LE RUSS - CHAPITRE 7 ET FIN

Récit érotique écrit par Miss_Sexcret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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LE RUSS - CHAPITRE 7 ET FIN
LE RUSS
CAHPITRE VII : VIKTOR ANDREÏEVITCH
Quelque part sur la VOLGA, Russie – Août 2017
Derniers feux
Les croisières se succédaient comme des vagues. Une repartait, une autre montait à bord. De nouveaux passagers. De nouveaux regards. De nouvelles tensions.
Chaque semaine, des secrets naissaient sur le pont, dans les cabines, dans les ombres des couloirs.
Un vieux veuf qui offrait des bijoux à une étudiante. Une femme mariée surprise dans la salle de sport avec un steward suédois. Deux jumeaux qui couchaient avec la même passagère sans qu’elle s’en doute. Et un couple échangiste qui avait tenté de recruter Natacha au bar, un soir de pleine lune.
Nous, les filles, on flirtait encore.
On se maquillait. On se regardait dans le miroir en riant. On remontait nos jupes juste assez pour créer le vertige, pas l’accident.
On jouait.
Mais on restait plus tranquilles.
Plus sélectives.
On s’était brûlées, déjà. On savait doser maintenant. Juste assez de feu pour réchauffer les nuits. Pas de quoi tout enflammer.
Natacha et Ksiusha, elles, s’aimaient sans retenue.
Quand elles ne travaillaient pas, elles s’enfermaient à deux. Ou elles s’aimaient sous les draps, à quelques centimètres de moi. Sans gêne. Sans spectacle. Juste vraies.
Je les regardais souvent. Parfois, je les rejoignais. Une bouche, une main, un soupir. Puis je les laissais continuer entre elles, dans leur bulle.
Et moi, je flottais.
Le Russ glissait encore. Les draps séchaient sur les balcons. Les passagers dansaient sur le pont au coucher du soleil. Le vin coulait.
Mais on le sentait.
La fin approchait.
Cinq jours. Cinq petits jours.
Puis ce serait le retour au port. Le rangement. Les adieux. Les valises.
Et pourtant, quelque chose flottait dans l’air. Une tension. Une attente. Un frisson.
Comme si tout pouvait encore arriver.
LE BON DOCTEUR
C’était en me penchant pour ramasser un plateau que j’ai senti la décharge.
Un nerf coincé, un muscle qui lâche, je ne sais pas… mais mon dos s’est bloqué net. J’ai lâché un cri bref. Et j’ai fini la journée en grimaçant à chaque mouvement.
— Tu vas voir le médecin, a tranché Natacha. C’est pas une option.
J’ai protesté me rappelant l’histoire de Natacha. Une minute. Peut-être deux. Puis j’ai cédé, j’avais trop mal. Et je suis descendue à l’infirmerie.
Le docteur Viktor était là, comme toujours. Impeccable. Blouse blanche. Petite lunette sur le nez. Tempes grisonnantes. Voix calme.
L’infirmerie était fraîche, parfaitement rangée, silencieuse.
Je me tenais là, droite malgré la douleur, devant le bon docteur Viktor. Impeccable dans sa blouse blanche, lunettes posées au bout du nez, regard méthodique.
— Vous avez bien fait de venir. Un blocage musculaire dans le bas du dos, sans doute. Il faut détendre. Je vais vous masser.
— Ici ? ai-je demandé.
Il a hoché la tête calmement.
— Vous pouvez vous déshabiller derrière le paravent. Il y a des serviettes. Allongez-vous sur la table, sur le ventre, je reviens.
J’ai obéi. J’ai retiré ma robe. Je n’avais rien dessous. J’ai enroulé la serviette autour de ma taille, une autre posée sur la poitrine. Puis je me suis allongée sur le ventre.
Le vinyle de la table était tiède. Ma joue posée contre le drap blanc, je respirais lentement.
Puis j’ai entendu le docteur revenir, le flacon d’huile s’ouvrir. Ses mains se sont posées sur mes épaules. Chaudes. Fortes. Précises.
Le massage a commencé.
Rien d’ambigu et très proféssionnel.
Le haut du dos, les trapèzes, les omoplates. Il appuyait exactement où il fallait. Je soupirais, soulagée. Puis ses mains ont glissé plus bas. Lentement. Vers les lombaires, puis les fesses.
Toujours sous la serviette.
Puis il a découvert une fesse. Juste un côté. A massé doucement. A huilé la peau. Puis l’autre. Aucun mot.
