Les enchaînés

- Par l'auteur HDS CDuvert -
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Récit libertin : Les enchaînés Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-08-2025 dans la catégorie A dormir debout
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Les enchaînés
Dans les entrailles humides du cachot, l’air était imprégné d’odeurs de pierre moisie et de paille pourrie. Les murs suintaient une eau glacée qui gouttait inlassablement. Des chaînes rouillées pendaient du plafond, grinçant au moindre courant d’air. Une torche vacillante jetait des ombres dansantes sur le sol irrégulier, dessinant des formes incertaines dans le clair-obscur.

Elara était enchaînée là, les poignets liés haut au-dessus de sa tête, le corps tendu. Ses haillons déchirés couvraient à peine sa silhouette, le tissu usé collant à sa peau moite, dénudant une épaule nue et une partie de sa cuisse pâle. À vingt ans, avec ses cheveux noirs emmêlés cascadant sur son visage pâle, ses yeux verts scrutaient l’obscurité. Elle respirait calmement, malgré la morsure froide du fer qui entaillait ses poignets, envoyant des picotements douloureux le long de ses bras.

Dehors, des bruits étouffés montaient du château : des gardes riaient grassement, un chien aboyait au loin. Elara attendait, ignorant depuis combien de temps elle croupissait dans cette prison. Capturée lors d’une razzia impitoyable, elle avait été jetée ici par le seigneur local, un homme cruel nommé Lord Harlan, qui l’accusait d’espionnage pour un royaume rival.

Soudain, la porte du cachot grinça sur ses gonds rouillés. Un garde entra, silhouette massive engoncée dans une armure cabossée. Il portait un seau d’eau trouble et un morceau de pain dur comme la pierre. “Tiens, mange ça,” grogna-t-il en posant le tout au sol avec un bruit sourd. Ses yeux s’attardèrent sur les déchirures de ses haillons, lorgnant la courbe de sa hanche exposée. Elara le fixa sans un mot, le regard défiant. Le garde ricana, un son rauque et méprisant. “Le seigneur viendra bientôt t’interroger. Prépare-toi, petite.” Il sortit en claquant la porte, éveillant un écho retentissant.

Elara tira sur ses chaînes et le métal cliqueta bruyamment. Elle sentait la fatigue peser dans ses bras, une lourdeur qui irradiait jusqu’à ses épaules. Une étincelle de défi brûlait pourtant en elle, farouche et vive. Elle observa la flamme de la torche qui dansait comme une promesse de liberté, crépitant dans l’air confiné.

Elara fixait la porte close, le silence retomba comme un voile; Seule la torche crépitait encore. Elle ferma les yeux un instant, écoutant son propre souffle régulier. Puis, un bruit : un raclement dans l’ombre, au fond du cachot. Elle rouvrit les yeux, tendant l’oreille, le cœur battant plus fort.

“Tu n’es pas seule,” murmura une voix masculine, rauque et grave. Elara sursauta et scruta l’obscurité, plissant les yeux. Une forme se dessina, enchaînée au mur opposé : un homme aux vêtements en lambeaux, les cheveux ébouriffés. Il leva la tête, ses yeux sombres croisant les siens. “Je m’appelle Thorne. Jeté ici pour vol. Et toi ?”

Elara hésita, sa gorge sèche comme du parchemin. “Elara. Accusée d’espionnage. Mais je ne suis qu’une paysanne.” Elle tira sur ses chaines, sentant le métal mordre sa peau, une douleur aiguë qui la fit grimacer. Thorne hocha la tête, son torse nu sous le tissu déchiré révélant des muscles tendus par l’effort. Une cicatrice barrait son épaule, pâle et irrégulière. Il semblait fort, pourtant vulnérable dans cette pénombre oppressante.

“Ils nous oublient parfois des jours entiers,” dit Thorne d’une voix basse. “Mais ensemble, on pourrait s’aider.” Il se rapprocha autant que ses chaînes le permettaient, traînant les pieds sur la paille crissante. L’air se chargea d’une odeur musquée, mélange de sueur et de terre humide. Elara sentit son pouls s’accélérer, une chaleur inattendue montant en elle. Les yeux de Thorne s’attardèrent sur les déchirures de ses haillons, sur la courbe de sa hanche exposée. Elle rougit légèrement, mais ne détourna pas le regard, un mélange de peur et de curiosité l’envahissant.

Ils parlèrent à voix basse, leurs mots se mêlant dans l’obscurité. Thorne raconta son arrestation, une nuit, sous la lune. Elara partagea sa fuite de la famine, la voix tremblante. Leurs voix créèrent un lien fragile, comme un fil tendu entre eux. Il lui tendit la main autant qu’il pouvait, effleurant ses doigts du bout des siens. Le contact fut bref, électrique, sa peau chaude contre la sienne, froide et moite. Elara frissonna, une décharge parcourut son corps. Une alliance naquit, faite de murmures et de regards prolongés.

Soudain, des pas approchèrent dehors. La porte grinça à nouveau, faisant bondir leur cœur.

Les pas s’éloignèrent, fausse alerte. Le silence revint, plus lourd encore. La torche faiblit, sa flamme dansant une dernière fois avant de s’éteindre. L’obscurité enveloppa le cachot comme un manteau épais. Seule une faible lueur filtrait par une fissure haute dans le mur, une lune pâle traçant des ombres longues.

Elara cligna des yeux, s’habituant à la pénombre. Thorne respirait plus fort, tout proche. “La nuit rend tout plus vrai,” murmura-t-il. Sa voix vibrait dans l’air froid. Elara hocha la tête, invisible dans le noir. Elle sentait l’odeur de sa peau, salée, mêlée à la moisissure des murs. Ses propres haillons collaient à ses cuisses, humides de sueur.

“Ils m’ont pris ma femme,” confia Thorne, la voix empreinte de tristesse. “Morte en couches, il y a deux ans. Depuis, je vole pour survivre. Mais la solitude... elle ronge l’âme.” Elara écouta, le cœur serré par l’empathie. “Moi, j’ai fui un mariage forcé,” répondit-elle doucement. “L’homme était brutal. Je préfère encore ces chaînes à ses mains.” Leurs mots se croisèrent, intimes et chargés. Thorne rit doucement, un son chaud. “Tu as du feu en toi, Elara. Ça se voit, même dans le noir.”

