Les plaisirs de la cuisine (le lieu)

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Les plaisirs de la cuisine (le lieu) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les plaisirs de la cuisine (le lieu)
Micheline, les mains dans la pâte et de la farine jusqu'aux coudes, préparait la quiche du déjeuner quand Hubert, son mari, fit son apparition dans la cuisine en tenue de cycliste après sa sortie à vélo. Tout en sirotant un verre de limonade fraiche, il regarda son épouse dans son ouvrage culinaire, penchée en avant sur la table de la cuisine, et l'admira. Elle avait revêtu un tablier pour protéger sa robe d'intérieur mais celle-ci baillait à hauteur de la poitrine, découvrant en partie ses deux seins lourds et libres sous la toile légère, qui vibraient à chaque mouvement de pétrissage.
- Alors, ta balade, ça s'est bien passé ? lui demanda-t-elle tout en roulant la pâte.
- Oui, on était quatre et je n'ai pas fait beaucoup d'efforts, je suis resté "dans les roues" comme on dit. La soirée d'hier m'était restée un peu dans les pattes.

Hubert faisait allusion à une petite fiesta organisée la veille par un des amis du couple quinquagénaire. Bien que soucieux de son hygiène de vie, il avait bu un peu plus que de coutume et c'est Micheline qui avait conduit au retour. Un peu chaud, il lui aurait bien fait l'amour une fois revenu au bercail. Vêtue ce soir là d'une robe courte à décolleté carré mettant en valeur sa lourde poitrine, elle avait affiché sans complexe ses rondeurs et sa sexualité latente. Hubert n'avait pas manqué de remarquer les regards de certains invités mâles plongeant dans son décolleté ou, quand elle était assise, robe remontée haut, tentant d'apercevoir un peu plus que ses cuisses. Il savait qu'elle rechignait à porter un slip quand il faisait chaud et toute la soirée, il s'était demandé si quelqu'un avait aperçu sa fente. D'où son intention de lui faire sa fête à leur retour. Mais la fatigue alcoolique l'avait emporté et il s'était effondré une fois au lit.

Mais cette fois, face à la table de la cuisine, il se sentait à nouveau gaillard. Loin d'entamer son influx, la sortie cycliste avait stimulé sa libido. Il s'était promis d'entrainer Micheline dans une sieste crapuleuse après le déjeuner. Mais ses mains pétrissant la pâte à quiche provoquèrent une raideur dans son cuissard de cycliste. Il contourna la table, se colla à Micheline, et lui prit les seins pleines paumes.
- Qu'est-ce que tu fais ! Tu vois bien que je suis occupée ! Allez, va te doucher.
Mais Hubert poursuivit son pelotage, collant sa pine dressée contre le fessier copieux de Micheline.
- J'ai envie de toi. Maintenant. Tout de suite.
Elle tenta de se dégager en protestant :- Non, tu sens la sueur et il faut que je termine cette quiche pour la mettre au four. Va te doucher, je te dis.
La main droite d'Hubert quitta le sein droit de Micheline, descendit le long de la robe légère, la releva, glissa sur le ventre et tomba sur son sexe. Il en était sûr : elle était à poil dessous. C'était son habitude à la maison. Elle tenta plus fermement de le repousser en rouspétant mais il avait maintenant un doigt sur sa fente et même sur son clitoris. Il ne lui fallut pas longtemps pour détecter les premières traces d'une prometteuse humidité. Il le savait : Micheline ne résistait pas longtemps à une petite branlette. D'ailleurs, il sentit sa résistance mollir. Sa protestation devint moins véhémente. Toujours bloquée contre la table par Hubert, elle ne pouvait pas ignorer la forte bandaison sous le cuissard et sa pression sur ses fesses. Si Hubert avait disposé d'un miroir de l'autre côté de la table, il l'aurait vue se mordre les lèvres et même un bout de langue s'échapper de sa bouche. Mais il sentit en même temps une légère ondulation de sa croupe. Très légère, mais significative. Elle avait maintenant envie de baiser.
******Alors, les événements se précipitèrent. Après avoir repoussé le plat à quiche, il retourna Micheline, l'embrassa goulument et la hissa sur la table. Pendant qu'elle ôtait son tablier, il tira une chaise à lui, lui écarta ses cuisses dodues et plongea son museau sur sa vulve découverte, le nez dans sa végétation intime. Il la dégusta dans cette position assise comme s'il mangeait de la féminité. Robe troussée jusqu'au nombril, les mains posées en arrière, Micheline observait le travail buccal de son mari qui, elle le savait, la mènerait inéluctablement au plaisir. Elle adorait le cunni et lui était un expert. Sa langue lapait, fouillait, titillait et elle dégoulinait de plus en plus. Elle lui prit la nuque pour qu'il insiste et la conduise à l'orgasme. Lorsqu'il sentit ses ongles plantés dans son crâne et l'entendit crier, il sut qu'il avait atteint la première partie de son objectif : la faire jouir. Il retira son visage barbouillé de cyprine et croisa son regard reconnaissant.
- Ce n'est qu'un début, je vais te faire grimper aux rideaux, lui souffla-t-il.

