Le séjour chez Anne devient pétillant.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le séjour chez Anne devient pétillant.
-Toi-là me fait Valérie en entrant dans la cuisine un cabas en main où est entassé un amas de linge, qu’elle pose sur le sol.
En robe courte avec des bottes qui mettent en valeur ses jambes. Aucun type normalement constitué ne peut la regarder sans se mettre aussitôt à bander. Son corps élancé, sa démarche souple sont un appel à la sexualité. Mon cœur bat à cent à l’heure.
-Oui… comme tu vois.
-Et je peux te demander la raison de ta visite.
-J’étais de passage…Alors j’ai voulu saluer tes parents.
-Ah oui… C’est gentil…Maman n’est pas là ?
-Elle est partie faire quelques courses.
-Avec papa ?
-Non…non !
- Oups, j’avais oublié qu’il n’était pas là pour la semaine. Et elle t’a laissé seul ici maman ?
-Oui, comme tu vois…
-Mais dit moi c’est la journée des surprises.
-Pourquoi tu dis ça ?
-Tout bonnement par ce que ce n’est pas dans les habitudes de Maman de laisser quelqu’un seul chez elle.
-Elle m’a dit qu’elle en avait pour quelques minutes…
-Dis-moi, de toi à moi, tu ne me cache pas quelque chose toi ?
-Où vas-tu chercher ça Valérie.
-Je ne sais pas ! Ajoute-t-elle en posant ses doigts sur la ceinture noire en cuir.
Lentement, très lentement elle la défit, et la laisse tomber à terre.
-Qu’est-ce que tu fais là, Valérie ?
-J’ai chaud !
Elle s’attaque, aux boutons de robe courte. Elle n’arrête pas de gesticuler sur son propre rythme intérieur, faisant volte-face de temps en temps en me présentant sa croupe qui va d’avant en arrière. Elle pivote sur ses escarpins et me présente à nouveau le côté face.
-Ta mère va arriver d’un moment à l’autre… et…
-Et quoi ? Me coupe-t-elle. Tu crois qu’elle ne sait pas ce qui ce trame entre toi et moi.
La robe bâille sur ses seins maintenant, et ceux-ci jaillissaient, drus et blanc et palpitants. Elle se met à se caresser lentement du bout des paumes, se frôlant, s’effleurant, faisant encore doubler le volume des bouts qui dardent entre ses doigts, quand elle les pince doucement.
-Et si je dis qu’elle est au courante de tout ce qui s’est passé entre nous et depuis toujours.
Visage renversé, me tournant le dos, elle laisse tomber sa robe, lentement pour me présenter ses fesses. Comme toujours, deux magnifiques masses de chair claires.
Elle se retourne pour continuer à osciller et onduler face à moi, que tout achève à me détraquer. Ma libido me grignote le système nerveux méthodiquement. Elle me somme d’aller rejoindre Valérie. Cette dernière ouvre les yeux au moment où ma main glisse dans les poils de sa toison, s’insinuant vers l’abricot mouvant et tiède entre ses cuisses.
- Qu’est-ce que tu fais ? Crache-t-elle. Et maman ?
- Laisse-moi-te…
- Mais Maman ! Se cabre-t-elle. Je suis mariée…
Je lui écrase les lèvres avec les miennes lui rentrant ma langue dans la bouche. Je la pousse contre le mur. Après avoir plongé les doigts dans sa fourrure, je l’ouvre du bout de mes phalanges dures. Je la distends, l’ouvre encore et encore. J’écarte les lèvres, les malaxe, les englouti jusqu’au poignet dans son antre moite et vulnérable. Tout chez moi s’est rassemblé dans ma main droite.
Je me laisse tomber devant elle, jambes écartées, une cuisse en appuie côté de ma tête. Elle s’offre alors à mes quatre volontés. Et j’ai bien l’intention de l’honorer comme j’aime le faire.
J’aspire sa mouille abondante, ma langue la pénètre le plus profond possible, sans oublier l’anus. Je crus rêvé, ça faisait si longtemps. Même dans mes fantasmes les plus fous je n’aurai jamais imaginé cela.
