Leila An-Nabigha : : La naissance du bâtard qui gouverna l'Égypte

- Par l'auteur HDS Karim_et_Nadia -
Auteur couple.
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Récit libertin : Leila An-Nabigha : : La naissance du bâtard qui gouverna l'Égypte Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2025 dans la catégorie Plus on est
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Leila An-Nabigha : : La naissance du bâtard qui gouverna l'Égypte
Chapitre 1 : Le Drapeau Rouge Claquant
Les anciens rapportent, dans les chroniques poussiéreuses de la Jāhiliyya, qu’à La Mecque, avant que la Kaaba ne s’érige en sanctuaire d’un dieu unique, Allah, les nuits vibraient d’un feu païen, où les désirs des hommes s’embrasaient sous des cieux étoilés.
Dans une ruelle sablonneuse, loin des regards des prêtres d’idoles, une maison close se dressait, son drapeau rouge claquant comme un défi aux vents du désert. Ce n’était pas un simple bordel, mais un temple de luxure, où les dhawāt al-rayāt – ces femmes aux corps sculptés pour le plaisir – régnaient sur les âmes des puissants. Là, Leila An-Nabigha, déesse charnelle, orchestrait un ballet de chairs et d’or, son con et son esprit tissaient les fils du destin.
La Mecque préislamique, carrefour des caravanes et des vices, était une cité où l’or des marchands et le sang des querelles tribales se mêlaient dans une frénésie brutale. Les traditions du temps, marquées par l’absence de lois divines, laissaient libre cours aux appétits. Les hommes, chefs de Quraysh ou voyageurs burinés, s’adonnaient à des pratiques sexuelles variées : nikāḥ al-baghyā, où des femmes comme Leila offraient leurs chattes et leurs culs contre des pièces d’or ; nikāḥ al-jam‘, où plusieurs lions partageaient une même proie dans une période fertile ; et nikāḥ al-dā‘iya, où la mère décidait du père, non par le sang, mais par le pouvoir ou la richesse.
D’autres formes sont aussi connues telles que : Nikāḥ al-Zawāj (Mariage Conventionnel), mariage plus proche du mariage actuel, où un homme épousait une femme avec un contrat. Nikāḥ al-Shighār, dit mariage d'échange qui consistait à marier une femme d’une famille à un homme d’une autre famille en échange d’une autre femme de cette dernière famille, sans dot monétaire. Nikāḥ al-Mut‘a (Mariage Temporaire), où un mariage à durée déterminée où un homme et une femme convenaient d’une relation sexuelle pour une période définie contre une compensation (souvent monétaire). Nikāḥ al-Istibdā‘ (Mariage par Prêt d’Épouse) où un homme prêtait sa femme à un autre homme, généralement d’un rang social supérieur, pour engendrer un enfant considéré comme "noble" ou pour renforcer des alliances.
Les femmes de joie, souvent esclaves affranchies ou orphelines, se montraient topless, leurs seins nus ou voilés de tissus transparents de soie fine, les tétons durcis pour exciter les regards. Leurs maisons, marquées d’un drapeau, étaient des havres où le vin de Taïf coulait à flots, où les parfums de musc et d’ambre enivraient, où les corps s’entremêlaient dans des coïts brutaux ou raffinés, du missionnaire sauvage à la sodomie rituelle.
La maison de Leila, nichée dans une ruelle où le sable crissait sous les pas, était un écrin de débauche. Ses murs, tapissés de tapis aux motifs païens – idoles aux seins offerts, hommes aux queues dressées chassant des gazelles aux formes féminines – scintillaient sous les lampes à huile. L’air, lourd d’encens âcre et de vin capiteux, semblait vibrer d’une promesse charnelle. Des coussins de soie jonchaient le sol, des plateaux débordaient de dattes sucrées et de viandes épicées, et des coupes d’argile attendaient le nectar rouge. Les bruits de la cité – cris des chameliers, rires des marchands – s’évanouissaient, laissant place aux soupirs et aux claques de chair.
Leila An-Nabigha, maîtresse des lieux, était une vision de luxure. Sa peau cuivrée, luisante d’huile de jasmin, capturait la lumière comme une dune au crépuscule. Ses seins lourds, aux aréoles sombres, se dressaient fièrement sous un voile transparent, ses tétons pointant comme des flèches. Son con, rasé et luisant, était un piège serré, célèbre pour aspirer les bites jusqu’à l’extase. Son cul, rond et ferme, invitait les assauts les plus brutaux. Elle aimait les coïts violents, chevauchant en amazone pour dominer ou s’offrant en levrette pour être pilonnée. Une rumeur courait qu’un marchand yéménite, épuisé après l’avoir baisée, jura qu’elle l’avait vidé de son âme avec son con.
— Baise-moi jusqu’à ce que je hurle, bâtard !” lançait-elle souvent, riant de son pouvoir.
Leila, matrice du pouvoir, ne se contentait pas de vendre son corps : elle forgeait des destins, décidant qui semait la vie dans son ventre fertile.
Ses “filles” de son empire, étaient ses joyaux, polies pour plaire aux notables.
Oumayma, dix-neuf ans, avait des hanches larges comme des amphores et une chatte juteuse qui dégoulinait sous les coups. Elle adorait le missionnaire, jambes écartées, aimant sentir les couilles claquer contre son cul. On racontait qu’un chef bédouin l’avait baisée si fort qu’elle squirta jusqu’aux tapis, criant :
— “Pilonne-moi, fils du désert !”
Hamama, fine comme une gazelle, avait un cul serré et une agilité de panthère. Elle préférait chevaucher en amazone inversée, rebondissant sur les bites jusqu’à faire gémir ses clients. Une rumeur disait qu’elle avait fait jouir un caravanier en une minute, son con serrant comme un étau.
Safiya, à la bouche vorace, excellait en fellation : sa langue dansait sur les glands, avalant le sperme comme du miel. Elle aimait le 69, léchant des chattes pendant qu’on baisait sa gorge. Un client jura qu’elle lui avait sucé l’âme, le laissant pantelant.
Hind, reine de l’anal, avait des fesses rondes et fermes, marquées de claques rouges après chaque nuit. Elle adorait la sodomie en pile-driver, jambes en l’air, criant :
— “Encule-moi plus fort, chien !”
Une anecdote circulait : un noble de Taïf, après l’avoir sodomisée, offrit un chameau pour une nuit de plus, tant son cul était divin.
Asma, à la langue agile, transformait chaque fellation en rituel païen, ses lèvres pulpeuses suçant jusqu’à la dernière goutte. Elle aimait les doubles pénétrations, une bite dans sa chatte, une autre dans son cul, gémissant comme une louve. On murmurait qu’un poète, après l’avoir baisée, écrivit des vers obscènes sur son con, gravés sur une stèle perdue.
Ce soir-là, Leila, sentant son tahr – période fertile où son ventre pouvait concevoir un conquérant – avait convoqué cinq lions de Quraysh : Al-‘Āṣ ibn Wā’il, marchand d’or ; Abū Sufyān, chef charismatique de Quraysh ; Umayya ibn Khalaf, voyageur avide ; Hishām ibn al-Mughīra, poète lubrique ; et Abū Lahab, le prêtre du feu des idoles.
La maison vibrait d’anticipation, les filles topless, leurs seins luisant d’huile, prêtes à danser, sucer et baiser.
Leila, en robe ouverte sur ses seins, son con palpitant, se tenait au centre, prête à tisser une nuit de flammes où son pouvoir, matrice du futur, scellerait le destin d’un enfant.

Chapitre 2 : Le Marchand d’Or – Al-‘Āṣ ibn Wā’il

Dans l’antre de Leila An-Nabigha, où le drapeau rouge claquait comme un défi aux étoiles de La Mecque, la maison close palpitait d’une chaleur païenne. Les murs, drapés de tapis aux motifs impies – idoles aux seins nus, hommes aux queues dressées poursuivant des gazelles – frémissaient sous la lueur vacillante des lampes à huile. L’air, saturé d’encens âcre, de vin capiteux de Taïf et de l’odeur musquée des corps en rut, semblait vibrer d’une promesse charnelle. Des coussins de soie jonchaient le sol, des plateaux débordaient de dattes sucrées et de viandes épicées, et des coupes d’argile attendaient le nectar rouge, prêt à délier les langues et les hanches.
Al-‘Āṣ ibn Wā’il franchit le seuil, incarnation du marchand prospère dont les caravanes charriaient l’or de Byzance et les épices d’Arabie. Grand, la peau burinée par les sables du désert, il arborait une barbe taillée avec soin et des yeux noirs luisants de convoitise. Sa tunique brodée d’or, alourdie de bijoux, proclamait sa richesse, fruit de négoces avec des tribus lointaines et des marchés de Damas. Ses mains, calleuses mais ornées de bagues, trahissaient son goût pour le luxe et la domination.
Al-‘Āṣ, homme de commerce, aimait les plaisirs terrestres : festins arrosés de vin, jeux de dés où il misait des chameaux, et chasses où il traquait gazelles et femmes avec la même ardeur. Sexuellement, il était brutal, préférant les positions où il pouvait écraser ses partenaires de sa puissance : missionnaire pour pilonner sans relâche, levrette pour claquer les fesses, et anal pour marquer son territoire. Il aimait les chattes juteuses et les culs serrés, exigeant des cris et des soumissions, son sperme étant, à ses yeux, un sceau de conquête.
— “Leila, ma salope préférée, verse le vin et donne-moi une chatte à défoncer !” rugit-il, sa voix rauque résonnant dans la pièce.
Il posa une bourse lourde sur la table, les pièces d’or tintant comme un hymne à sa richesse.
Leila, ses seins lourds à peine voilés d’un tissu diaphane, ses tétons sombres pointant comme des flèches, lui tendit une coupe débordant de nectar rouge. Al-‘Āṣ but avidement, le vin coulant sur sa barbe, ses yeux s’arrêtant sur Oumayma. À dix-neuf ans, elle était un joyau de la maison : hanches larges comme des amphores, seins ronds ballottant sous un voile transparent, chatte trempée luisant d’huile de jasmin. Experte en missionnaire, elle adorait sentir une bite la pilonner jusqu’à ce que ses cuisses tremblent, ses gémissements rauques emplissant l’air.
— “À poil, chienne !” ordonna Al-‘Āṣ, arrachant son voile d’un geste brutal.

