton.
Puis elle s’est tournée vers lui.
— T’as aimé, mon amour ?
— J’suis prêt, a-t-il grogné.
Elle s’est agenouillée devant lui. A pris sa queue en bouche. L’a sucée lentement. Langoureusement. Pendant qu’elle me regardait, moi, les jambes écartées, haletante.
Je me suis approchée. J’ai caressé ses cheveux. Puis sa joue. Puis j’ai léché la base de sa queue pendant qu’elle s’occupait du reste.
Il a gémi. Son bassin a tremblé.
— Avale-moi… maintenant…
Et il a joui. Dans sa bouche.
Des giclées épaisses. Elle ne s’est pas reculée. Elle a tout pris. Puis elle m’a tirée vers elle.
Et elle m’a embrassée.
Bouche pleine.
La chaleur. Le goût. L’audace.
Elle m’a transféré sa semence. Et moi… je l’ai avalée.
Les yeux dans les siens.
Et j’ai souri.

ENTRE FILLES
Je suis rentrée tard.
Le couloir était silencieux. Le Russ glissait doucement sur l’eau. Mon corps flottait encore dans une sorte de nuage chaud, plein de foutre, de salive et de plaisir.
J’ai ouvert la porte doucement.
Mais elles étaient éveillées.
Natacha, en culotte, allongée sur son lit. Ksiusha, assise jambes croisées, un pot de crème sur les genoux.
Elles m’attendaient.
— T’as une sale gueule de fille satisfaite, a lancé Ksiusha en souriant.
— Une sale gueule de salope heureuse, a corrigé Natacha.
Je me suis laissée tomber sur le lit, nue sous ma robe. Mes seins ont rebondi. Ma peau collait encore un peu.
— Vous voulez vraiment tout savoir ?
— Tu poses la question ? ont-elles répondu en chœur.
Alors j’ai raconté.
Tout.
Le regard d’Elina. Son corps nu. Les sextoys. Le gode double. La pénétration face à son mari. La baise entre filles. Le goût du foutre sur ma langue après son orgasme.
Je racontais. Et elles écoutaient bouche ouverte.
Leurs doigts se perdaient sur leurs cuisses. Elles se regardaient. Se mordaient les lèvres.
— Et après ? murmura Ksiusha, déjà rouge.
Je souris.
— Après… il m’a prise. Doucement. Elina me tenait contre lui. Elle me caressait les seins, le ventre. Elle m’embrassait pendant qu’il me baisait. Lentement. Longuement.
— Putain… j’en peux plus, gémit Natacha en glissant une main sous sa culotte.
Ksiusha éclata de rire.
— Elle est trempée ! Je le vois d’ici !
— Regarde-toi, toi ! t’as les tétons durs comme des cerises !
Moi, j’étais allongée entre elles. Les seins nus. Le ventre encore marqué par la nuit.
— Vous voulez que je vous montre comment elle m’a caressée ?
Silence.
Puis un sourire.
Puis des doigts. Qui glissent. Qui cherchent.
Trois filles. Trois corps. Trois respirations.
La cabine était chaude. Les draps froissés. Les lampes à peine tamisées.
Et nous, en train de mouiller ensemble.
Sans honte. Sans gêne.
Juste entre filles.