On n’entend plus que ses suffocations et mes bruits de succions. Elle se crispe, extériorise son orgasme pour mon plus grand plaisir.
Tout deux assis, devant une tasse de café nous nous sommes parlé.
- Il y a longtemps que je n’ai joui de la sorte, tu es formidable !
Nous restons un long moment ainsi, puis elle veut que je la prenne.
- Ne crois-tu pas que nous faisons une bêtise ?
- Oh non, prends-moi, mets-la moi bien à fond.
Elle me guide et je n’ai plus à mettre un coup de reins pour m’enfoncer. Elle gémit et jouit dans la foulée.
- Oh oui, à fond ! Fais-moi encore jouir !
Pour ça qu’un moyen. Je me suis mis à la besogner à grand coups de reins.
Puis sa mère fait son apparition. Quand nos regards se sont croisés, je ne vois pas dans ses yeux une expression de surprise.
-Ne fais pas cette tête ! Lâche Valérie. Ma mère et moi avons eu le temps de nous parler mais aussi de nous comprendre.
-Elle est belle, maman ? Dis-le que tu aimerais la satisfaire comme tu m’as fait avant qu’elle arrive.
Près de sa mère, Valérie dégage un des seins d’Anne de dessous sa robe.
-Mais approche Alain… viens voir de plus près !
Je n’en crois pas mes oreilles.
-Je suis sûr qu’il bande ? Fait-Anne.
-Montre-nous vite ta queue ! Ajoute Valérie.
Je sors ma queue de mon pantalon.
-Maman tu as raison, il bande bien.
Valérie passe la pointe de sa langue le long de ma queue. Elle a attendu la dernière limite pour prendre place sur la table. Je pétri ses fesses à pleines mains. Puis j’appuie mon gland contre son anus.
-Tu es vraiment un sacré cochon !
Je n’ai pas beaucoup à forcer pour faire disparaître ma queue ; tant son anus est souple. Pendant que je l’encule à grands coups de reins, la mère nous contemple d’un air fasciné.
-Il s’est s’y prendre ?
Entre deux plaintes, la fille réussit à lui répondre d’une voix haletante :
-Tu dois savoir te quoi tu parles…
Je l’encule de plus belle. Ses plaintes deviennent criardes. Elle a un orgasme bref mais violent qui se manifeste par un soubresaut de tout son corps.
Une fois sorti du cul de Valérie, Anne en profite pour me masturber. Faisant bien coulisser le prépuce sur mon gland. Alors que Valérie me fait boire au culot de la bouteille du champagne, Anne me masse entre ses doigts comme si elle voulait me traire.
Préférant autre chose, je fais installer Anne à son tour sur la table. Je m’agenouille, et je me mets à la lécher, la sucer sur tout son corps, m’attardant sur ses seins, ses mamelons…
Anne gémit, se tortille. Soudain elle s’allonge sur le plateau en surélevant son vagin, écartant bien ses jambes et aussi ses grandes lèvres.
-Maman, on voilà des manières, fait la fille en versant du liquide pétillant dans son trou.
Anne tressaute sous l’effet frais et chatoyant du liquide que je m’empresse de laper à grands coups de langue. Après quelques instants de léchage, elle se cambre et jouit en hurlant ! À peine calmée, elle me dit :
-Prends-moi vite ! Transperce-moi, mets-moi tout !
Sa chatte est encore froide et resserrée sous l’effet du pétillant, mais au fur et à mesure que je la pilonne, je sens son fourreau se réchauffer, s’humidifier davantage.
Elle passe ses jambes autour de mon dos, me faisant encore pénétrer un peu plus. J’accélère la cadence, poussant plus fort encore. Je sens que le plaisir est proche et que mon sperme monte.
-Je vais venir, Anne, je ne tiens plus !
Une plainte jaillit de mes lèvres. Pour sa part elle s’arc-boute, jouissant si fort que je me trouve désarçonné !