Oumayma, nue, révéla une touffe sombre et humide, ses lèvres gonflées palpitant d’envie. Il la poussa sur un tapis épais, ses doigts rugueux écartant ses cuisses grasses, dévoilant son con dégoulinant.
— “Prends ma bite, pute !” grogna-t-il, sortant sa queue épaisse, veinée, le gland luisant de pré-sperme.
Il s’enfonça en missionnaire, ses hanches cognant violemment, ses couilles lourdes claquant contre son cul. Oumayma gémit, ses seins bondissant à chaque coup, ses ongles griffant ses épaules.
— “Pilonne-moi, bâtard !” cria-t-elle, ses jambes enroulées autour de sa taille, son con serrant sa bite comme un étau.
La sueur perlait sur leurs corps, l’odeur de leurs sexes mêlée au musc emplissant l’alcôve. Al-‘Āṣ, grognant comme un taureau, pinça ses tétons durcis, tirant des hurlements. Il accéléra, ses coups profonds faisant trembler ses cuisses, son gland cognant son col.
— “J’vais te remplir, salope !” rugit-il, éjaculant un flot chaud dans son con, son sperme inondant ses parois.
Oumayma trembla, son orgasme la secouant, ses jus coulant sur le tapis, ses gémissements résonnant comme une prière païenne.
— “Pas mal, petite pute, mais je veux la reine !” lança Al-‘Āṣ, sa bite encore raide, luisante de leurs fluides.
Leila s’approcha, ôtant son voile pour révéler son corps sculpté : seins lourds aux aréoles sombres, con rasé palpitant d’huile, cul rond prêt à être défoncé.
— “Montre ton or, marchand,” railla-t-elle, sa voix suave masquant une ruse de marchande.
Elle le poussa sur un divan de soie, grimpant en amazone, ses cuisses musclées enserrant ses hanches. Sa chatte avala sa queue, chaude et serrée, roulant ses hanches en cercles lents, son clitoris frottant contre son pubis poilu.
— “Baise-moi comme un homme !” cria-t-elle, ses seins ballottant à chaque rebond. Al-‘Āṣ malaxa ses fesses, ses doigts s’enfonçant dans sa chair, ses bagues laissant des marques rouges.
Il sentit son con se contracter, aspirant sa bite, tandis qu’elle gémissait, ses jus coulant sur ses couilles.
— “Putain, ton con est un piège !” grogna-t-il, claquant ses seins, tirant des cris aigus.
Leila, dans son tahr fertile, savait que cette semence pourrait sceller un destin. Elle accéléra, ses hanches claquaient, son con serrant jusqu’à ce qu’il explose, son sperme giclant au fond de son utérus, un flot brûlant qui la fit hurler de plaisir, ses parois palpitant autour de sa queue.
— “Encule-moi, bâtard !” ordonna-t-elle, se mettant à quatre pattes, son cul cambré offert comme un autel.
Al-‘Āṣ, sa queue luisante, cracha sur son anus serré, puis s’enfonça lentement, savourant la résistance de son trou.
— “Tu es serrée, salope !” rugit-il, pilonnant son cul avec des coups profonds, ses couilles battant contre sa chatte.
Leila hurla, son corps secoué, ses doigts frottant son clitoris pour amplifier la sensation. Chaque coup envoyait des ondes brûlantes dans ses reins, son anus serrant sa bite comme pour l’emprisonner.
— “Défonce mon cul, fils de chienne !” cria-t-elle, ses seins balançant, ses cheveux collés par la sueur.
Al-‘Āṣ, grognant, accéléra, ses mains claquant ses fesses, laissant des marques rouges. Il éjacula, un flot épais inondant son cul, dégoulinant le long de ses cuisses. Leila, pantelante, se redressa, son anus palpitant, son con encore gorgé de son sperme vaginal.
— “Encore, reine ! Donne-moi ta bouche !” grogna Al-‘Āṣ, sa bite raidissant à nouveau.
Leila s’agenouilla, sa langue dansant sur son gland, léchant le mélange de sperme et de ses propres jus. Elle suça, sa bouche chaude engloutissant sa queue, ses lèvres serrées glissant jusqu’à la base. Al-‘Āṣ empoigna ses cheveux, baisant sa gorge avec des coups lents, savourant chaque gargouillement.
— “Avale, salope !” rugit-il, giclant une dernière fois, son foutre inondant sa bouche.
Leila avala, un filet blanc coulant sur son menton, ses yeux noirs fixant les siens, pleins de défi.
— “Ton or te rend digne, marchand,” murmura-t-elle, essuyant ses lèvres, son con palpitant de la semence qui pourrait germer un conquérant.
Dans son esprit, elle pesait sa richesse : un père potentiel, dont l’or nourrirait sa maison et son pouvoir.

Chapitre 3 : Le Lion Conquérant – Abū Sufyān ibn Ḥarb
Sous le drapeau rouge qui flottait comme une flamme défiant les cieux de La Mecque, la maison close de Leila An-Nabigha pulsait d’une ferveur sacrilège. Les murs, parés de tapis aux motifs profanes – déesses aux seins nus chevauchant des étalons, guerriers aux phallus dressés dans des danses lascives – s’embrasaient sous la lueur dansante des braseros d’argile. L’air, chargé d’effluves d’ambre gris et de vin capiteux de Taïf, frémissait d’une odeur de sueur et de désir brut. Des tapis de laine rouge s’étalaient, jonchés de coussins brodés d’or, tandis que des plateaux d’étain débordaient de grenades éclatées et de viandes fumantes. Des coupes de terre cuite, remplies d’un nectar pourpre, scintillaient, prêtes à attiser les passions des lions de Quraysh.
Abū Sufyān ibn Ḥarb fit irruption, son rire grondant comme un tonnerre roulant sur les dunes. Chef charismatique des Quraysh, il était un géant sculpté par les vents du désert, sa peau cuivrée luisant sous la lumière, sa barbe noire taillée encadrant un visage aux yeux d’onyx, brûlants d’arrogance et de luxure. Sa tunique de lin fin, ornée de fils d’argent et de perles, proclamait sa fortune, bâtie sur le commerce des épices et des alliances tribales avec les clans du Yémen. Ses mains, larges et calleuses, ornées de bagues d’or ciselé, trahissaient sa poigne de stratège. Abū Sufyān, maître des joutes verbales, se délectait de festins où il vidait des jarres de vin, de chasses où il traquait antilopes et femmes avec une ferveur prédatrice, et de poèmes scandés lors de nuits d’ivresse. Sexuellement, il était un conquérant insatiable, aimant les positions acrobatiques qui exaltaient sa puissance : la brouette debout pour soulever ses proies, le congrès suspendu pour les posséder dans les airs, et la fellation à genoux pour voir leurs visages s’étouffer sous sa queue. Il prisait les femmes agiles, aux chattes juteuses et aux culs cambrés, qu’il faisait hurler son nom sous des assauts sauvages.
— “Leila, fais rugir ce bordel ! Du vin et une pute à éclater !” tonna-t-il, sa voix ébranlant les murs.
Il saisit une coupe, le vin éclaboussant sa barbe, ses yeux scrutant les filles, leurs seins nus scintillant d’huile d’amande, leurs tétons durcis sous des voiles transparents. Il choisit Hamama, fine comme une liane, ses seins petits mais fermes frémissant, son cul rond luisant d’huile. Experte en positions dynamiques, elle adorait la brouette debout, ses jambes relevées, son con pilonné jusqu’à l’extase.
— “Viens, jument, fais-moi bander comme un dieu !” lança-t-il, l’attirant contre un pilier sculpté.
Hamama, nue, révéla une chatte lisse et trempée, ses lèvres palpitant d’envie.
Abū Sufyān la souleva par les hanches, la mettant en brouette debout, ses mains puissantes tenant ses cuisses comme des trophées.
— “Ouvre ton con, salope !” rugit-il, sa queue massive, veinée, s’enfonçant dans sa chatte humide.
Il pilonna, ses hanches claquant contre son cul, ses couilles battant ses cuisses.
Hamama hurla, ses seins tressautant, ses bras s’agrippant au pilier pour tenir.
— “Éclate-moi, lion !” cria-t-elle, son con serrant sa bite, ses jus coulant sur ses poignets.
La sensation de sa queue frottant ses parois internes la fit frémir, chaque coup envoyant des décharges électriques dans son bassin. Abū Sufyān, grognant comme un taureau, pinça ses tétons, tirant des cris aigus.
— “J’vais te noyer, pute !” hurla-t-il, éjaculant un flot brûlant dans son con, son sperme inondant ses parois, tandis que Hamama convulsait, ses gémissements sauvages résonnant comme un hymne païen.
— “Leila, reine des chattes, à toi !” tonna-t-il, sa bite encore dure, luisante de leurs fluides.
Leila s’avança, ses seins lourds nus, ses aréoles sombres pointant comme des lances, son con rasé palpitant d’huile d’ambre.
— “Montre ta force, chef !” lança-t-elle, s’allongeant sur un tapis, tête en bas, pour un reverse missionary.
Elle releva ses jambes sur ses épaules, offrant sa chatte gonflée.
Abū Sufyān plongea, sa queue épaisse cognant son col, ses hanches écrasant les siennes.
— “Ton con est un volcan, salope !” grogna-t-il, ses mains empoignant ses cuisses, ses doigts s’enfonçant dans sa chair.
Leila, dans son tahr fertile, griffa son dos, ses hanches ondulaient, son con serrait sa bite comme un étau.
— “Pilonne-moi jusqu’au sang, bâtard !” cria-t-elle, ses jus dégoulinant sur le tapis.
La sensation de sa queue frottant son point sensible la fit trembler, des vagues de chaleur irradiant dans son ventre. Abū Sufyān, ses muscles bandés, accéléra, ses grognements bestiaux emplissant l’alcôve, et explosa, son sperme giclant au fond de son utérus, un flot brûlant qui la fit hurler d’extase, ses parois palpitant pour accueillir sa semence, scellant un possible destin.
— “Prends-moi en l’air, lion !” ordonna-t-elle, grimpant sur lui pour un congrès suspendu. Abū Sufyān la souleva, ses mains sous ses fesses, son cul cambré offert.
Il s’enfonça dans son anus serré, grognant face à la résistance.
— “Ton cul est une putain de prison, salope !” rugit-il, la faisant rebondir sur sa queue, ses seins claquant contre son torse.
Leila gémit, ses doigts frottant son clitoris, chaque coup envoyant des ondes brûlantes dans ses reins.
— “Défonce mon trou, fils de chienne !” cria-t-elle, son anus serrant sa bite, ses cuisses tremblant dans ses bras.
Il accéléra, ses couilles battant contre sa chatte, et éjacula, un flot épais inondant son cul, dégoulinant sur le sol.
— “À genoux, reine !” lança-t-il, la reposant pour une fellation à genoux.
Leila saisit sa queue, léchant son gland, savourant le mélange de sperme et de ses jus.
— “Suce comme une déesse, pute !” ordonna-t-il, ses mains empoignant ses cheveux, baisant sa gorge avec des coups profonds.
Leila, ses lèvres serrées, engloutit sa bite, ses gargouillements résonnaient, ses yeux noirs fixaient les siens.
Abū Sufyān, enivré, grogna, giclant un dernier flot dans sa bouche. Leila avala, un filet blanc coulant sur ses seins, son regard défiant.
— “Un lion, mais trop orgueilleux pour être père,” murmura-t-elle, son con palpitant de la semence qui pourrait germer.
Dans son esprit, elle pesait son ambition : un allié redoutable, mais trop fier pour dominer son choix.

Chapitre 4 : Le Voyageur Avide – Umayya ibn Khalaf
Sous le drapeau rouge qui frémissait comme une flamme défiant les cieux étoilés de La Mecque, la maison close de Leila An-Nabigha vibrait d’une ardeur sacrilège. Les murs, tendus de tapisseries aux motifs profanes – déesses aux cuisses béantes, cavaliers aux phallus érigés dans des danses lascives – s’embrasaient sous la lueur vacillante de torches fichées dans des supports de bronze. L’air, saturé d’effluves de safran et de vin aigrelet de Taïf, portait une odeur âcre de sueur et de luxure brute. Des tapis de lin bleu s’étalaient, jonchés de coussins ornés de perles, tandis que des plateaux de cuivre débordaient de raisins noirs et de viandes épicées. Des coupes de grès, remplies d’un nectar sombre, scintillaient, prêtes à enflammer les désirs des lions de Quraysh.
Umayya ibn Khalaf, surnommé Abū Jahl, la brute, entra sans un mot, son regard d’acier perçant l’ombre. Marchand impitoyable et chef de caravanes, il était un homme trapu, la peau burinée par les sables du désert, ses cheveux courts et grisonnants encadrant un visage aux traits durs, ses yeux noirs luisant d’une faim vorace. Sa tunique de lin grossier, tachée de poussière mais ornée d’un torque d’argent, trahissait sa richesse, amassée par le commerce d’esclaves et d’épices entre La Mecque et le Yémen. Ses mains noueuses, marquées par les rênes et les combats tribaux, portaient des cicatrices comme des trophées.
Umayya, homme de peu de paroles, se délectait de plaisirs rudes : chasses nocturnes où il traquait des hyènes, jeux de dés où il misait des fortunes, et récits de voyages murmurés autour de feux de camp. Sexuellement, il était une force brute, préférant les positions où il dominait plusieurs femmes à la fois : le triangle enchaîné pour synchroniser les plaisirs, le butterfly avec assistance orale pour multiplier les sensations, et l’anal en pile pour posséder sans partage. Il aimait les femmes aux bouches avides, aux chattes trempées, et aux culs serrés, qu’il faisait hurler sous des assauts implacables.
— “Leila, du vin et des putes à éclater !” grogna-t-il, sa voix râpeuse brisant le silence.
Il saisit une coupe, le nectar sombre éclaboussant sa tunique, et son regard perçant s’arrêta sur Asma et Safiya, leurs seins ronds luisant d’huile de safran, leurs tétons durcis sous des voiles transparents.
Asma, dix-huit ans, avait des lèvres pulpeuses et un cul ferme, experte en fellations, ses lèvres engloutissant les bites jusqu’à la gorge.
Safiya, à la bouche vorace, excellait dans les jeux oraux, léchant chattes et couilles avec une avidité féroce.
— “Vous deux, et la reine ! À poil, chiennes !” ordonna Umayya, les attirant vers un tapis bleu.