Leurs chaînes cliquetèrent quand Elara tendit les doigts, touchant à nouveau ceux de Thorne. Cette fois, le contact dura, sa peau rugueuse et chaude envoyant une étincelle le long de son bras. Elle imaginait son corps, les muscles qu’elle avait entrevus, tendus sous les lambeaux. Thorne serra ses doigts. “Ta main est douce,” dit-il, la voix rauque. “Ça fait longtemps que je n’ai pas touché d’autre peau que la mienne.” Elara sentit une chaleur équivoque monter dans son ventre, un mélange de peur et de désir. L’obscurité rendait tout possible. Elle respirait son odeur musquée, qui l’enveloppait comme un voile enivrant.

Ils parlèrent encore, de rêves brisés, de corps affamés de contact. Thorne avoua un souvenir : “Une nuit avec ma femme, sous les étoiles. Sa peau contre la mienne, chaude, vivante, comme si le monde s’effaçait.” Elara rougit, invisible. Elle pensa à ses propres désirs secrets, tus dans son village. “J’ai toujours voulu... découvrir,” murmura-t-elle. “Sans peur, sans chaînes.” Leurs voix baissèrent, chargées de tension. Le désir palpitait, invisible, comme un pouls partagé dans le noir.

Soudain, un bruit dehors : des gardes passèrent, riant fort. La tension monta, électrisant l’air.

Les gardes s’éloignèrent, le silence revint, chargé d’électricité. Elara respira profondément. L’obscurité amplifiait chaque son : le cliquetis des chaînes, le souffle de Thorne. Elle serra ses doigts contre les siens. Une chaleur insistante montait en elle. “J’ai un fantasme,” murmura-t-elle, sa voix tremblante légèrement. “Dans mon village, j’imaginais être prise... sans retenue. Par un inconnu, dans l’ombre. Ses mains partout, explorant, forçant le plaisir.”

Thorne retint son souffle. “Raconte,” dit-il d’une voix rauque. Elara continua, les mots sortant bas, hésitants. “Il me plaque contre un mur, déchire mes vêtements. Ses doigts glissent sur ma peau, trouvent mes seins, pincent les tétons jusqu’à ce que je gémisse. Puis plus bas, entre mes cuisses, écartant les lèvres, frottant avec insistance.” Elle sentait son corps réagir, une moiteur naissant sous ses haillons, une pulsation chaude entre ses jambes. L’air semblait plus épais, imprégné d’une odeur intime, la sienne mêlée à celle de Thorne, musquée et enivrante.

Il grogna doucement, un son primal. “Si j’étais libre, Elara, je te toucherais comme ça.” Sa voix descendit, descriptive et brûlante. “D’abord, mes mains sur tes poignets, pour sentir ton pouls affolé qui bat la chamade. Puis je descends, effleure ton cou, ta gorge. Je tire sur tes haillons, expose tes seins ronds, fermes, les tétons dressés dans le froid. Je les caresse du pouce, les fais rouler, les pince jusqu’à ce que tu gémisses et que ton corps se cambre vers moi.” Elara ferma les yeux, les images envahissant son esprit : ses seins nus, pâles dans la pénombre, les doigts de Thorne rugueux contre sa peau, envoyant des vagues de chaleur dans tout son être. Une vague de désir pulsait dans son ventre, humide et insistante.

“Ensuite,” continua Thorne, sa voix plus basse, “je glisse une main plus bas. Sur ton ventre plat, puis entre tes jambes. Tes cuisses s’écartent malgré les chaînes, tremblantes. Mes doigts trouvent ton sexe, moite, gonflé. Je caresse les lèvres, lentement, en cercles, ton humidité coule sur ma peau. Puis j’entre un doigt, tes parois se contractent autour, chaudes et serrées comme un étau de velours.” Elara haleta, les haillons frottant contre ses cuisses humides, une friction qui attisait son excitation. Elle imaginait la scène : son pubis sombre, les doigts de Thorne explorant, écartant, pénétrant avec une précision qui la faisait frissonner. L’odeur de son excitation montait, musquée, dans l’air confiné. Thorne respirait plus fort, son désir évident dans sa voix rauque. “Tu te cambres, Elara. Tu en veux plus. J’ajoute un deuxième doigt, frotte ton clitoris durci avec le pouce, en cercles qui te font perdre haleine.”

Les mots les enflammaient, la tension montait comme un feu qui couve et reprend vie. Elara sentit une pulsation intense entre ses jambes, un besoin grandissant qui la consumait. Thorne tira sur ses chaînes, frustré, un grognement échappant de sa gorge. Leurs doigts se serraient plus fort, seul contact possible, mais le désir bouillonnait, invisible mais brûlant, comme une flamme prête à exploser.

La porte s’ouvrit en grand, une torche neuve illuminant le cachot d’une lueur crue. Lord Harlan se tenait sur le seuil, silhouette imposante en cape sombre. Ses yeux noirs balayèrent la scène. Elara et Thorne se figèrent, leurs doigts encore entrelacés. L’air vibrait de leur désir inabouti, une odeur musquée flottant comme un parfum interdit. Harlan sourit, un rictus froid et calculateur. Il était grand, les cheveux grisonnants, une cicatrice barrant sa joue. “Quelle charmante conversation,” dit-il d’une voix grave et moqueuse. “Je vous entends depuis le couloir. Vos... fantasmes sont instructifs, vraiment.”

Elara tira sur ses chaînes, les haillons glissant un peu plus, exposant le haut de son sein gauche, la peau pâle et tendue. Thorne grogna, protecteur, un son guttural. Harlan entra, ferma la porte avec un claquement sourd. La torche jetait des ombres sur son visage anguleux. Il s’approcha, examinant Elara de près, ses yeux s’attardant sur sa peau pâle, les déchirures révélant sa cuisse, le creux de son ventre. “Tu n’es pas une espionne, dis-tu ? Prouve-le-moi, petite.” Il se tourna vers Thorne. “Et toi, voleur, tu sembles prêt à tout pour elle.” Harlan rit doucement, un rire froid. “Je vais exploiter ça. Vous deux, montrez-moi votre... alliance.”

Il défit une chaîne de Thorne, juste assez pour qu’il puisse bouger, et desserra les autres. Thorne hésita, les muscles tendus, mais Harlan pointa une dague luisante. “Touche-la comme tu le décrivais. Ou je la prends moi-même, avec ou sans son accord.”

Elara haleta, le cœur battant à tout rompre, une peur mêlée d’une étrange excitation. Thorne s’avança, les mains tremblantes. Ses doigts effleurèrent l’épaule d’Elara, descendant sur son bras. La peau était chaude, douce sous la crasse, envoyant une décharge de désir en lui. “Pardon,” murmura-t-il, la voix brisée. Mais ses yeux brillaient de désir brut. Harlan observait, adossé au mur, la torche crépitant comme un rire moqueur.