Je tourne mon sexe dressé et luisant dans la direction de la fille. Elle s’approche en souriant, s’agenouille et me lèche amoureusement la queue. C’est elle qui conduit ma bite jusqu’à la connasse de sa mère. Je déclenche de nouveau mon exercice de va-et-vient. Mes coups de piston de ma queue coulissant entre les chairs détrempées. Anne pousse des gémissements sonores sous l’intensité grandissante de son nouvel orgasme et je sens que je vais, moi aussi, explosé avant peu.
D’ailleurs quelques secondes plus tard, je laisse jaillir de longs jets de sperme chaud au fond de son con. Je la relève, l’attire vers moi et l’embrasse avec passion.
- Il est temps de rattraper le temps perdu, mesdames.
Valérie et Anne semblent n’attendre que cela et se débarrassent rapidement des vêtements qui leurs restes. Quelques minutes plus tard, je me retrouve entouré de deux magnifiques créatures en tenue d’Eve.
Elles sont magnifiques, elles se tiennent la main, collées l’une à l’autre. Leurs tétons dressés et les frissons qui parcourent leurs chairs témoignent de l’excitation qu’elles ressentent en cet instant. Je ne résiste pas à les embrasser à tour de rôle, en profitant pour caresser un sein, une cuisse, une chatte.
Alors que Valérie me chevauche la bouche, moi, allongé sur le lit conjugal, Anne pour sa part cavale sur ma queue sur un rythme de trot enlevé. Mère et fille sont visiblement aux anges, n’hésitant pas m’encourager et à s’encourager mutuellement. C’est un concours de obscénité, de terme croustilleux et explicites. Lancées par les bouches éduquées de deux belles femmes.
Les corps tournent, mère et fille passent à tour de rôle sur ma bouche sur ma queue. Je prends mon pied comme jamais !
Plus tard, bien plus tard je regarde sur le lit deux femmes aux corps dénudés, en sueur. Chacune reprenant son souffle après une bonne heure de cavalcade échevelée.
Je leur offre une nouvelle coupe de champagne. Elles me remercient pour cette extraordinaire séance, en m’assurant clairement de leur disponibilité les prochaines heures, pour une éventuelle prochaine expérience à trois.
En robe courte avec des bottes qui mettent en valeur ses jambes. Aucun type normalement constitué ne peut la regarder sans se mettre aussitôt à bander. Son corps élancé, sa démarche souple sont un appel à la sexualité. Mon cœur bat à cent à l’heure.
-Oui… comme tu vois.
-Et je peux te demander la raison de ta visite.
-J’étais de passage…Alors j’ai voulu saluer tes parents.
-Ah oui… C’est gentil…Maman n’est pas là ?
-Elle est partie faire quelques courses.
-Avec papa ?
-Non…non !
- Oups, j’avais oublié qu’il n’était pas là pour la semaine. Et elle t’a laissé seul ici maman ?
-Oui, comme tu vois…
-Mais dit moi c’est la journée des surprises.
-Pourquoi tu dis ça ?
-Tout bonnement par ce que ce n’est pas dans les habitudes de Maman de laisser quelqu’un seul chez elle.
-Elle m’a dit qu’elle en avait pour quelques minutes…
-Dis-moi, de toi à moi, tu ne me cache pas quelque chose toi ?
-Où vas-tu chercher ça Valérie.
-Je ne sais pas ! Ajoute-t-elle en posant ses doigts sur la ceinture noire en cuir.
Lentement, très lentement elle la défit, et la laisse tomber à terre.
-Qu’est-ce que tu fais là, Valérie ?
-J’ai chaud !
Elle s’attaque, aux boutons de robe courte. Elle n’arrête pas de gesticuler sur son propre rythme intérieur, faisant volte-face de temps en temps en me présentant sa croupe qui va d’avant en arrière. Elle pivote sur ses escarpins et me présente à nouveau le côté face.
-Ta mère va arriver d’un moment à l’autre… et…
-Et quoi ? Me coupe-t-elle. Tu crois qu’elle ne sait pas ce qui ce trame entre toi et moi.