Les trois femmes, nues, formèrent un triangle enchaîné, une position où leurs corps s’entremêlaient.
Asma s’agenouilla, sa langue léchant la chatte trempée de Safiya, tandis que Safiya suçait la queue épaisse d’Umayya, ses lèvres serrées glissant sur son gland luisant.
Leila, à quatre pattes, offrait son cul à Umayya, qui cracha sur son anus serré avant de s’enfoncer.
— “Baisez-vous, salopes !” rugit-il, pilonnant le cul de Leila, ses couilles battant contre sa chatte.
Asma gémit, ses lèvres aspirant le clitoris de Safiya, qui hurla, sa bouche pleine de sa bite.
— “Suce fort, pute !” grogna Umayya, empoignant les cheveux de Safiya, baisant sa gorge.
Leila, son anus serrant sa queue, cria :
— “Déchire mon trou, brute !”
La sensation de sa bite massive frottant son anus envoyait des ondes brûlantes dans ses reins, tandis que les gémissements d’Asma et Safiya emplissaient l’alcôve.
Umayya, enivré, gicla dans la bouche de Safiya, son sperme coulant sur ses seins, tandis que Leila convulsait, ses jus dégoulinant sur le tapis.
— “Leila, à toi, reine des chattes !” grogna-t-il, sa bite encore raide.
Leila s’allongea sur un divan surélevé, jambes écartées en butterfly, ses cuisses ouvertes comme une offrande, son con rasé palpitant.
Umayya plongea, sa queue courbée cognant son col, tandis que Safiya léchait ses couilles, ses lèvres frôlant son pubis.
— “Ton con est un gouffre, salope !” rugit-il, ses mains empoignant ses hanches, ses doigts s’enfonçant dans sa chair.
Leila, dans son tahr fertile, griffa ses bras, ses hanches ondulaient, son con serrait sa bite.
— “Bourre-moi jusqu’à l’âme, bâtard !” cria-t-elle, ses jus coulant sur Safiya.
La sensation de sa queue frottant ses parois internes la fit trembler, des éclairs de feu irradiant dans son ventre.
Safiya, gémissant, suça ses couilles, amplifiant la chaleur. Umayya accéléra, ses grognements rauques résonnant, et explosa, son sperme giclant au fond de son utérus, un flot brûlant qui la fit hurler d’extase, ses parois palpitant pour accueillir sa semence, scellant un possible destin.

Umayya ordonna :
— “Empilez-vous, chiennes !”
Les femmes formèrent une pile anale : Leila à quatre pattes, Asma sur elle, leurs culs alignés. Umayya, sa bite luisante, s’enfonça dans l’anus d’Asma, puis celui de Leila, alternant avec des coups profonds.
— “Vos trous sont à moi, putes !” grogna-t-il, ses mains claquant leurs fesses, laissant des marques rouges.
Leila hurla :
— “Détruis mon cul, brute !” tandis qu’Asma gémissait, son anus serrant sa queue.
La sensation de leurs trous chauds et serrés le fit rugir, ses couilles battant leurs chattes. Il éjacula dans le cul de Leila, un flot épais dégoulinant sur ses cuisses, tandis qu’Asma tremblait, ses jus coulaient.
— “En l’air, toutes les deux !” ordonna-t-il, soulevant Leila et Asma pour un standing 69 à deux bouches.
Il tint Leila, sa langue fouillant son con trempé, tandis qu’Asma, à genoux, suçait ses couilles.
— “Léchez, salopes !” grogna-t-il, ses dents frôlant le clitoris de Leila.
Elle hurla :
— “Suce mon con, chien !” ses lèvres engloutissant sa queue avec Asma, leurs langues dansant ensemble.
Umayya, enivré, gicla dans leurs bouches, le sperme coulant sur leurs seins. Leila avala, ses yeux noirs fixant les siens, pleins de défi.
— “Une brute, mais pas assez riche pour être père,” murmura-t-elle, son con palpitant de la semence qui pourrait germer.
Dans son esprit, elle pesait sa sauvagerie : un pion utile, mais insuffisant pour dominer son choix.

Chapitre 5 : Le Poète Lubrique – Hishām ibn al-Mughīra
Sous le drapeau rouge qui dansait comme une flamme provocante dans la nuit mecquoise, la maison close de Leila An-Nabigha frémissait d’une ardeur impie. Les murs, drapés de tapisseries aux motifs sacrilèges – nymphes aux seins offerts, poètes aux phallus dressés chantant des odes charnelles – s’illuminaient sous la lueur tremblante de chandelles de cire fichées dans des candélabres d’étain. L’atmosphère, saturée de parfums de myrrhe et de vin doux de Taïf, vibrait d’une odeur entêtante de sueur et de désir brut. Des tapis de laine pourpre s’étendaient, jonchés de coussins brodés de fils d’argent, tandis que des plateaux d’argent débordaient de dattes mielleuses et de viandes marinées. Des coupes de terre vernie, remplies d’un nectar rubis, scintillaient, prêtes à déchaîner les passions des lions de Quraysh.
Hishām ibn al-Mughīra entra, ses pas légers trahissant une grâce féline, un sourire narquois aux lèvres. Poète renommé et notable des Quraysh, il était un homme élancé, la peau claire contrastant avec ses cheveux noirs bouclés, ses yeux noisette pétillant d’esprit et de luxure. Sa tunique de soie fine, ornée de broderies dorées, proclamait sa richesse, héritée de terres fertiles et de commerce d’encens avec la Perse. Ses mains délicates, ornées d’anneaux d’argent, révélaient son goût pour l’écriture et la caresse.
Hishām, maître des mots, se délectait de plaisirs raffinés : banquets où il récitait des vers enivrés, parties de chasse où il traquait des gazelles avec une élégance calculée, et soirées où il séduisait par des poèmes érotiques murmurés à l’oreille. Sexuellement, il était un artiste sensuel, préférant les positions où il pouvait orchestrer le plaisir : le ciseau assis pour une intimité rythmée, le lotus debout avec assistance orale pour mêler poésie et débauche, et l’anal en pont pour admirer les corps arqués. Il prisait les femmes aux bouches agiles et aux chattes sensibles, qu’il faisait chanter sous ses caresses et ses assauts.
— “Leila, que ce bordel devienne une ode ! Du vin et une muse à baiser !” lança-t-il, sa voix suave roulant comme un vers.
Il saisit une coupe, le nectar rubis coulant sur ses lèvres, et son regard s’arrêta sur Safiya, ses seins ronds scintillant d’huile de myrrhe, ses tétons durcis sous un voile diaphane.
À vingt ans, elle excellait dans les jeux oraux, sa langue lapant chattes et bites avec une avidité féroce.
— “Viens, muse, fais chanter ma queue !” murmura-t-il, l’attirant vers un tapis pourpre.
Safiya, nue, révéla une chatte humide et des lèvres pulpeuses. Hishām s’assit, jambes croisées, dans un ciseau assis, sa queue fine mais dure glissant dans son con trempé.
— “Chevauche-moi, petite pute !” ordonna-t-il, ses mains caressant ses seins, ses doigts pinçant ses tétons.
Safiya gémit, ses hanches ondulant en rythme, son con serrant sa bite.
— “Fais-moi jouir, poète !” cria-t-elle, ses jus coulant sur ses cuisses.
La sensation de leurs sexes frottant en ciseaux envoyait des vagues chaudes dans son pelvis, ses gémissements résonnant comme une strophe. Hishām, grognant, accéléra, ses couilles frôlant son cul, et éjacula, un flot chaud inondant son con, Safiya convulsant sous l’orgasme.
— “Leila, reine des muses, inspire-moi !” lança-t-il, sa bite encore raide, luisante de leurs fluides.
Leila s’avança, ses seins lourds nus, ses aréoles sombres pointant comme des étoiles, son con rasé palpitant d’huile de myrrhe.
— “Chante ton plaisir, poète !” lança-t-elle, grimpant sur lui pour un lotus debout, ses jambes enroulées autour de sa taille, Safiya à genoux léchant ses couilles.
Hishām la souleva, sa queue plongeant dans son con gonflé, cognant son col.
— “Ton con est un poème, salope !” grogna-t-il, ses mains malaxant ses fesses, ses doigts s’enfonçant dans sa chair.
Leila, dans son tahr fertile, griffa son torse, son con serrant sa bite.
— “Baise-moi jusqu’à l’extase, bâtard !” cria-t-elle, ses jus dégoulinant sur Safiya.
La sensation de sa queue frottant son point sensible la fit frémir, des éclairs de chaleur irradiant dans son ventre.
Safiya, gémissant, suça ses couilles, amplifiant la chaleur. Hishām, ses muscles tendus, accéléra, ses grognements poétiques emplissant l’alcôve, et explosa, son sperme giclant au fond de son utérus, un flot brûlant qui la fit hurler, ses parois palpitant pour accueillir sa semence, scellant un possible destin.
Leila ordonna :
— “Prends mon cul, artiste !”
Elle s’arqua en pont anal, dos au sol, cuisses relevées, son anus serré offert.
Hishām s’enfonça, sa bite glissant dans son trou huilé.
— “Ton cul est une strophe, pute !” rugit-il, pilonnant avec des coups lents, ses mains caressant ses seins, tirant ses tétons.
Leila gémit, son anus serrant sa queue, chaque coup envoyant des ondes brûlantes dans ses reins.
— “Déchire mon trou, fils de chienne !” cria-t-elle, ses doigts frottant son clitoris.
Il accéléra, ses couilles battant sa chatte, et éjacula, un flot épais inondant son cul, dégoulinant sur le tapis.
— “Enchaîne-nous, poète !” lança Leila, formant une chaîne à genoux avec Safiya.
Safiya lécha le con de Leila, tandis que Leila suçait la queue de Hishām.
— “Suce, muse !” ordonna-t-il, ses mains empoignant leurs cheveux, baisant la gorge de Leila. Safiya, gémissant, lapa ses jus, tandis que Leila, ses lèvres serrées, engloutit sa bite, ses gargouillements résonnaient.
Hishām, enivré, gicla dans sa bouche, le sperme coulant sur ses seins. Leila avala, ses yeux noisette fixant les siens, pleins de défi.
— “Un poète, mais pas assez riche pour être père,” murmura-t-elle, son con palpitant de la semence qui pourrait germer.
Dans son esprit, elle pesait son raffinement : un amant inspiré, mais trop éphémère pour dominer son choix.

