Les carnets de Clara : 2

- Par l'auteur HDS CDuvert -
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Récit libertin : Les carnets de Clara : 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les carnets de Clara : 2
Second carnet
## 20 août 2024 8h30

Hier soir, j'ai reçu un message de Damien : "Retrouvez-moi ce soir à 20h au 47 rue des Martyrs. Appartement 3B." Une adresse que je ne connaissais pas, différente de son domicile.

J'ai mis ma plus belle lingerie sous une robe noire cintrée. En arrivant à l'adresse indiquée, j'ai découvert un appartement meublé avec goût, manifestement loué pour l'occasion. Des bougies éclairaient le salon d'une lumière dorée et sensuelle.

"J'ai pensé que nous méritions un cadre à la hauteur de nos... échanges", m'a-t-il dit en m'accueillant, vêtu d'un simple peignoir de soie.

L'appartement était décoré avec un soin particulier. Des miroirs sur les murs. Des chaînes de soie accrochées au-dessus du lit. Un coffret en cuir dont je n'osais imaginer le contenu. Damien portait un regard différent ce soir-là, plus possessif, plus animal.

"Clara, vous m'avez éveillé des désirs que je croyais enfouis à jamais", m'a-t-il dit en caressant ma joue. "Êtes-vous prête à explorer avec moi des plaisirs plus... raffinés ?"

Sa main s'est refermée sur ma gorge avec une douceur ferme. Cette pression légère m'a envoyé des frissons dans tout le corps. J'ai hoché la tête, incapable de parler, déjà conquise par cette nouvelle facette de sa personnalité.

Il m'a déshabillée avec une lenteur cérémonielle, ses mains parcourant chaque centimètre de peau révélée. Quand j'ai été entièrement nue, il m'a fait m'agenouiller sur les coussins disposés au pied du lit.

"Regardez-vous", a-t-il ordonné en dirigeant mon visage vers le grand miroir. "Regardez comme vous êtes belle dans cette posture de soumission."

## 20 août 2024 - Après-midi

Mon reflet dans le grand miroir était saisissant. Agenouillée sur les coussins de soie bordeaux, mes cuisses écartées révélant l'intimité luisante de mon sexe, mes seins lourds se soulevant au rythme de ma respiration haletante. Mes poignets entravés par les liens de soie nacrée me donnaient l'apparence d'une offrande vivante.

"Admirez cette beauté", murmura Damien en se plaçant derrière moi. "Cette femme magnifique qui accepte de se livrer entièrement."

Ses mains parcoururent lentement mes épaules, descendirent le long de mes bras tendus. La soie des liens caressait ma peau avec une douceur trompeuse. Chaque fibre semblait vibrer contre mes poignets, rappelant ma condition de prisonnière consentante.

Sa bouche se posa sur ma nuque, y déposant des baisers brûlants. Sa langue traça une ligne de feu jusqu'à mon oreille. "Vous tremblez", constata-t-il avec satisfaction. "Votre corps réclame déjà mes caresses."

Il avait raison. Mon ventre se contractait d'anticipation. Mes tétons durcis pointaient vers le miroir comme pour implorer une attention. Entre mes cuisses, une moiteur délicieuse témoignait de mon excitation grandissante.

Damien contourna lentement les coussins. Dans le miroir, je voyais son torse nu, ses muscles saillants sous la peau dorée. Son pantalon de lin révélait l'évidence de son désir. Cette vision attisa encore mon propre feu.

Il a ouvert le coffret de cuir avec une solennité rituélique. À l'intérieur, disposés sur du velours noir, une collection d'objets troublants. Une plume d'autruche blanche aux reflets nacrés. Des pinces délicates reliées par une chaînette dorée. Un petit fouet aux lanières de soie. Un collier de velours rouge orné d'une clochette d'argent.

"Chaque objet a sa fonction", expliqua-t-il en prenant la plume. "Celui-ci éveille la peau."

La plume effleura mon épaule droite. Un frisson électrique parcourut tout mon corps. Le duvet soyeux dansait sur ma peau comme une caresse d'ange. Il dessina des cercles autour de mon sein, contourna l'aréole gonflée sans jamais toucher le mamelon qui se dressait d'impatience.

"Damien...", gémis-je, ma voix brisée par le désir.

"Chut." Sa voix claqua comme un ordre. "Les suppliantes ne parlent que lorsqu'on les y autorise."

La plume descendit vers mon ventre, traça des arabesques sur ma peau frémissante. Chaque contact déclenchait des ondes de plaisir qui convergeaient vers mon sexe palpitant. Mes hanches ondulaient malgré moi, quémandant plus de ces effleurements divins.

Il changea d'instrument. Les pinces dorées scintillèrent dans la lumière tamisée. "Celles-ci intensifient chaque sensation."

La première pince se referma délicatement sur mon téton gauche. La pression était juste assez forte pour créer un mélange exquis de douleur et de plaisir. Mon dos se cambra instinctivement, offrant ma poitrine à ses manipulations expertes.

La seconde pince trouva son jumeau. La chaînette qui les reliait pendait entre mes seins, oscillant au moindre mouvement. Chaque balancement tirait délicatement sur mes mamelons captifs, envoyant des décharges directement à mon sexe brûlant.

"Maintenant, le collier", a-t-il annoncé en brandissant le velours rouge.

Ses mains ont noué le tissu soyeux autour de mon cou. La clochette tinta doucement contre ma gorge. Ce son cristallin marquait désormais chacun de mes mouvements, chacun de mes gémissements. J'étais devenue son jouet musical, sa créature apprivoisée.

Le fouet est venu compléter cette panoplie de raffinement. Il caressait ma peau avec une douceur trompeuse. Chaque lanière laissait une trace de feu sur mes cuisses, mon ventre, mes seins. La douleur se mêlait au plaisir dans un cocktail enivrant qui me faisait perdre la raison. Mes hanches se soulevaient instinctivement, quémandant plus de ces caresses brûlantes.

Les pinces sur mes tétons créaient une pression constante qui irradiait des ondes de plaisir dans tout mon corps. Le moindre mouvement les faisait osciller, envoyant des décharges électriques jusqu'à mon sexe palpitant. Le collier autour de mon cou tintait doucement à chacun de mes gémissements, rappel constant de ma soumission consentie.

"Plus fort", ai-je supplié d'une voix brisée par le désir. "Je vous en prie, Damien..."

Son rire grave a résonné dans la chambre aux murs tapissés de velours rouge. L'éclairage tamisé des bougies projetait nos ombres entrelacées sur les surfaces dorées. L'air était saturé du parfum capiteux de l'encens et de ma propre excitation.

"Pas encore, ma belle esclave", a-t-il murmuré en traçant du bout des doigts les marques roses que le fouet avait laissées sur ma peau. "Nous avons toute la nuit devant nous."

Mes poignets étaient attachés aux montants du lit par des liens de soie rouge assortis au collier. Mes jambes écartées, maintenues par des sangles de cuir doublées de fourrure, m'offraient entièrement à sa merci. Cette vulnérabilité acceptée décuplait chaque sensation, transformait chaque effleurement en torture délicieuse.

Il a fait glisser le fouet le long de ma colonne vertébrale. Les lanières de soie ont épousé la courbe de mes reins, caressé le galbe de mes fesses. Mon dos s'est cambré violemment, mes seins se sont tendus vers le plafond, faisant danser les pinces dorées qui les ornaient.

"Regardez-vous", a-t-il ordonné en orientant ma tête vers le miroir disposé au-dessus du lit. "Admirez cette créature magnifique que vous êtes devenue."

L'image qui me faisait face m'a coupé le souffle. Cette femme aux cheveux châtains étalés sur les draps de satin, aux yeux brillants de larmes de plaisir, aux lèvres entrouvertes sur des gémissements silencieux... Cette déesse entravée qui se cambre sous les caresses d'un fouet, c'était vraiment moi.

Le cuir a claqué soudain sur mes cuisses écartées. Plus sec, plus cinglant que la soie. Mon cri s'est répercuté dans la chambre comme une mélodie interdite. La brûlure s'est propagée jusqu'à mon sexe déjà ruisselant, ajoutant une note de violence à ma symphonie de plaisir.