Son toucher était ferme… mais il traînait un peu. Il effleurait plus qu’il ne fallait. Il remontait trop haut, descendait trop bas.
Et mon souffle changeait.
Il a remonté mes jambes. Mollets, arrière des cuisses. Puis l’intérieur. Lentement. Jusqu’à frôler la jonction avec la serviette.
Je ne disais rien.
Je m’offrais.
— Retournez-vous, mademoiselle.
Je me suis retournée. La serviette sur ma poitrine est restée en place. Celle autour de ma taille aussi. Il m’a regardée. J’ai vu dans ses yeux qu’il appréciait ce qu’il voyait et le massage venait de changer de registre.
Il a commencé par mon ventre. Aplatissant l’huile avec lenteur. Puis il est monté vers mes seins, sous la serviette.
Sa main glissait dessous, puis ressortait. Puis replongeait.
Je sentais sa respiration s’alourdir.
Et je voyais la bosse sous sa blouse. Il frottait son entrejambe contre le bord de la table et mon bras. Régulièrement.
Il a enlevé la serviette de mes seins.
Ses mains les ont massés avec douceur. Les a pressés. Malaxés. Puis pincé les tétons.
Je soupirais. Je m’arquais. J’étais déjà mouillée.
Puis sa main a glissé plus bas.
Sous la serviette.
Sur mon pubis.
Et enfin… sur ma vulve.
Il a commencé à la masser comme une zone à détendre. Avec sérieux. Avec lenteur.
Ses doigts ont trouvé mes lèvres, mon clitoris, mes points sensibles. Il les a caressés, étalés d’huile, explorés.
Je tremblais.
Il s’est penché à mon oreille.
— Retournez-vous, à nouveau.
Je me suis retournée, offerte.
Nue.
Entièrement.
Il a pris de l’huile, a massé mes fesses, longuement. Puis a écarté doucement, d’une main sûre.
Son autre main est venue chercher mon anus.
Un doigt.
Puis deux.
Pendant qu’il jouait là, moi j’ai tendu le bras.
J’ai trouvé sa braguette.
Je l’ai ouverte.
Et j’ai sorti sa queue.
Sa queue était chaude.
Lourde dans ma main.
J’avais ouvert sa braguette sans le regarder, d’un geste lent. Délicat. Presque sage.
Mais il n’a pas protesté.
Ses doigts, eux, étaient toujours en moi. Deux dans mon cul, huilés, profonds. Ils exploraient, tournaient, me dilataient lentement.
Et sa main libre est venue caresser ma nuque, puis glisser dans mes cheveux.
Je caressais son sexe, doucement. J’en traçais les contours. J’en faisais le tour du bout des ongles. Puis de la paume. Puis je l’ai pris entièrement. J’ai serré. Il a gémi.
Il s’est redressé. A retiré ses doigts. A descendu son pantalon.
Et il est monté sur la table, califourchon sur mes jambes.
Ses mains sur mes hanches. Sa queue entre mes fesses. Il ne bougeait pas. Il sentait. Attendait. L’huile sur ma peau. La chaleur entre mes cuisses. Mes reins cambrés.
Puis, lentement, il s’est frotté.
Glissé entre mes lèvres. Frôlé ma chatte. Mon clito. Mes fesses. Longuement. Plusieurs fois. Comme pour me faire supplier.
Je haletais.
— Tu es silencieuse, mademoiselle Kristina, a-t-il murmuré.
— Vous préférez que je gémisse, docteur ?
Il a souri.
Et il a pénétré.
Juste le gland. Puis un peu plus. Puis tout.
Dans ma chatte trempée.
Un gémissement profond m’a échappé.
Il m’a prise lentement. Sans brutalité. Pas encore.
Mais ferme. Présent. En contrôle.
Chaque coup entrait plus profondément. Chaque va-et-vient était plus appuyé. Je l’entendais respirer. Sa main caressait mon dos. Ses hanches claquaient doucement contre moi.
Puis ses doigts sont revenus sur mon anus.
Lubrifiés. Agiles.
Il a glissé un doigt pendant qu’il me baisait. Puis deux.
Et moi, j’ai perdu pied.
— Oh… putain… oui…
Il s’est arrêté un instant.
S’est penché à mon oreille.
— Tu veux que je te prenne comme une salope, maintenant ?
Ma réponse n’a été qu’un souffle.
Mais c’était oui.
Un oui trempé.
Je me suis cambrée, offerte.
Ma chatte ruisselait de mon jus tiède. Ma bouche haletait. Mon cul, ouvert et huilé, appelait déjà plus.