Chapitre 5 : Le Loup des Sables – Al-Walīd ibn al-Mughīra
Sous le drapeau rouge qui ondulait comme une bourrasque dans la nuit mecquoise, la maison close de Leila An-Nabigha frémissait d’une ardeur sauvage. Les murs, drapés de tapisseries aux motifs indomptés – louves aux seins nus galopant dans des dunes, guerriers aux phallus érigés chassant sous des tempêtes de sable – s’illuminaient sous la lueur vacillante de lampes d’argile ornées de motifs de vents. L’atmosphère, saturée d’effluves d’encens de myrrhe et de vin âpre de Taïf, vibrait d’une odeur fauve de sueur et de désir primal. Des tapis de laine ocre s’étendaient, jonchés de coussins brodés de fils d’argent, tandis que des plateaux d’étain débordaient de dattes charnues et de viandes séchées. Des coupes de grès noir, remplies d’un nectar rougeoyant, scintillaient, prêtes à déchaîner les instincts des lions de Quraysh.
Al-Walīd ibn al-Mughīra entra, ses pas furtifs comme ceux d’un prédateur du désert. Notable des Quraysh et stratège rusé, il était un homme élancé, la peau cuivrée par les sables du Hijaz, ses cheveux noirs striés de gris tombant en mèches sur un visage aux traits acérés, ses yeux verts luisant d’une avidité de loup. Sa tunique de lin fin, ornée de perles noires, proclamait sa richesse, bâtie sur le commerce des étoffes et les alliances tribales avec les Bédouins. Ses mains, fines mais marquées par l’épée, portaient des bagues d’onyx scintillant comme des yeux de bête. Al-Walīd, maître des intrigues, se délectait de plaisirs sauvages : chasses nocturnes où il traquait des renards, jeux de dés où il manipulait ses adversaires, et récits de raids contés sous les étoiles. Sexuellement, il était un chasseur, préférant les positions où il traquait le plaisir : la tempête du désert pour capturer ses proies, l’étreinte de l’oasis pour les posséder dans une intimité brutale, et la crête de dune anale pour dominer leurs corps. Il aimait les femmes aux hanches souples et aux chattes juteuses, qu’il faisait hurler comme des proies sous ses assauts.
— “Leila, fais hurler ce bordel ! Du vin et une proie à déchiqueter !” grogna-t-il, sa voix rauque comme un vent du désert.
Il saisit une coupe, le nectar rougeoyant éclaboussant sa tunique, et son regard perçant s’arrêta sur Zaynab, une louve du plaisir, ses seins fermes scintillant d’huile de myrrhe, son cul rond frémissant sous un voile transparent.
À vingt ans, elle excellait dans les positions dynamiques, ses hanches ondulant comme des dunes sous le vent.
— “Viens, gazelle, fais-moi rugir !” lança-t-il, l’attirant vers un tapis ocre.
Zaynab, nue, révéla une chatte lisse et trempée, ses lèvres palpitant d’envie.
Al-Walīd la fit pivoter en tempête du désert, une position où elle s’accroupit sur lui, ses cuisses ouvertes, sa queue fine mais dure glissant dans son con humide.
— “Ouvre ton con, chienne !” rugit-il, ses mains empoignant ses hanches, ses doigts s’enfonçant dans sa chair.
Zaynab gémit, ses hanches tournoyant comme une tornade, son con serrant sa bite.
— “Traque-moi, loup !” cria-t-elle, ses jus coulant sur ses cuisses.
La sensation de leurs sexes frottant en spirale envoyait des vagues brûlantes dans son pelvis, ses gémissements résonnant comme des hurlements dans le désert.
Al-Walīd, grognant, accéléra, ses couilles frôlant son cul, et éjacula, un flot chaud inondant son con, Zaynab convulsant sous l’orgasme, ses cris sauvages emplissant l’alcôve.
— “Leila, reine des sables, viens te faire capturer !” tonna-t-il, sa bite encore raide, luisante de leurs fluides.
Leila s’avança, ses seins lourds nus, ses aréoles sombres pointant comme des étoiles du désert, son con rasé palpitant d’huile de myrrhe.
— “Chasse-moi, prédateur !” lança-t-elle, s’asseyant sur un divan bas, jambes enroulées autour de lui pour une étreinte de l’oasis, une position où elle se lovait contre lui comme une source dans le désert.
Al-Walīd la pénétra, sa queue plongeant dans son con gonflé, cognant son col.
— “Ton con est un mirage, salope !” grogna-t-il, ses mains malaxant ses seins, tirant ses tétons jusqu’à ce qu’elle hurle.
Leila, dans son tahr fertile, griffa son dos, ses hanches ondulaient, son con serrant sa bite comme un piège.
— “Déchiquette-moi, bâtard !” cria-t-elle, ses jus dégoulinant sur le divan.
La sensation de sa queue frottant ses parois internes la fit frémir, des éclairs de chaleur irradiant dans son ventre.
Al-Walīd, ses muscles tendus, accéléra, ses grognements fauves emplissant l’alcôve, et explosa, son sperme giclant au fond de son utérus, un flot brûlant qui la fit hurler d’extase, ses parois palpitant pour accueillir sa semence, scellant un possible destin.
— “Prends mon cul, loup !”
Elle s’installa en crête de dune anale, à quatre pattes, hanches relevées comme une dune sous le vent, son anus serré offert. Al-Walīd s’enfonça, sa bite glissant dans son trou huilé, ses coups imitant les bourrasques du désert.
— “Ton cul est un piège, pute !” rugit-il, ses mains claquant ses fesses, ses doigts pinçant ses aréoles.
Leila gémit, son anus serrant sa queue, chaque coup envoyant des ondes brûlantes dans ses reins.
— “Ravage mon trou, fils de chienne !” cria-t-elle, ses doigts frottant son clitoris, amplifiant la sensation.
Il accéléra, ses couilles battant sa chatte, et éjacula, un flot épais inondant son cul, dégoulinant sur le tapis comme du sable mouillé.
— “Enchaîne les proies, reine !” lança Leila, formant une cascade d’oasis à genoux avec Zaynab. Zaynab lécha le con de Leila, tandis que Leila suçait la queue d’Al-Walīd.
— “Suce, proie sauvage !” ordonna-t-il, ses mains empoignant leurs cheveux, baisant la gorge de Leila.
Zaynab, gémissant, lapa ses jus, tandis que Leila, ses lèvres serrées, engloutit sa bite, ses gargouillements résonnant comme des vents.
Al-Walīd, enivré, gicla dans sa bouche, le sperme coulant sur ses seins comme une pluie dans le désert. Leila avala, ses yeux noirs fixant les siens, pleins de défi.
— “Un loup, mais trop rusé pour être père,” murmura-t-elle, son con palpitant de la semence qui pourrait germer.
Dans son esprit, elle pesait sa ruse : un amant dangereux, mais trop imprévisible pour dominer son choix.

Chapitre 6 : Le Feu des Idoles – Abū Lahab ibn ‘Abd al-Muṭṭalib
Sous le drapeau rouge qui flamboyait comme une torche dans la nuit mecquoise, la maison close de Leila An-Nabigha brûlait d’une ferveur sacrilège. Les murs, drapés de tapisseries aux motifs impies – idoles aux seins nus dansant dans des flammes, guerriers aux phallus érigés brandissant des brandons – s’embrasaient sous la lueur dansante de brasiers de fer incrustés de corail. L’atmosphère, saturée d’effluves de bois de santal et de vin corsé de Taïf, crépitait d’une odeur âcre de sueur et de luxure incandescente. Des tapis de laine écarlate s’étendaient, jonchés de coussins brodés de fils d’or, tandis que des plateaux de bronze débordaient de figues juteuses et de viandes carbonisées. Des coupes de terre cuite vernie, remplies d’un nectar noir comme la suie, scintillaient, prêtes à attiser les flammes des lions de Quraysh.
Abū Lahab ibn ‘Abd al-Muṭṭalib, surnommé le Père de la Flamme, entra, rugissant comme un brasier dévorant le désert. Notable des Quraysh et gardien des cultes païens, il était un colosse, la peau tannée par les soleils du Hijaz, sa barbe rousse et broussailleuse évoquant des flammes, ses yeux noirs flamboyant de colère et de luxure. Sa tunique de lin épais, ornée de broches d’or massif, proclamait sa richesse, bâtie sur le commerce des idoles et les tributs des pèlerins. Ses mains, larges et noueuses, portaient des bagues incrustées de rubis, scintillant comme des braises.
Abū Lahab, incarnation du feu, se délectait de plaisirs violents : banquets où il brisait des jarres de vin, chasses où il pourchassait des sangliers avec une rage féroce, et rituels païens où il invoquait les flammes, sa femme, Hammālat al-Ḥaṭab, entassant le bois pour nourrir son feu. Sexuellement, il était un incendie, préférant les positions où il consumait ses partenaires : la roue enflammée pour tourbillonner dans la débauche, l’étreinte du bûcher pour les posséder comme une flamme, et l’anal torche pour marquer leurs corps. Il aimait les femmes aux fesses rondes et aux chattes trempées, qu’il faisait hurler comme des bûches crépitant sous ses assauts.
— “Leila, fais rugir ce bordel en enfer ! Du vin et un cul à carboniser !” tonna-t-il, sa voix faisant trembler les murs.
Il saisit une coupe, le nectar noir éclaboussant sa barbe rousse, et son regard enflammé s’arrêta sur Hind, reine de l’anal, ses seins ronds scintillant d’huile de santal, son cul ferme et cambré luisant sous un voile diaphane.
À dix-neuf ans, elle adorait la sodomie, son anus serré accueillant les bites comme un foyer.
— “Empale-toi, chienne ardente !” rugit-il, l’attirant vers un tapis écarlate.
Hind, nue, révéla un con humide et des fesses marquées de claques.
Abū Lahab s’allongea, et elle grimpa en roue enflammée, une position où elle tournait sur sa queue, son anus serré s’empalant en cercles.
— “Brûle mon cul, feu d’idole !” cria-t-elle, pivotant avec agilité, son anus serrant sa bite massive, ses seins tressautant.
Abū Lahab grogna, ses mains claquant ses fesses, laissant des marques rouges comme des braises.
— “Serre ma queue, salope en feu !” rugit-il, ses doigts fouillant son con trempé.
La sensation de son anus chaud et étroit le fit rugir, ses couilles battant ses cuisses. Hind hurla, ses jus coulaient, son orgasme la secouant comme une flamme.
Abū Lahab éjacula, un flot épais inondant son cul, dégoulinant sur le tapis comme de la cire fondue.
— “Leila, reine des flammes, viens te faire consumer !” tonna-t-il, sa bite encore raide, luisante de leurs fluides.
Leila s’avança, ses seins lourds nus, ses aréoles sombres pointant comme des étincelles, son con rasé palpitant d’huile de santal.
— “Allume-moi, idole !” lança-t-elle, s’asseyant sur un divan bas, jambes écartées pour une étreinte du bûcher, une position où elle s’enroulait autour de lui comme une flamme.
Abū Lahab la pénétra, sa queue épaisse plongeant dans son con gonflé, cognant son col.
— “Ton con est un incendie, salope !” grogna-t-il, ses mains malaxant ses seins, tirant ses tétons jusqu’à ce qu’elle hurle.
Leila, dans son tahr fertile, griffa son torse, ses hanches ondulaient, son con serrant sa bite comme un brasier.
— “Carbonise-moi, bâtard !” cria-t-elle, ses jus dégoulinant sur le divan.
La sensation de sa queue frottant ses parois internes la fit frémir, des vagues de chaleur irradiant dans son ventre.
Abū Lahab, ses muscles bandés, accéléra, ses grognements enflammés emplissant l’alcôve, et explosa, son sperme giclant au fond de son utérus, un flot brûlant qui la fit hurler d’extase, ses parois palpitant pour accueillir sa semence, scellant un possible destin.
— “Embrase mon cul, volcan !”
Elle s’installa en anal torche, à quatre pattes, hanches relevées, son anus serré offert comme un foyer. Abū Lahab s’enfonça, sa bite glissant dans son trou huilé, ses coups profonds imitant les flammes dansantes.
— “Ton cul est un brasier, pute !” rugit-il, ses mains claquant ses fesses, ses doigts pinçant ses aréoles.
Leila gémit, son anus serrant sa queue, chaque coup envoyant des ondes brûlantes dans ses reins.
— “Consume mon trou, fils de chienne !” cria-t-elle, ses doigts frottant son clitoris, amplifiant la sensation.
Il accéléra, ses couilles battant sa chatte, et éjacula, un flot épais inondant son cul, dégoulinant sur le tapis comme de la lave.
— “Enchaîne les flammes, idole !” lança Leila, formant une cascade d’embers à genoux avec Hind.
Hind lécha le con de Leila, tandis que Leila suçait la queue d’Abū Lahab.
— “Suce, flamme vivante !” ordonna-t-il, ses mains empoignant leurs cheveux, baisant la gorge de Leila.
Hind, gémissant, lapa ses jus, tandis que Leila, ses lèvres serrées, engloutit sa bite, ses gargouillements résonnant comme des crépitements.
Abū Lahab, enivré, gicla dans sa bouche, le sperme coulant sur ses seins comme des braises. Leila avala, ses yeux noirs fixant les siens, pleins de défi.
— “Un brasier, mais trop sauvage pour être père,” murmura-t-elle, son con palpitant de la semence qui pourrait germer.
Dans son esprit, elle pesait son feu : un amant incandescent, mais trop chaotique pour dominer son choix.