"Comptez", a ordonné Damien. "Chaque coup. Je veux entendre votre voix supplier."

Le fouet de cuir s'est abattu à nouveau, zébrant mes fesses d'une ligne rouge. "Un", ai-je halé. Puis sur l'autre fesse. "Deux." Mes hanches ondulaient malgré les entraves, cherchant instinctivement plus de contact, plus de douleur, plus de plaisir.

Entre chaque coup, ses doigts experts exploraient ma chair brûlante. Il caressait les marques fraîches, soufflait dessus pour apaiser la morsure, puis traçait des cercles autour de mon intimité sans jamais la toucher directement. Cette frustration calculée me rendait folle de désir.

"Votre cyprine coule sur mes draps", a-t-il constaté avec une satisfaction évidente. "Cette douleur vous excite, n'est-ce pas Clara ? Avouez-le."

"Oui... oui, elle m'excite", ai-je confessé dans un souffle. "J'aime sentir votre fouet sur ma peau. J'aime être à votre merci."

Cette confession m'arrachait autant qu'elle me libérait. Reconnaître publiquement ma nature masochiste naissante brisait les derniers remparts de mes anciennes inhibitions. J'étais devenue cette créature de luxure qui gémit sous les coups et en redemande.

Le fouet de soie a repris sa danse sur mon corps offert. Cette fois, les lanières ont effleuré mon sexe gonflé, caressé mes lèvres entrouvertes, taquiné mon clitoris durci. Mes cuisses ont tremblé si fort que les sangles ont grincé. Un orgasme fulgurant montait déjà, menaçant de me submerger.

"Non", a-t-il dit fermement en éloignant l'instrument de torture délicieux. "Vous ne jouirez qu'avec ma permission."

Mes sanglots de frustration se mêlaient à mes gémissements de plaisir. Cette alternance entre satisfaction et privation créait une tension érotique presque insoutenable. Mon corps tout entier n'était plus qu'un brasier de désir inassouvi, chaque terminaison nerveuse réclamant sa dose de plaisir.

Il s'est penché sur moi, sa bouche trouvant la mienne dans un baiser violent. Sa langue a envahi ma bouche avec la même autorité que son fouet possédait mon corps. Je pouvais goûter son désir, sentir sa propre excitation dans la façon dont ses lèvres dévoraient les miennes.

"Vous apprenez vite", a-t-il murmuré contre mon cou. "Cette soumission vous va si bien. Vous êtes née pour être dominée, Clara."

Ses mots résonnaient comme une vérité que j'avais toujours sue sans oser me l'avouer. Cette Clara timide et effacée n'était qu'un masque. En dessous couvait cette créature de feu qui ne demandait qu'à être dressée par une main experte.

Quand enfin il m'a autorisée à jouir, l'explosion a été si violente que j'ai perdu connaissance quelques secondes. Mon corps s'est arqué au dessus du lit, tous mes muscles contractés dans un spasme d'extase absolue. Les pinces sur mes tétons ont amplifié chaque pulsation, le collier a tinté frénétiquement au rythme de mes convulsions.

En retombant pantelante sur les draps trempés, j'ai compris que cette nuit marquait un tournant définitif. J'avais franchi une nouvelle frontière dans l'exploration de ma sexualité. Demain, il me faudra des sensations encore plus intenses pour atteindre de tels sommets.

Cette Clara masochiste qui renaît chaque soir sous les caresses expertes de Damien me fascine autant qu'elle m'effraie. Mais je sais désormais que je ne pourrai plus jamais me contenter de plaisirs conventionnels. Mon corps et mon âme réclament cette intensité, cette violence contrôlée qui me révèle à moi-même.


"Regardez-vous", ordonna-t-il de nouveau en dirigeant mon visage vers le miroir. "Regardez cette créature de luxure."

Mon reflet me sidéra. Cette femme aux joues rougies, aux yeux brillants de désir, aux lèvres entrouvertes sur des halètements. Les pinces ornaient mes seins comme des bijoux obscènes. Le collier soulignait la gracilité de mon cou tendu. Mon sexe entrouvert luisait d'excitation.

Damien s'agenouilla entre mes cuisses écartées. Sa langue traça une ligne brûlante de mon genou jusqu'à l'aine, s'arrêtant juste avant d'atteindre ma chair palpitante. Cette proximité sans contact me fit gémir d'impatience.

"Suppliez-moi", murmura-t-il contre ma cuisse frémissante. "Montrez-moi à quel point vous me désirez."

"Je vous en prie", balbutiai-je, la voix brisée. "Léchez-moi. Prenez-moi. Faites de moi ce que vous voulez."

Son sourire carnassier me fit frissonner. "Voilà qui est mieux."

Sa bouche se posa enfin sur mon sexe ruisselant. Sa langue experte s'insinua entre mes lèvres gonflées, trouva ce petit bouton de chair sensible que mes propres doigts avaient tant caressé. Chaque coup de langue déclenchait des spasmes de plaisir qui irradiaient dans tout mon corps.

Mes hanches se soulevaient pour aller à la rencontre de sa bouche gourmande. Les liens de soie tiraient sur mes poignets, rappelant ma captivité volontaire. Cette impuissance décuplait chaque sensation. J'étais entièrement à sa merci, son jouet sensuel parfaitement dressé.

Sa langue s'enfonça plus profondément en moi. Il buvait ma cyprine comme un nectar précieux, ses gémissements de plaisir vibrant contre ma chair sensible. Ses mains empoignèrent mes fesses, me plaquant plus fermement contre sa bouche avide.

L'orgasme monta en moi comme une vague dévastatrice. Mon corps se tendit, mes muscles se contractèrent autour de sa langue experte. La clochette tinta frénétiquement contre ma gorge tandis que des spasmes délicieux me parcouraient à nouveau de la tête aux pieds.

"Damien !" Son nom jaillit de ma gorge dans un cri primitif. Mon corps explosa dans une déflagration de plaisir si intense que ma vision se brouilla. Les sensations déferlèrent par vagues successives, chaque pulsation plus forte que la précédente.

Quand les derniers soubresauts s'apaisèrent, je m'effondrai sur les coussins, pantelante. Damien se redressa, le visage luisant de mon plaisir, un sourire satisfait aux lèvres.



## 22 août 2024

Cette nuit, Damien a franchi un nouveau palier dans notre exploration commune. Il m'a demandé de me présenter devant lui dans une tenue particulière : des bas résille noirs, des escarpins vertigineux, et rien d'autre que le collier de velours.

L'appartement baignait dans une pénombre dorée, éclairé uniquement par quelques bougies disposées stratégiquement. L'odeur de l'encens de jasmin flottait dans l'air, créant une atmosphère de temple dédié aux plaisirs charnels. Mes jambes tremblaient légèrement dans les bas résille, le motif géométrique dessinant sur ma peau des ombres fascinantes. Les escarpins, d'un noir laque brillant, me grandissaient de douze centimètres et transformaient ma silhouette en une sculpture vivante de la séduction.

"Marchez pour moi", a-t-il ordonné depuis son fauteuil de cuir. "Montrez-vous sous tous les angles."

Sa voix grave portait cette autorité tranquille qui me faisait perdre tous mes moyens. Il sirotait un verre de cognac, ses yeux gris acier ne me quittant pas une seconde. Son torse nu révélait des muscles finement dessinés, sa peau mate contrastant avec le cuir fauve du fauteuil. Un pantalon de lin beige moulait ses cuisses puissantes, laissant deviner une érection naissante qui me faisait déjà saliver d'anticipation.

Cette parade sensuelle m'a procuré un plaisir trouble. Mes seins se balançaient à chaque pas, libres et fiers, les tétons durcis par l'excitation et la fraîcheur de l'air. Mes fesses se contractaient dans la démarche chaloupée qu'imposaient les talons, créant un jeu de muscles qui fascinait visiblement Damien. Dans les miroirs disposés aux quatre coins de la pièce, je voyais une créature de luxure qui me ressemblait et ne me ressemblait pas.