Il s’est retiré de ma chatte.
Et sans prévenir, il a enfoncé sa queue dans mon cul.
D’un coup.
J’ai hurlé.
De douleur, de surprise, de plaisir brûlant.
Il m’a tenue fermement, une main sur ma nuque, l’autre sur ma hanche. Il m’a figée. Empalée.
Puis il a commencé à me baiser comme un animal.
Sa queue claquait dans mon cul. Il grognait. Je couinais. Mes seins ballottaient sous moi, frottés contre le drap. Je perdais toute retenue. Toute dignité.
— T’aimes ça, hein ? T’aimes ça, qu’on te défonce le cul ?
— Oui… oui… plus fort… baisez-moi… baisez-moi comme une chienne…
Il a accéléré. Fort. Brutal. Violent. Chaque coup me faisait trembler. J’étais trempée. Secouée. Ravagée. Et je jouissais encore.
Puis il m’a tirée par les cheveux. Redressée.
— Retournes toi sur le dos.
Et me voilà sur le dos la tête à l’envers, essoufflée, les lèvres rouges, le cul dilaté, la chatte dégoulinante. J’ai ouvert la bouche.
Et il a enfoncé sa queue jusqu’à ma gorge.
Je l’ai prise sans protester. J’ai salivé. J’ai bavé. Je l’ai regardé. J’ai gémi autour de sa bite.
Il me baisait la bouche comme il m’avait baisée le reste. En rythme. Sans pitié. Je suffoquais. J’adorais ça.
Il me caressait les seins et sa main se faufilait entre mes cuisses pendant qu’il me mettait sa bite jusqu’au fond de ma gorge.
Puis il s’est figé.
— Tiens bon…
Et il a joui.
Des jets puissants. Chauds. Profonds. Dans ma gorge. Dans ma bouche.
Je l’ai tenu. Avalé. Tout.
Puis je me suis léchée les lèvres, encore tremblante.
Il a repris son souffle, son sexe battant encore dans ma bouche.
Je me suis redressée, nue, tout son foutre est sorti de mes lèvre et a dégouliné sur mon menton, mon cou, ma poitrine et mon ventre.
J’avais le corps marqué de sueur, d’huile, de sperme, de plaisir.
— Merci, docteur, ai-je soufflé.
Il a souri.
— Le traitement est à renouveler… si besoin.
RETOUR À ROSTOV
Le Russ glissait lentement vers le quai.
Rostov. Enfin.
Le ciel était gris pâle. La ville paraissait floue derrière la brume. Mais le pont était déjà en effervescence : valises, passagers agités, au revoir précipités, bises de façade.
Mais nous, les membres d’équipage, on allait moins vite.
On savait ce que ça voulait dire.
Fin de saison.
Plus de champagne à servir. Plus de draps à changer entre deux cabrioles. Plus de passagères en chaleur, de marins essoufflés, de secrets entre les cabines.
Plus rien.
Je portais un jean trop grand et un sweat gris. Pas de maquillage. Les cheveux noués. Et malgré ça, j’avais encore des regards sur moi.
Yura m’a croisée sur le quai. Il a voulu dire quelque chose. Mais il a juste haussé les épaules. Un petit sourire. Rien de plus. Je n’ai pas répondu. Juste un signe de tête.
C’était fini.
Kolia est venu me dire au revoir. Une étreinte rapide, presque trop virile. Mais sa main a effleuré mes reins. Juste là où il m’avait tenue. Je me suis mordue la lèvre.
Puis il a tourné les talons.
Je me suis retournée, et j’ai vu Natacha et Ksiusha, enlacées, assises sur une caisse, les jambes croisées. Elles riaient. Elles s’embrassaient. Elles avaient décidé de partir ensemble.
Elles sont venues vers moi. M’ont encerclée. M’ont embrassée toutes les deux à la fois, sur les lèvres.
— Tu nous écris, salope ? dit Ksiusha.
— Ou tu reviens pour la prochaine saison, ajouta Natacha.
— Peut-être.
— Non. Reviens.
Je les ai serrées fort.
On s’est regardées longtemps. Puis on s’est quittées.
Et moi, je suis restée là, une valise à la main, le cœur lourd et chaud à la fois.
Pleine.
De souvenirs.
De foutre.
D’amitié.
Et d’un été qui m’avait marquée à jamais.
(à suivre)
Pas là juste pour les jolies photos...