Chapitre 7 : Le Tourbillon des Flammes – L’Orgy Climax
Sous le drapeau rouge qui s’embrasait comme un incendie dévorant la nuit mecquoise, la maison close de Leila An-Nabigha flambait dans une orgie de vingt-quatre heures, un maelström de vin et de chair où la sainteté s’effondrait dans un délire profane. Les murs, drapés de tapisseries aux motifs blasphématoires – vierges nues brisées par des flammes, guerriers aux phallus érigés défiant des tempêtes de sable – scintillaient sous la lueur vacillante de chandelles d’onyx incrustées de grenats. L’atmosphère, saturée d’effluves de myrrhe brûlante et de vin capiteux de Taïf, vibrait d’une odeur âcre de sueur, de musc et de luxure déchaînée. Des tapis de laine écarlate s’étendaient, jonchés de coussins brodés de fils d’or, tandis que des plateaux d’étain débordaient de dattes mielleuses et de viandes calcinées. Des coupes de grès noir, remplies d’un nectar pourpre, scintillaient, carburant un chaos qui consumait le jour et la nuit.
Leila An-Nabigha, reine des drapeaux rouges, orchestrissait l’orgie, son regard noir perçant comme une lame de feu. Courtisane légendaire, elle était sculpturale, la peau cuivrée par les soleils du Hijaz, ses cheveux noirs cascadant en vagues indomptées, ses yeux sombres luisant d’une ruse souveraine. Sa tunique de soie diaphane, ornée de perles de cornaline, proclamait sa richesse, bâtie par son commerce charnel et ses intrigues avec les Quraysh. Ses mains, graciles mais autoritaires, portaient des bracelets d’or gravés de flammes. Leila, maîtresse des manipulations, se délectait de banquets où elle tissait des alliances, de danses ensorcelantes, et de tractations où son corps était une arme. Sexuellement, elle régnait, préférant les positions multi-partenaires : le cortège des flammes impies pour orchestrer les pénétrations, l’autel des sacrilèges ardents pour consumer les corps, la brèche des lances baptismales pour briser la vierge, et la chaîne des extases profanées pour synchroniser les cris. Elle aimait les hommes aux queues rigides et les femmes aux langues agiles, qu’elle pliait dans une symphonie de hurlements. Ce soir, dernier jour de son tahr fertile, elle devait être fécondée une dernière fois, scellant le destin de son futur fils, ‘Amr ibn al-‘Āṣ.
Les cinq lions de Quraysh, attirés par son pouvoir, s’avancèrent : Abū Sufyān ibn Ḥarb, marchand imposant aux cheveux noirs, riche d’épices, passionné de luttes tribales, aimant dominer par la force ; Umayya ibn Khalaf, brute trapue à la barbe grisonnante, riche d’esclaves, chasseur de hyènes, prisant la brutalité ; Hishām ibn al-Mughīra, poète élancé aux yeux noisette, riche de terres, amateur de récits, préférant la sensualité ; Abū Lahab ibn ‘Abd al-Muṭṭalib, colosse à la barbe rousse, riche de tributs païens, passionné de rituels, aimant les positions enflammées ; Al-‘Āṣ ibn Wā’il, riche marchand aux yeux sombres, amateur de tractations et de chasses, préférant les positions stratégiques. Avec elles, Hind (experte en anal), Zaynab (agile), Safiya (orale), Asma (fellations), et Maryam, la vierge de 18 ans, nonne chrétienne kidnappée lors d’une razzia à Nazareth, achetée par Leila comme cadeau pour les hommes choisis pour sa fécondation. Maryam, pieuse et destinée au couvent pour adorer Dieu et Jésus, était frêle, la peau pâle comme une lune voilée, ses cheveux châtains tressés en une natte serrée, ses yeux verts luisant d’une peur mêlée d’une curiosité interdite. Ses seins menus frémissaient sous l’huile de myrrhe, son con vierge palpitait d’appréhension, son anus intouché serré comme un secret divin, ses lèvres charnues et pulpeuses, enflées par la honte et le désir naissant, prêtes à s’enflammer au contact des corps. Sa piété s’effondrait dans cette initiation charnelle, où douleur et désir s’entremêlaient dans une extase profane.
— “Que ce bordel devienne un bûcher ! Alignez-vous, chiennes !” rugit Leila, vidant une coupe, le nectar pourpre éclaboussant ses seins.
Elle ordonna un cortège des flammes impies : les femmes, à quatre pattes en ligne sur les tapis écarlates, culs et bouches offerts, les hommes passant à tour de rôle, pénétrant n’importe quel trou. Leila menait, son con trempé accueillant la queue d’Abū Sufyān, tandis qu’Umayya baisait sa bouche, leurs mains claquant ses fesses et tirant ses cheveux.
— “Déchire mon con, salaud !” grogna-t-elle, son con serrant la bite massive d’Abū Sufyān, ses gargouillements étouffés par Umayya.
À côté, Hind hurlait, l’anus défoncé par Hishām, Safiya gémissait, suçant Abū Lahab, et Asma convulsait, le cul empalé par Al-‘Āṣ.
Maryam, tremblante, reçut Abū Lahab dans son con vierge, sa queue massive déchirant sa barrière.
— “Prends ma chatte, porc !” cria-t-elle, ses lèvres pulpeuses frémissant, ses yeux larmoyants, son con mouillant comme une fontaine malgré sa honte pieuse, la douleur se muant en un désir brûlant.
Les hommes tournaient, changeant de trous : Hishām plongea dans l’anus de Leila, Al-‘Āṣ dans la bouche de Zaynab, Abū Sufyān dans le con de Safiya. Leila, sur son dernier jour de tahr, ordonna à Al-‘Āṣ :
— “Féconde-moi, marchand, pour sceller mon empire !”
Il s’enfonça dans son con, ses mains griffant ses hanches, ses coups cognant son col, et explosa, son sperme giclant au fond de son utérus, un flot brûlant qui la fit hurler :
— “Remplis-moi, fils de chienne !”
Ses parois palpitèrent, scellant la conception d’‘Amr ibn al-‘Āṣ, futur conquérant.
Le clou du spectacle fut la brèche des lances baptismales, où Maryam, offerte par Leila comme baptême de baise, fut éclatée par les cinq bites des notables, trois simultanément, dans une débauche initiatique.
À quatre pattes sur un coussin pourpre, son corps frêle offert comme un autel païen, elle reçut Abū Sufyān dans son con vierge, sa queue massive déchirant ses parois, ses mains malaxant ses cuisses pâles, ses doigts s’enfonçant dans sa chair.
— “Ta chatte est mienne, nonne !” rugit-il, ses coups cognant son col, ses seins menus tressautant,
une chaleur brûlante irradiant dans son ventre.
Umayya, derrière, plongea dans son anus intouché, sa queue glissant dans son trou serré, ses mains claquant ses fesses, laissant des marques rouges comme des flammes.
— “Ton cul est un péché, pute !” grogna-t-il, la sensation de son anus brûlant le faisant trembler.
Hishām, face à elle, baisa sa bouche, sa bite s’enfonçant dans sa gorge, ses lèvres charnues s’enflammant au contact, ses mains tirant sa natte.
— “Suce, vierge profanée !” ordonna-t-il, ses gargouillements mêlés de larmes résonnant.
Maryam, submergée, hurla :
— “Éclatez-moi, porcs !” La douleur de ses orifices vierges se mua en une extase voluptueuse, son con mouillant comme une fontaine, son anus serrant Umayya, sa gorge palpitait sous Hishām.
Abū Lahab et Al-‘Āṣ rejoignirent le chaos : Abū Lahab remplaça Abū Sufyān dans son con, ses coups profonds frottant ses parois sensibles, tandis qu’Al-‘Āṣ, après Hishām, baisa sa bouche, ses mains malaxant ses seins.
— “Est-ce que l’adoration de ton Dieu te donne tout ce plaisir, nonne ?” lança Abū Sufyān, sa voix moqueuse.
Maryam, convulsant de plaisir, ses lèvres pulpeuses tremblantes, répondit dans un souffle extatique :
— “Mon Dieu m’a abandonnée, mais vos bites me sanctifient dans le feu !” Sa voix, brisée par l’extase, choqua les hommes, ses spasmes charnels secouant son corps frêle.
— “Ton Jésus t’a-t-il déjà fait jouir ainsi ?” rugit Umayya, baisant sa gorge.
— “Non, mais vos lances m’ouvrent les cieux !” gémit-elle, ses jus coulaient, son orgasme violent la faisant trembler comme une possédée.
— “Prie pour nous, vierge, pendant qu’on te baise !” railla Abū Lahab.
— “Je prie pour vos bites, elles sont mon salut !” répondit-elle, ses yeux verts flamboyant d’une extase profane.
Les cinq giclèrent : Abū Sufyān et Abū Lahab dans son con, Umayya et Al-‘Āṣ dans son cul, Hishām sur son visage, le sperme dégoulinant comme une pluie de flammes sur sa peau pâle.
— “Sur l’autel, bêtes !” tonna Leila, orchestrant un autel des sacrilèges ardents.
Les femmes s’allongèrent sur un divan bas, jambes écartées, tandis que les hommes alternaient.
Leila, pénétrée vaginalement par Hishām, suçait Umayya, pendant que Safiya léchait ses tétons.
— “Consume mon con, poète !” cria-t-elle, la queue d’Hishām frottant ses parois, les lèvres de Safiya envoyant des éclairs dans ses seins.
Maryam, encore tremblante, gémit sous Al-‘Āṣ, sa queue dans son con sensible, et Abū Sufyān dans son anus.
— “Déchirez mes trous, salauds !” cria-t-elle, ses lèvres pulpeuses frémissant, son con mouillant malgré sa honte.
— “Ton Dieu te voit-il jouir ainsi ?” railla Al-‘Āṣ.
— “Il me damne, mais je brûle pour vous !” répondit-elle, ses spasmes charnels résonnant comme une prière profane.
Hishām gicla dans le con de Leila, Umayya dans sa bouche, leurs fluides dégoulinant comme du métal fondu.
— “Chaîne des extases, maintenant !” ordonna Leila, formant une chaîne des extases profanées.
Les femmes, à genoux, s’alignèrent : Safiya lécha le con de Leila, Zaynab celui de Safiya, Asma celui de Zaynab, et Maryam suça Abū Sufyān.
Abū Lahab baisa la bouche de Leila, ses mains empoignant ses cheveux.
— “Suce, reine des putes !” rugit-il, sa bite glissant dans sa gorge.
Leila lapa les jus de Safiya, tandis que Maryam, brisée mais envoûtée, engloutit Abū Sufyān, ses lèvres charnues s’enflammant, ses larmes mêlées de sperme.
— “Ton Jésus t’a-t-il appris à sucer ainsi ?” lança Abū Sufyān.
— “Non, mais vos bites m’enseignent l’extase éternelle !” murmura-t-elle, son souffle haché par l’orgasme.
Abū Lahab gicla dans la bouche de Leila, le sperme coulant sur ses seins comme une pluie de cendres.
Leila avala, ses yeux noirs fixant les leurs, pleins de triomphe.
— “Des lions, mais des pions dans mon royaume,” murmura-t-elle, son con palpitant de la semence d’Al-‘Āṣ, scellant le destin d’‘Amr ibn al-‘Āṣ.