Thorne tira sur les haillons d’Elara, exposant ses seins ronds, les tétons durcis par le froid et l’excitation, pointant comme des perles roses. Il les caressa du plat de la main, sentant les pointes se dresser plus encore sous ses paumes rugueuses, une sensation de velours chaud qui le fit bander aussitôt.

Elara gémit, un son bas et guttural qui remplit le cachot. Une vague de désir la souleva, ses tétons électrisés envoyant des éclairs de feu dans son ventre. L’odeur de sa peau montait, salée, mêlée à celle de Thorne, musquée et animale.

Harlan respirait plus fort, son excitation était palpable. “Continue,” ordonna-t-il d’une voix rauque.

Thorne glissa une main plus bas, sur le ventre plat d’Elara, puis entre ses cuisses. Les haillons se déchirèrent davantage, un bruit sec. Ses doigts trouvèrent les lèvres de son sexe, humides et gonflées, glissantes de désir. Il caressa lentement, en cercles, sentant le clitoris durcir sous son pouce, une petite perle sensible qui pulsait.

Elara se cambra davantage, les chaînes cliquetèrent, une chaleur liquide monta en elle puis descendit le long de ses jambes comme des gouttes de lave..

Harlan s’approcha, posa une main sur l’épaule de Thorne. “Plus profond, voleur.”

Thorne obéit, enfonçant un doigt dans le vagin d’Elara. Les parois se contractèrent autour, chaudes et serrées, un velours humide qui l’aspirait. Elle haleta, les yeux fermés, un mélange de honte et de plaisir la submergeant, chaque mouvement envoyant des ondes de friction délicieuses.

L’air était lourd d’odeurs intimes : sueur acre, excitation musquée, pierre humide. Thorne ajouta un deuxième doigt, frottant en rythme, sentant les parois se resserrer. Elara accueillait chaque intrusion, chaque frôlement qui attisait un feu dans son bas-ventre.

Harlan murmura : “Bien. Maintenant, à mon tour de jouer, et de vous lier dans votre vice.” Adossé au mur,il fixait Elara et Thorne d’un regard perçant, avide.

La lumière de la torche vacillait, projetant des ombres mouvantes sur les murs humides du cachot. L’air était lourd, saturé de tension sexuelle et de l’odeur musquée de leurs corps échauffés, un mélange de sueur et de désir brut.

Harlan tapota la garde de sa dague, un sourire cruel aux lèvres. “Vous allez me divertir,” dit-il d’une voix basse, presque un murmure chargé de menace. “Toi, voleur, mets-la à genoux. Montre-moi comment tu soumets une femme.”

Thorne hésita, les mâchoires serrées, une rage bouillonnante en lui. Ses yeux cherchèrent ceux d’Elara, pleins de remords mais aussi d’une flamme qu’il ne pouvait cacher, un désir équivoque. Elle hocha la tête, acquiesçant par un geste de résignation mêlé d’une étrange curiosité, son corps encore vibrant de la caresse interrompue.

Thorne la guida dans un tintement de chaînes, ses mains fermes sur ses bras, la peau chaude sous ses paumes. Elara plia les genoux, s’agenouilla sur la paille froide et piquante, puis se laissa aller en arrière. Ses haillons s’écartèrent davantage, révélant la peau pâle de ses cuisses et le triangle sombre de son pubis, gonflé et humide.

Harlan grogna d’approbation, un son guttural. “Parfait, petite chienne. Tu apprends vite.” “Maintenant, voleur, prosternes-toi à ses cuisses” ordonna-t-il, la dague brillant dans sa main, “montre-lui comment on honore une femme. Avec ta bouche, et fais-la hurler.”

Thorne se raidit, une colère sourde montant en lui, mais la menace de la lame le força à obéir. Il s’agenouilla devant Elara, ses mains glissant sur ses hanches, écartant les lambeaux de tissu avec un bruit de déchirure. Son visage s’approcha de son sexe, l’odeur intime l’envahissant, salée et chaude, un parfum qui le fit durcir malgré la rage.

Elara tremblait, ses poignets toujours liés au-dessus d’elle, tirant sur le métal qui mordait sa peau, une douleur qui se mêlait à l’anticipation. Thorne posa ses lèvres sur son pubis, d’abord un baiser léger, doux, puis sa langue effleura les lèvres gonflées, goûtant sa moiteur. Elle soupira, un son aigu qui résonna dans le cachot, une chaleur immédiate irradiant de son bas-ventre.

Thorne enfonça sa langue, explorant les plis humides jusqu’au clitoris durci qu’il lécha en cercles lents, une sensation de velours mouillé qui envoyait des éclairs de plaisir en Elara. Il aspira doucement, puis plus fort, alternant la pression, sentant le corps se cambrer à la rencontre de sa bouche.

Elara gémit, ses hanches se soulevèrent malgré les chaînes, chaque coup de langue la poussant vers un abîme de plaisir. L’odeur de son excitation emplit l’air, mêlée à celle de la sueur de Thorne, acre et enivrante. Ses mains lui enserraient les cuisses, les écartant plus encore, exposant chaque recoin de son intimité à sa bouche avide.

Il grogna contre sa chair, le son vibrant qui la fit frissonner, chaque vibration envoyant des ondes jusqu’à son clitoris. “Thorne... c’est si bon, continue,” murmura-t-elle, la voix haletante, oubliant jusqu’à la présence d’Harlan.

Ce dernier, adossé au mur, défit la boucle de sa ceinture avec un cliquetis. Sa main disparut sous sa cape, ses mouvements lents et rythmés trahissant sa caresse auto accordée. Ses yeux ne quittaient pas Elara, fixés sur ses seins qui se soulevaient à chaque respiration, sur son visage crispé par le plaisir, savourant son exhibition forcée.

“Regarde-moi, espionne,” ordonna-t-il d’une voix rauque. “Vois comme je prends mon dû en te regardant, en me caressant devant ta soumission.”

Elara lui retourna son regard, assumant la pulsion exhibitioniste qu’elle ne pouvait réprimer. Voir Harlan se toucher, sa main frottant sa verge avec un bruit humide, la rendait folle de rage, mais pendant ce temps Thornel redoublait d’efforts, suçant plus fort son clitoris, enfonçant sa langue plus profondément dans son vagin, goûtant ses parois internes qui se contractaient, avides de plus.

Elle cria, un son rauque, ses parois se resserrèrent autour de sa langue, une vague de plaisir la submergea. “Oh, oui, Thorne, je sens tout... c’est comme du feu en moi !” haleta-t-elle.

L’air s’alourdit, chargé de gémissements, de bruits humides de langue et de succion, du frottement de la main de Harlan sous sa cape. Elara sentait la vague monter, irrépressible, son corps se tendant à la rencontre de Thorne, chaque muscle crispé.