Mon reflet me renvoyait l'image d'une courtisane de haut vol, une Vénus moderne aux jambes interminables gainées de résille noire. Le collier de velours autour de mon cou, orné de sa petite clochette dorée, tintait doucement à chaque mouvement. Ce son cristallin ponctuait ma démarche d'une mélodie érotique qui électrisait mes sens. Ma chatte commençait à s'humidifier, mes lèvres intimes se gonflaient sous l'effet du désir grandissant.

"Plus lentement", murmurait Damien, sa main libre caressant distraitement son entrejambe. "Je veux savourer chaque détail."

J'ai ralenti ma cadence, transformant chaque pas en une caresse visuelle. Mes hanches ondulaient dans un rythme hypnotique, mes bras se balançaient avec grâce, mes cheveux châtains cascadaient sur mes épaules nues comme un rideau soyeux. L'air caressait ma peau échauffée, chaque souffle créant des frissons délicieux qui couraient le long de ma colonne vertébrale.

"Arrêtez-vous", ordonna-t-il quand je fus face à lui, à moins d'un mètre. "Écartez les jambes. Lentement."

Mes cuisses se sont séparées avec une lenteur calculée, révélant progressivement mon intimité humide. Les poils de mon pubis, soigneusement taillés en triangle parfait, encadraient mes lèvres roses déjà brillantes de cyprine. L'air frais sur ma chatte mouillée me faisait gémir doucement, chaque respiration attisant le feu qui couvait en moi.

"Magnifique", souffla Damien, ses pupilles dilatées par le désir. "Vous êtes une œuvre d'art vivante, Clara."

"Maintenant, caressez-vous", a-t-il ajouté d'une voix rauque. "Mais ne jouissez pas sans ma permission."

Cette interdiction a décuplé mon excitation. Mes mains ont trouvé naturellement mes seins, les pétrissant avec une douceur calculée. La peau satinée de mes globes parfaits se réchauffait sous mes paumes, mes tétons se durcissaient davantage entre mes doigts attentionnés. Je les pinçais délicatement, envoyant des décharges de plaisir directement vers mon bas-ventre palpitant.

Mes hanches ont commencé à onduler malgré moi, cherchant instinctivement un contact qui ne viendrait pas. La frustration attisait paradoxalement mon désir, chaque caresse refusée décuplant l'intensité de celles qui suivaient. Mes mains descendaient lentement vers mon ventre plat, effleurant la peau douce au-dessus de mon mont de Vénus.

Me donner du plaisir sous son regard avide créait une tension érotique presque insoutenable. J'étais à la fois spectatrice et actrice de ce théâtre charnel qu'il orchestrait avec une maîtrise consommée. Ses yeux ne perdaient aucun détail de mes gestes, suivant le trajet de mes doigts sur ma peau frémissante. Sa respiration s'accélérait imperceptiblement, trahissant son propre trouble face à ce spectacle d'abandon contrôlé.

"Touchez votre sexe", ordonna-t-il d'une voix plus grave. "Mais restez debout. Je veux tout voir."

Ma main droite a glissé entre mes cuisses écartées, trouvant immédiatement la moiteur brûlante de ma fente intime. Mes lèvres étaient gonflées et ouvertes, ruisselantes de ce nectar qui témoignait de mon excitation extrême. Du bout de l'index, j'ai effleuré l'entrée de mon vagin, récoltant cette cyprine parfumée que j'ai portée à mes lèvres sous le regard fasciné de Damien.

"Goûtez-vous", murmura-t-il. "Dites-moi quel goût vous avez."

"Sucré... légèrement salé", ai-je halété en léchant mes doigts humides. "Avec une pointe de musc qui me rend folle."

Cette description crue a arraché un gémissement sourd à Damien. Sa main massait maintenant ouvertement son sexe tendu à travers le tissu de son pantalon. Cette vision de sa perte de contrôle face à ma sensualité attisait mon propre brasier intérieur.

Quand mes doigts ont trouvé mon clitoris gonflé, j'ai gémi si fort que la clochette de mon collier a tinté frénétiquement. Ce petit bouton de chair était dur et palpitant, réclamant impérieusement mes caresses. Je l'ai effleuré du bout des doigts, envoyant des décharges électriques dans tout mon bassin. Mes jambes ont failli céder sous l'intensité de ces sensations.

"Pas encore", a-t-il ordonné d'une voix ferme. "Retirez votre main. Immédiatement."

J'ai obéi, retirant ma main au bord de l'orgasme, haletante de frustration et d'excitation. Mon clitoris palpitait douloureusement, réclamant la conclusion de ces caresses interdites. Mes cuisses tremblaient, mes tétons étaient si durs qu'ils me faisaient mal. Cette privation forcée transformait mon corps en un instrument de torture délicieuse.

"Suppliez-moi", exigea Damien en se levant lentement. "Montrez-moi à quel point vous avez besoin de jouir."

"Je vous en prie", ai-je gémi, ma voix brisée par le désir. "Laissez-moi me donner du plaisir. Mon corps vous appartient, mais il a besoin de libération."

Il s'est approché, sa présence imposante m'enveloppant comme une vague de chaleur masculine. Son parfum boisé mêlé à l'odeur de sa peau échauffée créait un cocktail enivrant qui troublait mes sens déjà en émoi. Sa main a effleuré ma joue, descendant lentement vers mon cou, s'attardant sur le collier de velours.

"Pas encore", répéta-t-il en reculant. "Nous avons toute la nuit."

Cette alternance entre plaisir et privation a duré des heures. Damien me faisait me caresser jusqu'au bord de l'extase, puis m'ordonnait d'arrêter au moment crucial. Mes jambes ne me portaient plus, je tremblais de tout mon corps, mes lèvres intimes ruisselaient d'un nectar abondant qui coulait le long de mes cuisses.

À chaque cycle, l'intensité montait d'un cran. Mes gémissements se transformaient en supplications, mes caresses devenaient plus désespérées. Damien me faisait explorer des zones érogènes que j'ignorais : l'intérieur de mes cuisses, le creux de mes genoux, la cambrure de mes reins. Chaque centimètre de ma peau devenait hypersensible sous ses instructions savantes.

"Maintenant, enfoncez deux doigts en vous", ordonna-t-il lors du sixième cycle. "Mais lentement. Très lentement."

Mes doigts ont pénétré ma chair brûlante avec une lenteur exquise. Les parois de mon vagin se contractaient autour de cette intrusion bienvenue, muscles affamés qui réclamaient plus de profondeur, plus de rythme. L'humidité qui s'écoulait de moi facilitait chaque mouvement, créant des bruits obscènes qui résonnaient dans le silence tendu de la pièce.

"Plus profond", haleta Damien, sa propre excitation devenant incontrôlable. "Trouvez ce point qui vous rend folle."

Mes doigts ont exploré les replis secrets de mon intimité, cherchant cette zone magique que peu d'hommes savent découvrir. Quand je l'ai trouvée, une décharge fulgurante a traversé mon bassin. Mes genoux ont fléchi, un cri rauque a jailli de ma gorge. Cette stimulation du point G créait un type de plaisir différent, plus profond, plus viscéral.

"Arrêtez", ordonna-t-il une fois encore. "Regardez-moi dans les yeux et retirez vos doigts."

L'obéissance m'était devenue une seconde nature. Malgré la torture que représentait cette privation, j'ai retiré mes doigts trempés, soutenant son regard brûlant. Mes yeux étaient voilés par le désir, mes lèvres entrouvertes sur un souffle court. Dans les miroirs, je voyais une bacchante en transe, une créature primitive entièrement soumise à ses instincts charnels.

Vers trois heures du matin, quand mon corps n'était plus qu'un brasier d'excitation pure, Damien s'est enfin approché. Ses mains ont encadré mon visage avec une tendresse qui contrastait avec la dureté de ses ordres précédents.

"Maintenant, ma belle", murmura-t-il contre mes lèvres. "Donnez-vous le plaisir que vous méritez. Et cette fois, n'arrêtez pas."