Tu l'as lue ? alors lâche un mot, un avis, un claque ou un frisson. Merci
FIN
CAHPITRE VII : VIKTOR ANDREÏEVITCH
Quelque part sur la VOLGA, Russie – Août 2017
Derniers feux
Les croisières se succédaient comme des vagues. Une repartait, une autre montait à bord. De nouveaux passagers. De nouveaux regards. De nouvelles tensions.
Chaque semaine, des secrets naissaient sur le pont, dans les cabines, dans les ombres des couloirs.
Un vieux veuf qui offrait des bijoux à une étudiante. Une femme mariée surprise dans la salle de sport avec un steward suédois. Deux jumeaux qui couchaient avec la même passagère sans qu’elle s’en doute. Et un couple échangiste qui avait tenté de recruter Natacha au bar, un soir de pleine lune.
Nous, les filles, on flirtait encore.
On se maquillait. On se regardait dans le miroir en riant. On remontait nos jupes juste assez pour créer le vertige, pas l’accident.
On jouait.
Mais on restait plus tranquilles.
Plus sélectives.
On s’était brûlées, déjà. On savait doser maintenant. Juste assez de feu pour réchauffer les nuits. Pas de quoi tout enflammer.
Natacha et Ksiusha, elles, s’aimaient sans retenue.
Quand elles ne travaillaient pas, elles s’enfermaient à deux. Ou elles s’aimaient sous les draps, à quelques centimètres de moi. Sans gêne. Sans spectacle. Juste vraies.
Je les regardais souvent. Parfois, je les rejoignais. Une bouche, une main, un soupir. Puis je les laissais continuer entre elles, dans leur bulle.
Et moi, je flottais.
Le Russ glissait encore. Les draps séchaient sur les balcons. Les passagers dansaient sur le pont au coucher du soleil. Le vin coulait.
Mais on le sentait.
La fin approchait.
Cinq jours. Cinq petits jours.
Puis ce serait le retour au port. Le rangement. Les adieux. Les valises.
Et pourtant, quelque chose flottait dans l’air. Une tension. Une attente. Un frisson.
Comme si tout pouvait encore arriver.
LE BON DOCTEUR
C’était en me penchant pour ramasser un plateau que j’ai senti la décharge.
Un nerf coincé, un muscle qui lâche, je ne sais pas… mais mon dos s’est bloqué net. J’ai lâché un cri bref. Et j’ai fini la journée en grimaçant à chaque mouvement.
— Tu vas voir le médecin, a tranché Natacha. C’est pas une option.
J’ai protesté me rappelant l’histoire de Natacha. Une minute. Peut-être deux. Puis j’ai cédé, j’avais trop mal. Et je suis descendue à l’infirmerie.
Le docteur Viktor était là, comme toujours. Impeccable. Blouse blanche. Petite lunette sur le nez. Tempes grisonnantes. Voix calme.
L’infirmerie était fraîche, parfaitement rangée, silencieuse.
Je me tenais là, droite malgré la douleur, devant le bon docteur Viktor. Impeccable dans sa blouse blanche, lunettes posées au bout du nez, regard méthodique.
— Vous avez bien fait de venir. Un blocage musculaire dans le bas du dos, sans doute. Il faut détendre. Je vais vous masser.
— Ici ? ai-je demandé.
Il a hoché la tête calmement.
— Vous pouvez vous déshabiller derrière le paravent. Il y a des serviettes. Allongez-vous sur la table, sur le ventre, je reviens.
J’ai obéi. J’ai retiré ma robe. Je n’avais rien dessous. J’ai enroulé la serviette autour de ma taille, une autre posée sur la poitrine. Puis je me suis allongée sur le ventre.
Le vinyle de la table était tiède. Ma joue posée contre le drap blanc, je respirais lentement.
Puis j’ai entendu le docteur revenir, le flacon d’huile s’ouvrir. Ses mains se sont posées sur mes épaules. Chaudes. Fortes. Précises.
Le massage a commencé.
Rien d’ambigu et très proféssionnel.
Le haut du dos, les trapèzes, les omoplates. Il appuyait exactement où il fallait. Je soupirais, soulagée. Puis ses mains ont glissé plus bas. Lentement. Vers les lombaires, puis les fesses.
Toujours sous la serviette.
Puis il a découvert une fesse. Juste un côté. A massé doucement. A huilé la peau. Puis l’autre. Aucun mot.
Son toucher était ferme… mais il traînait un peu. Il effleurait plus qu’il ne fallait. Il remontait trop haut, descendait trop bas.
Et mon souffle changeait.