Chapitre 8 : L’Aube des Murmures – Résolution
Des lunes après l’orgie profane, les ruelles de La Mecque sifflaient de murmures : une vie germait dans le ventre de Leila An-Nabigha, la reine des drapeaux rouges. Sa maison close, sous un étendard écarlate frémissant comme une braise mourante, vibrait encore des échos d’une nuit sacrilège. Les murs, tendus de tapisseries aux motifs impies – déesses aux cuisses écartées chevauchant des tempêtes, guerriers aux phallus dressés brandissant des flammes – scintillaient sous la lueur pâle de lampes d’argile serties de turquoises. L’air, lourd d’effluves de jasmin calciné et de vin aigre de Taïf, portait une odeur âcre de sueur et de luxure résiduelle. Des tapis de laine safran s’étendaient, jonchés de coussins brodés d’or, tandis que des plateaux d’étain débordaient de grenades éclatées et de viandes fumantes. Des coupes de grès noir, remplies d’un nectar cramoisi, scintillaient, vestiges d’un délire qui avait consumé l’aube.
Leila, trônant au centre, était une déesse charnelle, sa peau cuivrée luisant comme une dune sous le crépuscule, ses cheveux noirs cascadant en vagues indomptées, ses yeux sombres perçant comme des éclairs. Sa tunique de soie diaphane, ornée de perles d’onyx, révélait ses seins lourds et son con rasé, palpitant d’huile d’ambre. Ses mains, graciles mais impérieuses, portaient des bracelets d’or gravés de serpents. Maîtresse des intrigues, elle orchestrait des banquets où elle nouait des alliances, des danses où ses hanches ensorcelaient, et des tractations où son corps était une lame. Sexuellement, elle dominait, prisant les positions multi-partenaires : la spirale des ombres impies pour tisser les pénétrations, l’autel des désirs profanés pour consumer les chairs, la brèche des lances humiliantes pour briser les fiertés, et la chaîne des cris sacrilèges pour harmoniser les hurlements. Elle aimait les queues rigides et les langues agiles, qu’elle pliait dans une symphonie de cris.
Les cinq lions de Quraysh, encore marqués par l’orgie, se disputaient la paternité du « petit bâtard » né de Leila.
— “Ma semence a triomphé !” rugit Abū Sufyān ibn Ḥarb, colosse aux cheveux noirs, riche d’épices, maître des luttes tribales.
— “Non, c’est la mienne !” grogna Umayya ibn Khalaf, brute trapue à la barbe grisonnante, riche d’esclaves, chasseur de hyènes.
Hishām ibn al-Mughīra, poète élancé aux yeux noisette, riche de terres, murmura :
— “Mes vers ont fécondé son ventre !”
Abū Lahab ibn ‘Abd al-Muṭṭalib, géant à la barbe rousse, riche de tributs païens, rugit :
— “Mon feu l’a engrossée !”
Al-‘Āṣ ibn Wā’il, marchand calculateur aux yeux sombres, riche d’or, resta muet, son regard pesant.
Leila, matrice du pouvoir, trancha :
— “C’est ton fils, Al-‘Āṣ, pour ton or qui fait vivre ma maison.”
Ainsi naquit ‘Amr ibn al-‘Āṣ, fruit du nikāḥ al-dā‘iya, futur conquérant d’empires et gouverneur de l’Égypte sous Omar ibn al-Khattāb et les Omeyyades, l’ombre du drapeau rouge dans ses murmures.
Mais Abū Sufyān, humilié par ce verdict, exigea une rançon cruelle.
Al-‘Āṣ, contraint, offrit sa femme légitime préférée, Khawla bint al-Hakam, une noble des Quraysh, non esclave, dont la beauté foudroyait les assemblées.
Âgée de 25 ans, Khawla était une vision sculptée par les dieux, élancée, sa peau d’olive luisant comme le bronze sous les feux du désert, ses cheveux noirs tombant en cascades soyeuses jusqu’à sa taille, tressés de fils d’argent pour les banquets, scintillant comme des étoiles. Ses yeux d’ambre, perçants comme ceux d’une panthère, brûlaient d’une fierté indomptable, capables de faire taire un chef d’un regard. Ses seins pleins, à peine voilés par des tuniques de lin translucide, sa taille fine comme une dune sculptée, et son cul ferme et rond, frémissant sous ses robes, étaient célébrés dans des odes tribales. Ses lèvres pulpeuses, peintes de henné rouge, exhalaient une sensualité arrogante, promettant extase et défi.
Fille d’un chef du clan Banū Makhzūm, Khawla était une poétesse légendaire, ses vers acérés lacérant les réputations lors des joutes verbales sous les tentes des notables. Elle se délectait de danses sous les étoiles, ses hanches ondulant comme le vent du désert, et de chevauchées sur des pur-sang, défiant les hommes dans des courses effrénées, son rire éclatant comme un défi. Son esprit mordant, teinté d’une ironie cruelle, faisait d’elle une figure à la fois crainte et adorée. Sexuellement, elle était une lionne, préférant les pénétrations anales où ses hanches imposaient le rythme, les fellations où ses lèvres ensorcelaient, et les jeux de pouvoir où ses mots et regards rendaient ses partenaires fous de désir.
Mariée à Al-‘Āṣ par une alliance stratégique unissant deux clans puissants, elle était son joyau, sa fierté, et son offrande à Abū Sufyān, exigée pour l’humilier, fut une blessure plus tranchante qu’une lame.
Khawla méprisait Leila, cette courtisane qu’elle jugeait inférieure, une « putain du sable » qui vendait son con pour de l’or, tandis qu’elle, noble, régnait par son esprit et sa beauté. Cette rivalité, murmurée dans les cercles Quraysh, rendait son humiliation d’autant plus amère, orchestrée par Leila comme un coup de maître.
— “Que ce bordel rugisse d’humiliation ! Alignez-vous, chiennes !” tonna Leila, vidant une coupe, le nectar cramoisi éclaboussant ses seins.
Elle ordonna une spirale des ombres impies : les femmes, à quatre pattes en cercle sur les tapis safran, culs et bouches offerts, les hommes tournant comme des vautours, pénétrant chaque trou à tour de rôle.
Leila menait, son con trempé avalant la queue massive d’Abū Sufyān, tandis qu’Umayya baisait sa bouche, leurs mains claquant ses fesses, tirant ses cheveux.
— “Éclate mon con, salaud !” rugit-elle, son con serrant sa bite, ses gargouillements étouffés par Umayya.
À côté, Hind hurlait, l’anus défoncé par Hishām, Safiya gémissait, suçant Abū Lahab, et Asma convulsait, le cul empalé par Al-‘Āṣ.
Maryam, la vierge nonne de 18 ans, frêle, pâle, ses cheveux châtains tressés, ses lèvres charnues luisant d’huile de jasmin, reçut Abū Lahab dans son con vierge.
— “Déchire ma chatte, porc !” cria-t-elle, ses yeux verts larmoyants, son con mouillant comme une oasis malgré sa honte pieuse, la douleur se muant en extase.
— “Ton Dieu te voit-il hurler ainsi ?” railla Abū Lahab.
— “Il me maudit, mais vos bites me baptisent !” répondit-elle, ses spasmes secouant son corps frêle.
Leila, dans son tahr fertile, ordonna à Al-‘Āṣ :
— “Féconde-moi encore, pour ton or !”
Il plongea dans son con, ses mains griffant ses hanches, ses coups cognant son col, et explosa, son sperme giclant au fond de son utérus, un flot brûlant qui la fit hurler :
— “Remplis-moi, fils de chienne !”
Ses parois palpitèrent, scellant la conception d’‘Amr ibn al-‘Āṣ.
Le clou fut la brèche des lances humiliantes, où Khawla, offerte à Abū Sufyān, fut baisée devant Al-‘Āṣ pour l’humilier.
Sur un coussin safran, à quatre pattes, Khawla, ses yeux d’ambre flamboyant de défi, reçut Abū Sufyān dans son anus, sa queue massive glissant dans son trou serré, ses mains claquant ses fesses fermes, laissant des marques rouges comme des braises.
— “Ton cul est à moi, chienne noble !” rugit-il, ses coups profonds faisant trembler ses cuisses, ses seins pleins tressautant, une chaleur brûlante irradiant dans son pelvis.
Hishām, face à elle, baisa sa bouche, sa bite s’enfonçant dans sa gorge, ses lèvres pulpeuses peintes de henné s’enflammant, ses mains tirant ses cheveux tressés d’argent.
— “Suce, poétesse profanée !” grogna-t-il, ses gargouillements résonnant comme une ode brisée.
Al-‘Āṣ, forcé de regarder depuis un divan, serra les poings, son humiliation amplifiée par les cris de Khawla :
— “Baise-moi, porc, devant mon époux, fais-moi reine des dunes !”
La douleur de son anus déchiré se mua en extase perverse, ses jus coulant comme une fontaine, son corps convulsant.
— “Ton mari t’a-t-il fait jouir ainsi ?” lança Abū Sufyān, sa voix moqueuse, ses mains malaxant ses seins.
Khawla, dans un spasme voluptueux, improvisa un vers rauque :
— “Ta queue forge ma gloire, où mon époux n’a su que plier !”
Ses mots, acérés comme ses poèmes, transpercèrent Al-‘Āṣ.
— “Ton alliance est brisée, Al-‘Āṣ, regarde ta lionne rugir !” railla Abū Sufyān, accélérant, son gland frottant les parois brûlantes de son anus.
— “Déchire-moi, bâtard, que Leila voie ma victoire !” gémit Khawla, son anus serrant sa bite, ses lèvres palpitaient sous Hishām, son orgasme violent secouant son corps comme une tempête.
Abū Sufyān gicla dans son cul, un flot épais dégoulinant comme de la lave, tandis que Hishām inonda son visage, le sperme coulant sur ses lèvres pulpeuses, scellant l’humiliation devant Al-‘Āṣ, dont les yeux sombres brûlaient de rage impuissante.
Puis vint la forge des chaînes profanes, une position inédite où Khawla, pour amplifier l’humiliation, fut pénétrée simultanément par Abū Sufyān et Umayya devant Al-‘Āṣ.
Allongée sur un divan bas, jambes écartées comme une offrande, Khawla reçut Abū Sufyān dans son con, sa queue massive cognant son col, tandis qu’Umayya s’enfonça dans son anus, ses coups brutaux synchronisés avec ceux d’Abū Sufyān.
— “Vous êtes à moi, noble pute !” rugit Abū Sufyān, ses mains pinçant ses tétons, ses doigts s’enfonçant dans ses seins pleins.
Umayya, claquant ses fesses, grogna :
— “Ton cul est une prison, chienne !”
Khawla, ses yeux d’ambre flamboyant, hurla :
— “Baisez-moi, porcs, que mon mari voie ma splendeur !”
La double pénétration, con et anus frottant en rythme, envoya des éclairs de feu dans son corps, ses jus coulant comme une rivière, ses spasmes secouant ses hanches.
— “Leila, regarde ta rivale jouir !” cria-t-elle, défiant la courtisane, ses lèvres pulpeuses tremblant d’extase.
Al-‘Āṣ, brisé, murmura :
— “Khawla, ma lionne…” mais ses mots se perdirent dans ses hurlements.
Abū Sufyān et Umayya giclèrent simultanément, leurs flots inondant son con et son cul, dégoulinant sur le divan comme une offrande profane, scellant l’humiliation sous les yeux de Leila, qui sourit, triomphante.
— “Sur l’autel, bêtes !” tonna Leila, orchestrant un autel des désirs profanés.
Les femmes s’allongèrent sur un divan bas, jambes écartées, tandis que les hommes alternaient.
Leila, pénétrée vaginalement par Hishām, suçait Umayya, pendant que Safiya léchait ses tétons.
— “Consume mon con, poète !” cria-t-elle, la queue d’Hishām frottant ses parois, les lèvres de Safiya envoyant des éclairs dans ses seins.
Maryam, tremblante, gémit sous Al-‘Āṣ, sa queue dans son con sensible, ses lèvres charnues frémissant.
— “Ton Jésus t’a-t-il appris à jouir ?” railla Al-‘Āṣ.
— “Non, mais vos lances m’ouvrent l’éternité !” répondit-elle, ses spasmes résonnant comme une prière profane.
Hishām gicla dans le con de Leila,
Umayya dans sa bouche, leurs fluides dégoulinant comme du métal fondu.
— “Chaîne des cris, maintenant !” ordonna Leila, formant une chaîne des cris sacrilèges. Les femmes, à genoux, s’alignèrent : Safiya lécha le con de Leila, Zaynab celui de Safiya, Asma celui de Zaynab, et Maryam suça Abū Sufyān.
Abū Lahab baisa la bouche de Leila, ses mains empoignant ses cheveux.
— “Suce, reine des putes !” rugit-il, sa bite glissant dans sa gorge.
Leila lapa les jus de Safiya, tandis que Maryam, brisée mais envoûtée, engloutit Abū Sufyān, ses lèvres charnues s’enflammant.
— “Ton Dieu t’a-t-il appris à sucer ?” lança Abū Sufyān.
— “Non, mais vos bites m’enseignent le paradis !” murmura-t-elle, son souffle haché par l’orgasme.
Abū Lahab gicla dans la bouche de Leila, le sperme coulant sur ses seins comme une pluie de murmures. Leila avala, ses yeux noirs fixant les leurs, pleins de triomphe.
— “Des lions, mais des pions dans mon royaume,” murmura-t-elle, son con palpitant de la semence d’Al-‘Āṣ.
Les murmures de cette nuit suivirent ‘Amr ibn al-‘Āṣ, preuve que le pouvoir naît dans l’obscurité des plaisirs.