Quand enfin il m'a autorisée à jouir, l'explosion a été si violente que je me suis effondrée sur le tapis persan, convulsée de spasmes délicieux. Mon orgasme a déferlé par vagues irrépressibles, chaque contraction de mon sexe arrachant des cris rauques à ma gorge. Mes jambes se sont tendues puis relâchées dans une danse incontrôlée, mes seins se soulevaient au rythme de ma respiration haletante.

Les heures de frustration accumulée ont démultiplié l'intensité de cette libération finale. Mon clitoris pulsait encore longtemps après la fin des spasmes, envoyant des répliques délicieuses dans tout mon corps épuisé. Damien s'est agenouillé près de moi, caressant mes cheveux trempés de sueur.

"Vous avez été parfaite", chuchota-t-il en déposant un baiser sur mon front. "Cette nuit, vous avez découvert les plaisirs de l'attente et de la soumission. Votre corps m'appartient maintenant complètement."

crées une suite à la partie suivante. dans cette suite, Damien pénètre Clara vaginalement et pren son propre plaisir sans se soucier de la jeune femme

Quand enfin il m'a autorisée à jouir, l'explosion a été si violente que je me suis effondrée sur le tapis persan, convulsée de spasmes délicieux. Mon orgasme a déferlé par vagues irrépressibles, chaque contraction de mon sexe arrachant des cris rauques à ma gorge. Mes jambes se sont tendues puis relâchées dans une danse incontrôlée, mes seins se soulevaient au rythme de ma respiration haletante.

Les heures de frustration accumulée ont démultiplié l'intensité de cette libération finale. Mon clitoris pulsait encore longtemps après la fin des spasmes, envoyant des répliques délicieuses dans tout mon corps épuisé. Damien s'est agenouillé près de moi, caressant mes cheveux trempés de sueur.

"Vous avez été parfaite", chuchota-t-il en déposant un baiser sur mon front. "Cette nuit, vous avez découvert les plaisirs de l'attente et de la soumission. Votre corps m'appartient maintenant complètement."

J’ai confirmé “ Je suis à vous, totalement à vous “

Mes paroles de soumission totale avaient allumé quelque chose de primitif dans les yeux de Damien. Alors que je gisais encore pantelante sur le tapis persan, savourant les derniers échos de mon orgasme, il s'est redressé lentement. Son regard avait changé. Plus sombre. Plus possessif.

"Maintenant que vous m'appartenez", a-t-il murmuré d'une voix rauque, "je vais prendre ce qui me revient de droit."

Il a retiré sa chemise d'un geste brusque, révélant son torse musclé où perlaient déjà des gouttes de sueur. Ses mains ont défait sa ceinture avec une hâte mal contenue. Son pantalon a rejoint le tas de vêtements dispersés dans la chambre aux miroirs.

Son sexe jaillissait de son boxer, dressé et palpitant. Plus imposant que dans mes souvenirs, gonflé par des heures de désir contenu. La chair tendue luisait dans la lumière tamisée des bougies. Les veines saillantes parcouraient sa longueur comme des rivières de sang brûlant.

"Regardez l'effet que vous me faites", a-t-il dit en se caressant lentement. "Regardez comme j'ai envie de vous."

J'étais encore allongée sur le tapis, mes jambes écartées révélant mon intimité gonflée et luisante. Mon sexe palpitait encore des échos de ma jouissance récente. Mes lèvres étaient ouvertes comme une fleur épanouie, révélant la chair rose et humide de mon intérieur.

Damien s'est agenouillé entre mes cuisses. Ses mains ont saisi mes hanches avec une fermeté possessive. Je sentais la chaleur de son sexe contre ma peau, cette masse dure et brûlante qui réclamait son dû.

"Je vais vous prendre maintenant", a-t-il annoncé d'une voix grave. "Fort. Sans ménagement. Parce que vous m'appartenez."

Ses mots ont réveillé en moi un frisson d'appréhension mêlée d'excitation. Cette facette dominatrice de Damien me troublait autant qu'elle m'attirait. L'homme raffiné des premières rencontres laissait place à un mâle primitif réclamant ses droits.

Il a positionné son gland contre mon entrée encore dilatée par l'orgasme. La sensation de cette chair dure contre ma sensibilité exacerbée m'a fait tressaillir. Un gémissement s'est échappé de mes lèvres entrouvertes.

"Vous êtes si étroite", a-t-il murmuré en forçant lentement le passage. "Si chaude et si serrée autour de moi."

La pénétration s'est faite d'un coup, brutal et possessif. Son sexe a envahi mon intimité dans un mouvement puissant qui m'a arrachée au tapis. Un cri de surprise et de plaisir mêlés a jailli de ma gorge. Mes mains se sont agrippées à ses épaules tandis qu'il s'enfonçait entièrement en moi.

La sensation était intense, presque douloureuse après la sensibilité exacerbée de mon orgasme récent. Mes muscles intimes se contractaient autour de sa verge comme pour l'expulser, mais il résistait, s'ancrant profondément dans ma chair.

"Détendez-vous", a-t-il ordonné en maintenant ses hanches plaquées contre les miennes. "Laissez-moi vous posséder complètement."

Ses mots avaient un effet hypnotique. Mon corps s'est peu à peu habitué à cette intrusion. Les parois de mon sexe se sont assouplies, épousant parfaitement les contours de sa verge palpitante. Une nouvelle forme de plaisir naissait, différente de celle que je venais de connaître.

Damien a commencé un mouvement de va-et-vient lent et profond. Chaque pénétration me remplissait entièrement, ses testicules venant claquer contre mes fesses. Chaque retrait créait un vide délicieux que la poussée suivante venait combler avec une violence maîtrisée.

"Vous sentez comme je vous prends ?", haleta-t-il contre mon oreille. "Comme votre corps m'accueille parfaitement ?"

Ses hanches accéléraient le rythme. Le bruit de nos chairs qui se rencontraient résonnait dans la chambre silencieuse. Mes seins se balançaient au rythme de ses assauts, mes tétons durcis pointant vers le plafond orné de miroirs.

Dans les reflets au-dessus de nous, je voyais nos corps enlacés dans cette danse primitive. Damien me dominait complètement, ses muscles bandés par l'effort, son visage contracté par la concentration. J'étais offerte sous lui, jambes écartées, totalement soumise à son plaisir.

Ses mains ont quitté mes hanches pour se poser sur mes seins. Ses paumes chaudes ont emprisonné ma chair gonflée, ses doigts pinçant délicatement mes mamelons sensibles. Cette stimulation supplémentaire a déclenché de nouvelles vagues de plaisir dans mon ventre.

"Vous aimez quand je vous prends comme ça ?", a-t-il grogné en accentuant ses poussées. "Quand je vous baise sans me soucier de votre plaisir ?"

Ses mots crus contrastaient avec le raffinement habituel de son langage. Cette brutalité soudaine me troublait et m'excitait à la fois. J'étais devenue son objet de plaisir, réduite à un simple réceptacle pour sa jouissance masculine.

Le rythme s'est encore accéléré. Damien me pilonnait maintenant avec une violence sauvage, ses hanches claquant contre les miennes dans un rythme effréné. Ses testicules heurtaient mon périnée à chaque poussée, ajoutant une sensation nouvelle à ce concert de chair.

Ma tête ballottait d'avant en arrière sous la violence de ses assauts. Mes cheveux épars sur le tapis persan encadraient mon visage rougi par l'effort et l'excitation. Mes lèvres entrouvertes laissaient échapper des gémissements saccadés, ponctuation sonore de cette possession brutale.

"Je vais jouir en vous", a-t-il annoncé d'une voix rauque. "Je vais remplir votre sexe de ma semence."

Cette promesse m'a électrisée. L'idée de recevoir son essence masculine au plus profond de moi réveillait des instincts primitifs que je ne me connaissais pas. Mon corps se préparait à accueillir cette marque ultime de possession.

Ses mouvements devenaient plus saccadés, moins contrôlés. Je sentais sa verge gonfler encore dans mon étau de chair, prête à exploser. Ses respirations se transformaient en grognements bestiaux qui résonnaient contre mon cou.

L'orgasme l'a fauché brutalement. Son dos s'est arqué, ses muscles se sont tendus comme des cordes. Un rugissement primitif a jailli de sa gorge tandis que sa semence jaillissait au fond de mon ventre par jets puissants et chauds.