CONFIDENCES MOUILLÉES
Le petit hublot de la cabine laissait passer une lumière bleue. La nuit était douce. L’air, chargé d’un parfum de sueur, de peau, et de secrets.
On était allongées là, toutes les trois, nues, étendues sur les draps défaits. Nos jambes s’entremêlaient. Nos bras se croisaient. Aucun mot n’avait été échangé depuis de longues minutes. Juste des regards. Des sourires. Et le son de nos souffles encore chauds.
Puis Ksiusha a soufflé :
— Ok. Si on se dit tout maintenant… c’est quoi, votre souvenir le plus chaud ?
Un silence.
Puis un petit rire de Natacha.
— Vous allez me juger, les salopes.
— Impossible, ai-je dit en souriant. Pas après ce que je viens de raconter.
Natacha fixa le plafond. Son doigt traçait des cercles invisibles sur mon ventre.
— C’était l’an dernier. Je suis allée voir le médecin de bord. Tu sais… le vieux docteur, Viktor. Sérieux, lunettes, blouse blanche impeccable.
— Qu’est-ce que t’avais ? demanda Ksiusha en gloussant.
— Mal au ventre. Mais j’étais surtout en manque de… contact. Et lui… ben il a pas dit non.
Je l’ai regardée, surprise. Elle souriait maintenant, presque fière.
— Il m’a auscultée. Main sur le ventre, écoute le cœur, respire… tout ça. Et puis il a posé sa main plus bas. Beaucoup plus bas.
— Non…
— Si. J’ai écarté les jambes. Je portais rien sous ma robe. Il a glissé deux doigts. Il m’a dit qu’il fallait "vérifier une tension musculaire au bassin".
On a éclaté de rire. Natacha riait aussi, les joues rouges.
— Et t’as laissé faire ? demanda Ksiusha, les yeux brillants.
— J’ai écarté plus grand, ouais. Il m’a caressée, lentement. Puis plus franchement. J’étais trempée. Il m’a dit que c’était "réactif", qu’il fallait relâcher. Et moi j’ai dit… "Docteur, vous pouvez continuer…"
— Bordel…
— Il s’est levé, a fermé la porte à clé. Et il m’a baisée contre sa table. Moi à quatre pattes. Lui derrière, sa bite vieille mais raide, dans ma chatte d’abord… puis il m’a prise par le cul. Fort. Sans prévenir.
— Il t’a sodomisée ?
— Il m’a demandé si j’aimais ça. J’ai répondu oui avant même qu’il termine la phrase. Il m’a enfoncé sa queue dans le cul, ses mains sur mes hanches, ses lunettes de travers, sa blouse ouverte. Et il a joui dedans.
— Non…
— Je suis sortie du cabinet avec le sperme du bon docteur dans le cul, et un sourire de connasse.
On a ri. Fort. Longtemps.
Mais nos rires étaient humides. Nos cuisses serrées. Nos seins dressés.
Et la nuit ne faisait que commencer.

Après le récit de Natacha, il y a eu un silence. Puis nos souffles. Nos mains qui se promenaient, l’air de rien.
Ma paume caressait lentement la hanche de Ksiusha. Les doigts de Natacha jouaient avec ses propres tétons, pincés, tendus.
Et moi, j’ai pris la parole. D’une voix plus basse.
— Moi c’était pas le plus chaud mais le plus romantiquement hard… c’était avec Ivan.
— Le sexfriend de Kiev ? demanda Ksiusha.
J’ai hoché la tête. Mon regard perdu dans le vide. Ou plutôt… dans ses yeux, dans ses mains, dans ses reins.
— On couchait ensemble de temps en temps. C’était tendre. C’était brut. C’était tout ce que je voulais à l’époque. Un soir, on avait bu. On était au lit, encore nus de la veille. Il m’a caressée. Il m’a léché longtemps. Il m’a baisée très doucement.
Les filles écoutaient. Leurs mains bougeaient, plus lentes.
— Et puis je lui demandé. Si il voulait m’apprendre la sodomie… là. Il a d’abord dit non. Mais je me suis montrée persuasive. Et il m’a dit : "Ok, je vais t’apprendre doucement."
— Et ? souffla Natacha, la voix déjà troublée.
— Il m’a prise contre lui. Il m’a lubrifiée avec patience. Il m’a pénétrée lentement. Et j’ai aimé. La sensation. Le côté interdit. Cette chaleur. J’étais pleine. J’étais toute à lui.
Mes doigts glissaient sur mon propre ventre, lentement.
— Il est resté en moi longtemps. Puis il s’est retiré. Il s’est branlé entre mes fesses. Il a joui sur mon dos. Et j’ai joui avec lui.
Un silence épais s’est installé.
Puis Ksiusha a ri. Mais ses joues étaient rouges. Sa culotte trempée.
— Vous êtes de vraies salopes.
— Et toi ? soufflai-je. Tu n’y couperas pas.
Elle nous regarda, un doigt entre les lèvres.
Puis elle souffla :
— Ok. Le plus chaud ?
On a hoché la tête, presque en rythme.
Elle se redressa un peu, un genou entre mes jambes.
— Un soir, à quai, j’ai été invitée par trois matelots à une partie de poker dans une cabine de service. Très vite, j’ai compris que le jeu était truqué. Mais j’avais envie. J’ai joué le jeu.
— Tu t’es fait plumer ?
— J’ai perdu. Mon haut. Mon bas. Ma dignité.
On riait, mais nos doigts ne s’arrêtaient plus.
— Et quand j’étais nue, ils m’ont attachée aux montants du lit, les jambes ouvertes. C’était un fantasme, vous savez ? Être l’objet d’un groupe, mais en confiance. Ils m’ont léchée. Pénétrée. Un à un. Puis à deux. Pas de brutalité. Juste du désir, de la complicité.
— Ils ont joui où ? demanda Natacha, haletante.
— Le premier sur mes seins. Le deuxième dans ma bouche. Le troisième… dans ma chatte, pendant que je l’insultais de ne pas s’arrêter.
Elle se pencha vers moi. Ses lèvres à quelques centimètres.
— Et j’ai adoré chaque seconde.