Thorne la sentit trembler et sut qu’elle était proche, son propre désir le consumant malgré les chaînes. Il aspira une dernière fois, fort, et elle bascula dans son orgasme comme dans une tempête, ses cuisses se refermèrent autour de la tête de Thorne. Elle haleta, perdue dans la sensation de libération qu’acompagnait le plaisir masochiste causé par la tension des chaînes. Harlan grogna, son propre plaisir devint évident dans le raidissement de son corps, sa main accélérant jusqu’au spasme final.

La torche faiblissait, son crépitement irrégulier remplissant le cachot comme un battement de cœur affolé. Harlan s’avança, sa cape frôlant le sol avec un froissement sinistre. Il observa Elara, haletante, le corps encore tremblant de l’orgasme, une lueur de vulnérabilité dans ses yeux verts.

“Tu as du feu en toi, petite,” assura Harlan d’une voix grave, presque admirative. “Montre-nous ça, allume-le pour nous.” Il tira une clé de sa poche avec un tintement, et défit une des chaînes qui retenait les poignets d’Elara. Juste une, laissant l’autre liée haut, pour la maintenir exposée. Ses haillons pendaient, exposant ses seins gonflés, les tétons encore durs et sensibles.

Harlan recula, croisant les bras. “Caresse-toi. Devant nous. Fais-nous voir comment tu te donnes du plaisir, comme la catin que tu es.”

Elara hésita, le cœur battant à tout rompre, une honte brûlante mêlée à un désir résiduel. Son bras libre descendit lentement, sentant la peau de son ventre tendue et moite, une sensation de chaleur persistante.

Thorne la fixait, le souffle court, son excitation visible malgré les chaînes. Harlan ajusta sa cape, masquant le renflement qui tendait de nouveau son pantalon. “Allez,” ordonna-t-il, la voix impatiente. “Ou je te remets en chaînes et je te fouette jusqu’au sang.”

Elle obéit: sa main glissa sur son sein gauche, pinçant le téton entre pouce et index. Une pointe de douleur mêlée à du plaisir la traversa, comme un éclair masochiste. Elle tira doucement, sentant le téton durcir, une sensation qui envoyait des ondes jusqu’à son clitoris. L’autre sein restait exposé, offert aux regards avides, une exhibition qui l’humiliait et l’excitait à la fois. Thorne grogna, tirant sur ses propres chaînes, un désir frustré le consumant.

Elara descendit la main, effleurant son pubis. Les poils sombres étaient humides, collés de ses fluides. Ses doigts écartèrent les lèvres de son sexe, exposant la chair rose et gonflée, l’odeur musquée et salée montant dans l’air. Elle commença à caresser le clitoris en cercles lents, ses cuisses tremblant sous la sensation, une pulsation chaude qui montait progressivement.

“Plus fort,” murmura Harlan, sa voix chargée de sadisme. “Enfonce tes doigts, montre-nous ta faim.” Elara obéit, haletante. Un doigt entra dans son vagin, tâtant les parois chaudes et serrées, encore sensibles de l’orgasme précédent. Elle lui ajouta un second, poussant plus profond. Un bruit humide remplit le cachot, un clapotis rythmé qui trahissait des mouvements dans l’ombre. Son pouce frottait le clitoris, dur et dressé, chaque cercle alllumant un feu dans son ventre.

Elle se cambra, tirant sur la chaîne restante. Thorne respirait fort, son sexe durci sous ses lambeaux, douloureux. Harlan défit sa ceinture, sortant sa verge épaisse et veinée, se caressant lentement, les yeux rivés sur les doigts d’Elara qui entraient et sortaient, dans un rythme masturbatoire synchronisé. “C’est ça, petite, sens chaque intrusion,” grogna-t-il.

Elle accéléra, sentant l’orgasme approcher, une tension progressive comme une corde qui se tend. Ses doigts courbèrent, touchant un point sensible à l’intérieur, un gémissement haut et incontrôlé échappant de ses lèvres. L’air s’alourdit, chargé de leurs souffles mêlés, de l’odeur de sueur et d’excitation. Harlan accéléra sa main avec un grognement sadique, tandis que Thorne tirait sur ses liens.

Soudain, Harlan arrêta tout d’un geste autoritaire. “Assez,” dit-il, la voix coupante. “Rendons tout ça plus... douloureux et délicieux.”

Harlan s’avança, sa verge encore sortie, dure et veinée, palpitante. Il posa une main sur la tête d’Elara, ses doigts s’enfonçant dans ses cheveux emmêlés avec une poigne sadique. “Continue de te caresser,” ordonna-t-il. “Et prends-moi dans ta bouche, comme une bonne esclave.”

Elara leva les yeux, évaluant la longueur épaisse devant son visage, respirant l’odeur musquée qui en montait, mélange de sueur et d’excitation brute.

Thorne tira sur ses chaînes, un grognement sourd sortant de sa gorge, ses yeux brillant de rage mais aussi d’un désir frustré. “Ne la touche pas, salaud,” murmura-t-il, la voix rauque.

Elle ouvrit la bouche, hésitante, sa langue touchant le gland salé et chaud, une saveur âcre qui la fit frissonner. Harlan poussa un soupir de plaisir. “Suce, et fais-le bien.”

Elara referma les lèvres autour du membre dressé, aspirant doucement, sentant les veines pulser contre sa langue, accueillant une goutte précoce salée. Sa main libre continuait entre ses cuisses, doigts enfoncés dans son vagin, pouce sur le clitoris, un rythme lent et coordonné qui attisait son propre feu.

Harlan attrapa ses cheveux plus fort, guidant ses mouvements avec une brutalité sadique. “Plus profond, avale-moi tout.” Elle avala plus, sentant la verge heurter le fond de sa gorge jusqu’au haut-le-cœur, elle eut un renvoi, mais elle persista, les larmes aux yeux, à demi étouffée et hoquetante.

Thorne regardait, le corps tendu, son sexe durcissant sous ses lambeaux, douloureux, une jalousie brûlante attisant son désir. “Laisse-la,” murmura-t-il, voix rauque, tirant sur ses chaînes.

Harlan rit, un rire cruel. “Regarde-la, voleur. Elle aime ça, vois comme elle mouille.”

Elara gémit autour de la verge, les vibrations faisant frémir et grogner Harlan. Ses doigts accéléraient en elle, frottant plus fort, une chaleur montait, pulsant dans son ventre, ses parois se contractaient. L’air s’emplit de bruits : succions humides, clapotis de ses doigts, souffles lourds et rauques. L’odeur intime dominait, sueur, salive, excitation âcre. “C’est bon, hein, petite ?” railla Harlan, poussant plus vite.