Notes d’ancrage historique du récit
Leila An-Nabigha, mère d‘Amr ibn al-‘Āṣ, était l’une des dhawāt al-rayāt (femmes aux drapeaux) : Leila An-Nabigha, mère d‘Amr ibn al-‘Āṣ, était une prostituée parmi les clans de La Mecque. Elle arriva à La Mecque avec ses filles de joie, et al-‘Āṣ ibn Wā’il, durant la Jāhiliyya, s’unit à elle en même temps que plusieurs Qurayshites, dont Abū Lahab, Umayya ibn Khalaf, Hishām ibn al-Mughīra et Abū Sufyān ibn Ḥarb, tous en une seule période fertile. Elle donna naissance à ‘Amr, et les hommes se disputèrent sa paternité, chacun revendiquant être son père. Finalement, trois abandonnèrent la revendication, laissant deux prétendants : al-‘Āṣ ibn Wā’il et Abū Sufyān ibn Ḥarb. Abū Sufyān déclara : « Par Allah, c’est moi qui l’ai mis dans le ventre de sa mère ! » Mais al-‘Āṣ répliqua : « Ce n’est pas comme tu le dis, c’est mon fils ! » Ils laissèrent alors la mère trancher, et elle attribua l’enfant à al-‘Āṣ. Plus tard, on lui demanda : « Pourquoi as-tu fait cela, alors qu’Abū Sufyān est plus noble qu’al-‘Āṣ ? » Elle répondit : « Al-‘Āṣ subvenait aux besoins de mes filles, et si j’avais attribué l’enfant à Abū Sufyān, il n’aurait rien donné à al-‘Āṣ, et j’ai craint de tout perdre. » (Muthalib al-‘Arab d’al-Kalbī, pp. 78-79)
La mère d‘Amr ibn al-‘Āṣ, Leila An-Nabigha, était la prostituée la plus célèbre de La Mecque. Lorsqu’elle accoucha, cinq hommes revendiquèrent la paternité, tous l’ayant connue, mais Leila attribua ‘Amr à al-‘Āṣ, car il lui ressemblait le plus et dépensait davantage pour elle. Cela fut rapporté par Arwā bint al-Ḥārith ibn ‘Abd al-Muṭṭalib lorsqu’elle rencontra Mu‘āwiya. Il l’accueillit en disant : « Bienvenue, ô ma tante ! Comment vas-tu depuis notre séparation ? » Elle répondit : « Ô fils de mon frère ! Tu as renié la grâce, maltraité ton cousin le Compagnon, pris un nom qui n’est pas le tien, et usurpé un droit sans mérite ni effort de ta part ni de celle de tes ancêtres, sans précédent dans l’islam. Vous avez renié ce que Muhammad (paix et bénédictions sur lui et sa famille) a apporté. Que Dieu maudisse vos ancêtres et défigure vos visages jusqu’à ce que la vérité revienne à ses détenteurs, que la parole de Dieu soit la plus haute, et que notre prophète Muhammad (paix et bénédictions sur lui et sa famille) triomphe de ses ennemis, malgré la haine des polythéistes. Nous, la famille du Prophète, sommes les plus grands en religion, en mérite et en rang, jusqu’à ce que Dieu prenne Son prophète (paix et bénédictions sur lui et sa famille), pardonné, élevé en rang, honoré et satisfait auprès de Lui. Nous, la famille du Prophète, sommes pour vous comme la famille de Moïse face à celle de Pharaon, massacrant leurs fils et déshonorant leurs femmes. Le fils de l’oncle du maître des messagers, parmi vous après notre prophète, est comme Aaron pour Moïse, disant : ‘Ô fils de ma mère, ce peuple m’a affaibli et a failli me tuer.’ Après le Messager d’Allah, notre unité n’a pas été restaurée, nos épreuves n’ont pas été facilitées, notre but est le Paradis, et le vôtre est l’Enfer. »
‘Amr ibn al-‘Āṣ lui dit : « Ô vieille femme égarée, modère tes paroles et baisse les yeux ! » Elle rétorqua : « Qui es-tu ? Tu n’as pas de mère ! » Il répondit : « Je suis ‘Amr ibn al-‘Āṣ. » Elle lança : « Ô fils de la prostituée An-Nabigha ! Tu parles, alors que ta mère était la femme la plus célèbre de La Mecque, vendant ses services pour de l’argent. Quatre sur ton flanc, et occupe-toi de toi-même ! Par Allah, tu n’es pas de l’élite des Quraysh par ton lignage ni de leur noble rang. Six hommes de Quraysh ont revendiqué ta paternité, chacun disant être ton père. J’ai interrogé ta mère à leur sujet, et elle a dit : ‘Ils m’ont tous connue, regardez celui qui lui ressemble le plus et attribuez-le-lui.’ La ressemblance avec al-‘Āṣ ibn Wā’il l’a emporté, donc on t’a attribué à lui. J’ai vu ta mère à Minā avec chaque esclave débauché, et tu leur ressembles davantage. »
L’imam al-Ḥasan al-Zakī (que la paix soit sur lui), en présence de Mu‘āwiya et d’une assemblée, déclara : « Quant à toi, ô fils d’al-‘Āṣ, ton affaire est douteuse. Ta mère t’a enfanté dans l’ignorance et la débauche, et quatre Qurayshites se sont disputés ta paternité. Le boucher de Quraysh l’a emporté, le plus bas en lignage et le pire en rang. Puis ton père se leva, disant : ‘Je suis l’ennemi de Muhammad l’Apatride,’ et Allah révéla à son sujet ce qu’Il révéla. »
Al-Kalbī, Abū al-Mundhir Hishām (mort en 206), dans son livre Muthalib al-‘Arab, que nous possédons, parmi ceux qui glorifient les débauches de la Jāhiliyya, dit dans le chapitre sur les dhawāt al-rayāt : « Quant à An-Nabigha, mère d‘Amr ibn al-‘Āṣ, elle était une prostituée parmi les clans de La Mecque. Elle arriva avec ses filles, et al-‘Āṣ ibn Wā’il, durant la Jāhiliyya, s’unit à elle avec plusieurs Qurayshites, dont Abū Lahab, Umayya ibn Khalaf, Hishām ibn al-Mughīra et Abū Sufyān ibn Ḥarb, tous en une seule période fertile. Elle donna naissance à ‘Amr, et ils se disputèrent sa paternité, chacun revendiquant être son père. Trois abandonnèrent, laissant al-‘Āṣ ibn Wā’il et Abū Sufyān ibn Ḥarb. Abū Sufyān dit : ‘Par Allah, c’est moi qui l’ai mis dans le ventre de sa mère !’ Al-‘Āṣ répondit : ‘Ce n’est pas comme tu le dis, c’est mon fils !’ Ils laissèrent la mère trancher, et elle attribua l’enfant à al-‘Āṣ. On lui demanda : ‘Pourquoi as-tu fait cela, alors qu’Abū Sufyān est plus noble qu’al-‘Āṣ ?’ Elle répondit : ‘Al-‘Āṣ subvenait aux besoins de mes filles, et si j’avais attribué l’enfant à Abū Sufyān, il n’aurait rien donné à al-‘Āṣ, et j’ai craint de tout perdre.’ ‘Amr ibn al-‘Āṣ prétendit que sa mère était une femme de Ghanzah ibn Asad ibn Rabī‘a. »
Parmi les débauchés célèbres de La Mecque, on compte ces hommes mentionnés, ainsi que Umayya ibn ‘Abd Shams, ‘Abd al-Raḥmān ibn al-Ḥakam (frère de Marwān ibn al-Ḥakam), ‘Utba ibn Abī Sufyān (frère de Mu‘āwiya), et ‘Uqba ibn Abī Mu‘ayṭ.
Al-Kalbī les compta parmi les prétendants dans le chapitre sur les ad‘iyā’ (prétendants) de la Jāhiliyya, disant : Al-Haytham rapporta : « Parmi les prétendants, il y a ‘Amr ibn al-‘Āṣ, dont la mère An-Nabigha était Abyssine, et sa sœur utérine Arinb (avec un ‘a’ damaté) était revendiquée par ‘Afīf ibn Abī al-‘Āṣ. ‘Uthmān demanda à ‘Amr ibn al-‘Āṣ : ‘Pour qui ta sœur Arinb était-elle revendiquée, ô ‘Amr ?’ Il répondit : ‘Pour ‘Afīf ibn Abī al-‘Āṣ.’ ‘Uthmān dit : ‘Tu dis vrai.’ »

Abū ‘Ubayda Ma‘mar ibn al-Muthannā (mort en 209), dans son livre al-Anṣāb, rapporta : « À la naissance d‘Amr, deux hommes se disputèrent sa paternité : Abū Sufyān et al-‘Āṣ. On dit : ‘Laissez sa mère trancher.’ Elle déclara : ‘Il est d’al-‘Āṣ ibn Wā’il.’ Abū Sufyān dit : ‘Je n’ai aucun doute, c’est moi qui l’ai mis dans le ventre de sa mère,’ mais elle insista pour al-‘Āṣ. On lui demanda : ‘Abū Sufyān est plus noble.’ Elle répondit : ‘Al-‘Āṣ dépensait beaucoup pour moi, tandis qu’Abū Sufyān est avare.’ À ce sujet, Ḥassān ibn Thābit ridiculisa ‘Amr ibn al-‘Āṣ avec ces vers : ‘Ton père est Abū Sufyān, sans doute, les signes sont clairs en toi. Fais-en ton orgueil, et ne te vante pas d’al-‘Āṣ, le déchu ibn Wā’il. Celle qui a tranché l’a fait par espoir de gain, disant que ‘Amr vient d’al-‘Āṣ, et tous le savent quand les caravanes se rassemblent.’ »
Al-Zamakhsharī, dans Rabī‘ al-Abrār, dit : « An-Nabigha, mère d‘Amr ibn al-‘Āṣ, était une esclave d’un homme de ‘Anza. Elle fut capturée, puis achetée par ‘Abd Allāh ibn Jad‘ān al-Taymī à La Mecque, et devint prostituée. » Il répéta le récit d’al-Kalbī et attribua les vers à Abū Sufyān ibn al-Ḥārith ibn ‘Abd al-Muṭṭalib. Il ajouta : « Quelqu’un offrit mille dirhams à un homme pour demander à ‘Amr ibn al-‘Āṣ, alors gouverneur d’Égypte, à propos de sa mère, dont le statut n’était pas honorable. L’homme lui dit : ‘Je veux connaître la mère de l’émir.’ ‘Amr répondit : ‘Oui, elle était une femme de ‘Anza, puis des Banū Jallān, nommée Leila, surnommée An-Nabigha. Va prendre ton argent.’ »
Al-Ḥalabī, dans Sīra (vol. 1, p. 46), sur les mariages des prostituées et le nikāḥ al-jam‘, dit : « Parmi les types de mariages de la Jāhiliyya, le premier est quand une prostituée est connue par plusieurs hommes l’un après l’autre ; si elle conçoit et accouche, l’enfant est attribué à celui qui lui ressemble le plus. Le deuxième est quand un groupe de moins de dix hommes s’unit à une femme des dhawāt al-rayāt ; si elle conçoit et accouche, après quelques nuits, elle les convoque, et aucun ne peut refuser. Elle déclare : ‘Vous savez ce qui s’est passé ; j’ai accouché, et c’est ton fils, ô untel,’ nommant celui qu’elle préfère, et l’enfant lui est attribué, sauf si un autre lui ressemble davantage. Il est possible que la mère d‘Amr ibn al-‘Āṣ appartienne à ce deuxième type, car on dit qu’elle fut connue par quatre hommes : al-‘Āṣ, Abū Lahab, Umayya et Abū Sufyān, tous revendiquant ‘Amr, qu’elle attribua à al-‘Āṣ pour ses dépenses envers ses filles. »
Dans Anṣāb al-Ashrāf d’al-Balādhurī : « ‘Abbās ibn Hishām al-Kalbī, de son père, dit : ‘Aqīl visita Mu‘āwiya, qui lui demanda : ‘Ô Abū Yazīd, quelle grand-mère de votre lignée était la pire durant la Jāhiliyya ?’ ‘Aqīl répondit : ‘Ḥamāma.’ Mu‘āwiya fut abasourdi. Hishām ajouta : ‘Ḥamāma était la grand-mère d’Abū Sufyān, l’une des dhawāt al-rayāt.’ Al-Madā’inī, de Ibn Abī al-Zinād, de son père, dit : ‘Mu‘āwiya demanda à ‘Aqīl ibn Abī Ṭālib : “N’y a-t-il pas une lubricité évidente chez vos hommes, ô Banū Hāshim ?!” ‘Aqīl répondit : “Mais elle est plus évidente chez vos femmes, ô Banū Umayya !”’ »
Dans Mawsū‘at al-Imām ‘Alī ibn Abī Ṭālib : « Sumayya était l’une des dhawāt al-rayāt à Taïf, payant un tribut à al-Ḥārith ibn Kaldah, vivant dans le quartier des prostituées, hors de la ville, appelé Ḥārat al-Baghāyā. » Et ailleurs : « Abū Maryam al-Salūlī dit : ‘Je ne sais pas quoi témoigner contre moi, mais j’étais marchand de vin à Taïf. Abū Sufyān, revenant d’un voyage, mangea et but, puis me demanda : “Ô Abū Maryam, la séparation fut longue, as-tu une prostituée ?” Je répondis : “Je n’ai qu’une esclave des Banū ‘Ajlān.” Il dit : “Amène-la-moi pour ses gros seins et l’odeur de ses aisselles.” Je l’amenai, il s’unit à elle, puis revint et dit : “Ô Abū Maryam, j’ai besoin d’eau pour me laver, car un fils est né dans son œil !”’ »
Dans al-Gharāt d’Ibrāhīm ibn Muḥammad al-Thaqafī : « Mu‘āwiya, voyant qu’il avait offensé ses compagnons, demanda : ‘Ô Abū Yazīd, que dis-tu de moi ?’ ‘Aqīl répondit : ‘Laisse-moi.’ Mu‘āwiya insista : ‘Tu parleras !’ ‘Aqīl dit : ‘Connais-tu Ḥamāma ?’ ‘Qui est Ḥamāma ?’ demanda Mu‘āwiya. ‘Aqīl l’informa et partit. Mu‘āwiya envoya chercher un généalogiste, qui, sous serment, révéla : ‘Ḥamāma était ta grand-mère, la mère d’Abū Sufyān, une prostituée avec un drapeau.’ Abū Bakr ibn Zubayn ajouta : ‘C’était la mère de la mère d’Abū Sufyān.’ »
Dans Sharḥ Nahj al-Balāgha d’Ibn Abī al-Ḥadīd : « [‘Alī] demanda : ‘Qui est celui à ta droite, ô Mu‘āwiya ?’ ‘C’est ‘Amr ibn al-‘Āṣ,’ répondit-il. [‘Alī] rit et dit : ‘Quraysh sait que son père était le meilleur pour compter les béliers.’ ‘Et celui-là ?’ ‘C’est al-Ḍaḥḥāk ibn Qays al-Fihrī.’ ‘Par Allah, son père était habile à saisir les cordes des béliers.’ ‘Et celui-ci ?’ ‘C’est Abū Mūsā al-Ash‘arī.’ ‘Son père était connu à Médine comme ayant la meilleure odeur.’ Mu‘āwiya, voulant détourner la colère, demanda : ‘Ô Abū Yazīd, que dis-tu de moi ?’ ‘Laisse-moi !’ ‘Tu parleras !’ ‘Connais-tu Ḥamāma ?’ ‘Qui est Ḥamāma ?’ ‘Je t’ai informé,’ dit ‘Aqīl, puis partit. Mu‘āwiya envoya chercher un généalogiste, qui, sous serment, révéla : ‘Ḥamāma était la grand-mère d’Abū Sufyān, une prostituée avec un drapeau.’ Mu‘āwiya dit à ses compagnons : ‘Je vous ai égalés et surpassés, ne soyez pas en colère.’ »
Dans Faḍā’il Amīr al-Mu’minīn d’Ibn ‘Aqda al-Kūfī : « [‘Alī] passa près de l’armée de Mu‘āwiya, vit Abū al-A‘war et des hypocrites, mais pas Abū Sufyān. Plus tard, il demanda : ‘Que m’as-tu fait ?’ ‘N’ai-je pas dit : dans la foule ou seul ? Tu as refusé.’ ‘Guéris-moi de mon ennemi.’ ‘Cela sera au départ.’ Le lendemain, ‘Alī aborda Mu‘āwiya : ‘Qui est à ta droite ?’ ‘‘Amr ibn al-‘Āṣ.’ [‘Alī] rit : ‘Quraysh sait que son père comptait les béliers.’ ‘Et celui-ci ?’ ‘Abū Mūsā.’ ‘Sa mère avait la meilleure odeur à Médine.’ ‘Parle de moi.’ ‘Connais-tu Ḥamāma ?’ puis partit. Mu‘āwiya, intrigué, envoya des généalogistes qui révélèrent : ‘Ḥamāma était la grand-mère d’Abū Sufyān, une prostituée avec une maison.’ »
Dans al-Ghadīr : « Dans al-‘Iqad al-Farīd (vol. 3, p. 3) : ‘Abū Sufyān, ivre, visita les drapeaux et demanda : “As-tu une prostituée ?” Elle répondit : “Je n’ai que Sumayya.” Il dit : “Amène-la pour l’odeur de ses aisselles.” Il s’unit à elle, et elle donna naissance à Ziyād sur le lit d’un esclave.’ »
Dans Jawāhir al-Tārīkh d’Alī al-Kūrānī al-‘Āmilī : « Dans al-Manāqib wa al-Mathālib d’al-Qāḍī al-Nu‘mān (p. 243) : Al-Kalbī rapporte d’Abū Ṣāliḥ et al-Haytham, de Muḥammad ibn Isḥāq, que Mu‘āwiya était dépravé, et sa mère Hind bint ‘Utba était une prostituée enseignante, préférant les Noirs. Si elle concevait d’un Noir, elle tuait l’enfant ! On dit que Mu‘āwiya fut attribué à trois hommes : Mas‘afir ibn Abī ‘Amr, ‘Umarah ibn al-Walīd, et al-‘Abbās ibn ‘Abd al-Muṭṭalib. Abū Sufyān les fréquentait, mais quiconque l’accompagnait était accusé à cause de l’infamie de Hind. Mas‘afir, beau, plut à Hind, qui envoya le chercher ; elle conçut Mu‘āwiya de lui, ressemblant à son père en beauté. Abū Sufyān, laid et petit, contrastait. Un esclave yéménite noir engendra ‘Utba ; Hind, voulant le tuer comme les autres, le garda voyant sa peau claire dominée par le blanc. »