La robe bâille sur ses seins maintenant, et ceux-ci jaillissaient, drus et blanc et palpitants. Elle se met à se caresser lentement du bout des paumes, se frôlant, s’effleurant, faisant encore doubler le volume des bouts qui dardent entre ses doigts, quand elle les pince doucement.
-Et si je dis qu’elle est au courante de tout ce qui s’est passé entre nous et depuis toujours.
Visage renversé, me tournant le dos, elle laisse tomber sa robe, lentement pour me présenter ses fesses. Comme toujours, deux magnifiques masses de chair claires.
Elle se retourne pour continuer à osciller et onduler face à moi, que tout achève à me détraquer. Ma libido me grignote le système nerveux méthodiquement. Elle me somme d’aller rejoindre Valérie. Cette dernière ouvre les yeux au moment où ma main glisse dans les poils de sa toison, s’insinuant vers l’abricot mouvant et tiède entre ses cuisses.
- Qu’est-ce que tu fais ? Crache-t-elle. Et maman ?
- Laisse-moi-te…
- Mais Maman ! Se cabre-t-elle. Je suis mariée…
Je lui écrase les lèvres avec les miennes lui rentrant ma langue dans la bouche. Je la pousse contre le mur. Après avoir plongé les doigts dans sa fourrure, je l’ouvre du bout de mes phalanges dures. Je la distends, l’ouvre encore et encore. J’écarte les lèvres, les malaxe, les englouti jusqu’au poignet dans son antre moite et vulnérable. Tout chez moi s’est rassemblé dans ma main droite.
Je me laisse tomber devant elle, jambes écartées, une cuisse en appuie côté de ma tête. Elle s’offre alors à mes quatre volontés. Et j’ai bien l’intention de l’honorer comme j’aime le faire.
J’aspire sa mouille abondante, ma langue la pénètre le plus profond possible, sans oublier l’anus. Je crus rêvé, ça faisait si longtemps. Même dans mes fantasmes les plus fous je n’aurai jamais imaginé cela.
On n’entend plus que ses suffocations et mes bruits de succions. Elle se crispe, extériorise son orgasme pour mon plus grand plaisir.
Tout deux assis, devant une tasse de café nous nous sommes parlé.
- Il y a longtemps que je n’ai joui de la sorte, tu es formidable !
Nous restons un long moment ainsi, puis elle veut que je la prenne.
- Ne crois-tu pas que nous faisons une bêtise ?
- Oh non, prends-moi, mets-la moi bien à fond.
Elle me guide et je n’ai plus à mettre un coup de reins pour m’enfoncer. Elle gémit et jouit dans la foulée.
- Oh oui, à fond ! Fais-moi encore jouir !
Pour ça qu’un moyen. Je me suis mis à la besogner à grand coups de reins.
Puis sa mère fait son apparition. Quand nos regards se sont croisés, je ne vois pas dans ses yeux une expression de surprise.
-Ne fais pas cette tête ! Lâche Valérie. Ma mère et moi avons eu le temps de nous parler mais aussi de nous comprendre.
-Elle est belle, maman ? Dis-le que tu aimerais la satisfaire comme tu m’as fait avant qu’elle arrive.
Près de sa mère, Valérie dégage un des seins d’Anne de dessous sa robe.
-Mais approche Alain… viens voir de plus près !
Je n’en crois pas mes oreilles.
-Je suis sûr qu’il bande ? Fait-Anne.
-Montre-nous vite ta queue ! Ajoute Valérie.
Je sors ma queue de mon pantalon.
-Maman tu as raison, il bande bien.
Valérie passe la pointe de sa langue le long de ma queue. Elle a attendu la dernière limite pour prendre place sur la table. Je pétri ses fesses à pleines mains. Puis j’appuie mon gland contre son anus.
-Tu es vraiment un sacré cochon !
Je n’ai pas beaucoup à forcer pour faire disparaître ma queue ; tant son anus est souple. Pendant que je l’encule à grands coups de reins, la mère nous contemple d’un air fasciné.
-Il s’est s’y prendre ?