Je sentais chaque pulsation de son sexe contre mes parois intimes. Sa jouissance se déversait en moi par vagues successives, marquant mon territoire intime de son empreinte masculine. Cette sensation de remplissage m'a procuré une satisfaction trouble, mélange de soumission et de fierté féminine.

Il s'est effondré sur moi, haletant, son poids m'écrasant délicieusement contre le tapis. Son sexe restait enfoui dans ma chair, palpitant encore des derniers échos de sa jouissance. Sa semence chaude coulait lentement le long de mes cuisses, témoignage visible de sa possession.

"Vous m'appartenez maintenant", a-t-il murmuré contre ma nuque moite. "Complètement et définitivement."

Cette nuit marquait une nouvelle étape dans ma transformation. J'avais découvert les plaisirs de la soumission totale, puis l'ivresse d'être possédée sans ménagement par un homme qui ne cherchait que son propre plaisir. Cette révélation ajoutait une dimension nouvelle à ma palette sensuelle, celle de l'abandon absolu entre les mains d'un maître exigeant.



## 23 août 2024

Damien m'a fait une proposition qui me trouble et m'excite à la fois. Il organise des soirées privées avec des amis triés sur le volet, des connaisseurs des plaisirs raffinés. Il souhaite que j'y participe.

"Vous seriez la reine de ces soirées", m'a-t-il expliqué en caressant mes cheveux. "Admirée, désirée, mais intouchable sauf avec votre permission expresse."

L'idée d'être exhibée devant des inconnus, de sentir leurs regards brûlants parcourir mon corps, me procure des frissons d'anticipation mêlés d'appréhension. Cette Clara exhibitionniste qui grandit en moi réclame cette reconnaissance ultime de sa beauté et de son pouvoir.

"Réfléchissez-y", m'a-t-il dit en déposant un baiser sur mon front. "Vous avez découvert votre sensualité avec Thomas, votre pouvoir avec Marcus, votre soumission avec moi. Il ne vous reste plus qu'à apprivoiser l'adoration d'un public conquis."

Ce soir, seule dans mon lit, je me caresse en imaginant ces regards masculins rivés sur moi. Mon corps nu offert à leur contemplation, leurs désirs frustrés mais attisés par ma présence. Cette perspective m'excite au-delà de tout ce que j'ai connu. Demain, je donnerai ma réponse à Damien.

Ma transformation est presque achevée. De la timide stagiaire à la reine de la sensualité, il ne me reste plus qu'un pas à franchir.

## 24 août 2024

J'ai accepté la proposition de Damien. Ma réponse a fusé sans que j'aie le temps de réfléchir davantage. Cette perspective d'être admirée par plusieurs hommes à la fois me consume littéralement. La première soirée aura lieu samedi dans un appartement privé du 16ème arrondissement.

"Huit invités triés sur le volet", m'a précisé Damien au téléphone. "Des hommes de goût, amateurs de beauté féminine. Ils ne pourront que vous contempler, sauf si vous en décidez autrement."

Il m'a donné des instructions précises pour ma tenue : une robe longue noire fendue jusqu'à mi-cuisse, sans sous-vêtements, des bijoux dorés, mes cheveux libres. "Vous serez une déesse grecque descendue sur terre pour éblouir les mortels."

J'ai passé l'après-midi à me préparer. Épilation intégrale, gommage à la rose, crème satinée sur tout le corps. Mes seins sont fermes et hauts, mes mamelons roses parfaitement dessinés. Mon sexe entièrement lisse révèle la délicate architecture de mes lèvres intimes. Dans le miroir de ma salle de bains, je contemple cette créature de rêve que je suis devenue.

## 25 août 2024

La robe que j'ai choisie épouse mes formes comme une seconde peau. Le tissu noir mat absorbe la lumière tout en révélant chaque courbe de mon corps. Sans soutien-gorge, mes seins se dessinent parfaitement sous l'étoffe, mes tétons pointant délicatement à travers la soie. La fente remonte jusqu'au haut de ma cuisse, dévoilant mes jambes interminables à chaque pas.

Mes mains tremblent légèrement en appliquant mon rouge à lèvres carmin. Cette excitation mêlée d'appréhension me rappelle ma première nuit devant la fenêtre ouverte. Mais cette fois, je ne serai plus seule face à mon reflet. Huit regards masculins vont me dévorer, huit hommes vont fantasmer sur mon corps offert à leur contemplation.

Damien doit venir me chercher à 20h. Dans une heure, ma nouvelle vie va commencer. Celle où je régnerai en maîtresse absolue sur les désirs masculins.

## 26 août 2024 - 3h du matin

Je viens de rentrer. Mon corps vibre encore des sensations de cette soirée extraordinaire. Jamais je n'aurais imaginé ressentir une telle puissance, une telle ivresse du pouvoir.

L'appartement était somptueux. Salon aux boiseries dorées, éclairage tamisé par des bougies, canapés de cuir fauve disposés en arc de cercle. Au centre, une estrade recouverte de velours rouge. Mon théâtre.

Quand je suis entrée au bras de Damien, les conversations se sont tues d'un coup. Huit paires d'yeux se sont braquées sur moi, parcourant ma silhouette avec une avidité non dissimulée. Ces hommes distingués, la cinquantaine élégante, perdaient instantanément contenance face à ma beauté.

"Messieurs, je vous présente Clara", a annoncé Damien. "Notre muse de ce soir."

Je me suis avancée lentement vers l'estrade, mes hanches ondulant naturellement sous les regards brûlants. Mes talons claquaient sur le parquet en rythme avec les battements accélérés de mon cœur. La fente de ma robe s'ouvrait à chaque pas, dévoilant la nacre de ma cuisse nue.

"Bonsoir messieurs", ai-je murmuré d'une voix grave en montant sur l'estrade. "J'espère que vous apprécierez le spectacle."

Sur l'estrade de velours rouge, j'étais devenue le centre de l'univers de ces huit hommes. Leurs yeux ne me quittaient pas, suivant chacun de mes mouvements avec une fascination hypnotique. Cette adoration silencieuse nourrissait mon excitation comme de l'essence sur un brasier.

J'ai commencé par une danse lente, laissant la musique guider mes gestes. Mes mains caressaient ma taille, remontaient vers mes seins, redescendaient vers mes hanches. Le tissu de ma robe ondulait autour de moi comme une vague noire, révélant et dissimulant tour à tour les trésors de mon corps.

"Elle est magnifique", a chuchoté l'un d'eux. "Absolument parfaite."

Ces compliments attisaient ma vanité naissante. J'ai fait glisser les bretelles de ma robe, dévoilant mes épaules nacrées. Le décolleté plongeant révélait la naissance de mes seins, cette vallée soyeuse où perlaient déjà quelques gouttes de sueur d'excitation.

Leurs respirations se faisaient plus saccadées. Je voyais leurs mains se crisper sur les accoudoirs, leurs jambes se déplacer pour dissimuler leur excitation grandissante. Cette réaction collective à ma beauté me procurait une jouissance d'une intensité inouïe.

La suite de la soirée restera gravée dans ma mémoire à jamais. Encouragée par leurs regards affamés, j'ai laissé ma robe glisser entièrement. Le tissu s'est étalé en corolle noire à mes pieds, me laissant entièrement nue sur l'estrade éclairée.

Un silence religieux s'est installé. Huit hommes contemplaient ma nudité parfaite, mes seins fermes aux tétons roses dressés, ma taille fine, mes hanches pleines, mon sexe lisse et nacré. J'étais Vénus sortie des eaux, déesse de l'amour incarnée.

"Mon dieu...", a soufflé l'un d'eux. "Elle est un chef-d'œuvre."

J'ai commencé à me caresser, lentement, sensuellement. Mes mains épousaient mes courbes, mes doigts traçaient des cercles autour de mes mamelons durcis. Cette exhibition contrôlée décuplait mon plaisir. Voir ces hommes respectables perdre contenance, les entendre gémir d'envie, sentir leur désir palpable dans l'air surchauffé du salon...