Harlan baisait sa bouche avec une vigueur sadique, chaque coup affirmant sa domination. Elara sentait les larmes lui monter aux yeux, mais ses parois se contractaient autour de ses doigts alors qu’elle approchait de l’orgasme. Thorne se débattait et Harlan grognait, accélérant. “Avale tout, catin.”

Soudain, il se retira pour éjaculer sur son visage. Le sperme chaud gicla sur ses joues et ses lèvres, comme une humiliation de plus. Elara haletait, ses doigts poussant une dernière fois, et l’orgasme la frappa à l’improviste, ses cuisses tremblèrent, son liquide coula sur la paille. Thorne ferma les yeux, frustré, étouffant un grognement.

Harlan rangea sa verge, encore luisante de salive et de fluides, sous sa cape. Il observa Elara, le visage maculé de sperme, les lèvres gonflées et rouges, respirant fort, le corps encore secoué par les spasmes.

Thorne tirait sur ses chaînes, les muscles tendus, une rage masochiste dans les yeux. L’air puait la sueur, le sexe et la pierre humide, un mélange entêtant. Harlan attrapa une corde usée du mur. “Une nouvelle idée,” dit-il, la voix chargée d’avidité sadique. “Ventre à dos, attachés comme des bêtes.”

Il acheva de libérer Elara de ses chaînes, mais lia ses mains devant elle avec la corde, un nœud serré qui mordait sa peau. Thorne resta enchaîné, impuissant. Harlan poussa Elara contre Thorne, dos contre ventre, leurs corps collés dans une étreinte forcée.

La peau d’Elara épousait celle de Thorne, chaude et moite, une sensation électrique. Harlan passa la corde autour de leurs tailles, serrant fort pour les unir dans la douleur et le désir. Ils étaient attachés ventre contre hanches, les haillons d’Elara frottant contre les lambeaux de Thorne. “Frottez-vous,” ordonna Harlan. “Rendez ça intéressant, ou je vous fouette jusqu’au sang.”

Elara sentait la poitrine de Thorne contre son dos, dure et musclée, une chaleur qui l’envahissait. Elle bougea les hanches instinctivement, son cul se pressant contre l’aine de Thorne, la chair molle cédant un peu, une friction qui envoyait des ondes de plaisir inattendu.

Thorne grogna. “C’est quoi ce jeu tordu ?” Harlan rit, un son cruel. “Bougez. Ou je fouette, et je commence par elle.” Elara poussa plus fort, sentant le ventre de Thorne contre ses fesses, une chaleur montant, inattendue, leurs peaux glissant, humides de sueur, l’odeur de leurs corps échauffés envahissant l’air.

Thorne répondit, remuant les hanches en cercles lents, son sexe frottant contre le cul d’Elara, une sensation qui le faisait durcir. Elle sentit une bosse grandir, le sexe de Thorne pressant contre le bas de son dos. “Elara,” murmura-t-il, “pardon.” Mais sa voix était rauque, excitée, un désir masochiste le consumant.

Elara cambra le dos, pressant plus, ses fesses s’écartant un peu, frottant contre l’entrejambe de Thorne. Le tissu usé céda, exposant la raie, et elle sentit la verge de Thorne glisser contre sa peau, chaude et veinée, un frisson la traversa, une pulsation naissant dans son anus. “Thorne... c’est... bon, malgré tout,” souffla-t-elle, la voix tremblante.

Harlan observait, assis sur une caisse, sa main retournant sous sa cape, caressant lentement sa verge avec un rythme sadique. “Plus vite, ou je vous fouette.” Elara accéléra, frottant en rythme, le bruit de peaux claquant remplissant le cachot, l’odeur de leur excitation dominant, âcre et salée.

Thorne poussa de nouveau, sa verge glissée entre les fesses d’Elara, effleurant l’anus avec une pression qui la faisait haleter, sentant la pointe humide contre son trou, une pulsation de désir anal naissant, un mélange d’excitation et de plaisir masochiste. Il grogna, poussant plus fort, la verge frottant la raie, montant et descendant sans entrer, une friction qui les attisait.

Leurs corps chauffaient, sueur coulant le long des dos, les seins d’Elara ballottaient, tétons durs dans l’air froid. Thorne respirait fort, son sexe pressé contre le cul, la friction attisant sans relâche un tourment sadomasochiste. Harlan grogna, accélérant sa main. “Continuez jusqu’à ce que je dise d’arrêter.”

Soudain, Elara sentit un liquide chaud couler entre ses fesses, Thorne jouissait avec un gémissement étouffé, son corps secoué, une libération frustrante dans leur intimité forcée.

Harlan défit la corde qui liait Elara et Thorne dos à ventre, un geste lent et sadique. Il tira une clé de sa poche, ses yeux brillant d’une lueur avide. “Détachons le voleur,” dit-il. “Je suis sûr qu’il ne pense qu’à baiser de nouveau.”

Thorne sentit les chaînes se relâcher, ses poignets tombant, frottant ses marques rouges, foyer d’une douleur résiduelle.

Harlan rangea la clé à sa ceinture, près de sa dague. “Maintenant, voleur, prends-la. Montre-moi ta rage, sodomise-la si tu veux.”

Thorne bougea comme une flèche, sa main saisit la dague de Harlan dans un geste fluide qu’il poursuivit en montant. La lame plongea dans le cou du seigneur, du sang gicla chaud et rouge, une odeur métallique envahissant l’air.

Harlan gargouilla, yeux écarquillés de surprise, tombant à genoux puis s’effondrant sur la paille. Le corps tressauta une fois, puis le silence tomba comme un voile. L’odeur du sang se mêlait à celle de la sueur et du sexe, un parfum de vengeance.

Thorne lâcha la dague et se tourna vers Elara, ses yeux sombres la fixant avec un mélange de soulagement et de désir. Elle tremblait, encore attachée par une chaîne, le sperme de Thorne coulant entre ses fesses, collant et chaud.

Il s’approcha avant d’écraser ses lèvres des siennes dans un baiser dur et urgent, sa langue forçant l’entrée, goûtant le sel sur sa bouche. Elara répondit, mordant sa lèvre inférieure, un geste passionné.

Leurs corps se pressèrent, les seins d’Elara frottant contre le torse de Thorne, tétons durs contre sa peau, une chaleur renaissant entre ses cuisses malgré le cadavre à leurs pieds, attisant un désir post-traumatique.