Entre deux plaintes, la fille réussit à lui répondre d’une voix haletante :
-Tu dois savoir te quoi tu parles…
Je l’encule de plus belle. Ses plaintes deviennent criardes. Elle a un orgasme bref mais violent qui se manifeste par un soubresaut de tout son corps.
Une fois sorti du cul de Valérie, Anne en profite pour me masturber. Faisant bien coulisser le prépuce sur mon gland. Alors que Valérie me fait boire au culot de la bouteille du champagne, Anne me masse entre ses doigts comme si elle voulait me traire.
Préférant autre chose, je fais installer Anne à son tour sur la table. Je m’agenouille, et je me mets à la lécher, la sucer sur tout son corps, m’attardant sur ses seins, ses mamelons…
Anne gémit, se tortille. Soudain elle s’allonge sur le plateau en surélevant son vagin, écartant bien ses jambes et aussi ses grandes lèvres.
-Maman, on voilà des manières, fait la fille en versant du liquide pétillant dans son trou.
Anne tressaute sous l’effet frais et chatoyant du liquide que je m’empresse de laper à grands coups de langue. Après quelques instants de léchage, elle se cambre et jouit en hurlant ! À peine calmée, elle me dit :
-Prends-moi vite ! Transperce-moi, mets-moi tout !
Sa chatte est encore froide et resserrée sous l’effet du pétillant, mais au fur et à mesure que je la pilonne, je sens son fourreau se réchauffer, s’humidifier davantage.
Elle passe ses jambes autour de mon dos, me faisant encore pénétrer un peu plus. J’accélère la cadence, poussant plus fort encore. Je sens que le plaisir est proche et que mon sperme monte.
-Je vais venir, Anne, je ne tiens plus !
Une plainte jaillit de mes lèvres. Pour sa part elle s’arc-boute, jouissant si fort que je me trouve désarçonné !
Je tourne mon sexe dressé et luisant dans la direction de la fille. Elle s’approche en souriant, s’agenouille et me lèche amoureusement la queue. C’est elle qui conduit ma bite jusqu’à la connasse de sa mère. Je déclenche de nouveau mon exercice de va-et-vient. Mes coups de piston de ma queue coulissant entre les chairs détrempées. Anne pousse des gémissements sonores sous l’intensité grandissante de son nouvel orgasme et je sens que je vais, moi aussi, explosé avant peu.
D’ailleurs quelques secondes plus tard, je laisse jaillir de longs jets de sperme chaud au fond de son con. Je la relève, l’attire vers moi et l’embrasse avec passion.
- Il est temps de rattraper le temps perdu, mesdames.
Valérie et Anne semblent n’attendre que cela et se débarrassent rapidement des vêtements qui leurs restes. Quelques minutes plus tard, je me retrouve entouré de deux magnifiques créatures en tenue d’Eve.
Elles sont magnifiques, elles se tiennent la main, collées l’une à l’autre. Leurs tétons dressés et les frissons qui parcourent leurs chairs témoignent de l’excitation qu’elles ressentent en cet instant. Je ne résiste pas à les embrasser à tour de rôle, en profitant pour caresser un sein, une cuisse, une chatte.
Alors que Valérie me chevauche la bouche, moi, allongé sur le lit conjugal, Anne pour sa part cavale sur ma queue sur un rythme de trot enlevé. Mère et fille sont visiblement aux anges, n’hésitant pas m’encourager et à s’encourager mutuellement. C’est un concours de obscénité, de terme croustilleux et explicites. Lancées par les bouches éduquées de deux belles femmes.
Les corps tournent, mère et fille passent à tour de rôle sur ma bouche sur ma queue. Je prends mon pied comme jamais !
Plus tard, bien plus tard je regarde sur le lit deux femmes aux corps dénudés, en sueur. Chacune reprenant son souffle après une bonne heure de cavalcade échevelée.
Je leur offre une nouvelle coupe de champagne. Elles me remercient pour cette extraordinaire séance, en m’assurant clairement de leur disponibilité les prochaines heures, pour une éventuelle prochaine expérience à trois.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
très excitant
Jadore ton histoire