Références :
Al-Balādhurī. (n.d.). Anṣāb al-ashrāf [Genealogies of the nobles]. (Page 72).
Al-Ḥalabī. (n.d.). Sīra [Biography] (Vol. 1, p. 46).
Al-Kalbī, H. (206 H/821 CE). Muthalib al-‘Arab [Flaws of the Arabs] (pp. 78-79).
Al-Kūrānī al-‘Āmilī, A. (n.d.). Jawāhir al-tārīkh [Jewels of history] (Vol. 2, p. 78).
Al-Nu‘mān, al-Qāḍī. (n.d.). Al-manāqib wa al-mathālib [Virtues and flaws] (p. 243). (Cited in al-Kūrānī al-‘Āmilī, Jawāhir al-tārīkh).
Al-Thaqafī, I. ibn M. (n.d.). Al-gharāt [The raids] (Vol. 1, p. 65).
Ibn ‘Aqda al-Kūfī. (n.d.). Faḍā’il amīr al-mu’minīn [Virtues of the commander of the faithful] (p. 40).
Ibn Abī al-Ḥadīd. (n.d.). Sharḥ nahj al-balāgha [Commentary on the path of eloquence] (Vol. 2, p. 125).
Ibn al-Muthannā, M. (209 H/824 CE). Al-anṣāb [Genealogies]. (No specific page cited).
Al-ghadīr [The reservoir] (Vols. 2, pp. 121-124; Vol. 10, p. 224). (n.d.).
Al-‘iqad al-farīd [The unique necklace] (Vol. 3, p. 3). (n.d.). (Cited in Al-ghadīr).
Mawsū‘at al-imām ‘Alī ibn Abī Ṭālib fī al-kitāb wa al-sunna wa al-tārīkh [Encyclopedia of Imam ‘Alī ibn Abī Ṭālib in the book, tradition, and history] (Vol. 12, pp. 125-126, nos. 6510-6511). (n.d.).
Al-Zamakhsharī. (n.d.). Rabī‘ al-abrār [Spring of the pious]. (No specific page cited).

Commentaires sur les Références :
1. Muthalib al-‘Arab d’al-Kalbī (Hishām ibn Muḥammad al-Kalbī, décédé en 206 H / 821 CE), pages 78-79 : Ce livre, un traité sur les "défauts" des tribus arabes, est une œuvre généalogique et satirique typique de la littérature arabe médiévale. Al-Kalbī, un savant persan connu pour ses travaux sur les généalogies, compile des anecdotes de la Jāhiliyya pour exposer les mœurs païennes. Le passage décrit Leila An-Nabigha comme une prostituée (baghiyya) des dhawāt al-rayāt, recevant cinq notables Quraysh (Al-‘Āṣ, Abū Sufyān, etc.) en une période fertile (tahr), et attribuant ‘Amr à Al-‘Āṣ pour des raisons économiques. Ce récit est central pour dépeindre ‘Amr comme un "bâtard" de débauche.
2. Anṣāb al-Ashrāf d’al-Balādhurī (Aḥmad ibn Yaḥyā al-Balādhurī, décédé en 892 CE), page 72 : Anṣāb al-Ashrāf est une encyclopédie généalogique majeure, compilant les lignées arabes et islamiques. Al-Balādhurī, historien sunnite, s'appuie sur des traditions orales et écrites pour retracer les origines. Le passage rapporte un échange entre ‘Aqīl ibn Abī Ṭālib et Mu‘āwiya sur Ḥamāma, grand-mère d’Abū Sufyān, identifiée comme une dhāt al-rayāt (prostituée).
3. Sīra d’al-Ḥalabī (Nūr al-Dīn al-Ḥalabī, 16e siècle), volume 1, page 46 : Sīra al-Ḥalabiyya est une biographie détaillée du Prophète Muḥammad, incluant des sections sur la Jāhiliyya. Al-Ḥalabī, savant sunnite ottoman, compile des sources antérieures pour contextualiser les réformes islamiques. Le passage discute des types de mariages jahiliyens, comme le nikāḥ al-jam‘ (mariage collectif), appliqué au cas de Leila An-Nabigha, où plusieurs hommes s’unissent à une prostituée en une période fertile, et la mère choisit le père.
4. al-Ghadīr (d’al-Aminī, 20e siècle), volumes 2, pages 121-124 ; volume 10, page 224 : Al-Ghadīr fī al-Kitāb wa al-Sunna wa al-Adab ‘an al-Ghadīr wa Mawāqif al-Khilāf est une œuvre chiite monumentale sur la succession d’‘Alī, compilant des hadiths et récits historiques. L’auteur, ‘Abd al-Ḥusayn al-Aminī, utilise des sources anciennes pour critiquer les Omeyyades. Le passage cite al-‘Iqad al-Farīd sur Abū Sufyān et Sumayya, une dhāt al-rayāt, donnant naissance à Ziyād, et étend cela à Leila et ‘Amr.
5. al-Gharāt d’Ibrāhīm ibn Muḥammad al-Thaqafī (8e-9e siècle), volume 1, page 65 : Al-Gharāt est un recueil de récits sur les conquêtes et les anecdotes tribales. Al-Thaqafī, historien taïfite, compile des traditions orales. Le passage décrit un dialogue entre ‘Aqīl et Mu‘āwiya sur Ḥamāma, révélée comme grand-mère d’Abū Sufyān, une prostituée avec un drapeau.
6. Sharḥ Nahj al-Balāgha d’Ibn Abī al-Ḥadīd (décédé en 1258 CE), volume 2, page 125 : Sharḥ Nahj al-Balāgha est un commentaire chiite sur les sermons d’‘Alī, compilant des anecdotes historiques. Ibn Abī al-Ḥadīd, savant mu‘tazilite, utilise des sources sunnites et chiites. Le passage rapporte un échange entre ‘Alī et Mu‘āwiya sur ‘Amr ibn al-‘Āṣ et Ḥamāma, grand-mère d’Abū Sufyān.
7. Faḍā’il Amīr al-Mu’minīn d’Ibn ‘Aqda al-Kūfī (9e siècle), page 40 : Faḍā’il Amīr al-Mu’minīn est un recueil chiite sur les vertus d’‘Alī. Ibn ‘Aqda, savant kufien, compile des traditions pour défendre ‘Alī contre Mu‘āwiya. Le passage décrit ‘Alī confrontant Mu‘āwiya sur ses compagnons, incluant ‘Amr ibn al-‘Āṣ et Ḥamāma.
8. al-Ghadīr (d’al-Aminī, 20e siècle), volumes 2, pages 121-124 ; volume 10, page 224 : (Déjà commenté ci-dessus, comme référence 4 ; c’est la même source, avec des citations internes.)
9. Jawāhir al-Tārīkh d’al-Kūrānī al-‘Āmilī (17e siècle), volume 2, page 78 : Jawāhir al-Tārīkh est une histoire chiite, compilant des récits sur les imams. Al-Kūrānī, savant chiite, cite al-Manāqib wa al-Mathālib d’al-Qāḍī al-Nu‘mān sur Hind bint ‘Utba, mère de Mu‘āwiya, une prostituée préférant les Noirs.
10. Sīra d’al-Ḥalabī (déjà commenté ci-dessus, comme référence 3).
11. Rabī‘ al-Abrār d’al-Zamakhsharī (décédé en 1144 CE) : Rabī‘ al-Abrār est un recueil de biographies pieuses et anecdotes. Al-Zamakhsharī, savant sunnite mutazilite, compile des histoires morales. Le passage décrit Leila An-Nabigha comme esclave d’un homme de ‘Anza, achetée à La Mecque et devenue prostituée.
12. al-Anṣāb d’Abū ‘Ubayda Ma‘mar ibn al-Muthannā (décédé en 209 H / 824 CE) : Al-Anṣāb est un traité généalogique. Abū ‘Ubayda, philologue, compile des traditions orales. Le passage rapporte la dispute sur la paternité d‘Amr entre Abū Sufyān et al-‘Āṣ, tranchée par Leila pour des raisons économiques.

Les avis des lecteurs

Bravo pour ce travail historique, pour votre travail de recherche et votre écriture impeccable.
Un conseil: pour rendre la lecture plus facile, il eut été bon de publier en plusieurs fois et d'aérer le texte, qui, sur le fond, est excellent, remarquable.



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