Il a remonté mes jambes. Mollets, arrière des cuisses. Puis l’intérieur. Lentement. Jusqu’à frôler la jonction avec la serviette.
Je ne disais rien.
Je m’offrais.
— Retournez-vous, mademoiselle.
Je me suis retournée. La serviette sur ma poitrine est restée en place. Celle autour de ma taille aussi. Il m’a regardée. J’ai vu dans ses yeux qu’il appréciait ce qu’il voyait et le massage venait de changer de registre.
Il a commencé par mon ventre. Aplatissant l’huile avec lenteur. Puis il est monté vers mes seins, sous la serviette.
Sa main glissait dessous, puis ressortait. Puis replongeait.
Je sentais sa respiration s’alourdir.
Et je voyais la bosse sous sa blouse. Il frottait son entrejambe contre le bord de la table et mon bras. Régulièrement.
Il a enlevé la serviette de mes seins.
Ses mains les ont massés avec douceur. Les a pressés. Malaxés. Puis pincé les tétons.
Je soupirais. Je m’arquais. J’étais déjà mouillée.
Puis sa main a glissé plus bas.
Sous la serviette.
Sur mon pubis.
Et enfin… sur ma vulve.
Il a commencé à la masser comme une zone à détendre. Avec sérieux. Avec lenteur.
Ses doigts ont trouvé mes lèvres, mon clitoris, mes points sensibles. Il les a caressés, étalés d’huile, explorés.
Je tremblais.
Il s’est penché à mon oreille.
— Retournez-vous, à nouveau.
Je me suis retournée, offerte.
Nue.
Entièrement.
Il a pris de l’huile, a massé mes fesses, longuement. Puis a écarté doucement, d’une main sûre.
Son autre main est venue chercher mon anus.
Un doigt.
Puis deux.
Pendant qu’il jouait là, moi j’ai tendu le bras.
J’ai trouvé sa braguette.
Je l’ai ouverte.
Et j’ai sorti sa queue.
Sa queue était chaude.
Lourde dans ma main.
J’avais ouvert sa braguette sans le regarder, d’un geste lent. Délicat. Presque sage.
Mais il n’a pas protesté.
Ses doigts, eux, étaient toujours en moi. Deux dans mon cul, huilés, profonds. Ils exploraient, tournaient, me dilataient lentement.
Et sa main libre est venue caresser ma nuque, puis glisser dans mes cheveux.
Je caressais son sexe, doucement. J’en traçais les contours. J’en faisais le tour du bout des ongles. Puis de la paume. Puis je l’ai pris entièrement. J’ai serré. Il a gémi.
Il s’est redressé. A retiré ses doigts. A descendu son pantalon.
Et il est monté sur la table, califourchon sur mes jambes.
Ses mains sur mes hanches. Sa queue entre mes fesses. Il ne bougeait pas. Il sentait. Attendait. L’huile sur ma peau. La chaleur entre mes cuisses. Mes reins cambrés.
Puis, lentement, il s’est frotté.
Glissé entre mes lèvres. Frôlé ma chatte. Mon clito. Mes fesses. Longuement. Plusieurs fois. Comme pour me faire supplier.
Je haletais.
— Tu es silencieuse, mademoiselle Kristina, a-t-il murmuré.
— Vous préférez que je gémisse, docteur ?
Il a souri.
Et il a pénétré.
Juste le gland. Puis un peu plus. Puis tout.
Dans ma chatte trempée.
Un gémissement profond m’a échappé.
Il m’a prise lentement. Sans brutalité. Pas encore.
Mais ferme. Présent. En contrôle.
Chaque coup entrait plus profondément. Chaque va-et-vient était plus appuyé. Je l’entendais respirer. Sa main caressait mon dos. Ses hanches claquaient doucement contre moi.
Puis ses doigts sont revenus sur mon anus.
Lubrifiés. Agiles.
Il a glissé un doigt pendant qu’il me baisait. Puis deux.
Et moi, j’ai perdu pied.
— Oh… putain… oui…
Il s’est arrêté un instant.
S’est penché à mon oreille.
— Tu veux que je te prenne comme une salope, maintenant ?
Ma réponse n’a été qu’un souffle.
Mais c’était oui.
Un oui trempé.
Je me suis cambrée, offerte.
Ma chatte ruisselait de mon jus tiède. Ma bouche haletait. Mon cul, ouvert et huilé, appelait déjà plus.
Il s’est retiré de ma chatte.
Et sans prévenir, il a enfoncé sa queue dans mon cul.