Ma main droite a glissé vers mon intimité brûlante. Mes lèvres étaient gonflées d'excitation, ruisselantes de cyprine. Du bout des doigts, j'ai effleuré mon clitoris gonflé, arrachant un cri d'envie à plusieurs spectateurs.

"Regardez comme elle est mouillée", ai-je murmuré d'une voix rauque. "Regardez l'effet que vous me faites."

Les gémissements qui leur échappaient nourrissaient ma jouissance exhibitionniste. Je me caressais plus intensément, mes doigts dansant sur ma chair sensible dans un ballet obscène. Ma main libre pétrissait mes seins, pinçait délicatement mes mamelons dressés. Chaque caresse arrachait des soupirs rauques à mon assistance captivée.

"Plus fort", a murmuré une voix dans l'ombre. "Montrez-nous comme vous jouissez."

Cette demande m'a embrasée davantage. Mes doigts ont trouvé l'entrée de mon sexe, glissant dans ma moiteur avec une facilité délicieuse. Je me pénétrais lentement, mes muscles intimes se contractant autour de mes phalanges. Le spectacle de ma propre profanation les rendait fous de désir.

Un homme s'est levé brusquement, sa respiration saccadée trahissant son excitation extrême. "Je... je ne peux plus", a-t-il balbutié en se dirigeant vers les toilettes. Son départ précipité m'a fait sourire. Mon pouvoir sur ces hommes atteignait des sommets vertigineux.

Mes mouvements s'accéléraient. Mes doigts allaient et venaient dans ma chair brûlante tandis que mon pouce taquinait mon clitoris gonflé. L'air du salon était chargé de parfums mêlés : mon musc féminin, l'odeur de l'excitation masculine, les bougies parfumées qui vacillaient sous nos souffles haletants.

"Clara... mon dieu, Clara...", gémissait Damien depuis son fauteuil. Son visage était contracté par l'effort qu'il faisait pour ne pas me rejoindre sur l'estrade. Cette retenue forcée attisait mon plaisir sadique. Je voulais les voir tous supplier, ramper de désir.

Ma main libre a quitté mes seins pour caresser mon ventre, mes hanches, l'intérieur de mes cuisses. Je m'exhibais sans pudeur, offrant à leurs regards chaque parcelle de ma chair frémissante. Mes jambes écartées révélaient l'intimité de mon sexe béant, mes lèvres roses luisantes de cyprine.

"Vous me voyez bien ?", ai-je halété en écartant davantage mes cuisses. "Vous voyez comme je suis ouverte pour vous ?" Plusieurs ont gémi en réponse, leurs mains visiblement occupées sous leurs vêtements. Cette masturbation collective et silencieuse décuplait l'érotisme de la situation.

Le plaisir montait en moi par vagues successives. Mon dos se cambrait, ma tête basculait en arrière, mes cheveux cascadaient sur mes épaules nues. J'étais une bacchante en transe, une prêtresse de l'amour célébrant ses mystères devant des fidèles en adoration.

Un deuxième invité s'est levé précipitamment, son pantalon souillé trahissant sa capitulation face à mon spectacle. "Excusez-moi", a-t-il bégayé avant de disparaître à son tour. Sa fuite honteuse m'a procuré une satisfaction délicieuse. Je réduisais ces hommes distingués à l'état d'adolescents en rut.

Mes doigts accéléraient leur danse dans ma chair palpitante. Les bruits humides de ma pénétration résonnaient dans le silence religieux du salon. L'orgasme approchait, cette vague dévastatrice qui allait m'emporter vers les cieux de la volupté.

"Je vais jouir", ai-je annoncé d'une voix brisée. "Regardez-moi bien... regardez comme je jouis pour vous."

Cette promesse a électrisé l'assistance. Les six hommes restants se penchaient vers moi, leurs visages tendus par l'anticipation. Leurs respirations saccadées créaient une symphonie de désir qui accompagnait ma montée vers l'extase.

L'explosion s'est produite avec une violence inouïe. Mon corps s'est tendu comme un arc, mes muscles intimes se sont contractés frénétiquement autour de mes doigts. Un cri rauque a jailli de ma gorge, écho de la jouissance primitive qui déferlait dans mes entrailles.

Mes hanches ondulaient de manière incontrôlée, prolongeant les spasmes délicieux. Ma main libre s'agrippait au velours de l'estrade tandis que l'autre continuait sa danse dans ma chair convulsée. J'étais une déesse en transe, consumée par le feu de sa propre sensualité.

Les échos de ma jouissance se prolongeaient dans des gémissements plaintifs. Mon corps luisait de sueur, mes cheveux collaient à ma peau moite. Dans la lumière dorée des bougies, j'offrais le spectacle d'une Vénus épuisée par ses propres excès.

Un troisième homme s'est levé, visiblement bouleversé par l'intensité de la scène. "C'était... extraordinaire", a-t-il murmuré avant de quitter discrètement le salon. Son départ ajoutait à mon triomphe. J'avais réussi à faire exploser leurs conventions bourgeoises, à révéler la bête primitive qui sommeillait en eux.

Damien s'est approché de l'estrade, ses yeux brillant d'une fierté possessive. "Messieurs, ai-je besoin de vous dire que ce spectacle restera notre secret absolu ?", a-t-il déclaré d'une voix ferme. Les acquiescements ont fusé, unanimes et respectueux.

Je me suis relevée lentement, savourant leurs regards qui me dévoraient encore. Ma nudité triomphante dominait le salon comme une statue antique. Ces hommes venaient d'assister à la naissance d'une déesse, et ils en étaient conscients. Leur soumission était totale, définitive.

## 28 août 2024 - Confession secrète

J’ose l’écrire maintenant que quelques heures ont passé : la soirée ne s'est pas terminée avec mon spectacle sur l'estrade. Comment pourrais-je garder ce secret plus longtemps ? Mon corps tremble encore quand j'y repense.

Après ma performance exhibitionniste, alors que trois invités avaient fui, je sentais une frustration sourde grandir en moi. Ces regards admiratifs, ces gémissements d'envie ne suffisaient plus. Mon corps réclamait davantage. Il réclamait leurs mains, leurs lèvres, leurs sexes dressés par le désir que je venais d'attiser.

"Messieurs", ai-je déclaré en me redressant sur l'estrade, ma nudité encore frémissante des échos de l'orgasme. "Ceux qui ont fui ont manqué le meilleur."

Les cinq hommes restants me fixaient avec une attention hypnotique. Damien s'est raidi. Il n'avait pas prévu cette tournure des événements. Mais moi, j'avais franchi tous les interdits. Plus rien ne pouvait m'arrêter.

"Je veux que vous reveniez tous", ai-je continué d'une voix ferme. "Allez chercher les trois lâches qui se cachent. Dites-leur que leur déesse les réclame."

Le pouvoir que j'exerçais sur eux était absolu. Damien a hoché la tête et s'est dirigé vers les toilettes et l'antichambre. Les autres attendaient, figés dans une expectative fiévreuse. Mes tétons durcis pointaient vers eux comme des invitations muettes.

Quelques minutes plus tard, tous les huit hommes se tenaient devant moi, leurs visages affichant un mélange de honte et de désirˆ. Les trois fuyards évitaient mon regard, mais leurs corps trahissaient leur excitation renaissante.

"À genoux", ai-je ordonné.

Sans hésitation, ils se sont agenouillés devant l'estrade. Huit hommes respectables, dirigeants d'entreprise, intellectuels, réduits à l'état de suppliants devant ma beauté nue. Cette vision m'a embrasée plus violemment encore.

"Maintenant, approchez-vous. Je veux sentir vos mains sur moi."

Ils ont obéi comme des automates. Leurs mains tremblantes ont effleuré mes chevilles, mes mollets, remontant lentement vers mes cuisses. Seize paumes chaudes caressaient ma peau avec une dévotion religieuse. Je fermais les yeux, savourant cette adoration tactile.

"Plus haut", ai-je murmuré en écartant davantage mes jambes.

Leurs doigts ont exploré mes hanches, mon ventre, la courbe de ma taille. Une bouche s'est posée sur mon genou, puis une autre sur ma cuisse. Bientôt, mes jambes étaient parcourues de baisers fervents qui remontaient vers mon intimité encore humide.