Il baissa son cuissard, libérant sa bite imposante et dressée pendant qu'elle faisait passer sa robe par-dessus sa tête, dévoilant ses seins gonflés aux pointes érigées.
- Enlève-moi ce maillot, j'ai envie de te voir tout nu pendant que tu me prends, lui dit-elle, sans quitter sa position assise sur la table, les cuisses bien écartées.
Il guida son pénis de la main vers sa cible béante, placée à la hauteur idéale, et il la pénétra debout avec facilité, les yeux dans les siens. La table étant lourde -une table à l'ancienne, en chêne massif- il put la tringler vigoureusement sans que le meuble ne se déplace d'un centimètre. Sa solidité lui offrait un point d'appui idéal pour y aller franco car Micheline aimait être secouée, baisée virilement en profondeur. La pièce devint envahie de bruits aqueux provoqués par la jonction des deux sexes, mêlés aux halètements, aux grognements et aux onomatopées du couple en pleine fornication. Parfois, un bref dialogue s'engageait :- Tu la sens bien comme ça, hein chérie ?
- Oh oui, oh oui, elle est bonne, elle est bonne, continue, continue !
- Tu aimes la bite, hein ? Dis-le que tu aimes la bite, dis-le !
- Ah oui, j'aime ça, j'aime ça.
- Mais dis-le que tu aimes la bite !
- Oui oui, j'aime la bite, j'aime la bite !
- Cochonne !
Et Hubert l'embrassait tout en poursuivant son travail de sape, les reins pressés par les talons de Micheline, comme pour l'empêcher de s'échapper.

Mais un événement imprévu survint, qui interrompit ce moment de plaisir intense. On sonna à la porte.
- Merde ! Qui c'est ? murmura Hubert en stoppant ses coups de boutoir.
- Sais pas. J'espère que c'est pas les enfants, répondit Micheline en enfilant à la hâte sa robe d'intérieur.
Elle gagna la porte d'entrée tandis qu'Hubert remettait son cuissard, inquiet de l'excroissance qui en marquait le devant. Il entendit une brève conversation et la porte se refermer. Micheline apparut, un colis en main :- C'était le postier avec le colissimo de mes produits de beauté, j'avais complètement oublié.
Il fallait donc reprendre l'affaire où le couple l'avait laissée. Hubert avait débandé.
- Alors, tu me laisses en plan ? grogna Micheline. Je vais m'occuper de ton cas.

Elle s'accroupit et saisi le membre flappi dans ses doigts pour le porter à sa bouche. Sa langue virevolta autour du gland tout en astiquant la hampe. Hubert observait la petite tête blonde frisée qui s'agitait consciencieusement pour le ranimer. S'il était expert en cunni, elle n'était pas maladroite non plus dans la pipe et il arbora à nouveau un volume suffisamment conséquent pour l'inviter à se mettre sur la paillasse au bord de l'évier. Penché en avant, il lui écarta les cuisses et reprit un cunnilingus préparatoire. Micheline se remit à roucouler. Elle adorait ce genre de coït impromptu qui les sortait de la routine du lit. Elle n'en revenait pas d'aimer autant le sexe à la cinquantaine, peut-être plus encore qu'au temps de sa jeunesse, parce qu'Hubert avait su faire tomber tous ses tabous. Elle était maintenant passionnée par son entre-cuisses, les sensations qu'il lui procurait lorsque l'organe mâle y pénétrait ou lorsque, comme en ce moment, il le préparait à l'introduction. Parfois, dans la journée, elle ne pensait plus qu'à ça au point que, telle une chienne en chaleur, n'importe quel porteur de bite aurait pu la saillir à un moment propice. Heureusement, Hubert la satisfaisait pleinement mais si, dans l'état de transe où il la mettait, il lui demandait un jour de se taper plusieurs mecs devant lui, pas sûre qu'elle refuserait. C'était d'ailleurs un de ses fantasmes inavoués. Oserait-elle le lui dire un jour, comme lorsqu'elle lui avait demandé, dans un moment d'exaltation sexuelle, et à sa grande surprise, de la sodomiser ? Depuis lors, son anus était devenu aussi accueillant que sa chatte.