Thorne rompit le baiser, haletant. “Vite,” murmura-t-il. “On s’enfuit, avant qu’ils ne viennent.” Il défit la dernière chaîne et les poignets d’Elara tombèrent libres ; elle massa ses marques pour tenter de calmer une douleur sourde. Ils ramassèrent leurs haillons déchirés, Elara couvrant à peine ses seins et son pubis et Thorne cachant son sexe à demi. Ils poussèrent la porte du cachot pour emprunter le couloir sombre, torches éteintes. Des bruits lointains : les gardes ronflaient.

Ils coururent, pieds nus sur la pierre froide, l’air frais effleurant leur peau nue. Elara sentait ses seins ballotter, l’air caresser ses cuisses nues, une sensation libératrice. Thorne devant, muscles tendus, ils montèrent un escalier en spirale, une porte donnant sur la cour. La nuit enveloppait la citadelle, lune haute, étoiles claires. Des gardes patrouillaient au loin. Ils se glissèrent dans l’ombre, longeant un mur. Elara respirait fort, son excitation mêlée à la peur, le vent soulevant ses lambeaux, exposant son cul nu. Thorne la tira par la main, leurs doigts s’entrelaçant, moites.

Ils atteignirent une poterne, Thorne força la serrure avec la dague volée, la porte s’ouvrit dans un grincement. Dehors, une forêt dense. Ils s’enfoncèrent dans les arbres, les branches fouettant leurs corps demi-nus. Elara trébucha, tombant sur la mousse douce. Thorne la releva, leurs corps se collant un instant, son sexe durci contre son ventre. “Pas maintenant,” dit-il, la voix rauque. Mais ses yeux disaient le contraire, échouant à masquer son désir.

Ils coururent plus loin, jusqu’à une clairière où murmurait un ruisseau. Ils s’arrêtèrent, haletants, une odeur humide montait de la terre. Elara sentait son pouls battre entre ses jambes. Thorne la regardait, les yeux voraces.

Une eau claire coulait sur des galets, la lune se reflétait en éclats d’argent. L’air frais portait une odeur de terre mouillée et de feuilles. Thorne lâcha la main d’Elara. “Lavons-nous,” dit-il doucement. “Le sang, la sueur... tout ce qui nous lie au passé.” Elara hocha la tête, ses haillons collaient à sa peau, tachés, le sperme séché entre ses fesses irritait comme un rappel.

Thorne enleva ses lambeaux, dévoilant son corps nu, muscles bien dessinés, sexe encore à moitié dur, une cicatrice barrant son torse. Il entra dans l’eau jusqu’aux genoux, l’eau froide enserrant sa peau.

Elara, à son tour, laissa tomber ses haillons, ses seins dressés libres, ronds, la peau pâle marquée de rougeurs, son pubis sombre, cuisses écartées. L’eau froide mordit ses chevilles quand elle le rejoignit. Ils s’aspergèrent, se frottèrent mutuellement des mains, Thorne nettoyant son cou, effaçant le sang de Harlan. Elara rinça son visage, sentant l’eau couler sur ses joues, purifiante.

Leurs corps se frôlèrent, une étincelle renaissait des cendres. Thorne posa une main sur l’épaule d’Elara, caressant sur son bras. “Laisse-moi t’aider,” murmura-t-il.

Ses doigts glissèrent sur ses seins, étalant l’eau sur sa peau, caressant les tétons durcis. Elara posa ses mains sur les hanches de Thorne, caressant son ventre, descendant vers son sexe. La verge gonfla sous ses doigts, chaude dans l’eau fraîche. Elle serra doucement, sentant la dureté, un grognement échappant de Thorne. Ses mains descendirent sur le ventre d’Elara, effleurant son pubis, doigts glissant entre les lèvres, caressant avec tendresse.

Ils sortirent de l’eau pour s'allonger sur la berge herbeuse, l’herbe douce et humide contre leur peau. Thorne embrassa Elara puis il descendit, léchant un téton, aspirant. Elara, dos cambré, se laissa aller contre lui.

Il continua, embrassant son ventre,puis descendant entre ses cuisses. Elle écarta les jambes, offrant son sexe aux lèvres gonflées et humides et à l’odeur musquée, salée. Thorne posa sa bouche dessus, sa langue effleura les lèvres, les écarta. Il lécha lentement, en longs traits. Elara haletait, sentait chaque passage comme une caresse de feu, brûlante.

Il trouva le clitoris, le suça doucement, puis aspira plus fort, alternant des coups de langue précis. Elara gémit, ses hanches se soulevèrent, l’air portant ses plaintes mêlées au murmure du ruisseau. Thorne enfonça sa langue dans le vagin, goûtant les parois chaudes et serrées, un liquide coulant sur son menton, âcre et enivrant. Il grogna contre sa chair, vibrations qui la faisaient trembler, fouettant un plaisir qui montait au galop.

Elara attrapa ses cheveux, tira. “Plus vite, Thorne, fais-moi jouir,” souffla-t-elle. Thorne obéit, léchant plus vite, alternant succions et coups de langue, faisant progresser la tension jusqu’à l'extrême. L’orgasme monta en elle, ses cuisses se refermèrent brutalement autour de la tête de Thorne. Elle cria, basculant en arrière, le corps secoué de spasmes irrepressibles.

Thorne releva la tête, lèvres luisantes, Elara respirait fort, satisfaite. La forêt semblait calme, mais un bruit lointain de chiens aboyants confirmait la menace.

Thorne s’allongea sur Elara au bord du ruisseau, l’herbe humide collant à leur peau. Il l’embrassa durement, langue fouillant sa bouche avec urgence. Elara enroula ses jambes autour de sa taille, son sexe effleurant celui de Thorne, dur et chaud. L’eau clapotait tout près, l’odeur de la terre mouillée se mêlant à celle de leurs corps. “Je te veux, maintenant,” murmura-t-elle.

Il se positionna contre elle, verge pressant contre les lèvres de son vagin, gonflées. Elara haletait. “Vite, Prends-moi, Thorne, remplis-moi.” Thorne poussa lentement, le gland entra, écartant les parois chaudes et serrées, encore humides du cunnilingus, une sensation de plénitude l’envahissant. Il avança centimètre par centimètre, Elara sentant chaque veine frotter à l’intérieur, une friction délicieuse qui la faisait gémir. Thorne grogna, savourant autour de lui la contraction d’un velours serré.

Il commença à bouger, des va-et-vient lents d’abord, sortant presque entièrement puis rentrant profondément. Elara gémit à chaque poussée, ses seins se soulevaient, frottant contre le torse de Thorne, l’air frais durcissant ses tétons. La lune éclairait leurs corps nus, peau pâle contre peau hâlée. Thorne accéléra un peu, ses hanches claquant contre les siennes, le bruit humide remplissant la clairière, mêlé aux aboiements lointains. “Tu es si serrée, Elara, si chaude,” grogna-t-il.