D’un coup.
J’ai hurlé.
De douleur, de surprise, de plaisir brûlant.
Il m’a tenue fermement, une main sur ma nuque, l’autre sur ma hanche. Il m’a figée. Empalée.
Puis il a commencé à me baiser comme un animal.
Sa queue claquait dans mon cul. Il grognait. Je couinais. Mes seins ballottaient sous moi, frottés contre le drap. Je perdais toute retenue. Toute dignité.
— T’aimes ça, hein ? T’aimes ça, qu’on te défonce le cul ?
— Oui… oui… plus fort… baisez-moi… baisez-moi comme une chienne…
Il a accéléré. Fort. Brutal. Violent. Chaque coup me faisait trembler. J’étais trempée. Secouée. Ravagée. Et je jouissais encore.
Puis il m’a tirée par les cheveux. Redressée.
— Retournes toi sur le dos.
Et me voilà sur le dos la tête à l’envers, essoufflée, les lèvres rouges, le cul dilaté, la chatte dégoulinante. J’ai ouvert la bouche.
Et il a enfoncé sa queue jusqu’à ma gorge.
Je l’ai prise sans protester. J’ai salivé. J’ai bavé. Je l’ai regardé. J’ai gémi autour de sa bite.
Il me baisait la bouche comme il m’avait baisée le reste. En rythme. Sans pitié. Je suffoquais. J’adorais ça.
Il me caressait les seins et sa main se faufilait entre mes cuisses pendant qu’il me mettait sa bite jusqu’au fond de ma gorge.
Puis il s’est figé.
— Tiens bon…
Et il a joui.
Des jets puissants. Chauds. Profonds. Dans ma gorge. Dans ma bouche.
Je l’ai tenu. Avalé. Tout.
Puis je me suis léchée les lèvres, encore tremblante.
Il a repris son souffle, son sexe battant encore dans ma bouche.
Je me suis redressée, nue, tout son foutre est sorti de mes lèvre et a dégouliné sur mon menton, mon cou, ma poitrine et mon ventre.
J’avais le corps marqué de sueur, d’huile, de sperme, de plaisir.
— Merci, docteur, ai-je soufflé.
Il a souri.
— Le traitement est à renouveler… si besoin.
RETOUR À ROSTOV
Le Russ glissait lentement vers le quai.
Rostov. Enfin.
Le ciel était gris pâle. La ville paraissait floue derrière la brume. Mais le pont était déjà en effervescence : valises, passagers agités, au revoir précipités, bises de façade.
Mais nous, les membres d’équipage, on allait moins vite.
On savait ce que ça voulait dire.
Fin de saison.
Plus de champagne à servir. Plus de draps à changer entre deux cabrioles. Plus de passagères en chaleur, de marins essoufflés, de secrets entre les cabines.
Plus rien.
Je portais un jean trop grand et un sweat gris. Pas de maquillage. Les cheveux noués. Et malgré ça, j’avais encore des regards sur moi.
Yura m’a croisée sur le quai. Il a voulu dire quelque chose. Mais il a juste haussé les épaules. Un petit sourire. Rien de plus. Je n’ai pas répondu. Juste un signe de tête.
C’était fini.
Kolia est venu me dire au revoir. Une étreinte rapide, presque trop virile. Mais sa main a effleuré mes reins. Juste là où il m’avait tenue. Je me suis mordue la lèvre.
Puis il a tourné les talons.
Je me suis retournée, et j’ai vu Natacha et Ksiusha, enlacées, assises sur une caisse, les jambes croisées. Elles riaient. Elles s’embrassaient. Elles avaient décidé de partir ensemble.
Elles sont venues vers moi. M’ont encerclée. M’ont embrassée toutes les deux à la fois, sur les lèvres.
— Tu nous écris, salope ? dit Ksiusha.
— Ou tu reviens pour la prochaine saison, ajouta Natacha.
— Peut-être.
— Non. Reviens.
Je les ai serrées fort.
On s’est regardées longtemps. Puis on s’est quittées.
Et moi, je suis restée là, une valise à la main, le cœur lourd et chaud à la fois.
Pleine.
De souvenirs.
De foutre.
D’amitié.
Et d’un été qui m’avait marquée à jamais.
(à suivre)
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle histoire humaine
Narrée avec délicatesse, et quelques accélérations de bon aloi ...
Au plaisir d une nouvelle histoire !
Nico
Narrée avec délicatesse, et quelques accélérations de bon aloi ...
Au plaisir d une nouvelle histoire !
Nico