Tout en la léchant, Hubert levait les yeux pour l'observer. Elle souriait et il sut qu'elle allait encore lui offrir une bonne partie de cul. Une femme pareille, c'était vraiment du bonheur pour un homme. Lui non plus ne lui avait jamais avoué mais son fantasme, c'était de la voir baiser dans un club échangiste avec un black bien monté. Cela ne se ferait sans doute jamais, a fortiori maintenant avec le confinement, mais c'est le propre des fantasmes de rester tels. En attendant, il fallait la satisfaire car elle était visiblement dans le besoin.
Il prit une chaise, s'assit dessus et, pine dressée vers le plafond, l'invita à venir s'empaler sur lui. Elle s'exécuta aussitôt, lui envoyant ses gros nichons dans la figure. Pieds nus en appui sur le sol, les mains d'Hubert sous ses fesses, elle s'infligea une séance de pal vaginal qui fit trembler la chaise et claquer leurs peaux. Parfois, empalée jusqu'à la garde, elle faisait rouler ses hanches pour bien enfoncer la bite, ce dont Hubert lui était reconnaissant car sa frénésie menaçait de le faire éjaculer prématurément. Mais la position étant fatigante pour les jambes de Micheline, elle se détacha et commanda :- Allonge-toi par terre, je vais venir sur toi.

La position n'était pas particulièrement confortable. Hubert ressentait le froid du carrelage dans son dos et Micheline avait les genoux douloureux en faisant claquer son cul. Mais la situation était vraiment jouissive. Hubert lui prit les roberts à pleines mains, contenant ainsi leur agitation, et Micheline lui caressa les couilles en faisant passer sa main derrière son dos. Puis elle se mit sur ses pieds et fit coulisser la bite du gland au pubis en une série de claquements secs qui mirent Hubert au bord du supplice.
- Arrête ! Arrête ! Je vais gicler ! gémit-il.
Micheline se releva, tout sourire :- Ah ah ! C'est moi qui te baises maintenant, hein ? Tu m'as voulue, tu m'as.

Piqué au vif, Hubert se releva, prit Micheline par la main et l'entraina dans le salon. Le canapé les attendait. Il la fit mettre à genoux, dos à lui, ses mains sur le dossier, et l'enfila recta par derrière en lui tenant les hanches. Après une série de va et viens, il se retira, lui doigta l'anus et positionna son gland à l'entrée de l'orifice. Il ne lui fallut que quelques secondes pour y entrer totalement. Les fesses de Micheline se couvrirent de chair de poule. Il se faisait fort de la conduire à l'orgasme anal et alors de ne plus retenir le flot de sperme qui se bousculait dans sa hampe. Il cogna dur et Micheline ne retint plus ses cris, indifférente aux réactions des voisins. Vu son expression, ses "oui oui" ses "plus vite plus vite", ses "encore encore", ses "viens viens viens" et même un très cru "oh qu'elle est bonne ta bite", un voisin attentif et curieux n'aurait eu aucun doute : la Micheline prenait son panard avec son Hubert. Il gicla au fond de son rectum, les cuisses soudain très molles, autant que sa queue, tandis qu'elle s'astiquait frénétiquement le clitoris pour accompagner son orgasme anal. Et ils se retrouvèrent assis dans le canapé, côté à côte, haletants, suants, anéantis de plaisir.

Ils mirent quelques minutes à récupérer et c'est alors que le téléphone se mit à sonner.
Micheline se leva en titubant pour répondre. C'était leur fille qui se proposait de les visiter l'après-midi. Micheline bredouilla une acceptation, l'esprit encore embrumé d'orgasme, et gagna la salle de bains. Dur retour au réel.
Quelques minutes plus tard, dûment douchée, elle annonça à Hubert qui s'apprêtait à l'imiter :- Bon, pour la quiche, c'est foutu pour midi. Je vais faire des pâtes, ça t'apprendra à interrompre ma cuisine.
- Excuse-moi d'avoir dérangé ton organisation, mais je ne me suis pas aperçu que ça te déplaisait.
Elle lui adressa une petite tape sur la joue. Et commença à faire bouillir de l'eau pour le repas de midi.

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