Elara lui griffa le dos, les ongles s’enfonçant dans la chair. “Plus fort, Thorne, fais-moi sentir tout ton vit.” Thorne obéit, ses mouvements devinrent frénétiques, la pilonnant, verge plongeant profond, heurtant le fond avec une force qui envoyait des éclairs de plaisir.

Elara sentait de nouveau la pression monter, le feu dans son ventre, les contractions de ses parois. Thorne respirait fort, sueur coulant sur son front, l’odeur de leur union montant, âcre et salée. Elle cria, un nouvel orgasme la traversa comme une tempête. Thorne continua, poussant une dernière fois, et éjacula en elle, un liquide chaud remplissant son vagin, coulant le long de ses cuisses.

Ils restèrent immobiles, haletants, corps entrelacés. Les aboiements se rapprochaient, des voix d’hommes perçant la nuit, une menace imminente.

Elara et Thorne reprirent leur fuite dans la forêt obscure, leurs pieds nus martelant le sol humide, les branches griffant leur peau. Les aboiements des chiens résonnaient derrière eux, insistants. Ils coururent à perdre haleine, l’air froid fouettant leurs corps demi-nus. Elara sentait ses seins ballotter librement, une sensation d’exhibition qui l’excitait malgré la peur. Thorne haletait devant elle, ouvrant le chemin.

Ils aperçurent une grange isolée dont la structure en bois craquait sous le vent. Ils s’y engouffrèrent, claquant la porte derrière eux. À l’intérieur, l’odeur de foin sec et de terre dominait, apaisante. Des outils rouillés pendaient aux murs. Ils s’effondrèrent sur un tas de foin, le souffle court. “On les a semés,” murmura Thorne, essoufflé. Elara hocha la tête, son cœur battant fort, nourri de l’adrénaline mêlée à son désir résiduel.

Un bruit dehors : des pas lourds. La porte s’ouvrit sur un garde, massif, en armure de cuir, torche dans une main, épée dans l’autre. Ses yeux se posèrent sur eux. “Vous voilà,” grogna-t-il, un sourire sadique. Thorne se releva d’un bond, prêt à se battre. Mais le garde pointa son épée. “Pas un geste, ou je vous embroche.”

Elara se redressa lentement, laissant glisser à terre les haillons qui la couvraient encore, dénudant complètement son corps dans une exhibition calculée. Seins ronds exposés, tétons durcis par le froid, ventre plat, pubis sombre, cuisses écartées légèrement.

Le garde respira plus fort, ses yeux s’attardant sur elle, l’odeur de sueur monta dans la grange. “Attends,” dit Elara, sa voix ferme. “Je te propose un marché. Je me donne à toi. Entièrement. Si tu nous laisses partir, je te fais jouir comme jamais.”

Thorne protesta. “Elara, non !” Il avança d’un pas.

Mais elle le fixa. “Tais-toi. C’est le chemin de notre liberté.”

Thorne serra les poings, son visage se crispant de jalousie.

Le garde hésita, puis sourit. “D’accord. Mais je te veux à ma merci, et je vais te déglinguer.”

Il posa sa torche, défit sa ceinture et abaissa son pantalon. Sa verge était épaisse et déjà dure, veinée. Elara s’approcha, pieds nus sur la paille crissante. Elle s’agenouilla devant lui. Le garde attrapa les cheveux d’Elara, tirant sa tête vers lui avec brutalité. “Suce, catin.”

Elara ouvrit la bouche, engloutissant le gland salé et chaud, sa langue tournant autour avec application, aspirant, sentant les veines pulser, une saveur âcre qui l’excitait. Le garde grogna, poussa plus profond, la verge remplissant sa gorge.

Elara toussa un peu, mais continua, ses mains remontant sur les cuisses du garde, grattant la peau avec une pointe sadique.

Thorne respirait fort, bouillant de jalousie, mais ne pouvant empêcher son sexe de durcir sous ses lambeaux.

“Regarde, voleur, comment elle me dévore,” railla le garde.

Le garde tira Elara par les cheveux, la relevant brutalement. Il la plaqua contre un mur de la grange, le bois rugueux griffant son dos. Il écarta ses cuisses du genou et pressa sa verge à l’entrée du vagin, déjà humide de désir. Il poussa, entrant d’un coup.

Elara haletait, accueillant la pénétration. Il commença à bouger, en va-et-vient lents et profonds, chaque coup heurtant avec force le fond de son vagin, envoyant des éclairs de plaisir mêlé à la douleur. Elara gémit, ses seins frottant contre l’armure froide, tétons durs et sensibles. “C’est ça, prends-moi fort,” murmura-t-elle, attisant l’excitation du garde, espérant hâter sa libération.

Thorne regardait, incapable de détourner les yeux, son désir se mélangeant à la rage, consumé de jalousie. Le garde accéléra, les claquements de peau contre peau remplissant la grange, l’odeur de sexe envahissant l’air. Elara sentit l’orgasme approcher comme une marée montante. Le garde grogna, éjacula en elle, libérant un liquide chaud et abondant qui coulait le long de ses cuisses. Il se retira, essoufflé. “Allez. Partez, avant que je change d’avis.”

Elara glissa au sol, jambes tremblantes. Le garde remonta son pantalon et sortit, claquant la porte.

Thorne s'approcha d'Elara, ses mains encore tremblantes de rage contenue, l'aidant à se relever avec une douceur mêlée de frustration. Le sperme du garde coulait contre l’intérieur de ses cuisses, visqueux et chaud, un rappel humiliant qui collait à sa peau moite, laissant une traînée luisante sous la lueur pâle de la lune qui filtrait à travers les planches de la grange. L'odeur âcre du fluide étranger se mêlait à celle de sa propre excitation persistante, un parfum intime et salé qui imprégnait l'air confiné, chargé de foin sec et de terre humide.

Elara ramassa ses haillons déchirés, les nouant grossièrement autour de sa taille ; le tissu usé couvrait à peine son pubis sombre et gonflé, laissant ses seins ronds et fermes exposés au froid de la nuit, ses tétons durcis pointant comme des perles roses, sensibles au moindre courant d'air.

Thorne ajusta ses propres lambeaux, rongé de jalousie, mais ne pouvant réprimer une érection involontaire .

Ils sortirent de la grange en silence, la porte claquant derrière eux comme un écho de leur fuite précipitée. La nuit était noire, oppressante, avec seulement quelques étoiles perçant les nuages bas, jetant une lueur fantomatique sur le sol inégal. Ils reprirent leur course dans les bois, giflés par les branchages et griffés par les ronces.