"Qui veut me goûter en premier ?", ai-je demandé d'une voix rauque.

Damien s'est avancé, mais je l'ai repoussé d'un geste. "Non. Pas vous. Vous avez déjà eu ce privilège."

Mon doigt s'est pointé vers un homme aux cheveux argentés, distingué et manifestement intimidé. "Vous. Montrez-moi comme vous savez lécher une femme."

Il s'est approché, ses lèvres tremblantes. Quand sa langue a touché mes lèvres intimes, j'ai gémi de plaisir. Cette soumission collective décuplait chaque sensation. Les autres regardaient, attendant leur tour, leurs sexes tendus déformant leurs pantalons.

Sa langue explorait ma fente avec une application touchante. Il léchait ma cyprine comme un nectar divin, ses mains agrippées à mes cuisses pour me maintenir ouverte. Je sentais les regards des sept autres brûler ma peau.

"Assez", ai-je ordonné après quelques minutes. "Au suivant."

Le deuxième homme était plus jeune, plus fougueux. Sa bouche a dévoré mon sexe avec une passion animale qui m'a fait crier. Ses dents effleuraient délicatement mon clitoris gonflé tandis que sa langue plongeait dans mon intimité palpitante.

Ils se relayaient ainsi, chacun apportant sa technique particulière à l'adoration de mon corps. Certains étaient tendres et respectueux, d'autres plus sauvages et possessifs. Cette alternance entre douceur et ardeur me maintenait dans un état d'excitation constant.

"Déshabillez-vous tous", ai-je fini par ordonner. "Je veux voir vos sexes."

En quelques instants, huit hommes nus m'entouraient, leurs érections dressées témoignant de leur désir fou. Jeunes et moins jeunes, minces et plus corpulents, tous unis dans la même adoration de ma personne. Cette vision de soumission masculine totale m'enivrait.

"Maintenant, prenez-moi. Tous ensemble. En même temps."

Ce qui s'est passé ensuite dépasse tout ce que j'aurais pu imaginer dans mes fantasmes les plus fous. Ils m'ont soulevée de l'estrade, portée jusqu'aux coussins moelleux disposés au sol. Mon corps était devenu leur terrain de jeu collectif.

Deux bouches se sont emparées de mes seins, suçant et mordillant mes tétons durcis. Une troisième a continué l'exploration de mon sexe tandis qu'une quatrième remontait vers mes lèvres. Je me noyais dans un océan de caresses et de baisers.

"Je veux vous sentir en moi", ai-je halété. "Chacun d’entre nous."

Le premier homme s'est positionné entre mes cuisses. Son sexe dur a glissé dans mon intimité brûlante avec une facilité délicieuse. J'étais si mouillée que la pénétration s'est faite sans résistance. Ses va-et-vient réguliers m'arrachaient des gémissements rauques.

Pendant qu'il me possédait, les autres continuaient leurs caresses. Des mains pétrissaient mes seins, d'autres exploraient mes cuisses, ma taille, mes bras. J'étais submergée par cette avalanche de sensations.

Quand le premier a joui en moi dans un râle de plaisir, le deuxième a pris sa place immédiatement. Puis le troisième. Puis le quatrième. Ils se relayaient dans mon sexe palpitant, chacun y déversant sa semence chaude.

"Retournez-moi", ai-je ordonné quand mes jambes ont commencé à trembler de fatigue.

À quatre pattes sur les coussins de soie, j'offrais maintenant ma croupe cambrée à leurs regards affamés. Ma position révélait l'intimité de mon sexe encore ruisselant de la semence des précédents. Mes seins se balançaient sous moi à chaque mouvement, mes tétons frôlant le velours des coussins dans une caresse permanente.

L'homme qui s'est glissé sous mon corps était celui aux cheveux argentés, le premier qui avait goûté à mon nectar. Sa langue experte a repris son exploration de ma fente gonflée, léchant avidement le mélange de ma cyprine et du sperme qui s'écoulait de moi. Chaque coup de langue sur mon clitoris sensible me faisait tressaillir.

Derrière moi, l'homme le plus jeune du groupe caressait mes fesses de ses mains tremblantes. Ses doigts traçaient des cercles sur ma peau nacrée avant de s'aventurer vers la vallée secrète entre mes cuisses. Je sentais son sexe dur presser contre mon intimité, réclamant son tour avec une impatience touchante.

"Prenez-moi", ai-je gémi en ondulant des hanches. "Je vous veux en moi."

Il n'a pas hésité davantage. Sa verge chaude et pulsante s'est frayé un chemin dans ma chair brûlante, glissant sans résistance dans mon fourreau humide. Cette pénétration par-derrière créait un angle différent, plus profond, qui touchait des zones que je découvrais. Un cri rauque s'est échappé de ma gorge.

En dessous, la langue persistante continuait sa danse sur mon bourgeon de plaisir. Cette double stimulation était d'une intensité bouleversante. Mon sexe palpitait autour de la verge qui me possédait tandis que ma chair sensible vibrait sous les caresses buccales. Mes bras tremblaient sous l'effort de maintenir ma position.

Les six autres hommes m'entouraient, leurs mains parcourant tous les recoins de mon corps accessible. L'un caressait mes cheveux en sueur, un autre pétrissait mes seins qui se balançaient. Leurs doigts traçaient des arabesques sur mon dos cambré, mes flancs, mes bras tendus. J'étais leur déesse vivante, leur idole de chair palpitante.

L'homme derrière moi accélérait ses va-et-vient. Ses hanches claquaient contre mes fesses dans un rythme effréné qui résonnait dans le salon. Ses mains agrippaient ma taille pour mieux me pilonner, m'attirant contre lui à chaque poussée. Je sentais sa verge gonfler en moi, prête à exploser.

Sous mon ventre, la bouche qui me léchait devenait plus insistante. La langue pointue fouillait l'entrée de mon sexe, aspirait mes lèvres gonflées, torturait mon clitoris avec une précision diabolique. Mon corps entier vibrait comme une corde de violon trop tendue.

"Je vais... je vais encore jouir", ai-je halété, ma voix brisée par l'extase montante.

L'orgasme m'a frappée avec la violence d'un raz-de-marée. Mes muscles intimes se sont contractés follement autour du sexe qui me possédait, arrachant un rugissement à mon amant. Il s'est déversé en moi dans un spasme final, ajoutant sa semence chaude à celle de ses prédécesseurs.

Mais les autres attendaient encore leur tour. Avant même que le dernier ne se soit retiré, le suivant s'approchait déjà. Mes jambes flageolaient, mon corps ruisselait de sueur, mais ma faim charnelle restait inassouvie.

"Encore", ai-je supplié. "Je les veux tous."

Le ballet recommençait. Un nouveau sexe me pénétrait tandis qu'une bouche différente trouvait mon clitoris palpitant. Les mains changeaient, les caresses variaient, mais l'intensité ne faiblissait jamais. J'étais devenue une machine à plaisir, programmée pour recevoir et donner la jouissance.

Les orgasmes se succédaient en moi en vagues dévastatrices, chacun plus fort que le précédent. Mon corps n'était plus qu'un instrument de jouissance collective, un temple où huit fidèles célébraient leurs rites les plus sauvages. La frontière entre plaisir et épuisement s'estompait dans cette transe érotique qui me consumait.

Mes cris résonnaient dans le salon comme les plaintes d'une bacchante en délire. Mes cheveux collaient à mon visage en sueur, ma bouche était ouverte sur un souffle haletant. Mes seins se balançaient follement sous les assauts répétés, mes tétons durcis traçant des arabesques dans l'air surchauffé.

Les hommes se relayaient sans répit. Chacun apportait sa technique particulière, sa façon unique de me posséder. Certains étaient tendres et appliqués, d'autres sauvages et dominateurs. Cette variété dans l'approche décuplait mon plaisir, m'empêchant de m'habituer à une sensation particulière.

Le septième homme était le plus endurant. Il me prit avec une lenteur calculée qui me fit perdre la raison. Ses mouvements mesurés prolongeaient indéfiniment cette montée vers l'extase, me maintenant au bord de l'abîme sans me laisser y sombrer. Sous moi, une langue patiente continuait son œuvre, léchant inlassablement mon bouton de plaisir gonflé.