Sa voix s’était faite plus basse. Un peu rauque. Ses doigts traçaient des cercles sur sa propre cuisse nue, juste au bord de sa culotte détrempée.
— Ils étaient doux… respectueux… mais ils me prenaient pour eux. Et j’ai tout donné. Je les regardais me baiser, j’ouvrais grand la bouche, le cœur battant. Quand l’un d’eux m’a appelée "notre petite chienne", j’ai joui instantanément.
Un frisson traversa nos trois corps.
On était immobiles, mais tendues. Nos jambes croisées, les draps froissés autour de nous, nos mains pas tout à fait sages.
— J’ai jamais été aussi mouillée que ce soir-là, murmura-t-elle. Enfin… jusqu’à maintenant.
Un silence. Plein.
Natacha effleura ma hanche du bout des doigts. Elle posa la tête contre mon épaule. Je sentais ses seins nus contre mon bras. Chauds. Lourds. Vivants.
— On est toutes des putains, souffla-t-elle en riant doucement.
— Non, répondis-je. On est libres.
— Libres et mouillées, ajouta Ksiusha.
On a ri.
Et pendant quelques minutes, on s’est laissé aller à juste ça : se frôler, se respirer, se caresser doucement le ventre, les hanches, le creux des seins. Des gestes tendres, mais électrisants. Sans aller plus loin.
Juste assez.
Pour que nos culottes soient trempées.
Pour qu’on s’endorme collées, moites, tournées vers un lendemain qui brûlait déjà.

















Natacha avait les joues rouges, sa main toujours glissée entre ses cuisses. Elle me regardait avec un mélange d’admiration et de désir.
Ksiusha, elle, s’était rapprochée. Sa jambe frôlait la mienne. Elle caressait distraitement ma hanche, comme si c’était naturel. Comme si c’était normal.
Et peut-être que ça l’était, ici. Sur ce bateau. Entre nous.
— Elle t’a fait jouir fort ? demanda Natacha.
— Plusieurs fois, soufflai-je.
Un soupir. Des frissons.
Je posai ma main sur le ventre de Ksiusha. Sa peau était chaude. Elle ne recula pas.
— Et là ? continuai-je. Si je fais ça… tu veux que je m’arrête ?
Ma main glissa plus bas. Juste sur la naissance de sa culotte. Elle ferma les yeux. Sourit.
— Non.
— Moi non plus, murmura Natacha en se rapprochant.
Et nous étions toutes les trois, là, sous les draps, les corps à peine couverts, le désir suspendu, le souffle court.
Des mains sur les hanches.
Des baisers volés au creux du cou.
Un doigt qui frôle un téton, juste pour voir.
Des rires étouffés. Des yeux qui brillent.
On ne s’est pas baisées cette nuit-là.
Mais on a mouillé ensemble. Lentement. Doucement. À se caresser le ventre, les seins, à se raconter encore.
Et on s’est endormies entrelacées. Nues. Sereines.


(à suivre)
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Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J'adore lire tes récit. C'est toujours un réel plaisir. Surtout que je vais de temps en temps à Kiev))



Texte coquin : LE RUSS - CHAPITRE 6
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