Une petite clairière apparut enfin, baignée d'une lumière lunaire diffuse, un arbre couché offrant un abri improvisé, son tronc massif couvert de mousse moelleuse. Ils s'arrêtèrent, épuisés, le cœur battant à tout rompre, l'air frais caressant leur peau moite comme une main invisible et taquine.

Thorne se tourna vers elle, son visage crispé par l'émotion.

"Comment as-tu pu faire ça ?" grogna-t-il, sa voix rauque, chargée d'une jalousie possessive qui vibrait comme un grondement animal.

Elara le fixa, ses yeux verts étincelant de défi. "Pour nous sauver, pour notre liberté," répondit-elle fermement, sans reculer. "Je l'ai fait pour toi, pour nous... même si ça te ronge."

Il avança d'un pas, la plaquant contre un tronc d'arbre voisin, l'écorce rugueuse griffant son dos nu, un frisson de plaisir inattendu se mêlant à la brûlure. Ses lèvres écrasèrent les siennes dans un baiser dur et impérieux, sa langue forçant l'entrée de sa bouche avec une voracité possessive, goûtant le sel de sa peau et les vestiges du garde.

Elara répondit avec fougue, mordant sa lèvre inférieure jusqu'à y laisser une marque rouge, ses mains descendant sur le torse de Thorne, grattant les muscles tendus et hâlés avec ses ongles, traçant des sillons légers qui le firent grogner de plaisir douloureux.

"Tu es à moi, Elara," murmura-t-il contre sa bouche, sa voix tremblante de rage et de désir. "Personne d'autre ne te touchera plus comme ça."

Il tira violemment sur ses haillons, les arrachant d'un geste sec, exposant ses seins ronds et gonflés à l'air nocturne, une exhibition qui la fit rougir d'excitation. Ses paumes rugueuses malaxèrent la chair ferme, pressant avec une force sadique, ses pouces roulant sur les tétons durcis, les pinçant entre ses doigts avec une pointe de cruauté qui envoyait des éclairs de douleur-plaisir dans tout son corps.

Elara gémit, un son bas et guttural qui résonna dans la clairière, une chaleur intense montant dans son ventre, irradiant jusqu'à son clitoris gonflé. "Oui, Thorne... pince plus fort pour tout effacer," haleta-t-elle, arquant le dos contre l'écorce abrasive, savourant la morsure qui accentuait son excitation.

Thorne descendit une main le long de son ventre plat et moite, effleurant son pubis sombre et humide, ses doigts glissèrent entre les lèvres gonflées de son sexe, trouvant le sperme du garde encore tiède, mélangé à son humidité abondante, une texture visqueuse et collante qui le fit grogner de dégoût.

"Il t'a remplie, ce salaud," grogna-t-il, jalousie et désir se mêlant en un tourment masochiste qui durcissait son érection. "Mais je vais te nettoyer de l'intérieur, te faire oublier."

Il enfonça deux doigts profondément dans son vagin, sentant les parois chaudes et serrées se contracter autour d'eux, une friction intense et humide qui la fit haleter, chaque mouvement frottant contre les zones sensibles, attisant un feu liquide qui descendait le long de ses cuisses.

"Oh, Thorne... tes doigts sont si durs, ils me remplissent, frotte plus fort, efface-le avec ta rage," murmura-t-elle, ses hanches ondulant contre sa main, amplifiant la sensation de plénitude et de brûlure.

Elle défit à son tour les lambeaux de Thorne d'une main impatiente, libérant sa verge dure et veinée, palpitante sous ses doigts. Elle serra la base épaisse, pompant lentement de haut en bas, sentant les pulsations rythmiques et les veines saillantes sous sa paume, une goutte précoce perlant au gland, luisante et salée.

Thorne poussa un soupir rauque, fermant les yeux un instant, savourant la caresse ferme qui attisait son désir. "Ta main est si chaude, Elara... continue, serre plus fort, comme si tu voulais me punir," grogna-t-il, ses hanches poussant involontairement dans son poing.

Il la souleva soudain, de ses mains puissantes sous ses fesses, les jambes d'Elara s'enroulant autour de sa taille dans un étau possessif, exposant son sexe ouvert et trempé à l'air frais de la nuit, une exhibition vulnérable qui la fit frissonner.

Sa verge pressa contre sa vulve, le gland large écartant les lèvres gonflées avec une pression insistante, frottant contre le mélange glissant de fluides.

"Regarde-moi pendant que je te prends," ordonna-t-il, sa voix chargée de jalousie. "Dis-moi que c'est moi que tu veux."

Elara hocha la tête, haletante. "Toi seul, Thorne... entre en moi, efface tout."

Il poussa d'un coup sec, entrant profondément, les parois écartées et remplies par son sexe épais, une sensation de plénitude brûlante qui la fit crier, le gland heurtant le fond avec une violence qui envoyait des ondes de plaisir-douleur.

Il bougea lentement d'abord, des va-et-vient mesurés qui permettaient à Elara de sentir chaque centimètre, chaque frottement contre ses parois sensibles. Puis il accéléra, chaque poussée chassant le souvenir du garde, hanches claquant contre hanches dans un rythme frénétique, le bruit charnel résonnant dans la clairière, mêlé à leurs gémissements et au bruissement des feuilles.

Elara sentait la pression monter inexorablement dans son ventre, ses parois se contractant autour de lui comme un étau de velours.

"Thorne, plus fort, efface-le... baise-moi comme tienne," gémit-elle, griffant son dos avec fureur, laissant des marques rouges qui le faisaient grogner de plaisir.

Thorne accéléra encore, la pilonnant avec une sauvagerie née de la jalousie, ses mains serrant ses fesses, doigts s'enfonçant dans la chair pour la maintenir en place.

Elle cria sous l’orgasme qui la traversait, ses parois se refermèrent sur sa verge en spasmes rythmés. Thorne continua, prolongeant le moment, puis éjacula en elle avec un rugissement, son sperme chaud et abondant se mélangeant aux autres fluides, une sensation de plénitude totale qui la fit trembler.

Ils glissèrent enfin au sol, épuisés, corps enlacés sur la mousse humide, leurs souffles se calmant progressivement. La forêt bruissait autour d'eux, mais au loin, l’aube pointait à l'horizon, une lueur rose qui promettait une évasion définitive.

Elara et Thorne, dans leur étreinte possessive, savaient que leur fuite les mènerait vers une liberté retrouvée, loin des chaînes et des seigneurs cruels. Dans un village distant, caché au cœur des collines, ils commenceraient une nouvelle vie, unis dans un amour qui défiait les ombres du passé, explorant chaque nuit de nouveaux plaisirs, sans entraves ni regrets.

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