Quand enfin il atteignit son paroxysme, je l'accompagnai dans un cri qui fit trembler les murs. Mon corps se convulsa si violemment que je manquai m'effondrer. Seules les mains qui me soutenaient m'empêchèrent de sombrer dans l'inconscience.

Le huitième et dernier homme me prit avec une passion désespérée. C'était Damien, qui avait attendu son tour avec une patience admirable. Il me connaissait mieux que les autres, savait exactement comment me faire vibrer.

Ses mains ont soulevé mes hanches tremblantes, modifiant l'angle de mon corps offert. "Clara, je veux te prendre autrement", a-t-il murmuré d'une voix rauque. "Complètement."

Ses doigts ont trouvé l'entrée interdite de mon intimité la plus secrète, cette porte close que personne n'avait encore franchie. Elle était lubrifiée par la semence des autres hommes qui s'écoulait de mon sexe palpitant. Le premier contact sur cet anneau de chair sensible m'a fait tressaillir.

"Détendez-vous", a-t-il chuchoté en caressant mes fesses contractées. Sa paume chaude apaisait mes muscles tendus tandis qu'un doigt explorait délicatement ma rosette frémissante. La sensation était troublante, mélange d'appréhension et d'excitation nouvelle.

Il a introduit son index avec une lenteur infinie, laissant mes chairs le temps de s'habituer à cette intrusion inédite. Mon corps se raidissait instinctivement, mais ses caresses patientes sur mon dos me relaxaient progressivement. Un deuxième doigt a rejoint le premier, m'ouvrant davantage.

"Mon dieu, Clara", a-t-il gémi en sentant mes muscles se contracter autour de ses phalanges. "Vous êtes si étroite... si chaude."

Cette préparation minutieuse attisait une excitation d'un genre nouveau. Cette zone vierge de mon corps se révélait incroyablement sensible. Chaque mouvement de ses doigts envoyait des ondes de plaisir trouble dans mon ventre. Mes reins se creusaient malgré moi, quémandant plus de ces caresses interdites.

Quand il a retiré ses doigts, j'ai ressenti un vide frustrant. Puis j'ai senti la chaleur de son gland presser contre mon intimité préparée. Sa verge était durcie à l'extrême, palpitante de désir contenu. Il s'est positionné avec une précaution extrême.

"Respirez profondément", m'a-t-il conseillé. "Laissez-moi entrer en vous."

La pénétration a commencé avec une lenteur torturante. Mon anneau de chair résistait, puis cédait progressivement sous la pression constante. La sensation était indescriptible : une brûlure délicieuse mêlée à un plaisir aigu qui irradiait dans tout mon bassin.

Centimètre par centimètre, il s'enfonçait dans cette voie étroite. Mes mains agrippaient les coussins, mes dents mordaient ma lèvre inférieure. Cette possession absolue, cette prise de ma dernière intimité, m'emportait vers des sommets de jouissance inexplorés.

"Vous me rendez fou", a-t-il haleté quand il fut entièrement en moi. "Cette étroitesse... cette chaleur..."

Ses premiers mouvements étaient d'une douceur extrême. Il se retirait presque complètement avant de me pénétrer à nouveau, laissant mes chairs s'habituer à ce va-et-vient inédit. Progressivement, mes muscles se détendirent, transformant l'inconfort initial en plaisir pur.

Son rythme s'intensifiait lentement. Ses hanches trouvaient une cadence plus soutenue tandis que ses mains agrippaient ma taille avec une force grandissante. Je sentais sa respiration s'accélérer contre ma nuque, ses gémissements se faire plus rauques. Sa verge gonflait davantage en moi, tendue par l'imminence de sa délivrance.

"Clara... je ne peux plus...", a-t-il halété, sa voix brisée par l'extase montante. Ses mouvements devenaient erratiques, désespérés. Il me pilonnait maintenant avec une urgence animale, cherchant sa jouissance dans les profondeurs brûlantes de mon cul.

Quand son orgasme l'emporta, ce fut avec une violence inouïe. Il s'est enfoncé en moi jusqu'à la garde dans un râle primitif, son sexe pulsant et se déversant dans mes entrailles. Ses spasmes étaient si puissants que je les sentais résonner dans tout mon corps. Sa semence chaude inondait mon intimité secrète.

Cette explosion de plaisir masculin déclencha immédiatement la mienne. L'orgasme final fut apocalyptique. Cette possession anale ajoutait une dimension nouvelle à ma jouissance. Mon corps explosa littéralement sous cette dernière vague de plaisir synchronisée avec la sienne. Mes muscles se tétanisèrent autour de sa verge encore palpitante, mes deux intimités se contractant simultanément dans un spasme démesuré qui nous unit dans une communion absolue.

Nos cris mêlés résonnèrent dans le salon comme l'écho d'une révélation charnelle. Nos corps vibrant à l'unisson dans cette jouissance partagée nous emportèrent vers des cimes de volupté que je n'avais jamais imaginées. Ma vision se voila, mes oreilles bourdonnèrent. Je sombrai dans un gouffre de volupté pure qui effaça momentanément ma conscience. Cette ultime soumission, ce don total de mon corps à Damien, marquait l'apogée de ma transformation en déesse charnelle.0

Quand Damien s'est retiré de moi, j'étais couverte de sueur et de semence, pantelante sur les coussins souillés. Mes cheveux collaient à ma peau moite, mon corps luisait dans la lumière dorée des bougies. Ma chair rougie portait les marques de leurs baisers et de leurs caresses. Je rayonnais d'une beauté sauvage, primitive, celle d'une déesse qui vient de recevoir l'hommage ultime de ses adorateurs.

Huit hommes me contemplaient, épuisés eux aussi par cette orgie dont j'avais été la prêtresse et l'autel. Leurs visages reflétaient un mélange d'admiration, d'épuisement et de satisfaction béate. Ils venaient de vivre l'expérience érotique de leur existence, et ils en étaient conscients.

Le salon baignait dans une atmosphère lourde, saturée de parfums charnels et de souvenirs brûlants. L'air portait encore l'écho de nos gémissements mêlés, le murmure de nos corps qui s'étaient unis dans une communion absolue.

"Merci", ai-je murmuré, la voix brisée par les cris de plaisir. "Vous m'avez offert l'extase absolue."

Cette nuit restera le summum de ma transformation. J'ai touché les cimes de la jouissance collective, découvert l'ivresse de la possession partagée. Mon corps garde encore l'empreinte de leurs mains, de leurs bouches, de leurs sexes. Je suis devenue ce que je rêvais d'être : une déesse de l'amour charnel, souveraine absolue des plaisirs interdits.


## 29 août 2024

Ce matin, en me réveillant, j'ai réalisé que ma transformation était désormais complète. De la timide Clara qui se cachait derrière des cardigans informes, je suis devenue une déesse de la sensualité, maîtresse absolue des désirs masculins.

Thomas m'a éveillée au plaisir solitaire. Marcus m'a enseigné l'art de la domination. Damien m'a initiée aux jeux raffinés de la soumission consentie. Cette soirée d'exhibition m'a révélé la dimension ultime de mon pouvoir : celui de faire fantasmer plusieurs hommes simultanément par ma seule présence. Et celui de les satisfaire sexuellement quel que soit leur nombre.

Mon corps est devenu mon royaume, chaque courbe une parcelle de territoire conquise sur ma timidité d'autrefois. Mes seins, mes hanches, mon sexe sont autant d'armes dans l'arsenal de séduction que je maîtrise désormais parfaitement.

Damien m'a déjà proposé d'autres soirées, avec d'autres invités. L'idée de multiplier ces triomphes, de collectionner les regards conquis et les désirs frustrés, m'enivre déjà. Ma carrière de muse érotique ne fait que commencer.

Cette nouvelle Clara, sensuelle et libre, rayonnante de confiance, est enfin née. Elle règnera sans partage sur tous les cœurs qui oseront croiser son chemin.

FIN

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Histoire sexe : Une rose rouge
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